Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
19.11.2024
18319 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1154)
· A à Z : Sommaire (355)
· Mannequin de charme (945)
· Musique (399)
· Monde : France (2738)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (265)
· Cinéma : Films à classer (153)
· Calendrier : Naissances (246)
· Mannequin (210)
air amour annonce art article background base belle blogs center centerblog centre
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Mary Caroline Pierce est une joueuse de tennis française, professionnelle de 1989 à 2006, née le 15 janvier 1975 à Montréal. Née d'une mère française et d'un père américain, elle grandit aux États-Unis et possède la double nationalité franco-américaine mais elle défend les couleurs françaises en compétition, notamment en Fed Cup.
Au cours de sa carrière sportive, Mary Pierce a notamment gagné deux tournois du Grand Chelem en simple dames : l'Open d'Australie en 1995 et Roland-Garros en 2000. Elle a atteint la finale de quatre autres éditions du Grand Chelem : à l'Open d'Australie 1997, à Roland-Garros 1994 et 2005, puis à l'US Open 2005. Elle possède aussi deux titres du Grand Chelem en double : à Roland-Garros en double dames en 2000 et à Wimbledon en double mixte en 2005, ainsi qu'une finale perdue à l'Open d'Australie en double dames en 2000. Elle a également atteint deux fois la finale du Masters en 1997 et 2005. Au total, elle a remporté 18 tournois en simple et 10 en double dames, et a été classée 3e mondiale dans les deux spécialités. Avec l'équipe de France, elle a également gagné deux fois la Fed Cup en 1997 et 2003.
Mary Pierce fait partie du cercle fermé des joueuses comptabilisant plus de 500 victoires en carrière, ainsi que des joueuses ayant gagné au moins un tournoi sur toutes les surfaces. Par ailleurs, elle est l'une des trois seules françaises avec Amélie Mauresmo et Marion Bartoli à avoir gagné au moins un titre du Grand Chelem et a avoir atteint les quarts de finale en simple dans les quatre tournois du Grand Chelem. Elle détient le record de six finales disputées en Grand Chelem parmi les joueurs français de l'ère Open, hommes et femmes confondus.
Mary Pierce découvre le tennis à l'âge de 10 ans en Floride, en accompagnant une copine à un entraînement. Rapidement passionnée, la jeune fille convainc son père, Jim, de l'inscrire à l'académie de Harry Hopman, où elle va se forger un style fondé sur la puissance et les qualités physiques. En 1987, elle remporte le Championnat des États-Unis des moins de douze ans ; son père abandonne alors son métier pour s'improviser entraîneur de tennis.
Ne passant pas par le circuit junior, Mary commence sa carrière professionnelle en 1989 par le tournoi WTA Tiers II de Hilton Head. Elle devient alors la plus jeune joueuse à entrer sur le circuit (14 ans et 2 mois) jusqu'à ce que Jennifer Capriati ne lui prenne ce record l'année suivante.
1991-1992 voient Mary Pierce percer au plus haut niveau. Avec quatre succès dans des épreuves secondaires (Palerme en 1991 en simple comme en double, puis Cesena, Palerme et Porto Rico en 1992), elle gravit rapidement les échelons de la hiérarchie mondiale, passant du 236e rang en 1989, au 13e rang en 1992 à la WTA.
1993 est sa première grande année. La Française atteint en effet pour la première fois les quarts de finale dans un tournoi du Grand Chelem à l'Open d'Australie. Opposée à l'argentine Sabatini, elle obtient quatre balles de match dans le jeu décisif du deuxième set qu'elle perd 14 points à 12. Elle n'oppose ensuite plus aucune résistance dans le dernier set et s'incline 4-6, 7-6, 6-0 en presque trois heures de jeu. Mary atteint les 8èmes de finale à Roland Garros s'inclinant face à la no 8 mondiale Jennifer Capriati au terme d'un match très disputé 6-4, 7-6. Elle est également 8e de finaliste à l'US Open vaincue 6-1, 6-0 par la no 1 Steffi Graf. Au mois d'octobre, elle remporte le Grand Prix de Stuttgart face à Natasha Zvereva 6-3, 6-3. Participant au Masters pour la première fois, Mary y atteint les demi-finales en battant deux top 10 : la no 5 Sabatini (7-6, 6-3) au premier tour puis Martina Navrátilová no 3 mondiale (6-1, 3-6, 6-4) en quart. Elle est stoppée en demi par Arantxa Sánchez Vicario 6-2, 5-7, 6-2 puis finit l'année à la 12e place mondiale.
Ses premiers pas sont toutefois marqués par l'omniprésence bruyante de son père et entraîneur, Jim Pierce, qui finit par être exclu des courts de tennis. L'émancipation de Mary Pierce et son travail avec Nick Bollettieri, son nouvel entraîneur, lui permettent de changer totalement son approche du jeu et contribuent à sa progression.
Notons que sur le circuit ITF, inférieur au circuit WTA, elle remporte 2 titres en simples et 4 en doubles.
1994 est l'année de sa confirmation. Sous l'égide de Sven Gröneveld, Mary est 8e de finaliste à l'Open d'Australie, battue, encore une fois, par Sabatini (6-3, 6-3). Surtout, elle se hisse en finale à Roland-Garros à l'issue d'un parcours impressionnant, ne perdant que dix jeux pour arriver en finale et en laminant au passage la numéro un mondiale et tenante du titre Steffi Graf en demi (6-2, 6-2). Mais elle s'incline 6-4, 6-4 en finale face à Arantxa Sánchez Vicario, au terme d'un match joué sur deux jours en raison de la pluie. Elle atteint quatre autres finales cette même année à Houston, Leipzig, Filderstadt et Philadelphie. En septembre elle est pour la première fois quart de finaliste à l'US Open, battue par Jana Novotná 6-4, 6-0. Elle est ensuite une nouvelle fois demi-finaliste au Masters, battue par Lindsay Davenport 6-2, 6-3 après avoir vaincu Steffi Graf en quart de finale 6-4, 6-4.
En 1995 elle connaît la consécration en remportant son premier tournoi du grand chelem à l'Open d'Australie. Impressionnante, elle ne perd aucun set et bat successivement 4 joueuses du top 10 : Anke Huber (no 10) 6-2, 6-4, Natasha Zvereva (no 8) en quart de finale 6-1, 6-4, Conchita Martínez (no 3) en demi-finale 6-3, 6-1, puis Arantxa Sánchez Vicario en finale 6-3, 6-2. À l'issue du tournoi Mary atteint son meilleur classement à savoir numéro 3 mondiale. En février elle est finaliste à l'Open Gaz de France battue par Steffi Graf 6-2, 6-2 et finaliste à Zurich en octobre, battue par Iva Majoli 6-4, 6-4. Elle remporte en septembre le tournoi de Tokyo face à Arantxa Sánchez Vicario 6-3, 6-3. En grand chelem elle est 8e de finaliste à Roland Garros, 2ème tour à Wimbledon et 3e tour à l'US Open. Elle est battue au premier tour du Masters par Anke Huber 6-2, 6-3.
1996 est une mauvaise saison pour Mary Pierce qui blessée, enchaîne les contre performances : elle perd son titre en Australie dès le deuxième tour, battue par Elena Likhovtseva 6-4, 6-4, ne dépasse pas le troisième tour à Roland Garros et finit la saison numéro 22 mondiale. Néanmoins elle atteint tout de même la finale du tournoi d'Amelia Island où elle est battue 6-7, 6-4, 6-3 par Irina Spîrlea ainsi que, pour la toute première fois les quarts de finale à Wimbledon perdant en trois set 3-6, 6-3, 6-1 face à la japonaise Kimiko Date.
En 1997 Mary revient très fort. Non tête de série à l'Open d'Australie, elle y atteint la finale en battant Anke Huber en 8e de finale 6-2, 6-3, Sabine Appelmans en quart 1-6, 6-4, 6-4 et Amanda Coetzer (tombeuse de Steffi Graf) en demi-finale 7-5, 6-1. Elle échoue en finale face à la prodige suisse Martina Hingis sur le score de 6-2, 6-2. Remise en confiance Mary effectue une très bonne saison sur terre battue : finaliste à Amelia Island ainsi qu'à Berlin, elle remporte le tournoi de Rome 6-4, 6-0 face à Conchita Martinez et réussit un quart de finale au tournoi de Hambourg. Lors de ces quatre tournois, Mary bat de nombreuses joueuses de premier plan : Monica Seles, Arantxa Sánchez Vicario, Iva Majoli la vainqueur de Roland Garros quelques semaines plus tard, ou encore Amanda Coetzer. Forte de cette préparation, Mary Pierce atteint les 8e de finale de Roland Garros, battue 6-4 7-5 par Monica Seles au cours d'un match accroché. Lors de l'été 1997, Mary Pierce atteint les 8e de finale de Wimbledon pour la seconde fois de sa carrière, battue par Arantxa Sanchez Vicario 6-1 6-3 et s'arrête au même stade de la compétition à l'US Open face à Monica Seles (1-6 6-2 6-2). Fin septembre, elle remporte la Fed Cup contre les Pays-Bas avec Sandrine Testud et Nathalie Tauziat sous le capitannat de Yannick Noah. En novembre elle est pour la première fois finaliste au Masters, vaincue par Jana Novotná 7-6, 6-2, 6-3 après avoir battu Martina Hingis en quart de finale 6-3, 2-6, 7-5. Elle termine cette saison 1997 au 7e rang mondial.
1998 est une année prolifique pour Mary qui remporte 4 tournois : l'Open Gaz de France, Amelia Island, Moscou, Luxembourg et est finaliste à San Diego. En Grand Chelem elle est quart de finaliste à l'Open d'Australie battue 6-3, 6-2 par Martina Hingis, 8ème de finale à l'US Open, 1er tour à Wimbledon et 3e tour à Roland Garros. Elle est quart de finaliste au Masters battue par Martina Hingis 7-6, 6-3 et se maintient à la 7e place mondiale.
1999 est aussi une très belle saison pour la Française qui atteint 4 finales à Gold Coast, Hambourg, Rome, Filderstadt et remporte le tournoi de Linz 7-6, 6-1 face à sa compatriote Sandrine Testud. Elle est quart de finaliste à l'Open d'Australie, battue pour la troisième fois consécutive par Martina Hingis. Elle perd en quart de finale de l'US Open à l'issue d'un match de très grande qualité face à Lindsay Davenport 6-2, 3-6, 7-5 après avoir eu 2 balles de match. Elle finit l'année par un quart de finale au Masters, battue une fois encore par Hingis 6-1, 6-2 et se voit récompensée de son année par une 5e place au classement WTA.
En 2000, jouant un tennis de grande qualité, Mary, entraînée par son frère David, est demi-finaliste à Indian Wells en battant Serena Williams 6-1, 6-2. Elle remporte le tournoi de Hilton Head face à Arantxa Sanchez-Vicario 6-1, 6-0, en demi-finale elle bat 6-1, 6-1 Monica Seles. À Roland Garros elle remporte son deuxième tournoi du Grand Chelem 6-2, 7-5 face à Conchita Martinez. En quart de finale elle bat Monica Seles 4-6, 6-3, 6-4 en réalisant un très célèbre point gagnant joué entre les jambes. En demi-finale elle bat la numéro un mondiale Martina Hingis 6-4, 5-7, 6-2. Associée à Martina Hingis elle gagne également le double. La Française redevient alors numéro 3 mondiale. Atteignant le 2e tour à Wimbledon, elle finit sa saison par un huitième de finale à l'US Open où blessée, elle doit abandonner face à Anke Huber alors qu'elle avait perdu la première manche 6-4. Notons qu'au 10 juillet 2000, elle atteint son meilleur classement en double, soit la 3è place mondiale.
Les pépins physiques vont alors se multipler pour la Française qui ne jouera que très peu en 2001. Elle dégringole au classement WTA. De retour en 2002, alors classée aux alentours de la 130e place mondiale, elle réussit l'exploit d'atteindre en tant que wild card les quarts de finale à Roland Garros battue 6-1 6-1 par la future vainqueur Serena Williams.
En 2003 elle obtient des résultats encourageants avec un 8e de finale à Wimbledon battue 6-3, 6-3 par Justine Henin-Hardenne et un autre 8e de finale à l'US Open battue par Anastasia Myskina 7-6, 6-1. En outre à Filderstadt Mary bat pour la première fois une joueuse du top 5 depuis Roland Garros 2000, il s'agit de Jennifer Capriati (5ème mondiale) vaincue 6-4, 6-2 au 2e tour. Avec Amélie Mauresmo elle remporte pour la deuxième fois la Fed Cup face aux USA.
En 2004 Mary obtient de solides résultats : finaliste à l'Open Gaz de France, elle remporte ensuite son premier tournoi depuis Roland Garros 2000 sur le gazon de Bois-le-Duc 7-6, 6-2 face à Klára Zakopalová. Elle entre ainsi dans le cercle prestigieux des joueuses ayant remporté au moins un tournoi sur chacune des surfaces existantes (synthétique, terre battue, gazon et ciment). Elle est ensuite quart de finaliste aux Jeux olympiques d'Athènes, s'inclinant 6-4, 6-4 face à Justine Henin-Hardenne après avoir battu sur le même score la tenante du titre Venus Williams au tour précédent. À l'US Open elle réalise une grande performance en battant au troisième tour la toute récente vainqueur de Wimbledon et no 7 mondiale Maria Sharapova sur le score de 4-6, 6-2, 6-3. En huitième de finale Mary s'incline 7-6, 6-2 face à la future vainqueur Svetlana Kuznetsova.
2005 est sa plus grande saison, marquée aussi par le retour à ses côtés de son frère David. Après une défaite au premier tour de l'Open d'Australie face à Stephanie Cohen-Aloro, Mary est quart de finaliste au tournoi d'Indian Wells, s'inclinant 6-4, 6-2 face à Maria Sharapova à l'issue d'un match spectaculaire.
8ème de finaliste dans plusieurs tournois de préparation à Roland Garros, elle entame les Internationaux de France en tant que tête de série no 22. Elle va y effectuer un parcours exceptionnel. Elle bat la numéro 11 mondiale, Vera Zvonareva, au troisième tour sur le score de 7-6, 7-5 après avoir été menée 5-2 et avoir sauvé une balle de set dans la première manche. En huitième de finale, elle bat la numéro 10 mondiale (et alors considérée comme no 2 sur terre battue) Patty Schnyder en trois sets : 6-1, 1-6, 6-4 dans un match qui vaut pour l'intensité de sa troisième manche épique où Mary a besoin de 11 balles de matchs pour conclure. En quart de finale, la française bat la numéro un mondiale Lindsay Davenport 6-3, 6-2. Le rêve continue pour Mary Pierce qui bat la russe Elena Likhovtseva 6-1, 6-1 en demi-finale. Mais ratant complètement son match, elle est battue 6-1, 6-1 en finale par Justine Henin-Hardenne.
Mary est ensuite quart de finaliste à Wimbledon, battant Ana Ivanovic au passage, mais s'inclinant face à la future gagnante Venus Williams 6-0, 7-6. Après un premier set raté perdu 6-0, la française hisse son niveau de jeu dans une seconde manche acharnée qu'elle perd 12 points à 10 au tie-break après avoir eu 5 balles de set. Elle remporte toutefois un titre à Wimbledon : le double mixte associée à l'indien Mahesh Bhupathi.
Mary est alors numéro 12 mondiale. Elle remporte en août le 17e titre de sa carrière à San Diego, battant en finale la japonaise Ai Sugiyama 6-0, 6-3.
Elle réalise ensuite un US Open formidable en battant coup sur coup Justine Henin-Hardenne (no 8) en huitième de finale 6-3, 6-4, Amélie Mauresmo (no 3) 6-4, 6-1 en quart de finale et Elena Dementieva (no 7) 3-6, 6-2, 6-2 en demi-finale. Elle devient ainsi la première française à atteindre la finale de l'US Open. Mais en finale elle ne peut rien faire face à Kim Clijsters qui la bat 6-3, 6-1. Mary est alors no 6 mondiale.
Lors de la finale de la Fed Cup qui se dispute à Roland Garros face à la Russie, Mary perd son premier match 7-6, 2-6, 6-1 face à Elena Dementieva. Elle remporte son second match à l'issue d'un époustouflant retour face à Anastasya Myskina. En effet, dans ce match Mary a été menée 6-4, 4-1 service à suivre. Elle remporta finalement le match 4-6 6-4 6-2. Elle perd le double décisif et donc la Fed Cup avec Amélie Mauresmo face à la paire Elena Dementieva-Dinara Safina 6-4, 1-6, 6-3.
Elle remporte à Moscou le 18e titre de sa carrière face à Francesca Schiavone 6-4, 6-3. En quarts de finale, elle dut sauver, lors du tie break du troisième set, 6 balles de match contre Elena Likhovtseva. Menée 6-0 au tie break, elle le remporta finalement 8-6, empochant le match au passage! La régularité dans l'excellence devient alors la grande force de Mary, qu'elle n'a que peu connue dans sa carrière.
Mary devient ainsi numéro 5 mondiale et se qualifie pour le Masters.
Au Masters elle gagne tous ses matchs de poules successivement face à Kim Clijsters 6-1, 4-6, 7-6, Elena Dementieva 6-2, 6-3 et Amélie Mauresmo 2-6, 6-4, 6-2. En demi-finale elle bat Lindsay Davenport 7-6, 7-6. En finale Mary est cependant battue 5-7, 7-6, 6-4 par Amélie Mauresmo en 3h07 de jeu à l'issue d'un match fabuleux et de très grande qualité, considéré comme l'un des meilleurs matchs de 2005.
Mary commence l'année avec l'objectif de devenir numéro 1 mondiale. Elle débute sa saison 2006 à l'Open d'Australie où elle bat Nicole Pratt 6-1, 6-1 au premier tour. C'est l'accident au deuxième tour où Mary est battue 6-3, 7-5 par Iveta Benešová.
La Française est ensuite finaliste à l'Open Gaz de France, battue 6-1, 7-6 par Amélie Mauresmo après avoir battu Patty Schnyder en demi-finale 6-4, 6-2.
Mais une blessure à la cheville, contractée lors de la finale en France, gâche ensuite sa saison et l'empêche de défendre ses chances à Roland Garros et à Wimbledon. Elle pointe tout de même, au 8 mai 2006, au 4e rang mondial.
Après quasiment six mois de patience pour soigner une tendinite au pied, Mary effectue son retour sur le circuit à San Diego, tournoi dont elle est la tenante du titre. Elle y bat tout d'abord Sybille Bammer 6-1, 6-7, 7-6 puis Emma Laine 6-1, 6-2. Elle est battue en quart de finale par la future vainqueur Maria Sharapova 6-2, 6-3.
A l'US Open elle bat au premier tour Elena Vesnina 7-5, 6-1, puis Eva Birnerová 6-3, 6-4 au deuxième tour. Au troisième tour elle est battue 4-6, 6-0, 6-0 par la Chinoise Li Na. Mary Pierce a ensuite beaucoup de mal à confirmer son retour. Elle perd au premier tour de Stuttgart, Luxembourg et Zurich.
A Linz, revenant sur de bonnes bases, Mary bat Ai Sugiyama 7-6, 7-6. Mais ensuite, alors qu'elle menait 6-4, 6-5 contre la Russe Vera Zvonareva en 1/8e de finale, elle se tord très violemment le genou gauche et est contrainte à l'abandon. Elle souffre alors d'une déchirure des ligaments croisés du genou gauche, qui lui vaut une opération. En dépit d'une convalescence plus longue que prévue, elle souhaite reprendre à tout prix le tennis avec pour principal objectif de briller aux Jeux olympiques de Pékin en 2008.
Contre toute attente, la Fédération française de tennis a annoncé le 23 juin 2008 que Mary ferait partie de la liste des 4 joueuses sélectionnées pour les Jeux olympiques de Pékin en simple du fait de son classement protégé (27e). Mais pas encore prête physiquement, elle renonce à cet objectif. La même année, elle joue à une exhibition caritative aux côtés de son modèle Chris Evert. On apprend par la même occasion que son genou lui fait encore mal, deux ans après l'accident.
Son retour, qu'elle souhaite profondément, ne se fera que si le physique le lui permet. Très libre lorsqu'elle parle de sa foi chrétienne, elle affirme que Dieu est son plus grand soutien.
Début 2009, Mary Pierce aurait repris l'entraînement aux côtés de Jelena Doki? en Floride, sous l'égide de Nick Bollettieri. Mais rien n'est annoncé quant à son retour à la compétition.
Le 22 août 2009, le quotidien français L'Équipe annonce qu'elle a repris un entrainement intensif et qu'elle pourrait reprendre le chemin de la compétition en 2010.
En février 2011, elle participe à un match caritatif à l'Open Gaz de France mais révèle que son genou la gêne encore. Mais elle n'annonce toujours pas sa retraite et à 36 ans elle se demande si elle a encore envie de faire les sacrifices qu'un retour sur le circuit implique. Elle évoque qu'elle aimerait une dernière fois jouer sur le central de Roland Garros pour dire au revoir à son public lors d'un match exhibition. Mary partage sa vie entre la Floride, Paris et l'Ile Maurice où elle met en place une association humanitaire pour les enfants.
En 2012, même si sa retraite n'a jamais été officialisée, Mary Pierce s'occupe de l'entrainement d'une jeune Mauricienne Emmanuelle de Beer. Elle a également demandé la nationalité mauricienne.
|
Ci-dessous est présentée une liste non-exhaustive des principales unités défilant ou ayant défilé sur l'Avenue des Champs-Élysées lors du 14 Juillet.
Élèves de l'École militaire interarmes.
Environ 4 000 militaires et civils (policiers, sapeurs-pompiers) défilent à pied.
L'École polytechnique ;
L'École des officiers de la gendarmerie nationale ;
L'École spéciale militaire de Saint-Cyr ;
L'École militaire interarmes et l'École d'administration militaire ;
L'École navale et l'École militaire de la flotte ;
L'École des officiers du commissariat de la marine ;
L'École de l'air et l'École militaire de l'air ;
L' École de santé des armées;
L'École nationale des sous-officiers d'active ;
L'École de maistrance ;
L'École des mousses ;
L'École de formation des sous-officiers de l'armée de l'air ;
Les deux régiments d'infanterie de la garde républicaine ;
Le 1er régiment d'hélicoptères de combat ;
La brigade de sapeurs-pompiers de Paris ;
Le bataillon de marins-pompiers de Marseille ;
Marins du porte-hélicoptères Jeanne d'Arc ;
L'École nationale supérieure de la police ;
L'École nationale supérieure des officiers de police ;
L'École nationale de police ;
Les pionniers de la Légion étrangère ;
La musique de la Légion étrangère ;
La musique des équipages de la flotte (Brest et Toulon) ;
Le 1er régiment étranger de cavalerie ;
L'École nationale supérieure des officiers de sapeurs-pompiers.
Élèves sous-officiers de l'École nationale des sous-officiers d'active.
Ci-dessous est présentée une liste non-exhaustive des principales unités défilant ou ayant défilé sur l'Avenue des Champs-Élysées lors du 14 Juillet.
Le régiment de cavalerie de la Garde républicaine attendant d'ouvrir le défilé des troupes montées, défilé du 14 juillet 2008 (sur les Champs-Élysées, Paris)
Unités montées
Environ 240 chevaux défilent avec leur cavalier.
La fanfare du régiment de cavalerie de la Garde républicaine ;
Le régiment de cavalerie de la Garde républicaine.
Ci-dessous est présentée une liste non-exhaustive des principales unités défilant ou ayant défilé sur l'Avenue des Champs-Élysées lors du 14 Juillet.
Un ERC-90 Sagaie sur les Champs-Élysées en 2005.
Environ 460 véhicules dont 80 motos défilent.
Un état-major de force opérationnelle ;
Un bataillon de chasseurs alpins ;
Un régiment de chasseurs ;
Un bataillon du Régiment du train ;
Un escadron motocycliste de la gendarmerie ;
Un régiment étranger d'infanterie ;
Un régiment étranger de génie ;
Un régiment de spahis des Forces armées ;
Un régiment du matériel ;
Un régiment d'artillerie de marine ;
Un régiment médical.
Ci-dessous est présentée une liste non-exhaustive des principales unités défilant ou ayant défilé sur l'Avenue des Champs-Élysées lors du 14 Juillet.
Avions en formation au-dessus de la place de la Concorde en 2012
Le défilé aérien d'ouverture comprend, outre les neuf Alpha Jets de la Patrouille de France, une soixantaine d'avions.
Boeing C-135 Stratolifter ;
Boeing E-3 Sentry (AWACS) ;
C-160 Transall ;
Dassault Mirage 2000 ;
Dassault Rafale ;
Dassault Super-Étendard ;
Eurocopter AS350 Écureuil ;
Eurocopter EC665 Tigre ;
Eurocopter SA330 Puma ;
Falcon 50 ;
Gazelle ;
Grumman E-2 Hawkeye ;
Lockheed C-130 Hercules ;
Lynx ;
Panther ;
Super Frelon.
Créé en 1903 par le quotidien sportif parisien L'Auto, le Tour est un excellent laboratoire pour les médias hors presse du xxe siècle. Le premier reportage radiophonique en direct a été réalisé par Jean Antoine et Alex Virot en 1930. Dès lors, la radio s'impose sur le journal, qui ne peut donner les résultats que le lendemain matin. Les actualités cinématographiques ne furent jamais de véritables concurrents, car elles diffusaient toujours les étapes avec plusieurs jours de décalage. La télévision est présente sur la route du Tour dès la fin des années 1940 mais doit expérimenter toutes sortes de moyens afin d'assurer un reportage correct de la course. Le premier reportage en direct d'un sommet alpin se limita en effet à un plan fixe du passage du col. Le reportage reprit deux heures plus tard avec un plan fixe de la ligne d'arrivée. Il faut attendre les années 1960 pour assister à des reportages télévisés en direct faisant véritablement pénétrer le téléspectateur au cœur de la course, grâce à des caméras embarquées sur des motos relayées par avion ou hélicoptère. Ainsi, on peut définir trois âges médiatiques pour le Tour : le journal papier de 1903 aux années 1920, puis la radio des années 1930 au début des années 1960, enfin la télévision depuis la fin des années 1960. Les journaux papier, L'Équipe en tête, n'abdiquèrent évidemment pas face à la montée en puissance de la radio et de la télévision, mais la description pure de l'étape laissa progressivement la place à des points de vue décalés. Antoine Blondin excellait dans ce genre.