Date de création : 09.04.2012
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27.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Ferdinand Porsche, né le 3 septembre 1875 à Liberec (alors Maffersdorf, royaume de Bohême) et mort le 30 janvier 1951 à Stuttgart, est un ingénieur, inventeur, industriel, motoriste, et designer autrichien, naturalisé allemand, pionnier de l’industrie automobile et aéronautique, fondateur de Lohner-Porsche vers 1900 et Porsche en 1931.
Il est concepteur de nombreux moteurs (comme le moteur à plat) et modèles d'automobiles (ex : Mercedes-Benz T80, Flèches d'Argent) pour les marques Daimler-Mercedes-Benz, Auto Union (futur Audi), et Porsche. Il est l'inspirateur des mythiques Volkswagen Coccinelle, Porsche 356, et Porsche 911 avec ses fils et petits fils Ferdinand Anton Ernst Porsche, Ferdinand Alexander Porsche, Wolfgang Porsche, et Ferdinand Piëch. Ferdinand Porsche est également l'un des principaux responsables du complexe militaro-industriel allemand sous le Troisième Reich.
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Giacomo Antonio Domenico Michele Secondo Maria Puccini, né le 22 décembre 1858 à Lucques dans le grand-duché de Toscane et mort le 29 novembre 1924 à Bruxelles, est un compositeur italien. Il est considéré comme l'un des plus grands compositeurs de la fin du xixe siècle et du début du xxe siècle.
Issu d'une famille de longue tradition musicale dans laquelle cinq générations de musiciens se sont succédé, il porte le même prénom que son arrière-arrière-grand-père Giacomo Puccini (1712-1781), organiste et compositeur de musique sacrée du xviiie siècle. Il est le fils de Michele Puccini (1813-1864), le petit-fils de Domenico Puccini (1772-1815) et l'arrière-petit-fils d'Antonio Puccini (1747-1832).
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Albert, prince de Belgique, duc de Saxe, prince de Saxe-Cobourg et Gotha et héritier de la couronne belge (de 1905 à 1909), puis roi des Belges (de 1909 à 1934), est né à Bruxelles le 8 avril 1875 et mort dans un accident d'escalade à Marche-les-Dames le 17 février 1934.
Il devient le troisième roi des Belges le 23 décembre 1909, sous le nom d'Albert Ier, après la mort de son oncle Léopold II.
Le 2 octobre 1900, il épouse Élisabeth en Bavière, avec qui il partage une vision humaniste et pacifiste de la société. Le roi et la reine forment un couple très vite populaire et donnent une image modernisée de la monarchie, dont ils renouvellent le style. Issu d'une lignée aux racines germaniques et mari d'une princesse allemande, le roi choisit en 1914 de défendre son pays, pourtant créé neutre, et de combattre contre l'invasion allemande, affirmant le caractère belge de sa dynastie.
À partir de la Première Guerre mondiale, Albert devient l'objet d'un véritable mythe dépassant largement le cadre des frontières belges, recueillant les surnoms guerriers de Roi Soldat ou de Roi Chevalier. Après l'armistice de 1918, le roi intervient fréquemment dans les questions politiques belges. En 1919, alors que la Constitution borne ses pouvoirs, il réussit lors de l'entrevue de Lophem à convaincre les hommes politiques belges les plus éminents de la nécessité d'adopter le suffrage universel masculin pur et simple.
Le roi prône l'égalité effective des deux langues nationales, la reconnaissance de la liberté syndicale, l'extension de la législation sociale et l'essor des sciences. Sur le plan des relations internationales, il accomplit de longs voyages officiels et privés à l'étranger : les États-Unis en 1919, le Brésil l'année suivante, les Indes en 1925, sans oublier le Congo en 1928 et en 1932 et enfin la Syrie et la Palestine en 1933.
Passionné d'alpinisme, comptant à son actif plusieurs ascensions importantes, il trouve la mort, en 1934, lors d'une escalade dans la vallée de la Meuse en Belgique. Son fils aîné lui succède sous le nom de Léopold III.
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Garry (ou Garri ou Gary) Kimovitch Kasparov (en russe : Гарри Кимович Каспаров, /ˈgain ».">ɡarʲɪ ˈkʲiməvʲɪtɕ kɐˈsparəf/), né Garik Kimovitch Weinstein (en russe : Гарик Кимович Вайнштейн, Garik Kimovitch Vaïnchteïne) le 13 avril 1963 à Bakou (RSS d'Azerbaïdjan, en URSS), est un joueur d'échecs soviétique puis russe, d’origine arménienne et juive. En exil depuis 2013, il a acquis la nationalité croate en 2014 et vit aujourd'hui à New York.
Treizième champion du monde d'échecs de l'histoire, de 1985 à 2000 et vainqueur de nombreux tournois : trente en tant que champion du monde (record à égalité avec Karpov) sur trente-huit disputés (un de moins pour Karpov) dont onze tournois victorieux consécutifs, record du monde. Il est considéré comme l'un des meilleurs joueurs de l'histoire.
En janvier 1990, il est le premier joueur à dépasser les 2 800 points Elo. En juillet 1999, il atteint le classement Elo le plus élevé jusqu'alors, avec 2 851 points. Ce record ne fut battu que 14 ans plus tard, en 2013, par Magnus Carlsen.
En 2005, Kasparov renonce à la reconquête de son titre de champion du monde perdu en 2000. Il s'engage en politique dans l'opposition au président russe Vladimir Poutine. En 2007, le magazine américain Time le place dans la liste des Time 100, une liste des cent personnes les plus influentes dans le monde. En 2012, il devient président de l'ONG Human Rights Foundation, qui promeut les droits de l'homme dans le monde.
Il reste néanmoins impliqué dans l'univers des échecs. Il entraîne pendant un an Magnus Carlsen en 2009, publie trois séries de livres sur les échecs et sa carrière : My Great Predecessors (2003-2006), Garry Kasparov on Modern Chess (2007-2010) et Garry Kasparov on Garry Kasparov (2011-2014), et brigue la présidence de la Fédération internationale des échecs (FIDE) en 2014.
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Étienne Nicolas Méhul, né le 22 juin 1763 à Givet (Ardennes) et mort le 18 octobre 1817 à Paris 9e, est un compositeur français, et le plus important compositeur d’opéras en France pendant la Révolution française. Étienne-Nicolas Méhul est aussi un des fondateurs du Conservatoire de Paris.
Quittant l'abbaye de Laval Dieu, où il était élève-organiste, pour la capitale, il a traversé en effet l'une des périodes les plus agitées de cette ville, s'attachant essentiellement à la création musicale, même s'il fut aussi le compositeur d'un des plus fameux hymnes patriotiques issus de cette période, le Chant du départ, et il était l'ami de nombreux artistes et écrivains. Il fut un des premiers musiciens dits « romantiques » en France, contribuant à élargir le champ sonore de la symphonie, comme ses contemporains Haydn et Beethoven. Ses opéras ont profondément influencé Hector Berlioz qui disait de lui :
« Il était persuadé que l’expression musicale est une fleur suave, délicate et rare, d’un parfum exquis, qui ne fleurit point sans culture et qu’on flétrit d’un souffle ; qu’elle ne réside pas dans la mélodie seulement, mais que tout concourt à la faire naître ou à la détruire : la mélodie, l’harmonie, les modulations, le rythme, l’instrumentation, le choix des registres graves ou aigus des voix et des instruments, le degré de vitesse ou de lenteur de l’exécution, et les diverses nuances de force dans l’émission du son. »
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David Douillet, né le 17 février 1969 à Rouen (Seine-Maritime), est un judoka et homme politique français.
Il est l'un des judokas français les plus titrés de l'histoire. Il évoluait dans la catégorie des « poids lourd », la plus massive en judo. Son palmarès compte deux titres olympiques obtenus en 1996 à Atlanta et 2000 à Sydney. Il est aussi quadruple champion du monde et champion d'Europe. Certaines de ses récompenses ont également été remportées en « toutes catégories », où aucune limite de poids n'est imposée.
Ses performances et son association avec l'opération caritative « Les Pièces Jaunes » en font une personnalité populaire pendant et après sa carrière ; il est à deux reprises la personnalité préférée des Français. Reconverti en homme d'affaires, puis en consultant sportif pour le groupe Canal+, il se rapproche progressivement du milieu politique. En 2009, il obtient de premières responsabilités au sein de l'UMP dont il intègre le bureau exécutif. À la fin de cette même année, lors d'une législative partielle organisée en raison de la déchéance de Jacques Masdeu-Arus, il est élu député dans la 12e circonscription des Yvelines.
Le 29 juin 2011, il est nommé secrétaire d’État chargé des Français de l'étranger. Le 26 septembre suivant, Chantal Jouanno ayant démissionné, il est nommé ministre des Sports. Il est réélu député lors des élections législatives de 2012 et battu à celles de 2017.
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Léon Gambetta, né le 2 avril 1838 à Cahors et mort le 31 décembre 1882 à Sèvres, était un homme d’État français. Il est l'une des personnalités politiques les plus importantes des premières années de la Troisième République française.
Avocat, opposant au Second Empire, élu député en 1869, il défend le « programme de Belleville », qui est assez radical (extension des libertés publiques, séparation des Églises et de l’État, vote de l'impôt sur le revenu, élection des fonctionnaires, suppression des armées permanentes, etc.).
Le 4 septembre 1870, après la défaite de Sedan et depuis l'hôtel de ville de Paris, il proclame le retour de la République. Le 7 octobre suivant, ministre de l'Intérieur du gouvernement de la Défense nationale, il quitte en ballon la capitale, assiégée par les troupes prussiennes, afin d'organiser les combats en province.
Après le traité de Francfort, il contribue à la pérennisation du régime républicain. Devenu une figure des républicains modérés, il est président de la Chambre des députés de 1879 à 1881, puis président du Conseil et ministre des Affaires étrangères pendant deux mois entre 1881 et 1882, sous la présidence de Jules Grévy, avec qui son inimitié est de notoriété publique.
Léon Gambetta meurt moins d'un an après avoir quitté la tête du gouvernement, à l'âge de 44 ans.
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Pirkko Mannola, née le 27 décembre 1938 à Sääksmäki, est une chanteuse et une actrice finlandaise.
Biographie
Lauréate du concours Miss Finlande en 1958, elle commence sa carrière de comédienne en 1959 avec une apparition dans le film Yks' tavallinen Virtanen, de Ville Salminen, sélectionné pour la Berlinale 1960. Elle joue ensuite dans plusieurs dizaines de séries télé (Sydänjää, 2007-2010) et de films.
Dans les années 1990, elle forme un trio musical avec Brita Koivunen et Vieno Kekkonen.
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Kim Jong-il (en chosŏn'gŭl : 김정일 et en hanja : 金正日, prononcé : /kim.dzɔŋ.il/), né le 16 février 1941 ou 1942 et mort le 17 décembre 2011, est un homme d'État nord-coréen, dirigeant suprême de la Corée du Nord de 1994 à sa mort en 2011.
Il succède à son père, Kim Il-sung, qui a dirigé le pays entre 1948 et 1994. Appelé le « Cher dirigeant » (친애하는 지도자, chinaehaneun jidoja ; également traduit par « Dirigeant bien-aimé »), il occupe alors les fonctions de président du Comité de la défense nationale et de secrétaire général du Parti du travail de Corée. En 2010, il est listé à la 31e place des personnalités les plus puissantes au monde par le magazine Forbes.
Kim Jong-il meurt le 17 décembre 2011. Son plus jeune fils Kim Jong-Un lui succède au pouvoir, maintenant la lignée du mont Paektu à la tête de la Corée du Nord. Son jour de naissance est un jour férié en Corée du Nord « fête nationale à sa mémoire ».
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Le Service du travail obligatoire (STO) fut, durant l'occupation de la France par l’Allemagne nazie, la réquisition et le transfert vers l'Allemagne de centaines de milliers de travailleurs français contre leur gré, afin de participer à l'effort de guerre allemand que les revers militaires contraignaient à être sans cesse grandissant (usines, agriculture, chemins de fer, etc.). Les personnes réquisitionnées dans le cadre du STO étaient hébergées, accueillies dans des camps de travailleurs localisés sur le sol allemand. Il fut instauré par la loi du 16 février 1943, faisant suite au relatif échec des politiques de volontariat et du système dit de Relève, qui aboutit à la présence en 1942, de 70 000 travailleurs venus de France en Allemagne, très en deçà des exigences de l'occupant.
L'Allemagne nazie imposa au gouvernement de Vichy la mise en place du STO, pour essayer de compenser le manque de main-d'œuvre dû à l'envoi d'un grand nombre de soldats allemands sur le front de l'Est, où la situation ne cessait de se dégrader. De fait, les travailleurs français sont les seuls d'Europe à avoir été requis par les lois de leur propre État et non par une ordonnance allemande. C'est une conséquence indirecte de la plus grande autonomie négociée par le gouvernement de Vichy comparativement aux autres pays occupés, qui ne disposaient plus de gouvernement propre.
L'exploitation de la main-d'œuvre française par le Troisième Reich a concerné des travailleurs obligatoires (les requis du STO), des travailleurs volontaires attirés par la rémunération ou « prélevés » dans les entreprises dans le cadre de la Relève ainsi que les prisonniers de guerre. Un total de 600 000 à 650 000 travailleurs français fut acheminé vers l'Allemagne entre juin 1942 et juillet 1944 auquel s'ajoutait la partie des soldats prisonniers retenus de force dans le pays, dont le nombre initial s'élevait à 1 850 000 hommes. Les travaux de recherche citent le chiffre de 1 500 000 Français — prisonniers, réquisitionnés du STO, volontaires — qui auraient travaillé en Allemagne entre 1942 et 1945. La France fut le troisième fournisseur de main-d'œuvre forcée du Reich après l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) et la Pologne et fut le pays qui lui donna le plus d'ouvriers qualifiés.
Les requis ont fait partie jusque dans les années 1970 des oubliés de la Seconde Guerre mondiale, concurrencés sur le plan mémoriel par d'autres victimes de guerre, qui avaient été plus héroïques ou plus victimes qu'eux, notamment les prisonniers de guerre français, les déportés politiques et les victimes de la Shoah. Les premiers travaux de recherche sur la réquisition pour le travail ne sont lancés au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) que dans les années 1970 et ne se développeront que dans les années 1990. Les STO ont parfois dû faire face au reproche de n'avoir pas désobéi et d'être partis renforcer le potentiel de la main-d'œuvre du Troisième Reich.
Au moment de leur rapatriement en France, les requis tiennent à être considérés comme des déportés du travail mais la concurrence mémorielle explique qu'ils se voient interdire l'utilisation de cette dénomination. Après une longue bataille parlementaire et judiciaire, les associations d'anciens « requis du travail obligatoire » obtiennent, par décret du 16 octobre 2008, la dénomination officielle de « victimes du travail forcé en Allemagne nazie » mais celle de « déportés du travail » leur est refusée le 28 mars 2011 par la Cour de Cassation
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