Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
13.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Évelyne ou Éveline (avec ou sans accent aigu sur le « E » initial) est un prénom féminin dérivé hypocoristique (diminutifs affectueux) de Ève, lui-même issu de l’hébreu hawwâh (« vivante »). Sa fête est le 6 septembre.
Prénom
Néerlandais : Evelien
Œuvre
Évelyne est un titre d'œuvre notamment porté par :
Eveline, une nouvelle (short story) de l'écrivain irlandais James Joyce.
Personnalité
Evelyne Kestemberg, (1918-1989) psychanalyste française ;
Évelyne Pinard (1923-) athlète de javelot française ;
Évelyne Golhen (1933-) Basketteuse française ;
Évelyne Pagès, (1942-2011), journaliste et animatrice de radio et télévision ;
Évelyne Séléna
Évelyne Bouix (1953-) comédienne française ;
Eveline Widmer-Schlumpf, (1958-) politicienne suisse ;
Évelyne Huytebroeck (1958-) politicienne belge ;
Évelyne Thomas (1964-) animatrice télé ;
Evelyne Leu (1976-) athlète en saut acrobatique
Éveline Gélinas, chanteuse québécoise ;
Évelyne Desutter
Évelyne Terras
Évelyne Istria
Éveline Lot-Falck, ethnologue française ;
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Éric est un prénom masculin qui provient de deux mots allemands : rîch, qui signifie riche (reich en allemand moderne), et Ehre, qui signifie honneur, donc riche en honneur.
Français : variantes masculines : Érich, Érick, Érico, Érik, Rick et Ricky, et formes féminines Érica, Ericka, Éricka, Érika et Erika.
Allemand : Erich
Breton : Erig (forme bretonne ou celtique).
Anglais : Eric
Espéranto : Eriko
poitevin : Eri
Polonais : Eryk
Portugais : Eurico
Italien : Erico
Suédois : Erik
Norvégien : Erik, Eirik
Finnois: Erkki
la plupart des autres langues : Erik
Saint
Éric IX de Suède, fêté le 18 mai.
Prénom
Éric
Éric Bouad, des Musclés.
Éric Besson, homme politique français.
Éric Cantona, footballeur.
Éric Gerets, entraineur de football.
Éric Judor, du duo comique Éric et Ramzy.
Éric Laurent, psychanalyste français.
Éric Rohmer, cinéaste.
Éric-Emmanuel Schmitt, écrivain.
Éric Serra, compositeur de musique.
Éric Tabarly, navigateur français.
Éric Woerth, homme politique français.
Éric Zemmour, journaliste politique.
Eric
Eric Abidal, footballeur.
Eric Adjetey Anang, plasticien ghanéen.
Eric Campbell, acteur américain.
Eric Cartman, personnage de South Park.
Eric Clapton, chanteur et compositeur.
Eric Delmare, peintre, sculpteur et écrivain.
Eric Naulleau, éditeur.
Eric Saade, chanteur suédois.
Eric Schmidt, président exécutif et ex-PDG de Google.
Eric Voegelin, philosophe américain du XXe siècle.
Érik
Érik Emptaz, journaliste.
Erik
Erik Orsenna, écrivain.
Erik le Rouge, viking colonisateur du Groenland.
Erik Satie, musicien.
Erich
Erich von Stroheim, acteur, scénariste réalisateur et écrivain américain.
Pseudonyme
Erik (1912-1974), auteur français de bande dessinée.
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Ce qui suit dévoile des moments clés de l'intrigue.
1916, durant la Première Guerre Mondiale, deux pilotes d'avion, le Français Jo Cavalier et l'Allemand Gunther von Beckman s'affrontent. Après s'être posés en catastrophe, les deux hommes se battent, mais se sauvent mutuellement la vie. Vingt ans plus tard, Jo est devenu l'entraîneur de l'équipe française de boxe pour les Jeux olympiques de Berlin en 1936, dans une Allemagne vivant sous le régime nazi d'Adolf Hitler.
Dans un restaurant, après un combat, l'équipe se retrouve dans un restaurant où débute un débat sur la question « Faut-il y'aller ou non? », Jo répond qu'il y va un peu à contre-cœur. Cependant, Gabrielle Belcourt, une journaliste que Jo a malencontreusement bousculée et qu'il a provoqué, le piège en écrivant un article sur cette déclaration paru le lendemain. Cette dernière doit également partir pour Berlin où elle doit interviewer le Führer. Jo et la journaliste se retrouvent dans le train pour la capitale, sans qu'il sache que c'est cette dernière qui a écrit l'article alors qu'il tente de lui faire une cour assidue.
Dans le train, Cavalier rencontre un enfant juif de dix ans, Simon Rosenblum, qui lui demande un autographe. Alors qu'il se fait mener par le bout du nez par Gabrielle, il décide de ramener le gamin chez ses grands-parents, qui devait initialement venir le retrouver à la descente du train, qui dirigent une librairie. Mais des membres de la Gestapo s'y trouvent. Il décide de les affronter au cours d'une bagarre et parvient à les échapper en se faisant passer pour le porteur de flambeau. De retour à l'hôtel, il retrouve Simon, revenu avec toute sa famille, poursuivis par les autorités nazies. Il décide de le prendre sous sa protection et les fait dormir dans les chambres d'hôtels de la délégation française. Alors qu'il se rend dans la chambre de Gabrielle, il apprend que c'est elle la journaliste répondant aux initiales G.B. (l'article était signé de ces initiales).
Le lendemain, son ami von Beckmann, bien qu'officier, est farouchement anti-nazi, lui passe sa voiture pour éloigner les Rosenblum de Berlin. Mais toute la famille est arrêtée dans un restaurant, sauf Simon, obligeant Cavalier à venir le rechercher. Mais après avoir semé les Allemands à leurs trousses, les routes étant barrées, ils se font arrêter.
Ils retrouvent au commissariat les autres membres des Rosenblum, quant à Jo, bien que Von Beckmann s'est porté garant, s'échappe, emmenant la famille avec lui. Gunther emmène son ami et les Rosenblum, recherchés par les autorités nazies, près de la frontière autrichienne, mais suite à un quiproquo, ils prennent la route pour Berchtesgaden, exactement au « nid d'aigle » d'Hitler, où se trouve l'officier et la journaliste.
S'étant rendu compte qu'ils se trouvent dans la résidence du dictateur, Jo use de stratagèmes pour fuir, comme se déguiser en officier nazi et faire partir son ami avec la sœur d'Hitler, Angela (qui déteste Eva Braun et menaçant son frère de partir), avec un faux mot doux, afin qu'il prenne la voiture du Führer pour partir avec les Rosenblum et Gabrielle.
Parvenant à fuir le « nid d'aigle », ils se retrouvent néanmoins poursuivis par Hitler, qui retrouve le grand-père Rosenblum, qui fut auparavant son chef durant la Première Guerre, accompagné de soldats. Cependant, il faut compter sur le côté aventurier de Cavalier, qui parvient à détruire la Jeep d'Hitler, qui tombe dans une mare, dans le décor, ridiculisant ainsi ce dernier, et a rejoindre l'Autriche, ayant sauvé toute une famille de la persécution.
Fin des révélations.
Fiche technique
Titre : L'As des as
Réalisation : Gérard Oury
Scénario : Gérard Oury et Danièle Thompson
Musique : Vladimir Cosma
Directeur de la photographie : Xaver Schwarzenberger
Montage : Albert Jurgenson
Distribution des rôles : Sabine Schroth
Création des décors : Rolf Zehetbauer
Décorateur de plateau : Marc Frédérix et Herbert Strabel
Création des costumes : Jacques Fonteray
Son : Alain Sempé
Producteurs : Alain Poiré et Horst Wendlant
Producteur exécutif : Thomas Schühly
Directeurs de production : Alain Belmondo, Rolf M. Degener et Marc Goldstaub
Sociétés de production : Cerito Films, Gaumont International • Rialto Film
Société de distribution : Gaumont et Éditions René Chateau (cinéma), StudioCanal (vidéo) • Tobis Filmkunst
Cascades réglées par : Rémy Julienne, Claude Carliez, Jean Salis, Jacques Dubourg - Exécutèes par : Jean
Paul Belmondo
Effets spéciaux : Jacques Martin
Bruitages : Daniel Couteau
Générique : Eurocitel
Pays d'origine : France, RFA
Format : Tourné en 1.66:1, 35mm et en Couleurs (Eastmancolor) - Son Mono
Genre : Aventure, comédie
Durée : 96 minutes
Dates de sortie en salles : France : 27 octobre 1982 RFA : 14 janvier 1983
Sa première semaine au box-office à Paris fut un record à l'époque avec 463 028 entrées, battant l'ancien record récemment établi par Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ, trois semaines plus tôt.
Distribution
Jean Paul Belmondo : Jo Cavalier
Marie-France Pisier : Gaby Belcourt
Rachid Ferrache : Simon Rosenblum
Frank Hoffmann : Gunther von Beckman
Günter Meisner : Adolf Hitler/Angela Hitler
Benno Sterzenbach : Le commissaire
Florent Pagny : Un boxeur
Yves Pignot : Lucien
Jean-Roger Milo
Accueil public et critique
L'As des as est un très gros succès public, atteignant les cinq millions et demi de spectateurs en France, ce qui constituera un record pour Jean-Paul Belmondo. En revanche, l'accueil critique est moins enthousiaste, Belmondo n'ayant pas souhaité montrer le film aux journalistes avant sa sortie en salles. Le film suscite une forme de polémique du fait de sa sortie quasi-simultanée avec Une chambre en ville, de Jacques Demy, qui s'avère un échec commercial tandis que le film de Gérard Oury remporte un grand succès. Dans Télérama du 10 novembre 1982, vingt-trois critiques de cinéma publient un texte comparant les résultats des deux films et déplorant que le « public potentiel » du film de Demy soit détourné par « l'écrasement informatif et publicitaire des films préconçus pour le succès ». La polémique ne touche pas le grand public, mais suscite l'agacement de Jean-Paul Belmondo, qui répond par un texte intitulé Lettre ouverte aux coupeurs de têtes : « Gérard Oury doit rougir de honte d'avoir « préconçu son film pour le succès ». Jacques Demy a-t-il préconçu le sien pour l'échec ? Lorsqu'en 1974 j'ai produit Stavisky d'Alain Resnais et que le film n'a fait que 375 000 entrées, je n'ai pas pleurniché en accusant James Bond de m'avoir volé mes spectateurs. (..) Oublions donc cette agitation stérile et gardons seulement en mémoire cette phrase de Bernanos : « Attention, les ratés ne vous rateront pas ! » ». Jacques Demy est le premier surpris de cette polémique, et ne met pas l'échec de son propre film sur le compte du succès de celui de Gérard Oury.
Autour du film
• L'As des As est le deuxième plus gros succès de Jean-Paul Belmondo au cinéma français avec 5 452 000 entrées, juste derrière Le Cerveau avec 5 547 000 entrées. De plus, ces deux films sont réalisés par le même réalisateur. En effet, c'est la deuxième fois que Gérard Oury fait tourner Jean-Paul Belmondo, treize ans après Le Cerveau.
• Le scénario co-signé par Danièle Thompson s'inspire du véritable Georges Carpentier.
• C'est la deuxième fois que Gérard Oury fait tourner Benno Sterzenbach, seize ans après La grande vadrouille.
• Pour illustrer le fait que l'histoire se déroule au moment des Jeux olympiques d'été de 1936 à Berlin, un bref résumé du film documentaire Les Dieux du stade de Leni Riefenstahl est inséré dans le film.
• Il s'agit du premier film diffusé par Canal+, en 1984.
• C'est lors d'une scène où Belmondo dit merci à un Allemand que, sans le faire exprès, il donna une manchette à Rachid Ferrache. Cette scène n'a pas été coupée au montage.
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