Date de création : 09.04.2012
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25.11.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Frédéric Auguste Bartholdi, né le 2 août 1834 à Colmar et mort le 4 octobre 1904 à Paris, est un sculpteur, un peintre français et, à ses débuts, un photographe amateur de la photographie de voyage.
Il est notamment l'auteur de la célèbre statue de la Liberté (dont le titre exact est La Liberté éclairant le monde), offerte par la France aux États-Unis et érigée en 1886 sur Bedloe's Island, à l'entrée du port de New York ainsi que du monumental Lion de Belfort, qui célèbre la résistance héroïque de la ville lors du siège de 1870-1871. Ses rares peintures sont généralement signées du pseudonyme d'« Amilcar Hase ».
Biographie
Né à Colmar le 2 août 1834, Frédéric Auguste Bartholdi est le fils de Jean Charles Bartholdi (1791-1836), conseiller de préfecture, et d’Augusta Charlotte, née Beysser (1801-1891), fille d'un maire de Ribeauvillé. Quatre enfants, dont seuls l'aîné, Jean-Charles (avocat-éditeur, puis interné pour maladie), et le cadet, Auguste, survivront. À la mort de son père en 1836, la mère, de condition aisée, décide d'aller vivre à Paris, tout en conservant la maison familiale du 30, rue des Marchands, qui abrite, depuis 1922, le musée Bartholdi, après avoir été léguée à la Ville en 1907.
De 1843 à 1851, il étudie au lycée Louis-le-Grand à Paris. Parallèlement, sa mère l'inscrit comme élève dans l'atelier du sculpteur Antoine Étex et du peintre Ary Scheffer, rue Chaptal (aujourd'hui musée de la Vie romantique, qui y conserve deux bronzes, La Gravure et L’Orfèvrerie). Ce dernier décèle chez Bartholdi que sa vocation est dans la sculpture. Auguste Bartholdi obtient son baccalauréat en 1852 et un an plus tard, afin qu'il s'installe, sa mère lui achète un atelier, rue Vavin, qu'il occupera pendant quarante ans.
De 1855 à 1856, il voyage avec ses amis Édouard-Auguste Imer et Jean-Léon Gérôme en Égypte, où il découvre la sculpture monumentale, puis en Arabie heureuse. Il en rapporte des dessins et photographies orientalistes qui l'influenceront.
Son premier monument, une sculpture en bronze dédiée au général Rapp, est inauguré au Champ-de-Mars de Colmar le 31 août 1856.
Pendant la guerre franco-allemande de 1870, chef d'escadron des gardes nationales, il est aide de camp du général Giuseppe Garibaldi et agent de liaison du gouvernement, particulièrement chargé de s'occuper des besoins de l'armée des Vosges. C'est au cours de cet engagement patriotique que Garibaldi et Gambetta le confortent dans son amour de la république et de la démocratie. Très marqué par l'annexion de l'Alsace et de la Lorraine par l'Empire allemand, il veut dès lors exalter les valeurs de la liberté.
En 1871, à la demande d'Édouard Lefebvre de Laboulaye — dont Bartholdi a réalisé un buste en 1866 — et de l'union franco-américaine, il effectue son premier voyage aux États-Unis pour sélectionner en personne le site où sera installée la statue de la Liberté. Le projet ressemblera d'ailleurs beaucoup à un projet semblable (L'Égypte éclairant l'Orient), qui aurait dû être installé à l'entrée du canal de Suez, si Ismaïl Pacha l'avait accepté en 1869.
Sa carrière prend dès lors une ampleur internationale. Il devient un des sculpteurs les plus célèbres du xixe siècle en Europe et en Amérique du Nord.
Il réalise de 1875 à 1879, le Lion de Belfort, sculpture monumentale en haut-relief située à Belfort en France au pied de la falaise de la citadelle. L'œuvre représente un lion couché sur un piédestal en rocaillage, la patte posée sur une flèche qu'il vient d'arrêter. Cet animal symbolise la résistance de la ville assiégée par les Prussiens durant la guerre de 1870, et à l'issue de laquelle la zone, correspondant à l'actuel Territoire de Belfort, sera la seule partie de l'Alsace à rester française.
Voulant exalter la portée universelle du message républicain, il est franc-maçon depuis 1875, adhérent à la loge Alsace-Lorraine à Paris. C'est à partir de cette date qu'il commence la construction de la statue de la Liberté dans ses ateliers parisiens, rue Vavin. La pose de la première pierre du piédestal le 5 août 1884, est d'ailleurs une cérémonie maçonnique : c'est le grand-maître de la Grande Loge de l’État de New York, William A. Brodie (en), qui la pose, rappelant que les loges l'ont aidé dans son projet.
La même année, le 20 décembre, il conclut à l'hôtel de ville de Newport (Rhode Island) aux États-Unis un mariage « rocambolesque » avec Jeanne-Émilie Baheux de Puysieux, simple modiste mais descendante d'une grande famille alsacienne, posant pour lui, qui se serait rajeunie de 13 ans aux yeux de son mari. Lors de son séjour chez son ami John LaFarge, ce dernier le convainc en effet de l'épouser afin de se conformer aux valeurs morales des hommes d'affaires américains qui financent sa statue de la Liberté. LaFarge fait ainsi venir chez lui le pasteur Charles T. Brooks pour célébrer dans la précipitation un mariage improvisé. Leur mariage sera cependant heureux mais le couple n'aura pas d'enfant.
À Rouen au mois de mai 1885, il surveille le chargement des caisses, de la statue démontée, sur la frégate de transport Isère. À l'invitation du commandant Gabriel Lespinasse de Saune il embarque, avec son épouse, sur le navire pour la descente de la Seine, les époux débarquent à Caudebec-en-Caux, avant que le bateau entreprenne la traversée de l'Atlantique.
Il effectuera un autre voyage aux États-Unis sur La Bretagne (CGT) pour l'inauguration, le 28 octobre 1886, de la statue de la Liberté à New York.
Il est élevé au grade de commandeur de la Légion d'honneur en 1886, 22 ans après avoir été nommé chevalier.
Auguste Bartholdi meurt de maladie le 4 octobre 1904 en son domicile au no 82, rue d'Assas dans le 6e arrondissement de Paris. Il est inhumé à Paris au cimetière du Montparnasse (28e division). Le service funèbre, comme celui en 1914 de sa veuve, a été présidé par leur ami le pasteur Jules-Émile Roberty, du temple protestant de l'Oratoire du Louvre.
L'année suivante en 1905, sa veuve lègue la statue de Champollion en plâtre réalisée par son mari pour l'Exposition universelle de 1867 au musée de Grenoble. Cette statue consignée dans le musée ne sera finalement installée dans la cour d'honneur du lycée Champollion qu'en 1926. Elle est aujourd'hui exposée dans la salle 17 du musée.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Auguste_Bartholdi | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | |||||||||||||||||||||||||||
BIOGRAPHIE | Auguste Bartholdi | ||||||||||||||||||||||||||
Statue de la liberté | |||||||||||||||||||||||||||
Statue de la liberté : Le socle | |||||||||||||||||||||||||||
Statue de la liberté de Bartholdi à Poitiers | |||||||||||||||||||||||||||
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Rodolfo Graziani (Filettino, 11 août 1882 - Rome 11 janvier 1955) est un général et homme politique italien.
Il sert dans l'armée royale italienne pendant la Première Guerre mondiale et la Seconde Guerre mondiale. Pendant l'entre-deux-guerres, il rejoint le fascisme, devenant l'une de ses figures de proue. Il obtient des commandements pendant les guerres coloniales italiennes lors de reconquête de la Libye italienne (1921-1931), puis prend part à la guerre d'Éthiopie et à la répression contre la guérilla abyssine (1935-1937). Son rôle en Libye et ses méthodes brutales lui valent le surnom de « boucher du Fezzan ».
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, il devient Gouverneur général et commandant en Libye succédant à Italo Balbo. Pendant la campagne d'Afrique du Nord, il commande l'armée italienne lors de l'invasion italienne de l'Égypte et de l'opération Compass, qui débouche sur une défaite militaire conséquence de ses choix stratégiques : les forces militaires italiennes, quatre fois supérieures en nombre aux troupes britanniques, mais inférieures en formation tactique et dépourvues d'armements et d'unités de corps, subissent l'une des plus grandes défaites de leur histoire. Démis de ses fonctions, après une période de retrait, il accepte en 1943 le poste de ministre de la Défense nationale (Ministère des Armées à partir du 6 janvier 1944) dans le gouvernement de la République sociale italienne proposé par Benito Mussolini. Il occupe ce poste jusqu'à l'effondrement final de 1945, en participant à la lutte contre les anglo-américains et à la répression anti-partisane.
Dans la période d'après-guerre, en raison de l'utilisation de gaz moutarde et du bombardement des hôpitaux de la Croix-Rouge pendant la seconde guerre italo-éthiopienne, il est inclus par la Commission des crimes de guerre des Nations unies dans la liste des criminels de guerre à la demande du gouvernement éthiopien, mais il ne sera jamais jugé. La demande d'extradition présentée par l'Éthiopie est rejetée par l'Italie en 1949. Il est jugé et condamné à 19 ans de prison pour collaboration, même si après avoir purgé quatre mois de peine, il est libéré de prison. Il rejoint ensuite le Mouvement social italien, dont il devient président d'honneur.
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Omar al-Mukhṫār Muḥammad bin Farḥāṫ al-Manifī (20 août 1858 - 16 septembre 1931), surnommé « Cheikh des Moudjahidins », ou plus connu dans le monde arabe sous le surnom du lion du désert, est un cheikh musulman libyen connu pour avoir organisé la résistance armée à la colonisation italienne de la Libye au début du xxe siècle.
Origines
Son fils Mohammad Omar al-Mokhtar en 2013.
Il est l'une des plus célèbres figures des résistances arabes et musulmanes. Il est d'origine Arabe Adnanite (Arabes du Nord) de la tribu des Banu Hilal, plus précisément à la maison de Farahat, de la tribu arabe Bridan, qui est un ventre de la tribu Al-Manfah ou Al-Munif, qui appartient à Abdul Manaf bin Hilal bin Amer bin Sa`sa bin Mu`awiyah bin Bakr bin Hawazin, la première des tribus Hilalienne à entrer à Barqa. Sa mère est Aisha bint Muhareb.
Il perd son père Mokhtar Ben Omar à 16 ans, lorsque celui-ci fait route pour le pèlerinage musulman à La Mecque. Il reçoit une éducation au sein des mosquées de la confrérie Sanoussi. Pendant 8 ans, il suit des cours de sciences islamiques à l'institut supérieur. Ses qualités morales lui attirent l'admiration des cheikhs et la confiance de ses chefs. Il est nommé en 1897, par El-Sayed El-Mahdi, cheikh de la mosquée Al-Okour.
Il ne se marie qu'une seule fois et a un fils, nommé Mohammad Omar al-Mokhtar (1921-2018).
Invasion de la Libye par l'Italie
Dans le cadre de la doctrine du colonialisme développée durant la seconde partie du xixe siècle, l'Italie fraîchement unifiée décide de constituer son propre empire, jetant son dévolu sur la Libye alors administrée par l'Empire ottoman. La guerre italo-turque débute le 29 septembre 1911 et s'achève par l'accord de conciliation d'Ouchy-Lausanne en 1912 qui officialise le contrôle italien sur ce territoire ottoman.
Résistance d'Omar al-Mokhtar
Répondant aux directives de l'émir Mohammed Idriss el-Sanoussi, Omar al-Mokhtar se porte à la tête de la résistance à la colonisation italienne et adopte une stratégie de lutte contre les Italiens, fondée sur la formation d'un commandement militaire unifié, sur la collecte de taxes sur les animaux et les récoltes, alors que les tribus équipent les combattants en armes et en approvisionnements. Tous ces efforts font de la résistance un tissu socio-économique très solide.
Il engage une lutte de guérilla dans les forêts et vallées du Djebel al Akhdar (la montagne verte) surplombant la côte de Cyrénaïque dans l'est libyen. Cette stratégie lui permet de tendre de multiples embuscades à l'ennemi et de prendre de surprise l'armée italienne, mieux organisée, nombreuse et bien armée.
En 1922, quand le pouvoir devient fasciste, l'Italie dénonce tous ses accords avec Idriss El-Senoussi et reprend l'épreuve de force militaire. Idriss El-Senoussi doit se réfugier en Égypte cette même année et les tribus de la résistance exercent le commandement effectif sous la direction d'Omar al-Mokhtar.
Quand le mouvement de la résistance est en butte à des problèmes de ravitaillement en armes et en vivres, Omar al-Mokhtar demande l'aide d'Idriss El-Senoussi qui ne peut lui venir en aide en raison de ses propres difficultés financières.
Omar al-Mokhtar poursuit cependant sa lutte. La résistance s'engage dans de multiples combats et le cercle des activités des moudjahidins s'élargit dans le Djebel Akhdar, les tribus arabes se joignent aux rangs des combattants.
Les Italiens essaient de faire cesser son combat en lui proposant une somme mensuelle de 50 000 lires, en échange de la signature par Sayed Reda, représentant d'Idriss El-Senoussi dans le mouvement de la résistance, d'un traité de paix avec eux, mais Omar al-Mokhtar refuse par ces mots : « Notre foi profonde nous incite au djihad ».
Omar al-Mokhtar réussit à remporter plusieurs victoires contre l'armée italienne qui font sa renommée, dont les combats d'El-Kafra, El-Rahiba, Akila, El-Matmoura, Karassa.
Capture et exécution
article annexe : Dialogue entre O Al-Moktar et R Graziani
Photo d'Omar al-Mokhtar enchaîné après sa capture.
Le 12 septembre 1931, alors qu'il effectue une mission de reconnaissance à la tête de 40 cavaliers, Omar al-Mokhtar tombe dans une embuscade tendue par les Italiens. Il est arrêté et livré au commandement italien.
Graziani, le vice-maréchal du gouverneur général Baudina, de Tripoli et Cyrénaïque lui propose l'amnistie générale, à condition qu'il adresse un appel aux combattants (moudjahidins), les incitant à arrêter les combats. Mais Omar al-Mokhtar refuse l'offre, préférant la mort au déshonneur.
Le 15 septembre 1931, il est jugé rapidement en une heure et quart, et condamné à mort. L'exécution a lieu le 16 septembre 1931, 20 000 Libyens y assistent. Al-Mokhtar s'avance à pas sûrs, répétant la chahada (profession de foi musulmane), avant d'être pendu. Puis les Italiens transportent sa dépouille vers le cimetière d'El-Saberine à Benghazi et font garder sa tombe.
Commémoration
Omar al-Mokhtar représenté sur le drapeau du royaume de Libye, un symbole des insurgés libyens durant la Guerre civile libyenne de 2011.
Billet de 10 dinars.
La Libye considère le 16 septembre jour de deuil et de commémoration du martyr Omar al-Mokhtar. Un musée dédié à sa mémoire a été érigé; y sont exposées, les armes utilisées par Omar al-Mokhtar et ses compagnons contre les Italiens. Sous le régime de Mouammar Kadhafi, le billet de 10 dinars libyens de 2004 est frappé à l'effigie d'Omar al-Mokhtar.
Il existe aussi un pont du nom de Omar al-Mokhtar dans le Wadi al-Kuf et son portrait y est suspendu. On peut enfin encore voir la grotte où il se réfugiait souvent. Son mausolée, autrefois Place des Martyrs à Benghazi, a été déplacé récemment à Solouk, petite ville à 70 km au sud de Benghazi, où il fut pendu.
Durant la première guerre civile libyenne, les forces rebelles se réapproprient l'image d'Omar al-Mokhtar qui est utilisée pour symboliser une Libye libre et unie. Le héros national est représenté sur divers drapeaux et affiches des insurgés libyens.
La version actuelle de l'hymne national libyen Libye, Libye, Libye l'évoque.
Postérité
Mausolée.
Le personnage de Omar al-Mokhtar devient par l'intermédiaire du film américano-libyen, Le Lion du désert (Lion of the Desert), du réalisateur américain d'origine syrienne, Moustapha Akkad, le héros de l'un des épisodes les plus importants et symboliques de la résistance libyenne et, par extension, de la mythologie nationale libyenne. Le film le dépeint en une figure emblématique de la résistance anticolonialiste, et en un martyr de la cause nationale libyenne.
Omar al-Mokhtar est incarné dans le film par l'acteur mexico-américain Anthony Quinn.
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Décès
81 : Titus, empereur romain de 79 à 81 (° 30 décembre 39). |
1488 : Charles II de Bourbon, prélat français (° 1433). |
1506 : Andrea Mantegna, peintre et graveur italien (° v. 1431). |
1592 : Michel de Montaigne, écrivain et philosophe français (° 28 février 1533). |
1598 : Philippe II, roi d'Espagne de 1556 à 1598, de Portugal et des Algarves de 1580 à 1598 et de Naples et de Sicile de 1554 à 1598 (° 21 mai 1527). |
1721 : François de Mailly, prélat français (° 4 mars 1658). |
1759 : James Wolfe, militaire britannique (° 2 janvier 1727). |
1794 : Jean-Pierre Claris de Florian, homme de lettres français (° 6 mars 1755). |
1820 : François Christophe Kellermann, militaire français (° 28 mai 1735). |
1880 : Pelegrí Clavé, peintre romantique espagnol (° 27 juin 1811). |
1886 : |
Louis-Hector Allemand, peintre français (° 5 août 1809). |
James Metcalfe, homme politique canadien (° 1822). |
1894 : Emmanuel Chabrier, compositeur français (° 18 janvier 1841). |
1899 : « Pepete » (José Rodríguez Davié dit), matador espagnol (° 14 mai 1867). |
1903 : Antonio Reverte, matador espagnol (° 28 avril 1870). |
1918 : Édouard d'Anhalt, duc régnant d'Anhalt en 1918 (° 18 avril 1861). |
1926 : Alfred von Bary, ténor germano-maltais (° 18 janvier 1873). |
1931 : Lili Elbe, artiste peintre danoise et femme trans (° 28 décembre 1882). |
1945 : Annibale Comessatti, mathématicien italien (° 30 janvier 1886). |
1951 : Geoffrey Forrest Hughes, aviateur et homme d'affaires australien (° 12 juillet 1895). |
1958 : Ruben Um Nyobe, homme politique camerounais (° 10 avril 1913). |
1969 : Abd al-Rahman al-Kayyali, médecin syrien, membre du mouvement nationaliste syrien, ministre de la Justice (° 1887). |
1973 : Betty Field, actrice américaine (° 8 février 1913). |
1976 : |
Armand Mondou, hockeyeur professionnel canadien. (° 27 juin 1905). |
Albert Tessier, prêtre, historien et cinéaste canadien (° 6 mars 1895). |
1977 : Leopold Stokowski, chef d'orchestre américain (° 18 avril 1882). |
1978 : Janine Bouissounouse, romancière, historienne, journaliste et critique de cinéma française (° 17 juillet 1903). |
1985 : Benno Sterzenbach, acteur de cinéma, de théâtre et un réalisateur allemand (° 3 mars 1916). |
1987 : Mervyn LeRoy, réalisateur américain (° 15 octobre 1900). |
1991 : |
Huy Kanthoul, homme politique cambodgien, Premier ministre cambodgien de 1951 à 1952 (° 1er février 1909). |
Joe Pasternak, producteur de cinéma et de télévision américain (° 19 septembre 1901). |
1993 : Frederick Campion Steward, botaniste britannique (° 16 juin 1904). |
1994 : Carl Voss, hockeyeur américain (° 6 janvier 1907). |
1995 : Bernardus Johannes van Buel, homme politique néerlandais (° 13 juin 1913). |
1996 : |
Jane Baxter, actrice britannique (° 9 septembre 1909). |
Tupac Shakur (Lesane Parish Crooks dit), musicien et acteur américain (° 16 juin 1971). |
Wiktor Woroszylski, homme de lettres polonais (° 8 juin 1927). |
1997 : |
Roger Frey, homme politique français (° 11 juin 1913). |
Georges Guétary, chanteur français (° 8 février 1915). |
1998 : |
Alois Grillmeier, théologien et prélat allemand (° 1er janvier 1910). |
Owen Horwood, homme politique sud-africain (° 6 décembre 1916). |
Mohamed Mancona Kouyaté, homme politique guinéen (° 1924). |
Harry Lumley, hockeyeur canadien (° 11 novembre 1926). |
Antonio Núñez Jiménez, révolutionnaire, anthropologue et géographe cubain (° 20 avril 1923). |
Jorgen Roos, documentariste danois (° 14 août 1922). |
George Wallace, homme politique américain (° 25 août 1919). |
1999 : Roland Blanche, acteur français (° 31 décembre 1943). |
2000 : Georges Le Sant, compagnon de la Libération (° 5 décembre 1914). |
2001 : Dorothy McGuire, actrice américaine (° 14 juin 1916). |
2002 : George Stanley, historien et enseignant canadien (° 6 juillet 1907). |
2005 : |
Julio César Turbay Ayala, homme politique colombien, président de la République de Colombie de 1978 à 1982 (° 18 juin 1916). |
Toni Fritsch, footballeur et joueur de foot U.S. autrichien (° 10 juillet 1945). |
2006 : Ann Richards, femme politique américaine (° 1er septembre 1933). |
2007 : |
Gaetano Arfé, journaliste, homme politique et historien italien (° 12 novembre 1925). |
Abdul Sattar Abou Richa, cheikh sunnite irakien (° ? 1972). |
Supernana (Catherine Pelletier dite), animatrice de radio (° 6 février 1954). |
2008 : |
Peter Camejo, homme d'affaires et homme politique américain (° 31 décembre 1939). |
Olin Stephens, architecte naval américain (° 13 avril 1908). |
2009 : Paul Burke, acteur américain (° 12 juillet 1926). |
2011 : |
DJ Mehdi (Mehdi Favéris-Essadi dit), producteur de musique et compositeur de hip-hop et de musique électronique (° 20 janvier 1977). |
Richard Hamilton, artiste peintre et graphiste britannique (° 24 février 1922). |
2012 : Peter Lougheed, avocat et homme politique canadien, Premier ministre de l'Alberta de 1971 à 1985 (° 26 juillet 1928). |
2016 : Anne Germain, chanteuse et doubleuse vocale française (° 15 avril 1935). |
2019 : Eddie Money, chanteur américain (° 21 mars 1949). |
2020 : |
Bernard Debré, médecin urologue et homme politique français, ancien député, maire et ministre (° 30 septembre 1944). |
André Lespagnol, universitaire, historien et homme politique français et breton (° 26 juillet 1943). |
2021 : |
Michel Garneau, poète canadien (°25 avril 1939). |
Olivier Giscard d'Estaing, homme d'affaires et politique français (°30 décembre 1927). |
Antony Hewish, astronome britannique (°11 mai 1924). |
Borisav Jović, diplomate serbe (°19 octobre 1928). |
Andrei Makeyev, joueur de basket-ball soviétique (°3 février 1952). |
Fred Stanfield, joueur et entraîneur de hockey sur glace canadien (°4 mai 1944). |
George Wein. musicien américain de jazz (°3 octobre 1925). |
2022 : |
Jack Charles, acteur australien (°5 septembre 1943). |
Jean-Luc Godard, cinéaste franco-suisse (°3 décembre 1930). |
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Naissances
64 : Julia Titi, fille de l'empereur Titus († 91). |
1087 : Jean II Comnène (Ιωάννης Β' Κομνηνός), empereur byzantin de 1118 à 1143 († 8 avril 1143). |
1475 : César Borgia, noble, militaire et homme d'État italien († 12 mars 1507). |
1676 : Élisabeth-Charlotte d'Orléans 1687 : Pierre de Lauzon, prêtre jésuite, missionnaire en Nouvelle-France († 5 septembre 1742). |
1722 : François Joseph Paul de Grasse, militaire français († 11 janvier 1788). |
1762 : Antoine Merlin de Thionville, homme politique français († 14 septembre 1833). |
1775 : Laura Secord, héroïne canadienne de la guerre anglo-américaine de 1812 († 17 octobre 1868). |
1803 : Grandville (Jean Ignace Isidore Gérard dit), dessinateur, caricaturiste, aquarelliste et lithographe français († 17 mars 1847). |
1819 : Clara Schumann, musicienne allemande († 20 mai 1896). |
1842 : Jan Puzyna de Kosielsko, prélat polonais († 8 septembre 1911). |
1857 : Milton Snavely Hershey, industriel et philanthrope américain († 13 octobre 1945). |
1860 : John Pershing, militaire américain († 15 juillet 1948). |
1862 : Jeanne de Balanda, religieuse française († 31 mars 1925). |
1863 : Arthur Henderson, homme politique britannique, chef du Parti travailliste de 1908 à 1910, de 1914 à 1917 et de 1931 à 1932, ministre des Affaires de 1929 à 1931 et de l'Éducation 1915 à 1916 († 20 octobre 1935). |
1873 : Constantin Carathéodory (Κωνσταντίνος Καραθεοδωρή), mathématicien grec († 2 février 1950). |
1874 : Arnold Schönberg, compositeur autrichien († 13 juillet 1951). |
1876 : Sherwood Anderson, écrivain américain († 8 mars 1941). |
1877 : Stanley Lord, marin britannique († 24 janvier 1962). |
1879 : Evelyn Brooke, infirmière néo-zélandaise († 11 février 1962). |
1880 : Georges-Alexandre Courchesne, prélat canadien († 14 novembre 1950). |
1886 : Robert Robinson, chimiste britannique, prix Nobel de chimie en 1947 († 8 février 1975). |
1887 : |
Theodore Roosevelt Junior, homme politique, homme d'affaires et militaire américain († 12 juillet 1944). |
Lavoslav Ružička, chimiste croate, prix Nobel de chimie en 1939 († 26 septembre 1976). |
1891 : Sisowath Vatchayavong, homme politique cambodgien, Premier ministre cambodgien de 1947 à 1948 († 30 janvier 1972). |
1899 : Marcelle de Manziarly, pianiste, professeur de musique, cheffe d'orchestre et compositrice française († 12 mai 1989). |
1903 : Claudette Colbert, actrice franco-américaine († 30 juillet 1996). |
1905 : Felipe Maeztu, officier français de la Légion étrangère († 18 décembre 1958). |
1909 : Wang Dulu, écrivain chinois († 12 février 1977). |
1910 : Chu Berry (Leon Brown Berry dit), musicien américain († 30 octobre 1941). |
1911 : Bill Monroe (William Smith Monroe dit), chanteur américain († 9 septembre 1996). |
1912 : |
Horace Welcome Babcock, astronome américain († 29 août 2003). |
Reta Shaw, actrice américaine († 8 janvier 1982). |
Joseph-Antonio Thomas, homme politique canadien († 19 janvier 1998). |
1916 : Roald Dahl, écrivain britannique († 23 novembre 1990). |
1918 : |
Richard Benjamin « Dick » Haymes, chanteur et acteur argentin († 28 mars 1980). |
Rosemary Kennedy, socialite américaine, sœur cadette immédiate de John Fitzgerald Kennedy, 35e président des États-Unis († 7 janvier 2005). |
1919 : Olle Anderberg, lutteur suédois, champion olympique († 26 septembre 2003). |
1922 : |
Charles Brown, musicien américain († 21 janvier 1999). |
Yma Sumac (Zoila Augusta Emperatriz Chávarri del Castillo dite), chanteuse péruvienne († 1er novembre 2008). |
1923 : |
Édouard Boubat, photographe français († 30 juin 1999). |
Hubert Deschamps, acteur français († 29 décembre 1998). |
1924 : |
Scott Brady, acteur américain († 16 avril 1985). |
Maurice Jarre, compositeur français († 29 mars 2009). |
1925 : |
Mel Tormé, musicien américain († 5 juin 1999). |
Sergueï Salnikov, footballeur russe † 9 mai 1984). |
1926 : Emile Francis, hockeyeur canadien († 19 février 2022). |
1928 : Robert Indiana, artiste américain († 19 mai 2018). |
1929 : Jean Pinet, docteur-ingénieur, pilote de chasse, d'essais, et du Concorde, instructeur pilote de ligne et administrateur français. |
1930 : James McLane, nageur américain, triple champion olympique † 13 décembre 2020). |
1931 : |
Barbara Bain, actrice américaine. |
Robert Bédard, joueur de tennis canadien. |
Marjorie Jackson, athlète australienne spécialiste du sprint, double championne olympique. |
1932 : |
Bronius Kutavicius, compositeur lituanien († 29 septembre 2021). |
Anton Nanut, chef d'orchestre slovène († 13 janvier 2017). |
Pedro Rubiano Sáenz, prélat colombien. |
1934 : Madeleine de Sinéty, photographe franco-américaine († 22 décembre 2011). |
1935 : |
Chamaco (Antonio Borrero Morano dit), matador espagnol († 11 novembre 2009). |
Jean-Claude Hertzog, prélat français († 24 novembre 2005). |
1936 : |
Michel Charrel, acteur français. |
Werner Hollweg, ténor allemand († 1er janvier 2007). |
1937 : Donald Virgil « Don » Bluth, dessinateur et réalisateur de dessins animés américain. |
1939 : Richard Kiel, professeur de mathématiques puis acteur américain († 10 septembre 2014). |
1940 : Pierre-Luc Séguillon, journaliste français († 31 octobre 2010). |
1941 : |
Tadao Andō (安藤 忠雄), architecte japonais. |
Óscar Arias Sánchez, homme politique costaricain, président du Costa Rica de 1986 à 1990 puis de 2006 à 2010, prix Nobel de la paix en 1987. |
Pierre Barthès, joueur de tennis français. |
David Clayton-Thomas, musicien, chanteur et compositeur canadien du groupe Blood, Sweat and Tears. |
1942 : |
Michel Côté, homme politique canadien. |
Michel Sitjar, joueur de rugby à XV et à XIII français († 10 juin 2019). |
Vladislav Zolotaryov, compositeur et bayaniste soviétique († 13 mai 1975). |
1944 : |
Jacqueline Bisset, actrice britannique. |
Peter Cetera, musicien américain, chanteur et bassiste du groupe Chicago. |
Henri de Jordan, peintre français († 31 janvier 1996). |
Mike Marshall, acteur franco-américain († 2 juin 2005). |
1945 : |
Noël Godin, entarteur belge. |
Bernard Lenoir, homme de radio français. |
1946 : Yvan Pommaux, auteur de littérature d'enfance et de jeunesse et de bande dessinée français. |
1948 : Nell Carter, acteur américain († 23 janvier 2003). |
1949 : Marcel Gauthier, acteur canadien. |
1951 : Jean Smart, actrice américaine. |
1952 : |
Randy Jones, chanteur américain du groupe Village People. |
Johanna Schaller, athlète allemande, championne olympique sur 110 m haies. |
1956 : Joni Sledge, chanteuse et compositrice américaine du groupe Sister Sledge († 10 mars 2017). |
1958 : |
Chantal Francke, humoriste et actrice canadienne de la troupe Rock et Belles Oreilles. |
Bertrand St-Arnaud, homme politique québécois, ministre de la Justice de 2012 à 2014. |
1960 : Hélène Conway-Mouret, femme politique française, ministre déléguée chargée des Français de l'étranger de 2012 à 2014. |
1961 : |
François Groslière, peintre français. |
Dave Mustaine, chanteur et musicien américain, guitariste des groupes Metallica et Megadeth. |
1965 : Zak Starkey, batteur britannique du groupe Oasis. |
1967 : Michael Johnson, athlète américain. |
1968 : |
Brad Johnson, joueur de football américain. |
Emma Sjöberg, actrice suédoise. |
Bernie Williams, joueur de baseball professionnel et musicien portoricain. |
Laura Cutina, gymnaste roumaine, championne olympique. |
1969 : David Gategno (David Olivier Maruani ou David Marouani dit), compositeur et interprète français (initialement du duo David et Jonathan). |
1970 : Louise Lombard, actrice britannique. |
1971 : |
Goran Ivanišević, joueur de tennis croate. |
Stella McCartney, styliste britannique. |
1972 : |
Bang Soo-hyun, joueuse de badminton sud-coréenne, championne olympique. |
Thomas Jacobsen, skipper danois, champion olympique. |
1973 : |
Christine Arron, athlète française. |
Fabio Cannavaro, footballeur italien. |
1974 : |
Éric Lapointe (en), joueur canadien de football canadien. |
Craig Rivet, hockeyeur canadien. |
1975 : |
Joe Don Rooney (en), musicien et chanteur américain du groupe Rascal Flatts. |
Patricia Spehar, comédienne française. |
1976 : José Théodore, hockeyeur canadien. |
1977 : |
Fiona Apple, chanteuse américaine. |
Vitorino Hilton, footballeur brésilien. |
1979 : |
Jacynthe (Jacynthe Millette-Bilodeau dite), chanteuse québécoise. |
Fernando Robleño, matador espagnol. |
Varteres Samurgashev, lutteur russe d'origine arménienne, champion olympique. |
1980 : Daisuke Matsuzaka (松坂 大輔), joueur de baseball japonais. |
1986 : Kamui Kobayashi ((小林 可夢偉), pilote automobile japonais. |
1989 : Thomas Müller, footballeur allemand. |
1991 : Tekiath Ben Yessouf, taekwondoïste nigérienne. |
1993 : |
Aisha Dee, actrice australienne. |
Niall Horan, musicien et chanteur irlandais du groupe One Direction. |
1995 : Robbie Kay, acteur britannique. |
1996 : Lili Reinhart, actrice américaine. |
|
335 : la dédicace de la basilique du Saint-Sépulcre, ainsi que du Martyrium, est célébrée solennellement à Jérusalem. |
533 : victoire de Bélisaire sur Gélimer, à la bataille de l'Ad Decimum. |
1195 : bataille de la Mozgawa, opposant les armées de Petite-Pologne de Lech le Blanc, et de Grande-Pologne de Mieszko III le Vieux. |
1515 : bataille de Marignan (cinquième guerre d’Italie), victoire des troupes franco-vénitiennes de François Ier sur les mercenaires suisses. |
1598 : couronnement de Philippe III d'Espagne. |
1743 : traité de Worms2, assurant une première fois l’Alsace, la Lorraine et les Trois-Évêchés à la France. |
1745 : couronnement de François Ier du Saint-Empire. |
1759 : bataille des Plaines d'Abraham (guerre de Sept Ans), victoire des troupes britanniques. |
1782 : échec d'un assaut majeur franco-espagnol, lors du grand siège de Gibraltar. |
1791 : l'Assemblée constituante de 1789 fait de la France une monarchie constitutionnelle. |
1814 : la Royal Navy bombarde Fort McHenry, événement qui inspire à Francis Scott Key la rédaction de The Star-Spangled Banner. |
1841 : le duc d’Aumale, qui rentre d'Afrique et défile en tête de ses troupes, manque d'être assassiné d'un coup de pistolet par François Quenisset dit « Papart », rue du Faubourg-Saint-Antoine à Paris. |
1847 : victoire américaine de Winfield Scott, à la bataille de Chapultepec, pendant la guerre américano-mexicaine. |
1882 : bataille de Tel el-Kebir (guerre anglo-égyptienne). Les Britanniques de Garnet Wolseley l'emportent sur les Égyptiens. |
1914 : |
fin de la bataille du Grand Couronné, victoire des Français du général Castelnau, sur les Allemands du prince Rupprecht de Bavière. |
la bataille de l'Aisne débute, pendant la Première Guerre mondiale. |
1922 : début de l'incendie de Smyrne. |
1923 : instauration de la dictature de Primo de Rivera, en Espagne. |
1925 : congrès du parti Heildelberg (ancêtre du S.P.D. allemand), du 13 au 18 septembre. |
1968 : retrait de l'Albanie du pacte de Varsovie. |
1993 : signature des accords d'Oslo, à Washington, une avancée dans le processus de paix israélo-palestinien. Yitzhak Rabin et Shimon Pérès les Israéliens, et Yasser Arafat le Palestinien, se serrent historiquement et médiatiquement la main, sous l'égide de l'Américain Bill Clinton et d'un parterre d'autres personnalités. |
2007 : adoption de la Déclaration des droits des peuples autochtones. |
2018 : |
à Nauru, la justice arrête le procès des « Dix-neuf de Nauru », et accuse le ministre de la Justice David Adeang d'« affront honteux à l'État de droit ». |
en Slovénie, le gouvernement de Marjan Šarec remplace celui de Miro Cerar. |
2021 : en Norvège, les élections législatives se tiennent afin d'élire les 169 députés de la 63e législature du Storting pour un mandat de quatre ans5. Le Parti travailliste mené par Jonas Gahr Støre arrive en tête du suffrage. |
Arts, culture et religion |
509 av. J.-C. : date officielle de dédicace du temple de Jupiter capitolin, en ces ides de september de la première année de République romaine coïncidente. |
604 : Sabinien devient pape. |
1276 : élection du pape Jean XXI (Pedro Juliao, de son vrai nom). |
1541 : Jean Calvin quitte Strasbourg pour Genève. |
1985 : sortie du jeu vidéo Super Mario Bros développé par Nintendo sur NES/Famicom au Japon. |
1993 : sortie de l'album musical In Utero, du groupe américain Nirvana. |
1999 : Johnny Hallyday, sort l'album Sang pour sang qui est, à ce jour, l'album du chanteur le plus vendu, totalisant plus de deux millions d'exemplaires. |
Sciences et techniques |
1848 : Phineas Gage subit un traumatisme crânien, ce qui permet une meilleure compréhension du fonctionnement du cerveau. |
1959 : lancement de la sonde soviétique Luna 2, qui atteint la Lune le lendemain. |
1994 : à Toulouse, premier vol du Béluga d'Airbus, l'avion gros porteur le plus volumineux au monde. |
Économie et société |
2007 : Teddy Riner devient champion du monde de judo dans la catégorie des plus de 100 kilos. |
2016 : le Conseil d'État français autorise les grands groupes de radios à acheter des stations supplémentaires. |
|
Un service de téléphone érotique, ou familièrement de téléphone rose (en raison de la connotation sexuelle de la couleur rose), est une plate-forme téléphonique offrant aux appelants la possibilité d'avoir des conversations à caractère érotique, éventuellement pour se masturber, souvent par le biais d'un serveur vocal interactif.
Coût
La plupart de ces services sont payants. La transaction peut s'effectuer de deux manières :
par le biais d'un numéro surtaxé, dont le tarif est prélevé directement sur la facture téléphonique du client par l'opérateur, qui partage ensuite ces revenus avec l'éditeur du service en lui en reversant une partie ;
par le biais d'un numéro à tarif normal, mais le client est invité à communiquer son numéro de carte bancaire, le montant étant alors prélevé sur son compte.
Une pratique courante quoiqu'illégale est de séparer l'accès des hommes et celui des femmes, dans le but d'octroyer à ces dernières des tarifs plus avantageux, voire la gratuité. En effet, les hommes étant plus nombreux que les femmes, il s'agit de les inciter à participer davantage.
Types de contacts
Les clients peuvent être mis en relation avec :
d'autres clients, auquel cas l'objectif peut également être un contact à l'extérieur du service ;
des salariés de l'entreprise éditant le service, le client n'étant alors pas nécessairement informé du fait que son interlocuteur n'est pas un autre client, mais qu'au contraire il est rémunéré pour ces dialogues.
Les contacts peuvent se présenter sous la forme :
d'écoutes de récits pré-enregistrés par des comédiens,
de boîtes aux lettres vocales,
d'échanges de messages en temps réel,
de conversations en direct, éventuellement sur le mode de la mise en relation aléatoire, s'apparentant alors au speed dating,
voire de conférences à plusieurs.
Il est parfois possible de procéder à une sélection des interlocuteurs par critère (région géographique, sexe, âge).
Certains services proposent d'assister, sur le mode du voyeurisme, aux dialogues des autres clients sans participer (ceux-ci étant bien entendu informés qu'ils peuvent être écoutés).
Les services sont parfois spécialisés par orientation sexuelle (hétérosexualité, homosexualité masculine ou féminine), ou par pratique (sado-masochisme, sexualité de groupe, fétichisme).
Conditions de travail
Les employés peuvent soit travailler depuis leur domicile, sur leur ligne personnelle, soit dans un centre d'appel.
Tout comme d'autres services téléphoniques à bas coûts salariaux (voyance par téléphone), le téléphone rose n'échappe pas à l'externalisation des appels. C'est-à-dire qu'une hôtesse française peut également prendre des appels passés par des clients belges ou suisses romands.
Les employés assument parfois en parallèle la fonction de surveiller les dialogues entre clients, afin de s'assurer de leur légalité et ils sont considérés comme des travailleurs du sexe. Sauf dans le cas de services à caractère homosexuel, il s'agit généralement de femmes : les clients étant essentiellement des hommes.
Publicité
La promotion de ces services se fait généralement par le biais de petites annonces ou d'encarts publicitaires, dans la presse masculine ou pornographique, à la télévision ou la radio tard dans la soirée et la nuit, sur Internet, ou encore par affichage.
Éthique et déontologie
En France, les entreprises éditrices de services télématiques s'engagent à suivre les Recommandations déontologiques émises par l'AFMM (Association Française du Multimédia Mobile).
Le téléphone rose dans la culture populaire
En 1980, la chanteuse française Sheila, dans sa chanson L'amour au téléphone, adaptation par son producteur Claude Carrère et l'auteur Jean Schmitt de la chanson Love on the phone de Suzanne Fellini, joue le rôle humoristique d'une femme choquée par les personnes qui selon elle utilisent le téléphone rose, tout en avouant pourtant s'y adonner elle-même.
Sex over the phone, chanson des Village People (1985).
En 1991, le clip de la chanson Sweet Emotion d'Aerosmith met en scène une conversation de téléphone rose ; la fin du clip révèle que l'hôtesse ne correspond pas à l'image jeune et sexy que le personnage s'en faisait dans ses rêves, puisqu'il s'agit en fait d'une vieille femme obèse ayant un bébé.
En 1993, dans le film américain Short Cuts de Robert Altman, Jennifer Jason Leigh gagne sa vie à travers le téléphone rose. Elle excite ses clients au téléphone en lisant divers mini-scénarios.
En 1994, dans le clip de sa chanson Confide in Me, la chanteuse australienne Kylie Minogue incarne une hôtesse de téléphone rose invitant le téléspectateur à l'appeler et à se confier à elle.
En 1996, dans le film américain Girl 6 de Spike Lee, Theresa Randle incarne Judy alias Girl 6, une hôtesse de téléphone rose.
En 1997, dans le film japonais Eat the Schoolgirl, un jeune yakusa noue une relation avec une hôtesse de téléphone rose.
L'agent spécial Larry B. Max de la série BD IR$ (1999), noue une relation ambigu avec une Gloria Paradise hôtesse de téléphone rose.
En 2001, dans l'épisode 13 de la saison 7 de la série télévisée américaine Friends, le personnage de Phoebe avoue avoir travaillé pour un service de téléphone rose3.
En 2002, dans le film américain Spun de Jonas Akerlung, Spider Mike appelle un service de téléphone rose dont l'hôtesse est Debbie Harry.
En 2002, dans son sketch Le Téléphone rose, l'humoriste français Jean-François Dérec interprète le rôle de Gérard Bouchard, client d'un serveur vocal de téléphone rose.
En 2005, dans l'épisode 20 de la saison 6 de la série télévisée américaine Malcolm, Hal découvre une facture pour un téléphone rose, les appelle pour se plaindre mais raccroche mal le combiné ce qui conduit à un appel à huit cents dollars.
En 2006, dans le premier épisode de la quatrième saison de la série télévisée américaine Nip/Tuck, Kathleen Turner incarne le personnage d'une hôtesse de téléphone rose de 50 ans qui souhaite une opération de chirurgie esthétique pour rajeunir sa voix.
En 2009, dans la saison 5 de la série télévisée française Plus belle la vie, le personnage de Wanda Legendre travaille comme hôtesse de service téléphonique à caractère sado-masochiste pour survivre.
En 2012, dans le film américain American Sexy Phone de Jamie Travis, où deux colocataires décident de monter une entreprise de téléphone rose.
Indicatifs téléphoniques
Ci-après la liste des indicatifs téléphoniques par pays identifiant ce type de services :
France : 08 95 (à compter du 1er janvier 2017, l'ensemble des services téléphoniques surtaxés et destinés à un public adulte doivent obligatoirement être proposés sur la tranche de numérotation 08 95 - Décision ARCEP N° 2012-0856)
Royaume-Uni : 0909
Suisse : 0906
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Des chiffres et des lettres est un jeu télévisé français diffusé sur France 3 du lundi au vendredi à 16 h 10.
Apparu le 19 septembre 1965, il sera diffusé sous le nom Le Mot le plus long jusqu'au 29 septembre 1970. Il est devenu ensuite Des chiffres et des lettres le 4 janvier 1972.
Ce jeu, créé par Armand Jammot et reposant sur les compétences en calcul et sur la connaissance du vocabulaire des candidats, a été diffusé successivement sur la deuxième chaîne de l'ORTF, sur Antenne 2, sur France 2 puis sur France 3 depuis la rentrée scolaire 2006.
C'est le plus ancien jeu télévisé quotidien toujours diffusé de la télévision française, et l’émission télévisée est la deuxième plus ancienne émission encore présente dans le PAF, après Le Jour du Seigneur (en dehors du journal télévisé).
Le jeu est actuellement présenté par Laurent Romejko avec Arielle Boulin-Prat pour Le Mot le plus long et Bertrand Renard pour Le Compte est bon, ces deux derniers contrôlant la validité des solutions proposées par les candidats.
Au Québec, l'émission est diffusée depuis le 28 octobre 1979 sur TVFQ 99 puis TV5 Québec Canada et dans les autres parties du monde, sur tous les continents, via le réseau TV5 Monde.
1965 : Armand Jammot crée le dimanche 19 septembre 1965 l'émission Le Mot le plus long, alors restreinte aux lettres (tirages de 7 lettres), animée par Christine Fabréga et diffusée toutes les deux semaines le dimanche midi, après le repas dominical. Au tout début, les lettres non utilisées restaient en jeu, aussi avait-on intérêt à jouer les mots sans lettre chère pour plomber le tour du concurrent. Le jeu fait également appel à la culture générale : chaque candidat dont le total des points est impair doit répondre à une question sur un sujet divers. Le premier mot joué fut le pronom personnel ME et le second le nom MÉE (« auge à saler les harengs »), à partir du tirage EGBMEOE. Le mot le plus long de ce tirage était en fait de 5 lettres (GOBÉE)
1968 : l'émission devient hebdomadaire.
1970 : le 29 septembre, arrêt de l'émission Le Mot le plus long.
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Le tunnel du Mont-Blanc est un tunnel routier qui relie Chamonix-Mont-Blanc, en Haute-Savoie, France, à Courmayeur, en Vallée d'Aoste, Italie. Lors de l'inauguration en 1965, c'était le plus long tunnel routier du monde. Le tunnel du Mont-Blanc est constitué d'une galerie unique à double sens de circulation, le doublement du tunnel projeté n'ayant jamais été réalisé pour des raisons d'abord de financement, puis d'opposition farouche des riverains côté français, en raison des nuisances dues à la circulation intense des poids lourds. Il a permis une réduction de parcours de Chamonix vers Aoste de 60 km et surtout de ne plus dépendre de la fermeture hivernale des cols alpins facilitant ainsi les déplacements entre la France et l'Italie.
Longueur du tunnel : 11,6 km de Chamonix à Courmayeur. Altitude de l'entrée côté français : 1 274 mètres ; de l'entrée côté italien : 1 381 mètres (le tunnel n'est pas horizontal, mais en forme de V inversé pour faciliter l'écoulement des eaux). Il passe à l'aplomb exact de l'aiguille du Midi. La hauteur intérieure du tunnel est de 4,35 m et sa largeur de 8 m (deux voies de 3,5 m et deux accotements de 0,5 m).
Après de longues années nécessaires à son percement, le tunnel est mis en service le 19 juillet 1965.
Lors de l'ouverture, la gestion du tunnel était séparée en deux parties et deux sociétés concessionnaires qui géraient chacune une moitié de tunnel :
côté français : l'ATMB (Autoroutes et tunnel du Mont-Blanc), créée le 30 avril 1958
côté italien : la SITMB S.p.A. (Società Italiana per il Traforo del Monte Bianco), créée le 1er septembre 1957 (et qui appartient à 51 % à Atlantia).
Historique
1946 : Côté italien, forage d'une galerie d'une centaine de mètres qui marque le début du projet.
1949 : Signature d'une convention franco-italienne prévoyant le percement d’un tunnel routier sous le mont Blanc.
1953 : Signature d'une charte nationale de la construction du tunnel qui sera ratifiée par les parlements français (en 1954, par 544 voix contre 32) et italiens (en 1957).
1957 : Création de la STMB (Société du tunnel du Mont-Blanc), qui deviendra en 1996 Autoroutes et Tunnel du Mont-Blanc (ATMB).
1959 : En mai, les ministres français et italien des Travaux publics lancent officiellement les travaux de percement. Le 30 mai, à Chamonix, grande manifestation pour l’ouverture des travaux de la perforation du tunnel du Mont-Blanc en présence du ministre des Travaux publics. On annonce qu'un tunnelier (surnommé "jumbo") de 75 tonnes permettra de percer le tunnel en moins de 30 mois.
14 août 1962 : Jonction des équipes de forage françaises et italiennes. La percée a été réussie, l’écart d’axe étant inférieur à 13 cm.
16 juillet 1965 : Le président de la République française Charles de Gaulle et le président de la République italienne Giuseppe Saragat inaugurent « le tunnel routier le plus long du monde qui, sous les montagnes les plus hautes d'Europe, relie deux nations déjà fraternellement unies. »
19 juillet 1965 : ouverture du tunnel à la circulation touristique.
20 octobre 1965 : ouverture du tunnel à la circulation des poids lourds.
1968 : Édouard Balladur devient président de la Société pour la construction et l'exploitation du Tunnel du Mont-Blanc.
1973 : Ouverture de la première section de l’autoroute blanche.
1978 : Un réseau de caméras de surveillance est installé, soit une a tous les 300 mètres, et la capacité totale d’alimentation en air frais du tunnel est portée à 900 m3/s.
1980 : Pour éviter le rejet sur la plate-forme de l’air vicié par la tête française du tunnel, un puits vertical de 7 m de diamètre est créé au droit de la courbe d’entrée du tunnel.
1990 : Dans le cadre d'un plan pluriannuel de modernisation, sont mis en œuvre :
Une troisième génération de vidéosurveillance avec transmission des données par fibres optiques,
La création d’un réseau de 18 abris pressurisés, soit un a tous les 600 mètres.
La création d’une conduite d'incendie sous pression,
Le remplacement des éléments de sécurité : bornes d’appel, extincteurs, groupes électrogènes.
1997 : Mise en service d’un système de détection incendie et lancement d’études pour une détection automatique d’incident, une gestion technique centralisée des équipements de sécurité et une nouvelle signalisation par panneaux à messages variables.
Chronologie
10 h 47 : Le camion belge qui prendra feu entre dans le tunnel.
10 h 51 : L'alarme d'opacité se déclenche.
10 h 53 : Le camion s'immobilise.
10 h 54 : L'alerte est donnée par un automobiliste à une borne d'appel. La fumée progresse à 4 mètres par seconde (16 km/h), l'asphyxie est inévitable. Les personnes sortant de leur véhicule pour rejoindre un abri de secours ont été intoxiquées en quelques secondes à cause du monoxyde de carbone rejeté par l'incendie.
10 h 55 : Le péage français est fermé, la signalisation passe au rouge.
10 h 56 : Le péage est fermé du côté italien.
10 h 58 : Les secours sont alertés.
11 h 09 : Arrivée des premiers pompiers à l'entrée du tunnel, soit 23 minutes après l'entrée du camion dans le tunnel.
11 h 11 : Des pompiers italiens sont pris au piège et arrivent à sortir par une galerie d'aération.
11 h 30 : Arrêt des interventions des pompiers, la fumée bloque tout le tunnel.
Le chargement du camion (de la farine et de la margarine) a provoqué un incendie aussi violent qu'un pétrolier de trente tonnes. Le mélange margarine / isolant du camion (polystyrène) fut découvert comme extrêmement inflammable après enquête.
Conséquences
Après ce drame qui a fait 39 morts, le tunnel reste fermé pendant trois ans et réouvre à la circulation le 9 mars 2002, après de longs travaux de réparation (réfection de la voûte fortement endommagée) et de sécurité. Ces derniers ont consisté en la création :
de niches tous les 100 mètres,
d'un poste de secours au centre du tunnel, avec un véhicule lourd et plusieurs pompiers présents en permanence dans ce local,
d'abris reliés à une galerie d'évacuation indépendante (sous la chaussée),
d'une salle de commande unique (côté français, avec une salle de secours du côté italien).
Les règles d'exploitation ont été changées :
unification des deux sociétés exploitantes sous forme d'un groupement européen d'intérêt économique (GEIE) ; des équipes communes franco-italiennes sont constituées pour assurer la sécurité dans la gestion courante du tunnel ;
interdiction des camions transportant des matières dangereuses et des véhicules de transport polluants (norme Euro 0), limitations de vitesse strictes, intervalles entre véhicules (150 m en circulation, 100 m à l'arrêt).
Quelques chiffres relatifs à la construction du tunnel
Personnel : ont travaillé à la réalisation du projet 5 ingénieurs, 350 ouvriers, le tout pour un total cumulé de 4 600 000 heures de travail (estimation). 23 morts lors d'accidents du travail.
Machines : une perforatrice Jumbo de 75 tonnes pouvant percer 16 trous à la fois pour placer les explosifs côté français. Et 2 pelles électriques de 23 tonnes et 10 locomotives également électriques et 90 wagons pour évacuer les roches. Côté italien, le travail est réalisé par des perforatrices montées sur une plate-forme roulante. Les déblais sont évacués par des camions automobiles nécessitant une forte ventilation de la galerie.
Explosifs : 711 tonnes d'explosifs ont été nécessaires pour faire sauter 550 000 m3 de roches.
Consommation : 37 millions de kWh et 2 700 000 litres de carburants pour les camions et les engins.
Divers : ont été utilisés 771 240 boulons, 6 900 fleurets, 300 tonnes de fer pour soutenir la voûte, 5 000 m3 pour le coffrage de 60 000 tonnes de ciment (mélangé à 280 000 m3 d'agrégats et à 10 000 tonnes de produits d'injection).
Péage
La traversée du tunnel est soumise à un péage, dont le tarif est augmenté au 1er janvier de chaque année en fonction des taux d'inflation en Italie et en France durant l'année précédente. Le tarif au 25 janvier 2013 pour une voiture est de 40,90 € (41,40 € côté italien) pour une traversée simple, et de 51 € pour un aller-retour valable durant 7 jours (51,60 € côté italien). Le tarif (le 25 août 2016) pour une traversée simple (Italie → France) en voiture est de 44,20 €. A compter du 1er janvier 2021 pour un véhicule particulier, le tarif est de 46,60 pour un aller, et de 58,20 pour un aller-retour valable durant 7 jours.
Art
Le peintre Jean Aujame a accroché au Salon des peintres témoins de leur temps de 1963 une toile représentant le perçage du tunnel du Mont-Blanc.
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Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Tunnel du Mont-Blanc | |||||||||||||||||||||||||||
Tunnel sous la Manche | |||||||||||||||||||||||||||
TELT : 3 milliards d’Euro pour le tunnel du Lyon-Turin | |||||||||||||||||||||||||||
3 milliards d'euros attribués pour le tunnel Lyon-Turin | |||||||||||||||||||||||||||
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La Peugeot 404 est une automobile du constructeur automobile français Peugeot, produite à partir du 10 mai 1960. Ce sera, en mai 1962, la première berline française de série (tout comme le premier coupé/cabriolet) équipée d'un moteur à injection.
La 404 a été retirée du catalogue français en octobre 1975, à l'exception de la camionnette qui fut commercialisée en France jusqu'en 1979. La production s'est prolongée pendant plusieurs années à l'étranger : les dernières 404 étaient des utilitaires assemblés en 1989 à l'usine de Mombassa (Kenya).
Lorsqu'en 1955, la firme de Sochaux présente la 403, peu de temps après, Citroën lance la DS. La clientèle traditionnelle n'a pas vraiment succombé à la suspension hydraulique, d'autant que les premiers ennuis techniques sont vite apparus, mais le directoire de Peugeot a réagi très rapidement, chose très inhabituelle pour le constructeur. Dès la fin de l'année 1955, la décision de lancer en urgence l'étude de la remplaçante de la 403 était prise; elle s'appellerait 404.
Un premier projet avec une motorisation V8 et une suspension hydraulique est envisagé mais très vite abandonné. Les déboires du concurrent ont précipité cette décision. En pleine période de guerre de Suez, Peugeot parie sur une berline familiale traditionnelle mais d'aspect moderne. Très satisfait de sa première collaboration avec le carrossier italien Pininfarina qui fut l'auteur de la 403, la direction de Peugeot lui confia l'étude de la 404 mais avec une contrainte de poids, la réduction du temps d'étude, avec la possibilité de trouver, dans les cartons du maître en design, un projet déjà prêt. Pininfarina proposa l'étude réalisée pour Fiat (qui donnera la Fiat 1800/2100) et pour le britannique Austin. Après quelques savantes retouches pour faire accepter à ces deux constructeurs que Peugeot commercialise une carrosserie semblable, la 404 est conçue en à peine 3 mois. La production de la Peugeot 404 est lancée le 10 mai 1960
La partie propulsion reprenait très partiellement celle de la 403 (bloc moteur en fonte, 4 cylindres en ligne, trois paliers, culasse en alliage léger Alpax) mais dont la cylindrée était portée à 1,6 litre en augmentant l'alésage de 4 mm, et surtout en inclinant ce bloc à 45° ("couché" sur la droite). La puissance obtenue était alors de 65 ch DIN. En 1963, afin de procurer au coupé/cabriolet et à la berline des performances de grande routière, ce groupe moteur (avec un rapport volumétrique augmenté à 8,8) sera doté de l'injection (indirecte) portant la puissance à 80 ch DIN.
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