Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
30.11.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Louis-Philippe Ier, ou simplement Louis-Philippe, né le 6 octobre 1773 à Paris (France) et mort le 26 août 1850 à Claremont House, Surrey (Royaume-Uni), est le dernier roi à avoir régné en France, entre 1830 et 1848, avec le titre de « roi des Français ». Bien moins traditionaliste que ses prédécesseurs, il incarna un tournant majeur dans la conception et l'image de la royauté en France.
Premier prince du sang sous la Restauration (car descendant de Louis XIII), le prince Louis-Philippe a, au cours de sa vie, porté successivement les titres de duc de Valois (1773-1785), duc de Chartres (1785-1790) et enfin celui de duc d’Orléans (1793-1830) avant d’accéder à la couronne en 1830, son cousin Charles X ayant été renversé par les « Trois Glorieuses », des 27, 28 et 29 juillet 1830.
Dix-huit ans à la tête d’un royaume en profondes mutations sociales, économiques et politiques, Louis-Philippe – par la monarchie de Juillet – a tenté de pacifier une Nation profondément divisée avec les armes de son époque : mise en place d’un régime parlementaire, accession de la bourgeoisie aux affaires manufacturières et financières, permettant un essor économique de première importance en France (révolution industrielle).
La branche cadette des Bourbons, la maison d’Orléans, accède alors au pouvoir. Louis-Philippe n’est pas sacré roi de France mais intronisé roi des Français. Son règne, commencé avec les barricades de la révolution de 1830, s’achève en 1848 par d’autres barricades, qui le chassent pour instaurer la Deuxième République. La monarchie de Juillet, qui a été celle d’un seul roi, marque en France la fin de la royauté. Elle fait suite à la monarchie dite « conservatrice » que constitue la Restauration entre 1814 et 1830. La monarchie de Juillet est dite « libérale », et le monarque doit renoncer à la monarchie absolue de droit divin (absolutisme). L’idéal du nouveau régime est défini par Louis-Philippe répondant à la fin de janvier 1831 à l’adresse que lui envoie la ville de Gaillac : « Nous chercherons à nous tenir dans un juste milieu, également éloigné des excès du pouvoir populaire et des abus du pouvoir royal ». Cependant, la chute du régime qu’il a fait naître a pour principales causes d'une part la paupérisation des « classes laborieuses » (paysans et ouvriers) et d'autre part le manque de compréhension de la part des élites de la monarchie de Juillet pour les aspirations de l’ensemble de la société française.
Après une agitation, le roi remplace le ministre François Guizot par Adolphe Thiers, qui propose la répression. Reçu avec hostilité par la troupe stationnée au Carrousel, devant le palais des Tuileries, le roi se résout à abdiquer en faveur de son petit-fils, le comte de Paris, comme nouveau roi sous le nom de Louis-Philippe II, en confiant la régence à sa belle-fille, Hélène de Mecklembourg-Schwerin, mais en vain. La Deuxième République est officiellement proclamée dans la foulée.
Louis-Philippe se voulait être un « roi citoyen » à l'écoute du pays réel, appelé au trône et lié au pays par un contrat dont il voulait tirer sa légitimité. Cependant, il n'a pas répondu au désir d’élargissement du corps électoral, pour les plus conservateurs en baissant le cens, pour les plus progressistes en établissant le suffrage universel.
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Maria Corazon Sumulong Cojuangco, plus connue sous le nom de Corazon Aquino, et, plus fréquemment encore, sous celui de Cory Aquino (née le 25 janvier 1933 à Paniqui et morte le 1er août 2009 à Makati), est une femme d'État philippine. Elle est la première femme présidente des Philippines, du 25 février 1986 au 30 juin 1992.
Biographie
En 1955, elle épouse Benigno Aquino, peu après l'élection de celui-ci au poste de maire de Concepcion, dans la province de Tarlac. Elle est la mère de Benigno Aquino III.
Son mari est ensuite élu gouverneur de la province en 1961, puis sénateur en 1967 et, après la mise en place de la loi martiale par le président Ferdinand Marcos en 1972, arrêté, condamné à mort en 1977 et exilé aux États-Unis en 1980 pour « raisons médicales ».
Le 21 août 1983, alors qu'il avait reçu une promesse de vie sauve de la part du gouvernement philippin, Benigno Aquino, de retour d'exil, est assassiné à sa descente d'avion par un soldat prétendu franc-tireur, qui est aussitôt opportunément abattu.
S'ensuit une période de deux ans et demi durant laquelle l'opposition philippine et un large mouvement populaire font pression sur sa veuve pour qu'elle prenne la tête, à titre de symbole, de l'opposition au régime du président Marcos. Elle se présente à l'élection présidentielle de février 1986 et, dans la fièvre électorale qui s'ensuit, marquée notamment par l'assassinat de l'ex-gouverneur de la province d'Antique (Philippines) et soutien de Cory Aquino, Evelio Javier (en), il y a proclamation simultanée de deux vainqueurs le 25 février 1986, chaque camp se prétendant victorieux. La manifestation non-violente de plus d'un million de personnes dans l'avenue principale de Manille, le refus de l'armée de prendre position et les manœuvres diplomatiques internationales contraignent toutefois le président Marcos à prendre à son tour le chemin de l'exil en catastrophe sous la pression populaire. Le palais de Malacañan est envahi par la foule en liesse.
La neutralité de l'armée philippine, commandée par le général Fidel Ramos, est probablement déterminante dans l'accession de Cory Aquino à la présidence de la République.
Durant son mandat, elle crée une commission présidentielle afin de récupérer les biens mal acquis du couple Ferdinand et Imelda Marcos. Une nouvelle constitution est adoptée en 1987, mais sept tentatives de coup d'État militaires ont lieu, qui échouent cependant face à la vigilance du général Ramos, désormais très proche du nouveau pouvoir.
En janvier 1987, des milliers de paysans qui manifestaient afin d'obtenir du gouvernement des augmentations de salaire sont brutalement dispersés par l'armée, et 13 personnes sont tuées.
Cory Aquino, qui ne brigue pas un nouveau mandat à l'élection présidentielle de 1992, voit Fidel Ramos lui succéder. Il s’agit d’une « alternance » pacifique, situation auparavant inhabituelle aux Philippines.
Elle reçoit le prix Ramon-Magsaysay 1998 pour son action en faveur de la démocratie.
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Klement Gottwald, né le 23 novembre 1896 à Dědice, ou bien Vyškov ou encore Hoštice-Heroltice et mort le 14 mars 1953 à Prague, est un homme d'État tchécoslovaque, premier président de la Tchécoslovaquie communiste, du 14 juin 1948 à sa mort, le 14 mars 1953. Il est décédé peu après les obsèques de Staline.
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Henri Désiré Landru, né le 12 avril 1869 à Paris (19e arrondissement) et mort le 25 février 1922 à Versailles, est un célèbre tueur en série et criminel français. Il fut surnommé « le Barbe-Bleue de Gambais ».
Biographie
Henri Désiré Landru est issu d'une famille modeste. Il est né en 1869, au 41, rue de Puebla (aujourd'hui avenue Simon-Bolivar), dans le quartier de Belleville à Paris. Il est le fils cadet de Julien Alexandre Silvain Landru, 34 ans, chauffeur aux Forges de Vulcain (qui se suicida au bois de Boulogne le 28 août 1912), et de Flore Henriquel, 34 ans, couturière et blanchisseuse à domicile (décédée en 1910). Le couple avait déjà une fille, Florentine Marguerite Landru (née en 1854). La famille est établie à Paris, rue du Cloître-Notre-Dame, où Landru a passé l’essentiel de son enfance heureuse.
Il fréquente l'école des Frères de la rue de Bretonvilliers et y fait de bonnes études, remarqué pour ses aptitudes en dessin et en mathématiques. Il est enfant de chœur à l'église Saint-Louis-en-l'Île où sa famille s'est installée quelques années plus tôt et il y officie parfois comme sous-diacre en 1888, si bien que ses parents envisagent de le faire entrer au séminaire. Il ne parvient pas à réaliser des études supérieures en architecture, mais devient en 1889 commis d’architecte chez les sieurs Bisson-Alleaume-Lecoeur.
En 1889, il ment pour séduire Marie-Catherine Remy, jeune femme qui habite chez sa mère blanchisseuse rue Saint-Louis-en-l'Île, prétendant travailler dans son cabinet d'architecte en tant que technicien. Il l'épouse le 7 octobre 1893 après ses trois années réglementaires de service militaire accompli au 87e régiment d'infanterie de Saint-Quentin et au cours duquel il atteint le grade de sergent. Le couple a quatre enfants :
En 1922, juste après l'exécution de leur père, Marie-Henriette, Maurice-Alexandre et Charles-Eugène Landru demandent officiellement de substituer le nom de naissance de leur mère, Remy, à celui de Landru.
De 1893 à 1900, il pratique une dizaine de métiers (comptable, employé de commerce, cartographe, entrepreneur de travaux tel que couvreur, plombier, etc.) et change quinze fois d'employeur.
La naissance des quatre enfants met le couple dans la difficulté financière, aussi cherche-t-il à faire fortune en fondant une prétendue fabrique de bicyclettes à pétrole avec laquelle il commet sa première escroquerie : il organise une campagne de publicité nationale, spécifiant que toute commande doit être accompagnée d'un mandat représentant un tiers du prix. Les commandes affluent alors qu'il n'a pas investi pour les fabriquer, et il disparaît avec l'argent sans jamais livrer les bicyclettes. Ces différents échecs l'affligent d'un sentiment de déréliction mythomaniaque. Landru avait cependant officiellement et légalement déposé, en 1899, un brevet de bicyclette à moteur auprès de l'Institut national de la propriété industrielle.
Allant d'escroquerie en escroquerie, dissimulé sous de faux noms, il collectionne les condamnations à des peines d'amende et de prison (deux ans en 1904, treize mois en 1906), mais, après une tentative de suicide dans sa geôle, parvient à sortir de détention grâce aux expertises de médecins psychiatres qui le déclarent dans « un état mental maladif qui, sans être de la folie, n'est plus du moins l'état normal ».
En 1909, il est condamné à trois ans de prison ferme pour escroquerie : à la suite d'une annonce matrimoniale, il avait fêté ses fiançailles avec une certaine Jeanne Isoré, puis s'était fait remettre les titres de celle-ci avant de disparaître.
Dès sa sortie de prison, il monte une nouvelle escroquerie, une carambouille : il achète un garage, qu'il revend immédiatement sans avoir payé le précédent propriétaire. La justice l'identifie assez vite comme étant l'auteur de ce délit, et il prend la fuite. En 1914, il est condamné par contumace pour cette affaire à quatre nouvelles années de prison. S'agissant de sa troisième condamnation à une peine de plus de trois mois, le verdict est assorti de la peine accessoire de relégation, c'est-à-dire qu'il est condamné à être déporté à vie au bagne de Guyane. Landru, qui a déjà connu la prison, sait que la détention en Guyane se passe dans des conditions extrêmement difficiles avec un taux de mortalité très élevé. Il est dès lors possible, mais ce n'est là qu'une conjecture, que cette condamnation ait joué un rôle dans sa transformation en assassin : faisant déjà l'objet d'une quinzaine de plaintes, il ne pouvait tout simplement plus se permettre d'être reconnu par l'une de ses victimes.
Pour se procurer des revenus, Landru va, à partir de 1914, franchir le pas qui le conduira à l'échafaud. À l'instar de Johann Otto Hoch (en) et de George Joseph Smith (en), il se fait passer pour un homme veuf, esseulé et disposant d'une certaine aisance, et entreprend de séduire des femmes seules qui, sans être véritablement riches, possèdent quelques économies et surtout, mènent une vie suffisamment isolée de leur entourage.
Simulant une prospérité qui n'est que de façade, il leur fait miroiter le mariage et les invite à séjourner brièvement dans une villa isolée qu'il loue, d'abord à La Chaussée-près-Gouvieux, près de Chantilly (Oise). Il loue ensuite une nouvelle villa en Seine-et-Oise (actuel département des Yvelines), à Vernouillet où il assassine quatre personnes. Mais il doit abandonner cette résidence à la suite d'un banal contrôle dans le train : contrôlé avec un billet périmé, il avait été obligé de produire des papiers mentionnant cette adresse. Craignant que la police ne s’y présente, il décida d’abandonner les lieux en août 1915. Il s'établit alors à Gambais (toujours en Seine-et-Oise). Le choix de la villa de Gambais fut motivé par son isolement (elle était à 300 m de la maison la plus proche) et par les dépendances et le sous-sol. Il y commet au moins sept autres meurtres.
En outre, la Belle Époque et la Première Guerre mondiale voient le développement du travail des femmes : les midinettes, grisettes, trottins, parfois obligées de pratiquer la prostitution occasionnelle pour survivre, sont autant de femmes seules susceptibles d'être ses victimes puisqu'il se présente dans ses annonces comme un homme veuf et aisé, capable de subvenir à leurs besoins. Enfin, le premier conflit mondial laisse de nombreuses veuves qui ne souhaitent pas demeurer longtemps en deuil, mais veulent se remarier pour améliorer leurs faibles pensions.
Sa première victime est Jeanne Cuchet, lingère et veuve de 39 ans qu'il rencontre en février 1914 dans le jardin du Luxembourg. Ses victimes suivantes sont « recrutées » par des annonces matrimoniales publiées dans des quotidiens. À force d'éloquence, il fait signer à ses victimes des procurations lui permettant ensuite de faire main basse sur leurs comptes bancaires. Il ne lui reste plus qu'à assassiner ces femmes, puis à faire disparaître leur corps. On supposera par la suite qu'il brûlait certaines parties des corps dans le fourneau des villas qu'il louait : bien qu'étant assez isolée, la maison de Gambais est suffisamment proche des autres habitations pour qu'à plusieurs reprises l'attention du voisinage ait été attirée par certaines odeurs nauséabondes s'échappant de la cheminée à des périodes où le chauffage intensif n'était pas indispensable. Toutefois, comme Henri Landru se montre assez discret dans l'accomplissement de ses crimes, ces faits resteront dans l'ombre tant que n'éclatera pas l'affaire. De plus, il bénéficie du contexte trouble de la Première Guerre mondiale ; ainsi, alors qu'il est fiché comme escroc en fuite pour sa précédente condamnation, il peut se permettre, sans courir le risque d'être arrêté, de rentrer de temps en temps auprès de son épouse et de ses enfants, qui le croient brocanteur, et qu'il fait profiter du produit de ses crimes.
Landru utilise plus de 90 pseudonymes. Lorsque l'une de ses victimes lui demande des papiers d'identité afin d'organiser le mariage promis, il prétend être originaire des régions du Nord occupées par l'Allemagne, ce qui rend impossible la vérification de son identité. Selon la psychiatre des hôpitaux Francesca Biagi-Chai, qui a repris les expertises judiciaires de l'époque, c'est ce contexte de guerre qui transforme la psychose latente ordinaire de Landru en schizophrénie mortifère : puisque les soldats tuent pour une raison, cet homme cultivé, soucieux de subvenir aux besoins de sa famille mais aussi amoureux d'une chanteuse dont il a été l'amant, trouve lui aussi une raison économique de tuer en série des femmes pourtant pas très riches. C'est dans un contexte non sans similitudes que la Seconde Guerre mondiale engendrera à son tour un Marcel Petiot.
À la fin de 1918, le maire de Gambais reçoit une lettre d'une certaine Mme Pellat, lui demandant des nouvelles de son amie Mme Anne Collomb qui, fiancée à un M. Dupont, s'était établie avec lui à Gambais ; le maire répond qu'il ne connaît pas cette personne. Quelque temps plus tard cependant, l'édile reçoit une lettre d'une certaine Mlle Lacoste, qui lui demande des nouvelles de sa sœur, Célestine Buisson, laquelle se serait également installée à Gambais avec un M. Frémyet.
Frappé par la similitude de ces demandes, le maire met en contact les deux familles qui se rendent compte que Dupont et Frémyet semblent être la même personne : les deux disparues ont répondu à des annonces de rencontre similaires parues le 16 mars 1915 dans L'Écho de Paris et le 1er mai 1915 dans Le Journal. Les deux familles s'unissent pour porter plainte contre X auprès du parquet de la Seine. Une enquête de police menée par l'inspecteur Jules Belin permet alors d'établir que la villa en question baptisée « l'Ermitage », appartient à un certain Monsieur Tric, qui la loue à un Monsieur Frémyet, résidant à Rouen. Dupont/Fremyet est introuvable à Rouen, mais son courrier est réexpédié chez M.Guillet, demeurant boulevard Ney à Paris, c’est-à dire à l’adresse de Célestine Buisson.
L’enquête piétine. Les recherches sur cette personne demeurent vaines jusqu'à ce que, le 8 avril 1919, une voisine de Mlle Lacoste reconnaisse le mystérieux homme au bras d’une nouvelle amie et sortant d'un magasin de faïences rue de Rivoli à Paris, où il avait acheté de la vaisselle. Alerté, Jules Belin parvient à localiser l'individu, nommé Lucien Guillet, grâce au vendeur du magasin qui avait enregistré l'adresse de ce client qu'il devait livrer. Ce Lucien Guillet est arrêté à son domicile 76, rue de Rochechouart, le 12 avril 1919, jour de ses cinquante ans par les inspecteurs Brandenburger et Jules Belin. Ils retrouvent à son domicile un brevet au nom d'Henri Désiré Landru et un petit carnet sur lequel sont inscrits onze noms, dont ceux des deux disparues sur lesquelles enquêtait Jules Belin. Une autre version veut que pendant son transport hippomobile vers les bureaux des brigades mobiles, Landru sorte un petit carnet noir de sa poche et tente de le jeter par la fenêtre, mais que le brigadier Riboulet s'en empare.
L’affaire Landru fera immédiatement la une des journaux — où son nom est parfois orthographié « Nandru » —, ce qui déclenchera de nombreux témoignages spontanés qui aideront l’enquête. La police aura connaissance en quelques jours des villas de Gambais et de Vernouillet, mais aussi de garages que Landru louait à Neuilly et à Clichy pour y stocker les affaires de ses victimes. L'examen des archives de Landru — et en particulier son registre de comptes, méticuleusement tenu — révèle une vaste opération d'escroquerie au mariage : pas moins de 283 femmes sont entrées en contact avec Landru à la suite d'annonces matrimoniales passées par celui-ci dans des journaux, mais beaucoup d'entre elles ne deviennent pas ses victimes, car elles ne sont pas assez isolées de leur entourage ou n'ont pas assez de biens. Dans le carnet « traduit » par le brigadier Riboulet, la découverte par le commissaire Dautel des noms de onze femmes déclarées officiellement disparues conduit le juge Bonin à inculper Landru de meurtres dès le 14 avril 1919.
Des perquisitions ont lieu chez Landru, 76 rue de Rochechouart à Paris, mais aussi dans les deux villas qu'il louait successivement, à Vernouillet, puis à Gambais, conduisant à la découverte à Gambais de débris supposés humains dans un tas de cendres retrouvé dans un hangar, dans la cheminée, et dans la cuisinière ; on trouve également des agrafes, des épingles, des morceaux de corset, des boutons en partie brûlés. En tout, la police retrouve 4,176 kg de débris d'os calcinés, dont 1,5 kg provenant de corps humains, ainsi que 47 dents ou fragments de dents. Le médecin légiste annonce à la presse que ces os correspondent à trois têtes, cinq pieds et six mains.
Le 28 juin 1919, les enquêteurs Kling et Beyle font brûler dans la cuisinière une tête de mouton et un gigot de sept livres : ils constatent que le tirage est excellent et que la graisse de la viande assure une parfaite combustion. De même, dans un garde-meuble (un garage loué à Clichy par Landru), les enquêteurs retrouvent du mobilier ayant appartenu à l'une des victimes. Landru, après avoir fait disparaître ses « fiancées », se rendait à leur domicile, déménageait les meubles avec son fils (qui prenait son père pour un entrepreneur) et les entreposait, avant de les revendre aux enchères.
Les papiers personnels de Landru sont examinés, en particulier sa comptabilité, qui révèle l'achat de plusieurs scies à métaux, de scies à bûches et de beaucoup de charbon ; les noms des fiancées y sont même associés à des heures qui paraissent, pour les enquêteurs, constituer les heures des crimes : (« 12 avril 1917 Mlle Babelay 4 h soir ; 1er septembre 1917 Mme Buisson 10 h 15 ; 26 novembre 1917 Mme Jaume 5 h ; 5 avril 1918 Mme Pascal 17 h 15 »).
L'un des éléments les plus accablants est fourni par des reçus de billets de train : Landru achetait, lors de ses déplacements en train à Vernouillet ou Gambais, un aller-retour (pour lui) et un aller simple (pour la fiancée). Interrogé sur ce sujet, l'accusé avance plusieurs explications : il lui restait un billet aller simple à utiliser ; ces notes trouvées dans le carnet mentionnent un tarif et non une dépense ; acheter un aller-retour pour la fiancée aurait été un manque de tact. Cette défense ne convainc pas.
Il semble aujourd'hui acquis, tant par les analystes que par les historiens, que les victimes étaient découpées et que les corps (tronc, jambes, bras) étaient soit enterrés dans des bois, soit jetés dans des étangs, tandis que les têtes, les mains et les pieds étaient incinérés (vraisemblablement dans la cuisinière de la villa).
La police se livra à une enquête sans précédent afin de savoir si Landru avait fait d'autres victimes que celles mentionnées dans son carnet. Elle chercha et retrouva une grande partie des femmes avec lesquelles il avait été en contact. On n'attribua donc à Landru que les assassinats des onze personnes présentes sur la liste de son carnet. Un doute subsiste toutefois sur une éventuelle douzième victime en mai ou juin 1916, d'autant que Landru parla souvent de « douze femmes » à son procès.
Le 18 août 1920, le juge Bonin récapitule toutes les charges : le dossier de plus de 5 000 pièces est si volumineux que le substitut Gazier, chargé d'établir le réquisitoire définitif, profite des vacances du juge Bonin pour l'étudier dans le cabinet du magistrat. Le dossier d'instruction contient un important faisceau de présomptions, mais aucune preuve irréfragable. Landru n'avoue rien pendant ses nombreux interrogatoires, parlant seulement à deux aliénistes pour tenter de les manipuler et de se faire passer pour irresponsable.
Landru est accusé du meurtre de onze personnes :
février 1915 : Jeanne Cuchet née Jamast, lingère, veuve d'un commerçant, 39 ans, disparue à Vernouillet ;
février 1915 : André Cuchet, fils de Jeanne Cuchet, 17 ans, vendeur dans une lingerie, disparu à Vernouillet ;
26 juin 1915 : Thérèse Laborde-Line, née le 12 août 1868 à Chascomús (Argentine), séparée d'un mari aubergiste, 46 ans, disparue à Vernouillet ;
3 août 1915 : Marie-Angélique Guillin, née Pelletier le 15 avril 1863 à Bellavilliers (Orne), ancienne gouvernante, 52 ans, disparue à Vernouillet ;
8 décembre 1915 : Berthe-Anna Héon, 55 ans, née au Havre, veuve, femme de ménage, disparue à Gambais ;
27 décembre 1916 : Anna Collomb, 44 ans, veuve, secrétaire dans une compagnie d'assurances, disparue à Gambais ;
12 avril 1917 : Andrée-Anne Babelay, 19 ans, domestique chez une cartomancienne, disparue à Gambais ;
1er septembre 1917 : Célestine Buisson, veuve, femme de ménage, disparue à Gambais ;
26 novembre 1917 : Louise-Joséphine Jaume, 38 ans, séparée à partir de 1916 de son époux Paul Jaume et en instance de divorce, disparue à Gambais ;
5 avril 1918 : Anne-Marie Pascal, née le 5 novembre 1880 à Toulouse, divorcée, couturière, 37 ans, disparue à Gambais ;
13 janvier 1919 : Marie-Thérèse Marchadier, née le 27 octobre 1881 à Bordeaux, ancienne prostituée tenancière d'une maison de passe rue Saint-Jacques, à Paris, connue sous le nom de la belle Mytèse, 37 ans, disparue à Gambais (où la police retrouvera les cadavres de ses trois chiens, étranglés).
Le procès-fleuve qui passionna les contemporains s'ouvre, après deux ans et demi d'instruction, le 7 novembre 1921 devant la cour d'assises de Seine-et-Oise siégeant à Versailles. La cour est présidée par le président Gilbert assisté de Messieurs Schuler et Gloria, assesseurs ; M. Godefroy officie comme avocat général ; Landru choisit comme avocat Me Vincent de Moro-Giafferri, assisté de Me Auguste Navières du Treuil tandis que les parties civiles sont représentées par Me Lagasse et Me Surcouf.
Le procès à grand spectacle attire le Tout-Paris (Mistinguett, Raimu, Berthe Bovy ou Colette, alors chroniqueuse judiciaire) et même l'aristocratie étrangère, sous le charme de l'humour provocateur de l'accusé. Au cours du procès, le jeune artiste peintre René Aubert réalise des dessins destinés à la presse.
La cuisinière dans laquelle Landru était supposé avoir fait brûler les corps de ses victimes est même transportée dans la salle d'audience.
Landru nie jusqu'au bout être l'auteur des crimes dont on l'accuse, concédant toutefois avoir volé et escroqué ses supposées victimes. Il fait preuve à diverses reprises d'une éloquence souvent provocante devant la Cour, allant, par exemple, jusqu'à s'exclamer : « Montrez-moi les cadavres ! ». Landru est également renommé pour certaines de ses réparties, certaines attestées par les témoins de l'époque, d'autres apocryphes :
À l'huissier chargé de lui remettre la liste des jurés : « Il n'est pas vraiment utile de se déranger, surtout un dimanche, pour si peu de choses ».
Au président : « Ma mémoire est surmenée par ces longs débats » — « Chaque fois qu'on voit sur mon carnet un chiffre en haut d'une page, on en déduit que ce fut l'heure où j'accomplissais un crime ! » — (le président) « Voyons Landru, toutes ces femmes... vos enfants ne disaient rien ? » — (Landru) « Quand je donne un ordre à mes enfants, moi, monsieur le Juge, ils obéissent. Ils ne cherchent pas le pourquoi ni le comment. Je me demande comment vous élevez les vôtres ! »
« Vous parlez toujours de ma tête, Monsieur l'avocat général. Je regrette de n'en avoir pas plusieurs à vous offrir ! »
« Moi ? J'ai fait disparaître quelqu'un ? Eh bien, ça alors ! Si vous croyez ce que racontent les journaux ! »
(Le président) « Vous pleurez, Landru : vous éprouvez le besoin de libérer votre conscience ? » — (Landru) « Oui, je pleure mes fautes, je me repens... j'ai des remords... je pleure parce que je pense qu'avec tout le scandale fait autour de mon nom, on a appris à ma pauvre femme que je l'avais trompée. »
« Si les femmes que j'ai connues ont quelque chose à me reprocher, elles n'ont qu'à déposer plainte ! »
Alors que Landru vient de déclencher l'hilarité du public par une nouvelle repartie, le président menace : « Si les rires continuent, je vais demander à chacun de rentrer chez soi ! », ce à quoi Landru réplique : « Pour mon compte, monsieur le Président, ce n'est pas de refus ».
Son avocat, Vincent de Moro-Giafferri, le défendit en mettant en place une scène qui eut lieu pendant sa plaidoirie : il affirma que des victimes avaient été retrouvées et allaient venir se présenter devant la cour d'assises. Le public et les jurés tournèrent la tête vers la porte que le « ténor du barreau » avait alors désignée, et après avoir laissé planer le suspense, souligna le fait que tous ceux qui avaient tourné la tête vers la sortie avaient ainsi démontré leur manque de conviction concernant la réalité des assassinats imputés à son client, mettant en évidence l'absence de preuves formelles contre Landru, faute de cadavre retrouvé. L'avocat général rétorqua du tac au tac que Landru, lui, n'avait pas tourné la tête vers la porte…
Mais, face à une série de témoignages accablants et un faisceau de présomptions convaincantes, Moro-Giafferi ne peut lui éviter d'être condamné à mort : au terme de huit heures de délibérations, les jurés déclarent Henri Désiré Landru coupable de onze meurtres et le condamnent à la guillotine le 30 novembre 1921. Le président de la République Alexandre Millerand rejette le 24 février suivant le recours en grâce déposé.
Alors qu'on vient chercher Landru dans sa cellule à 5 h 25 du matin pour le conduire à l'échafaud, l'aumônier se serait approché et lui aurait demandé « Mon fils, croyez-vous en Dieu ? », Landru lui ayant répondu « Monsieur le curé, je vais mourir et vous jouez aux devinettes ». Landru est guillotiné à l'entrée de la prison de Versailles à l'aube du 25 février 1922 par le bourreau Anatole Deibler, qui note dans son carnet « 6 h 10. Temps clair ». Landru a demandé comme dernière volonté de pouvoir se laver les pieds, ce qui lui a été refusé par peur d'un suicide. Peu avant son exécution, alors qu'on lui propose un verre de rhum et une dernière cigarette, Landru décline l'offre et répond : « Ce n'est pas bon pour la santé. ». À son avocat qui, avant son exécution, lui demandait si, finalement, il avouait avoir assassiné ces femmes, Landru répondit : « Cela, Maître, c'est mon petit bagage... ».
Il fut enterré dans la partie réservée aux condamnés à mort du cimetière des Gonards à Versailles. Sa famille prit en charge l'inhumation et la mise en place de sa tombe surmontée d'une simple croix en bois mentionnant les seuls prénoms Henri Désiré comme requis par la loi pour tout supplicié. La concession ne fut plus redemandée par la famille au terme des cinq ans, fin octobre 1927 et la tombe fut dépouillée de ses ornements.
Landru est toujours inhumé dans le même cimetière, mais rien n'indique l'emplacement de sa tombe, comme de nombreuses autres tombes de condamnés, inhumés en ce cimetière.
De son incarcération en 1919 jusqu'à son exécution en 1922, il aurait reçu plus de 4 000 lettres d'admiratrices dont 800 demandes en mariage. Cette fascination érotique porte un nom, l'hybristophilie.
Conséquences de l'affaire
Fernande Segret, artiste lyrique, dernière maîtresse de Landru avec qui il vivait maritalement lors de son arrestation, avouera pendant l'instruction que celui-ci avait tenté de l'empoisonner par deux fois. Après l'affaire, elle fit carrière dans un cabaret parisien, puis partit travailler comme institutrice au Liban. S'estimant diffamée par le film Landru de Claude Chabrol en 1963, elle obtint 10 000 francs de dommages et intérêts de la part du producteur du film. À la date anniversaire de la demande en mariage faite par Landru, le 21 janvier 1968, elle se jeta dans les douves du château de Flers, non loin de la maison de retraite où elle s'était retirée. Dans sa chambre, il y avait deux photos : l'une de sa mère, l'autre de Henri Désiré Landru.
La Villa Tric de Gambais fut pillée par la foule, puis vendue à un restaurateur qui la rebaptisa Au Grillon du Foyer et aménagea une partie de la bâtisse en musée. Le restaurant ferma ses portes en 1940 et la maison fut ensuite revendue à des particuliers.
La cuisinière de la villa de Gambais aurait été acquise dans un premier temps par un collectionneur américain. Deux journaux français des années 1950 affirment au contraire qu'elle aurait été vendue aux enchères le 23 janvier 1923 par le palais de justice de Versailles pour 4 200 francs, à Anglade, directeur du Musée Grévin, la fonction du commissaire-priseur étant tenue par Béguin, receveur des Domaines en Seine-et-Oise. Depuis, elle a été rachetée par l'animateur, producteur et humoriste Laurent Ruquier. Passionné par le personnage, il a écrit une pièce sur le sujet, en 2005, mise en scène par Jean-Luc Tardieu au théâtre Marigny avec Régis Laspalès dans le rôle principal.
Un ancien médecin légiste aurait conservé un carton contenant des restes humains numérotés supposés être les os découverts dans la cuisinière de Gambais. En 1955, à la demande de ce médecin légiste, ce carton aurait été enterré au pied d'un saule pleureur du jardin des plantes de Paris.
Un dessin, représentant le fameux fourneau à charbon de la villa de Gambais, exécuté de la main même de Landru et intitulé non sans humour : Les Causes célèbres, un accusé témoigne fut remis par ce dernier à son avocat, Me Navières du Treuil, assistant de Me de Moro Giafferi, alors que ce dernier le pressait de lui dire s'il était ou non coupable. Il portait au dos, écrit de façon assez sibylline, une phrase qui est une forme d'aveu. Longtemps après, selon les dernières volontés de Me Navières du Treuil et après un délai de circonstance, le document fut transmis au Garde des Sceaux de l'époque (1981) Me Robert Badinter, qui à son tour en avertit l'historien et homme de télévision Alain Decaux, lequel relata l'affaire Landru dans une de ses émissions historiques ainsi que dans sa série de chroniques C'était le xxe siècle.
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Polaroid Corporation est une multinationale d'origine américaine d'abord spécialisée dans la fabrication de lunettes de soleil à verres polarisants puis d'appareils photographiques à développement instantané.
Histoire
La société a été fondée en 1937 par l'inventeur et scientifique américain Edwin H. Land dans le but d'exploiter sa propre invention, le Polaroid, un matériau polarisant aux très nombreux débouchés dans le domaine de l'optique. Elle est surtout connue pour un procédé de photographie à développement instantané unique au monde qu'elle a mis au point et développé à partir de 1948. Le procédé, destiné au grand public, a connu plusieurs évolutions, dont l'introduction de la couleur en 1963.
Très populaire chez les amateurs, l'image instantanée de Polaroid trouve aussi sa place dans le domaine médical, où elle est largement utilisée. Elle est aussi utilisée par les photographes professionnels, qui adaptent des dos recevant les films polaroid sur leur caméra pour tester l'éclairage et le cadrage de leurs photos argentiques.
En 1974, la société Polaroid estime à un milliard le nombre de photos réalisées avec le SX-70 et commence à concurrencer Kodak.
En 1977, Polaroid lance la Polavision, un procédé révolutionnaire permettant de réaliser des films 8 mm à développement instantané, vite dépassé par l'essor de la vidéo.
Dans les années 1970, le régime ségrégationniste sud-africain utilise le système de photographie instantanée de la marque pour la fabrication des passeports intérieurs imposés aux populations noires. Deux employés afro-américains, Ken Williams et Caroline Hunter, créent un mouvement (le Polaroid Revolutionary Workers Movement, ou PRWM) demandant l'arrêt des exportations vers l'Afrique du Sud jusqu'à la fin de l'apartheid. En réponse et après enquête menée sur place, la firme américaine interdira toutes vente aux agences gouvernementales sud-africaines dont les forces armées et la police. En 1977, quand Polaroid est informé que des importateurs vendent toujours des films servant à la fabrication des « passbooks », en violation avec sa politique, la firme stoppera la totalité de ses exportations vers l'Afrique du Sud et cessera toute relation avec les importateurs.
En 1979, le fonds d'investissements de Roy E. Disney, Shamrock Holdings lance une OPA hostile sur Polaroid Corporation. En mai 1979, Shamrock augmente son offre initiale pour Polaroid de 2,6 milliards d'USD à 3,2 milliards d'USD. La tentative d'achat s'arrête fin septembre 1979 avec une décision de la cour suprême du Delaware autorisant Polaroid à effectuer un rachat d'actions portant sur 16 millions d'actions. L'OPA hostile a duré huit mois et Shamrock annonce revendre les 4,96 millions d'actions achetées durant cette période.
Les difficultés dues à la percée de la photographie numérique conduisent la firme à se restructurer en 2001.
La fabrication des appareils à développement instantané cesse en 2007 avant de recommencer en juin 2009 avec la sortie du Polaroid Two, un appareil photo numérique de 5 Mpx avec imprimante, au format Polaroid, incorporée. Il permet de sélectionner les photos à imprimer.
En 2010, la chanteuse américaine Lady Gaga devient la directrice artistique de l'entreprise et le restera jusqu'en 2014 après avoir participé au lancement de nouveaux produits.
En 2012, Polaroid produit des imprimantes comme la Polaroid Pogo (une imprimante Bluetooth qui permet d'imprimer des photos directement à partir de son téléphone portable ou bien à partir d'un appareil photo compatible Pictbridge), du papier instantané pour ses imprimantes, des appareils photo instantané et un film instantané.
En janvier 2013, Polaroid présente au Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas l'iM1836, prototype d'un appareil photographique hybride fonctionnant sous système Android. À la suite d'une action en justice pour contrefaçon menée par Nikon pour sa ressemblance avec ses modèles J1 et J2, l'iM1836 (fabriqué par la société américaine Sakar et estampillé « Polaroid ») est interdit à la vente en décembre 2013. Il a été remplacé par l'iM1030W au look plus rétro présenté au CES 2014.
En mai 2017, Polaroid Corporation est racheté par l'un des actionnaires de l'Impossible Project, qui devient Polaroid Originals
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Charles VIII, dit « l'Affable », né le 30 juin 1470 au château d'Amboise, où il est mort le 7 avril 1498, est roi de France de 1483 à 1498.
Fils de Louis XI, il est le septième et dernier roi de la succession directe de la maison capétienne de Valois, qui règne sur la France depuis 1328 (Philippe VI).
Âgé de treize ans à la mort de son père (30 août 1483), Charles est placé sous la tutelle de sa sœur Anne, régente du royaume, qui continue de gouverner après la majorité du roi avec son époux Pierre II de Bourbon, sire de Beaujeu.
Fiancé en 1482 (traité d'Arras) à Marguerite, fille de Maximilien d'Autriche, alors régent de l'État bourguignon, Charles VIII entre en conflit avec celui-ci à propos du mariage de la duchesse Anne de Bretagne, qu'il épouse en 1491, rompant ses fiançailles avec Marguerite et cassant le mariage de Maximilien avec Anne. En contrepartie, il signe le traité de Senlis (1493), par lequel il restitue à Maximilien le comté d'Artois et le comté de Bourgogne (actuelle Franche-Comté).
En 1494, au nom des droits de la maison d'Anjou sur le royaume de Naples, il lance la France dans la première guerre d'Italie (1494-1497).
Il meurt accidentellement à la suite d'un choc de sa tête contre le linteau d'une porte du château d'Amboise.
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Anne d'Autriche (en espagnol Ana María Mauricia de Austria y Austria), infante d’Espagne, infante du Portugal, archiduchesse d’Autriche, princesse de Bourgogne et princesse des Pays-Bas, née le 22 septembre 1601 à Valladolid en Espagne et morte le 20 janvier 1666 à Paris d’un cancer du sein, est reine de France et de Navarre de 1615 à 1643 en tant qu’épouse de Louis XIII, puis régente de ces deux royaumes pendant la minorité de son fils Louis XIV (de 1643 à 1651). Fille du roi Philippe III (1578-1621), roi d’Espagne (1598-1621), et de l’archiduchesse Marguerite d'Autriche-Styrie (1584-1611), Anne d'Autriche est la mère de Louis XIV, le « roi Soleil », et de Philippe, duc d’Orléans.
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Tenzin Gyatso (tibétain : བསྟན་འཛིན་རྒྱ་མཚོ་, Wylie : bstan 'dzin rgya mtsho, THL : Tenzin Gyatso), né Lhamo Dhondup (tibétain : ལྷ་མོ་དོན་འགྲུབ་, Wylie : lha mo don grub, THL : Lhamo Dhondup) le 6 juillet 1935 à Taktser (Hongya (红崖村) en chinois), dans la province du Qinghai (l'Amdo), est le 14e dalaï-lama.
Moine bouddhiste de l'école gelugpa, il est intronisé chef temporel et spirituel du Tibet le 17 novembre 1950, un mois après le début de l'intervention de l'armée chinoise au Tibet. En 1959, il s'exile en Inde où il crée le gouvernement tibétain en exil qu'il dirige jusqu'à sa retraite politique en mars 2011, un Premier ministre lui succédant à la faveur d'une démocratisation en exil. Vivant à Dharamsala depuis plus de 60 ans, il est considéré comme le plus haut chef spirituel du bouddhisme tibétain, et par la plupart des Tibétains comme une émanation de Tchènrézi, le bodhisattva de la compassion4. Il plaide pour l'indépendance du Tibet jusqu'en 1973, puis pour une « véritable autonomie » de l'ensemble du Tibet (Ü-Tsang, Kham et Amdo) à l'intérieur de la Chine.
Il reçoit en 1989 le prix Nobel de la paix pour avoir constamment œuvré à la résolution du conflit sino-tibétain par la non-violence.
Il est souvent invité par des centres bouddhistes, des institutions ou des personnalités, et effectue de nombreux voyages à travers le monde pour enseigner le bouddhisme tibétain, et diffuser un message de paix et de non-violence.
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Décès
197 : Clodius Albinus, personnalité de la Rome antique (° 25 novembre 147). |
1309 : Bogusław IV, duc de Poméranie occidentale (° v. 1255 à 1258). |
1345 : Siemovit II, duc de Rawa (° 1283). |
1553 : Erasmus Reinhold, astronome et mathématicien allemand (° 22 octobre 1511). |
1554 : Marie de Poméranie, épouse de Otto IV de Schaumbourg (° 1527). |
1602 : Philippe-Emmanuel de Lorraine, duc de Mercœur et de Penthièvre (° 9 septembre 1558). |
1605 : Orazio Vecchi, compositeur italien (° 6 décembre 1550). |
1621 : Giacomo Sannesio, évêque et cardinal italien (° 1544 / 1560). |
1682 : Frédéric de Hesse-Darmstadt, cardinal allemand († 28 février 1616). |
1696 : Giovanni Pietro Bellori, archéologue, conservateur des Antiquités de Rome, historien, critique d'art et biographe italien (° 15 janvier 1613). |
1709 : Tsunayoshi Tokugawa, shogun japonais (° 23 février 1646). |
1727 : Francesco Gasparini, compositeur et professeur de musique italien (° 19 mars 1661). |
1794 : Étienne-Charles de Loménie de Brienne, cardinal et homme politique français (° 9 octobre 1727). |
1799 : Jean-Charles de Borda, mathématicien français (° 4 mai 1733). |
1816 : Jean-Pierre-François Guillot-Duhamel, ingénieur français (° 31 août 1730). |
1824 : John Orde, 1er baronnet Campbelle-Orde de Morpeth (Nortumberland), officier de marine et homme politique britannique (° 22 décembre 1751). |
1825 : Francisco de Eliza, officier naval, navigateur et explorateur espagnol (° 1759). |
1827 : |
François-Marie Bigex, évêque italien (° 24 septembre 1751). |
Armand Augustin Louis de Caulaincourt, général et diplomate français de la Révolution et de l’Empire (° 9 décembre 1773). |
1831 : Jacques Molinos, architecte français (° 4 juin 1743). |
1836 : Giuseppe Fieschi, conspirateur corse et français d'un attentat régicide manqué en 1835 (° 13 décembre 1790). |
1837 : Georg Büchner, écrivain et dramaturge allemand (° 17 octobre 1813). |
1841 : Claude François Chauveau-Lagarde, avocat et homme politique français (° 21 janvier 1756). |
1847 : José Joaquín de Olmedo, poète et homme politique équatorien, 4e président de l'Équateur (° 20 mars 1780). |
1873 (ou 18 février) : Vassil Levski, révolutionnaire bulgare (° 18 juillet 1837). |
1875 : Philothée O'Neddy, écrivain français (° 30 janvier 1811). |
1876 : Henri Patin, homme de lettres, helléniste et latiniste français (° 21 août 1793). |
1878 : Charles-François Daubigny, artiste peintre français (° 15 février 1817). |
1885 : Thomas Croxen Archer, botaniste britannique (° 1817). |
1886 : |
Prosper Giquel, officier de marine français (° 20 novembre 1835). |
Jacques-Émile Lafon, peintre français (° 26 janvier 1817). |
Joseph Matthäus Aigner, portraitiste austro-hongrois (° 18 janvier 1818). |
Grégoire Georges Ypsilantis, diplomate grec (° 17 septembre 1835). |
1887 : |
Robert Brown Potter (en), avocat américain, général de l'armée de l'Union lors de la guerre de Sécession (° 16 juillet 1829). |
Multatuli (Eduard Douwes Dekker dit), écrivain hollandais, auteur du roman Max Havelaar (° 2 mars 1820). |
1894 : Camillo Sivori, violoniste et compositeur italien (° 25 octobre 1815) |
1895 : John Whitaker Hulke, chirurgien et géologue britannique (° 6 novembre 1830) |
1897 : Karl Weierstrass, mathématicien allemand (° 31 octobre 1815). |
1912 : Ferdinand de Dartein, ingénieur des Ponts et Chaussées (IPC), architecte, artiste plastique et historien français de l'art (° 9 février 1838). |
1916 : Ernst Mach, physicien et philosophe autrichien (° 18 février 1838). |
1919 : Frederick DuCane Godman, ornithologue et entomologiste britannique (° 15 janvier 1834). |
1927 : Robert Fuchs, compositeur autrichien (° 15 février 1847). |
1936 : Max Schreck, acteur allemand (° 11 juin 1879). |
1942 : Gaston Bonnaure, homme politique français (° 21 janvier 1886). |
1943 : Charles Guernier, homme politique français (° 26 avril 1870). |
1951 : André Gide, écrivain français, Prix Nobel de littérature en 1947 (° 22 novembre 1869). |
1952 : Knut Hamsun, écrivain norvégien, Prix Nobel de littérature en 1920 (° 4 août 1859). |
1955 : Amarilis Fuentes, enseignante et femme politique équatorienne (° 1894). |
1957 : |
Maurice Garin, cycliste français (° 3 mars 1871). |
Percy Hobart, ingénieur militaire britannique (° 14 juin 1885). |
1962 : Émile Armand, anarchiste français (° 26 mars 1872). |
1964 : Giórgos Kalafátis, footballeur international grec (° 17 mars 1890). |
1965 : Tom Wilson, acteur américain (° 27 août 1880). |
1966 : Bruno Ernst Buchrucker, militaire allemand, fondateur de la Reichswehr noire (° 5 janvier 1878). |
1969 : Jean-Pierre Ducasse, coureur cycliste professionnel français (° 16 juillet 1944). |
1970 : Gaston Modot, acteur français (° 31 décembre 1887). |
1972 : John Grierson, documentariste britannique (° 26 avril 1898). |
1973 : Joseph Szigeti, violoniste américain (° 5 septembre 1892). |
1975 : Luigi Dallapiccola, compositeur italien (° 3 février 1904). |
1978 : Ovila Légaré, acteur et chanteur québécois (° 21 juillet 1901). |
1980 : Bon Scott, chanteur du groupe rock AC/DC (° 9 juillet 1946). |
1986 : Adolfo Celi, acteur italien (° 27 juillet 1922). |
1988 : |
René Char, poète français, à qui l'on doit notamment les Feuillets d'Hypnos (° 14 juin 1907). |
André Frédéric Cournand, physiologiste américain, prix Nobel de physiologie ou médecine en 1956 (° 24 septembre 1895). |
1993 : Alexandre Sergueïevitch Davydov, physicien ukrainien (° 26 décembre 1912). |
1994 : Derek Jarman, réalisateur britannique (° 31 janvier 1942). |
1995 : Paul Jamin, illustrateur de bande dessinée et caricaturiste belge (° 11 août 1911). |
1996 : |
Élisabeth Barbier, romancière française, jurée du prix Femina (° 25 avril 1911). |
Charlie Finley (en), homme d’affaires [américain, propriétaire des A's de Kansas City et d'Oakland (° 22 février 1918). |
Ernest Charles Manning, homme politique canadien, Premier ministre du Manitoba de 1943 à 1968 (° 20 septembre 1908). |
Patrice Sanahujas, dessinateur français (° 3 juillet 1952). |
Guy Eaden Shewell, entomologiste canadien d’origine britannique (° 16 juillet 1913). |
1997 : |
Antonio de Almeida, chef d’orchestre français (° 20 janvier 1928). |
Leonard Edelen, athlète de fond américain (° 22 septembre 1937). |
António Gedeão, poète portugais (° 24 novembre 1906). |
Yutaka Haniya, écrivain japonais (° 19 décembre 1909). |
Michel Hoguet, ancien député français (° 11 février 1910). |
Karin Magnussen, biologiste allemande (° 9 février 1908). |
Enrique Peralta Azurdia, ancien dictateur guatémaltèque (° 17 juin 1908). |
Leo Rosten, romancier et linguiste américain (° 19 avril 1908). |
Deng Xiaoping, dirigeant chinois (° 22 août 1904). |
1998 : |
Grandpa Jones, chanteur de musique country américain (° 20 octobre 1933). |
André Luisier, homme d'affaires suisse (° 20 juin 1924). |
Mancur Olson, économiste américain (° 22 janvier 1932). |
George Male, footballeur international anglais des années 1930 et 1940 (° 8 mai 1910) |
Fernand Oury, pédagogue français (° 18 janvier 1920). |
Larissa Tarkovskaïa, actrice soviétique puis russe (° 1er février 1933). |
1999 : |
Lloyd LaBeach, athlète de sprint panaméen (° 28 juin 1922). |
Georg Meier, pilote de moto et d'auto allemand (° 9 novembre 1910). |
Mohammad Sadeq al-Sadr, ayatollah chiite irakien assassiné avec deux de ses fils (° 23 mars 1943). |
2000 : |
Friedensreich Hundertwasser, artiste, peintre, penseur et architecte autrichien (° 15 décembre 1928). |
George Roussos, auteur de bandes dessinées américain (° 20 août 1915). |
Anatoli Sobtchak, homme politique soviétique puis russe (° 10 août 1937). |
Riccardo Tommasi Ferroni, peintre italien (° 4 décembre 1934). |
2001 : |
Stanley Kramer, réalisateur américain (° 29 septembre 1913). |
Charles Trenet, chanteur français (° 18 mai 1913). |
2002 : |
Lila De Nobili, artiste peintre italienne (° 3 septembre 1916). |
Virginia Hamilton, femme de lettres afro-américaine (° 12 mars 1934). |
Sylvia Rivera, militante transgenre américaine (° 2 juillet 1951). |
Gene Ruggiero, monteur américain (° 26 juin 1910). |
2003 : Washington Beltrán, avocat, journaliste et homme d'État uruguayen (° 6 avril 1914). |
2004 : |
David Hookes, joueur de cricket australien (° 3 mai 1955). |
Gurgen Margarian, militaire arménien (° 26 septembre 1978). |
Renata Vanni, actrice italienne puis américaine (° 12 octobre 1909). |
2005 : Kihachi Okamoto (岡本喜八), réalisateur japonais (° 17 février 1923). |
2006 : Angelo Brignole, cycliste sur route italien (° 10 mars 1924). |
2007 : |
Janet Blair, actrice et chanteuse américaine (° 23 avril 1921). |
Philippe de Bourgoing, homme politique français (° 25 juillet 1921). |
Celia Franca, danseuse, chorégraphe et directrice artistique canadienne (Ballet national du Canada) (° 25 juin 1921). |
Alexis Gourvennec, entrepreneur français, créateur de Brittany Ferries (° 11 janvier 1936). |
René Imbot, général d'armée français (° 17 mars 1925). |
2008 : |
Jean-Michel Bertrand, homme politique, maire de Bourg en Bresse (° 6 juin 1943). |
Natalia Bessmertnova, danseuse étoile russe (° 19 juillet 1941). |
Norbert Boucq, joueur et entraineur français de football (° 30 décembre 1932). |
Teo Macero, saxophoniste de jazz américain (° 30 octobre 1925). |
Peter Pianto (en), joueur australien de football australien (° 25 novembre 1929). |
Lydia Shum, senior artistes de Hong Kong (° 21 juillet 1945). |
David Watkin, chef opérateur britannique de cinéma (° 23 mars 1925). |
2009 : |
Pierre Barbotin, ancien coureur cycliste français (° 29 juin 1926). |
Oreste Lionello, acteur et doubleur vocal italien (° 18 avril 1927). |
Sadi (Pol Sadi Lallemand dit), vibraphoniste, compositeur et arrangeur belge (° 23 octobre 1927). |
2010 : |
Lionel Jeffries, acteur, réalisateur et scénariste britannique (° 10 juin 1926). |
Rudy Larriva, animateur et réalisateur américain (° 12 février 1916). |
Jamie Gillis, acteur et réalisateur pornographique américain (° 20 avril 1943). |
2011 : |
Bernhard Luginbühl, sculpteur suisse (° 16 février 1929). |
Ollie Matson, joueur américain de football américain (° 1er mai 1930). |
Dietrich Stobbe, Homme politique allemand (° 25 mars 1938). |
2012 : |
Ruth Barcan Marcus, Philosophe et logicienne américaine (° 2 août 1921). |
Renato Dulbecco, virologue italien, prix Nobel de physiologie ou médecine en 1975 (° 22 février 1914). |
Frits Staal, philosophe néerlandais (° 3 novembre 1930). |
2013 : Georges Vinson, homme politique et ambassadeur français (° 11 février 1930). |
2014 : Valeri Koubassov (Валерий Николаевич Кубасов), cosmonaute soviétique (° 7 janvier 1935). |
2016 : |
Jean-Pierre Duclos, acteur et doubleur vocal suisse francophone (VF de Sean Connery dans ses premiers "James Bond" ; ° 2 octobre 1931). |
Umberto Eco, Écrivain et philosophe italien (° 5 janvier 1932). |
Harper Lee, romancière américaine (° 28 avril 1926). |
2017 : |
Xavier Beulin, homme d'affaires et syndicaliste français (° 19 décembre 1958). |
Roger Knobelspiess, malfaiteur français devenu acteur et écrivain (° 15 septembre 1947). |
Nadiya Olizarenko, athlète soviétique puis ukrainienne (° 28 novembre 1953). |
Danuta Szaflarska, actrice polonaise (° 6 février 1915). |
2019 : |
Karl Lagerfeld, grand couturier, stylicien, photographe, réalisateur et éditeur allemand (° 10 septembre 1933). |
Nicole Martin, chanteuse et productrice québécoise (° 29 septembre 1949). |
2020 : |
Jean Daniel, écrivain et journaliste français devenu presque centenaire (° 21 juillet 1920). |
Jos van Kemenade, homme politique néerlandais (° 6 mars 1937). |
Jens Nygaard Knudsen, designer danois des petits bonshommes Lego (° 25 janvier 1942). |
Pop Smoke, rappeur américain (° 20 juillet 1999). |
2021 : |
Đorđe Balašević, auteur-compositeur-interprète serbe (° 11 mai 1953). |
Michel Bernard, homme politique français (° 3 novembre 1932). |
Philippe Chatel, auteur-compositeur-interprète français (° 23 février 1948). |
Arturo Di Modica, sculpteur italien (° 26 janvier 1941). |
Leopold Lippens, homme politique belge (° 20 octobre 1941). |
Clotilde Niragira, femme politique burundaise (° 1968). |
Ion N. Petrovici, neurologue allemand (° 19 août 1929). |
Antoine Pfeiffer, pasteur français (° 27 février 1940). |
Silvio Sérafin, joueur puis entraîneur français de football (° 3 avril 1938). |
2022 : |
Joey Beauchamp Joseph Daniel Beauchamp, dit, footballeur anglais (° 13 mars 1971). |
Jean-Luc Brunel, entrepreneur français du mannequinat (° 18 septembre 1946). |
Emile Francis, joueur de hockey sur glace canadien (° 13 septembre 1926). |
Dan Graham, artiste américain (° 31 mars 1942). |
Henriette Hanotte dite Monique, est une résistante belge pendant la Seconde Guerre mondiale (° 10 août 1920). |
Jacques Poos, banquier, économiste et homme politique luxembourgeois (° 3 juin 1935). |
Karl Vaino, homme politique soviétique puis russe (° 28 mai 1923). |
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Naissances de 1950 à ....
1950 : |
Johan Leysen, acteur belge. |
Jean-Pierre Malcher, pilote automobile français. |
1951 : |
Horace Andy, chanteur jamaïcain de reggae. |
Suzanne Angly, Miss Alsace 1968, puis Miss France 1969. |
Marc François, acteur français († 11 août 2009). |
Stephen Nichols (en), acteur américain. |
Bruno Sido, homme politique français. |
Shigeru Umebayashi, compositeur japonais. |
1952 : |
Steve James, acteur, cascadeur américain († 18 décembre 1993). |
Ryū Murakami, écrivain japonais. |
Rodolfo Neri Vela, spationaute mexicain. |
Danilo Türk, avocat, diplomate et homme d'État slovène. |
1953 : |
Corrado Barazzutti, joueur de tennis italien. |
Cristina Fernández de Kirchner, avocate et présidente de la Nation argentine. |
Conrad Murray, cardiologue américain. |
Jean-Pierre Raczynski, footballeur français. |
Massimo Troisi, acteur, réalisateur, scénariste et metteur en scène de théâtre italien († 4 juin 1994). |
1954 : |
Francis Buchholz, musicien allemand du groupe Scorpions. |
Huang Yong Ping, artiste contemporain d'origine chinoise naturalisé français. |
Sócrates, footballeur brésilien († 4 décembre 2011). |
1955 : |
Jeff Daniels, acteur, réalisateur et scénariste américain. |
Siri Hustvedt, écrivaine américaine. |
1956 : |
Jeffrey R. Immelt, homme d'affaires américain. PDG de General Electric de 2001 à 2017. |
George David Low, astronaute américain († 16 mars 2008). |
1957 : |
Falco, chanteur et musicien autrichien († 6 février 1998). |
Philippe Germond, dirigeant d'entreprises français. |
Ray Winstone, acteur britannique. |
1958 : |
Leslie David Baker, acteur américain |
Helen Fielding, écrivaine anglaise. |
Geoff Morrell, acteur australien. |
1959 : |
Thierry Anti, ancien joueur de handball français devenu entraîneur. |
Alain Marc, poète et écrivain français. |
1960 : |
prince Andrew de Grande-Bretagne, duc d'York, deuxième fils de la reine Élisabeth II. |
Eberhard Zorn , chef d'État-Major (Generalinspekteur) de la Bundeswehr depuis 2018. |
1961 : |
Justin Fashanu, footballeur anglais († 2 mai 1998). |
Michel Roussel, gendarme français. |
Andy Wallace, pilote d'endurance anglais. |
1962 : |
Daniel Kaplan, penseur français et un acteur du numérique et de son développement économique et social. |
Hana Mandlíková, joueuse de tennis tchécoslovaque, devenue australienne en 1988. |
Didier Wampas (Didier Chappedelaine dit), musicien français du groupe les Wampas. |
1963 : |
Jack Kachkar, homme d'affaires libano-canadien. |
Seal (Henry Olusegun Adeola Samuel dit), auteur-compositeur et interprète britannique. |
1964 : |
Doug Aldrich, guitariste américain de hard rock, membre de Whitesnake de 2003 à 2014 et de The Dead Daisies depuis 2016. |
Jennifer Doudna, biochimiste américaine, prix Nobel de chimie en 2020. |
Jacquy Haddouche, tueur en série français († 23 octobre 2010). |
Laurent Nuñez, haut fonctionnaire et homme politique français. |
Polo Pierre Lamy, dit, chanteur français. |
Gary Leeman, joueur professionnel de hockey canadien. |
Alberto Lombardo, auteur dramatique et acteur français contemporain. |
Elisabeth Schneider-Schneiter, personnalité politique suisse. |
Jim McInally, footballeur international écossais. |
Christian Weber, joueur professionnel suisse de hockey sur glace. |
Teresa Worek, joueuse de volley-ball polonaise. |
Jonathan Lethem, écrivain américain de science-fiction. |
Jean-Michel Papini, footballeur professionnel français. |
1966 : |
Justine Bateman, actrice américaine. |
Enzo Scifo, footballeur international belge |
1967 : |
Nathalie Bondil, muséologue franco-canadienne, directrice et conservatrice en chef du Musée des beaux-arts de Montréal. |
Benicio del Toro, acteur américain. |
1969 : Helena Guergis, femme politique canadienne. |
1970 : |
K. R. Meera, écrivaine indienne. |
Jonathan Tropper, écrivain, scénariste et producteur américain. |
Bellamy Young, actrice américaine. |
Christophe Cavard, politicien français. |
Danny de Munk, acteur néerlandais. |
Ellis Ferreira, joueur de tennis sud-africain. |
Hiroko Kasahara, comédienne de doublage japonaise. |
Joacim Cans, chanteur suédois. |
Kurt Darren, musicien sud-africain. |
Lord Finesse, rappeur et producteur américain. |
Miguel Hernández Sánchez, footballeur espagnol. |
Pierre-Richard Casimir, homme politique haïtien. |
Vadim Sachourine, biathlète biélorusse. |
1971 : |
Miguel Batista, joueur de baseball dominicain. |
Jeff Kinney, concepteur de jeux et écrivain américain. |
Benoît Montenat, écrivain français. |
Laurent Strzelczak, footballeur français; |
1973 : |
Takahiro Kimino, athlète japonais, spécialiste du saut en hauteur. |
Eric Lange , acteur américain. |
Jean-François Roux, homme politique québécois. |
1975 : |
Daniel Adair, musicien canadien des groupes Nickelback et Three Doors Down. |
Eloy Azorín, acteur espagnol. |
Javier Conde, matador espagnol. |
1976 : |
Maxime Chattam, romancier français. |
Jana Irrova, modèle de charme tchèque. |
1977 : |
Antonio Ferrera, matador espagnol. |
Dani Martín, chanteur et acteur espagnol. |
Gianluca Zambrotta, footballeur international italien. |
1978 : Blaise Ntedju , acteur, réalisateur, scénariste et producteur de cinéma camerounais. |
1979 : |
Andrew Buchan, acteur britannique. |
Sarah Schleper, skieuse alpine américaine. |
1980 : |
Steevy Boulay, chroniqueur télé français. |
Charlie Bruneau, actrice française. |
Pierre Ebede, joueur de football camerounais. |
Mike Miller, basketteur américain. |
1981 : |
Beth Ditto, auteur-compositrice-interprète américaine. |
Katarzyna Mróz, joueuse de volley-ball polonaise. |
Tina Pisnik, joueuse de tennis slovène. |
Andreas Vinciguerra, joueur de tennis suédois. |
1982 : |
Arnoldo Jimenez, fugitif américain? un des dix fugitifs les plus recherchés du FBI le 8 mai 2019. |
Camelia Potec, nageuse roumaine. |
1983 : |
Kotoōshū Katsunori, ancien lutteur professionnel de sumo d'origine bulgare. |
Bruno Muschio, auteur, réalisateur et scénariste français. |
Mika Nakashima, chanteuse et actrice japonaise. |
Nozomi Sasaki, seiyū japonaise. |
Darold Williamson, athlète américain, spécialiste du 400 mètres. |
1984 : |
Marylin Pla, patineuse artistique française. |
Josh Trank, réalisateur et scénariste américain. |
1985 : |
Franck Fisseux, athlète français pratiquant le tir à l'arc. |
Sławomir Peszko, footballeur polonais. |
Raymond Sawada, joueur de hockey sur glace professionnel canadien. |
Jérôme Sonnerat, footballeur français. |
Jelle Vanendert, coureur cycliste belge. |
1986 : |
Kyle Chipchura, joueur de hockey sur glace canadien. |
Reon Kadena, top model japonaise. |
Jayde Nicole, playmate et mannequin de charme américain. |
Marta Vieira da Silva, footballeuse brésilienne. |
1987 : |
Thiago Bolinha, joueur de futsal d'origine brésilienne |
Gérémy Crédeville , humoriste, comédien et chroniqueur français. |
Alexandra Eremia, gymnaste roumaine. |
Sam Reid, acteur australien. |
Anouar Toubali, acteur français. |
Ricardo van der Velde, coureur cycliste néerlandais. |
1988 : |
Marion Buisson, sauteuse à la perche française. |
Shawn Matthias, joueur professionnel de hockey sur glace canadien. |
Nataliya Pohrebnyak, sprinteuse ukrainienne. |
1989 : Fernando Marçal, footballeur brésilien. |
1990 : |
Ryad Boudebouz, footballeur algérien. |
Luke Pasqualino, acteur britannique. |
1991 : |
Hervé (Hervé Le Sourd dit), auteur-compositeur-interprète, musicien, chanteur et producteur français et breton. |
Christoph Kramer, footballeur international allemand. |
Adreian Payne, basketteur américain. |
1992 : |
Lénaïck Adam, homme politique français. |
Simon Falette, footballeur français. |
Julian Michel, footballeur français. |
Julia Saner, top-model suisse. |
1993 : Victoria Justice, actrice, chanteuse et auteur-compositrice-interprète américaine. |
1994 : |
Jean-Carl Boucher, acteur et réalisateur québécois. |
Orozayym Narmatova, femme politique kirghize. |
1995 : |
Mikkel Desler, footballeur danois. |
Nikola Jokić, joueur serbe de basket-ball. |
1996 : Jan Maas, coureur cycliste néerlandais. |
1997 : Benoît Kounkoud, joueur français de handball. |
1999 : Jackson Pace, acteur américain. |
2000 : |
Sandy Baltimore, footballeuse française. |
2001 : |
Lee Kang-in, footballeur international sud-coréen. |
David Mazouz, acteur américain. |
2004 : Millie Bobby Brown, actrice britannique. |
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