Portraits de Macron décrochés à Paris : 500 euros d’amende pour huit militants La juge a reconnu coupables de « vol en réunion » les activistes, âgés de 23 à 36 ans. Le vidéaste qui avait filmé leur action a, lui, été relaxé.
Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 09h49, mis à jour à 10h15
Le tribunal correctionnel de Paris a condamné, mercredi 16 octobre, huit militants écologistes à 500 euros d’amende chacun pour avoir décroché des portraits du président Emmanuel Macron dans des mairies de trois arrondissements de la capitale, en février. Ils ont annoncé qu’ils allaient faire appel.
La juge unique a reconnu coupables ces activistes, âgés de 23 à 36 ans, de « vol en réunion ». Le 11 septembre le parquet de Paris avait requis des peines de 1 000 euros d’amende pour chacun des prévenus, dont 500 avec sursis, afin « qu’on ne dévoie pas une lutte totalement légitime ».
La même sanction avait été demandée contre un vidéaste de 29 ans, du média associatif Partager c’est sympa, présent lors d’une action de décrochage dans la mairie du 5e arrondissement, « à 100 % pour [la] filmer, pas y participer », avait-il assuré à la barre. Le tribunal l’a relaxé.
« Devoir moral »
Les huit militants, au casier judiciaire vierge, avaient, eux, reconnu les faits, commis lors de trois actions, les 21 et 28 février, dans le cadre d’une campagne nationale « Décrochons Macron », menée par Action non violente-COP21 (ANV-COP21).
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Comme pour les quelque 130 « réquisitions » symboliques revendiquées par le mouvement, les décrochages s’étaient effectués en quelques minutes, « à visage découvert » et « sans dégradation ».
Ils avaient expliqué avoir agi par « devoir moral » et parce qu’ils n’avaient « d’autre choix » que la « désobéissance civile non violente », face à « la menace » du réchauffement climatique et « l’inaction » du gouvernement en la matière.
Leurs avocats avaient plaidé la relaxe au nom de « l’état de nécessité », qui permet d’écarter la responsabilité pénale « face à un danger actuel et imminent ». La juge parisienne a considéré que ce principe, qui avait été invoqué il y a un mois à Lyon pour relaxer deux « décrocheurs », n’était ici « pas constitué ».
Leur mouvement est né en réaction à une réponse jugée insuffisante de l’exécutif à la pétition sur le climat baptisée « L’Affaire du siècle », signée par plus de deux millions de personnes.
La Renault 12 est une automobile de catégorie 7 CV, à traction avant, dotée d'un moteur 4 cylindres en ligne en porte-à-faux avant et d'un essieu arrière rigide. Les concurrentes françaises de la R 12 sont les Citroën GS, Peugeot 304 et Simca 1100. En 1973, la Renault 12 est la voiture la plus vendue en France (elle succède à la Simca 1100). La voiture moyenne de la Régie Renault a été surtout produite en France à l'usine de Flins. Les coupés Renault 15 et 17 sont des dérivés. La Renault 12 fut désignée ainsi parce qu'elle était équipée d'un « moteur Cléon-Fonte » de 1 289 cm3.
La Renault 12 est lancée en septembre 1969 en deux versions L et TL. Cette dernière dispose d'accoudoirs de portes, de sièges avant séparés inclinables avec un accoudoir central, d'un miroir de courtoisie et d'un éclairage de coffre. La calandre en plastique noir est une nouveauté. Au Salon de Paris 1970, les breaks L et TL rejoignent les berlines. Celles-ci gagnent une poignée de maintien pour le passager avant, un nouvel accélérateur, une grille gravée sur le levier de vitesse, des baguettes chromées en bas de caisse et à la base de l'ouverture du coffre à l'arrière.
Pendant l'été 1971, la performante Renault 12 Gordini (185 km/h) entre en production régulière. La 12 G est dotée d'un « moteur Cléon-Alu » de 1 565 cm3 type 807/20 issu de la Renault 16 TS revu par le « Sorcier », soit 113 ch DIN à 6 250 tr/min et 14,3 mkg de couple à 4 500 tr/min. Outre diverses modifications (vilebrequin, admission, arbre à cames...), il est alimenté par deux carburateurs horizontaux double corps Weber et refroidi par un radiateur d'huile. Ce moteur est servi par une boîte 5 vitesses. Le freinage est renforcé par des freins à disques ventilés à l'avant (pour la première fois sur une voiture française) et des freins à disques à l'arrière. Le réservoir d'essence de 89 litres avec remplissage sur le côté gauche (et non à l'arrière à droite de la plaque d'immatriculation comme sur les autres 12) était spécifique. L'extérieur se différencie aussi par la teinte bleu France, les bandes blanches, les projecteurs additionnels longue portée protégés par des petits butoirs, la prise d'air sur le capot, les jantes largeur 5 pouces et demi et la suppression des pare-chocs (sauf Gordini TL). Dans l'habitacle, on trouve un compte-tours, un volant 3 branches et des garnitures allégées. La société Renault-Gordini à Viry-Châtillon commercialisait un kit compétition qui comprenait : segments, bielles, chemises, arbres à cames, ressorts de soupapes, bougies, gicleurs, trompettes d'admission à la place du filtre à air et nouveau couvre culbuteur. Les R 12 G seront les actrices de la Coupe Gordini de 1971 à 1974. En 1971, aux mains des frères Marreau, la Gordini établi le record sur le trajet Le Cap Alger. Pour 1972, quelques modifications sont apportées au reste de la gamme : un alternateur au lieu de la dynamo et la suppression des feux de position latéraux sur les ailes avant.
En juillet 1972, une version à la présentation sportive nommée TS apparaît. Elle utilise le « moteur Cléon-Fonte » de 1 289 cm3 60 ch DIN à carburateur double corps de la Renault 15 TL, ce qui permet d'atteindre la vitesse maximale de 150 km/h. Elle est équipée de freins assistés. Esthétiquement, la R 12 TS, qui s'inspire des R 12 vendues aux États-Unis et des R 12 S fabriquées en Espagne, est immédiatement reconnaissable par ses roues de style type Gordini, par sa baguette latérale chromée sur l'arête des flancs et ses deux projecteurs à iode longue portée supplémentaires (ils seront, dès l'année suivante, intégrés aux optiques principales de type « Kangourou »). L'intérieur se caractérise par des sièges « Intégral » avec appuis-tête ajourés incorporés, un compte-tours, un indicateur de température de liquide de refroidissement (circuit scellé) et une console centrale. Sur les autres versions, le frein à main prend place au plancher entre les sièges avant. Du coup, la banquette avant de la version L est remplacée par des sièges séparés et l'accoudoir central avant de la version TL est supprimé. À l'extérieur, les feux arrière perdent leur encadrement et les clignotants avant passent de l'orange au blanc.
Pour 1974, la gamme se complète d'un break TS et d'une berline TR Automatic à boîte de vitesses automatique à pilotage électronique. La Renault 12 TR Automatic marie l'aspect extérieur de la TL (avec une baguette latérale chromée supplémentaire) et les sièges intégraux de la TS. Toutes les 12 « 74 » affichent le losange Vasarely à l'avant et un sigle en plastique noir à l'arrière. Le tarif 1975 s'allège de la 12 Gordini, l'appellation sera immédiatement récupérée par la 17 TS. Les breaks L et TL se nomment respectivement pendant une courte année breaks LN et TN, ce dernier, qui se distingue par sa baguette latérale chromée, aligne sa présentation sur le nouveau break TR Automatic. Enfin, la berline L remplace ses enjoliveurs de roue par des écrous chromés.
À partir de l'automne 1975, la Renault 12 est restylée : nouvelle calandre bordée de gris, pare-chocs plus hauts avec feux et butoirs (sauf L) incorporés à l'avant, blocs optiques arrière agrandis avec feux de recul (TS), freins assistés sur tous les modèles (sauf berline L), planche de bord redessinée (sauf L) avec un combiné agrandi, extracteurs d'air latéraux horizontaux noir mat, nouvelles jantes à crevés rectangulaires (sauf L) et suppression des enjoliveurs de roue chromés. La L, qui voit sa puissance descendre à 50 ch, roule à l'essence ordinaire. Pour 1978, la gamme se compose ainsi : 12 (le L disparait), 12 break, 12 TL, 12 break TL, 12 Automatic, 12 break Automatic, 12 TS et 12 break TS. À partir de juillet 1978, à la suite du lancement de la Renault 18, seuls la berline TL et les breaks continuent (dont un break TS avec roues de style Gordini). Les ceintures de sécurité arrière obligatoires s'ajoutent et les feux avant deviennent bicolores. Pour 1980, la berline TL et le break TL se maintiendront une dernière fois au catalogue.
Une carrière internationale
Dans les années 1970, la 12 est la voiture française la plus fabriquée à l'étranger, dans les pays suivants :
Australie (12 GL à Melbourne), Afrique du Sud (Rosslyn Motors), Argentine (12 avec déflecteurs de vitre avant chez IKA), Australie, Canada (R12 à quatre projecteurs ronds chez SOMA pour "Société de Montage Automobile" à Saint-Bruno de Montarville au Québec), la 12 a connu une carrière très discrète aux États-Unis), Colombie (Sofasa Envigado), Côte d'Ivoire (SAFRAR), Espagne (12 S avec projecteurs rectangulaires supplémentaires encastrés chez FASA), Irlande (Smith Eng), Madagascar (SOMACOA), Maroc (SOMACA) et Portugal (ILR).
Roumanie (Dacia) :
Entre 1969 et 2004, le constructeur Dacia a fabriqué sous licence en Roumanie à Pitești de nombreuses versions de la Renault 12 : berline 1300, berline 1310 (version plus luxueuse à quatre projecteurs ronds), berline 1320 avec hayon (à partir de 1989), coupé (à partir de 1979), break (à partir de 1973) et pick-up 1304 (à partir de 1975). Ce dernier a été développé dans les versions simple cabine, double cabine, essence, diesel, deux roues motrices et quatre roues motrices. En 1984, toutes les Dacia sont équipées d'une nouvelle calandre à quatre projecteurs ronds. Après 35 ans de production, les deux dernières voitures (une berline et un break) sont tombées des chaînes fin 2004 après 1 959 730 exemplaires produits. Elles sont exposées au musée de l'automobile roumain. La 1300 a été remplacée par la Logan. Les versions pick-up ont été produites jusqu'à la fin 2006.
Turquie (OYAK)
Depuis 1971 jusqu'à fin 1999, la Renault 12 a également été produite à 700 000 exemplaires par l'OYAK en Turquie, où elle a été la voiture la plus vendue. À partir de son restylage en février 1989, elle s'est appelée Renault Toros.
Compétition
Argentine
En 1978, elle remporte en version TS la classe B du Tour d'Amérique du Sud entre les mains de Jorge Recalde avec son compatriote Jorge Buroscotti pour copilote.
Cinéma
1927 : Fay et Fanchette (Broadway Nights) de Joseph C Boyle : Fan dancer
1929 : Le Signe sur la porte (The Locked Door) de George Fitzmaurice : Ann Carter
1929 : Mexicali Rose d'Erle C. Kenton : Mexicali Rose
1930 : Ladies of Leisure de Frank Capra : Kay Arnold
1931 : Illicit d'Archie Mayo : Anne Vincent Ives
1931 : Ten Cents a Dance de Lionel Barrymore : Barbara O'Neill
1931 : Les Bijoux volés (The Slippery Pearls) de William C. McGann : Caméo
1931 : L'Ange blanc (Night Nurse) de William A. Wellman : Lora Hart
1931 : The Miracle Woman de Frank Capra : Florence 'Faith' Fallon
1932 : Amour défendu de Frank Capra (Forbidden) : Lulu Smith / aka "66"
1932 : Shopworn de Nick Grinde : Kitty Lane
1932 : Mon grand (So Big!) de William A. Wellman : Selina Peake De Jong
1932 : The Purchase Price de William A. Wellman : Joan Gordon, aka Francine La Rue
1933 : La Grande Muraille (The Bitter Tea of General Yen) de Frank Capra : Megan Davis
1933 : Ladies They Talk About de Howard Bretherton et William Keighley : Nan Taylor, Alias of Nan Ellis, aka Mrs. Andrews
1933 : Liliane (Baby Face) d'Alfred E. Green : Lily Powers
1933 : Toujours dans mon cœur (Ever in My Heart) d'Archie Mayo : Mary Archer Wilbrandt
1934 : Franc Jeu (Gambling Lady) d'Archie Mayo : Lady Lee
1934 : A Lost Lady, d'Alfred E. Green : Marian Ormsby Forrester
1934 : Mariage secret (The Secret Bride) de William Dieterle : Ruth Vincent
1935 : La Dame en rouge (The Woman in Red) de Robert Florey : Shelby Barret Wyatt
1935 : Mexico et retour (Red Salute) de Sidney Lanfield : Drue Van Allen
1935 : La Gloire du cirque (Annie Oakley) de George Stevens : Annie Oakley
1936 : Message à Garcia (A Message to Garcia) de George Marshall : Raphaelita Maderos
1936 : Carolyn veut divorcer (The Bride Walks Out) de Leigh Jason : Carolyn Martin
1936 : La Fièvre des tropiques (His Brother's Wife) de W. S. Van Dyke : Rita Wilson Claybourne
1936 : Saint-Louis Blues (Banjo on My Knee) de John Cromwell : Pearl Elliott Holley
1936 : Révolte à Dublin (The Plough and the Stars) de John Ford : Nora Clitheroe
1937 : La Loi du milieu (Internes Can't Take Money) d'Alfred Santell : Janet Haley
1937 : Sa dernière chance (This Is My Affair) de William A. Seiter : Lil Duryea
1937 : Stella Dallas de King Vidor : Stella Martin 'Stell' Dallas
1937 : Déjeuner pour deux (Breakfast for Two) d'Alfred Santell : Valentine 'Val' Ransome
1938 : Adieu pour toujours (Always Goodbye) de Sidney Lanfield : Margot Weston
1938 : Miss Manton est folle (The Mad Miss Manton) de Leigh Jason : Melsa Manton
1939 : Pacific Express (Union Pacific) de Cecil B. DeMille : Mollie Monahan
1939 : L'Esclave aux mains d'or (Golden Boy) de Rouben Mamoulian : Lorna Moon
1940 : L'Aventure d'une nuit (Remember the Night) de Mitchell Leisen : Lee Leander
1941 : Un cœur pris au piège (The Lady Eve) de Preston Sturges : Jean Harrington
1941 : L'Homme de la rue (Meet John Doe) de Frank Capra : Ann Mitchell
1941 : Tu m'appartiens (You Belong to Me) de Wesley Ruggles : Helen Hunt
1941 : Boule de feu (Ball of Fire) de Howard Hawks : Katherine 'Sugarpuss' O'Shea
1942 : L'Inspiratrice (The Great Man's Lady) de William A. Wellman : Hannah Sempler
1942 : Les Folles Héritières (The Gay Sisters) d'Irving Rapper : Fiona Gaylord
1943 : L'Étrangleur (Lady of Burlesque) de William A. Wellman : Deborah Hoople, alias Dixie Daisy
1943 : Obsessions (Flesh and Fantasy) de Julien Duvivier : Joan Stanley
1944 : Assurance sur la mort (Double Indemnity) de Billy Wilder : Phyllis Dietrichson
1944 : Hollywood Canteen de Delmer Daves : Cameo
1945 : Christmas in Connecticut de Peter Godfrey : Elizabeth Lane
1946 : Le Droit d'aimer (My Reputation) de Curtis Bernhardt : Jessica Drummond
1946 : Amazone moderne (The Bride Wore Boots) d'Irving Pichel : Sally Warren
1946 : L'Emprise du crime (The Strange Love of Martha Ivers) de Lewis Milestone : Martha Ivers
1946 : Californie terre promise (California) de John Farrow : Lily Bishop
1947 : L'Orchidée blanche (The Other Love) d'André de Toth : Karen Duncan
1947 : La Seconde Madame Carroll (The Two Mrs. Carrolls) de Peter Godfrey : Sally Morton Carroll
1947 : Le Loup des sept collines (Cry Wolf) de Peter Godfrey : Sandra Marshall
1947 : Hollywood en folie (Variety Girl) de George Marshall : Barbara Stanwyck
1948 : L'Indomptée (B .F.'s Daughter) de Robert Z. Leonard : Pauline 'Polly' / 'Pol' Fulton
1948 : Raccrochez, c'est une erreur (Sorry, Wrong Number) d'Anatole Litvak : Leona Stevenson
1949 : Une femme joue son bonheur (The Lady Gambles) de Michael Gordon : Joan Phillips Boothe
1949 : Ville haute, ville basse (East Side, West Side) de Mervyn LeRoy : Jessie Bourne
1950 : La Femme à l'écharpe pailletée (The File on Thelma Jordon) de Robert Siodmak : Thelma Jordon
1950 : Chaînes du destin (No Man of Her Own) de Mitchell Leisen : Helen Ferguson / Patrice Harkness
1950 : Les Furies (The Furies) d'Anthony Mann : Vance Jeffords
1950 : Pour plaire à sa belle (To Please a Lady) de Clarence Brown : Regina Forbes
1951 : The Man with a Cloak de Fletcher Markle : Lorna Bounty
1952 : Le démon s'éveille la nuit (Clash by Night) de Fritz Lang : Mae Doyle D'Amato
1953 : La Plage déserte (Jeopardy) de John Sturges : Helen Stilwin
1953 : Titanic de Jean Negulesco : Julia Sturges
1953 : All I Desire de Douglas Sirk : Naomi Murdock
1953 : Le Voleur de minuit (The Moonlighter) de Roy Rowland : Rela
1953 : Le Souffle sauvage (Blowing Wild) de Hugo Fregonese : Marina Conway
1954 : Témoin de ce meurtre (Witness to Murder) de Roy Rowland : Cheryl Draper
1954 : La Tour des ambitieux (Executive Suite) de Robert Wise : Julia O. Tredway
1954 : La Reine de la prairie (Cattle Queen of Montana) d'Allan Dwan : Sierra Nevada Jones
1955 : Le Souffle de la violence (The Violent Men) de Rudolph Maté : Martha Wilkison
1955 : Les Rubis du prince birman (Escape to Burma) d'Allan Dwan : Gwen Moore
1956 : Demain est un autre jour (There's Always Tomorrow) de Douglas Sirk : Norma Miller Vale
1956 : La Horde sauvage (The Maverick Queen) de Joseph Kane : Kit Banion
1956 : Passé perdu (These Wilder Years) de Roy Rowland : Ann Dempster
1957 : Quarante tueurs (Forty Guns) de Samuel Fuller : Jessica Drummond
1957 : Meurtrière ambition (Crime of Passion) de Gerd Oswald : Kathy Ferguson Doyle
1957 : Femme d'Apache (Trooper Hook) de Charles Marquis Warren : Cora Sutliff
1962 : La Rue chaude (Walk on the Wild Side) d'Edward Dmytryk : Jo Courtney
1964 : L'Homme à tout faire (Roustabout) de John Rich : Maggie Morgan
1964 : Celui qui n'existait pas (The Night Walker) de William Castle : Irene Trent
Télévision
1956 : The Ford Television Theatre (en) (série télévisée) : Irene Frazier (1 épisode)
1958 : Alcoa Theatre (en) (série télévisée) : Midge Varney (1 épisode)
1958 : Goodyear Theatre (série télévisée) : Midge Varney (1 épisode)
1958 - 1959 : Zane Grey Theater (en) (série télévisée) : Belle Garrison (4 épisodes)
1960 - 1961 : The Barbara Stanwyck Show (en) (série télévisée) : Josephine Little (36 épisodes)
1961 : General Electric Theater (série télévisée) : Lili Parrish (1 épisode)
1961 - 1964 : La Grande Caravane (Wagon Train) (série télévisée) : Maud Frazer/Caroline Casteel/Kate Crawley (4 épisodes)
1962 : Rawhide (série télévisée) : Nora Holloway (1 épisode)
1962 : The Dick Powell Show (en) (série télévisée) : Irene Phillips (1 épisode)
1962 - 1963 : Les Incorruptibles (The Untouchables) (série télévisée) : Lt. Agatha Stewart (2 épisodes)
1964 : Calhoun: County Agent (téléfilm)
1965 - 1969 : La Grande Vallée (The Big Valley) (série télévisée) : Victoria Barkley (112 épisodes)
1970 : The House That Would Not Die (en) (téléfilm) : Ruth Bennett
1971 : A Taste of Evil (en) (téléfilm) : Miriam Jennings
1973 : The Letters (téléfilm) : Geraldine Parkington
1980 : Drôles de dames (Charlie's Angels) (série télévisée) : Toni - épisode Triple mixte (Toni's Boys)
1983 : Les oiseaux se cachent pour mourir (The Thorn Birds) (feuilleton TV) : Mary Carson (4 épisodes)
1985 : Dynastie (Dynasty) (série télévisée) : Constance Colby Patterson (3 épisodes)
1985 - 1986 : Dynastie 2 : Les Colby (série télévisée) : Constance Colby Patterson (24 épisodes)
Distinctions
Récompenses
1982 : Oscar d'honneur pour son exceptionnelle créativité et sa contribution unique à l'art de l'interprétation à l'écran
1983 : Emmy Award de la meilleure actrice pour son rôle de Mary Carson dans Les oiseaux se cachent pour mourir
1984 : Golden Globe de la meilleure actrice dans un second rôle dans une série, une mini-série ou un téléfilm : pour son rôle de Mary Carson Les oiseaux se cachent pour mourir
Nominations
Oscars :
Meilleure actrice pour Stella Dallas : Stella Dallas
Meilleure actrice pour Boule de feu : Sugarpuss O’Shea
Meilleure actrice pour Assurance sur la mort : Phyllis Dietrichson
Meilleure actrice pour Raccrochez, c'est une erreur : Leona Stevenson