Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
06.10.2024
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jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
i love songs from this artist
Par Anonyme, le 31.05.2024
Un amant trop généreux ouvre la voie à une trop grande liberté ...
" Marie-Claire Blais "
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Francis Blanche, de son nom complet Francis Jean Blanche, né le 20 juillet 1921 à Paris 11e et décédé le 6 juillet 1974 à Paris15e, est un auteur, acteur et humoriste français.
Issu d'une famille d'artistes, en particulier d'acteurs de théâtre (parmi lesquels son père Louis Blanche, mais aussi son oncle le peintre Emmanuel Blanche), il est, à l'âge de quatorze ans, le plus jeune bachelier de France. Il forme, avec Pierre Dac, un duo auquel on doit de nombreux sketches dont Le Sâr Rabindranath Duval (1957), et un feuilleton radiophonique, Malheur aux barbus !, diffusé de 1951 à 1952 sur Paris Inter (deux cent treize épisodes), et publié en librairie cette même année; personnages et aventures sont repris de 1956 à 1960 sur Europe 1, sous le titre Signé Furax (soit mille trente-quatre épisodes). Ces émissions sont suivies par de nombreux auditeurs. Toujours avec Pierre Dac il crée le Parti d'en rire.
Il est également l'auteur de canulars téléphoniques qui sont régulièrement diffusés à la radio dans les années 1960.
On lui doit également des poèmes, des paroles de chansons comme Débit de l'eau, débit de lait chanté par Charles Trenet ou bien Le complexe de la truite (sur l'air de la Truite de Schubert) chantée par Les frères Jacques.
Parallèlement à sa carrière sur scène, il tourne sans discontinuer dans des films où il est souvent intervenu aussi comme scénariste et dialoguiste. Sa composition la plus populaire est celle du commandant Obersturmführer Schulz face à Brigitte Bardot dans Babette s'en va-t-en guerre (1959). Il est un des acteurs favoris de Georges Lautner (Les Tontons flingueurs).
Il meurt d'une crise cardiaque à cinquante-deux ans, peut être à cause de son traitement négligé du diabète de type 1. Il est enterré à Èze. Très affecté, Pierre Dac (quatre-vingt-un ans) le suivra quelques mois plus tard.
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Actu de dessinsagogo55 |
Francisque Poulbot, né à Saint-Denis le 6 février 1879 et mort à Paris le 16 septembre 1946, est un affichiste, goguettier, dessinateur et illustrateur français.
Né dans une famille d'enseignants – ses parents sont instituteurs –, Francisque Poulbot est l'aîné de sept enfants. Doué pour le dessin, il n'ose cependant pas se présenter à l'École des beaux-arts. À partir de 1900, ses dessins commencent à être publiés dans la presse. Il s'installe à Montmartre et épouse, en février 1914, Léona Ondernard, avant de partir pour le front ; il est cependant réformé l'année suivante. Durant la Grande Guerre, il signe des affiches et des cartes postales patriotiques, ce qui lui vaudra, pendant la Seconde Guerre mondiale, sous l'occupation allemande, d'être assigné à résidence.
Francisque Poulbot en 1927
Très attaché à la vie montmartroise, Poulbot s'associe, en 1920-1921, à la création de la « République de Montmartre » avec ses amis Adolphe Willette, Forain et Maurice Neumont. Il est à leur côté membre de la goguette du Cornet. En 1923, pour venir en aide aux enfants nécessiteux de Montmartre, il ouvre un dispensaire rue Lepic.
Il meurt à Paris le 16 septembre 1946 et est inhumé au cimetière de Montmartre.
La nièce de Francisque Poulbot, Paulette dite « Zozo », fille de son frère Paul, et qui perdit sa mère alors qu'elle n'avait pas trois ans, fut probablement élevée par lui. Elle est souvent présentée comme sa fille adoptive. Elle épousa le dessinateur Jean Cheval, fils d'Adrien Cheval, un de ses amis (il y a par ailleurs eu des séries de cartes postales de Poulbot et de Cheval).
Le néologisme « poulbot » a été créé en référence à ses nombreuses illustrations représentant des titis parisiens : les gamins des rues. Une illustration de Gavroche, le célèbre personnage du roman Les Misérables de Victor Hugo, en est le parfait exemple.
On ne peut pas vivre et se regarder vivre ...
" Françoise Loranger "
La galette des Rois est un gâteau célébrant l'Épiphanie et traditionnellement vendu et consommé quelques jours avant et après cette date.
Le Gâteau des Rois, par Jean-Baptiste Greuze, 1774 (musée Fabre).
La galette des Rois, dans sa version la plus commune en France, est une galette de pâte feuilletée, simplement dorée au four, qu'on mange accompagnée de confitures ; elle peut également être fourrée avec diverses préparations : frangipane, fruits, crèmes, chocolat... Dans le Sud de la France, on appelle généralement "galette des rois" une brioche en forme de couronne (la version en pâte feuilletée étant qualifiée de "parisienne"). Mais on trouve aussi des galettes à base de pâte sablée dans l'ouest. Le gâteau des Rois est une brioche aux fruits confits.
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Un gâteau des Rois aux fruits confits.
Lors des Saturnales (fêtes romaines sur la fin du mois de décembre et au commencement de janvier), les Romains désignaient un esclave comme « roi d'un jour ». Les Saturnales étaient en effet une fête d'inversion des rôles afin de déjouer les jours néfastes de Saturne, divinité chtonienne. Au cours du banquet (au début ou à la fin des Saturnales, selon les différentes époques de la Rome antique) au sein de chaque grande familia, les Romains utilisaient la fève d'un gâteau comme « bulletin de vote » pour élire le « Saturnalicius princeps » (Maître des Saturnales ou Roi du désordre). Cela permettait de resserrer les affections domestiques et donnait au « roi d'un jour » le pouvoir d'exaucer tous ses désirs pendant la journée (comme donner des ordres à son maître) avant d'être mis à mort, ou plus probablement de retourner à sa vie servile à l'issue de celle-ci. Pour assurer une distribution aléatoire des parts de galette, il était de coutume que le plus jeune se place sous la table et nomme le bénéficiaire de la part qui était désignée par la personne chargée du service (d'où l'usage toujours vivant de « tirer les rois »). Tacite écrit que, dans les fêtes consacrées à Saturne, il était d'usage de tirer au sort la royauté. Étienne Pasquier a décrit dans ses Recherches de la France les cérémonies qui s'observaient en cette occasion : « Le gâteau, coupé en autant de parts qu'il y a de conviés, on met un petit enfant sous la table, lequel le maitre interroge sous le nom de Phébé (Phœbus ou Apollon), comme si ce fût un qui, en l'innocence de son âge, représentât un oracle d'Apollon. À cet interrogatoire, l'enfant répond d'un mot latin domine (seigneur, maître). Sur cela, le maître l'adjure de dire à qui il distribuera la portion du gâteau qu'il tient en sa main, l'enfant le nomme ainsi qu'il lui tombe en la pensée, sans acception de la dignité des personnes, jusqu'à ce que la part soit donnée où est la fève ; celui qui l'a est réputé roi de la compagnie encore qu'il soit moindre en autorité. Et, ce fait, chacun se déborde à boire, manger et danser. »
C'est cet usage qui est passé jusqu'à nous. On en retrouve la trace non seulement dans le rituel de la galette des Rois, mais aussi dans la fête des Fous médiévale et des « rois et reines » des carnavals actuels.