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Francis Blanche

Publié à 00:59 par dessinsagogo55 Tags : jeune paris center france centerblog sur monde air sommaire

Francis Blanche, de son nom complet Francis Jean Blanche, né le 20 juillet 1921 à Paris 11e et décédé le 6 juillet 1974 à Paris15e, est un auteur, acteur et humoriste français.
Francis Blanche
Issu d'une famille d'artistes, en particulier d'acteurs de théâtre (parmi lesquels son père Louis Blanche, mais aussi son oncle le peintre Emmanuel Blanche), il est, à l'âge de quatorze ans, le plus jeune bachelier de France. Il forme, avec Pierre Dac, un duo auquel on doit de nombreux sketches dont Le Sâr Rabindranath Duval (1957), et un feuilleton radiophonique, Malheur aux barbus !, diffusé de 1951 à 1952 sur Paris Inter (deux cent treize épisodes), et publié en librairie cette même année; personnages et aventures sont repris de 1956 à 1960 sur Europe 1, sous le titre Signé Furax (soit mille trente-quatre épisodes). Ces émissions sont suivies par de nombreux auditeurs. Toujours avec Pierre Dac il crée le Parti d'en rire.

Il est également l'auteur de canulars téléphoniques qui sont régulièrement diffusés à la radio dans les années 1960.

On lui doit également des poèmes, des paroles de chansons comme Débit de l'eau, débit de lait chanté par Charles Trenet ou bien Le complexe de la truite (sur l'air de la Truite de Schubert) chantée par Les frères Jacques.

Parallèlement à sa carrière sur scène, il tourne sans discontinuer dans des films où il est souvent intervenu aussi comme scénariste et dialoguiste. Sa composition la plus populaire est celle du commandant Obersturmführer Schulz face à Brigitte Bardot dans Babette s'en va-t-en guerre (1959). Il est un des acteurs favoris de Georges Lautner (Les Tontons flingueurs).

Il meurt d'une crise cardiaque à cinquante-deux ans, peut être à cause de son traitement négligé du diabète de type 1. Il est enterré à Èze. Très affecté, Pierre Dac (quatre-vingt-un ans) le suivra quelques mois plus tard.

 

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Actu de dessinsagogo55

Francisque Poulbot

Publié à 00:58 par dessinsagogo55 Tags : dessin saint presse center vie roman cheval enfants amis mort création fille

Francisque Poulbot, né à Saint-Denis le 6 février 1879 et mort à Paris le 16 septembre 1946, est un affichiste, goguettier, dessinateur et illustrateur français.

Né dans une famille d'enseignants – ses parents sont instituteurs –, Francisque Poulbot est l'aîné de sept enfants. Doué pour le dessin, il n'ose cependant pas se présenter à l'École des beaux-arts. À partir de 1900, ses dessins commencent à être publiés dans la presse. Il s'installe à Montmartre et épouse, en février 1914, Léona Ondernard, avant de partir pour le front ; il est cependant réformé l'année suivante. Durant la Grande Guerre, il signe des affiches et des cartes postales patriotiques, ce qui lui vaudra, pendant la Seconde Guerre mondiale, sous l'occupation allemande, d'être assigné à résidence.


Francisque Poulbot
Francisque Poulbot en 1927


Très attaché à la vie montmartroise, Poulbot s'associe, en 1920-1921, à la création de la « République de Montmartre » avec ses amis Adolphe Willette, Forain et Maurice Neumont. Il est à leur côté membre de la goguette du Cornet. En 1923, pour venir en aide aux enfants nécessiteux de Montmartre, il ouvre un dispensaire rue Lepic.
Il meurt à Paris le 16 septembre 1946 et est inhumé au cimetière de Montmartre.

La nièce de Francisque Poulbot, Paulette dite « Zozo », fille de son frère Paul, et qui perdit sa mère alors qu'elle n'avait pas trois ans, fut probablement élevée par lui. Elle est souvent présentée comme sa fille adoptive. Elle épousa le dessinateur Jean Cheval, fils d'Adrien Cheval, un de ses amis (il y a par ailleurs eu des séries de cartes postales de Poulbot et de Cheval).

Le néologisme « poulbot » a été créé en référence à ses nombreuses illustrations représentant des titis parisiens : les gamins des rues. Une illustration de Gavroche, le célèbre personnage du roman Les Misérables de Victor Hugo, en est le parfait exemple.

 

Françoise Loranger : On ne peut ...

Publié à 00:56 par dessinsagogo55 Tags : center

On ne peut pas vivre et se regarder vivre ...

" Françoise Loranger "

Françoise Loranger : On ne peut ...

Françoise Sagan

Publié à 00:55 par dessinsagogo55 Tags : center aimer

Françoise Sagan


Aimer ce n'est pas seulement aimer bien, 
c'est aussi comprendre

Françoise Sagan
 

Frank Dicksee

Publié à 00:52 par dessinsagogo55 Tags : couple center

Frank Dicksee


Le couple emblématique Roméo et Juliette, tableau de Frank Dicksee (1884).

Galette des Rois

Publié à 00:39 par dessinsagogo55 Tags : base center france centerblog sur merci

La galette des Rois est un gâteau célébrant l'Épiphanie et traditionnellement vendu et consommé quelques jours avant et après cette date.

Galette des Rois
Le Gâteau des Rois, par Jean-Baptiste Greuze, 1774 (musée Fabre).

La galette des Rois, dans sa version la plus commune en France, est une galette de pâte feuilletée, simplement dorée au four, qu'on mange accompagnée de confitures ; elle peut également être fourrée avec diverses préparations : frangipane, fruits, crèmes, chocolat... Dans le Sud de la France, on appelle généralement "galette des rois" une brioche en forme de couronne (la version en pâte feuilletée étant qualifiée de "parisienne"). Mais on trouve aussi des galettes à base de pâte sablée dans l'ouest. Le gâteau des Rois est une brioche aux fruits confits.

 

 



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Galette des Rois : Origine

Publié à 00:38 par dessinsagogo55 Tags : jeune pensée mort sur center vie france place enfant pouvoir

 

Galette des Rois : Origine
Un gâteau des Rois aux fruits confits.

Lors des Saturnales (fêtes romaines sur la fin du mois de décembre et au commencement de janvier), les Romains désignaient un esclave comme « roi d'un jour ». Les Saturnales étaient en effet une fête d'inversion des rôles afin de déjouer les jours néfastes de Saturne, divinité chtonienne. Au cours du banquet (au début ou à la fin des Saturnales, selon les différentes époques de la Rome antique) au sein de chaque grande familia, les Romains utilisaient la fève d'un gâteau comme « bulletin de vote » pour élire le « Saturnalicius princeps » (Maître des Saturnales ou Roi du désordre). Cela permettait de resserrer les affections domestiques et donnait au « roi d'un jour » le pouvoir d'exaucer tous ses désirs pendant la journée (comme donner des ordres à son maître) avant d'être mis à mort, ou plus probablement de retourner à sa vie servile à l'issue de celle-ci. Pour assurer une distribution aléatoire des parts de galette, il était de coutume que le plus jeune se place sous la table et nomme le bénéficiaire de la part qui était désignée par la personne chargée du service (d'où l'usage toujours vivant de « tirer les rois »). Tacite écrit que, dans les fêtes consacrées à Saturne, il était d'usage de tirer au sort la royauté. Étienne Pasquier a décrit dans ses Recherches de la France les cérémonies qui s'observaient en cette occasion : « Le gâteau, coupé en autant de parts qu'il y a de conviés, on met un petit enfant sous la table, lequel le maitre interroge sous le nom de Phébé (Phœbus ou Apollon), comme si ce fût un qui, en l'innocence de son âge, représentât un oracle d'Apollon. À cet interrogatoire, l'enfant répond d'un mot latin domine (seigneur, maître). Sur cela, le maître l'adjure de dire à qui il distribuera la portion du gâteau qu'il tient en sa main, l'enfant le nomme ainsi qu'il lui tombe en la pensée, sans acception de la dignité des personnes, jusqu'à ce que la part soit donnée où est la fève ; celui qui l'a est réputé roi de la compagnie encore qu'il soit moindre en autorité. Et, ce fait, chacun se déborde à boire, manger et danser. »
C'est cet usage qui est passé jusqu'à nous. On en retrouve la trace non seulement dans le rituel de la galette des Rois, mais aussi dans la fête des Fous médiévale et des « rois et reines » des carnavals actuels.

Galette des Rois : Histoire

Publié à 00:37 par dessinsagogo55 Tags : center livres paris jeune enfant centerblog sur merci vie moi france femme histoire dieu femmes

 

La Fête des Rois, de Jacob Jordaens, v. 1640-45 (Kunsthistorisches Museum, Vienne).

Jadis, l'usage voulait que l'on partage la galette en autant de parts que de convives, plus une. Cette dernière, appelée « part du Bon Dieu », « part de la Vierge » ou « part du pauvre » était destinée au premier pauvre qui se présenterait au logis. Au Moyen Âge, les grands nommaient quelquefois le roi du festin, dont on s'amusait pendant le repas. L'auteur de la vie du duc Louis II de Bourbon, voulant montrer quelle était la piété de ce prince, remarque que, le jour des Rois, il faisait roi un enfant de huit ans, le plus pauvre que l'on trouvât en toute la ville. Il le revêtait d'habits royaux, et lui donnait ses propres officiers pour le servir. Le lendemain, l'enfant mangeait encore à la table du duc, puis venait son maitre d'hôtel qui faisait la quête pour le pauvre roi. Le duc de Bourbon lui donnait communément quarante livres et tous les chevaliers de la cour chacun un franc, et les écuyers chacun un demi-franc. La somme montait à près de cent francs que l'on donnait au père et à la mère pour que leur enfant fût élevé à l'école. Le royaume de France se partageait alors en langue d'oc où l'on fabriquait toujours un gâteau des rois (la recette de la pâte variant suivant les régions : flamusse de Bresse, patissous du Périgord, coque des rois ariégeoise, Royaume des cévennes, garfou du Béarn, goumeau de Franche Comté, etc.) et langue d'oïl où l'on préparait dès le XVe siècle un dessert de pâte sablée fourré de crème d'amandes qui devient plus tard une pâte levée à la levure de bière nommée gorenflot.
On tirait le gâteau des Rois même à la table de Louis XIV. Dans ses Mémoires, Françoise de Motteville écrit, à l'année 1648, que : « Ce soir, la reine nous fit l'honneur de nous faire apporter un gâteau à Mme de Brégy, à ma sœur et à moi ; nous le séparâmes avec elle. Nous bûmes à sa santé avec de l'hippocras qu'elle nous fit apporter. » Un autre passage des mêmes Mémoires atteste que, suivant un usage qui s'observe encore dans quelques provinces, on réservait pour la Vierge une part qu'on distribuait ensuite aux pauvres. « Pour divertir le roi, écrit Françoise de Motteville à l'année 1649, la reine voulut séparer un gâteau et nous fit l'honneur de nous y faire prendre part avec le roi et elle. Nous la fîmes la reine de la fève, parce que la fève s'était trouvée dans la part de la Vierge. Elle commanda qu'on nous apportât une bouteille d'hippocras, dont nous bûmes devant elle, et nous la forçâmes d'en boire un peu. Nous voulûmes satisfaire aux extravagantes folies de ce jour, et nous criâmes : La reine boit ! » Avant Louis XIV, les grandes dames qui tiraient la fève devenaient reines de France d'un jour et pouvaient demander au roi un vœu dit « grâces et gentillesses » mais « le Roi Soleil » abolit cette coutume.
Louis XIV conserva toujours l'usage du gâteau des Rois, même à une époque où sa cour était soumise à une rigoureuse étiquette. Le Mercure galant de janvier 1684 décrit la salle comme ayant cinq tables : une pour les princes et seigneurs, et quatre pour les dames. La première table était tenue par le roi, la seconde par le dauphin. On tira la fève à toutes les cinq. Le grand écuyer fut roi à la table des hommes; aux quatre tables des femmes, la reine fut une femme. Alors le roi et la reine se choisirent des ministres, chacun dans leur petit royaume, et nommèrent des ambassadrices ou ambassadeurs pour aller féliciter les puissances voisines et leur proposer des alliances et des traités. Louis XIV accompagna l'ambassadrice députée par la reine. Il porta la parole pour elle, et, après un compliment gracieux au grand écuyer, il lui demanda sa protection que celui-ci lui promit, en ajoutant que, s'il n'avait point une fortune faite, il méritait qu'on la lui fit. La députation se rendit ensuite aux autres tables, et successivement les députés de celles-ci vinrent de même à celle de Sa Majesté. Quelques-uns même d'entre eux, hommes et femmes, mirent dans leurs discours et dans leurs propositions d'alliance tant de finesse et d'esprit, des allusions si heureuses, des plaisanteries si adroites, que ce fut pour l'assemblée un véritable divertissement. En un mot, le roi s'en amusa tellement, qu'il voulut le recommencer encore la semaine suivante. Cette fois-ci, ce fut à lui qu'échut la fève du gâteau de sa table, et par lui en conséquence que commencèrent les compliments de félicitation. Une princesse, une de ses filles naturelles, connue dans l'histoire de ce temps-là par quelques étourderies, ayant envoyé lui demander sa protection pour tous les évènements fâcheux qui pourraient lui arriver pendant sa vie. « Je la lui promets, répondit-il, pourvu qu'elle ne se les attire pas. » Cette réponse fit dire à un courtisan que ce roi-là ne parlait pas en roi de la fève. À la table des hommes, on fit un personnage de carnaval qu'on promena par la salle en chantant une chanson burlesque. La galette proprement dite (pâte feuilletée plus crème frangipane) apparut au XVIIe siècle, Anne d'Autriche et son jeune fils Louis XIV en partagèrent une la veille de l'épiphanie de 1650.


Une galette des Rois entamée.

En 1711, le Parlement délibéra, à cause de la famine, de le proscrire afin que la farine, trop rare, soit uniquement employée à faire du pain. Au commencement du xviiie siècle, les boulangers envoyaient ordinairement un gâteau des Rois à leurs pratiques. Les pâtissiers réclamèrent contre cet usage et intentèrent même un procès aux boulangers comme usurpant leurs droits. Sur leur requête, le parlement rendit, en 1713 et 1717, des arrêts qui interdisaient aux boulangers de faire et de donner, à l'avenir, aucune espèce de pâtisserie, d'employer du beurre et des œufs dans leur pâte, et même de dorer leur pain avec des œufs. La défense n'eut d'effet que pour Paris et l'usage prohibé continua d'exister dans la plupart des provinces. Quand vint la Révolution, le nom même de « gâteau des Rois » fut un danger et Manuel, du haut de la tribune de la Convention, tenta sans succès d'obtenir l'interdiction du gâteau des Rois (son nom fut même un temps remplacé par la galette de l'égalité), mais la galette triompha du tribun. Peu après, un arrêté de la Commune ayant changé le jour des Rois en « jour des sans-culottes », le gâteau n'eut plus sa raison d'être, mais cette disparition ne fut que momentanée car il reparut bientôt sur toutes les tables familiales dès que la conjoncture le permit.

Plus de 80 % des galettes des rois vendues à Paris sont des produits industriels que les commerçants (boulanger/pâtissier) se contentent de réchauffer
 
 

 



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Gant de bergère

Publié à 00:35 par dessinsagogo55 Tags : fleurs

Digitale à grandes fleurs

Gant de bergère

(Digitalis grandiflora)

(Scrofulariacées)

Synonyme(s) français(s) : Gant de bergère, Gant de Notre-Dame, Grande digitale

Synonyme(s) latin(s) : Digitalis ambigua

Gant de bergère

Famille des scrophulariaceae

Plante pérenne à racine pivot portant une rosette de feuikkes lancéolées.

La tige dressée porte également des feuilles alternes et sessiles, de même forme que celles de la rosette.

Les feuilles supérieures axillent de grandes fleurs campanulées, ocre jaune.

Le fruit est une capsule

L'espèce croît en Europe, dans les bois, les clairières et sur les supports cailouteux en basse montagne et montagne.

Elle se cultive facilement dans les jardins et se naturalise fréquemment.

On récolte à la main les feuilles (Folium digialis grandiflorae).

Elles servent de matière première pour l'obtention de cardénolides qui sont d'importants remèdes cardiaques, aux doses médicinales, les cardénolides sont régulateurs de l'activité cardiaque.

Tous ces remèdes ne peuvent être prescrits que par un médecin.

époque de floraison juin à juillet, récolte des feuilles juin à septembre.

Plante toxique.


Georges Brassens

Publié à 00:34 par dessinsagogo55 Tags : centerblog center georges brassens musique merci cheval sur
Georges Brassens

 

 
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