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Dernière mise à jour :
27.11.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
L’Airbus A330-743L Beluga XL est un avion-cargo du groupe aéronautique Airbus. Il doit son nom à sa forme particulière, ressemblant à celle du cétacé (comme celle de l'A300-600ST Beluga dont il est le successeur). Dérivé de l'avion de ligne cargo A330-200F, le Beluga XL peut emporter une charge de plus de 53 tonnes sur une distance maximale de 4 000 km : sa soute est plus longue de 6 m et plus large de 1 m que l'A300-600ST Beluga.
Six exemplaires du Beluga XL sont prévus. Ils doivent remplacer progressivement entre 2019 et 2025 les anciens Beluga d'Airbus Transport International pour le transport de sections d'appareils Airbus entre les divers sites de production en Europe.
Le programme a été lancé en novembre 2014 et vise la construction de six appareils destinés à accompagner la progression du nombre d'appareils Airbus commerciaux produits dans les usines européennes du groupe. Avec une capacité de 30 % supérieure à celle des cinq Belugas existants, ils constitueront une flotte mixte pendant au moins cinq ans avec ceux-ci (la flotte actuelle de Beluga a volé plus de 8 000 heures en 2017 mais elle n'en est qu'à sa demi-vie, ils pourront ainsi être réutilisés par d'autres opérateurs civils ou militaires).
Il est capable de transporter deux ailes d'A350 XWB au lieu d'une pour son prédécesseur, grâce à une soute plus large et plus longue ; ses autres caractéristiques techniques ont été modifiées de telle sorte qu'il puisse emporter une charge utile plus lourde, sur une plus longue distance.
Le fuselage inférieur de l'avion est assemblé sur la ligne d'assemblage final de l'A330, puis transféré dans une autre installation pour le processus d'assemblage du fuselage supérieur et du fuselage avant. La première section du premier Beluga XL est arrivée à Toulouse en novembre 2016 et l'assemblage final a commencé le 8 décembre 2016. Construit par Stelia Aerospace, sa section de nez a été livrée en mai 2017, celle du fuselage en juillet 2017 et l'intégration des systèmes, mécanique et électrique était terminé au début de l'année 2018. Il est sorti de la ligne d'assemblage le 4 janvier 2018, non peint et sans moteur
La peinture a été choisie par les employés qui ont été 21 000 à voter pour l'un des six designs proposés. C'est le Smiling Beluga XL qui a remporté le concours avec plus de 40% des votes. Cette livrée, qui présente deux yeux et une large bouche, rappelle le surnom donné à l'avion en renforçant sa ressemblance avec le béluga.
Son vol inaugural a eu lieu le 19 juillet 2018 depuis l'aéroport de Toulouse-Blagnac (LFBO) précédant 10 mois de tests en vol pendant au moins 1 000 heures, nécessaires pour sa campagne de certification et une entrée en service alors prévu en 2019. Le deuxième avion est entré en ligne d'assemblage en décembre 2017 et les trois autres sont prévus pour être assemblés au rythme d'un chaque année.
Le 9 avril 2019, Airbus annonce la production d'un sixième appareil.
Il entre en service le 13 janvier 2020
Caractéristiques techniques
Version | Airbus Beluga XL | Airbus Beluga |
---|---|---|
Dérivé de | A330-200F | Airbus A300-600R |
Équipage | 2 pilotes | 2 pilotes
|
Longueur | 63,10 m | 56,15 m |
Envergure | 60,30 m | 44,84 m |
Hauteur | 18,90 m | 17,24 m |
Largeur du fuselage | 8,80 m | 3,95 m/7,40 m |
Largeur de la cabine | 4 m | 3,7 m |
Empattement | 20 m | |
Voie du train d'atterrissage | 7,59 m | |
Surface alaire | 361,6 m2 | 258,8 m2 |
Masse à vide | 125 tonnes | 90 tonnes |
Masse maximale au décollage | 227 tonnes | 155 tonnes |
Masse maximale à l'atterrissage | 187 tonnes | 140 tonnes |
Charge max. au décollage | 53 tonnes | 47 tonnes |
Vitesse de croisière | Mach 0,69 | Mach 0,69 |
Autonomie | 4 074 km avec 53 tonnes | 2 779 km avec 40 tonnes 4 632 km avec 26 tonnes |
Réacteurs | 2 x Rolls-Royce Trent 700 | 2 x CF6-80C2A8 |
Poussée | 32 250 kgf (300 à 316kN) | 23 800 kgf (232 à 275 kN) |
Flotte
Immatriculation | Type | Numéro de série | 1er vol | Mise en service |
---|---|---|---|---|
F-GXLG | A330-743L | 1824 | 19 juillet 2018 | 13 janvier 2020 |
F-GXLH | A330-743L | 1853 | 15 avril 2019 | 13 janvier 2020 |
F-GXLI | A330-743L | 1930 | ||
F-GXLJ | A330-743L | 1985 |
Contraintes d'exploitation
Certains aéroports font état de la nécessité d'un ajustement pour accueillir le nouvel avion-cargo d'Airbus. En plus de l’aménagement de certaines pistes (exemple de l'aéroport de Gron à Saint-Nazaire), les hangars ainsi que les sites de stockage de marchandises verront leur taille réévaluée (exemple avec l’aéroport d’Hawarden au Pays de Galles)
|
Dernier voyage pour l'A380 : émotion au passage de l'ultime convoi du géant d'Airbus
Dans la nuit du mercredi 17 juin au jeudi 18 juin, les Gersois et les Haut-garonnais ont assisté au convoi des deux dernières pièces de l'Airbus A380 qui seront assemblées à Toulouse. Les tronçons, fabriqués à Saint-Nazaire, étaient acheminés depuis 2004 jusqu'à la Ville rose.
C'était un manège auquel de nombreux riverains s'étaient habitués : un trajet régulier et une idylle qui avait commencé le 16 avril 2004. Ce mercredi 17 juin, le tronçon central et la pointe avant du géant des airs, l'Airbus A380, ont fait un baroud d'honneur, par la route, de Langon (Gironde) à Toulouse, en passant, comme de coutume, dans les ruelles de Gimont (Gers) et de Lévignac (Haute-Garonne). C'est dans les usines de Blagnac que ces deux pièces seront prochainement assemblées.
Le spectacle a interpellé plusieurs habitants qui n'ont pas hésité à s'emparer de leurs appareils photos et de leurs téléphones portables pour immortaliser le passage de ces deux tronçons, hauts de 9,50 mètres et larges de 8 mètres.
Dans les rangs, des "Airbusiens", des ouvriers et des techniciens de la chaîne de production de Saint-Nazaire, venus assister eux aussi au spectacle, émus.
Le Beluga XL prend le flambeau
Sur le papier, l'ultime voyage par la route était programmé entre le lundi 22 et le jeudi 25 juin selon le planning de l'itinéraire à grand gabarit d'Airbus. L'entreprise toulousaine a finalement organisé le dernier convoi de l'A380 ce mercredi.
Les pièces du gros-porteur ont quitté les travées des usines de Montoir-de-Bretagne (Loire-Atlantique), vendredi 5 juin dernier.
Elles ont par la suite été acheminées par la route vers le port de Saint-Nazaire, avant d'être transportées à bord du bateau "Ville de Bordeaux" jusqu'à Pauillac en Gironde.
Les tronçons ont finalement traversé la Garonne jusqu'à Langon, avant de partir en direction de la Ville rose.
Selon le planning d'Airbus, l'assemblage final du dernier A 380 pourrait avoir lieu au second semestre 2020 et en 2021. Ce dernier exemplaire doit être livré en 2021 : pour l'heure, le nom de la compagnie européenne qui en sera l'heureux propriétaire reste inconnu.
En ce qui concerne les convois, les habitués de l'A380 devront désormais se contenter de voir passer dans les prochaines semaines les tronçons d'un autre appareil Airbus : le Beluga XL.
EN DIRECT - 80 ans de l'Appel du 18-Juin : Emmanuel Macron accueilli par le prince Charles à Londres
HISTOIRE - Le chef de l'Etat rend hommage ce jeudi au général de Gaulle : après les Invalides en milieu de matinée puis la traditionnelle cérémonie au Mont-Valérien, il est arrivé en milieu d'après-midi à Londres, là où le chef de la France Libre a prononcé son célèbre discours il y a 80 ans jour pour jour. A suivre en direct sur LCI et LCI.fr.
Il s'agit de son premier déplacement à l'étranger depuis la crise sanitaire. Après Paris dans la matinée, Emmanuel Macron célèbre ce jeudi après-midi à Londres le 80e anniversaire de l'Appel du 18-Juin de Charles de Gaulle.
Cette journée, que vous pourrez suivre en direct sur LCI et LCI.fr, placée sous le signe de l'amitié franco-britannique commencera à 10h aux Invalides pour Emmanuel Macron, avec une visite du Musée de la Libération. Il y rencontrera Hubert Germain, 99 ans, l'un des quatre derniers Compagnons de la Libération, qui est pensionnaire aux Invalides.
Le chef de l'Etat assistera ensuite à 11h30 à la traditionnelle cérémonie au mémorial du Mont Valérien (Hauts-de-Seine), principal lieu d'exécution de résistants et d'otages pendant la Seconde Guerre mondiale. C'est ici que Charles de Gaulle, alors président, avait fait ériger le Mémorial de la France combattante. Emmanuel Macron y sera aux côtés notamment de son prédécesseur Nicolas Sarkozy, mais sans public, pour cause de précaution sanitaire. L'ancien président François Hollande ne sera pas non plus présent selon BFMTV. Le locataire de l'Elysée lira enfin le célèbre discours du général avant que ne soit interprété la Marseillaise et le Chant des Partisans. La patrouille de France et les Red Arrows de la Royal Air Force survoleront le Mont Valérien et la statue de Winston Churchill devant le Petit Palais.
La Légion d'honneur remise à la ville de Londres
Avec une délégation restreinte, Emmanuel Macron s'envolera ensuite à 14h pour Londres -où l'obligation de quarantaine pour les visiteurs étrangers exempte les visites diplomatiques- pour rendre hommage à la ville qui fut la capitale de la France Libre. Il s'agira de son premier déplacement à l'étranger depuis sa visite à Naples le 27 février pour un sommet italo-français. En présence du prince Charles, il remettra à 15h45 la Légion d'honneur à la ville de Londres, la septième ainsi décorée après Alger, Belgrade, Brazzaville, Liège, Luxembourg et Volgograd.
Cette visite intervient alors que Londres et Bruxelles essaient de débloquer les négociations d'un accord sur la relation post-Brexit entre le Royaume-Uni et l'Union européenne après la fin de la période de transition le 31 décembre. Emmanuel Macron sera notamment reçu à Clarence House, résidence du prince Charles. Il terminera sa visite par un entretien avec le Premier ministre Boris Johnson, où les négociations du Brexit devraient être au menu.
Ce déplacement sera pour le chef de l'Etat le deuxième événement dans le cadre de "l'année de Gaulle" après la célébration, le 17 mai, du 80e anniversaire de la bataille de Montcornet (Aisne, vidéo ci-dessous) et avant le 50e anniversaire de la mort du général à Colombey-les-Deux-Eglises le 9 novembre.
Emmanuel Macron n'est pas le seul à se revendiquer du général de Gaulle, en particulier comme le défenseur de la "souveraineté" de la France, un mot qu'emploie désormais toute la classe politique. Jusqu'à Marine Le Pen, la présidente du Rassemblement national, dont le parti a pourtant longtemps combattu le général au nom de l'Algérie française, qui s'est rendue mercredi sur l'île de Sein pour commémorer l'appel, un jour à l'avance. Citant en exemple sa défense de l'indépendance de la France, la candidate déjà déclarée à la présidentielle de 2022 estime désormais que le RN est le véritable héritier des valeurs de De Gaulle.
Les autres formations de droite eux aussi se revendiquent de De Gaulle, à commencer par LR pour qui le général est "l'ADN de notre famille", a expliqué le patron du parti Christian Jacob, qui ira déposer une gerbe au Mont Valérien. Et à gauche, on salue en de Gaulle un homme qui "n'a jamais adhéré à la main invisible du marché, et préférait la planification", selon l'Insoumis Jean-Luc Mélenchon.
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Conspué par les policiers depuis plusieurs jours, Christophe Castaner semble avoir également perdu le soutien de son président.
Vit-on les dernières semaines de Christophe Castaner à la tête du ministère de l’Intérieur ? Rarement apprécié au cours de son mandat, le « premier flic de France » s’est également mis à dos tous les effectifs de police et de gendarmerie de France ces derniers jours. En cause, ses récentes annonces sur l’interdiction de la clé d’étranglement et les « soupçons avérés » de racisme lors des opérations de police. Sur la sellette, le ministre de l’Intérieur ne convainc plus grand monde, pas même le président de la République, dont il est pourtant proche.
Castaner désavoué par son propre numéro 2
En effet, d’après Le Canard enchaîné, Emmanuel Macron aurait confié en privé la semaine dernière que « Casta, ça ne le fait pas ». De fait, Christophe Castaner a même été lâché par son fidèle acolyte Laurent Nunez, la semaine dernière. Alors que le locataire de Beauvau faisait des concessions aux antiracistes, le numéro 2 déclarait : « Nous ne laisserons pas passer la stigmatisation de la police et les attaques portées à la police. En tout cas, croyez bien vu mon engagement, vu ce qu’a été mon engagement pour la sécurité des Français, j’y veille personnellement ». Un désaveu discret mais qui fragilise un peu plus la position du ministre. Pour autant, Christophe Castaner n’est pas encore parti, selon Le Canard enchaîné. « Couper la tête de Castaner, ce serait donner une victoire trop facile aux syndicats policiers », confie ainsi un conseiller de l’Elysée à l’hebdomadaire.
Des noms de successeur circulent néanmoins depuis plusieurs semaines, d’après Le Figaro. Celui qui ressort le plus souvent est Frédéric Péchenard, l’ancien directeur de la police nationale et conseiller régional LR d’Île-de-France. Seulement, « c’est quand même un homme de Sarko », tempère le même conseiller auprès du Canard enchaîné. Les noms de Didier Guillaume, actuel ministre de l’Agriculture ou encore Jean Castex, en charge du déconfinement, sont également cités. Tout comme ceux des ministre et secrétaire d’Etat Sébastien Lecornu et Gabriel Attal. Et pourquoi pas Laurent Nunez, qui prend de plus en plus ses distances avec son patron ? « Il a beaucoup de qualités, mais, pour l’Intérieur, il faut un politique », tranche le conseiller.
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Analyse. L’inarrêtable déclin de la natalité italienne
Publié le 16/06/2020 - 16:20
Pour la septième année consécutive, la péninsule a établi un nouveau record négatif de naissances. Une tendance qui va être aggravée par le coronavirus et la crise qui va suivre. Mais sans une démographie dynamique, l’économie du pays est destinée à rester à l’arrêt.
C’est une chute continue qui paraît inéluctable. En 2019, annonce le site de Limes, “l’Italie a enregistré 435 000 naissances”. En 2018, les nouveau-nés étaient 439 000 et, un an plus tôt, en 2017, ils étaient 458 000. À titre de comparaison, la France, malgré une natalité en baisse, a enregistré 753 000 nouvelles naissances en 2019, et ce alors que les populations des deux nations sont plus ou moins comparables. “C’est la septième année consécutive que l’Italie établit un nouveau record négatif de naissances”, fait remarquer la revue géopolitique transalpine, tentant d’analyser les raisons de ce déclin qui semble inarrêtable.
Comme l’explique Limes, une nette tendance à la baisse des naissances a été observée en Italie à partir de 2009. “C’est la conséquence de la crise économique, qui est arrivée concomitamment à des transformations profondes, liées à la diminution de la population en âge de procréer”. Résultat, “en un peu plus d’une décennie, le nombre de nouveau-nés a été divisé par quatre”.
L’Italie est donc en train d’affronter un bouleversement démographique historique, et, mauvaise nouvelle, la tendance n’est pas près de s’inverser, selon Limes :
Pour détailler les conséquences attendues d’un climat de peur liée à la situation sanitaire globale, la revue de géopolitique parle d’un “effet Tchernobyl”. “Les statistiques de 1987 témoignent que, neuf mois après l’incident de la centrale nucléaire, les naissances en Italie avaient subi une chute bien visible”, observe Limes.
Mais, au-delà de cet effet qui pourrait être passager, le média italien s’inquiète bien plus des conséquences que risque d’avoir la crise économique sur les naissances. En effet, en observant les tendances des années précédentes, Limes esquisse une prévision des chiffres dans les années à venir en s’appuyant sur “un modèle de régression linéaire qui prévoit 1 500 nouveau-nés en moins pour chaque point de chômage en plus”. Résultat : “en 2020 on passerait de 435 000 naissances à 426 000, pour arriver à 396 000 nouveau-nés en 2021 dans l’hypothèse la plus négative”.
Un scénario “à la grecque”, en somme, pays qui au plus fort de la crise économique “a vu le nombre de naissances diminuer de 20,4 %, entre 2008 et 2013, tandis que le taux de chômage augmentait lui de presque 20 %”, indique Limes.
Si le cas grec représente le spectre à éviter à tout prix, l’Italie peut tourner son regard vers l’exemple vertueux représenté par l’Allemagne, note Il Sole-24 Ore dans un autre article consacré au thème de la natalité :
Conclusion, malgré le contexte morose actuel, l’Italie doit essayer d’imiter l’Allemagne, car “la démographie est extrêmement importante, elle influence l’économie, le marché du travail et la santé publique. Il faut intervenir maintenant, s’insurge le quotidien milanais, car un pays qui a aboli les enfants ne peut pas espérer renaître”.
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