Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
30.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Edmond Maire, né le 24 janvier 1931 à Épinay-sur-Seine (Seine) et mort le 1er octobre 2017 à Paris 20e, est un syndicaliste français, secrétaire général de la Confédération française démocratique du travail de 1971 à 1988.
Edmond Maire, né le 24 janvier 1931, est le fils de J
ulien Maire, cheminot, et de Marie-Thérèse Conchou. Après des études au lycée Jacques-Decour à Paris, il prend des cours du soir de chimie au Conservatoire national des arts et métiers de Paris. Il fait carrière à la Compagnie des Peintures Valentine (de 1949 à 1954), puis devient technicien chimiste au Centre de recherches de Pechiney à Aubervilliers jusqu'en 1970.
À partir de 1958, il est responsable syndical CFTC dans les industries chimiques. Il devient secrétaire général du Syndicat parisien des industries chimiques (STIC) avant de devenir celui de la Fédération des industries chimiques (FIC).
En 1964, il reste dans ce qui devient la CFDT, après la « déconfessionalisation » de la CFTC.
En 1971, Edmond Maire est élu secrétaire général de la CFDT. Il restera l'un des dirigeants ayant le plus marqué l'histoire de la centrale syndicale. Après Mai 68, la CFDT prendra comme objectif l'autogestion des entreprises, contrôlées par leur personnel, qui sera repris par le Parti socialiste ; à partir de 1978, après l'échec de l'Union de la gauche aux élections législatives de 1978, Maire décidera un « recentrage » de la centrale syndicale vers la défense des salariés en abandonnant beaucoup de son idéologie d'origine. En 1980, il rompt avec André Gorz dans des articles qu'il publie dans Le Monde. La même année, il apporte un soutien immédiat et constant à Lech Wałęsa et au syndicat libre polonais, Solidarność, ce qui accentue sa rupture avec la CGT. Proche de Michel Rocard, il est à l'origine de la « Deuxième gauche », plus proche des réalités économiques[non neutre], fidèle à la construction européenne, que ses adversaires qualifiaient de « Gauche américaine ». Il laisse sa place à Jean Kaspar en 1988.
Par la suite, Edmond Maire se reconvertit dans le tourisme social en étant président de VVF (Villages Vacances Familles, qui deviendra Belambra Clubs après avoir été privatisé en juillet 2006) puis dirige la société d’investissement solidaire France Active (association d’insertion et d’aide à la création d’entreprise).
Le 7 juillet 2016, Edmond Maire prononce l'éloge funèbre de l'ancien Premier ministre, Michel Rocard, dans la cour d'honneur de l'hôtel des Invalides.
Vie privée
Edmond Maire se marie le 4 juin 1954 à Raymonde Le Goff, avec qui il a trois enfants, Roland, Yves et Jacques, diplomate et homme politique
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Le roi Charles II d'Angleterre, v. 1661–1662, avec sa robe parlementaire,
comme il l'aurait vêtu à l'ouverture des sessions du Parlement Cavalier.
Le Parlement cavalier (Cavalier Parliament) d'Angleterre a duré du 8 mai 1661 jusqu'au 24 janvier 1679. Il est le plus long des parlements anglais, qui a duré près de 18 ans du règne d'un quart de siècle de Charles II d'Angleterre. Comme son prédécesseur, le Parlement de la Convention, il était en majorité royaliste et est également connu sous le nom de Parlement des retraités pour les nombreuses pensions accordées aux adhérents du roi
https://fr.wikipedia.org/wiki/Parlement_cavalier
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Écho ou La nymphe Écho
1874
97,8 X 66,7
Huile
|
Portrait de la comtesse de Keller
nee Maria Riznich
Marquise de Saint-Yves d'Alveydre
1873
99 X 73
Huile
|
Alexandre Cabanel, né le 28 septembre 1823 à Montpellier et mort le 23 janvier1889 à Paris 8e, est un artiste peintre français, considéré comme l'un des grands peintres académique du Second Empire, dont il est l'un des artistes les plus admirés.
« De tous les peintres académistes, Cabanel fut à la fois le plus adulé du public et le plus critiqué »
— Jean Nougaret, Académie des sciences et lettres de Montpellier.
Alexandre Cabanel, vers 1865, Paris, Bibliothèque nationale de France.
Fils d'un modeste menuisier, Alexandre Cabanel commence son apprentissage à l’école des beaux-arts de Montpellier dans la classe de Charles Matet conservateur du musée Fabr. Doté d'une bourse, il s'installe à Paris en 1839.
Il entre en 1840 à l'École des beaux-arts de Paris où il est l'élève de François-Édouard Picot.
Après deux échecs, Cincinnatus recevant les ambassadeurs de Rome en 1843 et Le Christ au Jardin des Oliviers en 1844, il est lauréat d'un second prix de Rome en 1845 et pensionnaire de la villa Médicis jusqu'en 1850.
À Montpellier, il réalise les portraits d'un certain nombre de membres de familles fortunées comme la famille Marès. À la fois peintre d'histoire et peintre de genre, il évolue au fil des années vers des thèmes romantiques, telle Albaydé, en 1848, inspirée par Les Orientales de Victor Hugo publié en 1829.
Il reçoit les insignes de chevalier de la Légion d'honneur en 1855.
La célébrité lui vient avec la Naissance de Vénus exposée au Salon de 1863 qui est immédiatement achetée par Napoléon III pour sa collection personnelle et qui entre au musée du Luxembourg en 1881 (le tableau est conservé à Paris au musée d'Orsay). Il passe un contrat avec la maison Goupil pour la commercialisation de reproductions en gravure de la Naissance de Vénus.
En 1863, Cabanel est élu membre de l'Académie des beaux-arts au fauteuil X.
En janvier 1864, il est nommé professeur-chef d'atelier de peinture à l'École des beaux-arts de Paris et promu au rang d’officier de la Légion d'honneur.
Lors de l'Exposition universelle de 1867, il est décoré de la croix de chevalier de première classe de l'ordre du Mérite de Saint-Michel de Bavière à la suite de son Paradis perdu commandé pour le Maximilianeum de Munich par Louis II de Bavière.
Entre 1868 et 1888, il est dix-sept fois membre du jury du Salon, dont les années 1869, 1873, 1875, 1876, 1877, 1878, 1881.
Il reçoit la médaille d'honneur du Salon en 1865, pour le Portrait de l'Empereur, ainsi qu'en 1867 et en 1878.
Ses œuvres sont recherchées par les célébrités européennes et les collectionneurs américains qui lui commandent leurs portraits.
En tant que peintre officiel et membre du jury, où il fait preuve d'une farouche opposition à l'égard de toute tendance novatrice, Cabanel est régulièrement critiqué et mis en opposition avec les naturalistes et les impressionnistes, en particulier avec Édouard Manet dont Le Déjeuner sur l'herbe, alors intitulé Le Bain, puis La Partie carrée, avait été refusé au Salon de 1863, alors que Cabanel triomphait avec sa Naissance de Vénus. Il est régulièrement brocardé par Émile Zola ou Joris-Karl Huysmans.
Cependant, il intervient en 1881 lors de la présentation du portrait de Pertuiset, Le chasseur de lions d'Édouard Manet et défend celui-ci en s'écriant « Messieurs, il n’y en a pas un parmi nous qui soit fichu de faire une tête comme ça en plein air ! »
Il est promu au rang de commandeur de la Légion d'honneur en 1884 et est élu associé de l'Académie Royale de Belgique le 6 janvier 1887
.
Ses obsèques ont lieu à Paris le 26 janvier 1889 puis son corps est transporté à Montpellier au cimetière Saint-Lazare où il est inhumé le 28 janvier 1889. Un monument est érigé en 1892 par l'architecte Jean Camille Formigé orné d'un buste en marbre de Paul Dubois et une sculpture, Regret, d'Antonin Mercié.
Une rue porte son nom à Paris, la rue Alexandre-Cabanel dans le 15e arrondissement, à Montpellier, à Béziers ainsi qu'à Toulon.
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Conférence de Casablanca (1943) : le général Giraud, le président Roosevelt, le général de Gaulle et le Premier ministre Churchill.
La conférence de Casablanca ou conférence d'Anfa est une conférence interalliée qui s'est tenue du 14 au 24 janvier 1943 à l'hôtel Anfa de Casablanca au Maroc afin de préparer la stratégie des Alliés après la Seconde Guerre mondiale.
Cette conférence est décidée par le président des États-Unis, Franklin Roosevelt et le Premier ministre britannique, Winston Churchill. Ils invitent à se joindre à eux Joseph Staline, qui n'avait pas la possibilité de venir si loin à la suite de la bataille de Stalingrad, et les généraux français Henri Giraud proposé par les États-Unis comme chef de la France Libre et Charles de Gaulle, qui joue déjà ce rôle depuis 1940 et soutenu par la Grande Bretagne et l'URSS, qui ne prennent aucune part aux discussions d'ordre militaire.
Des décisions furent prises à cette conférence sur l'invasion de la Sicile et du reste de l'Italie et l'aide à apporter à l'URSS. Le but de cette conférence était également de réconcilier le général de Gaulle et le général Giraud.
De Gaulle, président du Comité national français de Londres, organe dirigeant de la France libre, avait été le premier à proposer à Giraud une rencontre, après la mort de l'amiral Darlan, sans d'ailleurs recevoir de réponse.
Toutefois, il commença par refuser d'aller à Casablanca. Churchill, qui ne voulait contrarier Roosevelt en aucun cas, menaça alors de Gaulle de paralyser les activités françaises libres en Grande-Bretagne, d'où de Gaulle se tenait en liaison avec la résistance française, et de ne plus reconnaître que Giraud comme chef des Français au combat.
La difficile confrontation : Giraud-de Gaulle
De Gaulle céda donc et vint à Casablanca. Sur insistance de Churchill, il y rencontra Giraud dans une atmosphère particulièrement tendue. Pour motiver de Gaulle, Churchill lui déclara, en français : « Mon Général, si vous m'obstaclerez, je vous liquiderai ! ». Une fois de Gaulle parti, Churchill, parlant de lui, déclara à lord Moran (en) : « Son pays a abandonné la lutte, lui-même n'est qu'un réfugié, et si nous lui retirons notre appui, c'est un homme fini. Eh bien, regardez-le ! non mais regardez-le ! On croirait Staline avec deux cents divisions derrière lui. ».
De Gaulle s'indigna notamment que Giraud ait accepté que la garde de la conférence soit confiée à des troupes exclusivement américaines, et il obtint qu'un détachement français de l'armée d'Afrique leur soit associé avant de commencer tout débat.
Les deux hommes d'État anglo-saxons qui soutenaient ostensiblement Giraud exhortèrent les deux généraux français à l'union, ce qui aurait dû se traduire, selon leurs vœux, par la subordination du général de Gaulle à Giraud, qui était plus ancien dans le grade et commandait bien plus d'hommes.
Aucun accord ne put être trouvé sur place même si de Gaulle, pour faire plaisir à Roosevelt, accepta de serrer la main de Giraud devant les photographes (les deux généraux durent répéter plusieurs fois ce geste, pour que les photographes parviennent à le reproduire, tant leurs poignées de mains furent brèves).
Cependant, Roosevelt, qui s'était vivement fait critiquer par l'opinion américaine et les médias des États-Unis lorsqu'il avait maintenu Darlan au pouvoir en Afrique du Nord par ce qu'il avait appelé des « expédients militaires » (Military expediencies), avait besoin de cette poignée de main pour faire oublier le maintien en Afrique française du Nord des lois vichystes par l'administration de Giraud, auquel il donnait son appui.
Les accords conclus par les deux « Grands »
Les Alliés s'accordent sur ces termes :
Exiger la reddition sans condition des puissances de l'Axe.
Poursuivre leur aide à l'Union soviétique.
Envahir la Sicile, puis le reste de l'Italie, dès la fin des combats de Tunisie.
Direction conjointe par Giraud et de Gaulle de l'ensemble des forces françaises en guerre (il semble qu'à cet effet, Giraud a été demandé la libération des chefs de la résistance, arrêtés sur son ordre le 30 décembre 1942, et une certaine libéralisation de son régime).
Roosevelt présenta les résultats de la conférence au peuple américain dans un discours radiodiffusé du 12 février 1943.
La conférence de Casablanca fut suivie des conférences du Caire, de Téhéran, de Yalta et de Potsdam.
La sécurité de cette conférence fut assurée par l'armée de George Patton avec barbelés et défense antiaérienne. Selon Peter Tompkins (dans Le Meurtre de l'amiral Darlan), les services secrets allemands avaient été informés par des espions espagnols que Churchill se préparait à rencontrer Roosevelt à Casablanca, mais ils donnèrent une traduction littérale du mot Casablanca soit Maison-Blanche, donc hors de portée des bombes allemandes.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Conf%C3%A9rence_de_Casablanca
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Décès
1965 : Winston Churchill, homme politique, militaire et écrivain britannique, Premier ministre du Royaume-Uni de 1940 à 1945 et de 1951 à 1955, prix Nobel de littérature 1953 (° 30 novembre 1874).
2003 : Henri Krasucki, syndicaliste français (° 2 septembre 1924).
2009 : Gérard Blanc, chanteur français (° 8 décembre 1947).
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Naissances
1928 : Michel Serrault, acteur français († 29 juillet 2007).
1950 : Daniel Auteuil, homme de théâtre et de cinéma français.
1953 : Moon Jae-in, avocat et homme politique sud-coréen élu président de la Corée du Sud en 2017.
1963 : Muriel Moreno (Muriel Laporte, dite), chanteuse française, membre du groupe Niagara.
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