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Airbus A320

Publié à 00:14 par dessinsagogo55 Tags : center france centerblog sur merci monde mode air
Airbus A320

 

La famille Airbus A320 regroupe quatre avions de ligne moyen-courriers conçus et fabriqués par Airbus depuis 1987. Le premier appareil est l'A320, qui donne son nom à la famille, suivi de deux versions raccourcies, les A318 et A319, et d'une version rallongée, l'A321. L'A320 est disponible en version fret et les A318, A319 et A320 sont disponibles en version d'affaires.

Depuis le vol du premier A320 en 1987, ses commandes fermes dépassent 14 000 exemplaires en 2017, dont près de 8 000 livrés, ce qui en fait le deuxième avion de ligne le plus vendu au monde, derrière son concurrent direct, le Boeing 737.

 

Conception

L'A320 est un appareil de type mono-couloir avec une capacité de 150 places en configuration double-classe. Lancé dans les années 1980 sous initiative de la France, qui respectait la culture de l’ingénieur, le projet bénéficia considérablement des technologies les plus avancées. La conception principale de Roger Beteille était d'éviter une copie du Boeing 737, car cela n'aurait guère intéressé les compagnies aériennes.

Lors de sa mise en œuvre, l’avion se distingue par plusieurs innovations :

des commandes de vol électriques

sans câbles, appareil plus léger, donc moins de consommation de carburant

sans commande mécanique, moins de coût d'entretien

amélioration de sécurité profitant des ordinateurs de nouvelle génération

une planche de bord tout écran

adoption des mini manches, initialement développés pour les avions de chasse

un système de communication air-sol qui permet la transmission en direct de plusieurs types de données (les messages de panne ou de données météorologiques, entre autres)

Ces innovations ont permis à l'A320 d'optimiser ses exploitations. L'avion est, d'abord, motorisé par une nouvelle variante du moteur CFM 56 (CFM-56-5A).

En outre, l'A320 adopta une largeur légèrement plus grande en comparaison de ses concurrents. Les compagnies aériennes peuvent augmenter la taille des sièges.

Tout comme l'A310 et la plupart des avions civils alors en développement, l’avion est conçu pour être piloté à deux.

L'appareil A320 a progressivement été développé en une famille d’avions allant de l'A318 à l'A321. Ces appareils se distinguent principalement par la longueur de leur fuselage. Hormis quelques autres différences mineures (dispositifs hypersustentateurs, gouvernes et puissance des moteurs), ces avions partagent les mêmes systèmes, le même type de cabine et le même cockpit. Cette homogénéité permet une plus grande facilité d’exploitation pour les compagnies exploitant plusieurs modèles de la gamme.

En mode de croisière économique (M 0.76 à 10 000 m) l'A320 a une finesse de 17,5. Son aile a une flèche au bord d’attaque de 27° et un allongement de 9,39

 

 

 
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    Airbus A320
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    Airbus 350-900 : Entrée en service
   
    Airbus A380
   
    Airbus A380 : Dessin
   
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    Maveric, l'avion du futur selon Airbus
 
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Bataille de Kolwezi

Bataille de Kolwezi

 

La bataille de Kolwezi est une opération aéroportée baptisée « Opération Bonite », menée par une unité de la Légion étrangère française, le 2e régiment étranger de parachutistes (2e REP), ainsi que par des troupes belges et zaïroises.

Elle se déroule en mai 1978 au Zaïre, actuelle République démocratique du Congo (RDC), pour délivrer des otages européens retenus dans la ville minière de Kolwezi par des rebelles katangais.

Si l’opération réussit à libérer des otages avec des pertes militaires légères, elle ne put empêcher le massacre de 700 Africains et de 170 Européens commencé avant le déclenchement de celle-ci.

La ville de Kolwezi est située au cœur de la région minière du Shaba (Katanga), dans le sud-est du Zaïre. Peuplée d’environ 100 000 habitants en 1978, elle est très étendue (environ 40 km2), et divisée en quartiers nettement séparés par des collines. Elle est située sur des voies de communications importantes, sur la route et la voie de chemin de fer reliant Lubumbashi à Dilolo, et est dotée d’un aérodrome à 6 km du centre-ville.

La prise de la ville par les rebelles

En mars 1978, à la suite d'une réunion entre Algériens, Angolais et activistes du Front national de libération du Congo, les services secrets zaïrois sont informés de l'éventualité d'une opération de déstabilisation dans la région de Shaba, région riche en matières premières stratégiques. Depuis plusieurs mois, l'Union soviétique achète tout le cobalt qu'elle trouve sur le marché libre. Cette information économique ne sera pas prise en compte par les services de renseignements occidentaux. L'homme qui doit mener cette action est Nathaniel Mbumba. Ses miliciens, les « Tigres », sont assistés par des officiers cubains et est-allemands.

Le Shaba, alors appelé le Katanga, s'était déclaré indépendant peu après l'indépendance du Congo belge en 1960 sous le nom d'État du Katanga. Cet événement fut l'un des déclencheurs de la crise congolaise jusqu'à sa réintégration, en 1963, au Congo, plus tard rebaptisé Zaïre. Le 11 mai 1978, une révolte soutenue par les pays de l'Est se dresse contre le dictateur Mobutu installé à 1 300 kilomètres de là, à Kinshasa, dans le Bas-Congo. Un groupe d'environ 3 à 4 000 rebelles katangais bien armés, venus d'Angola, transporté par la 2e division cubaine à travers la Zambie, pays neutre, prend possession de la ville où vivent environ 3 000 Européens et commet des exactions. Un peloton de l'armée zaïroise, équipé notamment de Panhard AML 60, s’est alors rallié aux rebelles.

Dès le 15 mai, plusieurs centaines de rebelles quittent la ville dans des véhicules volés, il ne reste que 500 hommes encadrés par des Cubains La plupart sont installés en banlieue, dans la ville de Manika. Le fait que l'état major du FNLC et les cadres cubains aient abandonné la ville trois jours plus tard laisse penser que l'objectif réel n'était pas uniquement Kolwezi, mais la prise de la base de développement et de lancement Shaba Nord (Centre de lancement Kapani Tonneo) de fusées et de satellites OTRAG située dans le nord du Shaba

Entre 90 et 280 Européens sont tués (selon les estimations).

Le président Joseph-Désiré Mobutu appelle alors les États-Unis, la France et la Belgique à l’aide.

Réaction franco-belge

 

Afin de protéger ses ressortissants, la France active le système d'alerte « Guépard » : à ce moment, le 8e RPIMa est en alerte mais c'est le 2e REP (régiment étranger parachutiste, appartenant à la Légion étrangère, et sous le commandement du colonel Philippe Erulin) qui est désigné pour intervenir. Deux équipes de quatre hommes du 13e RDP (régiment de dragons parachutistes) lui sont adjointes pour mettre en place les liaisons radio à grande distance4. Le 16 mai à h 45, le gouvernement de Bruxelles, qui pense aux Belges qui sont majoritaires parmi les otages, s'apprête à envoyer des parachutistes dans une opération qui se veut, avant tout, humanitaire. Une réunion entre les autorités militaires belges et françaises a lieu en Allemagne afin de coordonner une opération commune.

La réunion échoue, les ordres de Paris étant d'attaquer en force immédiatement malgré les mises en garde des autorités belges. Bruxelles cherche une solution moins directe en invoquant des renseignements faisant état des bruits qui courent dans certains milieux politiques du Zaïre d'après lesquels il y a lieu de craindre que, si l'opération n'est pas menée avec des moyens très étendus, un massacre planifié des Européens retenus par les rebelles soit déclenché immédiatement. Pour empêcher cela, il faut des paras répartis en même temps sur le plus grand nombre de points possibles, c'est l'opinion de l'État-major belge. Et d'invoquer le succès de l'« opération Dragon Rouge » sur Stanleyville, en 1964 (pour suppléer à l'insuffisance militaire des troupes de Mobutu, le ministre belge Paul-Henri Spaak avait convaincu le gouvernement belge d'intervenir et les paras belges avaient sauté sur Stanleyville aux mains des rebelles mulélistes qui détenaient des centaines d'otages, pendant qu'une colonne terrestre prenait la ville à revers). Cependant, les mouvements d’aéronefs auxquels donnent lieu, en France et en Belgique, les préparatifs de l'intervention font craindre une perte de l’effet de surprise, essentiel à l'opération. De plus, la rébellion a été informée de l'opération par l'annonce qui en est faite à la radio et à la télévision par le premier ministre belge. Le motif qu'invoquera celui-ci pour se justifier c'est que, de toute façon, la radio sud-africaine en a parlé la première. En effet, des informations qui devraient rester secrètes circulent de plus en plus. Plus tard, il apparaîtra que des syndicalistes français, croyant naïvement que les événements sont le fait d'une rébellion de gauche, alors qu'il s'agit d'une affaire tribale favorisée par les Cubains représentant l'impérialisme soviétique, ont communiqué les plans de vol des rotations d'avions entre la France et le Zaïre. C'est ce que découvrent les services d'écoute français qui surveillent les liaisons radios des rebelles. Et Radio France Internationale renchérit en annonçant le départ des C-130 belges avec 1 100 parachutistes.

Le 17 mai, dans la journée, les légionnaires sont transportés par quatre DC-8 appartenant à la compagnie civile UTA, depuis Sari-Solenzara vers Kinshasa suivis par un Boeing 707 et des avions gros porteur américains (Lockheed C-5 Galaxy) emportant du matériel et de l'armement et cela, sans prévenir les Belges. Ce sont des pilotes militaires belges qui s'entraînent en Corse qui en préviennent leurs supérieurs à Bruxelles. L'OTAN avait déjà transmis une information concordante au gouvernement belge. Les Français arrivent à Kinshasa le 18 mai, à partir de 23 h 15. Les préparatifs sont faits à l'aéroport militaire de Kinshasa, notamment la réception de parachutes militaires américains T 10 S. Après une instruction rapide sur l'emploi du matériel américain dans la nuit du 18 au 19, le briefing a lieu, définissant les détails de l'opération dont les plans ont été conçus par le chef de la mission militaire française, le colonel Yves Gras et son état-major. Appuyé par l'ambassadeur, André Ross, il arrive à convaincre les autorités françaises de la possibilité d'une intervention militaire. Le commandement de l'opération lui est confié. Pendant ce temps, les avions zaïrois révèlent des avaries qui en rendent l'utilisation immédiate impossible7 Finalement, les deux Transall de l'armée de l'air française et les quatre C-130 Hercules zaïrois décollent le 19 à 10 h 40 pour emporter la première vague, après des difficultés rencontrées par le mauvais état des avions zaïrois et l'adaptation de parachutes américains qui ne sont pas équipés de système de largage des gaines d'armement et de matériel. Tout cela se déroule dans un contexte d'improvisation lié en particulier à l'insuffisance des moyens de transport aériens (les légionnaires et leur matériel ayant dû être transportés de Corse par des avions civils et des gros porteurs C-5 Galaxy de l'armée de l'air américaine.

Le 18 mai, en début d'après-midi, les C-130 du 15e Wing de transport aérien de la Force aérienne belge décollent de l'aéroport militaire de Melsbroek (Bruxelles) à destination de l'ancienne base belge de Kamina. Mais la France retarde l'autorisation de vol et l'Algérie refuse le survol de son territoire aux avions belges, alors qu'elle a laissé passer les Français. Il en résulte un détour de l'Afrique par l'Ouest, puis par le Sud pour aborder l'objectif, qui allonge le délai de l'intervention belge. En plus, les C-130 belges affrontent des problèmes de ravitaillement en fioul dans les anciennes colonies françaises dont l'infrastructure militaire est tenue par des Français. Finalement, les C-130 belges n'arrivent que dans l'après-midi du 19 mai et, à l'époque, beaucoup ne peuvent s'empêcher d'avoir l'impression que Paris freine l'opération belge, le président français Giscard d'Estaing voulant que l'opération de libération des otages se fasse au bénéfice des Français. Le 17 mai, le président de la République a téléphoné au général français Méry pour lui dire : « il faut absolument faire quelque chose avant les Belges ». Le motif est que l'évacuation des otages libérés n'est pas le seul but, mais qu'il faut chercher une victoire militaire.

Les contacts politiques franco-belges se déroulent dans une ambiance de rivalité et de confusion, les Français accusant les Belges de chercher à provoquer la chute de Mobutu et les Belges accusant les Français d'avoir abandonné toute idée de coopération. Le but serait de rechercher la chute de l'influence belge encore forte depuis la fin de la puissance coloniale, notamment dans le but de précipiter la faillite de la Gécamine, société sous contrôle d'intérêts belges. Au Zaïre même, des clans de Kinshasa semblent vouloir favoriser la rébellion, d'autres veulent la vaincre, mais répugnent à l'idée de faire appel à la Belgique, ancienne puissance coloniale, ne voulant plus lui devoir le salut, comme lors de l'« opération Dragon Rouge » du 24 novembre 1964. Au moment des événements de Kolwezi, la presse de l'époque se fait l'écho, à mots plus ou moins couverts, des insinuations des Français et des Belges. Des ouvrages qui paraîtront plus tard à Paris et à Bruxelles seront plus précis, engagés dans un sens ou dans l'autre. Certains iront même jusqu'à imputer le début du massacre à un ordre venu de Kinshasa dans le but de précipiter l'intervention européenne

L’opération Bonite

 

Le 14 mai, des fantassins zaïrois étaient arrivés aux abords de Kolwezi, suivant des parachutistes zaïrois inexpérimentés qui avaient été massacrés par les rebelles en arrivant au sol. Les fantassins zaïrois avaient regroupé des centaines d'otages et attendaient l'intervention étrangère.

 

Le 19 mai à 14 h 30, la première vague française, composée de 405 hommes (le PC et trois compagnies), saute à 250 mètres d'altitude sur l'ancien aérodrome. Six hommes sont blessés par des tirs d’armes légères dès le largage, un autre, le caporal Arnold, atterrissant loin de son unité, est tué et mutilé en pleine rue, sans avoir pu se défaire de son parachute.

Immédiatement, de violents combats de rue commencent, permettant de délivrer un premier contingent d'Européens retenus en otage ou qui avaient pu se cacher. Une colonne rebelle, avec une automitrailleuse légère Panhard AML, est stoppée vers 15 h à hauteur de la gare par un tir de lance-roquettes. Les groupes rebelles sont attaqués par des actions débordantes qui les contraignent à fuir la ville.

La ville est sous contrôle de la Légion dès la tombée de la nuit à 18 h. Les unités s’installent aux carrefours. Pendant la nuit, les rebelles contre-attaquent en s’infiltrant dans le tissu urbain mais sont stoppés par des embuscades de la Légion.

Le 20 mai, les premiers otages libérés sont amenés à l'aérodrome. Mais des témoignages accuseront plus tard des paras de débordements et d'exactions à l'encontre de la population. Ces témoignages seront notamment confirmés par Roger Rousseau, un légionnaire qui a participé à l'opération et qui a par la suite déserté.

 

Dans la nuit du 19 au 20, de nouveaux combats ont lieu. Le 20 mai à l'aube, vers h 30, une deuxième vague de 250 parachutistes français est larguée, le colonel Erulin ayant décidé de reporter le saut initialement prévu dans la soirée du 19, s'estimant en mesure de contrôler la situation avec les effectifs dont il dispose. Les parachutistes de la 4e  compagnie et des éléments de la Compagnie d'Appui sautent à l’est de la ville, en prenant les rebelles à revers et occupent cette partie de la ville dans la matinée. C'est dans la matinée que sont découverts les premiers charniers comptant plusieurs dizaines de corps d'Européens et de Zaïrois tués lors des premiers jours de l'invasion.

En même temps, le 20 mai, les parachutistes belges, partis le 19 de la base aérienne de Melsbroek en passant par une étape intermédiaire dans l'ex Afrique française, font un atterrissage d'assaut sur Kolwezi en une première vague de 600 hommes venant de Kamina sous les ordres du colonel Depoorter. Le charroi militaire va suivre avec la deuxième vague.

Une deuxième vague belge arrive avec des dizaines de véhicules, dont des transporteurs, pour aller chercher les européens isolés en brousse. Dans l’après-midi du 20, la ville minière de Metal-Shaba est elle aussi prise par le 2e REP. Les 200 rebelles qui l'occupaient sont forcés de l’évacuer, mais un sous-officier du REP, le sergent-chef Daniel, est tué au cours des combats. Entre-temps, les Belges ratissent la vieille ville comme la nouvelle. Ils comptent un para-commando tué. Le 1er bataillon commando occupe la vieille ville et le 3e occupe la nouvelle. Les Français s'occupent du quartier de Manika et de la gare.

L’audace et la rapidité d’exécution de l'opération ont créé un effet de surprise favorable aux légionnaires qui se sont emparés du centre-ville dans la foulée. En deux jours, ils ont pris le contrôle de la ville et libéré 2 800 ressortissants étrangers. Ils évacueront ceux-ci à l'aérodrome le 21 mai en même temps que les rescapés sauvés par les Belges. Ceux-ci transportent des rescapés par C-130 à Kamina d'où ils sont amenés à Bruxelles par huit Boeing de la Sabena. Il reste à Kolwezi de nombreux blessés regroupés à l'hôpital local que les pillages ont vidé de ses équipements. Mais les Belges ont amené leur propre matériel médical ainsi que deux chirurgiens militaires qui opèrent sans relâche. Les Français, eux, n'avaient amené aucun moyen médical.

Les Belges évacuent la ville de Kolwezi dans les 72 heures après le début de leur intervention mais restent dans la région avec du matériel de transport et continuent à contrôler la brousse contre un retour éventuel de rebelles et à évacuer d'autorité les derniers Belges et Français dont certains auraient souhaité rester. Les para-commandos belges resteront dans plusieurs villes du Shaba jusqu'au 28 juin, à Lubumbashi, Fungurume, Likasi, Kipushi, etc., en y distribuant des vivres et assurant la protection d'un certain nombre de cadres européens nécessaires à la survie de quelques entreprises, notamment minières.

Au total, il y a eu 1 180 para-commandos belges amenés par 8 C-130 suivi par 3 C-130 avec du charroi et des subsistances, 36 jeeps, dont la moitié blindées, et 26 transporteurs affectés aux sauvetages de civils en brousse, plus une antenne médicale. Pour le retour des réfugiés à partir de Kamina, 8 avions civils de la compagnie belge Sabena ont été réquisitionnés.

Relève

La région reste sous contrôle des parachutistes belges équipés de matériel de transport jusqu'au 28 juin, dans les villes de Kamina, Lubumbashi, Likasi, Kambove, etc. (voir, à ce sujet, dans la discussion, l'énumération du matériel belge et le rapport résumé des opérations de sauvetage tels qu'ils ressortent des rapports militaires belges) jusqu’à leur relève par une force africaine composée de troupes marocaines, sénégalaises, togolaises et gabonaises.

Une fois l'opération terminée, les Occidentaux poursuivent les efforts anti-guérilla puisqu'avec le SDECE et grâce à appui d'images de la CIA, l'UNITA de Jonas Savimbi conduira les 27 mai et 6 juin 1978 des embuscades entraînant la mise hors de combat de centaines de Katangais et de leurs conseillers militaires cubains et est-allemands.

Bilan

Environ 250 rebelles ont été tués, ainsi que cinq légionnaires, un para-commando belge et un para-commando marocain, vingt autres sont blessés. Les légionnaires ont également pris un millier d’armes légères, 4 canons, 15 mortiers et 21 lance-roquettes, et détruit 2 AML. Ces armes sont immergées dans un lac proche de Kolwezi.

Quelque 700 civils africains et 170 européens trouvèrent la mort lors de cette tentative de déstabilisation du régime du maréchal Mobutu, sans compter les pertes des parachutistes de l'armée zaïroise morts dans l'opération aéroportée avant l'arrivée de la légion.

Alors que les combats régnaient encore entre les parachutistes et les rebelles katangais, le délégué régional de la Croix-Rouge à Lusaka, Friedrich Steinemann, se rend par la route jusqu'à Kolwezi. Avec l'aide de volontaires recrutés sur place, il accomplit la délicate tâche d'enterrer les quelque 800 cadavres jonchant les rues. Cette besogne réalisée, il se rend à Lubumbashi puis à Likasi, parvient à réquisitionner un train qu'il charge de vivres - farine, lait en poudre et mil - afin de ravitailler les 80 000 civils de Kolwezi, dans l'indifférence quasi générale.

C'est la première fois que l'armée française utilise en opération le fusil de précision FR-F1.

Le dernier Transall C-160R R18 ayant participé à l'opération rejoindra le musée de l'air et de l'espace le 22 août 2012 Assemblé en 1967 et effectuant son premier vol le 16 septembre 1968, il est mis en service le 12 mars 1969 au sein de la 61e escadre de transport sur la base d’Orléans-Bricy. Sa dernière affectation est à N’Djamena où il participait à l'opération Épervier. Il totalise 22 018 heures de vol. Il sera pour l'occasion repeint par l'ESTA (escadron de soutien technique aéronautique) aux couleurs qu’il portait lors du largage du 2e régiment étranger de parachutistes sur Kolwezi. Le nez de l'avion est aux couleurs du 3/61 Poitou et du 1/61 Touraine auxquels il a successivement appartenu. Il porte enfin l'emblème du 2e REP et la mention « Ville de Kolwezi » en référence à l'opération Bonite.

 



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Industrie : la Manufacture Charentaise dans un mauvais pas

Publié à 21:05 par dessinsagogo55 Tags : sommaire article center jeune centerblog sur france saint monde société cadre merci
Industrie : la Manufacture Charentaise dans un mauvais pas

Industrie : la Manufacture Charentaise dans un mauvais pas

La Manufacture Charentaise (LMC), dernière fabrique dans le département de la célèbre pantoufle, symbole traditionnel de confort et de coin du feu, cherche un repreneur. Elle est en redressement judiciaire depuis le 25 juillet dernier.

Par C.H avec AFPPublié à 12:01

       
Moins d'un an après avoir obtenu le label "d'Indication géographique" qui garantit son savoir-faire, la charentaise de Charente est dans un mauvais pas : La Manufacture Charentaise (LMC), qui a regroupé plusieurs entreprises de fabrication de la célèbre pantoufle dont Rondinaud, cherche un repreneur.
La crainte de nombreuses suppressions d'emplois Les 108 salariés de LMC à Rivières, au nord-est d'Angoulême, devraient être fixés sur leur sort très prochainement, avec néanmoins la quasi certitude de la perte "colossale", selon une source syndicale, de près des deux-tiers des emplois.
L'entreprise, a été placée en redressement judiciaire le 25 juillet dernier.

 


Aujourd'hui, La Manufacture Charentaise fait l'objet de trois offres sérieuses de reprise mais la plus optimiste en termes d'emplois n'en reprendrait que 38.
Les trois dossiers sont ceux des Tricots Saint-James, de Pascal Becker, ex-cadre supérieur du groupe suisse Givaudan (parfums et arômes) et d'un duo d'investisseurs parisiens Stéphane Collaert et Thierry Le Guenic, repreneurs de Chevignon.
Au sujet de la reprise de l'entreprise, Renaud Dutreil se refuse à tout commentaire et évoque un processus de reprise "avec comme principal objectif la préservation du patrimoine de savoir-faire de l'entreprise".
 Pour le maire de Rivières, Michel Cuny, "une fermeture de LMC serait un choc. Ce serait pour la Charente perdre un peu de son patrimoine. C'est un savoir-faire reconnu", ajoute l'élu de cette commune de 2.000 habitants qui se rappelle que la fabrication des charentaises a employé alentour "jusqu'à 1.000 personnes".
Un chiffre d'affaires en chute libre Présidée par Renaud Dutreil, ex-ministre du gouvernement Raffarin, qui détient la moitié des parts, LMC est le fruit du regroupement en 2018 de quatre fabricants des célèbres chaussons charentais, qui réalisaient un total de 13 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel.
Selon une source proche du dossier, la société a depuis presque divisé par deux ce chiffre et enregistré une perte nette pour les quatre premiers mois de 2019 de près de 700.000 euros, une situation notamment due à des problèmes de direction et de "mauvais choix de commercialisation".
"On cherche à comprendre les causes de tout cela", dit Henri Lalouette, secrétaire départemental FO, le syndicat unique de la manufacture. 
L'entreprise, qui s'est tournée vers le haut de gamme, aurait trop rapidement abandonné ses ventes traditionnelles en grande surface.
Une clientèle "de plus en plus jeune Née à la fin du XIXe siècle, la charentaise est issue des rebuts de fabrication des industries textiles et papetières situées sur le fleuve Charente. Les savetiers locaux, en Charente comme en Périgord, ont eu l'idée de récupérer les feutres qui servaient au pressage pour en faire des chaussons, avec la languette caractéristique qui protégeait le pied du sabot de bois et la technique très particulière du "cousu-retourné" (semelle cousue et montée à l'envers, puis retournée).
"Le produit ne va pas s'arrêter", tempère Alexandre Bataille, président de l'Association pour la Promotion de la Charentaise (APC) chargée de gérer l'"indication géographique" délivrée le 25 mars 2019 par l'Institut national de la propriété industrielle (Inpi).

 


Demander le label qui protège la "charentaise de Charente-Périgord", "c'était avec l'idée de dire, le Made in France, c'est de la qualité, certes un peu plus cher mais on mise sur la technique et le savoir-faire pour les revaloriser" ajoute Alexandre bataille.
Car la charentaise, dont les modèles sont "relookés", "a le vent en poupe", assure-t-il, "avec une clientèle de plus en plus jeune. On est dans le cocooning, un peu bobo et écolo", poursuit Alexandre Bataille, président de Fargeot qui fabrique des charentaises, mais à Thiviers, en Dordogne.
 

 



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Airbus vend 300 avions à une compagnie indienne

Publié à 19:40 par dessinsagogo55 Tags : coup monde merci prix centerblog sur center france histoire
Airbus vend 300 avions à une compagnie indienne

Airbus vend 300 avions à une compagnie indienne, un des plus gros contrats de son histoire

Airbus a dévoilé ce mardi un mirobolant contrat ferme de 300 avions passé avec une compagnie low-cost indienne

Au prix catalogue, la gigantesque commande « ferme » dévoilée ce mardi par Airbus dépasse les 33 milliards de dollars. L’avionneur européen vient de vendre 300 avions d’un coup, des  A320neo​, à la compagnie low-cost indienne IndiGo. Un contrat qu’il qualifie lui-même comme un « des plus importants jamais passés avec un seul opérateur aérien ».

« Nous sommes ravis qu’IndiGo, l’un des premiers clients de l’A320neo, continue de construire son avenir avait Airbus », s’est félicité Guillaume Faury, le patron de l’avionneur.

IndiGo, un des compagnies enregistrant la plus forte croissance au monde, porte en effet avec cette commande sa future flotte à 730 A320neo et devient le plus gros opérateur mondial de ce monocouloir remotorisé. Riyaz Peermohamed, responsable commercial de la compagnie ne tarit pas d’éloges sur l’appareil. « Nous sommes ravis de collaborer à nouveau avec Airbus (…). L’avion, économe en carburant, permettra à IndiGo de continuer à miser sur la réduction des coûts d’exploitation et sur l’efficacité énergétique avec des normes de fiabilité élevées », dit-il.

 

Cette méga-commande comprend des A320neo, des A321neo et des A321LR à plus large rayon d’action. Airbus indique qu’à fin septembre 2019, l’A320neo, son nouveau best-seller, avait reçu « plus de 6.650 commandes fermes », de 110 clients différents.

 

 

 
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Affaire Balkany : La justice accepte

Publié à 19:29 par dessinsagogo55 Tags : monde france center sommaire annonce centerblog maison sur merci
Affaire Balkany : La justice accepte

Affaire Balkany : La justice accepte la première des deux demandes de mise en liberté du maire de Levallois

Patrick Balkany ne va toutefois pas sortir de prison, car la décision concernant sa demande de mise en liberté sur le deuxième volet de l'affaire n'a pas encore été rendue

F.F. avec AFP

 

Publié le 28/10/19 à 13h52 — Mis à jour le 28/10/19 à 14h03

 

Et de une pour 

Patrick Balkany. La justice a accepté ce lundi la première des deux demandes de mise en liberté du maire de Levallois, après plus d’un mois d’incarcération à la suite de sa condamnation pour « fraude fiscale ».

 

 Patrick Balkany reste néanmoins détenu, dans l’attente de la décision des magistrats sur sa seconde demande de mise en liberté, cette fois dans le volet « blanchiment » qui lui a valu cinq ans de prison en octobre. Ni le baron des Hauts-de-Seine, qui a refusé d'être extrait de sa cellule de la maison d'arrêt de la Santé, ni ses avocats n'étaient présents au délibéré. 

 

 

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Lana Turner : Filmographie

Publié à 17:50 par dessinsagogo55 Tags : aimer centerblog sur vie moi roman amour coup jeux place you film voyage extra sommaire
Lana Turner : Filmographie

Filmographie

Cinéma

 

 

1937 : Une étoile est née (A star is born), de William A. Wellman : Extra à Santa Anita

1937 : La ville gronde (They won't forget), de Mervyn LeRoy : Mary Clay

1937 : Le Grand Garrick (The Great Garrick), de James Whale : Mlle Auber

1938 : Les Aventures de Marco Polo (The Adventures of Marco Polo), d'Archie Mayo : Nazama's Maid

1938 : L'Amour frappe André Hardy (Love Finds Andy Hardy), de George B. Seitz : Cynthia Potter

1938 : Quatre au paradis (Four's a Crowd), de Michael Curtiz (non créditée)

1938 : Rich Man, Poor Girl (en), de Reinhold Schunzel : Helen Thayer

1938 : Coup de théâtre (Dramatic School), de Robert B. Sinclair : Mado

1939 : On demande le Docteur Kildare (Calling Dr Kildare), de Robert Z. Leonard : Rosalie Lewett

1939 : These Glamour Girls (en), de S. Sylvan Simon : Jane Thomas

1939 : Dancing Co-Ed, de S. Sylvan Simon : Patty Marlow

1940 : Two Girls on Broadway, de Mervyn LeRoy : Patricia 'Pat' Mahoney

1940 : We Who Are Young, de Harold S. Bucquet : Marjorie White Brooks

1941 : La Danseuse des Folies Ziegfeld (Ziegfeld girl), de Robert Z. Leonard : Sheila Regan

1941 : Dr Jekyll and M.. Hyde, de Victor Fleming : Beatrix Emery

1941 : Franc jeu (Honky Tonk), de Jack Conway : Elizabeth Cotton

1942 : Johnny, roi des gangsters (Johnny Eager), de Mervyn LeRoy : Lisbeth Bard

1942 : Je te retrouverai (Somewhere til find you), de Wesley Ruggles : Paula Lane

1943 : L'Amour travesti (Slightly dangerous), de Wesley Ruggles : Peggy Evans

1943 : La Du Barry était une dame (Du Barry was a Lady), de Roy Del Ruth : Cameo

1944 : Le mariage est une affaire privée (Mariage is a private affair), de Robert Z. Leonard : Theo Scofield West

1945 : Règlement de comptes (Keep your powder dry) d'Edward Buzzell : Valerie Parks

1945 : Week-end au Waldorf (Week-end at Waldorf), de Robert Z. Leonard : Bunny Smith

1946 : Le facteur sonne toujours deux fois (The Postman always rings twice), de Tay Garnett : Cora Smith

1947 : Le Pays du dauphin vert (Green Dolphin Street), de Victor Saville : Marianne Patourel

1947 : Éternel Tourment (Cass Timberlane), de George Sidney : Virginia Marshland

1948 : Le Retour (Homecoming), de Mervyn LeRoy : Jane McCall

1948 : Les Trois Mousquetaires (The Three Musketeers), de George Sidney : Milady de Winter

1950 : Ma vie à moi (A Life of Her Own), de George Cukor : Lily Brannel James

1951 : Laisse-moi t'aimer (M.. Imperium), de Don Hartman : Fredda Barlo

1952 : La Veuve joyeuse (The Merry Widow), de Curtis Bernhardt : Crystal Radek

1953 : Les Ensorcelés (The Bad and the beautiful), de Vincente Minnelli : Georgia Lorrison

1953 : Lune de miel au Brésil (Latin Lovers), de Mervyn LeRoy : Nora Taylor

1954 : Flame and the flesh, de Richard Brooks : Madeline

1954 : Voyage au-delà des vivants (Betrayed), de Gottfried Reinhardt : Carla Van Oven

1955 : Le Fils prodigue (The Prodigal), de Richard Thorpe : Samarra

1955 : Le Renard des océans (The Sea Chase), de John Farrow : Elsa Keller

1955 : La Mousson (The Rains of Ranchipur), de Jean Negulesco : Lady Edwina Esketh

1956 : Diane de Poitiers (Diane), de David Miller : Diane de Poitiers

1957 : Les Plaisirs de l'enfer (Peyton Place), de Mark Robson : Constance MacKenzie

1958 : Madame et son pilote (The Lady Takes a Flyer), de Jack Arnold : Maggie Colby

1958 : Je pleure mon amour (Another time, another place) (1958), de Lewis Allen : Sara Scott

1959 : Mirage de la vie (Imitation of Life), de Douglas Sirk : Lora Meredith

1960 : Meurtre sans faire-part (Portrait in Black), de Michael Gordon : Sheila Cabot

1961 : Par l'amour possédé (By Love Possessed), de John Sturges : Marjorie Penrose

1961 : L'Américaine et l'amour (Bachelor in Paradise), de Jack Arnold : Rosemary Howard

1962 : L'Inconnu du gang des jeux (Who's got the action ?), de Daniel Mann : Rosemary Howard

1965 : L'Amour a plusieurs visages (Loves has many faces), de Alexander Singer : Kit Jordan

1966 : Madame X, de David Lowell Rich : Holly Parker

1969 : The Big Cube, de Tito Davison : Adriana Roman

1974 : Persecution, de Don Chaffey : Carrie Masters

1976 : Bittersweet Love, de David Miller : Claire

1980 : Witches' Brew, de Richard Shorr : Vivian Cross

1982 : Les Cadavres ne portent pas de costard, de Carl Reiner : Jimmi Sue Atfeld (images d'archives)

1991 : Thwarted, de Jeremy Hummer : Margo Lane

Télévision

1969 : The Survivors (Feuilleton TV) : Tracy Carlyle Hastings (15 épisodes) (1969-1970)

1971 : The Last of the Powerseekers (Téléfilm) : Tracy Carlyle Hastings

1982 : Falcon Crest (Feuilleton TV) : Jacqueline Perrault (6 épisodes) (1982-1983)

1985 : La croisière s'amuse (The Love Boat) (série télévisée) : Eve Mills (2 épisodes)

 

  Lana Turner
 Lana Turner : Filmographie

 

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Lana Turner

Lana Turner

Lana Turner, de son vrai nom Julia Jean Mildred Frances Turner, est une actrice américaine de cinéma, née le 8 février 1921 à Wallace dans l'Idaho et morte le 29 juin 1995 dans le quartier de Century City à Los Angeles en Californie.

Lana Turner fait partie de la mythologie hollywoodienne. Incarnation du glamour hollywoodien, elle fut pendant près de 20 ans une des stars de la Metro-Goldwyn-Mayer. Elle détient un record pour s'être mariée sept fois

La destinée de Lana Turner a été aussi mouvementée que les scénarios de ses films. Sa mère Mildred Frances Cowan s'était mariée à 16 ans avec John Virgil Madison Turner et lui donne naissance à 17 ans. Ses parents étant instables, la petite habitait régulièrement chez sa grand-mère maternelle très stricte. Elle n'a que dix ans quand son père, Virgil Turner, est assassiné le 14 décembre 1930, dans une rue de San Francisco, après une partie de poker. Lana, alors prénommée Julia, est alors placée dans une institution religieuse avant de rejoindre sa mère, devenue esthéticienne, à Los Angeles.

La légende dit qu'un responsable de la revue The Hollywood Reporter, Billy Wilkerson, la remarque en 1935, dans un drugstore en train de déguster une glace, en face de la Hollywood Highschool, où elle suit depuis peu des cours de dactylographie. Il lui suggère de faire du cinéma et l'envoie se présenter aux dirigeants de l'agence de Zeppo Marx. Elle commence à faire de la figuration dans Une étoile est née (1937) de William Wellman, mais surtout elle y rencontre le réalisateur Mervyn LeRoy. Grand découvreur de talents, Lana Turner étant l’exemple le plus célèbre, le réalisateur détecte en elle un potentiel et lui donne un second rôle marquant dans le drame social, La ville gronde (1937). À la demande de Mervyn LeRoy, la jeune fille se prénomme désormais Lana et se fait surtout remarquer dans ce film par le port d'un sweater qui moule remarquablement ses formes. Grâce à ces pull-overs, trop petits pour elle, on la surnomme « sweater girl », elle devient une idole pour la jeunesse. Elle fera ensuite deux apparitions dans des films d'époque.

Lana Turner est liée par un contrat spécial à Mervyn LeRoy et en 1938, quand le réalisateur quitte la firme Warner Bros pour la firme Metro-Goldwyn-Mayer, il emmène avec lui sa jeune protégée. Elle commence alors sa longue et prestigieuse carrière dans cette firme. Elle suit des cours de diction, d'art dramatique et de danse à la Little Red School House, l'école de la MGM, en même temps que deux élèves célèbres : Judy Garland et Mickey Rooney. Elle tourne, son premier film MGM, avec ces « deux enfants stars » dans la populaire série des « Andy Hardy », L'Amour frappe André Hardy (1938). Mais très vite, Louis B. Mayer comprend que sa nouvelle recrue a tout pour remplacer la star Jean Harlow, qu'il vient de perdre tragiquement, et devenir le nouveau sex symbol de la compagnie.

Après avoir participé à plusieurs films de série B, elle éclate dans La Danseuse des Folies Ziegfeld de Robert Z. Leonard qui fut l'un des plus grands succès de 1941. Superproduction, ce film marque un véritable tournant dans la carrière de Lana et elle y éclipse ses partenaires : Judy Garland, Hedy Lamarr et James Stewart. Son salaire monte à 1 500 USD par semaine et la MGM lui offre désormais des rôles plus étoffés.

Elle tourne avec les stars les plus prestigieuses du studio, comme Spencer Tracy dans Dr. Jekyll and M. Hyde (où elle devait interpréter le rôle de la prostituée, avant qu'Ingrid Bergman ne le réclame), Robert Taylor dans Johnny, roi des gangsters de Mervyn LeRoy, Walter Pidgeon dans Week-end au Waldorf et surtout Clark Gable où l'alchimie du couple est explosive, ils se retrouveront dans plusieurs films dont Franc jeuJe te retrouverai ou Le Retour qui apparaitront au box-office. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Lana sera une des pin-up les plus populaires des G.I. et elle participera activement aux divertissements destinés au moral des troupes. En 1942 elle fait la connaissance du comédien/restaurateur Joseph Stephen Crane. Il deviendra son second mari avec lequel, le 25 juillet 1943, Lana donne naissance à sa fille unique, Cheryl.

C'est en 1946, avec le sulfureux Le facteur sonne toujours deux fois, qu'elle marquera à jamais la mémoire des cinéphiles. La MGM, pourtant peu habituée aux films noirs, lui donne un rôle de femme fatale. On se souviendra longtemps de la première apparition de Lana, toute de blanc vêtue. « Lana Turner, presque toujours habillée de blanc, le parfait de sa plastique, de ses mouvements de hanches. On cherchait, d’instinct, à deviner sous cette blancheur la rondeur d’un sein ou la ligne des fesses. » Elle nous donne une magnifique interprétation.

 

Lana Turner est l'une des actrices les plus rentables de la MGM, comme le prouvent ses succès suivants, le spectaculaire film Le Pays du dauphin vertLe Retour où elle retrouve Mervyn LeRoy et Clark Gable, deux films de George Sidney, Éternel Tourment avec Spencer Tracy, et Les Trois Mousquetaires où elle incarne la vénéneuse Milady de Winter aux côtés de Gene Kelly.

En 1953, elle trouve l'un de ses meilleurs rôles dans Les Ensorcelés, satire du milieu hollywoodien, sous la direction de Vincente Minnelli. Son rôle de Georgia Lorrison est inspiré plus ou moins de la vie de Diana Barrymore, fille de l'acteur John Barrymore. Le film fut nommé six fois aux oscars et reçut cinq trophées.

Elle joue surtout par la suite des personnages romanesques comme Crystal Radek dans la troisième version de La Veuve joyeuse, une grande prêtresse biblique dans Le Fils prodigue, une lady amoureuse du fils d'un Maharadjah dans La Mousson jusqu'à la maîtresse du roi Henri II Diane de Poitiers qui sera son dernier film chez MGM après dix-huit ans de règne.

« Lorsque j’ai eu fini Diane, avoua Lana Turner, je me revois encore quitter le studio sans un regard en arrière. Il était étrange de voir ces rues désormais vides. Elles avaient été ma seconde demeure, peut-être ma maison la plus stable durant dix-sept ans. Je me souviens combien j’étais excitée lorsque j’ai vu ces visages fameux à l’époque de l’âge d’or de la MGM et le bonheur de faire bientôt partie d’eux. Maintenant la gloire était passée. »

Elle est l'exemple même de la femme fatale et inspire les générations ultérieures. C'est d'ailleurs d'elle que vient le pseudonyme de la chanteuse américaine Lana Del Rey, la suite faisant référence à une voiture des années 1950.

Rendue à la liberté, Lana Turner accepte l'offre du producteur Jerry Wald de tourner Les Plaisirs de l'enfer aux côtés de l'acteur-réalisateur Lee Philips. Le film, adapté du best-seller Peyton Place, est un succès extraordinaire et donne un second souffle à la carrière de Turner. Il recueille neuf pré-candidatures aux Oscars, dont celui du meilleur rôle féminin pour Lana Turner et ce pour la première fois

Légitime défense

Mais une ombre va surgir dans la vie privée de la star. Le 4 avril 1958, la fille de Lana Turner, Cheryl Crane âgée de quatorze ans, assiste à une violente dispute entre sa mère et son amant de l'époque, le gangster Johnny Stompanato, avec qui elle entretient une relation tumultueuse, et qu'elle n'arrive pas à quitter. Cheryl le poignarde, en voulant défendre sa mère terrorisée par celui-ci qui menace de la tuer. Le scandale est énorme. Les journaux et les chaînes de télévision font leurs choux gras de cette triste affaire. Accusée d'homicide légitime, elle quittera libre le tribunal, après 18 jours d'emprisonnement, l'enquête ayant établi qu'elle avait agi pour protéger sa mère et sera confiée à sa grand-mère. Le tout Hollywood se demande si la carrière de la star n'est pas finie.

 

Malgré le scandale, Lana effectue une rentrée triomphale avec le flamboyant mélodrame de Douglas Sirk, Mirage de la vie. Les énormes recettes du film remettent à flots les studios Universal Pictures alors en proie aux plus graves difficultés financières et mettent également Lana Turner à l'abri financièrement car elle possède 50 % des profits nets du film. Elle perçoit onze millions de dollars pour la seule première année d'exploitation mondiale.

Désormais, Lana tourne peu et ses quelques films sont loin d'être marquants. Elle est encore remarquable dans Madame X, son dernier grand rôle. Elle travaille pour le petit écran, notamment dans la série Falcon Crest en 1982 et 1983.

Elle s'éteint des suites d'un cancer de la gorge le 29 juin 1995.

 

Ses différents mariages

Mariée en février 1940 avec l'acteur : Artie Shaw - divorcée en septembre 1940.

Mariée en juillet 1942 avec l'acteur : Steve Crane - Comme Steve Crane n'était pas divorcé de sa première femme, ils annulèrent le mariage en janvier 1943, pour se remarier le 14 mars 1943, quand tout fut en règle - divorcée le 21 août 1944.

Mariée le 26 avril 1948 avec : Henry Topping - divorcée le 12 décembre 1952.

Mariée le 08 août 1953 avec l'acteur : Lex Barker - divorcée le 22 juillet 1957 au motif qu'il aurait abusé de sa fille Cheryl

Liaison durant les années 1950 avec le mafieux : Johnny Stompanato - tué le 4 avril 1958 par sa fille Cheryl

Mariée le 27 novembre 1960 avec : Fred May - divorcée le 15 octobre 1962.

Mariée le 22 juin 1965 avec : Robert Eaton - divorcée le 01 avril 1969.

Mariée le 09 mai 1969 avec : Ronald Dante - divorcée le 26 janvier 1972.

Liaisons avec : Howard Hughes, Tyrone Power, Tony Martin, Fernando Lamas, Peter Lawford, Errol Flynn, Rory Calhoun, Robert Taylor, Mickey Rooney et Frank Sinatra.

 

Citations

Un homme qui a réussi est un homme qui gagne plus d'argent que sa femme n'en dépense. Et une femme qui a réussi est une femme qui a trouvé un tel homme

 

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Emmanuelle Béart

Emmanuelle Béart

 

Emmanuelle Béart, née le 14 août 1963 à Gassin (Var), est une actrice française.

Elle est révélée en 1986 par sa performance dans le drame Manon des sources, de Claude Berri, qui lui vaut le César du meilleur second rôle féminin.

La décennie suivante, elle s'impose comme une actrice française de premier plan en étant dirigée par Jacques Rivette (La Belle Noiseuse, 1991), André Téchiné (J'embrasse pas, 1991) et Claude Sautet (Un cœur en hiver, 1991 ; Nelly et Monsieur Arnaud, 1995) et Claude Chabrol (L'Enfer, 1994). Puis elle participe à des grosses productions : les mélodrames en costumes Une femme française (1995) et Les Destinées sentimentales (2000), qui lui vaut sa septième et dernière nomination au César de la meilleure actrice. Par ailleurs, elle tient le premier rôle féminin du blockbuster hollywoodien Mission impossible (1996).

Durant les années 2000, elle privilégie un cinéma français populaire mais exigeant : elle fait ainsi partie des distributions de la comédie dramatique La Buche (1999), de la comédie musicale 8 Femmes (2001), de la satire À boire (2004), de la comédie noire Le Héros de la famille (2006) et de la comédie dramatique Mes stars et moi (2008).

Mais elle tient aussi les premiers rôles des thrillers psychologiques La Répétition (2001), de Catherine Corsini et de Nathalie... (2003), d'Anne Fontaine, ainsi que du film d'horreur Vinyan (2008), de Fabrice Du Welz. Elle retrouve également André Téchiné pour les drames historiques Les Égarés (2003) et Les Témoins (2007). Quant à Jacques Rivette, il lui confie l'un des rôles-titre de la romance Histoire de Marie et Julien (2002).

Son dernier film français, à ce jour, est la comédie dramatique Les Yeux jaunes des crocodiles (2014), dont elle partage l'affiche avec Julie Depardieu.

De 1996 à 2006, elle est ambassadrice de bonne volonté de l'UNICEF et participe à de nombreuses activités humanitaires. Engagée politiquement, elle s'implique notamment dans un soutien aux étrangers en situation irrégulière

 

 
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Emmanuelle_B%C3%A9art

 
     
     
     
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Jackie Chan

Publié à 17:37 par dessinsagogo55 Tags : humour center sommaire centerblog image sur jeux homme société background merci
Jackie Chan

 

 

Jackie Chan, né Chan Kong-sang le 7 avril 1954 à Hong Kong, est un acteur, chanteur, cascadeur, scénariste, réalisateur et producteur chinois.

Spécialiste en arts martiaux, il est mondialement reconnu dans les domaines du kung fu et des films d'action. Dans ses films, il est connu pour son style de combat acrobatique, son sens de l'humour et ses cascades sensationnelles. Depuis les années 1970, il est apparu dans plus d'une centaine de films. Il a reçu une étoile sur le Walk of Fame d'Hollywood et l'Avenue des stars à Hong Kong. En tant qu'icône culturelle, il a été mentionné dans diverses chansons pop, dessins animés et jeux vidéo. En plus d'être acteur, il s'est essayé à la chanson dans les genres cantopop et mandopop, notamment sur le thème de ses films. Il a chanté lors de la cérémonie de clôture des Jeux olympiques d'été de 2008.

Jackie Chan est un homme d'affaires qui utilise son image dans différents domaines (ligne de vêtements, chaîne de cinémas, etc.) et il possède sa société de production (JCE Movies Limited), qui produit notamment ses films depuis 2005. Il est un important philanthrope, en dédiant une partie des bénéfices qu'il tire de ses activités du show business à des œuvres caritatives. Son autobiographie, I Am Jackie Chan, est sortie en 1998.

 

 

   
   
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Jackie_Chan
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