Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.02.2025
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Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
Véronique Jannot, née le 7 mai 1957 à Annecy (Haute-Savoie), est une actrice et chanteuse française.
Biographie
Elle débute à la télévision en 1972 dans Le Jeune Fabre de Cécile Aubry, avec Mehdi, et enchaîne au théâtre dans L’École des femmes. Après avoir tourné dans le feuilleton Paul et Virginie, elle joue dans le téléfilm Aurore et Victorien, un premier rôle en costume qui lui permet de monter à cheval pour la première fois à l'écran. Suivront ensuite trois autres feuilletons : Qui j'ose aimer d'Hervé Bazin en 1977, Les Amours sous la Révolution et Léopold le bien-aimé en 1978.
En 1979, le cinéma lui ouvre ses portes : elle joue dans Le Toubib, de Pierre Granier-Deferre, avec Alain Delon.
En 1981, son visage est connu de toute la France : elle interprète Joëlle Mazart, l'assistante sociale de la série Pause café. Grâce à ses records d'audience, Pause café sera suivi 2 ans plus tard de Joëlle Mazart. Second volet, second succès. Après plusieurs films (notamment Tir Groupé avec Gérard Lanvin, Un été d'enfer avec Thierry Lhermitte, et La Dernière Image, Sélection du Festival de Cannes en 1986), elle accepte une nouvelle fois de reprendre sa série fétiche en 1988 : le troisième volet, Pause-café pause-tendresse, bat à nouveau des records d'audience.
Actrice de théâtre, de cinéma et principalement de télévision, elle a aussi enregistré plusieurs succès discographiques.
Elle débute dans la chanson lorsque la production qui s'occupe de la série télévisée Pause café lui demande d'en enregistrer les génériques de début et de fin. Elle signe alors un contrat discographique sur le label Les Trois Oranges Bleues, distribué par Philips, où elle restera jusqu'en 1987. Son premier 45 tours comprend en face A Tous les enfants ont besoin de rêver, générique de fin de la série et en face B On entre dans la vie, générique de début de la série, dont elle écrit les paroles. Prenant goût à la chanson et aussi à l'écriture de textes, elle sort en 1982, le titre J'ai fait l'amour avec la mer, dont elle écrit le texte sur une musique de Pierre Bachelet et qui connaît un grand succès. Après un troisième 45 tours qui se vend moins, elle chante Désir, désir en duo avec Laurent Voulzy (le tube de l'été 1984), puis Si t'as pas compris en 1985 et Ma repentance en 1986 et enfin Aviateur (qui reçoit un disque d'argent en 1988). Ce 45 tours, qui est son premier à sortir chez Carrère, lui permet de poursuivre sa collaboration artistique avec Laurent Voulzy, puisque c'est ce dernier qui signe la musique de la face A du disque Aviateur, sur un texte d'Alain Souchon, mais aussi celle de la face B du disque Chagrin, dont le texte est écrit par Véronique elle-même. Elle participe ensuite au collectif Pour toi Arménie, créé par Charles Aznavour, puis sort le 45 tours Mon héros préféré du générique de la série Pause-café pause-tendresse, suivi du titre rythmé Love me encore en 1989. À la suite d’un différend artistique avec Claude Carrère, elle résilie son contrat avec lui, et laisse à partir de 1990 sa carrière de chanteuse au second plan.
En 1998, elle chante L'Atlantique en duo avec Pierre Bachelet. Durant les années 1980, seules deux compilations des chansons se trouvant sur ses 45 tours sont éditées. Son premier véritable album original, intitulé Tout doux auquel participent Natasha St-Pier, Gérard Lenorman, Henri Salvador, Yannick Noah et Lim, consacré aux enfants ne sort qu'en 2012.
À partir des années 1990, elle enchaîne plusieurs films et téléfilms, dont Madame le Consul (de 1995 à 2001), Charlotte et Léa, Manège, C'est l'homme de ma vie (qui lui vaudra le 7 d'or de la meilleure comédienne télé en 1998), Docteur Claire Bellac (2001-2003) et Pardon. Elle a aussi joué au théâtre, notamment dans Pleins feux en 1991 avec Line Renaud, et dans Avis de tempête en 2004.
En 2006, elle publie son autobiographie, Trouver le chemin, qui connaît un grand succès en librairie, et tient le rôle principal de la saga de l'été de France 2, Les Secrets du volcan.
En 2009, elle est membre du jury lors du Festival international du film fantastique de Gérardmer 2009.
À l'automne 2011, elle participe à la deuxième saison de l'émission Danse avec les stars sur TF1, aux côtés du danseur Grégoire Lyonnet, et termine sixième de la compétition.
Vie privée
Alors qu'elle a 22 ans et qu'elle tourne le film Le Toubib, elle est atteinte d'un cancer de l'utérus, ce qui la conduit à recourir à une chimiothérapie qui la rendra stérile. Cela lui rendra le tournage de la deuxième saison de Pause café particulièrement cruel, car le scénario prévoit que dans son couple c'est son compagnon qui de prime abord ne veut pas d'enfant.
Après avoir été la compagne du pilote de Formule 1 Didier Pironi, qui meurt dans une course de bateaux offshore en 1987, elle vécut une dizaine d'années avec Laurent Voulzy
Convertie au bouddhisme, elle milite pour la liberté au Tibet et soutient les enfants tibétains en exil, à travers l’association Graines d'Avenir. Le 29 août 2008, à l'occasion des Jeux olympiques en Chine, elle saute en parachute avec le drapeau du Tibet au-dessus du mont Saint-Michel. En 2011, elle sort une bande dessinée, Tibet, l'espoir dans l'exil, dont les bénéfices sont versés à Graines d'avenir.
Depuis 2007, elle est également marraine de l'opération Volvic-UNICEF au Niger, dans le but de construire des bornes-fontaines et de scolariser les fillettes.
Son père, Paul Jannot, meurt le 23 décembre 2009
Passionnée d'équitation, elle est en 2014, ambassadrice des Alltech FEI Jeux équestres mondiaux à Caen, en Normandie. Elle y a soutenu en particulier la discipline du Para-Dressage dont elle est la marraine.
En 2014, Elle adopte Migmar, une jeune orpheline tibétaine rencontrée grâce à l'association « Graines d'Avenir », qu'elle a fondée en 2005.
Le 10 octobre 2016, sa mère Colette meurt à plus de 80 ans d'une crise cardiaque, due au choc provoqué par un accident entre son véhicule et un scooter, à Saint-Chéron.
Théâtre
1973 : L'École des femmes de Molière, mise en scène Richard Vachoux, Comédie de Genève
1974 : De l'influence des rayons gamma sur le comportement des marguerites de Paul Zindel, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre La Bruyère
1977 : Le Météore de Friedrich Dürrenmatt, mise en scène Gabriel Garran, Théâtre de la Commune
1991 : Pleins Feux de Mary Orr, mise en scène Éric Civanyan, Théâtre de la Michodière
1992 : Pleins Feux de Mary Orr, mise en scène Éric Civanyan, Théâtre Antoine, tournée jusqu'en 1993
2004 : Les Monologues du vagin d'Eve Ensler, mise en scène Isabelle Rattier
2004 : Avis de tempête de Dany Laurent, mise en scène Jean-Luc Moreau, Théâtre des Variétés, tournée
2007 : Avec deux ailes de Danielle Mathieu-Bouillon, mise en scène Anne Bourgeois, avec Jean-Michel Dupuis, Productions Artémis Diffusion
2008 : Avec deux ailes de Danielle Mathieu-Bouillon, mise en scène Anne Bourgeois, reprise au Petit Théâtre de Paris
2011 : Personne n'est parfait de Simon Williams, mise en scène Alain Sachs, Théâtre des Bouffes Parisiens avec Jean-Luc Reichmann
2015 : Père et manque de Pascale Lécosse, mise en scène Olivier Macé, tournée
2018 : Inavouable, de Éric Assous, mise en scène Jean-Luc Moreau, La Coupole (Cité Internationale)
Filmographie
1979 : French Postcards de Willard Huyck, avec : Malsy
1979 : Le Toubib de Pierre Granier-Deferre, avec Alain Delon : Harmony
1982 : Tir groupé de Jean-Claude Missiaen, avec Gérard Lanvin : Carine Ferrand
1983 : Les Voleurs de la nuit de Samuel Fuller, avec Bobby Di Cicco : Isabelle
1984 : Le Crime d'Ovide Plouffe de Denys Arcand avec Gabriel Arcand : Marie
1984 : Un été d'enfer de Michael Schock avec Thierry Lhermitte : Elisabeth Leroy
1986 : La Dernière Image de Mohammed Lakhdar-Hamina avec Michel Boujenah : Claire Boyer
1989 : Doux amer de Franck Apprederis avec Niels Arestrup et François Duval : Anne Lambert
1974 : Au théâtre ce soir : La Grande Roue de Guillaume Hanoteau, Mise en scène : Jacques Mauclair, Réalisation : Georges Folgoas, Théâtre Marigny
1975 : Qui j'ose aimer
1975 : Léopold le bien-aimé
1978 : Les Amours sous la Révolution : 4 dans une prison
1981 : Au théâtre ce soir : Pieds nus dans le parc de Neil Simon, Mise en scène : Pierre Mondy, Réalisation : Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
1991 : Notre Juliette
1991 : La mort au bout des doigts avec Martin Sheen et Jacques Perrin
1991 : Softwar avec Bernard Le Coq
1991 : Mademoiselle Ardel
1991 : L'héritière, avec Bernard Le Coq, Patachou
1991 : Touch and die de Piernico Solinas, avec Martin Sheen : Catherine
1993 : Les Saigneurs d'Yvan Butler, avec Claude Giraud : Helen
1993 : Le silence du cœur, avec Claude Piéplu
1993 : Le ciel pour témoin, avec Jean Yanne
1994 : Une femme dans la tempête, avec François Dunoyer
1995 : L’enfant des rues de François Luciani, avec Pierre Vaneck
1995 : Charlotte et Léa de Jean-Claude Sussfeld, avec Zabou Breitman : Charlotte
1995 : Loin des yeux, avec Nicole Croisille, Nicole Jamet, Christian Brendel
1996 : Sud lointain, avec Bernard Yerlès, Xavier Deluc
1997 : C'est l'homme de ma vie de Pierre Lary, avec Philippe Caroit, Patrick Catalifo : Martine
1997 : Théo et Marie, avec Catherine Jacob
1998 : Pour mon fils de Michaëla Watteaux, avec Bruno Wolkowitch : Carole Lefèvre
1998 : C'est l'homme de ma vie
1998 : Manège de Charlotte Brändström, avec Jean-Yves Berteloot : Marine Dervin
2002 : La Source des Sarrazins de Denis Malleval, avec Patrick Catalifo : Béatrice de Lagny
2004 : Pardon d'Alain Schwarzstein, avec Guy Marchand
2013 : Le bonheur sinon rien ! de Régis Musset
1972 : Le Jeune Fabre, de Cécile Aubry, avec Medhi
1974 : Paul et Virginie : Virginie
1977 : Aurore et Victorien
1978 : Commissaire Moulin, épisode 11 : Intox
1981 : Pause café de Serge Leroy : Joëlle Mazart
1982 : Joëlle Mazart de Jean-Claude Charnay : Joëlle Mazart
1988 : Pause-café pause-tendresse de Serge Leroy : Joëlle Calvet
1995-2001 : Madame le Consul
1998 : Manège
2001-2003 : Docteur Claire Bellac (3 épisodes) : Claire Bellac
2006 : Les Secrets du volcan : Cristina Mahé
2007 : Commissaire Cordier, épisode 2 saison 3 : Scoop mortel d'Olivier Langlois : Fanny Vissac
2011 : Section de recherches, épisode 5 saison 5 : Sauveteurs : Eve
2014 : RIS police scientifique, épisode 5 saison 9 : La gorgone : Christine
2016 : Camping Paradis, épisode La colo au camping
2018 : Léo Matteï, Brigade des mineurs, saison 6 épisode 5 et 6 : Docteur Fabre
2019 : Philharmonia : Martine Badiou
Depuis 2019 : Demain nous appartient : Anne-Marie Lazzari (épisodes 504 à 624 & 815 à ...)
2021 : Léo Matteï, Brigade des mineurs, saison 8 : Docteur Fabre
Madrange (années 1980)
Fruit d'or (2007), conçue par Vincent de Brus
Volvic au profit de l'UNICEF 1L=10L
Fruit d'or (2009)
Discographie
45 tours
1980 : On entre dans la vie, chanson de la série télévisée Pause café (en face B du générique Tous les enfants ont besoin de rêver)
1982 : J'ai fait l'amour avec la mer (Véronique Jannot/Pierre Bachelet) / Comédie comédie (Véronique Jannot/Jean-Pierre Lang/Pierre Bachelet)
1983 : C'est trop facile de dire je t'aime (Véronique Jannot/Pierre Bachelet/Bernard Levitte) / La première scène (Jean-Pierre Lang /Pierre Bachelet/F. Rolland/Bernard Levitte)
1984 : Désir, désir (parti 1 & 2) et J'étais comme ça : duos avec Laurent Voulzy (Alain Souchon/Laurent Voulzy)
1985 : Desire, desire (version anglaise)
1985 : Si t'as pas compris (Jean-Pierre Lang /Pierre Bachelet) / Vague à l'âme (Véronique Jannot/Pierre Bachelet)
1986 : Ma repentance (Gilles De Loonois/Pierre Bachelet/Bernard Levitte) / Fragile (Véronique Jannot/Michel Jouveaux/Bernard Levitte)
1988 : Mon héros préféré, chanson du générique de Pause-café pause-tendresse (Francis Lai/Pierre Grosz)
1988 : Aviateur (Alain Souchon/Laurent Voulzy) / Chagrin (Véronique Jannot/Laurent Voulzy)
1989 : Love me encore (Véronique Jannot/Michel Jouveaux/Romano Musumarra/Roberto Zanelli) / Reviens me dire (Romano Musumarra/Véronique Jannot/Michel Jouveaux)
Maxi 45 tours
1984 : Désir, désir, comprend en face A les deux chansons du 45 tours et en face B J'étais comme ça.
Albums et compilations
1988 : Aviateur (compilation)
2002 : Le meilleur de Véronique Jannot
2011 ː Best of Collector : Véronique Jannot (Le meilleur des années 80)
2012 : Tout doux..., chansons et comptines pour l'éveil musical des tout-petits (avec la participation de Yannick Noah, Henri Salvador, Natasha St-Pier, Gérard Lenorman, LIM, rappeur auteur de l'un des textes, et Philippe Besombes, compositeur)
Récompenses
1988 : Disque d'argent Argent pour le single Aviateur.
1998 : 7 d'or de la Meilleure comédienne dans un téléfilm pour C'est l'homme de ma vie.
Bibliographie
Livres
Derrière l'image (illustré par Piem), Carrère / Michel Lafon, 1986 (ISBN 2-86804-350-X)
Trouver le chemin, éd. Michel Lafon, 2005 (ISBN 978-2-74990257-9)
Trouver le chemin [archive] en livre audio lu par Véronique Jannot (2010), éd. Livrior
Dakinis, le Féminin de la Sagesse, film documentaire de 92 min écrit et réalisé par Véronique Jannot, coffret DVD et CD, 2010 Skanda Productions
Tibet, l'Espoir dans l'exil, avec le dessinateur Philippe Glogowski, Signe, 2011 (ISBN 978-2-74682627-4)
Au fil de l'autre, voir la vie autrement, éd. Michel Lafon, 2015, (ISBN 978-2749924458)
Préface
Hermès Garanger, Lama à 19 ans... Et après ? (éditions Claire Lumière), 2018
Prochain album
Un album de musique, En quelques mots, avait été annoncé initialement pour l'automne 2010, mais la sortie du double album DVD CD Dakinis, le Féminin de la Sagesse lui a été substituée.
https://fr.wikipedia.org/wiki/V%C3%A9ronique_Jannot
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Décès
1932 : Paul Doumer, homme d'État français (° 22 mars 1857).
1989 : Guy Williams, acteur américain, ayant incarné Zorro dans la série télévisée (° 14 janvier 1924).
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Naissances
1949 : Marie-George Buffet, femme politique française, secrétaire du PCF de 2001 à 2010.
1957 : Véronique Jannot, actrice française.
1976 : Sophie Thalmann, miss Lorraine 1997, miss France 1998.
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Le siège d’Orléans est un épisode majeur de la guerre de Cent Ans. Les Anglais sont prêts à prendre Orléans, verrou sur la Loire protégeant le sud de la France, mais la ville est sauvée par Jeanne d'Arc, qui renverse le cours de la guerre.
Contexte
Alors que les Anglais tiennent la moitié nord du royaume de France, le roi Charles VII garde le sud qui lui est resté fidèle. La Loire fait la frontière entre les deux. De rares ponts subsistent : Angers (défendu par son château et appartenant à Yolande d'Anjou), et Orléans (comptant 20 000 habitants et puissamment fortifiée). Pour qu’ils puissent attaquer le dauphin, il faut donc que les Anglais prennent une de ces villes.
Déroulement du siège
Le siège proprement dit est précédé, au cours de juillet 1428, de la prise par les Anglais de nombreux bourgs beaucerons entre Orléans et Paris, comme Angerville, Toury, Artenay ou Patay. L'encerclement progressif se poursuit en septembre et octobre par la prise de places fortes commandant la traversée de la Loire telles que Meung, Jargeau, Châteauneuf et Sully. Le village d'Olivet, au sud d'Orléans sur la route de Bourges, tombe le 7 octobre. Le 12 octobre 1428, les Orléanais peuvent encore sortir de la ville et assurer sa mise en défense par la démolition d'une arche du pont des Tourelles et du couvent des capucins situé à proximité de son extrémité sud. Le véritable siège commence les 23 et 24 octobre après la prise par les Anglais du « boulevard » et du fort des Tourelles commandant l'accès sud du pont et leur installation dans les ruines du couvent des capucins.
Le soir du 24 octobre, le comte de Salisbury, Thomas Montaigu, vient inspecter la forteresse conquise par ses troupes. En montant à l'une des tours, il reçoit un boulet de canon tiré par les Orléanais depuis la tour Notre-Dame. Touché à la tête, il décède quelques jours après
Entre le 8 novembre et le 29 décembre, les Orléanais commandés par le bailli Raoul de Gaucourt, achèvent la mise en défense de la ville par la démolition de l'ensemble des faubourgs et édifices non protégés par l'enceinte et pouvant servir d'abris aux Anglais. La collégiale Saint-Aignan est ainsi de nouveau abattue, 70 ans après sa première destruction préventive lors des raids anglais de 1358, et seulement huit après sa reconstruction en 1420.
En réponse, les Anglais encerclent la ville d'une série de neuf bastilles. Construites en avril 1429, les fortifications sont denses au nord-ouest, entre la Loire et la route de Paris (sept bastilles), mais quasiment absentes à l'est où l'on ne trouve que deux bastilles situées à plusieurs kilomètres de la ville, à Saint-Loup et à Saint-Jean-le-Blanc. Cette négligence du côté oriental peut être attribué au manque d'effectifs des troupes anglaises.
Le comte de Suffolk, William de la Pole, prend la suite de Salisbury, avant d'être remplacé par John Talbot, comte de Shrewsbury. La garnison anglaise qui occupe les Tourelles est elle-même assiégée par des soldats français. Les Bourguignons qui participaient au siège se retirent à la suite d'une mésentente sur le sort de la ville. Néanmoins à la suite de la désastreuse « journée des Harengs », où les troupes franco-écossaises manquent lamentablement leur offensive sur un convoi de ravitaillement, les troupes françaises sont démoralisées et n'ont plus aucune initiative.
L'arrivée de Jeanne
Pendant des années, de vagues prophéties avaient circulé en France au sujet d'une jeune fille qui sauverait la France. Beaucoup de ces prophéties prédisaient qu'une jeune fille en armure viendrait des frontières de la Lorraine, où est situé Domrémy, lieu de naissance de Jeanne. En conséquence, quand la nouvelle atteignit les habitants d'Orléans assiégés à propos du voyage de Jeanne pour voir le roi, les attentes et les espoirs étaient grands.
Accompagnée d'une escorte fournie par Robert de Baudricourt, Jeanne arrive vraisemblablement à Chinon le 23 février 1429 afin d'y rencontrer le roi. Après l'avis positif des clercs de Poitiers à la suite de l'examen théologique de Jeanne, le dauphin accepta ses services le 22 mars. On lui donna une armure, une bannière, un page, et des hérauts.
La première mission de Jeanne était de rejoindre un convoi de ravitaillement qui se rassemblait à Blois, sous le commandement de Jean de Brosse, maréchal de Boussac, et de Gilles de Rais, ravitaillant Orléans. C'est de Blois que Jeanne envoya ses missives célèbres aux commandants anglais qui dirigeaient le siège. Dans ces textes, elle se désigne elle-même comme « La Pucelle ». Elle donnait cet ordre aux Anglais : « Au nom de Dieu », « Retirez-vous, ou je vous ferai partir ».
Le convoi de ravitaillement, escorté par environ 500 soldats, quitta Blois le 27 ou le 28 avril, ressemblant à une procession religieuse. Jeanne avait insisté pour que l'approche d'Orléans se fasse par le nord (à travers la Beauce), où les forces anglaises étaient concentrées, dans le but de les attaquer immédiatement. Mais les commandants décidèrent de prendre un détour par le sud (à travers la Sologne) sans en parler à Jeanne. Le convoi atteignit la rive sud de la Loire à Rully (près de Chécy), environ 7 km à l'est de la ville.
Le commandant d'Orléans, Jean de Dunois, dit Dunois ou « le bâtard d'Orléans », vint à leur rencontre après avoir traversé la rivière. Jeanne fut indignée par cette dissimulation et cette perte de temps, et ordonna une attaque immédiate sur Saint-Jean-le-Blanc, le fort anglais le plus proche sur la rive sud. Mais Dunois, soutenu par les autres commandants, protesta. Avec difficulté, son avis prévalut sur celui de Jeanne. La ville devait être ravitaillée avant tout assaut. Le convoi approcha des rives de Port Saint-Loup, en face du fort anglais de Saint-Loup, situé sur la rive nord. Pendant que des unités françaises empêchaient la garnison anglaise de Saint-Loup d'intervenir, une flotte de bateaux venue d'Orléans approcha du convoi pour ramener dans la ville le ravitaillement, Jeanne elle-même et 200 soldats.
L'un des miracles les plus connus de Jeanne fut rapporté comme ayant eu lieu à cet endroit : le vent qui avait amené les bateaux en amont s'inversa brutalement, ce qui leur permit de retourner à Orléans sans dommage sous le couvert de l'obscurité. Jeanne entra triomphalement dans la ville, le 29 avril, autour de 20 heures, ravivant tous les espoirs.
La levée du siège
Durant les deux jours qui suivirent, pour galvaniser les habitants d'Orléans, Jeanne défila périodiquement dans les rues de la ville, distribuant de la nourriture aux gens et leur solde aux soldats de la garnison. Jeanne envoya également des messagers aux garnisons anglaises, exigeant leur départ. Les commandants anglais accueillirent les envoyés de Jeanne par des huées et des injures. Certains menacèrent même de tuer les messagers comme « émissaires d'une sorcière ».
Jeanne participa aux conseils de guerre avec Dunois et les autres commandants français. Le Journal du siège d'Orléans, selon les écrits de Régine Pernoud, rapporte plusieurs discussions enflammées à propos de la semaine à venir, entre Jeanne et Dunois.
Estimant la garnison trop petite pour toute action, Dunois laissa la ville, le 1er mai, sous la responsabilité de La Hire et de Jeanne. Il se rendit personnellement à Blois pour rassembler des renforts. Pendant cet intermède, Jeanne sortit des murs de la ville et inspecta toutes les fortifications anglaises personnellement. Elle fut copieusement injuriée par les défenseurs anglais. C'est lors de cette inspection que le commandant anglais des Tourelles, William Glasdale, l'injuria du haut du fort en la traitant de « putain des Armagnacs ».
Le 3 mai, le convoi de renforts de Dunois quitta Blois pour se diriger vers Orléans. Dans le même temps, d'autres convois de troupes partirent de Montargis et de Gien en direction d'Orléans. Le convoi de Dunois arriva, à travers la Beauce, à la rive nord de la rivière, au matin du 4 mai, parfaitement visible depuis le fort anglais de Saint-Laurent. Les Anglais ne tentèrent rien pour empêcher l'entrée du convoi, le jugeant trop puissant. Jeanne sortit de la ville pour escorter le convoi.
À midi, le même jour (4 mai 1429), apparemment pour sécuriser l'entrée de plusieurs autres convois de ravitaillement, qui avaient pris l'habituelle voie détournée, par l'est, Dunois lança une attaque sur le fort anglais de Saint-Loup avec les troupes venues de Montargis et de Gien. Jeanne, n'ayant pas été prévenue de l'assaut et faisant une sieste, fut réveillée en sursaut par son page. Elle se précipita avec son étendard
La garnison anglaise de 400 hommes fut submergée par les 1 500 attaquants français. Espérant créer une diversion, le commandant anglais, lord John Talbot, lança une attaque depuis Saint-Pouair, à l'extrémité nord d'Orléans, mais elle fut stoppée par une sortie française. Après quelques heures de combat, Saint-Loup tomba. Il y eut 140 Anglais tués et 40 prisonniers. Certains défenseurs anglais furent capturés dans les ruines d'une église à proximité. Ils eurent la vie sauve à la demande de Jeanne. Apprenant que Saint-Loup était tombé, Talbot cessa son assaut au nord.
Le jour suivant, le 5 mai, était le jour de l'Ascension. Jeanne voulait une attaque sur le plus puissant fort anglais, le fort de Saint-Laurent à l'ouest. Mais les commandants français, jugeant que leurs hommes avaient besoin de repos, imposèrent leur point de vue et permirent à leurs troupes d'honorer le jour de fête en paix). Pendant la nuit, au cours d'un conseil de guerre, il fut décidé que la meilleure façon de procéder était de prendre les bastions anglais de la rive sud, là où les Anglais étaient les plus faibles.
L'opération débuta tôt dans la matinée du 6 mai. Les habitants d'Orléans, depuis que Jeanne leur avait redonné espoir, voulaient à tout prix participer à la libération de leur ville. Ils créèrent une milice qui se présenta aux portes pour rejoindre l'armée, mettant les commandants français dans l'embarras. Cependant, Jeanne réussit à les convaincre de laisser la milice se joindre à l'armée régulière. Les Français, avec Jeanne, traversèrent la Loire sur des bateaux et barges, et accostèrent sur l'île Saint-Aignan. Puis, de là, ils arrivèrent à la rive sud par un pont de bateau, sur le tronçon entre le pont et le fort de Saint-Jean-le-Blanc. Le plan consistait à isoler et à attaquer le fort de Saint-Jean-le-Blanc depuis l'ouest. Mais le commandant anglais de la garnison, William Glasdale, avait compris l'intention des Français. Il avait déjà détruit Saint-Jean-le-Blanc, et concentré ses troupes dans l'ensemble central Boulevard-Tourelles-Augustins.
Avant que les Français aient pu correctement débarquer sur la rive sud, on rapporte que Jeanne d'Arc aurait lancé une attaque brutale sur le point d'appui du Boulevard. Cet assaut faillit tourner au désastre, car les attaquants étaient exposés aux tirs de flanc des Anglais depuis les Augustins. L'assaut cessa quand des cris retentirent. On entendit que la garnison anglaise du fort de Saint-Privé, plus à l'ouest, avait fait une sortie pour renforcer Glasdale et les prendre en tenaille. La panique s'empara des Français, et ils s'enfuirent du Boulevard vers les rives, emmenant Jeanne avec eux. Voyant la « sorcière » s'enfuir et le « sortilège » être brisé, la garnison de Glasdale sortit pour engager la poursuite. Mais, selon la légende, Jeanne, seule, fit demi-tour, leva son étendard et cria « Ou Nom De » (« Au nom de Dieu »), ce qui aurait été suffisant pour impressionner les Anglais, stopper leur poursuite et les faire revenir au Boulevard. Les troupes françaises en fuite firent demi-tour et se rallièrent à elle.
Les soldats français reprennent l'attaque sur le fort avancé des Augustins. Après de violents combats qui durèrent toute la journée, les Augustins furent finalement pris juste avant la nuit.
Avec les Augustins aux mains des Français, la garnison de Glasdale était bloquée dans l'ensemble Boulevard-Tourelles. Cette même nuit, ce qui restait de la garnison anglaise de Saint-Privé évacua le fort et traversa la rivière pour rejoindre leurs camarades de Saint-Laurent. Glasdale était isolé, mais il pouvait compter sur une garnison anglaise de 700 à 800 hommes, aguerrie et solidement établie dans un puissant bastion.
Jeanne avait été blessée au pied lors de l'attaque des Augustins, et retourna à Orléans le soir même pour récupérer. Par conséquent, elle ne put participer au conseil de guerre qui eut lieu dans la soirée. Le lendemain matin, le 7 mai, on lui demanda de ne pas prendre part à l'assaut final sur l'ensemble Boulevard-Tourelles. Elle refusa et se leva pour rejoindre le camp français, sur la rive sud, à la grande joie des habitants d'Orléans12. En la voyant, d'autres habitants se portèrent volontaires, et se mirent à réparer le pont avec des poutres pour permettre une attaque par les deux côtés à la fois. Des pièces d'artillerie furent positionnées sur l'île de Saint-Antoine, et entrèrent en action.
Le gros de la journée passa, marqué par un bombardement inutile et des tentatives de sape des fondements de l'ensemble, avec des mines. Des barges en feu furent lancées vers le fort, sans plus de succès. Le soir approchait. Dunois et les autres commandants avaient décidé de lancer l'assaut final le lendemain. Informée de cette décision, Jeanne demanda son cheval et partit pour un temps de prière silencieuse. Puis elle revint au camp, attrapa une échelle et lança elle-même l'assaut frontal sur le Boulevard lui-même. D'après des témoignages, elle aurait crié aux soldats français : « Tout est vostre, et y entrez ! »
Les soldats français se précipitèrent derrière elle, amenant en masse des échelles dans le Boulevard. Jeanne fut blessée à l'épaule, au début de l'assaut, par un carreau d'arbalète, et fut emmenée à la hâte vers l'arrière. Les rumeurs de sa mort firent remonter le moral des défenseurs anglais et descendre celui des Français. Mais, selon des témoignages, elle retira elle-même la flèche, et, en dépit de sa blessure, réapparut rapidement dans les lignes françaises, donnant un nouvel élan aux attaquants. (Dans son témoignage au procès de réhabilitation, Jean Pasquerel, le confesseur de Jeanne, a déclaré que Jeanne elle-même eut une sorte de prescience de cet événement, indiquant la veille de l'attaque que « demain le sang coulera de mon corps au-dessus de ma poitrine. »)
Les Français repoussèrent les Anglais hors du Boulevard dans le dernier bastion des Tourelles. Mais le pont-levis étant abaissé, le passage était ouvert. Glasdale tomba dans la rivière et périt. Les Français accentuèrent leur pression contre les Tourelles elles-mêmes, des deux côtés, car le pont avait été réparé. Les Tourelles, à moitié en feu, furent finalement prises dans la soirée.
Les pertes anglaises étaient lourdes. En comptant d'autres actions au cours de la journée (notamment l'interception des renforts anglais se précipitant à la rescousse), les Anglais avaient subi près d'un millier de tués et 600 prisonniers. Par ailleurs, 200 prisonniers français furent trouvés dans le fort et libérés.
Fin du siège
Avec l'ensemble Boulevard-Tourelles pris, les Anglais avaient perdu la rive sud de la Loire. Il n'y avait plus d'intérêt à poursuivre le siège, puisque Orléans pouvait maintenant être facilement ravitaillée. Dans la matinée du 8 mai, les troupes anglaises sur la rive nord, toujours sous le commandement du comte de Suffolk et de lord John Talbot, firent démolir les forts extérieurs et s'assemblèrent en ordre de bataille dans les champs près de Saint-Laurent.
L'armée française, sous le commandement de Dunois, s'aligna devant eux. Le face-à-face dura environ une heure, avant que les Anglais ne se retirèrent pour rejoindre d'autres unités anglaises à Meung, Beaugency et Jargeau. Certains des commandants français proposèrent alors une attaque pour détruire l'armée anglaise démoralisée, immédiatement. Jeanne d'Arc l'a interdit du fait que l'on était un dimanche.
Suites
Les Anglais ne se considéraient pas comme battus. Bien qu'ils aient subi un revers et des pertes énormes à Orléans même, le périmètre entourant l'Orléanais — Beaugency, Meung, Janville, Jargeau — était encore entre leurs mains. En effet, il était possible pour les Anglais de se réorganiser et de reprendre le siège d'Orléans lui-même peu de temps après, cette fois peut-être avec plus de succès, puisque le pont était maintenant réparé, et donc plus vulnérable à un assaut.
La priorité de Suffolk, ce jour-là (8 mai), était de sauver ce qui restait des troupes anglaises. Les commandants français voulaient également prendre le temps de remettre en état leurs troupes, sauf Jeanne qui voulait tout de suite pousser l'avantage chèrement acquis. Quittant Orléans, elle rencontra le dauphin Charles vers Tours le 13 mai, pour lui faire un rapport de sa victoire. Elle appela immédiatement à une marche au nord-est, en Champagne, vers Reims, ville des sacres, mais les commandants français savaient qu'ils devaient d'abord déloger les Anglais de leurs dangereuses positions sur la Loire.
La campagne de la Loire commença quelques semaines plus tard, après une période de repos et l'arrivée de renforts. L'arrivée de nouveaux volontaires, de nouvelles armes et de vivres galvanisa l'armée française, impatiente de servir sous la bannière de Jeanne. Même le connétable Arthur de Richemont, ostracisé, fut finalement autorisé à participer à la campagne (c'est lui qui, en 1436, reprit Paris aux Anglais). Après une série de sièges brefs et les batailles de Jargeau (12 juin), Meung (14 juin) et Beaugency (16 juin), la Loire était à nouveau aux mains des Français.
Une armée de renforts anglais se précipita de Paris, sous les ordres de John Talbot. Elle fut défaite à la bataille de Patay peu de temps après (18 juin). Ce fut la première victoire significative sur le terrain pour les armes françaises depuis des années. Les commandants anglais, le comte de Suffolk et lord Talbot, furent faits prisonniers au cours de cette campagne. Ce ne fut qu'après toutes ces victoires que le dauphin Charles se sentit suffisamment en sécurité pour accéder à la demande de Jeanne, la marche sur Reims.
Après quelques préparatifs, la marche sur Reims commença à Gien le 29 juin, le dauphin suivant Jeanne et l'armée française à travers le territoire de Champagne, dangereusement occupé par les Bourguignons. Bien qu'Auxerre (1er juillet) fermât ses portes et refusât l'entrée, Saint-Florentin (3 juillet) le fit, après quelque résistance, ainsi que Troyes (11 juillet) et Châlons-sur-Marne (15 juillet). Ils arrivèrent à Reims le lendemain et le dauphin Charles, avec Jeanne à ses côtés, fut finalement sacré roi de France, sous le nom de Charles VII, le 17 juillet 1429.
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Joseph Athanase Doumer, dit Paul Doumer, né le 22 mars 1857 à Aurillac (Cantal) et assassiné le 7 mai 1932 à Paris, est un homme d'État français. Il est président de la République du 13 juin 1931 à sa mort.
Issu d'un milieu modeste, il travaille dès l'âge de douze ans, comme coursier puis ouvrier graveur. En parallèle, il obtient une licence en mathématiques et devient enseignant. Il est également journaliste dans l'Aisne et à Paris.
Entré en politique comme radical, il s'éloigne de la gauche à partir de la fin des années 1890. Il est plusieurs fois élu député entre 1888 et 1910, alternativement pour l'Aisne et l'Yonne. Partisan du colonialisme, il occupe de 1897 à 1902 la fonction de gouverneur général de l'Indochine française — dont il assainit les finances publiques et où il lance d'importants travaux, notamment le Transindochinois et le chemin de fer du Yunnan.
Entre 1895 et 1926, il est ministre des Finances à trois reprises. À ce titre, il porte en 1896 un projet de loi visant à instaurer l'impôt sur le revenu, qui se heurte à l'opposition du Sénat, et cherche invariablement à atteindre l'équilibre budgétaire. Élu président de la Chambre des députés en 1905, il se présente sans succès à l'élection présidentielle de l’année suivante face à Armand Fallières. Battu aux élections législatives de 1910, il se consacre au monde des affaires.
Lors de la Grande Guerre — qui coûte la vie à quatre de ses cinq fils —, il dirige le cabinet civil du gouvernement militaire de Paris, puis est nommé ministre d'État et membre du comité de guerre. Ministre des Finances après la victoire de 1918, il adopte une attitude intransigeante sur les réparations de guerre dues par l'Allemagne. Sénateur de la Corse à partir de 1912, il est un temps président de la commission des Finances et devient président du Sénat en 1927.
En 1931, se présentant une nouvelle fois à la présidence de la République, il devance au premier tour le républicain-socialiste et pacifiste Aristide Briand puis l’emporte face à Pierre Marraud, grâce notamment au soutien du centre et de la droite. En tant que chef de l'État, Paul Doumer se montre partisan d'un renforcement de la puissance militaire française, appelle à l'unité nationale et critique l'attitude partisane des partis politiques.
Moins d'un an après le début de son septennat, alors qu'il inaugure un salon d'écrivains anciens combattants, il est assassiné au moyen d’une arme à feu par Paul Gorgulov, un immigré russe aux motivations confuses qui sera exécuté par la suite.
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Viens boire un p'tit coup à la maison est une chanson dite « à boire », sortie en 1986 en France par le groupe Licence IV, écrite et composée par Francis Vacher, Olivier Guillot et Jean-Jacques Lafon (Sous le pseudonyme de J Falon). La chanson est restée treize semaines en tête du Top 50 en 1987. La chanson sera disque de platine et la meilleure vente de disques cette année-là en France.
Classement
En 1987, le groupe Licence IV débarque sur les ondes françaises. Le 11 avril 1987, la chanson détrône de la première place On se retrouvera de Francis Lalanne pour s'y installer pendant treize semaines, soit plus de trois mois, pour être délogée à son tour par La Isla Bonita de Madonna. La chanson termine disque de platine ainsi que meilleure vente de 1987.
Participants au clip
Le clip de la chanson du groupe Licence IV fait intervenir de nombreuses célébrités des années 1980, réunies autour d'une table, dont Paul Préboist, Dick Rivers, Patrick Sébastien, Carlos, Moustache, Sophie Darel, Éric Charden, Thierry Rey, Roger Zabel, ou encore Philippe Lavil.
Parodies et reprises
La chanson a été parodiée par Bruno Blum sous le nom Viens fumer un p'tit joint à la maison.
En 1987, Le Grand Jojo, célèbre chanteur belge, enregistre une reprise du titre sur 45 tours, après avoir modifié les paroles des couplets. Celle-ci rencontrera un fort succès outre-quiévrain. La pochette mentionne la participation des "joyeux bituriers", sobriquet désignant le groupe de musiciens jouant sur l'enregistrement. En mai 2020, Le Grand Jojo s'autoparodie dans une version spéciale confinement qu'il diffuse sur sa page Facebook, intitulée "Allez reste encore un peu à la maison"
https://fr.wikipedia.org/wiki/Viens_boire_un_p%27tit_coup_%C3%A0_la_maison
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Décès
1821 : Napoléon Ier, empereur des français, mort en exil sur l'île de Sainte-Hélène (° 15 août 1769). |
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