Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
26.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
William Jefferson Clinton (de son nom de naissance William Jefferson Blythe III), dit Bill Clinton [bɪl ˈklɪntən], né le 19 août 1946 à Hope (Arkansas), est un juriste et homme d'État américain, 42e président des États-Unis en fonction de 1993 à 2001.
Membre du Parti démocrate, il est procureur général d'État en Arkansas de 1977 à 1979 puis gouverneur de 1979 à 1981 ainsi que de 1983 à 1992. Il est marié avec Hillary Rodham, future secrétaire d'État des États-Unis, en 1975, qu'il avait rencontrée pendant ses études à Yale.
Son mandat à la Maison-Blanche est marqué par la plus longue période d'expansion économique en temps de paix de l'histoire moderne américaine, par la ratification de l'ALENA (Accord de libre échange nord-américain), par l'intervention de l'armée américaine en Haïti, par les accords d'Oslo, par l'intervention des troupes de l'OTAN dans les guerres de Yougoslavie, par le premier attentat contre le World Trade Center à New York (1993) et par les attentats contre les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie. Il est aussi ponctué d'un certain nombre d'affaires comme le scandale du Whitewater et celui de l'affaire Lewinsky, qui lui vaut d'être l'objet devant le Congrès d'une procédure d'impeachment qui n'aboutit pas. Symbole des Nouveaux démocrates, il est ouvert à la déréglementation dans les secteurs de l'agriculture et des télécommunications. Sa présidence s'est déroulée avec un Congrès dominé par les démocrates puis les républicains à partir de 1995.
Le 19 mai 2009, il est nommé émissaire spécial de l'ONU pour Haïti par le secrétaire général Ban Ki-moon. Depuis 1997, il dirige en outre la Fondation Clinton.
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James Earl Carter, Jr., dit Jimmy Carter [ˈd͡ʒɪmi ˈkɑɹtɚ] né le 1er octobre 1924 à Plains (État de Géorgie), est un homme d'État américain, 39e président des États-Unis de 1977 à 1981.
Officier de marine puis agriculteur, il est élu sénateur en Géorgie pour le Parti démocrate de 1963 à 1967. Jimmy Carter remporte le scrutin pour le poste de gouverneur de son État en 1971. Cinq ans plus tard, il bat de justesse le républicain Gerald Ford à l'élection présidentielle. Sa présidence est marquée par la signature des traités sur le canal de Panama, des accords de Camp David, du traité SALT II sur la limitation des armements stratégiques avec l'Union soviétique et par l’ouverture de relations diplomatiques avec la République populaire de Chine. En politique intérieure, son gouvernement permet la création du département de l'Énergie et du département de l'Éducation et renforce la législation sur la protection environnementale. Cependant, à la fin de son mandat, ce qui est interprété comme de la faiblesse de sa part dans des crises comme celles des otages de l'ambassade américaine à Téhéran, l'intervention soviétique en Afghanistan, ainsi que les conséquences économiques du deuxième choc pétrolier et des nouvelles stratégies boursières sacrifiant l'emploi à la rentabilité, font chuter sa popularité. Il est battu par Ronald Reagan à l'élection présidentielle de 1980.
Après son départ de la Maison-Blanche, il se pose en médiateur de conflits internationaux et met son prestige au service de causes caritatives. En 2002, il reçoit le prix Nobel de la paix. Il se distingue également en littérature politique, étant l'auteur de nombreux livres. Il est le plus ancien président américain encore en vie et le plus âgé de l'histoire depuis le 22 mars 2019, date à laquelle il a dépassé George H. W. Bush.
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John Fitzgerald Kennedy /d͡ʒɑn fɪtsˈd͡ʒɛɹəld ˈkɛnədi/, dit Jack Kennedy, communément appelé John Kennedy et par ses initiales JFK, né le 29 mai 1917 à Brookline (Massachusetts) et mort assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas (Texas), est un homme d'État américain, 35e président des États-Unis. Entré en fonction le 20 janvier 1961, il est, à 43 ans, le plus jeune président élu des États-Unis, et également le plus jeune président à mourir, moins de trois ans après son entrée à la Maison-Blanche, à l'âge de 46 ans. En outre, il est le premier président américain de religion catholique.
Il laisse son empreinte dans l'histoire des États-Unis par sa gestion de la crise des missiles de Cuba, son autorisation du débarquement de la baie des Cochons, son engagement pour le traité d'interdiction partielle des essais nucléaires, le programme Apollo dans le cadre de la course à l'espace, son opposition à la construction du mur de Berlin, sa politique d'égalité des sexes et son assassinat. Ses prises de position en faveur de l'accord général sur les tarifs douaniers et le commerce lui valent d'être respecté jusque chez les républicains, et le mouvement afro-américain des droits civiques — qu'il soutient, voulant mieux intégrer les minorités dans la société — qui prend place durant sa présidence annonce la déségrégation.
En campagne pour sa réélection, il circule dans Dallas le 22 novembre 1963 à bord d'un véhicule découvert devant un nombreux public et alors qu'il traverse Dealey Plaza, des coups de feu l'atteignent mortellement. Les circonstances de son assassinat par Lee Harvey Oswald, seul coupable reconnu, ont donné lieu à de nombreuses enquêtes, ouvrages écrits et filmés, interprétations et théories du complot au fil des décennies ayant suivi son assassinat.
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Bug de l'an 2038
Le bug de l'an 2038, ou bogue de l'an 2038 (au Canada), aussi appelé Y2038, est un bug informatique similaire au bug de l'an 2000 qui pourrait perturber le fonctionnement d'un grand nombre de systèmes informatiques le 19 janvier 2038 à 3 h 14 min 8 s, temps universel. Ils afficheront alors 13 décembre 1901, et 20 h 45 min 52 s.
Ce bug concerne potentiellement tous les systèmes d'exploitation et les programmes qui utilisent une représentation des dates en 32 bits. Il concerne les formats de fichier (tels que ZIP), les systèmes de fichiers (comme le système de fichier FAT utilisé sur la plupart des clés USB et cartes flash) ou les systèmes d'exploitation à tous les niveaux (du noyau de système d'exploitation aux langages de programmation), voire l'horloge temps réel elle-même.
Le problème concerne des logiciels qui utilisent la représentation POSIX du temps, dans laquelle le temps est représenté comme un nombre de secondes écoulées depuis le 1er janvier 1970 à minuit (0 heure) temps universel. Sur les ordinateurs 32 bits, la plupart des systèmes d'exploitation concernés représentent ce nombre comme un nombre entier signé de 32 bits, ce qui limite le nombre de secondes à 231 − 1, soit 2 147 483 647 secondes (01111111 11111111 11111111 11111111 en binaire). Ce nombre maximum sera atteint le 19 janvier 2038 à 3 h 14 min 7 s (temps universel). Dans la seconde suivante, la représentation du temps « bouclera » (10000000 00000000 00000000 00000000 en binaire) et représentera −2 147 483 648 en complément à deux, et ainsi l'ordinateur affichera la date du 13 décembre 1901
Les logiciels concernés sont très nombreux, car la norme POSIX, inspirée des systèmes UNIX, a été utilisée pour de nombreux programmes écrits en langage C pour de nombreux systèmes d'exploitation. Sur les systèmes d'exploitations de type Unix représentant le temps par un entier de 32 bits non signé (conforme à la norme POSIX), la date limite est située en 2106 et non en 2038. Ces systèmes d'exploitation sont toutefois minoritaires. Le passage à un horodatage sur 64 bits introduirait une nouvelle date butoir se situant au dimanche 4 décembre 292 277 026 596 ap. J.-C. à 15 h 30 min 08 s (soit environ 21 fois l'âge de l'univers) et résoudrait donc le problème, car les 64 bits permettraient à l'ordinateur de pousser la limite à 263 − 1 secondes.
Dans le domaine applicatif, le problème s'est révélé dès les années 2010 comme celui de l'an 2000 s'était révélé dès les années 1980 avec les échéanciers des plans à long terme (les tableurs utilisent depuis des dates soit glissantes, soit en format long)
Il n'existe pas de correctif simple et unique pour ce problème, car les horodatages sur 32 bits sont présents aussi dans plusieurs formats de fichiers actuels (par exemple le format ZIP). Un changement de représentation dans les ordinateurs rendrait inopérants les programmes exploitant l'actuelle équivalence entre la représentation interne et le format de fichiers. Beaucoup de travail même en comptant sur 32 bits non signés ? sera donc nécessaire « en coulisses » pour que rien ou presque n'apparaisse en surface, ce qui avait déjà été le cas à l'approche de l'an 2000.
Structures de données avec des problèmes de temps induit par le bug de l'an 2038
De nombreuses structures de données qui sont en usage aujourd'hui ont des représentations de temps en format 32 bits. Fournir une liste complète de toutes les structures qui utilisent ce format serait quasi impossible, mais voici des systèmes populaires qui seront atteint par les mêmes problèmes :
Les systèmes de gestion de dossiers (de nombreux systèmes utilisent un format 32 bits dans leurs définitions).
Les formats de dossier binaire qui utilisent un format 32 bits pour enregistrer le temps.
Les bases de données qui utilisent 32 bits pour la représentation du temps.
Certains langages de requête de base de données. (eg. MySQL qui a la fonction du genre UNIX_TIMESTAMP() encodés en 32 bits).
Exemples de systèmes qui utilisent les formats de temps en 32 bits :
Les systèmes COBOL conçus entre 1970 et 1990.
Les systèmes intégrés en utilisations dans les usines pour les sous-systèmes de contrôle et de surveillance de raffineries.
De nombreux systèmes informatiques en usage par des organisations médicales et militaires.
Solutions possibles
Il n’existe pas de solution universelle pour les problèmes qui se manifesteront en raison du bug de l'an 2038. N'importe quelle altération de la définition du type de variable utilisé pour dénoter le temps time_t
enchaînerait des problèmes de compatibilité de code dans toutes les applications où la représentation de la date et du temps dépendent d'un système conçu de base pour fonctionner avec un nombre entier signé de 32 bits. Par exemple, le changement de time_t
à un nombre entier non signé de 32 bits, ce qui permettrait l'utilisation des systèmes jusqu’à l'an 2106, causerait des complications pour les programmes qui manipulent des données qui ont des dates qui précèdent l'an 1970 car de telles dates seraient représentées par des nombres entiers négatifs. De plus, agrandir la variable time_t
à un nombre entier de 64 bits dans les systèmes en utilisation courante produirait des changements incompatibles dans l'organisation des structures et de l'interface binaire de certaines fonctions.
La solution la plus simple proposée est de changer de système, en passant de 32 bits à 64 bits. En effet, actuellement, la plupart des systèmes informatiques qui ont été conçus pour utiliser du matériel à 64 bits fonctionnent déjà avec des variables time_t
de 64 bits. L'utilisation d'un nombre entier signé de 64 bits permet aux horloges informatiques qui se servent de l'heure Unix de fonctionner jusqu'à 15:30:08 UTC, dimanche 4 décembre de l'an 292 277 026 596 ; soit plus de vingt fois l'âge de l'Univers. La capacité de faire des calculs qui impliquent les dates est désormais limitée par le fait que la variable tm_year
(année) utilise un nombre entier signé de 32 bits qui commence à l'an 1900, selon la norme POSIX. Ainsi, la valeur maximale de l'année est égale à 2 147 485 547 (2 147 483 647 + 1 900).
Système d'exploitation
Les systèmes d’exploitation utilisant le noyau Linux en 64 bits sont tous immunisés.
La version 3.17 du noyau Linux utilise une représentation interne des dates sur 64 bits, ce qui prépare les autres adaptations nécessaires, au niveau des bibliothèques standard C puis des applications.
La version Marshmallow 6.0 d'Android à base de noyau Linux 3.10 n’incorpore aucune correction.
En Visual C 8, le temps est codé sur 64 bits par défaut
En Visual C 7.1, le développeur doit explicitement utiliser le temps en 64 bits
Systèmes de fichier
Les dates sont maintenant considérées comme non signées, permettant d'allonger de 68 ans leur durée de vie.
Les systèmes suivants codent leurs dates sur 64 bits :
BTRFS
NTFS
Protocoles réseau
Network Time Protocol (NTP) utilise une date de base au 1er janvier 1900 codée sur 64 bits dont 32 bits représentent les secondes. Ainsi il n'est pas sujet au bug de l'année 2038 mais au bug de l'année 2036.
NTPv4 utilise des champs « numéro d'ère » et « début d'ère » qui permettront d'outrepasser le bug.
Les versions suivantes du protocole utiliseront des dates codées sur 128 bits dont 64 bits représenteront les secondes.
Format de fichier
ZIP code ses dates sur 32 bits. En considérant ces dates comme non signées, le format est valable 68 ans supplémentaires.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bug_de_l%27an_2038
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Événements
1343 : signature de la trêve de Malestroit.
1419 : prise de la ville de Rouen par Henri V de Lancastre.
1458 : à Paris, la première chaire de grec de l'université est attribuée à Grégoire, savant grec réfugié après la chute de Constantinople.
1493 : signature du traité de Barcelone.
1520 : bataille de Bogesund.
1660 : réconciliation de Louis XIV et du prince de Condé.
1983 : arrestation de Klaus Barbie.
1983 : lancement de Lisa par Apple, un des premiers ordinateurs personnels à posséder une souris et une interface graphique.
1989 : réception officielle de Michel Debré à l'Académie française.
1993 : Sanofi annonce racheter Yves Saint Laurent.
1997 : offensive de l'armée rwandaise contre les miliciens hutus à Ruhengeri.
1997 : un musée des instruments de musique ouvre ses portes à Paris. On peut y voir quelque 900 instruments, dont certains très rares, provenant de toutes les parties du monde.
2001 :
le manuscrit original du Voyage au bout de la nuit, le roman le plus connu et le plus lu de Louis-Ferdinand Destouches dit Céline, perdu depuis 1943, a été retrouvé par l'intermédiaire d'un collectionneur anglais et d'un libraire parisien. Il sera vendu aux enchères à Paris.
en Belgique, un amendement à la loi autorise la possession de petites quantités de cannabis ;
l'Association française des banques (AFB) annonce la conclusion d'un accord global et définitif concernant l'indemnisation des victimes de la Shoah ;
plus d'un demi-millier de magistrats, venus des quatre coins de France, manifestent en robe noire (toge), devant la Chancellerie, pour réclamer des moyens supplémentaires pour la Justice ;
2002 : processus de paix engagé au Soudan.
2004 : France Télécom annonce un plan de suppression de 14 500 postes, dont 8 800 en France.
2006 : lancement de la sonde New Horizons, pour l'étude du système plutonien et de la ceinture de Kuiper.
2007 : assassinat du journaliste d'origine arménienne Hrant Dink à Istanbul.
2011 : résolution no 1967 du Conseil de sécurité des Nations unies, sur la situation en Côte d'Ivoire.
2012 : résolution no 2034 du Conseil de sécurité des Nations unies, sur la date de l’élection à un siège vacant de la Cour internationale de justice.
2015 : érection de l'Église catholique érythréenne.
2017 : intervention militaire en Gambie menée par la CEDEAO, après l'expiration de l’ultimatum lancé à Yahya Jammeh. Élu lors de l’élection présidentielle gambienne de 2016, Adama Barrow prête serment à l’ambassade de Dakar.
2017 : selon les résultats d'audience de Médiamétrie pour la période de novembre et décembre 2016, Europe 1 passe derrière RMC pour la première fois de son histoire
https://fr.wikipedia.org/wiki/19_janvier
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Naissances
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Décès
638 ou 639 : Dagobert Ier, roi de Neustrie et des Burgondes de 629 à 639 (° 602 ou 605).
1571 : Pâris Bordone, peintre italien (° 5 juillet 1500).
1576 : Hans Sachs, poète allemand (° 5 novembre 1494).
1729 : William Congreve, dramaturge britannique (° 24 janvier 1670).
1833 : Louis Joseph Ferdinand Herold, compositeur français (° 28 janvier 1791).
1851 : Esteban Echeverría, écrivain argentin (° 2 septembre 1805).
1865 : Pierre-Joseph Proudhon, philosophe et sociologue français (° 15 janvier 1809).
1869 : Karl von Reichenbach, philosophe et chimiste allemand (° 12 février 1788).
1874 : August Heinrich Hoffmann von Fallersleben, poète allemand (° 2 avril 1798).
1876 : George Poulett Scrope, géologue et économiste britannique (° 10 mars 1797).
1878 : Henri Victor Regnault, physicien et chimiste français (° 21 juillet 1810).
1905 : Debendranath Tagore (দেবেন্দ্রনাথ ঠাকুর), philosophe indien (° 15 mai 1817).
1916 : Félix Robert (Jean Cazenabe, dit), matador français (° 14 avril 1862).
1927 : Charlotte de Belgique, fille du roi Léopold Ier, impératrice du Mexique, veuve de Maximilien Ier (° 7 juin 1840).
1929 : Liang Qichao (梁啟超), philosophe chinois (° 23 février 1873).
1933 : Bruto Castellani, acteur italien du cinéma muet (° 1er décembre 1881).
1947 : « Bombita » (Emilio Torres Reina, dit), matador espagnol (° 28 novembre 1874).
1948 :
Onisaburō Deguchi, religieux japonais (° 21 aout 1871).
Tony Garnier, architecte et urbaniste français (° 13 août 1869).
1956 : Prabodh Chandra Bagchi, philologue indien (° 18 novembre 1898).
1968 : Ray Harroun, pilote automobile américain (° 12 janvier 1879).
1969 : Jan Palach, étudiant protestataire tchécoslovaque, immolé par le feu (° 11 août 1948).
1972 : Michael Rabin, violoniste américain (° 2 mai 1936).
1974 : Paul Desmarteaux, humoriste et acteur québécois (° 23 juin 1905).
1975 : Thomas Hart Benton, muraliste américain (° 15 avril 1889).
1979 : Paul Meurisse, acteur français (° 21 décembre 1912).
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Son nom est associé à celui d'Agnès Jaoui, sa complice et alter ego à l'écran et derrière la caméra, depuis des décennies. Jean-Pierre Bacri, acteur, scénariste, réalisateur, vient de mourir à l'âge de 69 ans d'un cancer. "Il est mort en début d'après-midi", à Paris, a déclaré son agente Anne Alvares-Correa à l'AFP.
Avec Agnès Jaoui, il a écrit et tourné de nombreux films devenus des classiques, de Cuisine et dépendances, en 1992 à Place publique en 2018, en passant par Le Goût des autres, Comme une image...
En plus de quarante ans de carrière, il a promené sa silhouette d'éternel râleur dans plus d'une cinquantaine de films, se forgeant une image de type bourru, mais aussi de poufendeur du sectarisme culturel, du conformisme, des chapelles, de la servilité...
"Quand quelque chose me gonfle, je le dis!"
"Je sais que j'ai cette image de casse-couilles qui fait la gueule... C'est ma façon d'être", glissait au Monde en 2003, l'acteur né en Algérie en 1951. "Moi aussi, j'ai envie d'être aimé. Pas à n'importe quel moyen. Pour moi, le sourire doit être spontané ou ne pas être. Je n'ai rien à vendre, je ne suis ni VRP ni animateur de télévision. Les gens qui me connaissent savent que je suis un joyeux luron. J'aime rire et faire rire, mais quand quelque chose me gonfle, je le dis!"
"C'était quelqu'un d'extrêmement drôle, mais c'était l'envers d'un ricaneur", selon Jean-Michel Ribes, qui l'a mis en scène au théâtre à ses débuts. "Monté" à Paris à 23 ans, Jean-Pierre Bacri découvre le théâtre et les cours d'art dramatique, son premier "déclic". Le second sera sa rencontre avec Agnès Jaoui, en 1987, sur les planches, dans une pièce de Pinter, avec qui il formera un couple jusqu'en 2012 et un duo créatif jusqu'à aujourd'hui.
Les "Jabac""Voilà quelqu’un qui exprimait ce que je ressentais sans même me l’être formulé; qui avait des réflexions qui me percutaient, me soulageaient, témoignaient de valeurs communes, d’un rapport au bien et au mal que je partageais, avec une conviction qui m’émerveillait car elle était si singulière"!", évoquait Agnès Jaoui dans Le Monde, le 17 janvier dernier.
Après le théâtre - il joue et écrit sa première pièce en 1977 - il décroche de petits rôles à la télévision et au cinéma, décrochant un petit rôle dans Le Toubib, avec Alain Delon. Après Le Grand Pardon d'Alexandre Arcady, en 1982, il craint d'être cantonné à des rôles de pied-noir, apparaît dans le Subway de Luc Besson en 1985, puis L'Eté en pente douce de Gérard Krawczyk en 1987, ou Les Saisons du plaisir, de Jean-Pierre Mocky, en 1988, Didier d'Alain Chabat, en 1997. Pour Alain Resnais, il joue en 1997 dans On connaît la chanson, au côté d'Agnès Jaoui, avec qui il signe également le scénario.
Les "Jabac" comme les surnomme affectueusement Alain Resnais, commencent leur collaboration avec la pièce de théâtre Cuisine et dépendances, qu'ils adaptent à l'écran en 1992. La même année, ils écrivent, toujours pour Resnais, Smoking/No smoking, puis en 1996, Un air de famille, que réalise Cédric Klapisch. Leur point de vue décalé et tendrement ironique sur la société française, fait mouche.
Le duo explose avec Le Goût des autres, première réalisation d'Agnès Jaoui - et près de 4 millions d'entrées en salles en 2000 - et impose son style.
"Traquer le vécu, refuser la tricherie"
"C'est quelqu'un qui avait non seulement un tempérament d'acteur, mais aussi des valeurs. Quelqu'un qui avait cette capacité à emmener vers son univers, ce en quoi il croyait", estime Jean-Michel Ribes sur BFMTV.
Jean-Pierre Bacri a été récompensé cinq fois aux César, où il a reçu quatre fois le trophée du meilleur scénario avec Agnès Jaoui, pour Smoking/No Smoking, Un air de famille, On connaît la chanson et Le Goût des autres, et une fois celui du meilleur acteur dans un second rôle pour On connaît la chanson.
Le comédien et auteur confiait il y a quelques années à l'AFP ne pas aimer les héros. Je "ne crois pas aux types éclatants de bonheur": "traquer le vécu, la sobriété, la pudeur", "refuser la tricherie" est une profession de foi.
La bataille d'Incheon (en coréen : 인천 상륙 작전, Incheon Sangryuk Jakjeon) ou opération Chromite, est une bataille décisive pendant la guerre de Corée.
La bataille commença le 15 septembre 1950 et finit vers le 28 septembre. Pendant l'opération amphibie, les forces de l'Organisation des Nations unies sécurisèrent Incheon, et poursuivirent dans la région de Pusan une série d'incursions en territoire ennemi. La grande majorité de forces terrestres de l'ONU étaient composées de marines des États-Unis, commandés par le général Douglas MacArthur.
La bataille d'Incheon mit fin à une série de victoires de l'Armée populaire de Corée et amorça une contre-attaque par les forces des Nations unies jusqu'à la reprise de Séoul. L'avancée au nord fut stoppée près de l'Amnokgang, quand l'Armée des volontaires du peuple chinois envoya des milliers de soldats en appui à la Corée du Nord, débordant les forces de l'ONU le long du fleuve Ch'ongch'on et forçant un retrait après la bataille du réservoir de Chosin en Corée du Sud.
Contexte
L'idée de débarquer des forces de l'ONU à Incheon a été suggérée par MacArthur après qu'il eut visité les lieux des combats en Corée le 29 juin 1950, quatre jours après le début de la guerre. MacArthur pensait que l'armée de Corée du Nord (NKPA) repousserait celle de Corée du Sud au-delà de Séoul. Il estimait que les troupes, démoralisées et sous-équipées, de la Corée du Sud ne pourrait pas contenir les avances de la NKPA même avec l'aide de renforts américains. MacArthur pensait qu'il pouvait stopper cette progression s'il opérait un mouvement crucial des troupes derrière les lignes ennemies. Il espérait qu'un débarquement près d'Incheon lui permettrait d'interrompre l'avance de la NKPA et ainsi, détruire le corps de bataille adverse et gagner la guerre.
Pour accomplir une opération amphibie d'une telle ampleur, MacArthur comptait sur les marines des États-Unis, s'étant familiarisé avec leur capacité à intégrer les opérations amphibies dans les campagnes du Pacifique durant la Seconde Guerre mondiale. Pourtant en 1950, le corps des marines était toujours en train de récupérer d'une série de programmes de réduction d'effectifs, mis en œuvre par l'administration Truman et le Secrétaire à la Défense, Louis A. Johnson. En effet, le secrétaire Johnson ne croyait pas à la nécessité de maintenir les Marines comme un corps d'armée spécifique, et l'aurait dissous sans l'opposition du sénat. Si le corps des marines comptait 300 000 hommes pendant la Seconde Guerre mondiale, en 1950 il n'en rassemblait plus que 27 000 et la majorité de ses matériels avaient été vendus, abandonnés ou transférés à l'armée.
Après avoir ré-équipé en urgence les forces des Marines avec des embarcations de débarquement vieillissantes, retiré les unités du périmètre à Pusan et récupéré tous les hommes des centres de recrutement, le corps des marine avait juste les moyens de monter une force capable d'entreprendre des opérations offensives
MacArthur décida d'employer le Joint Strategic and Operations Group (JSPOG) de son Far East Command (FECOM). Le plan initial fut regardé avec scepticisme par les autres généraux parce que les défenses naturelles et artificielles d'Incheon étaient redoutables. Les approches possibles vers Incheon étaient limitées à deux passages, « Flying Fish » et le « Canal Est », qui pouvaient être facilement bloqués par des mines. Par ailleurs ces canaux subissaient un courant important, qui pouvait changer rapidement de force, passant de trois à huit nœuds. Enfin, les possibilités d'ancrage étaient réduites, et le port entouré par d'énormes digues. Le commandant Arlie G. Capps résuma : « Nous avions dressé une liste de chaque désavantage naturel et géographique et Incheon les a tous ».
Ces problèmes, ajoutés à l'avancée de l'armée de Corée du Nord, força MacArthur à abandonner son plan originel, l’Operation Bluehearts, qui envisageait un débarquement à Incheon en juillet 1950.
En dépit de ces obstacles, MacArthur reprit son plan d'assaut en septembre, sous le nom de Plan 100-B, nom de code Operation Chromite. Un briefing mené par l'amiral James Doyle conclut que la mission à Incheon n'était pas impossible. Lors de ce briefing, des officiers demandèrent d'envisager des lieux de débarquements alternatifs comme celui de Gunsan. MacArthur passa 45 minutes, après le briefing, à expliquer les raisons de son choix (Incheon). Il souligna qu'en raison de la lourde défense ennemie, ceux-ci ne s'attendraient pas à une attaque à cet endroit, que la victoire à Incheon ferait éviter une campagne en hiver et que, en envahissant le point fort au Nord, les forces de l'ONU pourrait couper les lignes de communications de la Corée du Nord. Enfin Incheon était proche de Séoul. L'amiral Forrest P. Sherman et le général Joseph Lawton Collins retournèrent à Washington DC, et l'invasion fut approuvée.
Le débarquement à Incheon ne fut pas la première opération amphibie à grande échelle depuis la Seconde Guerre mondiale, le débarquement de Pohang, le 18 juillet 1950, étant antérieur, mais contrairement à cette opération, le débarquement d'Incheon fut opéré en territoire ennemi et en présence de ses forces
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Le 4 septembre 1950, des Chance Vought F4U Corsair du VF-53 décollent du USS Valley Forge (CV-45) pour pourchasser 2 Douglas A-20 Havoc de l'aviation navale soviétique au-dessus de la Mer Jaune et en abattent un pour éviter qu'ils ne trouvent une concentration de navires américains se préparant au débarquement d'Incheon
Sept jours avant le début des opérations d'Incheon, une reconnaissance commune de la Central Intelligence Agency et Renseignement militaire, fut menée sous le nom de code Trudy Jackson. Une équipe de guérilla fut infiltrée à Incheon. Le groupe, mené par le lieutenant Eugene Clark, atterrit à Yonghung-do, une île à l'entrée du port. Depuis cet endroit, ils devaient transmettre des renseignements aux forces américaines.
Avec l'aide des habitants locaux, les guérillas recueillirent des informations sur les marées, les bancs de boue, les digues et les fortifications ennemies. La contribution la plus importante de la mission fut le redémarrage du phare à Palmi-do. Quand les nord-coréens découvrirent l'activité allié sur la presqu'île, ils envoyèrent une embarcation avec 16 soldats d'infanterie. Eugène Clark monta une mitrailleuse sur un sampan et coula le bateau. En représailles, les nord-coréens tuèrent jusqu'à 50 civils accusés de complicité.
Une série de manœuvres et d'entrainement furent menées ailleurs sur les côtes coréennes, dans des conditions similaires à celle attendues à Incheon. Ces manœuvres avaient pour but d'améliorer la coordination et la performance des embarcations de débarquement.
À l'approche des groupes de débarquement, les croiseurs et destroyers de plusieurs unités navales de l'ONU firent feu sur Wolmi-do, et vérifièrent également la présence de mines dans le Flying Fish Channel. Cette opération marqua la première action des forces canadiennes dans la guerre quand HMCS Cayuga, HMCS Athabaskan et HMCS Sioux bombardèrent la côte. Le "Destroyer Squadron Nine", emmené par le USS Mansfield (DD-728) naviguèrent vers le Canal Est et à l'intérieur du port d'Incheon, où ils ouvrirent le feu sur les positions ennemies.
Cette préparation maritime prévint les nord-coréens de l'opération à venir, et le responsable de Wolmi-do assura à ses supérieurs qu'il repousserait les ennemis dans la mer.
Bataille
Le commandement de la flottille de débarquement (261 bateaux) était assurée par Arthur Dewey Struble, un expert en matière de guerre amphibie. Struble avait participé aux opérations amphibies pendant la Seconde Guerre mondiale, particulièrement à la bataille du golfe de Leyte et la bataille de Normandie
À 06:30 le 15 septembre 1950, les forces de l'U.S. X Corps atteignirent "Green Beach" sur le côté nord de l'île de Wolmi-Do. Les forces débarquées étaient constituées d'un bataillon d'infanterie et de neuf M26 Pershing. Un des tanks était équipé d'un lance-flamme et deux autres de lames de bulldozer. Ce groupe de bataille débarqua de BDCs conçus et fabriqués durant la Seconde Guerre mondiale. L'île entière fut conquise à midi, avec un total de 14 victimes du côté allié. Les pertes nord-coréennes dépassaient les 200 morts et 136 capturés, principalement du 918e Régiment d'Artillerie et du 226e Régiment des Marines Indépendants. Les forces sur Green Beach ont dû attendre la marée montante à 19h50, avant qu'un autre groupe puisse débarquer. Pendant cet intervalle toute contre-attaque nord coréenne fut empêchée par un barrage d'artillerie lourde et des bombardements aériens, pendant que des mines anti-chars étaient placées sur le seul pont. La deuxième vague de débarquement mit pied à terre à "Red Beach" et "Blue Beach".
L'armée nord-coréenne n'avait pas envisagé une invasion à Incheon et même après la prise de Green Beach, la NKPA supposa (probablement grâce à la désinformation du contre-espionnage américain) que le débarquement principal se ferait à Gunsan. En conséquence, seule une faible force fut envoyée en renfort à Incheon, qui arriva sur place alors que la tête de pont allié était déjà bien établie, les forces de l'ONU ayant pris possession des deux plages (Blue et Red). Pour ce qui est des troupes déjà stationnées à Incheon, elles avaient été affaiblies par les guérillas de Clark et des bombardements au napalm qui avaient détruit les principaux dépôts de munitions.
Les forces de Red Beach, composées du 5e Régiment des Marines US, utilisèrent des échelles pour escalader les digues. Après avoir neutralisé les défenses nord-coréennes, ils ouvrent la voie vers Wolmi-Do, permettant aux tanks débarqués sur Green Beach de rejoindre la bataille. Les pertes alliées sur Red Beach furent de 8 morts et 28 blessés.
Sous les ordres du colonel Chesty Puller, le débarquement du 1er Régiment des Marines US s'effectue au sud des deux autres points de débarquement. À l'approche de la côte, les feux combinés de plusieurs emplacements de canons NKPA coulèrent l'un des BDCs. Les tirs de destroyers ainsi que les bombardements muselèrent les défenses nord-coréennes. Lorsque les troupes venues de Blue Beach arrivèrent, les forces nord-coréennes d'Incheon s'étaient déjà rendues. Les forces de Blue Beach ne rencontrèrent que peu de résistance et subirent peu de pertes. Le 1er Régiment des Marines US renforça la tête de pont et prépara l'invasion des régions intérieures.
Juste après que la résistance nord-coréenne à Incheon fut écrasée, le processus de ravitaillement et de renforcement commença. Les Seabees et l'Underwater Demolition Team (UDTs), qui étaient arrivés avec les Marines, construisirent un dock sur la Green Beach et retirèrent les débris de l'eau. Le dock fut ensuite utilisé pour faciliter les rotations des BDCs.
Les documents écrits par Kim Il-sung et récupérés par les troupes de l'ONU, peu après le débarquement, mentionnaient: « Le plan original était de terminer la guerre en un mois, nous n'avons pas pu repousser les 4 divisions américaines... Nous avons été pris par surprise quand les troupes des Nations Unies, l'American Air Force et la Navy s'avancèrent. »
Le 16 septembre, les nord-coréens, réalisant leur erreur, envoyèrent six colonnes de chars T-34 vers la tête de pont. Ces colonnes furent engagées par deux Chance Vought F4U Corsair de l'escadron VMF-214, qui détruisirent ou endommagèrent la moitié des tanks au prix de la perte d'un avion. Une rapide contre-attaque de tanks M26 Pershing anéantit le reste des forces armées nord-coréennes et dégagea le passage pour la capture d'Incheon.
Le 19 septembre, le Corps des ingénieurs de l’armée des États-Unis répara le chemin de fer local sur plus de 13 km à l'intérieur des terres. La piste d'atterrissage de l'aéroport de Gimpo fut capturée et les avions de transport purent apporter le carburant pour les avions stationnés à Incheon. Pendant ce temps le déchargement d'équipements et de renforts continuait. Au 22 septembre, avaient été débarqués 6 629 véhicules et 53 882 soldats, ainsi que 23 000 tonnes d'équipements.
Conséquences
Contrairement à la rapide victoire à Incheon, l'avance dans Séoul fut lente et sanglante. La NKPA lança une autre attaque de chars T-34, qui furent piégés et détruits, ainsi qu'un bombardement par un Yakovlev sur le port d'Incheon, qui ne causa que de légers dégâts. La NKPA essaya alors de ralentir l'offensive de l'ONU afin de permettre le renforcement de Séoul et la retraite des troupes dans le sud. Bien qu'averti que la méthode utilisée pour prendre le contrôle de Séoul donnait le temps aux forces restantes de la NKPA pour s'échapper, MacArthur se sentit lié aux promesses faites au gouvernement de Corée du Sud afin de reprendre la capitale au plus vite.
Dès le deuxième jour de l'opération, les navires emportant la 7e Division d'Infanterie de l'Armée US arrivèrent au port d'Incheon. Le général Almond était impatient de mettre en place la division afin de bloquer un possible mouvement ennemi depuis le sud de Séoul. Au matin du 18 septembre, le Second Bataillon du 32e Régiment d'Infanterie atterrit à Incheon et le reste du régiment fut débarqué plus tard dans la journée.
Le matin du troisième jour, le Second Bataillon se déplaça afin de relayer un bataillon de Marines sur le flanc droit au sud de Séoul. Pendant ce temps, la 7e Division du 31e Régiment mit pied à terre à Incheon. La responsabilité de l'autoroute de la zone sud de Séoul fut transférée à la 7e Division le 19 septembre à 18h00. La 7e Division d'Infanterie s'engagea ensuite dans un combat intense en périphérie de Séoul.
Avant la bataille, la Corée du Nord n'avait qu'une seule division assez faible dans la ville, dont la majorité était dans le sud de la capitale. MacArthur supervisa en personne le 1er Régiment de Marines en route vers Séoul, qui combattait les positions nord-coréennes. Le contrôle de l'opération Chromite fut ensuite transféré au commandant général Edward Almond. Le but d'Almond était de prendre le contrôle de Séoul le 25 septembre, exactement trois mois après le début de la guerre. Le 22 septembre, les Marines pénétrèrent dans Séoul et constatèrent que l'ennemi y était retranché. Les pertes augmentèrent avec les combats de rue. Pressé d'annoncer la conquête de Séoul, Almond déclara, le 25 septembre, la libération de la ville bien que des Marines étaient toujours engagés dans des combats (des tirs étaient toujours entendus dans les banlieues du nord).
Les dernières troupes nord-coréennes engagées en Corée du Sud furent vaincues quand la 8e armée des États-Unis sortit du périmètre de Pusan, rejoignant le Xe Corps dans une attaque coordonnée sur les forces de l'Armée populaire de Corée. Sur les 70 000 soldats de l'armée nord-coréenne autour de Pusan, plus de la moitié fut tués ou capturés. Pourtant, du fait que les forces de l'ONU avaient concentré leur effort sur la prise de Séoul plutôt que d'empêcher le retrait par le nord de l'Armée populaire de Corée, 30 000 soldats nord-coréens s'échappèrent vers le nord, de l'autre côté du fleuve Yalou où ils furent rapidement reconstitués et ré-équipés à la hâte par l'Union soviétique. Les attaques alliées continuèrent au nord vers le fleuve Yalou jusqu'à l'intervention de la Chine dans la guerre.
Culture populaire
La bataille d'Incheon est le sujet d'un film de 1981 intitulé Incheon, qui ne connaît pas un grand succès au box-office. Il provoque une polémique du fait qu'il avait été partiellement financé par l'Église de l'Unification, dirigée par Sun Myung Moon. Un autre film également basé sur ce fait de guerre est Memories of War de Lee Jae-han sorti en 2016 avec notamment l'acteur Liam Neeson.
La chanson Incheon, de Robert W. Smith, illustre la bataille. Elle commence par un solo de flute et apporte lentement des bruits d'hélicoptère. Des effets sonores sont aussi inclus, comme des tirs de mitrailleuses et d'artilleries. Elle fait également référence à la chanson Variations on a Korean Folk Song (mesures 61, 62, 65, et 66).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_d%27Incheon
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Liam Neeson, de son vrai nom William John Neeson est un acteur irlando-britannico-américain né le 7 juin 1952 à Ballymena, dans le Comté d'Antrim, en Irlande du Nord.
Il est connu pour ses rôles d'hommes courageux et "révolutionnaires" dans des films comme La Liste de Schindler, Michael Collins et Rob Roy, ainsi que pour sa participation à des grosses productions telles que la franchise Star Wars (depuis 1999) dans laquelle il interprète le rôle de Qui-Gon Jinn et la trilogie The Dark Knight (2005-2012) dans laquelle il interprète Ra's al Ghul.
Suite au film Taken (2008), il tourne de plus en plus dans des films d'action, apparaissant notamment en 2010 dans l'adaptation de la série L'Agence tous risques (1983-1987), dans Sans identité (2011), ou encore Non-Stop (2014).
Il prête également sa voix à plusieurs personnages, dont notamment Aslan dans la trilogie Le Monde de Narnia (2005-2010), au monstre dans Quelques minutes après minuit (2016), au « méchant flic » dans La Grande Aventure Lego (2014), ou encore à James, le père dans le jeu vidéo Fallout 3 (2008).
Il a été dirigé par de grands réalisateurs comme Ethan et Joel Coen, Christopher Nolan, Steven Spielberg, Woody Allen, Ridley Scott, Kathryn Bigelow ou encore Martin Scorsese.
Biographie
Né dans une famille irlandaise de confession catholique, Liam Neeson a grandi pendant le conflit nord-irlandais. Il a trois sœurs. Après ses études secondaires, il entre à Queen’s University de Belfast où il étudie la physique et l'informatique. Après un an, il quitte l'université pour travailler comme cariste pour la brasserie Guiness, puis il reprend les études en vue de devenir enseignant. Il suit des cours de théâtre et, en 1976, il rejoint le Lyric Theatre, Belfast (en), puis en 1978, rejoint l' Abbey Theatre de Dublin. Il fait ses débuts au cinéma en 1979 avec le film Christiana de Ken Anderson, un film éducatif religieux
Il habite aux États-Unis depuis 1987, a été naturalisé américain en 2009 et possède donc les nationalités britannique et américaine. Lors de la promotion du film Taken, Liam Neeson a affirmé qu'il était professeur dans un collège avant de se lancer dans le cinéma, mais il a très vite arrêté ce métier, car il ne parvenait pas à tenir une classe. Il racontera dans une interview avoir dû frapper un élève de 15 ans l'ayant menacé d'un couteau, et cessé d'exercer par la suite.
Il est veuf de l'actrice Natasha Richardson (fille de l'actrice Vanessa Redgrave et du réalisateur Tony Richardson), qu'il a rencontrée en jouant la pièce de théâtre Anna Christie en 1993. Il l'a épousée en 1994 et a eu deux fils, Michael Richard né en 1995 et Daniel Jack, en 1996. Natasha Richardson est morte des suites d'un accident de ski à Mont-Tremblant, au Québec, le 18 mars 2009
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