O.V.N.I.S. et vie extra terrestre...
Publié à 17:04 par acoeuretacris
Tags : ovnis
L’OVNI de Geos-9
Le jeudi 17 avril 1997, à 8 heures, le satellite américain Geos-9 communiquait à la Terre une photographie d’un « très grand objet anormal » au-dessus de l’Alaska.
L’image fut diffusée sur plusieurs sites Internet.
Une demi-heure plus tard, une seconde image montrait que l’objet qui se déplaçait vers le sud, se trouvait alors à l’ouest de la côte nord de Vancouver Island.
La photographie montrait également un « objet anormal de la même taille » au-dessus du Pacifique, à environ 80 km à l’ouest de San Francisco.
A 9 heures, Geos-9 communiquait une troisième image montrant que l’objet de San Francisco avait disparu, alors que le premier objet était de retour au-dessus de l’Alaska.
Les deux objets avaient une taille de 40 km.
A 11 heures, une quatrième image de Geos-9 enregistrait un nouvel « objet » moitié moins grand que les deux autres, et qui, stationnait au-dessus du Colorado.
A 14 heures, le FBI lança une alerte générale, parlant d’une « menace potentielle » au centre du NORAD de Cheyenne Mountain.
Le major général Jeff Grime précisa qu’il n’y avait pas de menace sur la ville proche de Colorado Springs. Les mesures de sécurité auraient, selon lui, été prises pour protéger le personnel de la base.
Cette remarque suscita des questions. Car, s’il n’y avait aucune menace, pourquoi protéger une base ?
Selon une dépêche de l’agence Reuter, la porte-parole du NORAD, Frankie Webster, refusa toute discussion sur la nature des mesures de sécurité.
Les rumeurs allèrent bon train sur plusieurs sites Web. Il est à souligner que les images envoyées par Geos-9 furent retirées de ces sites dès le vendredi matin.
Quelques jours plus tard, un scientifique annonça que les « objets » étaient en réalité des anomalies dues à une défaillance du programme du satellite.
Cette explication peut sembler plausible. Cependant, si ces images n’étaient dues qu’à une simple défaillance technique, pourquoi boucler tout le secteur de Cheyenne Mountain et lancer une alerte générale ?
La réponse a été : « procédure automatique de sécurité ».
Peut-être mais il s’est tout de même écoulé 6 heures entre la première détection et l’enclenchement de la procédure.
Les radars de poursuite du NORAD sont capables de détecter et d’identifier des objets de très petite taille. Pourtant, ils n’ont pas été capables d’identifier des objets de 40 km de diamètre. Ces radars ont été utilisés pour vérifier les images de Geos-9. S’ils n’ont rien détecté d’anormal, dans ce cas, pourquoi toute cette agitation ?
On a du mal à croire qu’une alerte générale à été déclenchée et que le NORAD est passé en DEFCON-4 (premier niveau d’alerte avant une éventuelle riposte nucléaire) juste pour quelques parasites informatiques.
La question est : « Quels objets sont rentrés dans notre atmosphère le 17 avril 1997 ?
Publié à 18:35 par acoeuretacris
Tags : ovnis
Phobos : une ombre énigmatique
Mars possède deux petits satellites qui gravitent très près de sa surface. Ils furent découverts par Asaph Hall en 1877 et appelés Phobos et Deimos, mots grecs signifiant peur et terreur.
Les deux missions Phobos furent des tentatives russes à la fois d'étude et d'atterrissage sur Phobos. Chaque sonde était équipée d'une station et d'un "hopper" (mot anglais signifiant sauterelle), conçu pour descendre sur la surface de Phobos. La station devait rester à la même place, pendant que le "hopper" devait sauter d'un endroit à un autre.
Phobos 2 réussit à effectuer une partie de sa mission en juillet 1988, en étudiant Mars, toutefois un incident étrange mit brusquement fin à la mission.
Des problèmes de communication
En janvier 1989, Phobos 2 arrive à proximité de Mars sans problème. Il se place en orbite afin de pouvoir effectuer la deuxième partie de sa mission : explorer le satellite Phobos.
Le vaisseau (sans équipage) s’aligne sur le petit satellite. Mais, le 28 mars 1989, le centre de contrôle soviétique annonce des problèmes de communication avec la sonde.
Le communiqué est le suivant :
« Hier, Phobos 2 s’est montré dans l’incapacité de communiquer avec la Terre comme prévue à l’issue d’une manœuvre autour de la lune martienne Phobos «.
Phénomène inhabituel, Phobos possède de longs sillons, parcourant la surface sur une distance pouvant atteindre 20 kilomètres. Les sillons font environ 200 mètres de large, et entre 5 et 30 mètres de profondeur
En parallèle, les soviétiques affirment que ce dysfonctionnement n’est que temporaire. D’après eux, le rétablissement des communications ne serait l’affaire que de quelques jours.
Le lendemain du communiqué, Nikolaï A.Simyonov, de l’agence spatiale soviétique avoue : « il y a 99% de probabilités que Phobos 2 soit perdu pour de bon ».
Donc, ce n’est pas seulement le contact qui a été perdu mais bien la sonde elle-même.
Un objet non identifié
Dans les jours qui suivirent cette disparition, les médias soviétiques montrèrent les dernières photos prises par Phobos 2.
La presse européenne se mit à parler d’un objet non identifié apparu sur ces dernières photos. Les photos montraient en effet une « ombre elliptique » sur Mars.
Cet objet avait été photographié quelques secondes avant la coupure de contact.
Les scientifiques cataloguèrent une des photos sur la quelle, on distingue nettement une fine ellipse, dans la rubrique de l’inexplicable.
Ils confirmèrent que ce phénomène ne pouvait être une illusion d’optique.
Une ombre bien réelle
Cette ombre mesurait 20 Km de long.
L’objet a été observé au moins deux fois par la sonde. Le très sérieux magazine Science publia un article le 7 avril 1989 :
« Alors que le vaisseau quittait son alignement normal par rapport à la Terre pour s’aligner sur la petite lune, Phobos, la perte apparente de Phobos 2 se produisit. Au moment où la sonde aurait dû se réaligner automatiquement avec la Terre, silence sur la ligne………..Pourtant, quelques heures plus tard, les contrôleurs captèrent une faible transmission ».
Donc, si l’antenne est restée bloquée, comment une faible transmission a-t-elle pu être reçue quelques heures plus tard ?
Qu’était en train de filmer Phobos 2 quand l’incident se produisit ?
Le président de l’administration de l’espace soviétique Glavkosmos a tenté de répondre à cette deuxième question :
« L’une des images semble cadrer un objet curieusement formé entre le vaisseau et Mars. Des débris sur l’orbite de Phobos, peut-être …………mais nous ne savons pas à vrai dire ».
Il faut souligner qu’aucun débris n’a été abandonné par les orbiteurs Viking sur l’orbite de Mars.
Les sillons semblent avoir un lien avec le cratère Stickney, et se sont probablement créés à la formation du cratère. Ce n'est cependant qu'une hypothèse.
Une hypothèse audacieuse
Dans un documentaire, diffusé trois mois après l’incident, le Docteur Becklake explique :
« Au moment où la dernière image est transmise, les russes ont vu quelque chose qui n’aurait pas dû se trouver là ».
« Les soviétiques n’ont pas publié toutes les photos et nous ne spéculerons pas sur ce qu’elles montrent ».
Il a fallu 13 ans pour qu’on sache que les documents gardés secrets montraient sans ambiguïté un objet en forme de fusée dirigée vers la sonde.
Cet objet a manifestement percuté Phobos 2.
Le rapport des scientifiques russes publié dans la revue Nature du 19 octobre 1989 confirmait déjà que la sonde tournait en vrille, soit à cause d’un mauvais fonctionnement, soit parce qu’il a été percuté par un objet inconnu.
Le journaliste scientifique Zecharia Sitchin dans son ouvrage « la planète cachée à l’origine de l’humanité » émet une théorie audacieuse :
« La perte de Phobos 2 n’était pas un accident mais un incident. Peut-être, le premier incident d’une guerre des étoiles. L’interception par des aliens d’une sonde terrestre faisant intrusion sur leur base martienne ».
Chacun est libre de méditer sur cette affaire et d’en tirer ses propres conclusions. La seule certitude est que Phobos 2 n’a pas disparu suite à un incident technique explicable et q'un objet était bien présent au moment de l'incident.
Publié à 17:24 par acoeuretacris
Tags : ovnis
La Zone 51
Base Spatiale ou "Projets Noirs" ?
Cette mystérieuse zone est une large étendue principalement composée de l’ancien lit asséché d’un lac appelé Groom Lake. Le fait que cette base renferme des secrets d’Etat ne fait aucun doute. D’ailleurs, il suffit de consulter les cartes officielles de la région pour constater que la zone 51 n’apparaît pas.
Le gouvernement américain persiste à dire que cette base n’existe pas. Pourtant, les nombreuses photographies satellites et les films amateurs sont là pour prouver le contraire.
En soi, le comportement du gouvernement américain n’a rien n’exceptionnel. Aucun pays ne fait de publicité sur ces bases militaires ou de recherche.
Mais, la Zone 51 cache t-elle réellement une base spatiale ? Les technologies mises au point sont-elles issues de technologies extraterrestres ? Des engins ont été photographiés et même filmés. De toute évidence, ce ne sont pas des avions conventionnels.
Mais, cela suffit-il à accréditer les témoignages de ceux qui affirment que la zone 51 renferme des ovnis, voire même des aliens ?
L’histoire de la zone 51
Bien avant que les médias et les ufologues parlent d’ovnis, la zone 51 était réservée aux essais nucléaires.
Elle servait également de site pour les essais de l’armée américaine, les fameux « projets noirs ».
La base bénéficiait bien sûr d’une surveillance mais rien de comparable à ce qui existe aujourd’hui.
Jusqu’au début des années 80, il était possible de se rendre à Groom Lake en voiture pour observer la base de loin.
Mais, au milieu des années 80, l’armée a réquisitionné un massif montagneux, le massif de Groom.
A partir de là, toute trace de l’existence de la zone sur les cartes a été effacée.
Cette zone n’intéresse pas que les ufologues. Staline surveillait déjà cette base et les Russes ont pris de nombreuses photos satellites.
Certaines ont été prises très récemment par eux ainsi que par des sociétés privées américaines. Ces photos ont été largement distribuées sur le Net.
Ce qui frappe surtout quand on observe les photos, c’est l’absence totale d’activité en surface. Tout semble désert.
Il est donc plus que probable que les recherches s’effectuent en sous-sol. Le témoignage de David Adair confirme d’ailleurs cette hypothèse.
La base a été construite par la CIA et n’est utilisée que dans le cadre de projets gouvernementaux. Cependant, son exploitation et sa surveillance sont gérées par une société privée.
Zone interdite
L’endroit est particulièrement aride et désert. Un site idéal pour y mener des recherches militaires.
Les mesures de surveillance sont impressionnantes : missiles SOL AIR, détecteurs de mouvements enfouis dans le sol, caméras de surveillance…
L’espace aérien au-dessus de cette zone est interdit, y compris aux pilotes militaires en manœuvre d’entraînement.
Tout pilote, civil ou militaire, qui violerait cette interdiction perdrait sa licence.
Nul ne peut approcher de la zone sans être aussitôt pris en chasse par un hélicoptère et des voitures de surveillance.
Cependant, bien que cela puisse paraître excessif, ce type de mesures est normal autour d’un site militaire ultra-secret.
L’espionnage n’est pas un mythe et chacun essaye de garder jalousement ses nouvelles technologies.
Alors dans ce cas, pourquoi cette zone fait-elle l’objet d’une telle controverse ?
De drôles d’engins dans le ciel
Pendant de nombreuses années, les fans de la zone 51 se retrouvaient sur les hauteurs pour immortaliser sur la pellicule tout objet volant non identifié.
Effectivement, des engins étranges ont bien été observés au-dessus de la base. La vidéo ci-dessous montre l’un de ces objets.
Sceptique ou non, l’engin ne peut être pris pour un avion ou un hélicoptère. Cela ne constitue pas pour autant la preuve que le gouvernement américain détient une technologie extraterrestre.
Ces « soucoupes volantes » ne seraient-elles pas les derniers engins militaires conçus dans le plus grand secret ?
Les ufologues affirment que des ovnis provenant du crash de Roswell ont été récupérés et se trouveraient dans la base 51.
Le moins que l’on puisse dire est que depuis plus de 50 ans, personne n’a été capable de se mettre d’accord sur ce qui s’est réellement passé à Roswell en juillet 1947.
Une chose est sûre par contre c’est que les différentes déclarations officielles de l’époque n’ont été qu’une suite de contradictions et d’explications que je qualifierais de vaseuses.
Difficile de croire en effet que des officiers au service des renseignements aient pu confondre un ballon météorologique équipé d’un réflecteur radar avec un objet inconnu composé de matériaux encore moins connus dont les débris ont bien été récupérés.
Après le ballon météorologique, en 1994, soit 40 ans après les faits, l'Air Force sort une nouvelle version. Les débris de Roswell sont ceux d'un ballon Mogul. Ces ballons servaient aux mesures lors des essais atomiques. (sur les photos, des modèles de 1947 et 1948)
Mais aucune preuve ne vient étayer cette théorie. La relation entre le crash de Roswell et les activités de la base 51 restent donc pure spéculation.
Par contre, deux témoignages, celui de Robert Lazar et celui de David Adair, ne manquent pas d’intérêt.
Le témoignage de Robert Lazar
Cet homme a été mis au banc de la communauté scientifique suite à ses déclarations fracassantes. Robert Lazar était un scientifique qui travaillait pour le gouvernement. Dans le cadre de ses missions, il a travaillé dans la zone 51 en 1988 et 1989.
Il affirme qu’il aurait eu, au cours de son séjour, accès à des renseignements qui constitueraient une preuve irréfutable de l’existence d’une vie extraterrestre.
Il affirme également que « la technologie qu’il a pu voir dans cette base a des centaines et des centaines d’années d’avance sur la nôtre. »
Physicien et mécanicien talentueux, Lazar déclara lors d'une émission de télévision en Mai 1989 avoir travaillé sur le système de propulsion d'un appareil extraterrestre pour le compte de l'Armée Américaine durant 5 mois à partir de Décembre 1988. Il déclara que le gouvernement américain y conduisait un programme sur 9 soucoupes volantes et tentait d'adapter la technologie extraterrestre.
Peu de temps après, il donna plus de détails en décrivant notamment le site "S4", situé à l'intérieur de la Zone 51, près du lac Papoose, lieu où les engins extraterrestres étaient rassemblés.
Il a également déclaré avoir consulté de nombreux documents sur les ovnis et leurs 'occupants', de petits êtres chauves au teint grisâtre, répertoriés comme originaires de la zone stellaire de Zeta reticuli. Il a même dit avoir aperçu "d'étranges petits êtres".
Il pénétra à l'intérieur de l'un des disques et acquit la conviction que « tout cela venait d'un autre monde ». « Il n'y a pas de joint physique, pas de soudure, ni boulons, ni rivets apparents ». « Chacun des objets présente une sorte de bord arrondi, comme s'il avait été moulé dans la cire, chauffé puis refroidi ».
Il fait également état de hublots, de voûtes et de sièges hauts de 30 cm. Quant à ce qu'il avait identifié comme l'unité de propulsion, il s'agirait d'un objet de la taille d'un ballon de rugby, capable de produire un champ anti-gravité
Ce témoignage semble régler le mystère de la base 51. Malheureusement, la crédibilité de Robert Lazar a été mise en doute, non sans raison.
Il dit avoir été diplômé de deux Universités américaines mais n’a jamais pu en apporter la preuve.
Robert Lazar déclare avoir obtenu sa maîtrise du MIT en 1982. Les recherches conduites par le biais du répertoire des étudiants du MIT de 1978 à 1990 prouvèrent que Lazar n'a jamais mis les pieds dans cet Institut.
Il a également menti en affirmant avoir travaillé de 1982 à 1984 au Laboratoire National de Los Alamos dans le cadre de l’Initiative de Defense stratégique « Guerre des Etoiles ».
De plus, ses activités sont plus que douteuses pour un homme qui se prétend scientifique.
En 1985, Lazar et sa femme acquièrent un bordel à Reno dans le Nevada.
En avril 1990, il a été arrêté à Las Vegas et le 18 juin inculpé dans une affaire de prostitution.
Aujourd'hui, il possède plusieurs affaires, dont un studio photo et une compagnie qui répare les écrans. Il touche des royalties des modèles en plastique de soucoupe volante, modèles basés sur ses descriptions et fabriqués par Testor. Ses nombreuses interviews lui rapportent également des revenus non négligeables.
Donc, Robert Lazar pourrait être un parfait mythomane qui s’invente la vie qu’il aurait aimé mener, à savoir celle d’un scientifique de renommée mondiale hautement diplômé.
Faut-il pour autant rejeter toutes ses déclarations ?
Le témoignage de David Adair
David Adair est un ingénieur de réputation mondiale spécialisé dans l'aérospatiale et l'aéronautique ayant travaillé pour l'armée américaine (l'Air Force et la Navy) ainsi que pour d'importantes firmes en armement.
C’est également un surdoué. En 1965 il construit sa première fusée. En 1971, il gagne le Most Outstanding in the Field of Engineering Sciences de l'USAF. A cette époque il invente un moteur de contention de fusion électromagnétique.
En 1973 il conçoit et fabrique le système mécanique permettant de changer les moteurs de turbine de jets qui fait encore référence aujourd'hui.
En 1997, Adair apporte son témoignage au projet Révélation du CSETI. Lire le témoignage
Son intégrité et sa sincérité ne peuvent en aucun cas être mises en doute contrairement à celles de Robert Lazar.
Lors de son bref séjour dans la base 51 il y a plus de 30 ans, il a pu observer deux pistes d’envol de plus de 3 000 mètres chacune.
Arrivé au hangar central, le sol s’est affaissé. Un ascenseur géant a mené les visiteurs à environ 60 m sous terre.
Apparemment l’installation souterraine est gigantesque. Elle est surmontée d’une sorte de toit en cascade, un peu comme un arc-en-ciel.
Puis, les murs ont glissé devant lui et il a pu ainsi voir de grands espaces de travail et des bureaux.
On lui a fait voir un réacteur de la taille d’un autobus. Selon lui, le réacteur était incroyablement sophistiqué et d’une technologie très avancée. L’engin ne comportait aucun boulon, ni soudure apparente.
Le plus étrange était que la matière semblait sensible au toucher, comme vivante. Elle semblait réagir aux ondes.
Le réacteur qu’il venait d’inventer était bien primitif à côté de cet engin.
Aujourd’hui, des recherches officielles sont menées sur des avions de combat. Le pilote est relié grâce à des électrodes au cerveau commande de l’avion.
Ce sont les pensées du pilote qui font réagir l’engin. Il y a donc une véritable relation symbiotique entre le pilote et son avion.
Le réacteur observé dans la zone 51 dans les années 70 était conçu selon le même principe ; changeant de couleur en fonction de l’état d’esprit de celui qui le touchait.
Mais, à cette époque, aucun pays ne possédait une telle technologie.
C’est le seul scientifique a avoir observé directement ce qu’il considère comme étant un réacteur symbiotique, voire biologique, d’origine extraterrestre.
Interview du journaliste Robert Stanley en 2002 au cours duquel David Adair raconte son expérience de la zone 51.
Base spatiale ou "projets noirs" ?
Si l’on privilégie l’hypothèse de la base de recherche, on ne peut que se poser certaines questions.
»Comment les américains ont-ils fait pour prendre une telle avance technologique ? » ; « Pourquoi ces engins révolutionnaires qui semblent pourtant voler ne font pas l’objet d’une commercialisation ou au moins d’un usage militaire ? » ; « D’où les américains tiennent-ils leurs connaissances ? ».
Les Etats-Unis, l’Union Soviétique et l’Europe ont eu une avancée technologique assez similaire jusqu’à présent.
Pourtant, dans ce cas précis, déjà il y a plus de 30 ans, si l’on s’en réfère au témoignage de David Adair, les Etats-Unis avaient en leur possession une technologie totalement inconnue et très en avance pour l’époque.
Cette base n’est pas un mythe. A chacun de se forger sa propre opinion mais il est tout de même étrange qu’une simple base de recherche fasse l’objet d’un tel mur du silence.
De nombreux prototypes issus des « projets noirs » sont bien connus et ont été photographiés avec l’autorisation des autorités.
Lockheed SR-71 Blackbird. C'est un avion espion qui vole à Mach 3,2 et met 300 km à faire demi-tour ! Il a repris du service
Les Etats-Unis ne sont pas les seuls à maîtriser la technologie des avions quasi-triangulaires. C'est sans doute pourquoi, il y a de plus en plus d'obervateurs qui décrivent des "ovnis" de cette forme.
Certaines firmes américaines ont même dans les années 60 construits des dirigeables triangulaires, notamment le Big Wing, un immense dirigeable triangulaire d'environ 200 m d'envergure.
Il existe deux grandes théories qui s’affrontent :
Les uns pensent que le gouvernement américain essaye de mettre au point des technologies militaires capables de leur donner la victoire en cas de conflit mondial.
Les autres prétendent que la menace ne vient pas de la Terre mais de l’espace.
Existe-t-il vraiment une menace qui pourrait ébranler les fondements mêmes de notre société ? Si des engins américains sont responsables des observations d'ovnis, pourquoi l'Air Force teste t-elle ses engins à l'etranger ? Il y a pourtant suffisament de déserts aux Etats-Unis.
Il serait surtout temps que l'armée américaine cesse de cultiver le secret ce qui éviterait le doute et surtout de voir fleurir des théories farfelues.
Publié à 11:44 par acoeuretacris
Tags : ovnis
Roswell
Le soir du 2 juillet 1947, des témoins voient un disque traverser le ciel puis exploser en partie au-dessus d’un ranch près de Roswell, au Nouveau-Mexique.
Le 8 juillet, l’armée publie un communiqué affirmant qu’elle détient les restes d’un OVNI. Mais, un OVNI s’est-il bien écrasé à Roswell en juillet 1947 ? Des corps extraterrestres ont-il été découverts et autopsiés ?
Plus de 50 ans après les faits, de nouveaux témoignages éclairent d’un nouveau jour l’affaire Roswell.
Le premier communiqué de presse de l’armée reste, à ce jour, le seul aveu officiel de l’existence des OVNIS jamais fait par les autorités américaines.
L’US Air Force n’a pas tardé à le regretter puisque après cette date, un filtrage des informations est systématiquement mis en place, et celles-ci sont classées « ultra top secret », ainsi que le mentionne une lettre du sénateur Barry Goldwater.
Le crash de Roswell
Au cours des trois jours qui ont précédés le crash de Roswell, il y a eut 88 apparitions d’OVNIS dans 24 Etats.
La nuit du 2 juillet, c’est au-dessus du ranch de MacBracel qu’un disque semble frappé par la foudre, dispersant une grande quantité de débris au sol.
Il poursuit néanmoins sa route avant de s’écraser près de la ville de Magdalena, à plus de 250 kilomètres de là.
Selon les spécialistes des OVNIS, cette photo prise en 1967, montrerait un engin spatial au dessus de Zanesville, dans l'Ohio. C'est le même genre d'objet qui a été observé à Roswell en 1947
MacBracel prévient avec du retard le shérif de sa découverte qui se rend sur les lieux. Il déclarera avoir vu de nombreux débris, une zone noircie et 4 corps étranges.
Il avertit alors la base militaire la plus proche. Ce n’est que le 6 juillet que l’officier chargé du renseignement à la base de Roswell, le major Jesse A.Marcel, et l’agent du contre-espionnage Cavitt, se rendent sur les lieux.
Ils découvrent un très grand nombre de fragments légers, rigides et extrêmement résistants. Certains portent des symboles indéchiffrables.
Il y a aussi un morceau plus gros que les autres, presque circulaire, et d’environ 3 mètres de diamètre.
Une partie des débris est expédiée le jour même à Washington, via la base de Fort Worth, au Texas.
Le destinataire est le général McMullen.
Le 8 juillet, l’armée publie un communiqué affirmant qu’elle a récupéré un OVNI. Le communiqué ne mentionne pas les corps que le shérif affirmait avoir vu.
Trois heures après ce premier communiqué, le général Ramey fait diffuser un rectificatif disant que les débris sont ceux d’un ballon météorologique équipé d’un réflecteur de radar d’un modèle courant.
On peut se demander comment un officier de l’armée de l’air a pu confondre un simple ballon-sonde avec un engin spatial.
Un modèle de ballon Mogul de 1948
Ce même jour de 1947, un avion arrive à Roswell de Washington avec une équipe chargée de superviser la récupération des débris.
Le 9 juillet, accompagné par les militaires, le fermier McBracel donne une conférence de presse. Lui aussi revient sur sa première déposition et affirme qu’il s’agit d’un ballon-météorologique. Il n’y a plus d’OVNI ni de cadavres.
Ballon Mogul, modèle de 1947
L’armée de l’air s’est encore contredite avec deux rapports publiés dans les années 1990 dont « The Roswell Report » rendu public en 1994.
Une version officielle affirme que l’armée de l’air a réalisé des essais d’impact en utilisant des mannequins qui pouvaient ressembler à de petits cadavres.
Le problème est que ces mannequins mesurent 1,80 m et pèsent 85 kg pour simuler les pilotes.
Mannequins types utilisés par l'armée
Une autre version, toujours officielle, affirme que l’armée travaillait sur un projet top secret appelé « Mogu 1 », qui consistait à contrôler les essais nucléaires soviétiques en lançant des ballons munis d’équipements acoustiques.
Le moins que l’on puisse dire est que l’armée américaine a beaucoup de mal depuis 50 ans à concocter une version unique et convaincante.
Et finalement, si l’affaire Roswell est devenu un mythe, on le doit bien à cette même armée si soucieuse de fournir des preuves mais qui se refuse par contre à fournir les rapports classés top secret sur cette affaire.
Des cadavres d’extraterrestres
Un témoin, l’ingénieur Grady Barnett, qui résidait à Roswell au moment des faits va relancer l’affaire.
Il affirme, le 3 juillet, avoir découvert un disque de 8 à 10 mètres de diamètre, ainsi que quatre cadavres.
Rejoint par les membres d’une équipe de recherche archéologique de l’université de Pennsylvanie, il est empêché de continuer ses recherches par des militaires qui encerclent le secteur.
Il a confié à son ami, Vern Maltais, ce qu’il avait vu ce jour là :
« Alors qu’il revenait d’une de ses inspections, il s’est retrouvé face à un disque ovale qui venait de s’écraser. A côté, quatre créatures gisaient sur le sol qui portaient des combinaisons d’un vêtement gris d’une seule pièce ».
On remarquera que le nombre de « cadavres » coïncide avec le témoignage du shérif. Cependant, le témoignage de ce dernier diffère légèrement.
« Ils avaient de grosses têtes. Les vêtements qu’ils portaient ressemblaient à de la soie. L’un deux était encore en vie ».
Si la soucoupe volante était presque intacte, pourquoi il y avait-il autant de débris dans le champ ? D’après les témoins, ils s’étalaient sur une superficie d’une longueur d’un kilomètre sur 70 à 100 mètres de large.
Certains spécialistes de l’affaire ont avancé l’hypothèse qu’il n’y avait pas un mais deux engins. L’un des engins aurait été pulvérisé lors de l’accident.
Il existe deux autres témoignages de la présence de corps:
Témoignage indirect de Glenn Dennis
En 1947, Glenn Dennis travaillait aux pompes funèbres. Il faisait également office d’ambulancier.
Alors qu’il ramenait à l’hôpital des pilotes blessés de la base de Roswell, il vit de nombreux débris dans les jeeps militaires.
Il pensa tout d’abord qu’il y avait eu un accident d’avion. Mais, il fut surpris de la réaction de la police militaire. Cette dernière, affirme t-il, le menaça de mort s’il révélait ce qu’il venait de voir.
Glenn Dennis fréquentait au même moment une jeune sous-lieutenant qui travaillait à l’hôpital militaire.
Voilà les déclarations qu’elle lui fit le soir même :
« Je me suis dirigée vers une salle d’examen. Lorsque je suis entrée, il y avait deux médecins dans la salle. Ils étaient en train d’examiner trois corps dont deux très mutilés. Il s’agissait de corps étranges ».
C’est la dernière fois que Dennis vit sa petite amie. Le lendemain alors qu’il prenait de ses nouvelles, on lui répondit qu’elle avait été transférée. Ils ignoraient où mais elle n’était plus à la base aérienne.
Qu’est devenue cette femme ?
Juillet 1947. Un officier météo montre aux médias le ballon sonde et son réflecteur radar
Témoignage du colonel Philip Corso
Corso a travaillé plusieurs années au Pentagone. C’est certainement l’un des témoins les plus influents. Dans son livre intitulé « Au lendemain de Roswell » publié en 1997, il affirme avoir été responsable de l’implantation de technologies extraterrestres au sein de l’armée américaine.
Cet officier faisait partie du National Security Council (d’influents conseillers du Président).
Corso dit également qu’à l’époque il a vu 5 caisses dans un hangar. Dans l’une des caisses, il y avait un corps qui flottait dans une substance liquide. Le corps ne faisait pas plus d’1,20 m. Il décrit l’extraterrestre ainsi :
« La poitrine était relativement étroite. La peau avait une teinte grisâtre. La tête était grande par rapport au reste du corps. Les yeux étaient légèrement obliques et recouverts d’une sorte de filament »
Il écrit également avoir eu entre les mains le rapport d’autopsie des corps retrouvés le jour du crash.
Il est à souligner que ce livre, bien qu’intéressant, n’apporte aucune preuve tangible à ce dossier.
Bien sur, on peut se demander pourquoi un membre des services de renseignements à la retraite s’amuserait à publier un ramassis de mensonges.
Nous avons donc, apparemment, plusieurs personnes qui affirment, directement ou indirectement, qu’il y avait bien des corps non humain à proximité de l’engin spatial.
Qu’en est-il alors du film de cette fameuse autopsie d’un extraterrestre qui a fait le tour du monde en 1995 ?
Autopsie d’un extraterrestre
En 1995, un film créé l’évènement dans le monde. Il s’agit de la présumée autopsie de l’un des corps récupéré à Roswell.
Ce film aurait été acheté par un producteur britannique, Ray Santilli, à un ancien cameraman de l’Air Force, Jack Barnett.
Ce dernier aurait fait partie de l’équipe de tournage de la première explosion atomique américaine, à Trinity, le 16 juillet 1945.
En 1947, il aurait également filmé pour l’US Air Force les essais du Little Henry, un prototype de l’hélicoptère XH-20 de la firme McDonnell.
Malheureusement, après vérifications, Jack Barnett n’a jamais été mentionné dans la liste des cameramen de Trinity.
Cet homme est en fait mort en 1967.
Les origines de ce film sont donc plus que douteuses. Cela n’a pas empêché Santilli de le vendre à plus de 20 pays en 1995.
A première vue, ce film sent l’arnaque et le montage. L’ »extraterrestre » que l’on y voit mesure près d’ 1,60 et possède 6 doigts.
Les témoins de 1947 en ont mentionné 4 ou 5 maximum.
Il n’y a qu’un seul détail qui mérite réflexion. Corso pense d’ailleurs que bien que faux, ce film comporte une part de vérité.
Effectivement, dans le film, on voit un des médecins prélever une sorte de paupière. Or, cette « paupière » d’après les rapports d’autopsies qui auraient été effectués en 1947 était un capteur de lumière qui permettait aux créatures de voir dans l’obscurité.
Ce détail n’a bien sûr jamais été révélé à personne.
Depuis 1995, Santilli n’a jamais voulu fournir pour analyse des portions du film original ce qui ne plaide pas en sa faveur.
Les copies ne permettent aucune analyse concluante. Plusieurs dizaines de personnes sont probablement impliquées dans la réalisation de ce film. Officiellement et de toute évidence d'ailleurs, ce film est un faux.
Peut-être que parmi elles, certaines ont réellement été témoin de quelque chose ce qui expliquerait certains détails troublants.
Quoiqu’il en soit, aucune d’elles ne s’est à ce jour fait connaître.
Occupants des engins spatiaux et étrange matériau
L’enquête la plus sérieuse qui a été menée sur l’affaire Roswell provient des Dr Jean Sider et Leonard Stringfield.
Le portrait robot qui suit est appuyé sur le témoignage du Dr Wiesberg, de Nicolas von Poppen, spécialiste d’analyse photographique des métaux, engagé par l’armée pour prendre des clichés du vaisseau accidenté, et du sergent Melvin E.Brown, un des membres de l’équipe chargée de récupérer les restes de l’épave.
Il n’existe que des témoignages fragmentaires des médecins qui auraient autopsié les occupants du disque. Leur recoupement, opéré entre autres, par le chercheur Leonard Stringfield, donne le portrait suivant :
Taille entre 1,20 et, 1,30 m
Tête chauve
Tête proportionnellement plus grosse que chez l’homme
Grands yeux écartés et un peu bridés
Pas de lobes d’oreilles autour de l’orifice auditif
Nez pratiquement inexistant
Bouche réduite à une simple fente
Jambes et bras très fins
Mains à 4 ou 5 doigts
Légère palmure entre les doigts
Peau rude et grisâtre
Sang de type inconnu
De même, lors de leur enquête, ils ont pu récolter des témoignages des chercheurs qui ont travaillé sur les débris récupérés.
La composition des débris n’a jamais été identifiée. Il a été impossible de découper cette tôle, ni d’y faire une entaille, ni de la brûler.
Pour ces deux hommes qui ont mené une enquête et interrogé de nombreux témoins, il s’est incontestablement passé quelque chose d’important et de tout à fait insolite au Nouveau-Mexique.
Quelque chose de si décisif que c’est à la suite de cette affaire qu’il fut décidé de classer « ultra top secret » tous les cas attesté d’OVNIS.
D’étranges hiéroglyphes
Plusieurs témoins de 1947 ont affirmé que certains débris comportaient d’étranges inscriptions.
Les témoignages directs sont cependant intervenus qu’en 1978. Il s’agit notamment du témoignage du fils du major Jesse Marcel.
En effet, en 1947, le major avait ramené chez lui quelques débris pour les montrer à sa femme et à son fils avant de les ramener à la base.
En 1978, son fils, Jesse Marcel Jr, a fait d’étonnantes révélations :
« Ce qui différenciait les pièces, c’était une série d’inscriptions. La poutre en forme de « I » comportait une sorte d’écriture.
Cela ressemblait à des symboles et formes géométriques ».
Reconstitution des inscriptions
Ces inscriptions ont suscité l’attention d’un grand nombre de chercheurs. Les efforts entrepris pour essayer de les déchiffrer ont abouti à des résultats mitigés selon les rapports de ceux qui enquêtent sur cette affaire.
Une source amérindienne les traduit par « les guerrières sont prêtes ».
Une autre traduction d’origine méditerranéenne rapproche les symboles du grec ancien et cela se traduirait par le mot « liberté ».
Difficile de se faire une réelle idée sur ces symboles qui n’ont été analysés qu’à partir de quelques fragments.
Quoiqu’il en soit, aucun ballon-sonde ne comporte sur sa structure de telles inscriptions. De plus, leur descriptif ne ressemble en rien au soi-disant adhésif à fleurs retrouvé dans les débris dont parle l’armée américaine dans un de ses rapports.
Mais, on peut également se demander pourquoi une civilisation extraterrestre utiliserait de l’ancien grec pour orner ses vaisseaux.
Roswell : OVNI ou non ?
Comme vous pouvez le constater, l’affaire est loin d’être aussi simple que certains sceptiques et de nombreux médias veulent bien le dire.
Il existe bon nombre d’autres témoignages sur cette affaire dont celui de Bond Johnson, un journaliste, appelé en juillet 1947, pour photographier les débris de l’accident. C’est d’ailleurs le seul représentant des médias à avoir pu voir ces débris.
Il est impossible de tous les citer à moins d’écrire un livre.
La question que tout le monde se pose est : Qu’est-il tombé du ciel le 2 juillet 1947 ?
Seule l’armée de l’air pourrait répondre à cette question et nous connaissons leurs différentes versions peu convaincantes et surtout très contradictoires.
La théorie du météorite est quant à elle totalement invraisemblable pour la simple raison que l’objet n’a laissé aucun impact du type cratère.
Cependant, près de 60 ans après les évènements, de nombreuses personnes poursuivent leur enquête et continuent à chercher des réponses aux différentes questions.
Où sont passés les débris analysés à Wright-Patterson ?
Où sont les rapports d’expertise ?
Qui est à l’origine du film d’autopsie ?
L’énorme essor technologique qui s’est produit après la Seconde Guerre mondiale a-t-elle un rapport direct avec le crash de Roswell ?
Il existe trop de témoignages concordants pour que l’on puisse ignorer ou traiter par le mépris le cas Roswell.
Il commence à y avoir quelques failles dans le mur du silence qui entoure l’affaire depuis 1947.
Le nombre de témoignages importe peu en fait. La seule preuve qui pourrait nous donner la solution à cette énigme serait que l’on puisse analyser publiquement les débris récupérés.
D’ailleurs, je ne suis pas la seule à le penser puisque le centre international de recherche sur les OVNIS de Roswell offre un million de dollars à celui qui lui apportera l’un de ces débris après authentification.
Tant qu’il n’y aura pas de nouvelles preuves de ce type, Roswell restera dans les énigmes de notre histoire.
Publié à 13:53 par acoeuretacris
Tags : OVNIS
D’étranges phénomènes se manifestent à travers le monde entier depuis déjà bien longtemps. Les scientifiques ont réellement commencé à s’intéresser aux cercles de culture au début des années 80.
Les "crop circles" apparaissent notamment dans la campagne anglaise. Dans des régions, principalement céréalières, des dessins géométriques apparaissent comme par magie en une nuit, voire en quelques minutes.
Les cercles de cultures sont souvent associés à l’apparition d’ovni. Les scientifiques qui se sont penchés sur ce mystère ont fait des découvertes interessantes.
Caractéristiques des cercles de culture
Officiellement, le cercle le plus ancien a été mentionné dans un article de la revue britannique Nature au 19e siècle.
Depuis 1980, rien qu’en Angleterre, on en a répertorié environ 800. Environ 9 000 cercles ont été répertoriés à travers le monde sur les trente dernières années.
Tous les dessins géométriques sont d’une parfaite précision. Certains sont si imposants qu’ils ne peuvent être observés dans leur intégralité que par voie aérienne.
Au fil du temps, les figures sont devenues de plus en plus complexes. Tout d’abord, ce n’étaient que des cercles puis peu à peu, ces cercles se sont transformés en figures d’une grande complexité.
Dans les champs concernés, les tiges ne sont ni coupées, ni arrachées. Elles sont couchées puis soigneusement tressées selon un mouvement en spirale.
Lorsqu’il s’agit de cercles concentriques, le sens de la spirale s’inverse dans chacun des cercles successifs.
Les tiges ne sont pas couchées au sol de façon aléatoire mais entrelacées entre-elles de manière complexe.
Le résultat est donc très différent de celui que l’on obtiendrait si l’on marchait dessus.
L’analyse chimique des céréales couchées à l’intérieur des cercles de culture indique que ces tiges ont été soumises à une intense chaleur pendant quelques secondes.
Dans un des cercles en Angleterre, les analyses ont révélé la présence de 10 radioéléments rares que l’on ne trouve pas habituellement dans les plantes :
Lead 208
Europium 146
Tellurium 119 m
Lodine 126
Bismuth 205
Vanadium 48
Protectinum 230
Ytterbium 169
Rhodium 102
Rhodium 102 m
Ces radioéléments n’existent pas à l’état naturel. Il faut des cyclotrons ou des réacteurs à fusion pour les synthétiser.
Depuis 1993, les analyses ont été renforcées. Des minuscules billes de fer ont été découvertes dans la majorité des cercles. Le fer est absolument pur. Il pourrait donc s’agir d’une couche météoritique.
Les billes sont toujours découvertes à l’intérieur des cercles mais jamais à l’extérieur.
Des OVNIS à proximité des cercles de culture
Au mois de juillet 1982, Ray Barnes promenait ses deux chiens dans un chemin, près du village de Westbury. Soudain, il observa l’étrange comportement du vent dans un champ de céréales. Cet « invisible agent » traça une ligne, s’arrêta, fit demi-tour et, avec un sifflement et un froissement, aplatit les céréales en dessinant un cercle de 30 à 45 m de diamètre presque parfait.
Ce témoin ne vit aucun objet étrange.
Par contre, l’Angleterre a été victime d’une véritable invasion de disques argentés. Depuis 1964, le nombre d’ovnis observés dans certaines campagnes anglaises est très important.
Mais, existe-t-il un rapport entre ces observations multiples et l’apparition des cercles de culture ?
Certains témoignages font état de rayons de lumière au-dessus des champs. De nombreux témoignages parlent de petites boules ou sphères de lumière orangée qui se déplacent au dessus des champs dans lesquels apparaissent par la suite des cercles.
Cercles et mathématiques
Le plus troublant dans ces figures est leur précision mathématique. Cela exclu le phénomène naturel.
Certains mathématiciens ont étudié les figures. Ils ont le sentiment qu’ils relèvent d’une géométrie holistique qui permettrait une autre approche des mathématiques.
Ces cercles pourraient, selon eux, représenter un prolongement de nos connaissances actuelles.
Supercheries et canulars
En 1991, d’après les recherches de George Wingfield, la CIA et le British Ministry of Defence incitèrent deux retraités, David Chorley et Douglas Bower, à déclarer qu’ils étaient les auteurs des cercles observés.
Ils firent une démonstration de leur technique devant les caméras :
Autant dire que si, à l’époque, les médias ont avalé cette histoire, elle est loin d’être convaincante.
En effet, les deux hommes n’ont pu expliquer comment des cercles sont apparus de manière simultanée dans plusieurs pays, l’Angleterre, les USA et la Russie.
De même, ils n’ont pu expliquer comment ils avaient pu réaliser des figures de près de 700 m d’envergure en si peu de temps.
Enfin, soulignons que les pictogrammes apparaissent dans tous les pays du monde y compris au Canada ou au Japon.
Par contre, il est certain que depuis 1991, la démonstration médiatisée des deux hommes a fait de nombreux émules. Et, il est certain que de nombreux plaisantins, la nuit venue, piétinent allègrement les champs de leurs voisins, une planche au pied.
Certains falsificateurs ont même été encouragés par de grandes chaînes de télévision et des magazines. Le Gardian, un magazine allemand, a organisé un concours de cercles de cultures.
Cependant, l’avantage de ces concours, auxquels étaient conviés les scientifiques étudiant la question, est qu’ils ont permis de montrer la différence entre le piétinement humain et les cercles non falsifiés.
De plus, aujourd’hui, les spécialistes savent reconnaître les faux grâce à l’analyse des végétaux.
L’altération de la structure moléculaire ne peut être obtenu par un simple piétinement des plaisantins.
Un étrange message
Un seul message utilisant un langage proche de l’alphabet humain a été découvert. Il est apparu en Angleterre. Le langage utilisé a été analysé par 12 scientifiques. Ils ont finalement retenu deux mots rédigés à partir, selon eux, d’un alphabet latin très rare, inventé par les francs-maçons.
Le message pourrait se traduire par : »nous sommes opposés à toute fraude et supercherie ».
Ce message est apparu en 1992.
Les théories scientifiques
Autant dire tout de suite que les avis sont très divergents.
Une théorie met en avant que ces dessins géométriques sont produits par un tir aérien d’origine militaire, à l’aide d’un canon laser à micro-ondes piloté par ordinateur. Plusieurs arguments viennent appuyer cette thèse :
Phénomènes d'origine électromagnétique observés sur les lieux : boussole affolée
Perturbation d'appareils électroniques
Perturbation des radiofréquences
Animaux incommodés
Cependant, si cette théorie peut éventuellement s’appliquer aux figures les plus récentes, elle n’explique pas les apparitions les plus anciennes. Sans remonter au 19e siècle, en 1945, on ne disposait pas d’une telle technologie.
On peut faire la même remarque concernant la théorie qui accuse l’armée américaine de tester certaines armes en dessinant à l’aide de satellites ces figures.
Une équipe de scientifiques américains a émis une autre théorie. Il s’agirait d’un plasma atmosphérique, d’une masse d’air constituée de particules électriques hautement chargées qui descendraient à la surface de la Terre.
Elles laisseraient à leur point d’impact les cercles de culture. Les aurores boréales sont un exemple de phénomènes dus aux plasmas.
théorie de Georges Terrence Meaden.
Ce météorologue avait supposé que les conditions atmosphériques et la topographie des lieux pouvaient donner naissance à des vortex, ou mini tourbillons.
Seulement, la topographie voulue, à savoir des collines ou des bois, n’est pas présente sur tous les lieux.
De plus, les cercles de cultures sont d’une grande complexité et de moins en moins cylindriques.
La preuve d’une vie extraterrestre intelligente ?
Si l’on part du principe que ces dessins ne sont ni d’origine naturelle, ni d’origine humaine, il ne nous reste que peu de possibilités.
Seulement, on se heurte toujours à la même question. Pourquoi venir sur Terre, se faire remarquer par de tels dessins pour finalement repartir aussitôt ?
Certains y voient des messages, d’autres une aide technologique. Dans quel but ? Le fait que de nombreux cercles soient proches des mégalithes d’Avebury et Stonehenge a bien sûr encouragé de nombreuses personnes à y voir une explication surnaturelle ou paranormale.
On ne peut nier que ces cercles existent et que leur analyse représente une énigme. Aujourd’hui, ils ne sont plus de forme circulaire et n’apparaissent plus uniquement dans les champs céréaliers.
On en trouve dans des rizières, des forêts de conifères et sur les montagnes enneigées de Turquie.
On peut difficilement accuser un plaisantin de faire de l’alpinisme pour aller dessiner en haute montagne.