Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
30.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Un pétard est un dispositif explosif de faible puissance principalement utilisé pour le bruit qu'il produit. Ces artifices participent à l'ambiance de nombreux rassemblements populaires et fêtes, traditionnelles notamment.
La faible puissance des pétards est relative, certains modèles détonent assez fort pour blesser ou mutiler si l'on ne respecte pas le mode d'emploi du fabricant. L'usage non conforme fait néanmoins partie des pratiques courantes chez nombre d'utilisateurs, qu'il s'agisse de lancer allumé ou de destruction matérielle. Les mèches courtes et les éclats d'objets amènent beaucoup d'imprudents aux urgences.
En France, ces artifices sont réglementés par la loi et se divisent en plusieurs classes allant des K1 (utilisation libre) aux K4 (professionnels).
d'un cylindre conteneur de papier enroulé, obstrué à chaque extrémité par retournement des parois et/ou par un bouchon de mortier ou d'argile comprimé. Les couches de papier extérieures sont généralement colorées en rouge ("rouge pétard").
d'une charge de poudre confinée au centre du cylindre.
d'une mèche qui dépasse d'une extrémité du cylindre (parfois d'un de ses côtés) et plonge dans la charge pour permettre son allumage.
certains modèles contiennent une bourre supplémentaire constituée d'argile en poudre de part et/ou d'autre de la charge.
La mèche classique (gaine de cellulose grise contenant de la poudre noire), source d'imprécision et de problèmes d'allumage, est remplacée chez certains fabricants par de la "mèche visco". Cette mèche plus fiable dispose d'une vitesse de combustion plus homogène et prévisible, source d'un peu plus de sécurité dans certaines pratiques à risques. Elle est enveloppée d'un tissé textile et enduite d'une matière plastique (nitrocellulose) qui la protège de l'humidité et permet à la combustion de se poursuivre même si la mèche est totalement immergée dans l'eau.
Les différentes gammes
Les fumigènes (marque démon ou hard-migène). Ce sont des éléments dégageant de la fumée sulfureuse.
Les fusées (marque Obingode, démon ou Tigre). Ce sont des pétards utilisant une propulsion arrière, leur permettant de monter à une trentaine de mètres.
Les pétards réguliers. Mêmes marques. Pétards à mèche dont la quantité de poudre peut varier selon les explosifs.
Les chaînes successives de pétards, imitant le bruit des mitraillettes. Elles en contiennent de 20 à 1000 explosant à la chaîne.
Les ficelles détonantes (ex : Démon, ...) qui s'utilisent en tirant sur les extrémités d'une ficelle pour faire exploser le pétard situé au milieu.
Les pois fulminants plus connus sous le nom de claque-doigt, petits sachets de papier contenant quelques cristaux ou graviers couverts de faibles quantités de fulminate d'argent. Le sachet détone lorsqu'on le jette au sol, ou qu'on le frotte entre deux doigts.
Les amorces, petites capsules de plastique contenant une faible dose de fulminate d'argent que l'on fait détoner par percussion.
Les pétards à grattoir qui s'allument comme des allumettes de sûreté, par friction sur un support au phosphore. La mèche lente est contenue dans le corps du pétard, elle laisse assez de temps à l'utilisateur pour le jeter au loin après allumage.
Les pétards sont répartis en plusieurs classes :
K1 : autorisé à toute personne de plus de 8 ans (parfois 12 ans pour certains pétards).
K2 et K3 : vente et utilisation interdites aux mineurs.
K4 : réservé aux professionnels ayant une licence.
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Les activités pyrotechniques ont donné lieu à des accidents historiques particulièrement meurtriers et ont fait l'objet, très tôt, d'une réglementation très efficace pour réduire le risque pyrotechnique. Les matériaux mis en œuvre appartiennent à la classe 1, et font l'objet de règles strictes à la fois pour leur usage et pour leur transport.
Étiquette GHS classe 1.
L'apparente simplicité des recettes de fabrication des compositions pyrotechniques conduisent chaque année à de nombreux accidents domestiques mortels ou conduisant à des mutilations chez des personnes ayant voulu reproduire des formulations pyrotechniques parfois trouvées sur internet. Les produits pyrotechniques sont,par nature, métastables et peuvent réagir à la suite d'une sollicitation extérieure involontaire :
choc mécanique ;
friction ;
électricité statique ;
chaleur ;
étincelle.
La réaction est d'autant plus favorisée que le matériau est confiné et donc incapable d'évacuer l'énergie reçue. Si de nombreux accidents pyrotechniques se sont produits au cours de l'histoire industrielle de la France, un des plus récent et des plus spectaculaire demeure l'explosion du dépôt de feux d'artifice de Enschede aux Pays-Bas le 13 mai 2000, qui a entrainé des dégâts très importants et une boule de feu de 135 m, ainsi que le décès de 22 personnes (974 blessés).
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Ci-dessous est présentée une liste non-exhaustive des principales unités défilant ou ayant défilé sur l'Avenue des Champs-Élysées lors du 14 Juillet.
Élèves de l'École militaire interarmes.
Environ 4 000 militaires et civils (policiers, sapeurs-pompiers) défilent à pied.
L'École polytechnique ;
L'École des officiers de la gendarmerie nationale ;
L'École spéciale militaire de Saint-Cyr ;
L'École militaire interarmes et l'École d'administration militaire ;
L'École navale et l'École militaire de la flotte ;
L'École des officiers du commissariat de la marine ;
L'École de l'air et l'École militaire de l'air ;
L' École de santé des armées;
L'École nationale des sous-officiers d'active ;
L'École de maistrance ;
L'École des mousses ;
L'École de formation des sous-officiers de l'armée de l'air ;
Les deux régiments d'infanterie de la garde républicaine ;
Le 1er régiment d'hélicoptères de combat ;
La brigade de sapeurs-pompiers de Paris ;
Le bataillon de marins-pompiers de Marseille ;
Marins du porte-hélicoptères Jeanne d'Arc ;
L'École nationale supérieure de la police ;
L'École nationale supérieure des officiers de police ;
L'École nationale de police ;
Les pionniers de la Légion étrangère ;
La musique de la Légion étrangère ;
La musique des équipages de la flotte (Brest et Toulon) ;
Le 1er régiment étranger de cavalerie ;
L'École nationale supérieure des officiers de sapeurs-pompiers.
Élèves sous-officiers de l'École nationale des sous-officiers d'active.
Ci-dessous est présentée une liste non-exhaustive des principales unités défilant ou ayant défilé sur l'Avenue des Champs-Élysées lors du 14 Juillet.
Le régiment de cavalerie de la Garde républicaine attendant d'ouvrir le défilé des troupes montées, défilé du 14 juillet 2008 (sur les Champs-Élysées, Paris)
Unités montées
Environ 240 chevaux défilent avec leur cavalier.
La fanfare du régiment de cavalerie de la Garde républicaine ;
Le régiment de cavalerie de la Garde républicaine.
Ci-dessous est présentée une liste non-exhaustive des principales unités défilant ou ayant défilé sur l'Avenue des Champs-Élysées lors du 14 Juillet.
Un ERC-90 Sagaie sur les Champs-Élysées en 2005.
Environ 460 véhicules dont 80 motos défilent.
Un état-major de force opérationnelle ;
Un bataillon de chasseurs alpins ;
Un régiment de chasseurs ;
Un bataillon du Régiment du train ;
Un escadron motocycliste de la gendarmerie ;
Un régiment étranger d'infanterie ;
Un régiment étranger de génie ;
Un régiment de spahis des Forces armées ;
Un régiment du matériel ;
Un régiment d'artillerie de marine ;
Un régiment médical.
Ci-dessous est présentée une liste non-exhaustive des principales unités défilant ou ayant défilé sur l'Avenue des Champs-Élysées lors du 14 Juillet.
Avions en formation au-dessus de la place de la Concorde en 2012
Le défilé aérien d'ouverture comprend, outre les neuf Alpha Jets de la Patrouille de France, une soixantaine d'avions.
Boeing C-135 Stratolifter ;
Boeing E-3 Sentry (AWACS) ;
C-160 Transall ;
Dassault Mirage 2000 ;
Dassault Rafale ;
Dassault Super-Étendard ;
Eurocopter AS350 Écureuil ;
Eurocopter EC665 Tigre ;
Eurocopter SA330 Puma ;
Falcon 50 ;
Gazelle ;
Grumman E-2 Hawkeye ;
Lockheed C-130 Hercules ;
Lynx ;
Panther ;
Super Frelon.
Tahiti participe également au rayonnement et à la professionnalisation de la danse tahitienne, avec notamment la troupe des Grands Ballets de Tahiti.
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Les Grands Ballets de Tahiti sont une troupe polynésienne de [Danse mêlant traditionnel et contemporain] établie à Tahiti en Polynésie française. La danse tahitienne est communément appelée le tamure.
Fondés en 1998, ils comptent 25 danseuses, 20 danseurs, 20 musiciens et 6 chanteurs-choristes.
Les Grands Ballets de Tahiti n'ont jamais participé à aucun concours de danse car leurs créations sont extrêmement libres et n'entrent pas dans le cadre des règlements des concours qui se déroulent à Tahiti.
Afin de préserver leur liberté de créer, les chorégraphes de la troupe se situent délibérément en marge de la création traditionnelle.
Affichant une volonté d'être au-delà du folklore, leur dernière création (septembre 2006) appartient davantage au genre comédie musicale et est directement inspirée, de leur propore aveu, du Cirque du Soleil.
La qualité de l'exécution ouvre la voie à une professionnalisation de la danse tahitienne.
Tahiti : Le musée de Tahiti et des Îles
Les récits de Louis Antoine de Bougainville. et de James Cook de la découverte de Tahiti dans les années 1768-1779 vont propulser l’île dans l’imaginaire européen. Plus spécifiquement, en interprétant de manière erronée l'accueil des Tahitiens, les découvreurs vont diffuser une image idéalisée de l'île, « Nouvelle-Cythère », où règne la plus grande liberté sexuelle : « Vénus est ici la déesse de l’hospitalité, son culte n’y admet point de mystères, et chaque jouissance est une fête pour la nation ». Tandis que la découverte des îles Marquises par Álvaro de Mendaña et Pedro Fernandes de Queirós n’avait pas suscité un tel engouement, l’exploration scientifique d’une nouvelle terre au milieu du Pacifique sud va passionner les savants et les artistes du xviiie siècle. C’est notamment le récit des relations avec les Tahitiens, leur accueil, la description de la société et des mœurs tahitiennes qui va enflammer l’imagination du public européen et susciter une littérature abondante
Les philosophes des Lumières voient en Tahiti une incarnation de l’utopie de la vie sauvage et de la pureté originelle, où des Tahitiens simples et heureux ne sont pas contraints par des règles artificielles et pesantes mais privilégient avant tout la liberté, et la fraternité. Diderot écrit ainsi en 1772 dans son conte philosophique Supplément au voyage de Bougainville : « La vie sauvage est si simple et nos sociétés sont des machines si compliquées ! l'Otaïtien touche à l'origine du monde et l'Européen touche à sa vieillesse ». De son côté, Voltaire déclare après avoir lu les récits de navigateurs : « On peut assurer que les habitants de Tahiti ont conservé dans toute sa pureté la plus ancienne religion de la terre »
Après la colonisation de l'île par la France, l'administration coloniale encourage la vision idyllique de Tahiti. Ainsi, lors de l'exposition universelle de 1889, Tahiti est représentée par deux cases d'indigènes et une dizaine de Tahitiens. De multiples productions agricoles et artisanales sont présentées au Pavillon central. De nombreuses publications en marge de l'événement contribuent à véhiculer une image mythique de l'île et de ses habitants. Dans le Livre d'or de l'Exposition, on peut ainsi lire : « Je parlais des paradis restés, voici le plus délicieux de tous (…), Tahiti. Tahiti, ce pays sans intempérie, où le printemps est éternel, comme l'amour des femmes tahitiennes (…). »
Les écrivains s’emparent également de cette île mythique dans leurs récits. En 1872, lors d’un séjour à Tahiti, « ce pays des rêves », Pierre Loti écrit Le mariage de Loti, roman exotique sur sa liaison avec une jeune Tahitienne, Rarahu. Publié en 1880, le roman reçoit un accueil enthousiaste du public et de la critique. Ce récit contribue à alimenter le mythe tahitien. En 1898, le récit est adapté à l’opéra par Reynaldo Hahn, sous le nom de L’Île du rêve.
En 1891, Paul Gauguin s'installe à Tahiti où il espère pouvoir fuir la civilisation occidentale et tout ce qui est artificiel et conventionnel. Influencé par les écrits des lumières, il se lance à la recherche de cette pureté originelle. Il vit d'abord à Papeete, mais il trouve la ville trop occidentalisée. Il s'installe alors aux Marquises, en espérant y découvrir la polynésie authentique. Ses peintures contribueront activement au mythe polynésien.
Aujourd'hui, l'île est restée la plus célèbre de l'archipel polynésien et Tahiti reste un nom chargé d'exotisme qui enflamme l'imaginaire des Occidentaux, bien plus que le terme Polynésie française. Les guides touristiques ne s'y trompent d'ailleurs pas, puisque tous utilisent le terme Tahiti dans le titre de leurs ouvrages sur la Polynésie : « Tahiti et la Polynésie française » ou encore « Tahiti et les îles de la Société ». Même l'office du tourisme de la Polynésie française, d'ailleurs baptisé « Tahiti Tourisme », présente la Polynésie française sous l'expression « Tahiti et ses îles ». Par métonymie, le nom de l'île est souvent utilisé pour désigner la Polynésie française dans son ensemble.
Tahiti : Le musée de Tahiti et des Îles
Caricature d'Adolphe Léon Willette (vers 1890-1900).
Une ceinture de chasteté est une ceinture conçue pour empêcher les relations sexuelles et la masturbation. Il existe des ceintures de chasteté pour homme et pour femme.
Elles étaient utilisées à la Renaissance par quelques maris riches et jaloux craignant l'infidélité de leurs épouses, souvent beaucoup plus jeunes qu'eux. La première description d'une ceinture de chasteté se trouve dans le Bellifortis de Konrad Kyeser, un ouvrage de la fin du XIVe siècle. Au XIXe siècle, à l'époque qui a vu se développer l'engouement pour le Moyen Âge, a été inventé le concept du seigneur jaloux,affublant son épouse d'une ceinture de chasteté durant ses absences. Aujourd'hui, les ceintures sont utilisées lors des pratiques de BDSM.