Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
09.01.2025
18460 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1119)
· A à Z : Sommaire (344)
· Mannequin de charme (914)
· Musique (392)
· Monde : France (2928)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (245)
· Cinéma : Films à classer (153)
· Calendrier : Naissances (246)
· Monde : Etats Unis (1085)
air amour annonce art article background base belle blogs bonne center centerblog
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Vivian Mary Hartley, dite Vivien Leigh, née le 5 novembre 1913 à Darjeeling (Inde) et morte le 8 juillet 1967 à Londres, est une actrice britannique.
Au cours de ses trente années sur scène, elle interprète une myriade de rôles allant des héroïnes des comédies de Noël Coward ou de George Bernard Shaw aux personnages du répertoire shakespearien telles
que Ophélie, Cléopâtre, Juliette ou Lady Macbeth. Actrice prolifique au théâtre, elle joue fréquemment avec son mari, Laurence Olivier, qui la dirige dans plusieurs rôles.
Louée pour sa beauté, elle considère que celle-ci l'empêche parfois d'être prise au sérieux comme actrice, mais sa santé fragile est son principal obstacle. Affectée de trouble bipolaire durant la majorité de sa vie adulte, elle acquiert une réputation d'actrice difficile, dont la carrière connaît des hauts et des bas. Elle est ensuite affaiblie par une tuberculose chronique, qui lui est diagnostiquée pour la première fois au milieu des années 1940. Après son divorce de Laurence Olivier en 1960, elle travaille sporadiquement sur scène et au cinéma jusqu'à sa mort, due à la tuberculose, en 1967.
Vivien Leigh remporte deux Oscars pour deux rôles de femmes du Sud des États-Unis : Scarlett O'Hara dans Autant en emporte le vent (1939) et Blanche DuBois dans l'adaptation cinématographique de Un tramway nommé Désir (1951), un rôle qu'elle joue aussi sur scène à Londres.
Vivian Mary Hartley naît à Darjeeling de Ernest Hartley, un officier britannique de la cavalerie indienne, et de Gertrude Robinson Yackje. Le père de Gertrude est né en Écosse en 1892, tandis que sa mère est d’origine irlandaise et arménienne ou indienne, née à Darjeeling en 1888 et catholique pratiquante. Son ascendance est incertaine, mais on suppose que ses parents sont Michael John Yackjee (né en 1840), un homme anglo-indien, et Mary Teresa Robinson, née en 1856, née d’une famille irlandaise mais dont les parents sont tués pendant la révolte des cipayes. Elle grandit dans un orphelinat, où elle rencontre Yackjee, qu’elle épouse en 1872. Ensemble, ils ont 5 enfants, dont Gertrude est la benjamine. Ernest Hartley et Gertrude Robinson Yackje se marient à Kensington, Londres en 1912.
En 1917, Ernest Hartley est muté à Bangalore dans le cadre de son travail comme officier de cavalerie de l’armée indienne britannique, tandis que Gertrude et Vivian habitent Ooty.
Vivian Leigh fait sa première apparition sur scène à l'âge de trois ans, en récitant Little Bo Peep pour le groupe de théâtre amateur de sa mère. Celle-ci lui inculque le goût de la littérature et lui fait découvrir les œuvres de Hans Christian Andersen, Lewis Carroll et Rudyard Kipling, mais aussi les récits de la mythologie grecque et de la culture indienne. Fille unique, elle est envoyée au couvent du Sacré-Cœur à Roehampton en 1920, à l'âge de six ans et demi. Sa plus proche amie y sera la future actrice Maureen O'Sullivan, de deux ans plus âgée qu’elle, à qui elle exprime déjà son désir de devenir une « grande actrice ».
Son père finit par la récupérer et elle voyage auprès de ses parents pendant quatre ans en Europe, étudiant notamment à Dinard, Biarritz, Sanremo et Paris, où elle maîtrise le français et l’italien. La famille retourne au Royaume-Uni en 1931. Elle va voir Le Fils de l'oncle Sam chez nos aïeux au cinéma à West End et annonce à ses parents qu’elle veut devenir actrice. Son père l’inscrit rapidement à la Royal Academy of Dramatic Art.
La même année, elle rencontre Herbert Leigh Holman, connu sous le nom de Leigh Holman, un avocat de 13 ans son aîné. Bien qu’il critique les « gens du théâtre », ils se marient le 20 décembre 1932. Elle abandonne ses études de théâtre. Le 12 octobre 1933, Leigh donne naissance à une fille, Suzanne. Après le divorce, c’est Holman qui a la garde de leur fille
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Vivien Leigh | |||||||||||||||||||||||||||
Vivien Leigh : Théâtre et filmographie | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Théâtre
1935 : The Green Sash () de Debonnaire Sylvester et T.P. Wood
1935 : The Mask of Virtue de Carl Sternheim
1936 : Richard II de William Shakespeare
1936 : The Happy Hypocrite de Clemence Dane
1936 : Henry VIII de William Shakespeare
1937 : Because We Must de Ingaret Giffard
1937 : Bats in the Belfry de Diana Morgan et Robert MacDermot
1937 : Hamlet de William Shakespeare
1937 : Le Songe d'une nuit d'été de William Shakespeare
1938 : Serena Blandich de S. N. Behrman
1940 : Roméo et Juliette de William Shakespeare
1942 : Doctor's Dilemma de George Bernard Shaw
1942 : L'École de la médisance de Richard Brinsley Sheridan
1943 : Spring party
1945 : The Skin of Our Teeth de Thornton Wilder
1948 : tournée (Australie/Nouvelle-Zélande)
Richard III de William Shakespeare
L'École de la médisance de Richard Brinsley Sheridan
The Skin of Our Teeth de Thornton Wilder
1948 : Antigone de Sophocle
1948 : Antigone de Jean Anouilh
1949 : Un tramway nommé Désir de Tennessee Williams
1951 : César et Cléopâtre de George Bernard Shaw
1951 : Antoine et Cléopâtre de William Shakespeare
1953 : The Sleeping prince de Terence Rattigan
1955 : La Nuit des rois de William Shakespeare
1955 : Macbeth de William Shakespeare
1955 : Titus Andronicus de William Shakespeare
1956 : South Sea Bubble de Noël Coward
1958 : Duel of Angels (Pour Lucrèce) de Jean Giraudoux
1959 : Look After Lulu! (Occupe-toi d'Amélie) de Georges Feydeau
1960 : tournée (Australie/Nouvelle-Zélande/Amérique du Sud)
La Nuit des rois de William Shakespeare
Duel of Angels (Pour Lucrèce) de Jean Giraudoux
Lady of the Camellias (La Dame aux camélias) d'Alexandre Dumas fils
1963 : Tovaritch de Jacques Deval
1965 : La Contessa de Paul Osborn
1966 : Ivanov d'Anton Tchekhov
Filmographie
1935 : The Village Squire de Reginald Denham : Rose Venables
1935 : Things Are Looking Up d'Albert de Courville : une étudiante
1935 : Look Up and Laugh de Basil Dean : Marjorie Belfer
1935 : Gentlemen's Agreement de George Pearson : Phil Stanley
1937 : L'Invincible Armada (Fire Over England) de William K. Howard : Cynthia
1937 : Le Mystère de la Section 8 (Dark Journey) de Victor Saville : Madeleine Goddard
1937 : Tempête dans une tasse de thé (Storm in a Teacup) de Ian Dalrymple et Victor Saville : Victoria Gow dite « Vickie »
1938 : Vive les étudiants (A Yank at Oxford) de Jack Conway : Mme Elsa Craddock
1939 : Vedettes du pavé (Sidewalks of London) de Tim Whelan : Liberty Libby
1939 : Autant en emporte le vent (Gone with the Wind) de Victor Fleming : Scarlett O'Hara
1940 : Vingt et un jours ensemble (21 Days) de Basil Dean : Wanda
1940 : La Valse dans l'ombre (Waterloo Bridge) de Mervyn LeRoy : Myra Lester
1941 : Lady Hamilton (That Hamilton Woman) de Alexander Korda : Lady Hamilton
1945 : César et Cléopâtre (Caesar and Cleopatra) de Gabriel Pascal : Cléopâtre
1948 : Anna Karénine (Anna Karenina) de Julien Duvivier : Anna Karénine
1951 : Un tramway nommé Désir (A Streetcar Named Desire) de Elia Kazan : Blanche DuBois
1955 : L'Autre Homme (The Deep Blue Sea) de Anatole Litvak : Hester Collyer
1961 : Le Visage du plaisir (The Roman Spring of Mrs. Stone) de José Quintero : Karen Stone
1965 : La Nef des fous (Ship of Fools) de Stanley Kramer : Mary Treadwell
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Vivien Leigh | |||||||||||||||||||||||||||
Vivien Leigh : Théâtre et filmographie | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Le Dornier Do X était un hydravion civil allemand construit par les usines Dornier après la Première Guerre mondiale. À son époque, il était le plus grand avion au monde, surpassant largement ses concurrents dans ce domaine.
Historique
Les premiers croquis de cet appareil furent tracés par Claude Dornier en septembre 1924 mais ce n’est qu’en décembre 1926 que le projet parvint à maturité.
Sa construction a nécessité 240 000 heures de travail et duré 570 jours. Il fut fait pour la première fois dans l'histoire de l'aéronautique une maquette grandeur 1:1.
Le premier vol eut lieu le 25 juillet 1929 près de la ville suisse d'Altenrhein sur le lac de Constance pour contourner l'interdiction faite à l'Allemagne par le traité de Versailles de construire des avions. Alors que seuls des essais de prise de vitesse étaient prévus pour tester la manœuvrabilité, l’hydravion prit l’air pendant quelques mètres après que le chef pilote d’essai Richard Wagner, plus par curiosité que par audace, eut tiré un peu trop fort sur le manche à balai, les moteurs à plein régime.
Les spécialistes restaient cependant dubitatifs. Claude Dornier décida alors de procéder à un vol de démonstration spectaculaire. Le 21 octobre 1929, le Do X avec à bord 10 membres d’équipage et 159 passagers (des employés de l’usine et leurs familles) effectua un vol de 53 min au-dessus du lac de Constance alors que l’appareil n’était pas encore certifié pour le transport de passagers. Ce chiffre représentait un record qui ne fut battu que 20 ans plus tard par le Lockheed Constitution (168 passagers et 11 membres d’équipage).
Ce n’est qu’en octobre 1930 que l’avion reçut son certificat de recette des mains des services officiels (le Deutsche Versuchsanstalt für Luftfahrt (de)) et fut immatriculé D-1929.
Le choix des moteurs restait un problème majeur. Le moteur de production allemande le plus puissant disponible à cette époque était le Siemens Jupiter, une fabrication sous licence du Bristol Jupiter fournissant 385 kW (525 ch). La puissance de ces moteurs ne suffisait pas pour satisfaire toutes les exigences en fonctionnement ininterrompu du Do X. Les performances des moteurs refroidis par air baissaient au bout d’un certain temps de fonctionnement. Il n’était pas possible non plus de les faire tourner à un régime plus élevé par risque de surchauffe. Le problème ne fut résolu qu’en les remplaçant par des moteurs Curtiss Conqueror à refroidissement par eau de 470 kW (640 ch).
Do X - Sur le lac Müggelsee (Berlin - Allemagne) mai 1932
Pour faire la promotion du Do X, Dornier décida d'effectuer un tour du monde pour démontrer le confort et la fiabilité de son appareil. Des photos d'époque montrent l'aménagement luxueux ainsi que les tableaux réalisés par le peintre de marines Claus Bergen. Le périple commença le 5 novembre 1930. Sa première escale était Amsterdam suivi de l’Angleterre, de la France et du Portugal. Un incendie, heureusement maîtrisé à temps, obligea cependant l’équipe à faire une interruption de deux mois pour faire les réparations. La suite du voyage le mena aux îles Canaries (31 janvier 1931), tout le long de la côte africaine occidentale jusqu’en Guinée portugaise pour traverser l’Atlantique en son point le plus étroit, en direction de Rio de Janeiro (20 juin 1931), puis vers les Antilles en suivant la côte de l’Amérique du Sud, et enfin aux États-Unis. Le Do X amerrit finalement à New York le 27 août 1931. Le 24 mai 1932 le Do X fit une escale à Berlin où il amerrit sur le lac Müggelsee.
Au cours du vol qui l’avait mené aux États-Unis, l’équipage comprenait aussi l’officier navigateur Wilhelm Niemann (de) qui assurait la fonction de copilote et de maître de poste embarqué. Il était responsable du bureau de poste auxiliaire « Dornier Do X » de l’hydravion et du courrier « DO-X Post » acheminé. Le commandant de bord du Do X était Friedrich Christiansen. Sur le vol retour vers Berlin qui passait par Terre-Neuve et les Açores, l’équipage comprenait en outre la pilote Antonie Straßmann (en) à partir du 20 mai 1932.
Au cours de la tournée qui s’ensuivit dans toute l’Allemagne, plus d'un million de personnes vinrent admirer l’appareil qui revenait d’un périple mondial de deux ans. Le 9 mai 1933, l’appareil devait se poser sur le lac de barrage de la centrale hydroélectrique de Kachlet près de la ville de Passau pour y faire escale avant de repartir pour une tournée le long du Danube en direction de la Turquie. Le commandant de bord cabra l’appareil trop fortement lors de l'amerrissage et l'empennage se brisa en percutant le plan d'eau. Cet accident fut d’abord tenu secret mais un spectateur fit deux photos. Bien que les dégâts aient été vite réparés, cela marqua le glas de la carrière commerciale du Do X 29 en tant qu’hydravion de transport de passagers. Ceci fut annoncé par le ministère de l’Air (Reichsluftfahrtministerium) en octobre 1934.
Les milieux financiers supprimèrent leur aide. La Lufthansa considérait aussi l’appareil comme non rentable. En plus de ce prototype, deux autres appareils avaient été construits et livrés à l’Italie. Le Do X 1929 fut démonté en 1933 à Travemünde et expédié par bateau à Berlin pour y être exposé dans un musée précurseur du Deutsches Technikmuseum Berlin. Il fut détruit au cours d’un bombardement en novembre 1943 et dès la fin de la guerre dépecé par des ferrailleurs professionnels et des collectionneurs. Seules quelques pièces sont encore exposées au musée des techniques de Berlin. Une hélice en bois est exposée dans un musée sur l'île frisonne de Föhr et l’empennage arraché lors de l’accident de 1933 est au musée Dornier de Meersburg.
Les Do X2 et X3
Le devenir des deux appareils livrés à l’Italie (baptisés Do X 2 Umberto Maddalena et Do X3 Alessandro Guidoni) est pratiquement inconnu. Ils avaient été commandés en 1931 par la compagnie italienne SANA pour desservir des lignes en Méditerranée. Ceci ne se fit cependant pas. Les deux avions furent équipés de moteurs Fiat de 440 kW (600 ch) seulement à la place des moteurs Curtiss. Après avoir franchi les Alpes, ils furent utilisés par les forces armées italiennes à partir de la base d'hydravions de La Spezia. Ils furent testés comme bombardiers et modifiés à cet effet (poste d’observateur arrière sous verrière). L’armée organisa quelques tournées "publicitaires" en Italie pour faire accepter par la population le prix élevé et controversé de ces deux avions. Ces avions auraient été utilisés pour acheminer des troupes lors de l'invasion de l’Éthiopie. Leur endommagement et leur mise au rebut à La Spezia dès 1935 semblent être plus probables.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Richard Georg Strauss est un compositeur et chef d'orchestre allemand né le 11 juin 1864 à Munich et mort le 8 septembre 1949 à Garmisch-Partenkirchen.
Richard Strauss est surtout un spécialiste et connaisseur hors pair de l'orchestre ; ses quelques œuvres pour formation de chambre sont peu jouées, à part les mélodies pour piano et chant, poèmes symphoniques et opéras formant le cœur de son œuvre. Si son nom est connu du grand public, c'est avant tout grâce aux trois opéras Salomé, Elektra et Le Chevalier à la rose, et aussi grâce aux poèmes symphoniques Ainsi parlait Zarathoustra, Mort et Transfiguration, Till l'Espiègle ou Don Juan.
Le patronyme Strauss, qui signifie « bouquet », est extrêmement commun dans les pays germaniques, et il n'existe aucun lien de parenté entre le Bavarois Richard Strauss et les deux Johann Strauss (père et fils), originaires de Vienne (Autriche) et surnommés les rois de la valse. Les quelques valses composées par Richard Strauss ne sont présentes dans ses œuvres qu'à titre de clin d'œil à la tradition viennoise, en référence à une époque antérieure (par exemple dans les opéras Le Chevalier à la rose ou Arabella) ou comme élément connotant l'érotisme et la sensualité.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
L’affaire de Bruay-en-Artois est une affaire criminelle française non élucidée, très médiatisée dans les années 1970, concernant le meurtre d'une adolescente d'origine modeste, Brigitte Dewèvre, à Bruay-en-Artois (aujourd'hui Bruay-la-Buissière). Après la découverte du corps de la victime le 6 avril 1972, le notaire Pierre Leroy et sa maîtresse Monique Béghin-Mayeur sont inculpés, puis incarcérés. Henri Pascal, le juge d’instruction, déclare ne posséder aucune preuve solide de leur implication dans le meurtre. Des militants de la Gauche prolétarienne, mouvement d'extrême gauche, profitent de l'appartenance des deux personnes mises en cause à la bourgeoisie pour transformer cette affaire en symbole de la lutte des classes dans une région touchée alors par la fermeture des mines de charbon. Les inculpés sont finalement libérés. Par la suite, un camarade de Brigitte Dewèvre s'accuse du meurtre, mais il est acquitté. Le crime est finalement prescrit en 2005.
Les faits
Le 6 avril 1972 à Bruay-en-Artois, dans un terrain vague qui sépare le quartier bourgeois du coron, des enfants jouant au ballon découvrent le corps sans vie de Brigitte Dewèvre, une fille de mineur âgée de quinze ans et demi. La veille au soir, le 5 avril, elle est partie vers 19 h 30 pour aller dormir chez sa grand-mère et a disparu. Brigitte Dewèvre a été aperçue pour la dernière fois vers 19 h 45, en conversation avec un inconnu vêtu d'un pull à col roulé. Elle a été étranglée avec un lien souple, vraisemblablement un foulard, déshabillée en partie, et déposée dans un terrain vague à proximité d'une haie d'aubépines qui sépare ce terrain de la propriété de Monique Béghin-Mayeur (fille du plus gros marchand de meubles de Bruay-en-Artois et qui est en instance de divorce). La victime a été frappée violemment derrière la tête et mutilée avec un objet tranchant (de type hachette ou serpette) mais non violée. Ses jambes étaient dissimulées sous un vieux pneu.
Les enquêtes judiciaires et le déchaînement médiatique
Henri Pascal, premier juge d'instruction au tribunal de grande instance de Béthune, hérite du dossier. Il deviendra le premier juge d'instruction connu par son nom. Surnommé « le petit juge », cet ancien avocat d'origine modeste, juge suppléant, puis juge d'instruction, est un des premiers adhérents du Syndicat de la magistrature.
Les témoins font état de la présence d'une Peugeot 504 mal garée à proximité du lieu du meurtre. Son propriétaire est rapidement identifié, il s'agit du notaire Pierre Leroy qui a son étude non loin : membre du Rotary Club et habitué des transactions immobilières, la rumeur en fait rapidement un coupable idéal car elle condamne par avance cet homme qui n'est pas marié et fréquente les bordels de Lille. Il est inculpé le 13 avril, après une semaine d'enquête, pour homicide volontaire et incarcéré. Le juge invoque « un faisceau de présomptions graves et concordantes », qui naissent selon lui des explications évasives de l'intéressé quant à son alibi et de sa présence près des lieux du crime au moment des faits. Au fil des interrogatoires, Pierre Leroy a présenté cinq versions différentes pour ne pas impliquer sa maîtresse Monique Béghin-Mayeur, rendant son emploi du temps trop flou. Une première reconstitution sur les lieux du crime, le 27 avril 1972, voit la foule conspuer le notaire déjà condamné par la rumeur publique locale.
L'inculpé nie avec constance et, malgré un examen minutieux de tous les éléments pouvant l'incriminer, le juge Pascal ne parvient pas à trouver de preuve, si bien que le 30 juin les avocats de la défense déposent une requête en suspicion légitime à son encontre. Le 12 juillet, le juge procède à une seconde reconstitution avec l'ensemble des témoins qui ne reconnaissent pas officiellement les accusés. Le lendemain, il inculpe et fait incarcérer Monique Béghin-Mayeur, car elle aussi, lors de ses interrogatoires, donne des versions contradictoires de son emploi du temps et a un alibi que le juge considère comme douteux. La cour d'appel d'Amiens désavoue le juge et fait relâcher Pierre Leroy le 18 juillet 1972 après plus de trois mois d'incarcération.
Durant toutes ces semaines, le juge Pascal, qui est opposé au secret de l'instruction, alimente la presse par de nombreuses déclarations. Il entend « faire connaître ses idées sur la justice » et laisse notamment filmer l'arrestation du notaire. Selon les nouvelles théories du Syndicat de la magistrature, Henri Pascal tente de faire de son instruction un modèle de transparence, clamant, lors de nombreuses déclarations à la presse, son opposition au secret de l'instruction et militant pour une « justice à ciel ouvert ».
Le juge est alors sous la pression de la presse maoïste d'extrême gauche qui croit trouver dans cette région prolétarisée un terrain propice à la continuation de la lutte révolutionnaire. Parmi les militants de la Gauche prolétarienne établis dans le Nord après la dissolution en 1970 du mouvement maoïste se trouve Serge July qui répondait alors au pseudonyme de Marc. François Ewald et Serge July dirigent les opérations sur place et créent un Comité pour la Vérité et la Justice qui démarche les parents et les proches de la famille Dewèvre et organise une occupation militante du terrain vague où a été découverte la victime. Le Comité est présidé par Joseph Tournel, militant maoïste et ancien mineur connu de tous dans la région. Habitué des colonnes du journal maoïste La Cause du peuple, il y incarne le point de vue prolétarien, aux côtés de figures intellectuelles telles que Jean-Paul Sartre ou Maurice Clavel. Le 1er mai 1972, La Cause du peuple titre : « Et maintenant, ils massacrent nos enfants », accompagné du sous-titre, « il n'y a qu'un bourgeois pour avoir fait ça ! ». Ils dénoncent une « justice de classe » et demandent la tête du notaire. La GP est alors menée par des intellectuels comme le normalien André Glucksmann et soutenue par Jean-Paul Sartre. Mais après le numéro du 1er mai 1972 de La Cause du peuple, Sartre leur reproche son contenu et l'appel au lynchage. Plus tard, le romancier Morgan Sportès rappellera la responsabilité, au même moment, de la GP dans la mort de Pierre Overney, dans Ils ont tué Pierre Overney.
Le 20 juillet, sur décision de la Cour de cassation, les avocats de Pierre Leroy obtiennent le dessaisissement du juge Pascal. Cette décision suscite la colère de nombreux habitants de Bruay et des groupes d'extrême-gauche. Le Comité pour la Vérité et la Justice, qui milite contre le dessaisissement du juge Pascal et contre la libération de Pierre Leroy, considère Pierre Leroy comme coupable et dénonce une protection dont l'inculpé bénéficierait du fait de son statut social élevé.
La Cour de cassation confie le dossier au juge parisien Jean Sablayrolles, qui reprend l'instruction depuis le début et fait libérer Monique Mayeur le 31 juillet 1972.
Le 18 avril 1973, plus d'un an après les faits, Jean-Pierre Flahaut, âgé de 17 ans, orphelin perturbé et ancien camarade de Brigitte Dewèvre, avoue aux enquêteurs être l'auteur du meurtre. Jean-Pierre Flahaut avait été l'un des premiers suspects, rapidement écarté par le juge Pascal. Témoin important, le jeune homme était présent aux reconstitutions, aux manifestations du Comité pour la Vérité et la Justice, se tenait souvent à proximité du juge Pascal dans ses déplacements et tirait une certaine fierté de son exposition médiatique. Il affirme au juge Sablayrolles ne pas connaître particulièrement la victime mais une amie de Brigitte Dewèvre témoigne l'avoir vu avec celle-ci à la ducasse de Bruay le 3 avril 1972. Jean-Pierre Flahaut livre des aveux circonstanciés : il avait donné rendez-vous à la victime rue de Ranchicourt, a chahuté avec elle, l'a poussée et fait tomber à la renverse. Blessée à la tête, Brigitte Dewèvre a fait de vifs reproches à Jean-Pierre. Pris de colère, ce dernier l'a étranglée avant de traîner son corps à l'entrée du terrain vague voisin. A l'aide d'une brouette à charbon trouvée à proximité dans un jardin de coron, il transporte le corps au fond du terrain vague, près de la propriété de Monique Beghin-Mayeur. Il a alors l'idée de maquiller le meurtre en crime sadique. Il déshabille le corps et revient chez son frère prendre une hache pour mutiler la victime. Pendant le transport du corps, il affirme avoir récupéré les lunettes de Dewèvre tombées au sol et les avoir cachées au domicile de son frère. Les enquêteurs les retrouvent bien à son domicile, dissimulées dans la doublure d'un fauteuil. Elles avaient échappé à la police lors d'une perquisition ordonnée par le juge Pascal. Le père et l'opticien de la victime confirment qu'il s'agit des lunettes de Brigitte Dewèvre.
Le 30 octobre 1974, la justice prononce une ordonnance de non-lieu en faveur des époux Leroy (Monique Mayeur a épousé Pierre Leroy entre-temps).
Le Comité pour la Vérité et la Justice, arguant qu'un fils de mineur ne peut tuer une fille de mineur, milite pour la libération de Jean-Pierre Flahaut. Celui-ci revient partiellement sur ses aveux. Il est jugé à huis clos devant le tribunal pour enfants de Paris et acquitté au bénéfice du doute le 15 juillet 1975. Après un appel du parquet, le jugement est confirmé par la cour d'appel de Paris le 25 février 1976.
Le meurtre de Brigitte Dewèvre n'a donné lieu à aucune condamnation pénale. La famille Dewèvre n'a jamais accepté l'innocence du notaire Pierre Leroy et a demandé expressément à Georges Kiejman, avocat de la partie civile, de plaider l'acquittement de Jean-Pierre Flahaut lors de son procès. Malgré les aveux de ce dernier, l'avocat a donc plaidé l'insuffisance des preuves matérielles et le doute sur la culpabilité en mettant en avant l'existence possible d'un pervers sexuel ayant tué plusieurs jeunes femmes dans la région. Cas sans doute unique dans les annales de la justice, la conviction aveugle des parents de la victime, portée par la politisation de l'affaire, aboutit ainsi à innocenter le probable responsable des faits. L'affaire est classée sans suite en 1981 et le crime prescrit en 2005.
Conséquences de l'affaire
Ce fait divers représente une des grandes affaires où la presse écrite est le média dominant. Localement, le contexte est à la concurrence et la surenchère entre le journal socialiste Nord Matin et le numéro un régional La Voix du Nord. La presse nationale s'intéresse à l'affaire à partir du 13 avril 1972, quand le notaire Pierre Leroy est mis en cause. Des journaux comme France-Soir et des magazines comme Le Nouveau Détective suivront les moindres soubresauts d'une enquête qui a du mal à avancer.
La presse s'efforce par tous les moyens d'extorquer des déclarations aux témoins. Au sortir des auditions, ces derniers sont poursuivis dans la rue par des groupes de journalistes qui leur demandent de réagir à des déclarations qu'ils savent pertinemment déformées ou fausses. Ce procédé sera systématisé par une partie du corps de presse suivant l'affaire Grégory.
L'affaire de Bruay voit aussi une tentative de faire connaître un média alternatif, J'accuse, qui se veut acquis à la cause ouvrière. Serge July couvre cette affaire comme journaliste de La Cause du peuple et c'est en filiation directe de La Cause du peuple que le journal Libération va renaître de ses cendres. Cette affaire montre comment les maoïstes de la Gauche prolétarienne se sont emparés d'un fait divers pour alimenter leur nouveau journal et en faire une cause politique de justice de classe.
Le média qui monte à l'époque est la télévision, qui met en place pour la première fois des antennes mobiles permettant aux reporters de réaliser des entretiens en direct.
Le combat d'Henri Pascal pour une instruction débarrassée de l'obligation du secret échoue largement. Le juge Pascal est une première fois désavoué en 1972 quand le dossier est dépaysé, et une deuxième fois en 1975 quand il est inculpé pour violation du secret de l'instruction, violant ainsi l'article 11 du code de procédure pénale. Il dénonce alors une situation qui lui paraît absurde : « Les inculpés ont le droit de parler, les témoins ont le droit de parler, les parties civiles, le parquet a le droit de parler et publier des communiqués, il a le droit de le faire. La presse peut se déchaîner dans un sens ou dans un autre. Mais si le juge d'instruction parle pour rétablir la vérité maltraitée par certains, eh bien ce juge d'instruction est inculpé. »
Le dénouement de l'affaire de Bruay donne des arguments aux partisans du secret, lesquels estiment que Pierre Leroy, qui a bénéficié finalement d'un non-lieu, a été exagérément exposé à la vindicte populaire. L'affaire Grégory, autre affaire très médiatisée de meurtre, non élucidée elle non plus, et dans laquelle le juge d'instruction Jean-Michel Lambert s'est imprudemment ouvert à la presse sans obtenir de résultat probant dans son enquête, incitera elle aussi les juges d'instruction à se taire. Après ces deux affaires emblématiques, leur pratique professionnelle normale, la mieux acceptée, sera de refuser toute déclaration à la presse pendant le temps de l'instruction.
En 2017 et 2018, Daniel Bourdon, policier à la retraite, publie deux livres, l'auteur prétendant dans le dernier avoir identifié l'assassin, un gardien de nuit qui se serait évaporé dans la nature après l'arrestation de Jean-Pierre Flahaut et qui ne peut pas être poursuivi en raison de la prescription
Filmographie
Le Dossier érotique d'un notaire (1972) de Jean-Marie Pallardy avec Jean-Marie Pallardy, Angela Hensen, Alice Arno, Evelyne Scott. Librement inspiré du fait-divers.
La Femme flic (1980) d'Yves Boisset avec Miou-Miou, traite d'un sujet proche, dans un décor semblable : une policière qui enquête sur un réseau de prostitution de mineures se heurte à l'establishment d'une petite ville du Pas-de-Calais, et finit par échouer en raison de l'obstruction de la bourgeoisie locale.
Garde à vue (1981) de Claude Miller, avec Lino Ventura, Michel Serrault et Romy Schneider a rappelé à la critique et au grand public l’affaire de Bruay-en-Artois. Le scénario de Claude Miller et Jean Herman (récompensé d'un César en 1982) est une adaptation d'un roman de John Wainwright, Brainwash (traduit en français par À table !).
L’Affaire de Bruay-en-Artois (2008) téléfilm de Charlotte Brandström avec Bernard Le Coq, Tchéky Karyo et Agathe de La Boulaye. Le scénario reprend la thèse de la culpabilité du notaire Pierre Leroy en privilégiant l'affrontement personnel entre le juge et le notaire. Il donne l'avantage aux rumeurs locales amplifiées par la presse maoïste de l'époque, à savoir que Pierre Leroy aurait bénéficié de protections locales voire gouvernementales, que le juge Sablayrolles aurait été choisi pour sa docilité à l'égard de sa hiérarchie, qu'il aurait existé un réseau de notables locaux impliqués dans plusieurs autres meurtres non résolus et que l'Etat aurait cherché à étouffer ces affaires afin de couper court à l'agitation sociale.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | |||||||||||||||||||||||||||
DESCRIPTION | Zèbre | ||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | 1 | 2 | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Le tour à bois est une machine de la famille des tours parallèles mais qui se distingue par sa simplicité car le tournage sur bois demande un effort mécanique très limité.
Il existe principalement deux types de tours à bois : les tours à bois d'établi et les tours à bois d'atelier.
Les tours à bois d'établi sont de petits tours généralement avec une longueur entre pointes entre 50 et 80 cm. Il faut les poser sur un établi pour leur utilisation. Certains sont en tôles soudées, plus légers et moins stables, et ne permettent pas le tournage de grosses pièces. D'autres sont en fonte, beaucoup plus stables, ils offrent déjà plus de possibilités de tournage sur bois. Ils peuvent être équipés de variateurs électroniques, mais le plus souvent, il faut changer de vitesse en déplaçant la courroie de poulie.
Les tours à bois d'atelier sont des tours beaucoup plus lourds, posés sur des pieds quelques fois en tôles, mais le plus souvent les pieds sont en fonte. Ces tours à bois ont une longueur entre pointes en 80 cm et jusqu'à 2 m, voire plus. Avec une très bonne stabilité, ils permettent le tournage de grosses pièces en toute sécurité. Ils sont très souvent équipés de variateur mécanique, ou électronique pour les tours à bois haut de gamme
Histoire
Le tour à bois est une des plus vieilles inventions techniques qui remonte à l’époque égyptienne puis romaine, avec des machines mues par la force humaine. L’entraînement de la pièce de bois se faisait au travers d’une roue actionnée par une personne pendant que l’opérateur usinait.
Puis avec le système bielle-manivelle, c’est l’opérateur même qui, par l’intermédiaire d’une pédale, donnait le mouvement de rotation. L’époque des tours à archet, à perche et à arc passée, l’ère industrielle apporta la transmission du mouvement par système roue à aubes et poulies-courroie (force hydraulique) qui fut remplacée par le moteur électrique, signant ainsi la fin des tours dits « alternatifs » pour ceux à mouvement continu.
Construction
Un bâti, généralement en tôle soudée, plus léger que les anciens bâtis en fonte.
Une poupée fixe comprenant :
le moteur électrique,
la boite de vitesses (poulie étagée, pignons dentés ou variateur),
la broche qui supporte le mandrin ou la pointe à ergots.
Le banc avec deux glissières plates.
Le support d'outil (gouge, racloir, bédane, etc.).
Une poupée mobile ou contre-pointe.
La fabrication série (petite ou grande) demande l’usage de système de copiage à partir d’un gabarit ou d’une pièce existante. L’outil est monté sur une tourelle munie d’un palpeur qui suit le profil du gabarit. L’avance peut être soit manuelle soit automatique.
Sur certaines machines, la précision et la rapidité sont obtenues par des outils-fraises tournant à grande vitesse et se déplaçant mécaniquement, guidés par un gabarit, alors que la pièce de bois tourne lentement.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||