Publié à 12:00 par acoeuretacris
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La légende du sapin
Autrefois, tous les arbres de la forêt conservaient
leurs feuilles à l'approche de l'hiver. Aujourd'hui, seul
le sapin reste vert à la mauvaise saison.
Aux alentours de Noël, un petit oiseau ne put s'envoler
vers les pays chauds, car son aile était brisée. Comment
allait-il résister à la rigueur de l'hiver ?
Tremblant de froid, il s'abrite dans le feuillage
d'un gros chêne. Le chêne refuse de l'accueillir :
"Va-t-en, tu vas manger tous mes glands" dit-il.
Malgré la neige, il quitte le gros arbre pour se
réfugier dans les branches du hêtre touffu. "Ne reste
pas là, tu vas picorer mes faines" dit-il.
Le petit oiseau terrifié s'échappe pour se cacher
dans un bouleau qui le chasse sans tarder : "Je ne
veux pas de toi, tu vas salir mes branches".
Repoussé par tous les arbres, le petit oiseau se couche
dans la neige pour mourir. Il voit soudain à quelques
pas de là un sapin qui lui fait signe. Les ailes
engourdies par le froid, il se traîne vers le sapin.
"Ici, tu ne crains rien, je te protégerai" lui dit-il.
La veille de Noël, un vent terrible souffla sur la forêt.
Tous les arbres perdirent leurs feuilles sous la force du
vent. Seul le sapin conserva son feuillage, car il avait
accueilli le petit oiseau malade.
Voilà pourquoi le sapin est aujourd'hui l'arbre de
Noël, généreux et protecteur, autour duquel
nous nous réunissons.
(D'après H.J. Troxler, )
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un petit clic et vous saurez !!!!!
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Silence
Très attentivement, j’écoute le silence,
Qui s’abat lentement sur mon coeur chaque nuit,
Mes battements de coeur, qui font l’unique bruit,
Induisent peu à peu, l’état d’inconscience.
Je te bénis sommeil pour cette délivrance,
De ces quelques instants où ma peine s’enfuit ;
Tes bras silencieux sont le coupe-circuit,
Qui me fait supporter ma pénible existence.
Je vis au jour le jour, sans savoir si demain,
À l’aube, j’entendrai mon réveil matin
Où bien j’aurai sombré dans l’éternel silence.
Mon âme s’en ira n’emportant que l’amour,
Le reste tombera, très vite, en décadence,
La poussière et l’oubli couvriront mon séjour.