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Nécropoles nationales par département de la Meuse

Publié à 03:17 par dessinsagogo55 Tags : center google centerblog sur saint
Nécropoles nationales par département de la Meuse

Ossuaire de Douaumont

 

Première Guerre mondiale

 

Nom Commune Nombre de personnes inhumées
Nécropole nationale d'Amblemy Ambly-sur-Meuse 111
Nécropole nationale de Marbotte Apremont-la-Forêt 2656
Nécropole nationale d'Avocourt Avocourt 1896
Nécropole nationale de Bar-le-Duc Bar-le-Duc 3194
Nécropole nationale de Belleray Belleray 1326
Nécropole nationale de Mont-sous-les-Côtes (Mont-Villers) Bonzée 77
Nécropole nationale de Brandeville Brandeville 506
Nécropole nationale de Bras-sur-Meuse Bras-sur-Meuse 6537
Nécropole nationale de Brieulles-sur-Meuse Brieulles-sur-Meuse 2572
Nécropole nationale de Buzy Buzy-Darmont 2330
Nécropole nationale de Chattancourt Chattancourt 1727
Nécropole nationale de Commercy Commercy 2132
Nécropole nationale de Dieue Dieue-sur-Meuse 310
Nécropole nationale du Bois de Béthelainville Dombasle-en-Argonne 1095
Ossuaire de Douaumont Douaumont-Vaux 130 000 Allemands et Français
Nécropole nationale de Dugny-sur-Meuse Dugny-sur-Meuse 1971
Nécropole nationale d'Esnes-en-Argonne Esnes-en-Argonne 6861
Nécropole nationale de Fleury-devant-Douaumont Fleury-Devant-Douaumont 16140
Nécropole nationale d'Haudainville Haudainville 210
Nécropole nationale de La Forestière Lachalade 2005
Nécropole nationale de Lacroix-sur-Meuse Lacroix-sur-Meuse 969
Nécropole nationale de Landrecourt-Lempire Landrecourt-Lempire 1962
Nécropole nationale du Trottoir Les Éparges 2906
Nécropole nationale des Islettes Les Islettes 2226
Nécropole nationale de Fontaine-Routhon Les Souhesmes-Rampont 1068
Nécropole nationale de Brocourt-en-Argonne Récicourt 471
Nécropole nationale de Rembercourt-Sommaisne Rembercourt-Sommaisne 10493
Nécropole nationale de Revigny-sur-Ornain Revigny-sur-Ornain 1315
Nécropole nationale de Rupt-en-Woëvre Rupt-en-Woëvre 170
Nécropole nationale de Vaux-Racine Saint-Mihiel 3419
Nécropole nationale de Saint-Remy-la-Calonne Saint-Remy-la-Calonne 166
Nécropole nationale de Senoncourt-les-Maujouy Senoncourt-les-Maujouy 531
Nécropole nationale de Sommedieue Sommedieue 164
Nécropole nationale de Trésauvaux Trésauvaux 655
Nécropole nationale de Troyon Troyon 150
Nécropole nationale de Vadelaincourt Vadelaincourt 1727
Nécropole nationale de Vauquois Vauquois 438
Nécropole nationale de Bevaux Verdun 3592
Nécropole nationale du Faubourg-Pavé Verdun 5516
Nécropole nationale de Glorieux Verdun 4246
Nécropole nationale de Ville-sur-Cousances Ville-sur-Cousances 918

 

 

 

 

 

Nécropoles nationales en France

Publié à 01:45 par dessinsagogo55 Tags : fleurs dessous centerblog roman sur merci france monde article mort création dieu marne
Nécropoles nationales en France

En France, une nécropole nationale est un cimetière militaire appartenant à l’État français

Il existe en France 265 nécropoles nationales où reposent 740 000 corps de soldats, dont 240 000 en ossuaires Sur l'ensemble des dépouilles des soldats, 88 % sont celles de combattants de la Première guerre mondiale

Les nécropoles nationales ont été créées par la loi du 29 décembre 1915 pour regrouper les corps des combattants « morts pour la France » avec des sépultures perpétuelles. Ces nécropoles sont la propriété de l’État français qui en assure la garde et l'entretien. Ces deux missions sont confiées au secrétariat d’État chargé des anciens combattants.

À ces nécropoles nationales s'ajoutent 2 000 carrés militaires dans les cimetières communaux répartis sur le territoire national. Dans ces carrés militaires reposent 115 000 corps. La garde et l'entretien des sépultures de ces carrés militaires sont principalement assurés par le Souvenir Français, très peu subventionné par le secrétariat d’État aux anciens combattants (1 50 € par an et par tombe, et pas pour toutes) ou par les communes selon un accord entre les deux parties.

Le secrétariat d’État aux anciens combattants assure également l'entretien de sept cimetières militaires étrangers situés en France.

Cet article recense les cimetières militaires français ayant le statut de nécropole nationale.

Création des nécropoles nationales

La loi du 29 décembre 1915 institua la création, par l'État français, de nécropoles nationales regroupant les corps des combattants « morts pour la France » auprès de l'endroit où ils sont tombés. Les sépultures perpétuelles y sont entretenues aux frais de l’État qu'elles soient individuelles ou collectives (ossuaires). Une loi autorisa, cependant, en juillet 1920, la restitution des corps aux familles qui en faisaient la demande ; ce fut le cas pour environ 30 % des corps identifiés (environ 250 000).

La création de ces nécropoles se fit au nom de considérations à la fois pratiques et idéologiques de la part des États mais aussi des états-majors. D'une part, ces regroupements permettaient d'éviter la dispersion des tombes sur des terres utiles (sols agricoles, reconstruction des villages détruits notamment lors de la Seconde Guerre mondiale) ; ils permettaient également d'éviter le transfert de centaines de milliers de corps, facilitant l'entretien des tombes. D'autre part, les nécropoles nationales correspondaient, comme pour chaque nation combattante, à l'idée que les liens de cette nation s'étaient substitués à ceux de la famille, l'État assurant ainsi une égalité de traitement des tombes et une permanence du souvenir.

Cette prise en charge par la Nation se heurta au désir des familles d'exhumer et rapatrier les restes de soldats dans le caveau familial des cimetières communaux mais le gouvernement interdit cette pratique par souci d'hygiène, d'économie et pour ne pas mettre en danger l’intégrité et l'identité des cadavres. Ce débat sur la démobilisation des morts partagea d'ailleurs l'ensemble des sociétés belligérantes. En France, il donna lieu à un trafic des cercueils. À l'issue de la Première Guerre mondiale, des familles, bravant l'interdiction, entreprirent par elles-mêmes ou en faisant appel à des « mercantis de la mort » (entrepreneurs locaux ou « maisons » de pompes funèbres parisiennes, voire des escrocs), de violer les sépultures militaires et ramener clandestinement les corps. Le succès du roman Au revoir là-haut a d'ailleurs rendu visible l'ampleur de ce phénomène. L'édification massive de monuments aux morts après le conflit répondit d'ailleurs à l'absence de corps, proposant des symboles capables d'opérer sur l'ensemble du territoire national, qui offraient un double rôle de commémoration et de deuil collectif en même temps qu'ils contribuaient à l'élaboration d'une symbolique républicaine.

Constructions monumentales et paysagères

Les plans des cimetières militaires français ont été tracés par des techniciens du Ministère des Pensions selon les directives de la circulaire ministérielle du 24 février 1927. La production en série, à faible coût, a été le principe directeur choisi, négligeant la recherche esthétique.

En 1928, fut adoptée une disposition-type pour toutes les nécropoles nationales : le drapeau tricolore devait être le point central de la composition, les tombes devaient être alignées en rangées, reconstituant l’alignement d’une armée. Des rosiers rouges furent plantées au pied des tombes individuelles.

La composition paysagère est souvent très sobre, les tombes et ossuaires sont répartis sur un terrain engazonné, parfois arboré et agrémenté de massifs de fleurs.

Les tombes individuelles furent matérialisées par quatre types d'emblèmes différents :

croix latine ;

stèle musulmane rectangulaire avec le sommet en forme d'arc outrepassé brisé, sur laquelle est gravé, en haut, un croissant de lune enserrant une étoile à cinq branches, avec en dessous une inscription en arabe : « hadhâ qabr al-mahrûm » (ceci est la tombe du rappelé à Dieu). Lorsque le nombre de morts musulmans était important, les tombes furent regroupées en carrés spécifiques ;

stèle israélite avec gravée l’étoile de David, encadrée de deux lettres en hébreu, acronyme de « ici est enterré » ;

stèle pour les autres confessions ou les non-croyants. La France est le seul pays à permettre l'édification de stèle particulière pour les non-croyants.

Sur chaque tombe, une plaque fut apposée permettant l'identification du corps enseveli avec la mention « mort pour la France ». Aucun aménagement particulier permettant de distinguer une sépulture parmi les autres n'était autorisé.

Les ossuaires sont matérialisés, le plus souvent par une stèle portant une dédicace. Le plus important ossuaire de France est celui de Douaumont qui rassemble 130 000 corps de soldats inconnus français et allemands. C'est un imposant monument de forme allongée surmonté d'une lanterne des morts.

La plus vaste nécropole nationale de France est la Nécropole nationale de Notre-Dame-de-Lorette dans le Pas-de-Calais ; sur près de 13 ha, 40 058 corps de militaires français y reposent dans des tombes individuelles et dans huit ossuaires. Dans ce cimetière, ont été construites une lanterne des morts et une chapelle. Cependant, d'une manière générale (sauf cas particuliers), les nécropoles nationales, en France, ne comportent pas de constructions monumentales.

 

Répartition des nécropoles nationales par département

Nom
du département
Numéro
de département
Nombre
de nécropoles
Nombre
de corps
Aisne 2 26 86355
Ardennes 8 7 14394
Bouches-du-Rhône 13 1 11487
Charente 16 1 2027
Charente-Maritime 17 1 330
Corse-du-Sud 2A 1 242
Haute-Corse 2B 1 48
Doubs 25 1 2163
Drôme 26 1 17
Gironde 33 1 928
Loiret 45 2 3563
Marne 51 34 176193
Meurthe-et-Moselle 54 23 46891
Meuse 55 40 100532
Morbihan 56 1 2106
Moselle 57 17 36862
Nord 59 5 8123
Oise 60 15 30103
Orne 61 1 19
Pas-de-Calais 62 4 53575
Bas-Rhin 67 10 11084
Haut-Rhin 68 15 22790
Rhône 69 2 6543
Haute-Savoie 74 1 105
Seine-et-Marne 77 5 2415
Somme 80 22 68813
Var 83 3 2336
Vosges 88 10 15350
Territoire de Belfort 90 2 1086

 

 

 

Liens externes                                                  
   
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Le soldat meusien de la Grande Guerre identifié par son ADN

Publié à 00:49 par dessinsagogo55 Tags : jeune couple paris center centerblog sur bonne merci france coup chez femme photos enfant
Le soldat meusien de la Grande Guerre identifié par son ADN

LE 28/08/2019 À 05:03

 MIS À JOUR LE 28/08/2019 À 06:41

 MEUSE

Le soldat meusien de la Grande Guerre identifié par son ADN

Le squelette de Charles Lavocat, porté disparu au début de la Grande Guerre, avait été découvert par des fouilles à Spincourt (55).

 

La science a tranché, l’ADN a parlé. Les résultats du test ont garanti l’identité du squelette découvert à l’occasion de fouilles archéologiques. Denis Lavocat, un habitant du village de Behonne près de Bar-le-Duc (Meuse), et ses deux frères, Gilbert, l’aîné, et Daniel, le plus jeune, ont retrouvé leur grand-père… 105 ans plus tard !

Le fruit du hasard. Au départ, il y a le projet de construction d’un lotissement à Spincourt, village meusien à la limite avec la Meurthe-et-Moselle. Classiquement, un sondage archéo est réalisé par l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) en 2017 avant le lancement des travaux. Si l’on s’attendait plutôt à repérer des vestiges protohistoriques, c’est un cimetière provisoire de regroupement datant de 1919 qui est découvert. Il y a là quarante « cercueils », plus exactement des boîtes en bois bien conservées, qui soit contiennent des ossements de corps jamais transférés à la nécropole de Pierrepont (54) soit sont vides.

 

Mais dans l’un, on trouve le squelette entier, enterré avec sa baïonnette. Le trou au niveau du crâne indique qu’il a pris une balle en pleine tête. Il y a surtout avec une plaque militaire d’identité au nom de Charles Lavocat. Presque âgé de 30 ans et cultivateur à Behonne avant le déclenchement des hostilités, ce soldat du 154e régiment d’infanterie, rappelé avant le début de la Grande Guerre, a été porté disparu lors de combats dans le secteur de Spincourt le 22 août 1914 durant la Bataille des frontières.

Les recherches menées par sa femme Clothilde n’ont rien donné. « Elle ne s’est jamais remariée », raconte Denis Lavocat, fils de Marcel, unique enfant du couple, né en 1912. Charles Lavocat a reçu la médaille militaire à titre posthume, ainsi que la croix de guerre avec étoile de bronze.

Après la médiatisation des fouilles archéologiques qui ont examiné les sépultures exhumées, son frère Daniel a bien téléphoné pour savoir si justement l’aïeul ne s’y trouverait pas. Mais il a fallu attendre cet été pour que l’histoire rebondisse. « On a reçu le 28 juin un coup de téléphone de Frédéric Adam (le responsable du chantier de fouilles) pour nous prévenir que l’on avait peut-être identifié le grand-père », raconte Denis Lavocat.

« Une semaine avant, on en parlait encore, on se disait que c’était dommage de ne pas savoir », ajoute Annie, son épouse. Le couple apprend que le corps serait resté quelques semaines dans un champ de blé avant d’être enterré.

Pour avoir la certitude qu’il s’agit bien de Charles Lavocat, il est proposé aux descendants de se soumettre à une expertise ADN, grâce à un prélèvement de salive, ce qu’ils acceptent. Denis Lavocat : « Un technicien est venu de Marseille, et une dame de Paris. Le jour ? Chez nous le 9 juillet, on s’en souvient bien, il y avait le passage du Tour de France à Bar-le-Duc. Ils sont restés une bonne partie de l’après-midi. »

Ce qui constituait un espoir très fort a été confirmé début août. Et maintenant ? On a demandé à la famille Lavocat où elle voulait placer le corps du grand-père, soit dans le caveau familial à Behonne, soit au cimetière militaire de Bar-le-Duc, soit à la nécropole de Pierrepont. Cette dernière option a été choisie unanimement : « On préfère le laisser avec ses camarades, ses compagnons d’armes », explique Annie Lavocat. « On attend de savoir quand aura lieu l’inhumation. » La cérémonie pourrait se dérouler en septembre ou octobre, a-t-il été avancé.

Denis Lavocat, qui conserve précieusement la médaille de tireur d’élite de son « pépère », garde aussi un fascicule remis par l’Inrap avec des photos et un plan du site où la tombe se situait depuis plus d’un siècle. « Ça fait plaisir d’avoir ça. »

« On préfère le laisser avec ses camarades »

François-Xavier GRIMAUD

 

 

 

 

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Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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