VIVAT HOUZARD

Répertoire patronymique

des hussards français de la Révolution et l’Empire

Par

David Jacques, Grégory Marguin & Jérôme Croyet,

Commencé en 2004, édition de février 2009.

(merci à Lionel Fontaine et Norma Alosi)

A

Abadie Antoine Etienne. Il sert au 9^e régiment de hussards. Demeurant à la Fourguette, Haute Garonne en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

Abadie Joseph. Demeurant à Latoue, Haute Garonne. Il sert au 4° hussards. Médaillé de Sainte Hélène.      

Abraham Nicolas, né à Grenouillé, Meurthe. Il sert au 6^e régiment de hussards. Il décède le 10 février 1806  Laybach.

Ackermans Pierre François. Demeurant à Bruxelles. Il sert au 7^e hussards. Médaillé de Sainte Hélène le 20 février 1858.

Adam Charles Louis, né le 16 janvier 1776. Demeurant à Bar sur Aube, Aube. Il sert au 8^e hussards de 1796 à 1801. Médaillé de Sainte Hélène sur une simple déclaration.

Adam Antoine Joseph, né en 1776. Demeurant à Sommerecourt, Haute-Marne. Il sert au 4e hussards puis dans les Chasseurs à cheval de la Garde. Médaillé de Sainte Hélène.   

Adam Jean, né le 4 octobre 1789. Demeurant à Kaysersberg, Haut-Rhin. Il sert au 7e hussards de 1809 à 1815. Médaillé de Sainte Hélène.

Adam Joseph Antoine, né le 30 janvier 1776 à Sommerécourt, Haute-Marne. Il est affecté au 4e régiment de hussards le 8 septembre 1798. Il passe dans les chasseurs à cheval de la Garde en 1803. Il est blessé et fait prisonnier durant la campagne de Russie en 1812. Membre de la Légion d'honneur. Médaillé de Sainte-Hélène.

Adam Laurent Joseph, né le 3 août 1789. Demeurant à Walhain Saint-Paul. Il entre au 4^e hussards le 14 juin 1810. Il fait la campagne d’Espagne de 1810 à 1813. Médaillé de Sainte-Hélène le 21 décembre 1858.

Adam Sébastien, né le 22 février 1790. Demeurant à Meyenheim, Haut-Rhin. Il sert au 3e hussards de 1809 à 1814. Médaillé de Sainte Hélène.

Adam Thiébaud, né le 30 juillet 1793. Demeurant à Oberhoffen-sur-Moder, Bas Rhin. Il sert comme hussard au 1^er hussards de 1811 à 1813. Médaillé de Sainte Hélène.

Adnot Nicolas. Demeurant à Vassincourt, Meuse. Il sert comme hussard au 9e régiment de hussards jusqu’au 29 janvier 1807. Médaillé de Sainte Hélène.

Agier Sébastien, né le 17 novembre 1793 à Bettroff, Moselle. Il sert comme hussard à la 2^e compagnie du 7^e régiment de hussards. Il disparaît au cours de la campagne de 1814.

Agon Edme Marie, né le 18 octobre 1791. demeurant à Romilly, Aube. Il sert au 9^e hussards de 1810 à 1815. Il fait la campagne de Russie. Médaillé de Sainte-Hélène.

Aigremont. Il sert comme hussard au 8^e hussards en 1796. Il est à l’avant-poste de Lingenfeld où il signe un procès-verbal délivré au citoyen Garnerin, le 13 prairial an IV.

AIME. Nommé sous lieutenant au 7^e régiment de hussards le 25 mars 1793. En activité de service le 23 prairial an II.

AIMOND François, né le 31 mars 1795. Demeurant à Giers, Isère. Il sert au 9e Hussards puis au 6e de ligne de 1813 à 1816. Médaillé de Sainte-Hélène.

ALBERT Nicolas, né en 1786. Demeurant à Perrusse, Haute-Marne. Il sert au 6e hussards, au  35e régiment d'infanterie de ligne puis au 42e régiment d'infanterie de ligne. Médaillé de Sainte-Hélène.

ALBISSER Marc, né le 22 mars 1767. Demeurant à Hirtzbach, Haut-Rhin. Il sert au 5e hussards de 1791 à l’an X. Médaillé de Sainte-Hélène.

ALEIME Jean-Marie, né le 28 Septembre 1788 à Nantua, Ain. Il entre le 1^er Septembre 1812 au 67^e Régiment d'Infanterie de Ligne. Il est incorporé par la suite au 9^e Régiment d'Infanterie de Ligne. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 27 Avril 1815 pour les Cent jours. En 1815 il entre au 3^e régiment de Hussards. Il rentre à Nantua en Juillet 1815. Il est marié en 1816. Le 8 Mars 1816, il rend à la mairie de Nantua un sabre, un gilet aux couleurs du 3^e régiment et sa veste (dolman ?).

ALEXANDRE Jean Baptiste. Demeurant à Bruxelles. Il sert au 9ème hussards. Médaillé de Sainte-Hélène le 27 avril 1858.

ALEXANDRE Hugues, né le 6 août 1797 Volore. Il entre au 4^e hussards le 16 avril 1815 puis passe dans la gendarmerie le 16 août 1815. Officier de gendarmerie, admis à la retraite le 14 décembre 1815. Demeurant à Villefranche, Rhône. Médaillé de Sainte-Hélène.

ALEXIS. Il sert comme hussard à la 3^e compagnie du 8^e régiment de hussards. Il est mis en prison, le 11 pluviôse an VII, par ordre du commandant militaire de la place de Marseille.

ALLEC François, né en 1791. Demeurant à Aspres les Veynes, Hautes-Alpes. Il sert au 4e hussards de 1810 à 1814. Médaillé de Sainte-Hélène.    

ALLONIS Thomas. Demeurant à La Riche, Indre & Loire. Il sert comme hussard au 3^e hussards de 1813 à 1815. Il est licencié à Paris. Médaillé de sainte-Hélène.

ALTROFFE Armand, né le 6 juillet 1792 à Versailles. Il sert comme hussard à la 7^e compagnie du 1^er escadron du 2^e régiment de hussards de 1813 à 1815. Il est blessé d'une balle dans l'épaule droite. Il touche une pension de 250 francs Ouvrier tailleur Demeurant 34 rue de Lancry à Versailles en 1872. Médaillé de Sainte Hélène.

AMBACHER Jean, né le 2 septembre 1795. Il sert au 8^e puis au 1^er hussards de 1813 à 1815. Demeurant à Dornach, Haut-Rhin. Médaillé de Sainte-Hélène.               

AMBROSETTI. Sous-officier au 4e régiment des gardes d’honneur, nommé le 30 octobre 1813 par Napoléon comme sous-lieutenant surnuméraire au 6e régiment de Hussards.

ANADURE Baptiste, né 1758 à Compiègne. Il sert comme maréchal des logis au 7^e régiment de hussards. Nommé sous lieutenant au 7^e régiment de hussards, le 22 mars 1792.

ANCELON Léopold Joseph, né en 1777. Il sert comme capitaine au 6^e hussards de 1799 à 1830. Il fait les campagnes sur le Rhin, en Autriche, en Prusse, en Espagne puis en France. Demeurant à Château Salins, Moselle. Médaillé de Sainte-Hélène.

ANDRIAN Paul. Il sert comme lieutenant au 4^e régiment de hussards. Demeurant 2 rue Louis Napoléon à Toulouse en Haute-Garonne en 1857. Médaillé de Ste Hélène.

ANDRE Claude Hyacinthe, né en 1794. Il sert comme maréchal des logis au 5e hussards puis au 6e cuirassiers de 1813 à 1831. Demeurant à Pont à Mousson, Meurthe et Moselle. Médaillé de Sainte-Hélène.

ANDRÉ Jean Jacques, né en 1792. Il sert comme hussard au 4^e hussards de 1813 à 1814. Demeurant à Chaudun, Hautes-Alpes. Médaillé de Sainte-Hélène.

ANDRIEUX Etienne, né en 1790. Il sert comme hussard au 3^e régiment de hussards de 1813 à 1815. Demeurant à Gournay en Bray, Seine Maritime. Médaillé de Sainte-Hélène.

ANDRIEUX Jean Marie. Il sert au 1^er hussards de l’an VIII au 22 nivôse an X. Demeurant à Cheptainville, Essonne. Médaillé de Sainte Hélène.     

ANDRY Augustin, né le 27 décembre 1782. Il sert au 6^e hussards de 1802 à 1809. Militaire pensionné demeurant aux Molières, Essonne. Médaillé de Sainte-Hélène.       

ANGELVIN Jean Baptiste, né le 31 janvier 1792 à Sainte-Colombe. Il sert comme cavalier au 14^e hussards de 1812 à 1815. Il fait les campagnes d’Italie et de Russie. Demeurant à Saint Venerand, Haute Loire. Médaillé de Sainte-Hélène.

ANGLES Pierre. Il entre au 6^e hussards en 1807. Demeurant à Albi, Tarn. Médaillé de Sainte Hélène.

ANGOT Pierre Louis Félix Jacques, né le 12 juillet 1766 à Falaise. Il sert dans Angoulême Dragons du 5 juin 1789 à octobre 1790. Capitaine au 2^e bataillon du Calvados. Il est chargé par le général Dumouriez de lever une compagnie du 8^e hussards dans le département du Calvados. Il est proposé pour la lieutenance dans la compagnie Le Moine Longchamp par le colonel du 8^ehussards, le 24 novembre 1792.

ANGOULEVANT Jean Baptiste, né en 1795. Il sert comme hussard au 5^e hussards de 1814 à 1815. Il est blessé à Fleurus, en 1815. Demeurant à Auneau, Eure et Loir. Médaillé de Sainte-Hélène.

ANTH Dominique. Il sert comme hussard au 5^e régiment de hussards du 3 mai 1815 à juillet 1815. Médaillé de Sainte Hélène demeurant à Bar-le-Duc, Meuse.

ANTHOR Louis Alexis, né en 1785. Il sert comme hussard au 1^er régiment de hussards du 24 frimaire an XIV au 28 décembre 1807. Médaillé de Sainte Hélène demeurant à Drosay, Seine Maritime.

ANTOINE Etienne, né en 1794 à Malleloy. Il sert au 1^er hussards de 1813 à 1815. Il combat à Waterloo. Médaillé de Sainte Hélène demeurant à Faulx, Meurthe et Moselle.

ANTOINE Pierre, né le 27 janvier 1796 à Domevre sur Durbion. 1M 71. fils de Pierre et de Barbe Humbert. Il entre au 1^erhussards en 1813. Il sert dans la Garde Royale puis la Gendarmerie jusqu’en 1853.  Marié à Anne Catherine Moinel, le 20 octobre 1822. Chevalier de la Légion d’honneur. Médaillé de Sainte Hélène demeurant à Xirocourt, Meurthe et Moselle.

ANTOINE Toussaint, né en 1790. Il entre au 10^e hussards en 1811. Il combat à Lutzen, Bautzen et Leipzig. Il est blessé à la jambe gauche et évacué sur Metz. Il sert dans la Garde Nationale en 1814. Médaillé de Sainte Hélène demeurant à Lixieres, Meurthe et Moselle.

ARCANGER Antoine, né au Château la Valière. Il sert comme hussard au 7^e régiment de hussards. Médaillé de Sainte Hélène demeurant à Château-la-Vallière, Indre & Loire.         

ARENAUD. Il sert comme hussard à la 5^e compagnie du 8^e régiment de hussards en l’an VII. Mis en détention, il est libéré par ordre du colonel, le 24 pluviôse an VII.

ARGU Etienne, né en 1758. Il sert comme officier au 4^e hussards. « Sans moyen militaire et un grand penchant pour le vin ».

ARMBRUSTER François Joseph, né le 28 août 1788 à Wettolsheim. Il sert au 2^e régiment de hussards de 1807 à 1812. Médaillé de Sainte Hélène demeurant à Wettolsheim, Haut-Rhin.

ARNAUD, né à St Amour (Jura). Il entre comme sous-lieutenant au 4^e régiment de Chasseurs à Cheval le 1^er janvier 1793. Aide de camp du général Gromard le 18 juin 1793. Aide de camp du général Courlot , chef d’état major de l’armée du Rhin et Moselle le 28 thermidor an II. Lieutenant le 4 vendémiaire an 4. Capitaine au 1^er régiment de Hussards le 14 Floréal an 5. Il reçoit 4 blessures. Quartier maître dans la gendarmerie de l’Ain du 10 germinal an 6 à 1810, date de son arrestation pour malversation et faux dans la caisse du Conseil d’Administration de la Gendarmerie de l’Ain. Se suicide à Bourg en 1815.

ARNAUD Etienne, né en 1779. Enfant de troupe puis hussard au 10^e hussards durant 18 ans. Médaillé de Sainte-Hélène demeurant à Viviers, Ardèche.

ARNAUD François. Il sert au 1° hussard. Demeurant à Nailloux en Haute Garonne en 1857. Médaillé de Ste Hélène.

ARNAUDE Jean, né en 1794. Il sert au 2^e hussards de 1813 à 1815. Médaillé de Sainte-Hélène demeurant à Limoux, Aude.

ARNAUDET Jean Pierre, né le 18 novembre 1769. Il sert comme hussard dans les hussards de la Mort. Il finit sa carrière avec le grade de lieutenant colonel. Il fait les campagnes d’Italie, d’Autriche, d’Espagne, d’Allemagne et de France. Il est maire de Collonges au Mont d’Or de 1837 à 1848. Il décède le 5 mars 1854.

ARNOULD Jean Baptiste, né le 14 juillet 1789 à Reims, Marne. Il entre au 3^e hussards le 17 avril 1808. Il fait les campagnes de 1808 à 1810. Il est en Espagne en 1811 et 1812. IL est à l’armée du Portugal en 1813 et 1814. Brigadier le 31 janvier 1814. Chevalier de la Légion d'Honneur le 3 avril 1814. Il est à la Grande armée en 1815 puis à l’armée du Jura commandée par Lecourbe. Nommé maréchal des logis au 3^e régiment de hussards le 16 août 1815. Il passe dans la Garde Royale, le 23 novembre 1815. Sur son brevet son nom est orthographié Arnaud. Des témoins déposent, devant le maire de Reims, le 14 mai 1817 qu’il s’appelle bien Arnould.

ARNOULD Jean Nicolas, né en 1794. Il sert comme hussard au 8^e régiment de hussards de 1813 à 1815. Il fait la campagne de Saxe puis est fait prisonnier. Médaillé de Sainte-Hélène demeurant à Insming, Moselle.

ARRIGNON René. Il sert comme hussard au 1^er régiment de hussards. Médaillé de Sainte Hélène demeurant à Moutiers Sur Le Lay, Vendée.

ASSEZAT Simon. Il sert comme brigadier au 2^e hussards. Médaillé de Sainte-Hélène demeurant au Puy, Haute Loire.

ASTRUC Joseph. Il sert au 4^e régiment de hussards. Médaillé de Sainte-Hélène demeurant à Castres, Tarn.

ATTANE Jacques. Il sert au 3^e régiment de hussards. Demeurant 16 rue Embarthe à Toulouse en Haute-Garonne en 1857. Médaillé de Ste Hélène.

ATZENHOFFER Joseph, né le 29 septembre 1773 dans le Bas Rhin. Il s’engage au 6^e régiment de hussards du 29 germinal an VIII au 29 frimaire an X. Il reçoit la médaille de Ste Hélène.

AUBE Pierre, né en 1794. Il s’engage volontairement au 9^e hussards le 25 février 1812. Il y sert jusqu’au 18 août 1816. Médaillé de Sainte Hélène demeurant à Canteleu               , Seine Maritime.

AUBERT Sébastien, né en 1792. Il sert de 1813 à 1815 comme hussard au 5^e hussards puis passe au 18^e régiment d'infanterie de ligne. Propriétaire demeurant à Mehoncourt, Meurthe et Moselle, il reçoit la médaille de sainte-Hélène.

AUBERT Thomas. Il s’engage au 1^er hussards durant les Cents Jours à l’armée des Alpes. Il est licencié à Montluçon en octobre 1815. Demeurant dans le Rhône, il fait une demande de Médaille de Sainte-Hélène le 19 août 1858.        

AUBRUCHET Pierre, né en 1795. Il sert comme hussard au 7^e régiment de hussards d’août 1814 au 16 décembre 1815. Médaillé de Sainte Hélène demeurant à Aumale, Seine Maritime.

AUBRY  Jean François Mansuy. Il sert comme maréchal des logis au 5^e régiment de hussards du 25 février 1812 à 1815. Médaillé de Sainte Hélène demeurant à Gondrecourt, Meuse.

AUCLAIR Barthélemy, né le 26 juin 1785 à Villefranche-sur-Saône. Il sert au 8^e hussards du 11 octobre 1801 au 15 septembre 1809. Médaillé de sainte Hélène, il est propriétaire rentier à Villefranche, Rhône.

AUDY Jean Léon, né le 16 mai 1796. Il s’engage au 2^e régiment de hussards, le 20 mai 1815, dans le 6^e arrondissement de Paris. Il sert jusqu’en août 1815 époque à laquelle il déserte. Médaillé de Sainte Hélène demeurant 29 rue des Gravilliers, à Paris, en 1872.

AUGE Jacques Siméon, né le 22 février 1791. Il entre au 10^e régiment de hussards le 14 mars 1813 puis sert comme sapeurs pompier de Paris jusqu’au 21 février 1820. Médaillé de Sainte Hélène demeurant à Sainte Savine, Aube.

AUGE Louis. Il sert au 4^e régiment de hussards. Médaillé de Sainte Hélène demeurant à Castres, Tarn.

AUGEREAU Mathieu. Il sert comme hussard au 8^e régiment de hussards. Médaillé de sainte Hélène demeurant à Doix, Vendée.

AUGUSTONY Charles, né le 7 septembre 1793 à Montet, Suisse. Il sert comme maréchal des logis au 3^e régiment de hussards de 1808 à 1812. Médaillé de Sainte Hélène, il est plâtrier à Lons-le-Saunier, Jura.

AUJOUX Pierre, né le 29 avril 1790 aux Etoux. Il entre au 25^e régiment de chasseurs à cheval en février 1813. Il passe dans les  Hussards de Jérôme Napoléon en novembre 1813. Il sert jusqu’au 14 juin 1814. Il fait la campagne de Saxe, la campagne de Hollande. Il reçoit 5 coups de sabre, le 26 décembre 1813 et ai fait prisonnier de guerre. Médaillé de Sainte Hélène, il est propriétaire à Beaujeu, Rhône.

AULAGNE Blaise, né en 1790. Il sert au 8^e chasseurs à cheval puis au 4^e hussards de 1810 à 1815. Il fait la campagne de Prusse, de France et ai à Waterloo. Médaillé de Sainte Hélène demeurant à Yssingeaux, Haute-Loire.

AULLEN Jean, né le 21 octobre 1791 à Rimbach Bell. Il sert au 27^e chasseurs à cheval puis au 6^e hussards de 1811 à 1818. Médaillé de Sainte Hélène demeurant à Rimbach-Zell, Haut-Rhin.

AUMONT Baptiste. Il sert comme cavalier au 1^er régiment de hussards durant 6 ans. Médaillé de Sainte-Hélène demeurant à Mettray, Indre & Loire.

AUSSY. Il sert comme sous-lieutenant au 3e escadron du 1^er hussards en 1800, à l’armée d’Italie.

AUVIGNE Pierre, né en 1782 en Haute-Saône. Il entre au 3^e régiment de hussards en l’an IX puis passe dans l’artillerie de la Garde avant de servir comme sergent au 14^e régiment d'infanterie de ligne. Médaillé de Sainte-Hélène demeurant Percey le Pautel, Haute-Marne.

AVENEL Armand François, né en 1789. Il entre au 1^er régiment de hussards le 12 juin 1809 jusqu’au 13 novembre 1815. Médaillé de Sainte-Hélène demeurant à Bennetot, Seine Maritime.

AVERSENC Pierre. Il sert au 6^e régiment de hussards. Médaillé de Sainte-Hélène demeurant à Sorèze, Tarn.              

AVRIL Louis, né en 1783. Il sert comme hussard au 4^e régiment de hussards. Médaillé de Sainte-Hélène demeurant à Marsais-Sainte-Radegonde, Vendée.

Comme chaque année, l'Agence France Presse propose
une sélection de clichés qui ont marqué l'année. 
Immortalisant les joies mais aussi les plus grandes peines,
les photographes de l'AFP sillonnent le monde
afin de nous apporter des images
au plus proche de l'actualité, prenant parfois d'énormes risques
pour couvrir l'évènement. Retour sur une année 
mouvementée en images, mélant guerres, 
exploits sportifs, mouvements de société ou simples faits divers. 

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Un jeune indien se protège de la montée des eaux 
causée par la mousson, en Inde



Procession religieuse vers le Sangham, en Inde 



Manifestation sur l'esplanade des Droits de l'Homme à Paris



Pendant le Grand Prix de Monaco



Une fille est portée par sa mère lors des funérailles 
de Sayed Omran Sayed Hameed à Bahrein 



Un policier turque utilise un pistolet à gaz
lacrymogènes lors d'émeutes à Istanbul

à l'occasion de la Journée internationale de la paix, deux artistes britanniques ont rendu hommage aux victimes de l'Opération Neptune du 6 juin 1944 en dessinant 9 000 silhouettes sur une plage de Normandie. 
Jamie Wardley et Andy Moss se sont mis à l'ouvrage il ya quelques jours sur la plage d'Arromanches, en Normandie, accompagnés en début de journée de 60 bénévoles qui ont répondu présent pour aider les deux artistes à réaliser cette oeuvre. Au final, c'est quelques 500 personnes qui ont participé à la réalisation de ce projet baptisé " The Fallen ". 

En fin de journée, les deux artistes britanniques ont expliqué qu'ils espéraient par ce geste faire réfléchir le public aux notions de vie et de paix 
Un bel hommage n'est-ce pas ? 

Le sigle des gâteaux BN est l'abréviation de Biscuiterie Nantaise



La Biscuiterie Nantaise (BN) est créée en 1896 par des négociants
Dissoute en 1897 et reprise dans la foulée par Pierre Cossé et Pierre Pelletreau,
l'histoire de « la BN » commence vraiment avec son premier biscuit,
le Petit Breton, et des pâtisseries telles que madeleines, gaufrettes, boudoirs et macarons.



En 1902 un incendie détruit la biscuiterie et bloque la production pendant 4 mois
Elle est reconstruite en béton armé, matériau révolutionnaire pour l'époque
André Lotz remplace alors Pierre Pelletreau comme associé.
La vie de la biscuiterie est bouleversée en 1914 avec le début
de la première guerre mondiale. Les jeunes ouvriers sont appelés
a servir et la biscuiterie est réquisitionnée pour fabriquer le pain de guerre,
le « hard bread », destiné nourrir les soldats au front.



Au lendemain de la Première Guerre mondiale, la BN tire parti
de son expérience dans la fabrication du « hard bread »
et lance en 1922 son fameux « Casse-Croûte BN ». Ce biscuit simple et économique connaît un succès fulgurant et devient l'un des aliments constitutifs du régime alimentaire de l'ouvrier et de l'écolier.
Le premier biscuit populaire est né !



Fort du succès rencontré par le Casse-Croûte BN, une idée vient aux pâtissiers en 1933 : pourquoi ne pas tartiner le Casse-Croûte d'une couche de chocolat, puis poser un autre biscuit dessus « comme un sandwich » ? C'est ainsi que le Choco Cas'Croûte, futur Choco BN est né.

Mais avec l'arrivée de la Seconde Guerre mondiale en 1939, la biscuiterie concentre à nouveau sa production sur le « hard bread » ainsi que sur des biscuits caséinés, riches en calories et peu coûteux. Ils seront distribués aux écoliers et aux prisonniers de guerre.



En 1952, pour le lancement officiel du Choco BN « le goûter complet, le goûter tout prêt », la biscuiterie lance une grande opération promotionnelle novatrice : la tournée des plages. La caravane publicitaire sillonne les routes des villes balnéaires, les ventes décollent et dépassent toutes les prévisions.

Pour répondre à cette croissance fulgurante, les premières lignes automatisées sont mises en place en 1959, et la nouvelle usine de Vertou (banlieue nantaise) est construite en 1963.

En modernisant son système de production, la marque diversifie ses biscuits dans les années 60, c'est la naissance des BN aux fruits. Le goûter fourré à la confiture de fraise est le premier à faire son apparition en 1964, suivi de l'abricot en 1966, de la cerise et du cassis en 1968.

BN fait aussi preuve d'une étonnante créativité avec ses emballages. En 1963, la création du format individuel, un chapelet de 6 biscuits en portion unique, révolutionne le marché des biscuits. Les présentoirs envahissent les épiceries et les sachets se glissent dans tous les cartables ! En 1965, c'est le paquet vertical de 16 goûters qui crée la surprise et se démarque des paquets concurrents.



A partir de 1968, tous les efforts sont mis sur le Choco BN, le goûter plaisir des générations Spirou et Pif gadget. En 1978, le film publicitaire « L'horloge » crée l'événement avec sa célèbre chanson : « il est 4h, à la bonne heure, sortez des placards les quatre-heures... » écrite par Richard Gotainer. Les ventes doublent entre 1968 et 1980, les Goûters Fourrés BN occupent plus de 50% du marché national.

Face au tassement des ventes à partir de 1984, un plan d'action exceptionnel est lancé en 1986 pour « sauver le BN ». Il fait peau neuve : son goût est amélioré et de nouveaux parfums sont lancés (chocolat-noisette, chocolat-noix de coco et chocolat au lait).
En 1988, dans sa nouvelle publicité pleine d'humour réalisée par Etienne Chatiliez, BN renvoie les mamans à l'école pour vivre une journée de leur enfant. Elles en ressortent harassées et déclarent : « Maintenant que je sais la vie que tu mènes, j'oublierai plus tes BN. ».

La même année, la mythique BN Box fait son apparition.



En 1992, après plusieurs années de recherche, le « BN national » se métamorphose : deux yeux ronds et un sourire malicieux, le visage du BN est né ! Il sourit à la vie pour le plus grand bonheur des enfants. BN réussit ainsi à donner une seconde jeunesse à son biscuit emblématique.

Depuis sa création, la biscuiterie BN est implantée dans la région nantaise, les biscuits y sont fabriqués à partir de farine exclusivement française. En 2012, BN a donc obtenu le label « Origine France Garantie » pour les Goûters Fourrés BN, le Casse-Croûte et les Mini BN (Goûters Fourrés et Tartelettes).

Les débuts de l'industrie du tulle à Calais remontent à l'importation des premiers métiers à Saint Pierre-les-Calais par les Anglais Webster et Clark. Quatre métiers fabriquaient un tulle uni.


Exposition «Plein les yeux» au musée de la Dentelle à Calais © France 3/ Culturebox



Dès 1821, environ cinq ans après l'arrivée des premiers Anglais, on compta bientôt 210 personnes qui travaillent sur trente huit métiers appartenant à une dizaine de fabricants. Le matériel et la matière première parviennent à Calais par la contrebande car l'importation du tulle anglais est interdite en France. Peu à peu la main-d'œuvre calaisienne va contribuer à la construction des machines sous le contrôle des cadres anglais. Progressivement les ouvriers locaux intègreront l'encadrement puis celui des fabricants. En 1830, le calaisis (St-Pierre et Calais) comptent 113 fabricants pour 256 métiers. 65 sont des exploitants anglais et les entreprises sont petites pour la plupart avec un seul
métier. Seuls six exploitants ont plus de cinq métiers. C'est à cette époque qu'apparaîtront les premiers métiers Leavers qui produiront un tulle plus fin et de qualité supérieure. Des négociants calaisiens investissent dans la fabrication et le commerce du tulle. C'est aussi à partir de cette période que la révolution de la machine à vapeur et du système Jacquard lyonnais vont transformer peu à peu la production de tulle en production de dentelle mécanique. 

France 2013 : Christophe Riblon" />

Finalement, la chanson française a presque plus d'admiration pour les héros du coeur que pour les vainqueurs de multiples Tours de France.


France : Eddy Merckx et autres champions étrangers" />


La chanson française n'est pas particulièrement admirative d'Eddy Merckx ou de quelques autres grands champions étrangers. En revanche, elle aime passionnément des personnages romanesques comme Joachim Agostinho.



Les chansons de la chronique :



Sttellla : " Eddy Merckx " 1998

Jean Narcy : " Bravo Eddy " 1970

Philippe : " J'aime bien Eddy " 1972

André Verchuren : " On s'en fout, c'est les vacances " 1972

Sttellla : " Eddy Merckx " 1998

Fred Poulet : " Walking Indurain " 1996

Jean-Louis Murat : " Le Champion espagnol " 2011

Dick Annegarn : " Agostinho " 1990

Romain Didier : " Joachim Agostinho " 1992

Le Tour de France alors fonçons dans les rues des villes en guerriers du bitume - et à vélo.

France : Les rues et des villes" />

Joe Dassin n'a pas été le seul à chanter le vélo aventureux de l'espace urbain.



Profitons de la seconde journée de repos pour nous souvenir que le vélo est synonyme de liberté et même parfois d'un peu plus que de seulement aller où on veut quand on veut.



Les chansons de la chronique :



Merlot : " Sexy sur mon vélo " 2012

Joe Dassin : " Complainte de l'heure de pointe " 1972

Pierre Dac : "Toto t'a t'y ton vélo " 1934

Mell : " Seule sur mon vélo " 2007

Merlot : " Sexy sur mon vélo " 2012

Merlot : " Sexy sur mon vélo " 2012

Jean Cyrano : " Vas-y Théophile " 1934