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10 août : Naissances

10 août : Naissances

 

Naissances

 

1296 : Jean Ier dit « l’Aveugle », roi de Bohême et comte de Luxembourg de 1310 à 1346 († 26 août 1346).
1388 : Thomas Ebendorfer, historien autrichien († 12 janvier 1464).
1466 : François II de Mantoue, noble italien, marquis de Mantoue († 29 mars 1519).
1560 : Hieronymus Prætorius, compositeur allemand († 27 janvier 1629).
1653 : Louis Pécour, danseur et chorégraphe français († 12 avril 1729).
1673 : Johann Conrad Dippel, théologien, alchimiste et médecin allemand († 25 avril 1734).
1709 : Johann Georg Gmelin, botaniste et chimiste allemand († 20 mai 1755).
1780 : Pierre François Marie Auguste Dejean, général d’Empire, pair de France et entomologiste français († 18 mars 1845).
1797 : Joseph Gerhard Zuccarini, botaniste allemand († 18 février 1848).
1802 : Christophe Alexis Adrien de Jussieu, homme politique français († 25 octobre 1865).
1814 : Henri Nestlé, industriel suisse d’origine allemande († 7 juillet 1890).
1834 : Maurice Raynaud, médecin français († 29 juin 1881).
1864 : Victor Berard, helléniste, diplomate et homme politique français († 13 novembre 1931).
1865 :
Alexandre Glazounov (Александр Константинович Глазунов), compositeur, chef d’orchestre et professeur de musique russe († 21 mars 1936).
Abaï Kounanbaïouly, poète, compositeur et moraliste kazakh († 5 juillet 1904).
James Wilson Morrice, peintre paysagiste canadien († 23 janvier 1924).
1874 : Herbert Hoover, homme politique américain, 31e président des États-Unis, ayant exercé de 1929 à 1933 († 20 octobre 1964).
1876 : François Cogné, sculpteur français († 9 avril 1952).
1883 : William Van Alen, architecte américain († 24 mai 1953).
1888 : Christophe de Grèce, fils du roi Georges Ier, père du prince Michel de Grèce († 21 janvier 1940).
1889 : Charles Darrow, inventeur américain du jeu Monopoly († 29 août 1967).
1894 : Alan Crosland, réalisateur, scénariste et producteur américain (du premier film parlant « Le Chanteur de jazz » en 1927, † 16 juillet 1936).
1896 : Walter Lang, cinéaste américain († 7 février 1972).
1898 : Jack Haley, acteur américain († 6 juin 1979).
1900 :
Jean Mantelet, industriel français († 19 janvier 1991).
Arthur Porritt, athlète, chirurgien et homme politique néo-zélandais, 11e gouverneur général de Nouvelle-Zélande, de 1967 à 1972 († 1er janvier 1994).
1902 :
Norma Shearer, actrice canadienne († 12 juin 1983).
Arne Tiselius, biochimiste suédois, prix Nobel de chimie en 1948 († 29 octobre 1971).
1904 : Marcelle Vérité, auteure française pour la jeunesse († 8 août 1994).
1908 : Lauri Lehtinen, coureur de fond finlandais, champion olympique en 1932 († 4 décembre 1973).
1909 :
Mohammed V / محمد الخامس (Sidi Mohammed ben Youssef dit), sultan de 1927 à 1953 et de 1955 à 1957, président du Conseil de gouvernement du Maroc de 1960 à 1961 puis roi du Maroc de 1957 à 1961 († 26 février 1961).
Clarence Leonidas « Leo » Fender, luthier et homme d’affaires américain, fondateur de la société de lutherie Fender († 21 mars 1991).
1911 : Auguste Marin, poète belge († 24 mai 1940).
1912 : Jorge Amado, écrivain brésilien († 6 août 2001).
1913 : Charlotte Delbo, écrivaine et résistante déportée française († 1er mars 1985).
1914 : Jeff Corey, acteur américain († 16 août 2002).
1916 : Hubert Maga, homme politique béninois, président du Dahomey (aujourd'hui Bénin) de 1960 à 1963 puis de 1970 à 1972 († 8 mai 2000).
1919 : Saw Mon Nyin, écrivaine birmane († 12 décembre 2011).
1920 : Daniel Cordier, marchand d’art, critique, collectionneur, organisateur d’expositions et historien français, compagnon de la Libération, croix de guerre 1939-1945 et grand officier de la Légion d'honneur († 20 novembre 2020).
1922 : Al Alberts (en), chanteur et compositeur américain du groupe The Four Aces (en) († 27 novembre 2009).
1923 :
Joseph Bialot, écrivain français, survivant de la Shoah († 25 novembre 2012).
Rhonda Fleming, actrice américaine († 14 octobre 2020).
Jean Graton, dessinateur et scénariste de bandes dessinées français († 21 janvier 2021).
René Kleinmann, adolescent résistant français de l'organisation clandestine La Main noire pendant la Seconde guerre mondiale († 22 janvier 2009).
1926 : Marie-Claire Alain, organiste française († 26 février 2013).
1927 : Jean Guichet, pilote de course automobile français.
1928 :
Jimmy Dean, chanteur, animateur de télévision et acteur américain († 13 juin 2010).
Eddie Fisher, chanteur et acteur américain († 22 septembre 2010).
1929 : Joseph Ujlaki, football hongrois puis français († 11 février 2006).
1930 : Barry Unsworth, romancier britannique († 4 juin 2012).
1932 : Gaudencio Rosales, cardinal philippin, archevêque de Manille.
1933 :
Doyle Brunson, joueur de poker américain.
Rocco Domenico « Rocky » Colavito, Jr., joueur de baseball américain.
William Henry Nieder, athlète américain, spécialiste du lancer du poids.
1934 :
Michel Jourdan, parolier et compositeur de chansons à succès.
Tevfik Kiş, lutteur turc, champion olympique († 4 septembre 2019).
1935 : Margot Campbell, actrice québécoise.
1937 : Anatoli Sobtchak, homme politique russe († 19 / 20 février 2000).
1940 : Robert Lee « Bobby » Hatfield, chanteur américain du duo The Righteous Brothers († 5 novembre 2003).
1941 :
Abu Kasenally, homme politique mauricien.
Rosemary Lassig, nageuse australienne († 1er novembre 2017).
Stephen Stigler, statisticien américain.
Anita Lonsbrough, nageuse anglaise, championne olympique.
1943 :
Louise Forestier, chanteuse et actrice québécoise.
Jimmy Griffin (en), chanteur, musicien et compositeur américain du groupe Bread († 11 janvier 2005).
Ronnie Spector (Veronica Yvette Bennett dite), chanteuse américaine du groupe The Ronettes.
1944 : Björn Ferm, pentathlonien suédois, champion olympique.
1947 : Ian Anderson, chanteur et musicien écossais du groupe Jethro Tull.
1948 : Peter Beckett (en), chanteur, guitariste et compositeur anglais du groupe Player.
1949 : Caroline Silhol ou Sihol, actrice, scénariste et productrice française.
1950 :
Patti Austin, chanteuse américaine.
Rémy Girard, acteur québécois.
Pertti Ukkola, lutteur finlandais, champion olympique.
1951 : Juan Manuel Santos, économiste, journaliste et homme d’État colombien, président de la République de Colombie de 2010 à 2018.
1952 : Daniel Hugh Kelly, acteur américain.
1953 : Michel Laurent, cycliste sur route français.
1954 : Guy Richer, acteur et animateur québécois.
1955 : Dimitris Koutsoumpas, homme politique grec.
1956 :
Sospeter Machage, homme politique, diplomate et médecin kényan.
Antoine Hérouard, évêque catholique français, archevêque de Dijon.
Sergueï Soukhoroutchenkov (Сергей Николаевич Сухорученков), coureur cycliste russe.
1957 : Xu Haifeng, tireur sportif chinois, champion olympique.
1958 : Ilkka Sinisalo, hockeyeur sur glace finlandais († 5 avril 2017).
1959 :
Rosanna Arquette, actrice américaine.
Florence Heiniger, journaliste et productrice suisse
Né Ladeiras (pt), chanteuse portugaise.
Philippe Delrieu, escrimeur français, médaillé olympique.
1960 :

Ceci contient une image de :

Antonio Banderas (José Antonio Dominguez Banderas dit), réalisateur, producteur et acteur espagnol à l'international.

Marcel Dib, footballeur français.
Pierre Levesque, personnalité française du monde des courses hippiques.
1961 : Jon Farriss, musicien australien du groupe INXS.
1965 :
John Starks, basketteur américain.
Pat Spurgin, tireuse sportive américaine, championne olympique.
1967 : Philippe Albert, footballeur belge.
1971 : Mario Kindelán, boxeur cubain, double champion olympique.
1972 :
Angie Harmon, actrice américaine.
Zhuang Yong, nageuse chinoise, championne olympique du 100 m nage libre.
1973 : Lisa Raymond, joueuse de tennis américaine.
1974 : David Sommeil, footballeur français.
1976 : Léonor de Récondo, écrivaine et violoniste française.
1978 :
Marcus Fizer, basketteur américain.
Cédric Melotte, pilote de moto-cross belge.
Bart Wellens, coureur de cyclo-cross belge.
1979 :
Kent Davyduke, joueur de hockey sur glace canadien.
Demetrio Greco, footballeur italien.
Caroline Lalive, skieuse américaine.
Rémy Martin, joueur de rugby français.
1980 :
Josh Davis, basketteur américain.
Tristan Gale, skeletoneuse américaine.
Frédéric Thomas, footballeur français.
1981 :
Katherine Boecher, actrice américaine.
Taufik Hidayat, joueur de badminton indonésien.
Nikolay Karpenko (Николай Николаевич Карпенко), sauteur à ski kazakh.
Malek Maath (مالك علي معاذ الهوساوي), footballeur saoudien.
1982 : John Alvbåge, footballeur suédois.
1983 :
Nikolai Hentsch, skieur brésilien.
Kristen Mann, basketteuse américaine.
Aleksandr Perejoguine (Александр Валерьевич Пережогин), joueur de hockey sur glace russe.
1984 :
Alexis Driollet, joueur de rugby français.
Hayden Stoeckel, nageur australien.
1986 : Andrea Hlaváčková, joueuse de tennis tchèque.
1988 : Haruna Ono, chanteuse japonaise.
1989 : Kevin Rolland, skieur acrobatique français.
1993 : Andre Drummond, basketteur américain.
1995 : Saïd Benrahma, footballeur algérien.
1997 : Kylie Jenner, mannequin et personnalité de télé-réalité américaine.
1998 : Jang Yeeun, rappeuse sud-coréenne du girl group CLC.
2004 : Bela Fernandes, actrice et chanteuse brésilienne.
2011 : Jeremy Maguire (en), enfant acteur américain.

 

 
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10 août : Événements

10 août : Événements

 

 

Événements

 

 

612 av. J.-C. : chute de Ninive, et mort du roi Sîn-shar-ishkun, marquant la fin de l’empire assyrien.
 955 : bataille du Lechfeld, victoire de l'empereur romain germanique Otton le Grand, sur les Magyars (Hongrois).
 991 : bataille de Maldon, près de Maldon, en Essex : victoire des envahisseurs vikings sur les Anglo-Saxons.
 997 : Sac et destruction de Saint-Jacques-de-Compostelle par les troupes d'Almanzor qui emportent les cloches de la ville comme butin.
1270 : le pouvoir, en Éthiopie, passe des Zagwés aux Salomonides, avec l’avènement du prince amhara Yekouno Amlak.
1498 : début du procès pour la dissolution du mariage de Louis XII avec Jeanne de France, afin de permettre au premier d'épouser Anne de Bretagne en rattachant ainsi à la France son précieux duché.
1500 : le Portugais Diogo Dias, détourné par une tempête, découvre l’île de Madagascar.
1519 :
départ de Fernand de Magellan pour son grand voyage autour du monde, avec cinq navires et un total de 237 hommes de toutes origines, depuis le port de Séville en Espagne. Il a reçu du roi d'Espagne, Charles Quint, mission de trouver une route occidentale vers les îles à épices, les Moluques.
apparitions de Notre-Dame de Grâces à Cotignac, dans l'actuel Var. Cette apparition amène les autorités de la ville à construire l'église Notre-Dame-de-Grâces de Cotignac qui deviendra un important lieu de pèlerinage dans le département et en France.
1535 : l’explorateur malouin Jacques Cartier émissaire de la France du roi François atteint la région du fleuve Saint-Laurent ce jour de la "fête" ci-après de (St) Laurent de Rome et attribue d'abord ce nom au seul estuaire dudit cours d'eau du "Nouveau monde".
1557 : bataille de Saint-Quentin, victoire des Espagnols sur les Français.
1620 : traité d'Angers, négocié par Richelieu, qui confirme le traité d'Angoulême du 12 mai 1619, de réconciliation entre le jeune roi de France Louis XIII, et sa reine mère Marie de Medicis.
1627 : début du siège de La Rochelle.
1678 : le traité de Nimègue, entre les Provinces-Unies et la France, met fin à la guerre de Hollande.
1680 : début de la révolte des Pueblos.

1792 :

journée du 10 août 1792 à Paris.

constitution de la commune insurrectionnelle.
prise des Tuileries.
massacre des gardes suisses les protégeant.

suspension de Louis XVI, abolition de la royauté.
1793 : bataille du château d'Aux pendant la guerre de Vendée.
1795 : bataille de Saint-Jean-de-Monts pendant la guerre de Vendée.
1809 : l’Équateur obtient son indépendance.
1819 : Simón Bolívar, le « Libertador », fait une entrée triomphale à Bogotá lors de sa campagne libératrice de la Nouvelle-Grenade.
1842 : Lord Ashley fait interdire le travail des femmes et des enfants de moins de dix ans au fond des mines du Royaume-Uni.
1866 : la Bolivie et le Chili signent un traité accordant le territoire situé entre les Andes et le Pacifique aux Chiliens.
1904 : la flotte japonaise détruit la flotte russe devant Port-Arthur.
1913 : le traité mettant fin aux guerres balkaniques est signé à Bucarest.
1920 : le traité de Sèvres est conclu entre les Alliés et l’Empire ottoman.
1945 : le Japon envoie un premier télégramme aux Alliés pour une capitulation.
1960 : l’Antarctique devient territoire international et réserve scientifique.
1961 :
première utilisation par l’armée américaine de l’agent orange pendant la guerre du Viêt Nam, les épandages dureront pendant dix ans.
le Royaume-Uni demande formellement à intégrer la Communauté Économique Européenne. Les négociations durent depuis 1963, quand le président français Charles de Gaulle a mis son véto à l’entrée des Britanniques dans le Marché commun
1982 : statut d’autonomie des Îles Canaries.
1985 : explosion du réacteur nucléaire du K-431.
1987 : l’aviation libyenne bombarde l’oasis de Faya-Largeau (Tchad).
1990 : lors du sommet extraordinaire de la Ligue arabe réuni au Caire, une faible majorité condamne l’agression du Koweït par l’Irak, soulignant la division du monde arabe. Le sommet décide l’envoi d’une force panarabe (troupes syriennes, égyptiennes et marocaines) pour protéger l’Arabie saoudite.
1994 : arrivée en Suède de Taslima Nasreen, condamnée à mort pour blasphème par les intégristes musulmans du Bangladesh.
1995 :
le gouvernement Juppé fait passer la TVA de 18,6 % à 20,6 %.
la Jordanie accorde l’asile à deux des filles du président irakien Saddam Hussein et à leurs maris, dont Hussein Kamel al-Majid, ministre de l’Industrie et chef du programme d’armement du pays.
1996 : approbation du drapeau de Hong Kong par le comité préparatoire.
2001 : la nigériane Amina Abdullahi est condamnée, selon les règles de la charia, à 100 coups de bâton, pour des relations sexuelles hors mariage.

 


2012 : prémices de la grève des mineurs à Marikana

2014 : Recep Tayyip Erdoğan remporte l’élection présidentielle en Turquie.
2018 : accident aérien de la baie de Seattle.
2019 : au Yémen, les séparatistes du Conseil de transition du Sud prennent la ville d'Aden, après des combats contre les forces gouvernementales.
2020 : à Trinité-et-Tobago, les élections législatives ont lieu afin d'élire les 41 représentants de la Chambre des représentants du pays. Le Mouvement national du peuple du Premier ministre Keith Rowley est reconduit dans ses fonctions.
 
Arts, culture et religion
 
1566 : émeutes iconoclastes des protestants, aux Pays-Bas.
1793 : inauguration du musée du Louvre, à Paris, dans l'ancienne demeure royale du même nom.
1895 : fondation de la société française de production, de distribution et d’exploitation cinématographique Gaumont.
1927 : début de la construction d’un monument dédié aux premiers présidents américains sur la falaise du mont Rushmore.
 
Sciences et techniques
 
1897 : Felix Hoffmann, chimiste pour la firme allemande Bayer, synthétise l’acide acétylsalicylique, l’élément actif de l’aspirine.
2013 : annonce de la découverte de l’exoplanète GJ 504 b, surnommée la « planète rose ».
 
Économie et société
 

1903 : accident de métro à Paris, aux stations Couronnes et Ménilmontant (84 morts).

2003 : mise en service du monorail Okinawa Toshi.
2006 : le palais Skoda, un édifice de style art déco construit au tournant des années 1920 et 1930 par l’architecte Pavel Janák, pour abriter la direction générale des usines automobiles Škoda, devient le nouvel hôtel de ville de Prague.
2021 : en Algérie, d'importants feux de forêt ravagent le nord du pays et font 90 victimes au 14 août.

 

 
Liens externes                                                  
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Marie Dorval

Marie Dorval

 

 

Marie Dorval, née Marie Amélie Thomase Delaunay le 6 janvier 1798 à Lorient et morte le 20 mai 1849 dans l'ancien 10e arrondissement de Paris, est l’une des plus célèbres actrices françaises du XIXe siècle. Ses succès au théâtre et sa vie sentimentale bien remplie contribueront à en faire un mythe.

 

Biographie

 

Fille des comédiens ambulants Marie Joseph Charles Delaunay (1766-1802) et Marie Bourdais, Marie Dorval est abandonnée par son père à l’âge de cinq ans. Peu de temps après, elle perd sa mère, victime de la tuberculose. Elle joue d’abord des rôles d’enfants à Lille, sous le nom de « Bourdais », qui est celui de son oncle, acteur comique distingué.

 

Le 12 février 1814, à Lorient, elle épouse le maître de ballet Louis Étienne Allan-Dorval, dont elle aura deux enfants : Marie Louise Désirée et Catherine Françoise Sophie. Le couple se sépare en 1818, mais Dorval laisse à son épouse son nom de scène qui passera à la postérité.

 

Se produisant définitivement sur la scène, elle est attachée à diverses troupes de province pour les amoureuses de comédie et les dugazons d’opéra comique. À Strasbourg, elle commence à jouer les premiers rôles de comédie et de drame et se fait remarquer par Charles-G. Potier, qui la fait engager à Paris, au théâtre de la Porte-Saint-Martin, en 1818.

 

De 1818 à 1826, elle entretient une relation avec le compositeur Alexandre Piccinni, dont elle aura trois filles

 

En 1827, elle connaît le succès dans la pièce Trente ans, ou la vie d’un joueur de Victor Ducange et Prosper Goubaux, où elle a pour partenaire le célèbre acteur Frédérick Lemaître. Veuve de son premier mari, elle épouse en secondes noces, à Paris, le 17 octobre 1829, le journaliste Jean-Toussaint Merle, mais le couple s'accorde sur le principe d'une union libre permettant aux deux partenaires d'avoir des aventures passagères.

 

En 1832, elle devient la maîtresse d’Alfred de Vigny qui, avec Victor Hugo, la fera entrer au Théâtre-Français au mois de février 1834. Le nom de Marie Dorval se rattache à la révolution dramatique de l’école romantique. Son jeu, où l’art disparaît sous le naturel de la sensibilité et sous les élans de la passion, s’adapte parfaitement à la nouvelle littérature. À la majesté classique, elle substitue, elle aussi, la violence des effets.

 

En janvier 1833, elle se lie avec l'écrivaine George Sand après avoir reçu d'elle une lettre admirative concernant l’une de ses représentations. Leur amitié intense donne lieu à des rumeurs de lesbianisme à Paris, d'autant que chacune des deux femmes avait fait l'objet de ces rumeurs auparavant. Gustave Planche écrit à Sand de se méfier de cette « dangereuse amitié » tandis qu'Alfred de Vigny écrit à Dorval de rester à distance de Sand, qu’il qualifie de « damnée lesbienne ». Les historiens actuels restent partagés sur la nature de cette relation, dont le caractère amoureux ou sexuel n'a pas été vérifié . En 1840, elle joue la pièce Cosima, de George Sand, à la Comédie française. Les deux femmes collaborent même au manuscrit, mais la pièce, mal reçue, n'aura que sept représentations.

 

image

Marie Dorval et Alfred de Vigny par Delacroix, 1831


Marie Dorval exprimera son talent remarquable à la Porte Saint-Martin, dans des œuvres mélodramatiques, le Château de Kenilworthles Deux ForçatsTrente ans, ou la Vie d’un joueur, etc. ; puis des créations d’un ordre plus élevé, Antony et Marion de Lorme, lui développeront l'ampleur de son talent. Elle a été applaudie, à la Comédie-Française, dans Chatterton, pièce dans laquelle elle a incarné le rôle de Kitty Bell. Toujours à la Comédie-Française, en 1835, elle joue dans Angelo, tyran de Padoue de Victor Hugo en compagnie de sa rivale Mlle Mars. Les deux actrices sont distribuées à contre-emploi, Marie Dorval interprétant le rôle de Catarina, noble femme d'Angelo, et Mlle Mars celui de la Tisbe, courtisane, comédienne et maitresse du tyran de Padoue.

 

Elle apparaît dans Lucrèce de François Ponsard (1843) et, revenant au drame des boulevards, elle remporta malgré ses forces épuisées et sa voix presque éteinte, un dernier succès avec Marie-Jeanne, ou la femme du peuple, d’Adolphe d'Ennery .

 

Vers la fin de sa vie, elle s’essaya au répertoire classique à l’Odéon, créa Agnès de Méranie de François Ponsard (1846) et joua, non sans succès, les rôles de Phèdre et d’Hermione. Les changements dans la mode et le désir du public de voir des actrices plus jeunes achèvent sa carrière par des tournées en province. Elle meurt, très dépressive, à l’âge de cinquante et un ans, après la mort d’un petit-fils.

Après le service funèbre, célébré le surlendemain de sa mort, à Saint-Thomas-d’Aquin, elle a été inhumée au cimetière du Montparnasse, au côté de son mari

 

Postérité littéraire

 

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Plaque sur la maison de Marie Dorval à Paris

Michel Mourlet a publié un roman (Histoire d’un maléfice, 2001) et une pièce de théâtre (Marie Dorval) qui s'inspirent librement des amours de Marie Dorval. Après une mise en espace en 2002, en la crypte de la Madeleine (ADAC Ville de Paris), par la troupe de Dominique Leverd, la pièce a été créée la même année au théâtre de Saint-Maur dans une mise en scène de Jean-Pierre Savinaud. Elle a fait l'objet d'une nouvelle mise en scène en 2003 au Théâtre de l'Entre-Texte d'Arles et a été publiée en 2014 dans le recueil Pièces masquées

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_Dorval

 
     
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Détective

Publié à 11:16 par dessinsagogo55 Tags : center blogs centerblog sur merci france saint monde papier histoire création
Détective

 

 

C'est au XIIe siècle qu'apparaît, pour la première fois, le terme enquesteur, commissaire du Roi chargé de surveiller l'administration des baillis et des sénéchaux.

 

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Alfred de Vigny (ici à 18 ans) fut un des clients de Vidocq

 

 

Mais c'est le XIXe siècle qui apportera la naissance des agences privées, telles qu'elles existent encore aujourd'hui, avec l'ouverture, rue Neuve Saint Eustache à Paris, du bureau des renseignements universels, créé par un ancien bagnard, devenu chef de la police de sûreté, reconverti imprimeur (il inventa un papier infalsifiable) puis « agent de renseignements » : Eugène-François Vidocq.

 

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La comédienne Marie Dorval (par Hippolyte Lazerges) fut surveillée par Vidocq

 

Signalons que le poète Alfred de Vigny fut le client de l'agence VIDOCQ qu'il avait chargée de suivre sa maitresse, Marie Dorval, dont il était très amoureux

.

La France est le berceau de cette profession avec la création de cette première grande agence multi-disciplinaire, comme elle a créé, en juin 2006, le premier diplôme d'État au monde ayant une valeur internationale (grâce aux nouvelles normes européennes L.M.D) et des équivalences avec l'enseignement général

 

Ce n'est qu'en 1850 qu'elle s'est exportée aux États-Unis avec la création de l'Agence Pinkerton, ancien tonnelier et révolutionnaire écossais qui assura la sécurité du président des États-Unis Abraham Lincoln.

 

Pinkerton remplit, pendant la guerre civile, les fonctions de chef de l'Union des services de renseignements et déjoua une tentative d'assassinat contre le Président Lincoln.

 

Longtemps « tolérée » en France — et seulement visée, pour l'ensemble du territoire national, par une loi datant de la guerre dont l'objet, à l'origine, était d'en interdire l'accès aux juifs— elle a finalement été reconnue et réglementée en 2003 (voir ci-dessous).

 

L'ouvrage de l'universitaire Dominique Kalifa, Histoire des détectives privés en France, 1832-1942, Paris, Nouveau Monde, 2007, reconstitue avec précision la naissance et l'évolution du métier

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9tective

 
     
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Sheila : Les rois marges

Sheila : Les rois marges



Les Rois mages est une chanson du répertoire de Sheila. Ce titre est un des plus grands succès de cette artiste. C'est une reprise de Tweedle Dee, Tweedle Dum de Middle of the Road.

Sheila a également enregistré ce titre en espagnol (Los Reyes Magos). Sheila a réenregistré Les Rois mages en 1998 pour son album Le Meilleur de Sheila. Elle interprète ce titre dans tous ses spectacles.

 

Fiche artistique

 

Titre : Les Rois mages

Titre original : Tweedle Dee Tweedle Dum

Paroles originales : Lally Scott

Musique : Mario & Giosy Capuano

Adaptation française : Jean Schmitt et Claude Carrère

Interprète d’origine : Middle of the Road (1971)

Arrangements et direction musicale : Jean Schmitt

Producteur : Claude Carrère

Année de production : 1971

Éditeur : Claude Carrère / RCA Italie / BMG Music Publishing

Parution : Mars 1971

Durée : 03:22

 

 

 

Paroles

 

 

Comme les Rois Mages en Galilée
Suivaient des yeux l´étoile du Berger
Je te suivrai, où tu iras j´irai
Fidèle comme une ombre jusqu´à destination


Comme les Rois Mages en Galilée
Suivaient des yeux l´étoile du Berger
Comme Christophe Colomb et ses trois caravelles
Ont suivi le soleil avec obstination


Plaise au ciel que j´ouvre mes fenêtres
Le matin au bord d´un étang bleu
Plaise au ciel que rien ne nous arrête
Dans ce monde aventureux


Comme les Rois Mages en Galilée
Suivaient confiants l´étoile du Berger
Mon Amérique, ma lumière biblique
Ma vérité cosmique, c´est de vivre avec toi


Comme les Rois Mages en Galilée
Suivaient des yeux l´étoile du Berger
Je te suivrai, où tu iras j´irai
Fidèle comme une ombre jusqu´à destination
Plaise au ciel que s´ouvrent les nuages
L´éclaircie dévoile le chemin
Plaise au ciel qu´au terme du voyage
Son triomphe soit le mien


Comme les Rois Mages en Galilée
Suivaient confiants l´étoile du Berger
Comme Christophe Colomb et ses trois caravelles
Ont suivi le soleil avec obstination
 
 
Comme les Rois Mages en Galilée
Suivaient des yeux l´étoile du Berger
Je te suivrai, où tu iras j´irai
Fidèle comme une ombre jusqu´à destination


Comme les Rois Mages en Galilée
Suivaient des yeux l´étoile du Berger
Je te suivrai, où tu iras j´irai
Fidèle comme une ombre jusqu´à destination


Comme les Rois Mages en Galilée
Suivaient des yeux l´étoile du Berger
Je te suivrai, où tu iras j´irai
Fidèle comme une ombre jusqu´à destination

 

 

 

 

 
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  https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Rois_mages_(chanson)
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Jacques Mesrine

Jacques Mesrine

 

 

Jacques Mesrine [meʀin, mɛsʀin] né le 28 décembre 1936 à Clichy et mort à 42 ans le 2 novembre 1979 à Paris, est un criminel français ayant opéré principalement en France mais aussi au Québec, en Espagne et une fois en Suisse, en Italie et en Belgique à Bruxelles. Il est surnommé « l'homme aux mille visages » ou, à tort, selon lui, « le Robin des Bois français ». Il se donnera lui-même le surnom de « Le Grand ».

Déclaré « ennemi public numéro un » au début des années 1970, il est notamment connu, en France, pour des braquages médiatisés et pour ses évasions. Après un an et demi de cavale, il est tué par les forces de l'ordre porte de Clignancourt.

Jeunesse et guerre d'Algérie

Jacques Mesrine est le fils d'André Pierre Mesrine (1908-1973) et de Fernande Charlotte Buvry, commerçants aisés du textile qui possèdent une entreprise de dentelle de luxe à Paris. C'est à Clichy (au 3 de l'avenue Anatole-France) qu'il grandit et qu'il se met à fréquenter le quartier populaire de Pigalle à Paris. Ses parents ont pourtant des projets pour lui : ils souhaiteraient plus tard le voir intégrer l'École des hautes études commerciales de Paris (HEC), mais il n'aime pas l'école. Il effectue une partie de sa scolarité au collège libre de Juilly, tenu par les oratoriens, où il a comme camarade Jean-Jacques Debout. Il est ensuite renvoyé du lycée laïc de Clichy à cause de violences exercées envers le proviseur. Il devient alors représentant en tissus.

Il est brièvement marié, de juillet 1955 à 1956, avec Lydia de Souza, jeune étudiante en chimie d'origine togolaise, dont il adopte le fils Dominique pour qu'elle ne demeure pas mère célibataire. Jacques Mesrine devance l'appel pour effectuer son service militaire. Il participe à la guerre d'Algérie comme militaire du rang dans la 626e compagnie, une unité qui réceptionne les pièces détachées et les achemine sur le front. C'est durant celle-ci qu'il découvre les armes et rapporte avec lui en France un pistolet .45 ACP qu'il aura constamment sur lui. Jacques René Mesrine sera décoré de la croix de la Valeur militaire par le général Jean Olie. Il revient en France en mars 1959, après avoir reçu un certificat de bonne conduite.

D'après ses proches, l'expérience de l'Algérie l'a profondément marqué ; selon ses dires, il aura été plusieurs fois de « corvée de bois » (exécution sommaire de prisonniers algériens en dehors des enceintes militaires), ce qui a été contredit unanimement par ses camarades d'unité. En outre Mesrine aurait été membre de l'OAS en 1961, ce dont les autorités françaises l'ont soupçonné à la suite de son arrestation de 1965 à Palma, dans l'île de Majorque, en flagrant délit de cambriolage de la villa du gouverneur militaire. Néanmoins aucune source d'importance n'est venue étayer une quelconque proximité entre Mesrine et cette organisation

Premiers crimes en France

Il participe à de nombreux cambriolages et vols à main armée dès l'âge de vingt-trois ans. En 1961, il se marie avec Maria de la Soledad, rencontrée lors de vacances en Espagne, à Tossa de Mar. Il aura trois enfants (Sabrina, Bruno et Boris) avec elle. Il divorce en 1965. C'est à cette époque qu'il est arrêté et condamné pour la première fois à payer une amende pour port d'armes prohibé.

Le 17 janvier 1962, il est arrêté au Neubourg, dans l'Eure, où ses parents ont une maison de campagne, alors qu'il se prépare, avec trois complices, à braquer la Société générale. Il est condamné, pour la première fois, à dix-huit mois de prison en mars 1962. Il passera son temps d'incarcération dans les prisons d'Évreux, puis d'Orléans, où il dit avoir rencontré Pierre Carrot, dit Pierrot le fou. Il est relâché en 1963. Il souhaite alors quitter la vie criminelle et trouve un emploi dans une entreprise d'architecture d'intérieur. Mais, à la suite de la mise en chômage technique des employés de celle-ci, il perd son travail et redevient criminel. Entre 1961 et 1962, il réside au 31 de la rue Boinod, dans le 18e arrondissement.

Îles Canaries, Québec et Venezuela

Le 2 décembre 1965, il est arrêté à Palma à Majorque en train de voler des documents politiques dans le bureau du gouverneur militaire. La police locale le soupçonne de travailler pour les services secrets français. Il est condamné à six mois de prison. En octobre 1966, il ouvre un restaurant à Santa Cruz de Tenerife dans les îles Canaries. Parallèlement Jacques Mesrine continue son activité criminelle. En décembre 1966, il attaque une bijouterie à Genève, en Suisse. En mai 1967, il ouvre une auberge à Compiègne, en France. Le 15 novembre 1967, il cambriole un hôtel à Chamonix où il est reconnu. Le 8 décembre, il braque une maison de haute couture parisienne où il est, là aussi, reconnu. Maria de la Soledad le quitte et leurs trois enfants, Sabrina (1961), Bruno (1964) et Boris (1966), sont confiés aux parents de Mesrine.

Le 6 février 1968, il échappe aux policiers et fuit au Québec (Canada) avec Jeanne Schneider, rencontrée après son divorce. Cette dernière est une call-girl, dont les souteneurs ont été abattus par Mesrine, selon ses dires, bien qu'aucune trace d'un tel règlement de comptes n'apparaisse dans les annales policières de cette période. À cette époque, il n'est recherché que pour escroqueries. En juillet 1968, le couple arrive à Montréal et entre au service d'un millionnaire handicapé, Georges Deslauriers, qu'ils enlèvent à l'aide d'un complice français, Michel, rencontré sur place, le 12 janvier 1969, après avoir été renvoyés à la suite d'une dispute. Alors qu'ils demandent une rançon de 200 000 USD à son frère, Marcel, Georges Deslauriers réussit à s'échapper. Dès lors, Mesrine a fait de facto son entrée dans le grand banditisme.

Le 26 juin 1969, le couple Mesrine-Schneider quitte le motel des Trois Sœurs à Percé où il s'était réfugié et franchit illégalement la frontière des États-Unis. Le 30 juin, le corps étranglé d'Évelyne Le Bouthilier, patronne du motel, est découvert dans sa résidence à Percé. Mesrine est soupçonné. En fuite aux États-Unis, Mesrine est arrêté à Texarkana, dans l'Arkansas à la frontière avec le Texas et extradé vers le Canada. À sa sortie d'avion, il fanfaronne devant les journalistes et déclare, reprenant une phrase du général de Gaulle : « Vive le Québec libre ! » Accusé de meurtre et de kidnapping, Mesrine se retrouve à la une des journaux québécois. Il est déclaré « ennemi public numéro un ». Le 17 août 1969, Mesrine s'évade avec Jean-Paul Mercier et délivre sa compagne Jeanne de la prison de Percé, mais ils sont repris le lendemain. Toujours en août 1969, ils sont condamnés respectivement à dix et à cinq ans de prison pour l'enlèvement et la séquestration de Georges Deslauriers. En janvier 1971, Mesrine et Jeanne Schneider sont acquittés pour le meurtre d'Évelyne Le Bouthilier. Mais cette accusation d'un meurtre qu'il déclare n'avoir pas commis, malgré un important faisceau de présomptions, sera pour Mesrine un des thèmes principaux de son deuxième livre, Coupable d'être innocent, écrit en 1979.

Alain Normandeau, criminologue et directeur d'un projet de réinsertion, le rencontre à trois reprises dans sa cellule en 1972 ; il se souvient :

« Jacques Mesrine n'était pas très grand, mais il avait un charisme incroyable. Il séduisait tout le monde, autant par ses propos que par sa prestance. Pour tout dire, il a même convaincu les gardiens de s'élever contre l'administration de la prison. Suivant ses conseils, ils ont organisé une conférence de presse très courue par les médias. »

Le 21 août 1972, il s'évade de la prison de Saint-Vincent-de-Paul avec cinq autres détenus dont notamment Jean-Paul Mercier, André Ouellet, Pierre Vincent et Robert Imbault. La prison de Saint-Vincent est alors entourée de deux murets de barbelés et d'un mur de quatre mètres. Dans les miradors, nuit et jour, chaque sentinelle fait le guet, sept jours par semaine. Les cellules sont alors éclairées en permanence et le plafond constitué de grillages sur lequel les gardiens font des rondes. À l'époque il y a 65 gardiens pour 62 détenus. Mesrine avait repéré que les rondes étaient moins fréquentes le week-end et s'était procuré des limes, des outils et une échelle de peintre. Jocelyne Deraiche est accusée d'avoir aidé à l'évasion de Mesrine et sera ultérieurement condamnée à 23 mois de prison. Leurs cavales sont émaillées de nombreux méfaits. Le 26 août, ils braquent ensemble la Caisse populaire de Saint-Bernard de Dorchester, puis, dix minutes plus tard, font de même avec celle de Saint-Narcisse de Lotbinière. Leur butin s'élève à 26 000 USD. Le 28 août, ils braquent la Toronto Dominion Bank à Montréal et récidivent trois jours dans le même établissement.

Le 3 septembre, ils échouent dans leur tentative de libérer trois prisonniers de la prison de Saint-Vincent-de-Paul, mais blessent grièvement deux policiers dans la fusillade qui s'ensuit. Une semaine plus tard, pendant qu'ils s'exercent au tir en forêt, Mesrine et Jean-Paul Mercier tuent deux garde-chasses attirés par les détonations, près de Saint-Louis-de-Blandford au Québec. En octobre, après d'autres braquages à Montréal, ils effectuent un court passage à New York, au palace du Waldorf-Astoria. Puis, d'octobre à novembre 1972, Mesrine fuit au Venezuela avec Jean-Paul Mercier et leurs deux maîtresses. Plus tard, Mercier et sa maîtresse les quittent à la suite d'une morsure de chien subie par cette dernière, qui les oblige à revenir au Québec pour recevoir des soins. Jean-Paul Mercier sera tué d'une balle dans la tête par la police canadienne lors d'une de ses tentatives de casse deux ans plus tard. Quant à Jeanne Schneider, la maîtresse de Mesrine, elle finira sa peine en France à la prison de Fleury-Mérogis. À sa sortie, elle restera en France.

Retour en France

Mesrine retourne en France en décembre 1972, où il commet le braquage de la paie d'une usine de Gisors pour un montant de 320 000 francs et celui d'une caissière retirant 280 000 francs d'une banque. Le 5 mars 1973, lors d'une altercation avec une caissière d'un café-bar, Mesrine brandit un revolver. Un policier tente d'intervenir et se voit grièvement blessé. Trois jours plus tard, Mesrine est arrêté à Boulogne-Billancourt avenue Pierre-Grenier, alors qu'il revient dans son appartement. En mai, il est condamné en France à 20 ans de prison. Le 6 juin, il doit comparaître pour une petite affaire de chèques sans provision, mais il s'évade du tribunal de Compiègne en prenant en otage le président du tribunal, grâce à une arme dissimulée dans les toilettes par Michel Ardouin et Alain Caillol, un des ravisseurs du baron Empain avec lequel Mesrine a collaboré pour des braquages. Le 21 juin, il attaque à main armée l'imprimerie Lang pour s'emparer de la paie des employés, rue Curial dans le 19e arrondissement de Paris, soit environ 300 000 francs. Petit intermède dans sa folle activité, il s'offre quelques vacances de juillet à août dans une station balnéaire de la côte normande : Trouville. Mais, début août, il reprend ses activités en s'attaquant au Crédit lyonnais de l'avenue Bosquet dans le 7e arrondissement de Paris. Après ce coup retentissant, il cesse d'agir pendant deux mois. Cependant, le 27 septembre, il braque deux banques coup sur coup, inaugurant ainsi la pratique d'enchaîner ses vols ou de les doubler (second braquage de la même banque le lendemain).

Il est arrêté par le commissaire Robert Broussard une première fois le 28 septembre 1973, dans son appartement rue Vergniaud, dans le 13e arrondissement de Paris. Cette arrestation reste célèbre de par la théâtralisation faite par le truand, qui après des heures de négociation à travers la porte, finit par ouvrir la porte, cigare aux lèvres, aux policiers et offre le champagne au commissaire Robert Broussard. Mesrine plaisante avec celui-ci : « Tu ne trouves pas que c'est une arrestation qui a de la gueule ? ».

Une fois en prison, Mesrine se lie avec un compagnon de cellule, Jean-Charles Willoquet, qui organise de l'intérieur une évasion montée à l'extérieur par Martine, son amie. Celui-ci s'échappe sans faire profiter Mesrine de cette évasion. Une fois dehors, il lui promet de l'aider à sortir. Il prend du retard, mène Mesrine en bateau et finit par se faire reprendre le 1er décembre 1975, ce qui lui vaudra des critiques de Mesrine qui le trouve redoutable les armes à la main, mais inorganisé et irréfléchi. Comprenant qu'il se passera probablement des années avant qu'une autre occasion d'évasion se présente, il décide d'écrire son autobiographie L'Instinct de mort, qui paraît le 3 mars 1977. Dans ce livre, il déclare avoir tué trente-neuf personnes. À ce sujet, un criminologue, René Reouven, commente :

« Il y a chez Mesrine un petit tueur qui se voudrait grand et si l'on peut comptabiliser les crimes qu'il a commis, on ne saurait en faire autant pour ceux qu'il revendique. »

En effet, les affaires de meurtre revendiquées par Mesrine ne se rapprochent d'aucun crime réel non élucidé. Le 19 mai 1977, Mesrine est condamné à 20 ans de prison pour attaques à main armée, recel et port d'armes par la cour d'assises de Paris présidée par le juge Petit. Durant ce procès, il se produit une anecdote célèbre : il défait le nœud de sa cravate, en sort une petite clé, qu'il proclame être celle de ses menottes procurée par un gardien véreux, puis il la lance aux journalistes présents au tribunal, déclarant ainsi prouver la corruption de la police et de la justice. Il s'avère qu'il s'agissait en fait de la clé servant à ouvrir le cadenas de la télévision de sa cellule. Il est transféré au quartier de haute sécurité de la prison de la Santé. Cette incarcération est à l'origine d'un combat médiatique qu'il entreprend par le biais de la presse afin de faire fermer les quartiers de haute sécurité, qu'il juge dégradants et inhumains.

Il parvient à s'évader le 8 mai 1978, à 10 heures du matin, accompagné de François Besse. Dans des conditions non encore élucidées, peut-être grâce à des complicités au sein de la prison ou certains de ses visiteurs au parloir, Mesrine parvient à dissimuler des armes dans un parloir, et profite d'un entretien avec l'un de ses avocats pour les saisir et neutraliser ses gardiens en compagnie de François Besse. Revêtant les uniformes de gardiens maîtrisés, ils libèrent de façon improvisée un autre détenu, Carman Rives, puis escaladent le mur d'enceinte à l'aide d'une échelle entreposée dans la cour pour des travaux. Ils s'évadent de cette prison réputée inviolable, laissant derrière eux Carman Rives, abattu par une patrouille de police qui surprend par hasard l'évasion et ouvre le feu.

Mesrine et Besse dévalisent presque immédiatement une armurerie de Paris pour s'armer. Le 26 mai 1978, ils braquent le casino de Deauville. Ils volent 136 774 francs. Le braquage tourne à la fusillade : la police intervient très rapidement sur les lieux et fait deux blessés, mais les deux évadés parviennent à fuir en voiture, forcer un barrage, puis à trouver refuge le 28 mai dans une ferme de Normandie, prenant en otage la famille d'un éleveur de chevaux qui y vit. Une vaste opération est déclenchée pour tenter de retrouver Besse et Mesrine. Plus de 300 gendarmes, ainsi qu'une section du Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale assistée de policiers de la brigade antigang, sont déployés pour les rechercher, en vain. Ils ont l'idée de se cacher sous la banquette arrière de la DS de la famille de l'éleveur pour franchir les barrages et regagner Paris.

C'est à cette période qu'il se met à écrire son deuxième livre, Coupable d'être innocent, plus politique que le premier, qui paraîtra après sa mort en 1979. Il continue les braquages, comme celui de la Société générale du Raincy le 30 juin 1978, tandis que la police poursuit ses efforts pour le localiser. La police craint le pire. Mesrine nargue les autorités en donnant des entretiens à des journalistes. Ainsi à Paris Match, le 4 août 1978, Isabelle Pelletier reçoit ses déclarations. Il se montre menaçant envers quiconque voudrait tenter de l'arrêter. Il veut abolir les quartiers de haute sécurité (QHS) et va jusqu'à sommer Alain Peyrefitte, ministre de la Justice de l'époque, de fermer les QHS sous peine de menaces. Sa notoriété entraîne une guerre des polices entre Lucien Aimé-Blanc, chef de l'Office central pour la répression du banditisme, et Robert Broussard, chef de l'antigang, aux fins de l'arrêter. En juin 1978, il rencontre Sylvia Jeanjacquot dans un bar américain à hôtesses. Ils partent en Italie, Sicile, Algérie, Angleterre, puis retournent en France après 18 mois de cavale. Il reste alors caché dans le 18e arrondissement de Paris.

 

Le 10 novembre 1978, il essaie d'enlever, avec la complicité de Jean-Luc Coupé, le juge Petit, président de la cour d'assises de Paris à l'époque, qui l'avait condamné à vingt ans de prison en 1977. Il voulait enlever le juge pour se venger de cette condamnation. Le juge n'étant pas chez lui, il prend sa famille en otage, et attend son retour. Mais la famille réussit à prévenir la police, par l'intermédiaire d'une des filles et d'un des fils du juge. Mesrine s'échappe sous le nez de la police grâce à son déguisement, mais son complice, Jean-Luc Coupé, est arrêté. En janvier 1979, Mesrine accorde un entretien à Libération. Il est nommé personnage médiatique de l'année par le journal. Le 21 juin 1979, il enlève le milliardaire Henri Lelièvre de sa maison Le Colinet à Maresché dans la Sarthe, avec la complicité du braqueur Michel Schayewski, en se faisant passer pour un membre de l'OLP. Vingt-huit jours après l'enlèvement, il demande une rançon de six millions de francs et demande à Henri Lelièvre de choisir une personne de confiance pour l'apporter. À la suite de cet événement, une unité anti-Mesrine est créée en août 1979.

Il dépense l'argent de la rançon en montres dans des grands magasins, et achète une BMW 528i, la même que celle de la BRI sur laquelle il avait tiré lors de la première tentative de remise de rançon pour Henri Lelièvre. Le 10 septembre 1979, Mesrine et Charlie Bauer tendent un guet-apens dans la forêt d'Halatte (Oise) près de Senlis, au journaliste de Minute Jacques Tillier. Après l'avoir emmené dans les profondeurs d'une grotte, Mesrine le torture, le met à nu, le tabasse et le blesse grièvement par trois balles en lui tirant dans la joue (« pour l'empêcher de dire des conneries »), le bras (« pour l'empêcher d'écrire des conneries ») et la jambe (« par simple plaisir », affirmera-t-il plus tard). Il le laisse pour mort. Mesrine reprochait à ce journaliste de l'avoir diffamé en écrivant qu'il n'était pas une personne « réglo » avec ses associés et que c'était un bandit sans honneur, en août 1979. Mesrine réalise lui-même des photographies de l'événement. Tillier arrive à s'en tirer. Mesrine écrit des lettres aux journalistes disant qu'il ne voulait pas le tuer

Mort et polémique

Fin octobre 1979, Emmanuel Farrugia (commandant de police) et Paul Rément (capitaine de police), hommes du commissaire divisionnaire Lucien Aimé-Blanc, chef de l'Office central pour la répression du banditisme (OCRB), repèrent l'appartement de Mesrine rue Belliard, dans le 18e arrondissement de Paris. Ceci est rendu possible par le biais d'un indicateur (donné par Jacques Tillier qui voulait se venger) qui dénonce Charlie Bauer comme complice actif de Mesrine, et grâce aux écoutes des coups de téléphone que Charlie Bauer passait à Jacques Mesrine. Maurice Bouvier, alors directeur central de la police judiciaire, saisit la Brigade de recherche et d'intervention (BRI) du commissaire principal Robert Broussard, territorialement compétente pour procéder à l'arrestation de Jacques Mesrine. Le vendredi 2 novembre 1979 à 15 h 15, Mesrine, au volant de sa voiture avec sa compagne Sylvia Jeanjacquot, est encerclé par les hommes de la BRI, porte de Clignancourt à Paris. Un camion bâché, qui s'est inséré devant son véhicule, dissimule des tireurs qui ouvrent le feu sur lui et sa compagne. Vingt et une balles sont tirées. On retrouvera dix-huit impacts de balles à haute vélocité sur son corps. Il est tué en possession de grenades et d'armes de poing dissimulées aux pieds de sa compagne. Celle-ci, grièvement blessée, perd un œil dans la fusillade et son caniche est tué.

La mort de Mesrine est un premier cas de remise en cause de la légitime défense invoquée par la police, car celle-ci aurait ouvert le feu sans sommation. Deux nouveaux témoins ont apporté des éclaircissements en octobre 2008 sur France Inter. Guy Peynet, qui était en 1979 le patron du bar Le Terminus, porte de Clignancourt, n’a jamais été entendu sur procès-verbal dans la procédure judiciaire ; il a envoyé une lettre, jointe au dossier. Il affirme que les policiers n’ont pas effectué de sommations avant de tirer sur Mesrine. Tout ce qu’il a entendu, c’est une rafale de coups de feu suivie du cri : « Bouge pas ! T’es fait ! ». Geneviève Adrey ne s’est jamais exprimée publiquement depuis le 2 novembre 1979. Ce jour-là, alors étudiante en musicologie, elle se trouve dans une cabine téléphonique, avec une amie, porte de Clignancourt, à quelques mètres de la voiture de Jacques Mesrine. Elle raconte avoir entendu des rafales de mitraillette ou, en tout cas, des coups de feu très rapprochés, mais en aucun cas des sommations. Les sommations restent toutefois un acte militaire auquel étaient soumis les gendarmes et non les policiers. La légitime défense n'est en aucun cas soumise à l'obligation d'effectuer des sommations. On rappelle toutefois à cette occasion un avertissement que Mesrine avait dit à Broussard : « Quand nous nous rencontrerons à nouveau, ce sera à celui qui tirera le premier. »

En outre, les policiers ont témoigné qu'au lieu de se rendre et de lever les mains, il avait eu un mouvement latéral comme s'il allait se saisir de quelque chose. Cette observation sera confirmée par la présence des armes dissimulées aux pieds de sa compagne.

Une cassette audio sera retrouvée ultérieurement par les enquêteurs, avec la voix de Mesrine à destination de Sylvia disant ceci : « Si tu écoutes cette cassette, c'est que je suis dans une cellule dont on ne s'évade pas. »

L'instruction est rouverte en mars 2000. Elle débouche sur un non-lieu, le 14 octobre 2004. Le 6 octobre 2006, la Cour de cassation française a déclaré irrecevable le pourvoi en cassation de la famille Mesrine à la suite du non-lieu prononcé le 1er décembre 2005 par la chambre d'instruction de la cour d'appel de Paris.

Jacques Mesrine est enterré au cimetière Nord de Clichy, la ville qui le vit naître. Sa BMW 528i métallisée (Sylvia Jeanjacquot raconte l’achat dans son livre Ma vie avec Mesrine, éd. Plon 2011) immatriculée 83 CSG 75 est restée sous scellés de justice vingt-huit ans dans une fourrière à Bonneuil-sur-Marne avant d'être broyée dans une casse d'Athis-Mons le 14 mai 2007.

Publications

1977 : L'Instinct de mort, Jean-Claude Lattès, rééd. Champ Libre, 1984

En 1984, Gérard Lebovici, fasciné par le caractère libertaire de Jacques Mesrine, décide de rééditer L'Instinct de mort. Parallèlement, il prend sous sa coupe sa fille, Sabrina Mesrine, et lui offre sa protection. Le livre sort doté d'une préface de Gérard Lebovici dans laquelle il fustige la nouvelle loi qui confisque à jamais les droits d'auteurs des personnes ayant publié un récit des crimes pour lesquels elles sont détenues, ainsi que l'attitude du précédent éditeur de Mesrine, Jean-Claude Lattès. Lebovici affirme dans sa préface que Mesrine était devenu pour les Français de l'époque le parfait symbole de la liberté et affirme le « redoutable honneur » que représente pour Champ Libre le fait d'être l'éditeur de Mesrine. Gérard Lebovici sera assassiné peu de temps après dans un guet-apens resté mystérieux.

1979 : Coupable d'être innocent, Stanké

2008 : Mesrine, 30 ans de cavale dans le cinéma, Christophe d'Yvoire et Jean-Pierre Lavoignat. Les auteurs ont mené l'enquête sur ce chapitre méconnu de l'histoire du cinéma. À partir de centaines d'heures d'entretiens avec les principaux protagonistes du monde du spectacle mais aussi avec les anciens compagnons de Jacques Mesrine, ils nous convient à une véritable épopée.

2011 : Ma vie avec Mesrine, Sylvia Jeanjacquot. Elle a été la dernière compagne de Jacques Mesrine. Elle a vécu l'ultime cavale de celui qu'on appelait l'ennemi public numéro un. Depuis le moment où il l'aborde dans le bar de Pigalle où elle travaille jusqu'à la fusillade fatale dont elle réchappe miraculeusement, elle a décidé de tout dire.

2018 : Palikao 79, Dario. Ce roman noir, nominé au prix Simenon 2019, relate les deux derniers mois de la vie de Jacques Mesrine.

2019 : La Cavale, François Besse. Compagnon d'évasion de Jacques Mesrine, François Besse se confie pour la première fois sur sa vie de cavales.

Médias

Divers domaines médiatiques et du divertissement parlent de, ou ont pour thème, Jacques Mesrine.

Cinéma et télévision

1979 : La Guerre des polices de Robin Davis, avec Claude Rich et Claude BrasseurLe chef de l'Antigang et celui de la Territoriale sont en compétition pour alpaguer l'ennemi public no 1.

1980 : Inspecteur la Bavure de Claude Zidi, avec Coluche et Gérard Depardieu.Roger Morzini, le personnage interprété par Gérard Depardieu, est un pastiche de Jacques Mesrine.

1983 : Mesrine d'André Génovès, avec Nicolas Silberg.Ce film se concentre sur les évènements ayant suivi son évasion de la prison de la Santé, jusqu’à ce qu'il soit tué par la police, porte de Clignancourt à Paris. Mesrine avait refusé que L'Instinct de mort soit repris au cinéma, c'est pour ça que le film commence après l'évasion de la prison de la Santé.

1984 : Jacques Mesrine : profession ennemi public, de Hervé Palud

1994 : Les grands procès, procès québécois de Mesrine avec Serge Dupire dans le rôle du criminel.

1995 : « Jacques Mesrine, Un gangster peu ordinaire » dans la série Affaires criminelles, Enquêtes sur les grands crimes de notre temps de Christophe Lagrange, ALP/Marshall Cavendish

2006 : Chasse à l'Homme, téléfilm d'Arnaud Sélignac, avec Serge Riaboukine, Richard Berry, Jacques SpiesserLes principaux évènements de la fin de la cavale de Mesrine, tirés du livre du commissaire Lucien Aimé-Blanc (interprété par Richard Berry) et de Jean-Michel Caradec'h : l'enlèvement du milliardaire Henri Lelièvre, la rivalité entre services (la BRI de Robert Broussard), le guet-apens de Jacques Tillier, les filatures, la fusillade fatale.

2008 : Mesrine, Fragments d'un Mythe, film documentaire de Philippe Roizes

2008 : Mesrine, diptyque de Jean-François Richet :

L'Instinct de mort avec Vincent Cassel, Gérard Depardieu, Cécile de France, Roy Dupuis…Reprend les événements allant de la fin de son service en Algérie à la mort de Jean-Paul Mercier.

L'Ennemi public n°1 avec Vincent Cassel, Gérard Lanvin…Reprend les événements allant de son retour en France à sa mort, porte de Clignancourt.

Documentaires télévisés

« Le vrai visage de Jacques Mesrine » en 1998 de Denis Chegaray sur France 3.

« Jacques Mesrine, l'homme qui a fait trembler la France » en 2001-2002 et le 2 janvier 2005 dans Secrets d'actualité présenté par Laurent Delahousse sur M6.

« Jacques Mesrine, l'homme aux 1 000 visages » en octobre 2008 et mai 2010 dans Faites entrer l'accusé présenté par Christophe Hondelatte sur France 2.

« Mesrine : l'ennemi public n°1 » le 12 novembre 2008 dans Enquêtes criminelles : le magazine des faits divers sur W9.

« Jacques Mesrine : l'évadé public n°1 » de Laurent Huberson dans Alerte évasion le 27 janvier, 4 février et 26 septembre 2011 sur M6, puis le 29 novembre 2011 sur Paris Première.

« Mesrine, la traque » d'Olivier Hennegrave sur 13e rue et Planète justice.

Musicographie

De nombreux artistes marqués par le jusqu'au-boutisme de Jacques Mesrine et par sa haine du système et de la société, lui dédient plusieurs de leurs chansons ou y incluent des allusions à sa vie. Mesrine a également été sacralisé par des membres des mouvements punk et hip-hop français, qui ont vu en lui l'anarchiste exemplaire, l'homme sans concessions

Instinct de mort, Trust (Répression, 1980)

Le mitard, Trust (Répression, 1980)

Le temps d'une balle, Mokless (Le poids des mots, 2008)

Arrête moi si tu peux, Tunisiano (Mesrine, 2008)

Amour éternel - Nessbeal (2008)

Porte de Mesrine, PNL (Le monde chico, 2015)

 
 
Liens externes                                                  
 

https://en.wikipedia.org/wiki/Jacques_Mesrine

 
     
Notes et références                                                    
    Monde : France 1936
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Eugène-François Vidocq

Eugène-François Vidocq

 

Eugène-François Vidocq, né le 24 juillet 1775 à Arras et mort le 11 mai 1857 à Paris, était un aventurier français, successivement délinquant, bagnard, indicateur puis policier et enfin détective privé.

Forçat évadé du bagne, il devient chef de l'officieuse « brigade de sûreté » de la préfecture de police de Paris, puis fonde une agence de détectives privés.

 

  Biographie

Débuts

 

Eugène-François Vidocq naît le 24 juillet 1775 à Arras, au 222, rue du Miroir-de-Venise (actuellement rue des Trois-Visages) dans une famille de petite bourgeoisie. Il est le fils de Nicolas Joseph François Vidocq (1743-1799), maître boulanger et marchand de blé, et d'Henriette Françoise Vidocq, née Dion (1744-1824).

Intrépide, rusé et bagarreur, Eugène-François commet divers larcins au cours de son enfance. Sa forte taille (à douze ans, il a une taille d'adulte) lui rend la besogne facile. À l'âge de treize ans, il vole des couverts en argent à ses parents. Son père l'envoie dix jours à la prison des Baudets (maison d'arrêt pour jeunes délinquants) pour lui apprendre à devenir honnête. À seize ans, il vole les économies de ses parents, 2 000 francs, et rejoint Ostende pour embarquer sur un bateau à destination de l'Amérique mais, dans cette ville portuaire, il est dépouillé. Pour survivre, il devient saltimbanque dans une troupe de cirque, puis colporteur avant de revenir à Arras. En 1791, il s'engage dans l’armée révolutionnaire. Il se bat alors à Valmy et à Jemappes. Il est renvoyé du 11e régiment de chasseurs à cheval le 28 mai 1793, après une dizaine de duels. Marie-Anne-Louise Chevalier le contraint au mariage en 1794, le couple tenant une épicerie à Arras, mais lorsqu'il apprend qu'elle lui a fait croire faussement qu'elle était enceinte, il la quitte après lui avoir volé toutes ses économies. Il poursuit alors une vie aventureuse de voleur et d'escroc entre Paris et le Nord de la France, rejoignant même en 1795 les rangs de l'armée roulante.

 

Le bagne

 

image

Élévation du bagne de Brest du côté du port et plan des fondations, par l'ingénieur Antoine Choquet de Lindu, 1757-1759.

Le 27 décembre 1796, il est condamné par le tribunal criminel de Douai à huit ans de travaux forcés pour « faux en écritures publiques et authentiques ». À Bicêtre, où il est initié à la savate par Jean Goupil, il est incorporé dans la chaîne de Brest, un groupe de forçats — que l'on enchaîne les uns aux autres — destiné au bagne de ce port. Le voyage, particulièrement éprouvant, dure vingt-quatre jours.

Le 20 mai 1797, la prison de Bicêtre mentionne dans ses registres le portrait suivant : « François Vidocq, marchand d'indienne, marié à Marie-Anne Chevalier, demeurant lors de son arrestation à Lille, département du Nord, et en deuxième, à Paris, rue Saint-Hugues, 4, cour Saint-Martin, âgé de 26 ans, natif d'Arras, département du Pas-de-Calais, taille 5 pieds 6 pouces, cheveux et sourcils blonds, front rond, nez aquilin long, yeux gris, bouche moyenne et de travers, menton rond et long, visage ovale, barbe blonde, ayant une cicatrice à la lèvre supérieure à droite et les oreilles percées... ».

Vidocq en profite pour tenter une première évasion en forêt de Compiègne. Ce premier échec ne le décourage pas. La chaîne de forçats parvient à Brest le 24 nivôse an VI (13 janvier 1798). La « chaîne » fait halte à l'entrée de Brest à l'hôpital de Pontanézen où on procède au déferrement des bagnards. Vidocq essaie à nouveau de fausser compagnie à ses gardiens, mais il se foule les deux chevilles en tentant de sauter du mur d'enceinte.

Huit jours après son arrivée, il réussit à se procurer des vêtements de matelot qu'il dissimule dans l'arsenal où il travaille. Ayant réussi à se changer subrepticement, il quitte Brest sans être inquiété.

De nouveau arrêté en 1799, il est cette fois envoyé au bagne de Toulon, d'où il s'évade encore une fois, le 6 mars 1800. Il acquiert de cette façon auprès des gens du milieu un respect et une notoriété sans égale.

 

La « sûreté »

 

En 1809, à nouveau arrêté, il propose ses services d'indicateur à la préfecture de police. Il la renseigne d'abord en étant mouchard dans les prisons de Bicêtre et de La Force.

En 1811, le préfet de police Pasquier le place officieusement (il ne le sera officiellement qu'une fois gracié en 1818) à la tête de la « brigade de sûreté », un service de police dont les membres sont d'anciens condamnés et dont le rôle est de s'infiltrer dans le « milieu ». Excellent physionomiste, il repère toute personne, même grimée, qu'il a préalablement dévisagée (ayant vu cette personne une fois, il la reconnaît au premier regard). Il excelle lui-même dans l'art du déguisement.

L'urbanisation qui accompagne la révolution industrielle et la constitution des classes laborieuses que l'on observe à la fin de la Restauration transfèrent la peur du crime des zones rurales vers la ville, et c'est dans ce contexte qu'opère Vidocq. Ses nombreux succès et ses méthodes peu orthodoxes lui apportent autant d'admirateurs que de détracteurs. Ses hommes revendiquent trois fois plus de captures que les policiers classiques entre 1811 et 1827. Ces derniers tentent alors par tout moyen de déstabiliser Vidocq.

En 1818, Louis XVIII lui accorde sa grâce par lettres patentes, ce qui lui rend ses droits civils.

Ses ennemis se trouvent dans la pègre mais aussi au pouvoir. Par deux fois, ses supérieurs le font démissionner. Plusieurs personnes arrêtées par Vidocq l'accusent d'avoir monté les coups pour ensuite arrêter ceux qui y ont participé et, de cette manière, prouver son efficacité dans la lutte contre le crime. La justice ne retient pas ces allégations. La presse d'opposition n'en attaque pas moins le préfet Henri Gisquet en lui reprochant d'avoir simulé des attentats contre le roi Louis-Philippe Ier, entre autres provocations montées par son « ignoble » police symbolisée par la brigade de Sûreté peuplée d'anciens repris de justice. Un journal publie des caricatures qui exploitent la ressemblance physique entre Vidocq et le souverain. Le préfet de police finit par annoncer la réorganisation complète de la brigade de Sûreté afin de l'épurer. Comprenant que « l'administration supérieure [veut] réformer le personnel des agents qui serv[ent] sous [s]es ordres », le chef de la brigade de Sûreté prétexte l'état de santé de sa femme pour offrir sa démission le 15 novembre 1832, offre acceptée deux jours plus tard par la préfecture. Pierre Allard prend la tête de la nouvelle brigade de Sûreté et Louis Canler en devient le principal inspecteur.

Vidocq revendiquera finalement plus de 16 000 arrestations.

 

Le Bureau de renseignements pour le commerce

 

En 1827, Vidocq démissionne de ses fonctions de chef de la « sûreté ». Il s'installe à Saint-Mandé, près de Paris, et crée une petite usine de papier. Il invente le papier infalsifiable. En 1828, il publie des Mémoires qui connaissent un grand succès, et qui inspirent notamment à Honoré de Balzac son personnage de Vautrin. Ruiné par son affaire d'usine de papier, il redevient chef de la « sûreté » le 31 mars 1832 — à cinquante-sept ans — et occupe ce poste durant sept mois avant de démissionner le 15 novembre suivant à la demande du préfet Gisquet, qui souhaite « moraliser » ses équipes.

Quelques jours plus tard, ayant quitté définitivement le service public, il fonde le « Bureau de renseignements universels dans l'intérêt du commerce ». Sis au 12 de la rue Cloche-Perce à Paris, cet établissement se consacre aux « recherches et explorations dans l'intérêt des personnes lésées, affaires contentieuses ». Bien qu'il existe déjà à l'époque des centaines d'autres agences d'affaires non spécialisées, le « Bureau » de Vidocq s'en distingue progressivement grâce à une « double vocation » constituant sa marque de fabrique, observe l'historien Dominique Kalifa. En effet, l'ancien policier certifie pouvoir fournir aux commerçants, moyennant finance, des services de renseignement et de surveillance économique sur les auteurs d'escroquerie plutôt que sur « les véritables négociants » ; de surcroît, il se consacre à « l'intérêt des familles » dans le cadre d'affaires d'adultère, de succession et de disparition. Ainsi, sans camper Vidocq en « ce précurseur absolu que la tradition se plaît à reconnaître », Dominique Kalifa constate que son « Bureau de renseignements » représente bien un « prototype » de la police privée.

Vidocq prétend enregistrer plus de 8 000 clients et s'installe au 13, galerie Vivienne. Durant son procès, il revendique la devise « Haine et guerre aux fripons, dévouement sans bornes au commerce ». En 1834, il fréquente les dîners de Benjamin Appert, où sont conviés de nombreux écrivains comme Balzac, Dumas et Hugo. L'agence ferme en 1837, par décision de justice : Vidocq est emprisonné à Sainte-Pélagie, puis acquitté au bout d'un an.

En 1845, ruiné, Vidocq part pour Londres. Fort de sa légendaire réputation, il y donne des conférences payantes. Il y vend des brevets pour des inventions de sa conception : papier infalsifiable, serrure incrochetable.

En 1848, il reprend du service dans les renseignements français en se laissant emprisonner à la Conciergerie durant les émeutes du 15 mai et opère comme indicateur.

En juillet 1854, le choléra frappe Vidocq à soixante-dix-neuf ans. Malgré son grand âge, il parvient à survivre à la maladie infectieuse. Une seconde fois veuf depuis l'année 1847, il se console dans les bras de jeunes maîtresses qu'il séduit en leur faisant successivement miroiter un riche héritage grâce à des testaments olographes sans valeur.

Le 30 avril 1857, la paralysie gagne ses jambes. Vidocq meurt le 11 mai 1857 à son domicile parisien sis au 2, rue Saint-Pierre-Popincourt (actuellement 82, rue Amelot). Le jour suivant, il est enterré dans la 20e division du cimetière du Père-Lachaise. Sa sépulture, relevée, n'existait plus à la fin du xixe siècle.

 

Imaginaire populaire

 

Vidocq a encore aujourd'hui une place importante dans l'imaginaire populaire et français en particulier, grâce aux romans et, depuis quelques décennies, grâce à la télévision et au cinéma. En 2003, la Poste française émet un timbre à l'effigie du personnage, dans le cadre d'une série « Destinées romanesques ».

 
 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Eug%C3%A8ne-Fran%C3%A7ois_Vidocq

 
     
Notes et références                                                    
   
    Monde : France 1775 
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Grosse Bertha

Publié à 03:00 par dessinsagogo55 Tags : blogs monde center fille centerblog sur merci france coup
Grosse Bertha

 

 

La Grosse Bertha (en allemand : Dicke Bertha) est une très grosse pièce d'artillerie de siège utilisée par l'armée allemande lors de la Première Guerre mondiale. Il s'agissait d'un obusier de 420 mm de diamètre et de 16 calibres de long. Deux modèles furent construits : d'abord le 42-cm Kurze Marine-Kanone 12 (Gamma-Mörser) à partir de 1912, puis le 42-cm Kurze Marine-Kanone 14 (M-Gerät) à partir de 1914.

 

En France, on a souvent désigné sous ce nom le mystérieux canon utilisé pour le bombardement de Paris en 1918 (Pariser Kanonen), mais il s'agit en fait d'un modèle bien différent (Ferngeschütz ou Kaiser-Wilhelm-Geschütz ).

 

En 1908, l'état-major allemand chargea l'usine d'armements de Bertha Krupp von Bohlen und Halbach, située à Essen, d'élaborer une pièce d'artillerie capable de percer trois mètres de béton armé et de briser les tourelles en acier au nickel des fortifications françaises.

 

On confia la conception de l'arme au professeur Rausenberger et les calculs au capitaine Becker. Après avoir testé une grande variété d'obus, le meilleur compromis entre les performances balistiques et les capacités de pénétration fut obtenu avec un obus de 1 150 kg chargé de 144 kg d'explosifs. Toutefois, le canon correspondant – appelé Gamma-Gerät (appareil gamma) – ne pouvait être transporté que par voie ferrée, ce qui limitait son champ de manœuvre.

 

À partir du Gamma-Gerät, très coûteux (un million de marks de l'époque, et 3 000 marks par coup tiré), fut donc développé un obusier plus léger (de 42 tonnes) et plus mobile, le type M. Conformément à la tradition des usines Krupp, qui voulait que les machines fussent baptisées du nom d'un membre de la famille, le M 42 fut renommé Dicke Bertha (Grosse Bertha), en l'honneur de Bertha Krupp, la fille unique et héritière de Friedrich Krupp. Les artilleurs surnommèrent ce mortier Fleissige Bertha (Bertha la travailleuse).

 

En août 1914, une seule batterie de deux pièces « M » était prête (batterie no 3 Erdmann), mais dix autres mortiers ont été fabriqués par la suite.

 

Utilisation

 

 

La Grosse Bertha (type M, soit la version légère) entra en service le 12 août 1914 face au fort de Pontisse, lors du siège de Liège. Le 15 août, le fort de Loncin fut bombardé par les Grosses Bertha, qui provoquèrent l'explosion des douze tonnes de poudre du magasin à poudre du fort. Le 16 août, les douze forts ceinturant la ville donnèrent leur reddition, bien que seuls trois d'entre eux (Pontisse, Fléron et Loncin) eussent été bombardés par les Grosses Bertha. Les « Bertha » (type M et gamma) dévastèrent les forteresses de Namur, Maubeuge et Anvers, ainsi que les défenses russes du Danube. En Lorraine, le fort d'arrêt de Manonviller, construit en béton spécial et le plus puissant fort de la ligne Séré de Rivières, fut dévasté par 59 tirs de la batterie Gamma-Gerät du major Solf le 27 août 1914.

 

Cependant, devant Verdun, notamment face au fort de Moulainville, les Bertha montrèrent leurs limites. Les forts de Verdun, modernisés peu avant la guerre, résistèrent aux Grosses Bertha non pas parce qu'ils étaient plus solides, mais par le fait que les défenseurs s'installèrent dans un réseau de galeries profondes équipées de courant électrique, réseau téléphonique, casernes, PC, infirmerie, etc. De ce réseau remontaient plusieurs galeries donnant accès aux postes de combat (tourelles, casemates, coffres, caponnières, etc.). Vingt ans plus tard, ce système sera optimisé en créant la ligne Maginot.

 

Si les dégâts causés aux forts impressionnèrent les Alliés, la célébrité de la Grosse Bertha est venue de la confusion avec les canons longs qui bombardèrent Paris en 1918. Il ne s'agissait pas de Bertha mais de Ferngeschütz, également appelés Pariser Kanonen. Rausenberger avait adapté des tubes de gros calibre destinés au croiseur Ersatz Freya, dont la construction avait été suspendue.

 

À la fin de la Première Guerre mondiale, les Grosses Bertha furent détruites pour ne pas tomber entre les mains des Alliés. Seul le canon affecté au champ de tir de Meppen fut conservé. Rebaptisé Große Gilda (Grande Gilda), il reprit du service lors de la Seconde Guerre mondiale. Il fut utilisé en mai 1940 contre certains forts belges et contre l'ouvrage de Schœnenbourg, sans grands résultats car les ouvrages de la ligne Maginot étaient conçus pour y résister. Il fut de nouveau utilisé en 1942, lors du siège de Sébastopol et, deux ans plus tard, lors de l'insurrection de Varsovie. Cependant à cette époque, l'Allemagne avait développé d'autres canons encore plus puissants, les Karl et Gustav.

 
 
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Grosse_Bertha  
     
Notes et références                                                    
   
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9 août : Décès

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9 août : Décès

 

Décès

 

378 : Flavius Julius Valens, empereur romain de 364 à 378 (° v. 328).
1048 : Damase II (Poppon de Brixen dit), 151e pape chrétien mort après seulement 23 jours de pontificat (° inconnue).
1296 : Hugues de Brienne, comte de Brienne (° 1240).
1420 : Pierre d'Ailly, cardinal français (° 1351).
1515 : Charles de Robertet, évêque d'Albi (° inconnue).
1516 : Jérôme Bosch, peintre néerlandais (° vers 1450).
1710 : Henry Le Bret, ami d'enfance et de jeunesse de Savinien de Cyrano de Bergerac, soldat, juriste, avocat au conseil du roi, homme de lettres, historien, ecclésiastique et éditeur français posthume de Cyrano (° 1617 ou 1618).
1820 : Anders Sparrman, naturaliste suédois (° 27 février 1748).
1842 : Vladimir Gadon, homme politique et insurgé lituanien (° 9 octobre 1775).
1853 : Josef Hoëné-Wronski, philosophe et scientifique franco-polonais (° 23 août 1776).
1886 : Henri de Chacaton, peintre orientaliste français (° 30 juillet 1813).
1888 :
Charles Cros, poète et inventeur français (° 1er octobre 1842).
Samuel Ferguson, poète irlandais (° 10 mars 1830).
1914 : « Corchaito » (Fermín Muñoz Corchado y González dit), matador espagnol (° 10 octobre 1882).
1919 : Ruggero Leoncavallo, compositeur italien (° 23 avril 1857).
1932 : John Charles Fields, mathématicien canadien (° 14 mai 1863).
1933 : Dyna Beumer, soprano belge (° 31 août 1856).
1942 :
Tahar Sfar (الطاهر صفر), homme politique et avocat tunisien (° 15 novembre 1903).
Edith Stein, religieuse, théologienne, philosophe et sainte catholique allemande (° 12 octobre 1891).
1943 :
Franz Jägerstätter, objecteur de conscience autrichien et martyr catholique (° 20 mai 1907).
Chaïm Soutine, peintre français d’origine lituanienne (° 9 juin 1893).
1946 : Léon Gaumont, producteur de cinéma français (° 10 mai 1864).
1956 : Jean Temerson, acteur français (° 12 juin 1898).
1962 :
Hermann Hesse, écrivain suisse, prix Nobel de littérature en 1946 (° 2 juillet 1877).
Raymond Sudre, sculpteur français (° 28 octobre 1870).
1967 : Joe Orton, dramaturge britannique (° 1er janvier 1933).
1969 :
Cecil Frank Powell, physicien anglais, prix Nobel de physique en 1950 (° 5 décembre 1903).
Sharon Tate, actrice américaine, épouse de Roman Polanski (° 24 janvier 1943).
1974 : Bill Chase, trompettiste et chef d’orchestre de jazz américain (° 20 octobre 1934).
1975 : Dmitri Chostakovitch (Дмитрий Дмитриевич Шостакович), compositeur russe (° 25 septembre 1906).
1979 :
Walter O'Malley, gestionnaire de sport américain (° 9 octobre 1903).
Charles Spinasse, homme politique français (° 22 octobre 1893).
1983 : André Hossein, compositeur de musiques de films, père de Robert Hossein (° 1905).
1987 : Roger Garand, acteur québécois (° 30 octobre 1922).
1988 : Giacinto Scelsi, compositeur italien (° 8 janvier 1905).
1991 :
Zbigniew Strzalkowski (° 3 juillet 1958) et
Michal Tomaszek (° 23 septembre 1960), religieux franciscains polonais, assassinés par les terroristes du Sentier lumineux, au Pérou9.
1994 : Cathy Stewart, actrice pornographique française (° 2 avril 1956)
1995 : Jerry García, guitariste américain du groupe Grateful Dead (° 1er août 1942).
1997 :
Jean Prasteau, écrivain, journaliste et historien français (° 1921).
Herbert de Souza, sociologue brésilien (° 3 novembre 1935).
1998 :
Gabriel Cattand, acteur français (° 29 novembre 1923).
Marcella Rovena, actrice italienne (° 22 janvier 1908).
Francisco Zúñiga, artiste, sculpteur, peintre et professeur d'université costaricien puis mexicain (° 27 décembre 1912).
2000 :
Louis Nucéra, écrivain français, prix Interallié en 1981 et grand prix de littérature de l'Académie française en 1993 (° 17 juillet 1928).
Lewis Wilson, acteur américain (° 28 janvier 1920).
2002 : Bertold Hummel, compositeur allemand (° 27 novembre 1925).
2003 :
Jacques Deray, réalisateur français (° 19 février 1929).
Gregory Hines, acteur et danseur américain (° 14 février 1946).
2004 :
Tony Mottola, guitariste, compositeur et gestionnaire américain (° 18 avril 1918).
David Raksin, compositeur américain de musiques de films (° 4 août 1912).
2005 :
Colette Besson, athlète française (° 7 avril 1946).
François Dalle, homme d’affaires et chef d’entreprise français, président de L'Oréal de 1957 à 1984 (° 18 septembre 1918).
Matthew McGrory, acteur américain (° 17 mai 1973).
Judith Rossner (en), romancière américaine (° 31 mars 1935).
2006 :
Anga Díaz, percussionniste cubain (° 15 juin 1961).
James Alfred Van Allen, physicien et astronome américain (° 7 septembre 1934).
2007 :
Ulrich Plenzdorf, écrivain, romancier et scénariste allemand (° 26 octobre 1957).
Rudolf Thanner, hockeyeur sur glace allemand (° 20 août 1944).
Michel Thompson, peintre français (° 12 janvier 1921).
2008 :
Mahmoud Darwich, poète et écrivain palestinien (° 13 mars 1941).
Bernie Mac (Bernard Jeffrey McCullough dit), acteur américain (° 5 octobre 1957).
2009 :
Reynald Bouchard, acteur québécois (° 1946).
Thierry Jonquet, écrivain français (° 19 janvier 1954).
Thomas Knopper, pilote automobile néerlandais (° 2 février 1990).
Marie-Laure Picat, écrivaine française (° 2 juillet 1972).
John Quade, acteur américain (° 1er avril 1938).
Camille Vallin, homme politique français (° 22 novembre 1918).
2010 : Ted Stevens, homme politique américain (° 18 novembre 1923).
2011 :
François Cacheux, sculpteur français (° 24 janvier 1923).
Adolphe-Marie Hardy, évêque français (° 23 juillet 1920).
2012 : Mel Stuart, réalisateur et producteur américain (° 2 septembre 1928).
2014 : Raymond Berthillon, glacier parisien (° 9 décembre 1923).
2015 : Coyote (Philippe Escafre dit), auteur de bande dessinée français (° 9 octobre 1962).
2016 :
Fabio Garriba, acteur italien (° 13 novembre 1944).
Gerald Grosvenor, homme politique britannique (° 22 décembre 1951).
Siegbert Horn, kayakiste est-allemand puis allemand (° 11 mai 1950).
Jean Mesnard, universitaire français (° 23 février 1921).
Ernst Neïzvestny, sculpteur russo-américain (° 9 avril 1925).
Kalikho Pul, homme politique indien (° 20 juillet 1969).
Philippe Roberts-Jones, poète et historien belge (° 8 novembre 1924).
2017 :
Romdhan Chatta, acteur et comédien tunisien (° 25 novembre 1939).
Fritz Huber, skieur alpin autrichien (° 21 janvier 1931).
Jean Vendome, bijoutier français (° 18 avril 1930).
2018 :

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Tamara Degtiareva, actrice russe (° 29 mai 1944).

Manfred Melzer, prélat catholique allemand (° 28 février 1944).
2021 : Patricia Hitchcock, actrice britannique (° 7 juillet 1928).

 

 
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/9_ao%C3%BBt  
     
     
     
     
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9 août : Naissances

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9 août : Naissances

 

 

Naissances

 

 

1593 : Izaac Walton, écrivain anglais († 15 décembre 1683).
1602 : Gilles Personne de Roberval, mathématicien et physicien français († 27 octobre 1675).
1606 : Theodoor van Thulden, peintre flamand († 12 juillet 1669).
1726 : Francesco Cetti, prêtre jésuite, zoologiste et mathématicien italien († 20 novembre 1778).
1740 : Giovanni Cristofano Amaduzzi (« Amadutius »), religieux, universitaire, philosophe et érudit italien († 21 janvier 1792).
1754 : Pierre Charles L'Enfant, architecte et concepteur de villes français († 14 juin 1825).
1776 : Amedeo Avogadro, chimiste et physicien italien († 9 juillet 1856).
1789 : Nicolas Bochsa, musicien français († 6 janvier 1856).
1794 : Achille Valenciennes, zoologiste et ichtyologiste français († 13 avril 1865).
1806 : Eugène Pierre François Giraud, artiste français († 28 décembre 1881).
1814 : Alexander Willem Michiel Van Hasselt, médecin et naturaliste hollandais († 16 septembre 1902).
1839 : Charles-Théodore en Bavière, personnalité de la famille royale de Bavière († 30 novembre 1909).
1845 : Frère André (Alfred Bessette dit), religieux québécois († 6 janvier 1937).
1855 : Jean Lorrain, écrivain français († 30 juin 1906).
1869 : Manuel Medina Olmos, (évêque de Guadix), assassiné pendant la guerre civile espagnole. Béatifié en 1993 († 30 août 1936)8.
1874 :
Charles Hoy Fort, écrivain et chercheur paranormal américain († 3 mai 1932).
Reynaldo Hahn, chef d’orchestre, critique musical et compositeur français d’origine vénézuélienne († 28 janvier 1947).
Albin Lermusiaux, athlète français, spécialiste du demi-fond, médaillé aux JO d'Athènes en 1896 († 20 janvier 1940).
1875 : Albert Ketèlbey, pianiste, chef d’orchestre et compositeur de musique légère anglais († 26 novembre 1959).
1878 : Eileen Gray, designer et architecte irlandaise († 31 octobre 1976).
1891 : Joseph-Marie Martin, cardinal français, archevêque de Rouen († 21 janvier 1976).
1892 : Shiyali Ramamrita Ranganathan (शियाली राममृत रंगनाथन), mathématicien et bibliothécaire indien († 27 septembre 1972).
1896 : Jean Piaget, pédopsychologue suisse († 16 septembre 1980).
1897 : Noël-Noël (Lucien Édouard Noël dit), acteur français († 4 octobre 1989).
1899 :
Armand Salacrou, auteur dramatique français († 25 novembre 1989).
Pamela Lyndon Travers (Helen Lyndon Goff dite), romancière australienne († 23 avril 1996).
1902 : Zino Francescatti, violoniste et pédagogue français († 17 septembre 1991).
1904 :
Raymonde Canolle, athlète française († 23 octobre 1975).
Gabriel Marcillac, coureur cycliste français († 4 octobre 1984).
1905 : Pierre Klossowski, écrivain et dessinateur français († 12 août 2001).
1906 : Robert Surtees, directeur de photographie américain († 5 janvier 1985).
1907 : Jean Mairey, résistant et haut fonctionnaire français († 16 octobre 1982).
1908 :
A.I. Bezzerides, scénariste, romancier et acteur américain († 1er janvier 2007).
Tommaso Landolfi, écrivain italien († 8 juillet 1979).
1911 : William Fowler, astrophysicien américain, colauréat du prix Nobel de physique en 1983 († 14 mars 1995).
1914 : Ferenc Fricsay, chef d’orchestre hongrois († 20 février 1963).
1918 : Robert Aldrich, réalisateur américain († 5 décembre 1983).
1919 : Ralph Houk (en), joueur, instructeur, gérant et gestionnaire de baseball américain († 21 juillet 2010).
1921 : Lola Bobesco, violoniste belge d’origine roumaine († 4 septembre 2003).
1922 : Conchita Cintrón, rejoneadora péruvienne († 17 février 2009).
1923 : Catherine Langeais (Marie-Louise Terrasse dite), présentatrice française de télévision († 23 avril 1998).
1925 : Valentín Pimstein, producteur chilien († 27 juin 2017).
1927 :
Mario David (Jacques David dit), acteur français († 29 avril 1996).
Daniel Keyes, écrivain de science-fiction et chercheur en psychologie américain († 15 juin 2014).
Marvin Minsky, scientifique américain († 24 janvier 2016).
Robert Shaw, acteur britannique († 28 août 1978).
1928 : Robert « Bob » Joseph Cousy dit Cooz, Mr. Basketball / Houdini of the Hardwood, basketteur américain.
1929 : Abdi İpekçi, journaliste turc († 1er février 1979).
1930 : Jacques Parizeau, homme politique québécois, premier ministre du Québec de 1994 à 1996 († 1er juin 2015).
1931 : Mario Jorge Lobo Zagallo, footballeur brésilien.
1932 :
Tam Dalyell, homme politique britannique († 26 janvier 2017).
John Gomery, juge québécois († 18 mai 2021).
1933 : Yoshinobu Oyakawa, nageur américain, champion olympique.
1934 : Yves Coppens, paléontologue et paléoanthropologue français († 22 juin 2022).
1938 :
Leonid Koutchma (Leonid Danylovytch Koutchma / Леонід Данилович Кучма en ukrainien), homme d'État ukrainien, ingénieur, premier ministre de 1992 à 1993, puis deuxième président de l'Ukraine moderne de 1994 à 2005.
Rodney George « Rod » Laver, joueur de tennis australien.
Pierre Santini, comédien, metteur en scène et directeur de théâtre franco-italien.
1939 :
Billy Henderson (en), chanteur américain du groupe The Spinners († 2 février 2007).
Bulle Ogier, actrice française.
Romano Prodi, homme politique italien, président du Conseil des ministres de 1996 à 1998 et de 2006 à 2008, et président de la Commission européenne de 1999 à 2004.
1943 :
Danièle Gaubert, comédienne française († 3 novembre 1987).
Ken Norton, boxeur américain († 18 septembre 2013).
1944 :
Patrick Depailler, pilote automobile français († 1er août 1980).
Sam Elliott, acteur et producteur américain.
1946 : Phương Dung, chanteuse vietnamienne de musique traditionnelle.
1947 :
1947 : J.J. Lionel (Jean-Jacques Blairon dit), chanteur populaire belge francophone (de la chanson d'ambiance de bals de fêtes nationales, familiales, noces et banquets La Danse des canards) († 14 juillet 2020).
Jungo Morita, joueur de volley-ball japonais, champion olympique.
1949 : Denis Laming, architecte français.

1950 : Anémone (Anne Bourguignon, dite), comédienne française († 30 avril 2019).

1953 :
Edgar Givry, comédien français.
Christophe Salengro, artiste comédien français († 30 mars 2018).
1954 : Olga Knyazeva, escrimeuse soviétique, championne olympique († 3 janvier 2015).
1955 :
Udo Beyer, athlète est-allemand, champion olympique du lancer du poids.
Mathieu Lindon, écrivain français.
1956 : Fafá de Belém (Maria de Fátima Palha de Figueiredo dite), chanteuse et compositrice brésilienne.
1957 : Melanie Griffith, actrice américaine.
1958 :
Louis Garneau, cycliste et homme d’affaires québécois.
Amanda Bearse, actrice américaine.
1959 :
Philippe Bergeron, acteur québécois.
Idrissa Seck, homme d'État sénégalais
1960 : Barbara De Rossi, actrice italienne.
1961 : Josée Deschênes, actrice québécoise.
1963 : Whitney Houston, chanteuse américaine († 11 février 2012).
1964 : Brett Hull, joueur de hockey sur glace canado-américain.
1965 : John Smith, lutteur américain, double champion olympique.
1966 : Fabrice Loiseau, prêtre catholique français, fondateur et supérieur des Missionnaires de la Miséricorde Divine.
1967 :
Patrick Ridremont, comédien belge.
Deion Sanders, joueur américain de football et de baseball.
Ulrich Kirchhoff, cavalier allemand, double champion olympique.
1968 :

Gillian Anderson, actrice américaine.

Eric Bana, acteur australien.
Babsie Steger, comédienne autrichienne.
1969 : Divine Brown (Estella Marie Thompson dite), prostituée américaine.
1970 : Roderick « Rod » Jean Brind’Amour, joueur de hockey sur glace canadien.
1971 : Roman Romanenko (Роман Юрьевич Романенко), cosmonaute russe.
1972 :
Juan Esteban Aristizábal Vásquez dit Juanes, chanteur colombien.
Sabrina Pettinicchi, basketteuse en fauteuil roulant canadienne.
1973 :
Filippo Inzaghi, footballeur italien.
Kevin McKidd, acteur écossais.
1974 :
Matt Morris (en), joueur de baseball américain.
Raphaël Poirée, biathlète français.
1976 :
Jessica Capshaw, actrice américaine.

Audrey Tautou, actrice française.

1977 :
Rico Hill, basketteur américain.
Mikaël Silvestre, footballeur français.
1981 : Ahmed Fellah, basketteur français.
1982 :
Joel Anthony, basketteur américain.
Tyson Gay, athlète américain.
Jes Macallan, actrice américaine.
1983 :
Evgenia Lamonova, escrimeuse russe.
Adrien Michaud, athlète français.
1984, joueur de rugby à XV français.
1985 :
Filipe Luís Kasmirski, footballeur brésilien.
Anna Kendrick, actrice et chanteuse américaine.
Dennis Marshall, footballeur costaricien († 23 juin 2011).
1988 : Willian, footballeur brésilien.
1990 : Bill Skarsgård, acteur suédois.
1991 : Furkan Aldemir, basketteur turc.
1998 : Panayotis Pascot, chroniqueur français.
2002 : Nils Othenin-Girard, acteur français.
2005 : Caylee Anthony, victime de meurtre américaine († 16 juin 2008).

 

 
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