Statistiques

Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour : 27.11.2024
18362 articles


Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1153)
· A à Z : Sommaire (355)
· Mannequin de charme (945)
· Musique (399)
· Monde : France (2773)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (265)
· Cinéma : Films à classer (153)
· Calendrier : Naissances (246)
· Mannequin (210)

Rechercher
Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "dessinsagogo55" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Thèmes

air amour annonce art article background base belle blogs center centerblog centre

Articles les plus lus

· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)

· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara

Voir plus 

Derniers commentaires

Naissances et taux de natalité en Italie

Publié à 14:50 par dessinsagogo55 Tags : google sur france vie center enfants femmes
Naissances et taux de natalité en Italie

Italie : le nombre de naissances à un niveau historiquement bas en 2018

 

Le taux de natalité chute ainsi à 7,3 bébés pour mille habitants en 2018, contre 7,6 en 2017.

 

 

 

L’Italie a connu en 2018 un nouveau plus bas historique des naissances depuis l’unité italienne (au XIXème siècle), avec quelque 440.000 nouveaux-nés, environ 20.000 de moins que l’année précédente, a annoncé lundi 30 décembre l’institut statistique italien Istat.

Le taux de natalité chute ainsi à 7,3 bébés pour mille habitants en 2018, contre 7,6 en 2017.

 

Les mères ont en moyenne 1,3 enfant (en 2017-2018), autre indice du vieillissement de la population.

 

Elles se trouvent ainsi dans le bas du panier de la fécondité des pays de l’UE, au même rang que Chypre, et juste devant Malte (1,26 enfant) et derrière l’Espagne (1,31 enfants), la France (1,9 enfant) restant le plus prolifique.

 

Un tiers des Italiens vivent en célibataires, un phénomène qui s’est amplifié de 10 points au cours des vingt dernières années.

 

Et les familles d’au moins quatre personnes ne représentent que 20,4% du total des familles italiennes.

 

Dans le même temps, l’espérance de vie est en augmentation en Italie : 80,8 ans pour les hommes et 85,2 ans pour les femmes en 2018.

Sa note à l'Elysée révélée, G. Le Gendre dans la tourmente

Publié à 13:08 par dessinsagogo55 Tags : photo france livre sur center moi chez article création
Sa note à l'Elysée révélée, G. Le Gendre dans la tourmente
Sa note à l'Elysée révélée, Gilles Le Gendre dans la tourmente

 
 
Par Laure Equy — 6 juin 2020 à 09:29
 
 
Les députés LREM ne décolèrent pas contre l'initiative de leur président de groupe, déjà fragilisé.

Le supplice continue pour le groupe LREM. «C’est vrai que cette semaine, on n’avait pas encore eu de nouveau groupe, ni de création de courant, ni de plainte pour harcèlement contre un député», rit jaune l’un d’entre eux. L’article publié, ce vendredi, par Marianne, a de nouveau plongé le groupe dans la consternation. Et fait monter la colère contre son chef de file. L’hebdomadaire révèle des notes adressées fin mai à Emmanuel Macron par Gilles Le Gendre qui lui livre ses pistes «sur le casting d’un nouveau gouvernement», en particulier pour remplacer à Matignon un Edouard Philippe à qui il fait plusieurs griefs.

 

De quoi mettre en fusion la boucle Telegram des députés marcheurs : «Soit c’est un fake soit c’est très grave», envoie une élue. «J’hésite entre affligeant et accablant #teampascredible», grince un député tandis qu’une autre s’étrangle : «Je ne peux pas le croire. Si aucun député du groupe n’est crédible qu’en est-il du président de ce même groupe ?» Une remarque citée dans l’article les a particulièrement ulcérés. Pour le poste de Premier ministre, Gille Le Gendre cite entre autres Jean-Yves Le Drian ou Bruno Le Maire mais ne voit «aucun candidat crédible» dans les rangs LREM de l’Assemblée nationale.

 
 

Il parlait seulement de Matignon, assure l’entourage de Gilles Le Gendre, qui, lui, ne veut pas réagir. Celui-ci a toutefois tenté d’éteindre le feu en s’expliquant auprès de ses collègues : «Cet article comporte de nombreuses contre-vérités et interprétations tendancieuses, dont chacun pourra comprendre les intentions politiques, leur a-t-il affirmé sur Telegram. Par ailleurs, comme cela a toujours été le cas, je ne commenterai pas le contenu de mes discussions avec le chef de l’Etat, inhérentes à mes responsabilités de président de groupe. Elles sont privées et, pour ce qui dépend de moi, le demeureront.»

 

«Gilles a accéléré sa sortie»

 

Qui a fait fuiter ses notes ? Cette question turlupine le député de Paris. «Soit il l’a organisé lui-même et c’est suicidaire soit quelqu’un l’a exécuté», suppose un parlementaire. «La fuite est soit à l’entrée, soit à la sortie. Si ça vient de l’Elysée, ça ressemble un peu à une mise à mort», abonde un autre.

 

Le président du groupe majoritaire – un job infernal, d’un avis unanime – a été bien servi en déconvenues, ces dernières semaines. La frustration est montée chez les députés autorisés à venir au compte-gouttes à l’Assemblée nationale pendant le confinement. Puis la création du groupe Ecologie démocratie solidarité, composé de marcheurs et ex-marcheurs déçus a coûté à LREM sa symbolique majorité absolue tandis qu’En commun, un courant, sur le même créneau écolo-social, s’est lancé en interne. Au lendemain d’une houleuse réunion de crise, c’est un autre groupe qui s’est créé à l’initiative de députés Agir, attirant encore une poignée d’élus LREM. «Là, c’est l’estocade», commente un pilier du groupe qui relève la maladresse de l’initiative d’un Le Gendre déjà fragilisé : «Des notes au Président, on en envoie tous mais il faut se souvenir d’où on parle.» «Quand on voit le sens politique de Gilles, tous les pièges qu’on n’a pas vu venir, s’il y a un casting à ne pas faire ce serait bien celui que propose Le Gendre», cingle un autre qui estime que sa position à la tête du groupe «devient intenable». «Vous le voyez accueillir le Premier ministre en réunion de groupe en lui donnant du "Edouard mon cher ami" ? Ce sera pas crédible pour deux balles», ajoute un troisième.

 
 

Avant cela, le patron des députés LREM devra essuyer les reproches de ses troupes, mardi matin, en réunion de groupe. «On est plusieurs à considérer que mardi, il faudra une expression forte pour demander son départ, s’il est encore en fonction, avertit Bruno Questel. Il y avait déjà, depuis un moment, un sujet de crédibilité. Il l’a confirmé.»

 

Depuis quelques jours, l’hypothèse d’un changement à la tête du groupe – via une éventuelle exfiltration de Le Gendre vers le gouvernement – alimente les discussions et certains noms reviennent pour le remplacer. Certains imaginent désormais un intérim jusqu’au second tour des municipales, suivi d’une élection interne. «Gilles a accéléré sa sortie», décrypte une députée. Dans l’entourage du patron du groupe, on se rassure en affirmant que la grogne est circonscrite à ses adversaires habituels. Un autre pilier de la majorité doute, lui, qu’un tel remplacement tombe «au bon moment» et souligne l’issue incertaine : «Cela aurait du sens si le président de la République pouvait imposer quoi que ce soit. Ce n’est pas le cas. Si l’on organise un vote, c’est du sans pilotage, on ne sait absolument pas quel nom peut sortir et cela pourrait être tout aussi effrayant.»

 

Laure Equy
 
 

 

 
Liens externes                                                  
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

Messages racistes de policiers sur Facebook

Publié à 12:29 par dessinsagogo55 Tags : divers google center centerblog sur merci france coup article femmes nature
Messages racistes de policiers sur Facebook
Messages racistes de policiers sur Facebook : Castaner saisit la justice
 
 
Un groupe privé regroupant quelque 8000 membres des forces de l’ordre publiait des messages racistes et sexistes.
 
 
Le site d’information Streetpress a révélé s’être introduit dans un groupe Facebook réservé aux forces de l’ordre. Le site d’information Streetpress a révélé s’être introduit dans un groupe Facebook réservé aux forces de l’ordre. AFP/Anne-Christine Poujoulat
 
 
Le 5 juin 2020 à 15h11, modifié le 6 juin 2020 à 10h36
 

Il avait promis que « chaque faute, chaque excès, chaque mot, y compris des expressions racistes » au sein de la police, ferait l'objet « d'une enquête, d'une décision, d'une sanction. » Christophe Castaner est donc passé des mots aux actes. Ce vendredi, le ministre de l'intérieur a saisi la justice après la révélation, par le site Streetpress, de l'existence d'un groupe Facebook composé de près de 8000 policiers, et sur lequel un grand nombre de commentaires racistes ou sexistes semblent d'évidence tomber sous le coup de la loi.

 

« S'ils sont avérés, ces propos inacceptables sont de nature à porter gravement atteinte à l'honneur de la police et de la gendarmerie nationales », a justifié le ministre. Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire, confiée à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP), pour « injure publique à caractère raciste » et « provocation publique à la haine raciale ».

 

 
 

L'article 40 du code de procédure pénale prévoit en effet que « toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l'exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit », est tenu d'en prévenir le procureur de la République.

 

 

 

Le groupe visé s'intitule « TN Rabiot », soit les deux premières lettres emblématiques des indicatifs utilisés dans la police, suivi de « rabiot », le « rab ». Si le nombre de ses adhérents semblait avoir diminué ces dernières heures, ils étaient initialement près de 8000 à suivre des discussions enflammées, la majorité aux relents particulièrement nauséabonds.

 

Des insultes visant Camelia Jordana

 

Selon Streetpress, le groupe compte majoritairement des policiers, mais est également composé de gendarmes, ainsi que de membres de familles de fonctionnaires. Captures d'écran à l'appui, le site d'information a relevé par exemple les insultes fusant à l'adresse de la chanteuse Camelia Jordana, laquelle avait publiquement évoqué « des hommes et des femmes qui se font massacrer quotidiennement en France (NDLR : par les forces de l'ordre) pour nulle autre raison que leur couleur de peau. » Elle avait également déclaré que « des milliers de personnes », dont elle-même, « ne se sentent pas en sécurité face à un flic. »

 

 

Sur TN Rabiot, elle se voit alors traitée de « sale pute. » « Je lui fais caca dessus et j'étale sur son visage », écrit un fonctionnaire. Plus loin, un montage se voulant satirique semble se réjouir de plusieurs morts violentes mettant en cause des policiers, quand un panneau « danger haute tension » ironise sur le décès de Zyed et Bouna, qui avait précipité les émeutes de 2005.

Créé le 8 décembre 2015, TN Rabiot valide l'inscription de ses membres après que ceux-ci ont décliné leur service de rattachement, et rédigé leurs motivations en jargon « de la boîte. » Il est administré par un policier, Tony W, et une « civile », présidente du collectif libre et indépendant de la police (Clip). Contactée ce vendredi soir, cette dernière n'a pas donné suite.

 

 

De son côté, s'il estime que l'application de l'article 40 est « totalement compréhensible », David Le Bars, patron du syndicat des commissaires de police, appelle « à ce que le racisme soit combattu dans les deux sens. » « Qu'a fait le ministre contre Camelia Jordana qui insulte la police ? », interroge-t-il.

 
Liens externes                                                  
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

Naissances et taux de natalité en Turquie

Publié à 19:52 par dessinsagogo55 Tags : femme femmes sur france chez enfants google center
Naissances et taux de natalité en Turquie
STATS - La natalité turque en quatre données
Par Gabriel Le Moal | Publié à 03:00 | Mis à jour à 03:00
 

 

L’Institut des Statistiques a publié le 17 mai un communiqué sur la natalité en 2018. Les naissances, le taux de fécondité et le taux de natalité ont diminué par rapport à 2017. Explications.

​​​​​​​

 


1 248 847 naissances

 

C’est le nombre de naissances en Turquie en 2018.

Le pays enregistre une diminution des naissances de 3,6% par rapport à l’année précédente.

Les filles représentent 48,7% des naissances, les garçons 51,3%.

 

 

1,99 enfants par femmes

 

Le nombre moyen d’enfants par femme en âge de procréer est de 1,99 sur l’ensemble du pays.

 

Approximativement, une femme donne naissance à 1,99 enfant vivant en 2018. Sur l’année précédente, ce chiffre s’élevait à 2,07 enfants par femme.

 

Ce taux de fécondité est inférieur au niveau de remplacement de la population, estimé comme dans la plupart des pays développés, à 2,10 enfants.

 

À l’échelle locale, les provinces qui enregistrent le plus haut taux de fécondité sont situées à l’est du pays : Şanlıurfa, avec 4,13 enfants par femmes et Ağrı, avec 3,26 enfants. La province de Gümüşhane, située près de la ville de Trabzon, au nord du pays, arrive à la fin du classement avec 1,3 enfants par femme.

 

 

25-29 ans

 

C’est entre 25 et 29 ans que les femmes ont le plus d’enfants. En effet, lorsqu’il est observé par tranches d’âge, le taux de fécondité atteint son maximum dans la tranche 25-29 ans.

On compte 128 naissances pour 1000 femmes âgées de 25 à 29 ans.

 

Cette classification dévoile une baisse du taux de fécondité chez les adolescentes : entre 2013 et 2018, pour 1000 femmes âgées de 15 à 19 ans, le taux a diminué à 34%, passant de 29 à 19 enfants.

 

 

15,3 pour 100

 

Le taux de natalité du pays s’élève à 15,3 pour 1000 personnes. En 2017, sur une population de 1000 personnes, 16,1 enfants sont nés, soit 0,8 enfants de plus qu’en 2018.

 

La province de Şanlıurfa arrive en tête du classement avec un taux de natalité de 31,3 pour 1000, suivie par Şırnak, avec 27,2 pour 1000. C’est la province d’Edirne, à l’ouest, qui atteint le taux le plus faible, avec seulement 9,5 naissances pour 1000 habitants.

 

D'après l'INSEE, l’année dernière en France, le nombre de naissance était d’environ 758 000, avec un indicateur conjoncturel de fécondité s’établissant à 1,87 enfant par femme. 

 

 

 

 

 

Naissances et taux de natalité en Chine

Publié à 19:05 par dessinsagogo55 Tags : google article vie center enfants couples art
Naissances et taux de natalité en Chine
La Chine connaît son taux de natalité le plus bas depuis 1949
 
La fin de la politique de «l’enfant unique» n’a pas eu les effets attendus, même si la population dépasse pour la première fois le 1,4 milliard d’habitants.
 
 
 
Le 17 janvier 2020 à 12h58

Ce sont des chiffres qui accentuent les inquiétudes quant au vieillissement de la population. Le taux de natalité de la Chine a chuté l'an passé à son plus bas niveau depuis la fondation de la République populaire en 1949, indique ce vendredi le gouvernement.

 

En 2019, le taux de natalité s'est établi à seulement 10,48 naissances pour 1 000 habitants, selon le Bureau national des statistiques (BNS). Le nombre de naissances chute depuis trois ans. Un total de 14,65 millions de bébés sont nés en 2019, après 15,23 millions en 2018 et 17,23 millions en 2017.

 
 

Afin d'éviter une crise démographique, le pays a assoupli en 2016 sa politique de limitation des naissances (dite de « l'enfant unique ») en permettant à tous les couples d'avoir jusqu'à deux enfants. Mais la mesure n'a pas eu l'effet escompté.

 

896,4 millions de personnes âgées de 16 à 59 ans

 

Malgré tout, la population totale de la Chine a dépassé pour la première fois l'année dernière 1,4 milliard de personnes, soit 4,67 millions d'individus en plus en un an. La population active a cependant poursuivi son déclin en 2019. Le BNS a comptabilisé l'an passé 896,4 millions de personnes âgées de 16 à 59 ans, considérées comme en âge de travailler, une chute annuelle de 0,10 %. Il s'agit de la huitième année consécutive de baisse.

 

Des experts appellent à la levée complète de la limitation des naissances pour contrer le phénomène. Mais le coût croissant de la vie croissant décourage de nombreux Chinois d'avoir davantage d'enfants.

 

 

 

 

 

Actualité française : Juin 2020

Publié à 14:55 par dessinsagogo55 Tags : monde voyage mali centerblog sur france place photo musique art nuit
Actualité française : Juin 2020

Actualité française

 

 

2020 juin
02/06/20 début de la phase 2 du déconfinement
03/06/20 une opération des forces françaises de l'opération Barkhane au nord l'Adrar des Ifoghas au Mali près de la frontière avec l'Algérie aboutit à l'élimination d'Abdelmalek Droukdel, chef d'Al-Qaïda au Maghreb islamique et principal meneur djihadiste au Mali depuis la fin de l'opération Serval, de son lieutenant Toufik Chahib, en charge de la propagande d'AQMI, de plusieurs autres djihadistes et à la capture de l'un d'eux vivant.
03/06/20 11:22   Naissances et taux de natalité en France
03/06/20 15:15   Association du p'tit trou du cul
03/06/20 15:20   DECONFINEMENT : LA PYRAMIDE DU PQ
04/06/20 12:21   Démographie, France métropolitaine
05/06/20 11:23   Une photo des Balkany profitant des beaux jours en terrasse
05/06/20 14:55   Actualité française : Juin 2020
06/06/20 13:08   Sa note à l'Elysée révélée, G. Le Gendre dans la tourmente
09/06/20 19:02   Police : le pistolet à impulsion électrique va remplacer
09/06/20 20:34   Petite grivoiserie pour le retour de Griveaux à l’Assemblée
09/06/20 20:55   Le retour de Griveaux à l’Assemblée (rectificatif)
09/06/20 21:27   Etes-vous riche ? La réponse de l’Observatoire des...
10/06/20 publication de la description et de la datation par le CNRS et l'Université de Bordeaux d'une sculpture en os brûlé représentant un oiseau, retrouvée sur le site de Lingjing (province du Henan en Chine), désormais datée d'entre 13 000 et 13 800 ans, ce qui fait reculer de 8500 ans l'origine de la sculpture et des représentations d’animaux en Asie de l’Est et en fait la plus ancienne œuvre d'art chinoise connue.
11/06/20 11:17   Pourquoi Emmanuel Macron va-t-il parler ce dimanche ?
11/06/20 19:16   La justice ordonne la reprise des investigations
12/06/20 04:42   Benjamin Griveaux va s’occuper de la BITD française
12/06/20 20:21   Benjamin Griveaux (Sommaire)
12/06/20 22:48   Christophe Castaner (Sommaire)
12/06/20-17/06/20 à Dijon, l'agression d'un jeune Tchétchène, qu'ils imputent à des dealers maghrébins du quartier des Grésilles, amène plusieurs dizaines de Tchétchènes venus de tout l'Hexagone (estimation jusqu'autour de 15029) à mener une expédition punitive contre l'ensemble du quartier et des Maghrébins qui y habitent, provoquant 3 nuits de violences urbaines parfois avec des armes de guerre, puis une dernière nuit de violence dans le quartier du Mail à Chenôve (agglomération dijonnaise), laissant 20 blessés dont un par balles, avant que l'imam de Quetigny (aussi agglomération dijonnaise) Mohamed Ateb réunisse des représentants des communautés et les persuade de mettre en place un « armistice » entre leurs communautés ; l’État français et la police sont critiqués par les habitants des Grésilles qui leur reprochent d'avoir tardé 3 jours à agir.
14/06/20 20:57   On passe au vert
15/06/20 accélération du déconfinement, tous les départements passent en vert sauf la Guyane et Mayotte
15/06/20 09:37   La République n'effacerait aucune trace ni aucun nom
15/06/20 11:11   Macron : "déni surréaliste", "auto-satisfecit", "discours...
17/06/20 10:05   “Casta, ça ne le fait pas”: Macron tacle son ministre
18/06/20 15:07   L'Appel du 18 juin : Macron accueilli par le prince Charles
19/06/20 00:18   Dernier voyage pour l'A380
21/06/20 21:29   La Convention citoyenne pour le climat met Macron au pied...
23/06/20 32e nuit des Molières (sans public) à Paris.
23/06/20 00:08   La danse de Balkany pour la Fête de la musique surprend
27/06/20 18:04   Après-confinement : les avertissements de Hollande à Macron
27/06/20 19:25   Grand Est : un camion s’encastre sous le toit d’une station
28/06/20 second tour des élections municipales, sauf en Guyane, marqué par une forte progression des écologistes dans les grandes villes.
28/06/20 21:32   Municipales - Ndiaye: "Ce soir nous éprouvons une déception"
28/06/20 23:07   Municipales 2020 : Paris
29/06/20 13:46   ECOLOGIE, LE LIVE

 

 

2020

Actualité française J F M A M J J A S O N D

 

Retour à : Actualité française : 2020  
Retour à :  Monde : France 2020  
Retour à :   
Retour à : SOMMAIRE  
Direct sur la rubrique :  Monde : France actualité  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Mise à jour :

 

Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)
                                                     
0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z

Une photo des Balkany profitant des beaux jours en terrasse

Publié à 11:23 par dessinsagogo55 Tags : google image photo sur center article amis société air centerblog merci
Une photo des Balkany profitant des beaux jours en terrasse

Une photo des Balkany profitant des beaux jours en terrasse indigne les internautes

 
Publié le 04/06/2020 à 10:35

l'essentielMardi 2 juin, Isabelle Balkany a posté sur Twitter une photo d'elle et de son mari, profitant de la réouverture des terrasses avec quelques amis. Le cliché a indigné les internautes.

Mardi 2 juin, Isabelle Balkany a posté sur Twitter une photo d'elle en terrasse, entourée de nombreux amis. "Yeeees !!! Réouverture des terrasses du Petit Poucet de Levallois avec de VRAIS amis Levalloisiens ! Bonheur", a-t-elle écrit en légende du cliché.

 

 

Voir l'image sur Twitter
 
 
 
 
 

La publication a beaucoup fait réagir les internautes, qui, en plus de remarquer que la limite de rassemblement de dix personnes n'était pas respectée, ont dénoncé une injustice. Pour rappel, Patrick et Isabelle Balkany ont été condamnés mercredi 27 mai dernier en appel respectivement à 5 et 4 ans de prison ferme, sans incarcération immédiate, pour blanchiment aggravé de fraude fiscale.

 

"Un maximum de 10 personnes par table donc ? C'est décidément une spécialité de se considérer au-dessus des lois...", "Trop malades pour aller en prison par contre...", "Justice à deux étages" ou encore "Ça a l'air sympatoche la prison en plein air", a ainsi commenté la communauté Twitter.

 

Elsa P.

 

 
Liens externes                                                  
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Automobile : Derrière la bourde de Sibeth Ndiaye

Publié à 10:23 par dessinsagogo55 Tags : travail background article sur center france place monde soi chez gain centerblog merci
Automobile : Derrière la bourde de Sibeth Ndiaye

Automobile : Derrière la bourde de Sibeth Ndiaye, la stratégie industrielle de Renault en question

 

 

FAKE OFF La porte-parole du gouvernement a affirmé, à tort, que Renault produisait 6 millions de véhicules par an mais n’en vendait que 3 millions

Publié le 04/06/20 à 17h03 — Mis à jour le 04/06/20 à 18h36


Sibeth Ndiaye s’est attiré les foudres des professionnels de l’automobile après avoir affirmé que Renault produisait 6 millions de véhicules par an mais n’en vendait que deux fois moins.

Si la porte-parole du gouvernement a reconnu une erreur, elle a tout de même évoqué un sujet de préoccupation réelle chez Renault, celui de la surcapacité de production de l’entreprise.

Pour bien comprendre la situation économique actuelle de l’entreprise, il faut revenir en arrière et s’interroger sur les erreurs stratégiques commises par la direction ces deux dernières années.

Sibeth Ndiaye a fait bondir les professionnels de l’automobile – et bon nombre d’internautes français – après son passage chez Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFMTV vendredi dernier. Interrogée au sujet du plan d’économie annoncée par la firme, qui comprend notamment la suppression de 15.000 postes à travers le monde (dont 4.600 en France), la porte-parole du gouvernement a déplacé la conversation sur le volume de production du constructeur automobile.

« Il faut quand même avoir un chiffre en tête, je pense que c’est important que les auditeurs et les téléspectateurs le comprennent : aujourd’hui, Renault fabrique 6 millions de voitures par an. Vous savez combien ils en vendent ? Trois millions. Donc vous avez trois millions de voitures qui restent sur le carreau. Ça pose question. »

 
 
 

Dans les minutes qui ont suivi, la machine Twitter s’est mise en branle et beaucoup sont tombés sur la porte-parole du gouvernement, l’accusant d’avoir évoqué des chiffres totalement farfelus.

 

FAKE OFF

 

En se basant sur les données publiées par la marque automobile pour l’année 2019, on se rend en effet compte que Renault a produit très exactement 3.818.411 véhicules dans ses différentes usines de par le monde l’an passé, pour 3,75 millions de ventes. On est donc très, très loin des soi-disant « trois millions de voitures qui restent sur le carreau ». Consciente de son erreur, Sibeth Ndiaye a d’ailleurs publié un tweet rectificatif quelques heures plus tard.

« J’ai dit ce matin que Renault fabriquait 6M de voitures et en vendait 3M. Je parlais de la capacité de production de Renault. En effet, l’entreprise a une capacité de production de 6M de véhicules par an, mais n’en produit que 3M, ce qui pèse sur l’entreprise. »

 
 

Caramba, encore raté ! Comme l’a souligné Nicolas Barré, le directeur de la rédaction des Echos sur Twitter, le chiffre de six millions annoncé est une nouvelle fois erroné, la capacité de production de Renault étant de 4 millions de véhicules… « Nous conserverons néanmoins une capacité de production à plein régime de près de 5 millions de véhicules », précisait cependant Clotilde Delbos, la directrice générale du groupe, le 29 mai dernier.

 
 
 
Une restructuration devenue inéluctable

 

Malgré ces approximations arithmétiques, la porte-parole du gouvernement soulève tout de même un point intéressant pour justifier ce « besoin de restructurer l’appareil industriel » de Renault, au moment même où le gouvernement vient de valider auprès du constructeur le prêt de 5 milliards garanti par l’Etat : celui de la surcapacité de production. « En France, nous avons la capacité de fabriquer 1.080.000 véhicules par an et nous en produisons 655.000 », admettait récemment son président Jean-Dominique Sénard. D’où « lambition de ramener notre capacité de 4 millions [au niveau mondial] à 3,3 millions de véhicules par an d’ici 2024 », selon les mots de Clotilde Delbos, la directrice générale de l’entreprise, qui n’a pas hésité au passage à mettre un tir à Carlos Ghosn, l’ancien boss de Renault dont le spectre plane toujours sur le losange.

« Aujourd’hui nous payons la politique de volumes décidée par la précédente direction. Nous avons des coûts structurels taillés pour une croissance qui n’a pas eu lieu. L’objectif de ce plan d’économies est simple, il s’agit de reconstruire les bases d’une performance financière et d’assurer la pérennité de l’entreprise », a-t-elle déclaré le 29 mai dernier au siège de l’entreprise à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) lors de l’annonce du plan d’économie. Pour Bruno Le Maire, il est même question pour Renault de jouer « sa survie ».

 
 
 

Et si la crise sanitaire liée au coronavirus n’est pas l’élément déclencheur de ce plan de restructuration – dans les cartons depuis le mois de février –, « elle aura permis de légitimer des mesures qui auraient été prises de toute façon », nous explique Bernard Jullien, économiste spécialiste de l’automobile.

En revanche, pour le maître de conférences à l’université de Bordeaux, le terme de « survie » est quelque peu surévalué : « Je ne suis pas aussi alarmiste que certains. Il y a eu un creux commercial, il y a eu des erreurs stratégiques non corrigées, ou plutôt une stratégie déphasée par rapport à ce qu’était la conjoncture ces dernières années, mais si on considère que la crise de Renault et de Nissan sur les deux dernières années a été essentiellement une crise de gouvernance, alors on peut nourrir quelque espoir dans ce plan de relance ».

 

Quand la direction de Renault tardait à réagir

 

Il n’empêche, l’heure est grave pour Renault, qui s’est retrouvé dans le rouge pour la première fois depuis 2008, avec des pertes chiffrées à 141 millions d’euros sur l’année 2019. D’autant que l’entreprise ne peut plus perdre de temps, après deux années d’atermoiements durant lesquelles le groupe n’avait plus de capitaine à bord du fait des poursuites judiciaires contre Carlos Ghosn. Si Bernard Jullien tient à nuancer les erreurs stratégiques de celui qu’on surnomme le « cost killer » dans le monde de l’automobile, il pointe tout de même du doigt l’apathie de la direction de Renault au moment où le marché de l’automobile entamait sa lente mais certaine décroissance.

« Le plan stratégique, tel qu’il a été conçu en 2017, n’était pas du tout délirant si on se replace dans le contexte économique de l’époque. Le problème, c’est qu’en 2018, quand il aurait fallu changer de braquet et faire une révision radicale de ce plan du fait du changement de conjoncture économique, il n’y avait plus personne, déplore-t-il. Les états-majors étaient tellement perdus dans des problématiques de gouvernance ou de guéguerres internes [liée à l’alliance avec le groupe Nissan] que ça a traîné. Ensuite intervient l’arrestation de Ghosn, et on a effectivement une année 2019 qui est absolument catastrophique. » Pour cet économiste, la grande faute de la direction de Renault a été de ne pas réagir au moment opportun. « Sans cela, dit-il, il n’y aurait pas forcément 15.000 emplois supprimés aujourd’hui… ».

 

Renault, un enjeu capital pour le gouvernement

 

En France, l’Etat, qui conditionnait l’octroi de ce prêt de 5 milliards à des garanties sur l’emploi, semble avoir obtenu gain de cause, en particulier au sujet du site de Maubeuge dont les salariés s’inquiétaient d’un projet de fusion avec le site de Douai. Il faut dire que dans ce dossier, le gouvernement joue sa chemise et les boutons de manchettes qui vont avec : à deux ans des élections, il serait suicidaire pour Emmanuel Macron de donner l’impression de lâcher ce symbole de l’industrie française.

« C’est une grande victoire, a déclaré mardi à l’AFP Jérôme Delvaux, secrétaire du syndicat CGT-MCA à l’issue d’une réunion tenue à Bercy avec des élus, représentants des salariés et la direction de l’entreprise. Au-delà du maintien des 2.100 salariés, il y a aussi un engagement pour trouver un nouveau véhicule à construire pour garantir l’emploi au-delà de 2023 ».

Car pour le futur PDG de Renault, Luca De Meo, qui prendra ses fonctions le 1er juillet, l’enjeu est double : réussir une restructuration sociale la moins violente possible (comprendre : sans licenciements secs) et offrir aux salariés qui passeront à travers les gouttes une réelle perspective d’avenir avec la mise en place d’un plan stratégique clair. Tout un programme.

 

 
Liens externes                                                  
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

 

 

VU-mètre

Publié à 02:34 par dessinsagogo55
VU-mètre

VU-mètre

Naissances et taux de natalité en Allemagne

Naissances et taux de natalité en Allemagne

En Allemagne, la natalité repart à la hausse

Avec 1,59 enfant par femme, le taux de natalité allemand est revenu dans la moyenne européenne. Une embellie due à la contribution de l’immigration et à une politique familiale plus volontariste.

Gwénaëlle Deboutte (à Berlin), 

le 28/09/2018 à 14:24

  •  

Longtemps lanterne rouge en Europe, l’Allemagne connaît depuis six ans une hausse ininterrompue de ses naissances. Selon les derniers chiffres de Destatis, l’équivalent de l’Insee, le taux de natalité s’est élevé en 2016 à 1,59 enfant par femme, du jamais-vu depuis 1973 ! Certes, le pays partait de très bas.

Au creux de la vague en 1995, ce taux était tombé à 1,25. En 2011, il était encore à 1,34. « Mais, il s’agit d’une progression durable », se réjouit Sebastian Klüsener, de l’Institut Max-Planck pour la recherche démographique. L’une des principales raisons provient de l’immigration. Sur les 792 100 enfants nés en 2016 (+ 7 % par rapport à 2015), près de 185 000 avaient une mère étrangère. Cela représente une progression de 25 % par rapport à l’année précédente.

Parmi elles, les Syriennes, nationalité fortement représentée chez les réfugiées, ont mis au monde trois fois plus de bébés qu’en 2015. Du côté des femmes allemandes, si les chiffres sont plus modestes, ils sont également en augmentation de 3 % (607 500 naissances).

 

Une politique familiale volontariste

 

En effet, depuis une dizaine d’années, le pays a mis en place une politique familiale volontariste. Une nouveauté outre-Rhin où, depuis la Seconde Guerre mondiale et les traumatismes du nazisme, l’État s’interdisait toute incitation à la natalité. Ce sont les statistiques démographiques qui, au tournant des années 2000, ont provoqué une onde de choc : si rien n’était fait, le pays risquait de perdre deux millions d’habitants à l’horizon 2020.

 

Les gouvernements Schröder puis Merkel ont alors agi sur plusieurs fronts : augmentation des aides aux familles, création d’une allocation permettant aux mères et aux pères de prendre un congé parental d’un an tout en conservant les deux tiers de leur salaire. Et, surtout, construction de structures de garde d’enfants.

« Ces dix dernières années, nous avons investi dans 400 000 nouvelles places en crèches, indique Franziska Giffey, la nouvelle ministre de la famille (SPD). Fin avril 2018, nous avons signé un programme supplémentaire pour 100 000 places. » Dernière mesure en date : la gratuité des frais de garde jusqu’à 6 ans, soit une enveloppe de 3,5 milliards d’euros jusqu’en 2021.

 

De nombreuses mères devaient s’arrêter de travailler de nombreuses années

 

« Cette politique familiale joue un rôle indéniable, notamment chez les femmes qualifiées, qui sont celles qui font le moins d’enfants », poursuit Sebastian Klüsener. Aujourd’hui encore, une femme sur cinq choisit de ne pas enfanter pour ne pas pénaliser sa carrière.

Jusqu’à récemment, les horaires d’ouverture des garderies ne coïncidaient en effet pas avec celles des bureaux ; en outre, laisser un jeune enfant était mal vu. De nombreuses mères s’arrêtaient donc de travailler pendant plusieurs années après avoir accouché, puis reprenaient une activité à temps partiel seulement.


Démographie, le risque d’un déclin ?

 

Cependant, les mentalités évoluent, grâce à l’influence d’autres modèles, en particulier français. « Pourquoi faudrait-il choisir entre avoir une famille et un travail intéressant », s’interroge ainsi Anna, une hôtesse de l’air berlinoise. Malgré la désapprobation de ses parents et beaux-parents, elle a donc choisi de faire garder sa fille Luna, dès l’âge de 1 an.

 

Un renouveau démographique menacé par la réalité du terrain

 

Cette évolution rapide risque toutefois de se heurter à la réalité du terrain. En raison de la sous-estimation de ce mini-« baby-boom », « il manque encore 300 000 places de garde dans tout le pays », estime Wido Geis, expert en politique familiale à l’Institut économique de Cologne. La faute au manque de personnel. Peu attractif, le métier d’auxiliaire de puériculture suscite peu de vocations. Résultat : les crèches sont en sous-effectif chronique.

 


Comment relancer la natalité

 

 

Désormais, trouver un système de garde relève pour les parents du parcours du combattant. Ainsi, Ann-Mirja Böhm, cofondatrice de l’initiative « Crèches en crise à Berlin », a mis un an avant de trouver une place pour sa fille Paulina. « Une période très difficile », se souvient-elle. Pourtant, pour calmer les parents en colère, une loi de 2013 oblige les communes à garantir une place de Kindergarten à tous les enfants. Faute de moyens, cela ne suffit pas. De quoi mettre en péril le renouveau démographique de l’Allemagne ?