Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
19.11.2024
18319 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1154)
· A à Z : Sommaire (355)
· Mannequin de charme (945)
· Musique (399)
· Monde : France (2738)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (265)
· Cinéma : Films à classer (153)
· Calendrier : Naissances (246)
· Mannequin (210)
afrique air amour annonce art article background base belle blogs center centerblog
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Janvier : André Citroën obtient une commande d'un million d'obus de 75. Il installe ses usines Quai de Javel à Paris.
8 janvier : Violents combats au nord-est de Soissons, qui marque le début de la bataille de Crouy qui se termine le 14.
16 février : Deuxième offensive alliée en Champagne pour empêcher tout transfert de troupes allemandes sur le front russe.
20 février : Bombardement de Reims.
22 février : Le général Louis Loyzeau de Grandmaison est mortellement blessé à 1 km de Soissons, d'un éclat d'obus dans la tête
16 mars : Fin de la bataille de Champagne. Échec de la tentative de percée française en Champagne (février-mars).
21 mars : Un Zeppelin bombarde Paris.
9 mai : Offensive française en Artois. Echec (juin).
26 août, France : La Chambre vote les nouveaux crédits militaires.
25 septembre: Seconde bataille de Champagne, l'une des trois grandes offensives franco-britanniques lancées simultanément sur le front occidental. Le 29 l'attaque générale est arrêtée, elle laissera 138 576 hommes hors de combat, c'est un échec. Le 6 octobre les combats reprendront pour dix jours afin de rectifier les « aspérités » du front, surtout vers Tahure.
13 octobre : Démission du ministre des Affaires étrangères Théophile Delcassé à la suite de l'échec des négociations avec la Bulgarie. Le président du Conseil René Viviani assure l'intérim.
16 octobre : Réquisition des blés et farines.
29 octobre : Démission du président du Conseil Viviani. Aristide Briand Président du Conseil (Gouvernement Aristide Briand ).
17 novembre: Premier saut militaire en parachute par Constant Duclos.
25 novembre : Emission de l'emprunt de la victoire (rente à 5%).
Décembre : Tensions entre le gouvernement et l'état-major.
2 décembre : Le général Joffre est nommé par décret commandant en chef de toutes les armées françaises en Europe.
Disparition de La Gazette, le premier hebdomadaire français (fondé en 1631).
Émission d'un emprunt national à 5% pour financer la guerre.
L'inflation se monte à 20%.
Obligations et emprunts de la Défense nationale.
|
L'histoire de l'éducation des Françaises ne commence réellement qu'au XIXème siècle. C'est à cette époque, après des années de tourmentes politiques, que l'on verra de réelles avancées dans l'éducation des filles de toutes les classes sociales.
- Mars 1850 : La loi Falloux fixe l'objectif d'une école primaire de filles dans chaque commune de plus de 800 habitants. Le programme obligatoire comprend, l'apprentissage de la lecture, de l'écriture, des rudiments du calcul, une éducation morale et religieuse et pour les filles, les "travaux d'aiguille".
- Octobre 1862 : La première école professionnelle pour jeunes filles voit le jour en France, à Paris. C'est une école de couture ouverte par Elisa Lemonnier.
Après des années d'instabilité politique qui virent plusieurs régimes se succéder, en 1880, les républicains ont à coeur de disposer d'écoles laïques et publiques, de manière à assurer la formation de citoyens éclairés susceptibles de prendre part à la vie démocratique. Et les femmes n'en sont pas exemptes, bien au contraire.
Après la loi de laïcisation de l'enseignement en 1879, Camille Sée, député de gauche s'attaque à l'éducation des jeunes filles. Résultat, le 21 décembre 1880, la loi Camille Sée autorise la création de lycées laïques de jeunes filles. Moins de deux ans plus tard, les lois scolaires de Jules Ferry sont votées, affirmant l'obligation, pour les enfants des deux sexes, de fréquenter l'école de 6 à 13 ans (loi du 28 mars 1882 sur l'enseignement primaire obligatoire).
|
Ipoustéguy, pseudonyme de Jean Robert, né le 6 janvier 1920 à Dun-sur-Meuse (Meuse) et mort le 8 février 2006 à Doulcon (Meuse) est un sculpteur et peintre français.
Il a réalisé 600 sculptures.
En 1937, il suit les cours du soir de la ville de Paris. Il abandonne son nom, Robert, pour adopter celui de sa mère, Ipoustéguy.
Il entreprend son apprentissage artistique en 1938 dans l'atelier de Robert Lesbounit. Réfractaire au STO pendant l'Occupation, il trouve à s'employer à la gare de Saintes où il échappe à un bombardement grâce à un soldat allemand qui lui ouvre la porte d'un blockhaus. Il fera don à la ville de Saintes de "La maison de Lénine", visible à la gare.
En 1948, il participe selon les vœux de Robert Lesbounit à une expérience de travail collectif inspirée des chantiers médiévaux. Il a lui-même réalisé deux fresques à l'église Saint Jacques le Majeur de Montrouge.
Il abandonne la peinture en 1953 pour se focaliser sur la sculpture, le dessin et l'écriture.
Il travaille dans son atelier situé quartier des Gondoles à Choisy-le-Roi.
Henri-Georges Adam l'introduit au salon de mai à Paris.
En 1962, il entre à la galerie Claude-Bernard à Paris où il reste vingt-deux ans.
En 1971, il édifie un ensemble de statues monumentales à l'Institut Paul Langevin et Max von Laue à Grenoble appelé Homme forçant l'unité.
En 1975, il réalise Hydrophage, une sculpture commandée par la Ville de Paris qui est exposée en permanence au Musée de la sculpture en plein air.
En 1979, Berlin charge Ipoustéguy d'édifier devant le palais International des Congrès, le plus grand ensemble sculptural exécuté depuis la guerre : L'homme construit sa ville.
En 1982, il réalise un ensemble de quatre sculptures, dont une évocation de Louise Labé pour la place Louis-Pradel à Lyon.
En 1985, devant la bibliothèque de l'Arsenal, place du Père Teilhard de Chardin, il installe son Rimbaud L'homme aux semelles devant.
En 1987, il édifie une Fontaine Béraudier devant la gare de Lyon Part-Dieu.
En 1986, il participe à une exposition de groupe à la Galerie DM SARVER
En 1988 il expose à la Galerie DM SARVER "Aquarelles et Fruits".
En 1989, l'œuvre monumentale À la santé de la Révolution est installée dans le parc Jean Moulin à Bagnolet. et il fait l'objet d'un livre "Artcs et Traits" dessins de 1985 à 1988, livre coédité par Cercle D'art et DM SARVER
En 1990 au Salon SAGA il est représenté par la Galerie DM SARVER
En 1991, il exécute la statue-colonne Nicolas Appert à Châlons en Champagne, commande de l'Association internationale Nicolas Appert.
En 1992, il érige une statue en bronze de 8 mètres de haut Protection de la vie à l'Hôpital d'Osnabrück.
En 1999, il installe Porte du Ciel dans le couvent des Dominicains à Brunswick et une statue monumentale Ciel, Soleil, Lune à Salzgitter.
En 1994, il installe dans l'église de Dun-sur-Meuse sa sculpture monumentale Mort de l'évêque Neumann, réalisée en 1976. Elle avait été refusée par les Américains.
Certaines de ses œuvres sont présentées à Bar-le-Duc et le Centre Culturel Ipoustéguy à Dun-sur-Meuse offre une belle collection, en particulier des marbres.
Son corps a été inhumé le 14 février 2006 au cimetière du Montparnasse (16éme division). Sur sa tombe figure une de ses sculptures :Erose en sommeil.
Ipousteguy reçoit en 1964 le prix Bright à la Biennale de Venise; en 1968, le prix de la ville de Darmstadt; en 1977, le Grand prix national des arts ; en 1984, Chevalier de la Légion d'Honneur ; en 2005 les palmes académiques ; en 2003, le prix de sculpture de la Fondation Simone et Cino Del Duca à Paris. Il a réalisé 600 sculptures. L'écrivain américain John Updike considère dans son ouvrage Un simple regard que c'est le « plus grand sculpteur français vivant ».
Musées
Abu Dhabi, National Museum of Saadiyat Island.
Baltimore, Baltimore Museum of Art.
Bar le Duc, le musée Barois
Berlin, Nationalgalerie.
Bobigny, Fonds départemental d'Art Contemporain.
Châlons en Champagne, Musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Châlons-en-Champagne.
Chicago, Art Institute.
Copenhagen, Carlsberg Glyptotek.
Darmstadt, Hessiches Landesmuseum.
Dun-sur-Meuse, Centre Ipoustéguy
Grenoble, Musée d'Art Moderne.
Hannover, Sprengel Museum.
London, Tate Gallery.
London, Victoria and Albert Museum.
Lyon, Musée des Beaux-Arts.
Marseille, Musée Cantini.
Martigny, Fondation Pierre Gianadda, Parc de sculptures.
Melbourne, National Gallery of Victoria.
New-Orleans, Virlane Fondation.
New York, The Museum of Modern Art.
New York, Solomon R. Guggenheim Museum of Art.
Oberhausen, Museen Ludwig
Paris, Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris.
Paris, Musée de la Sculpture en Plein Air.
Pittsburgh, The Carnegie Museum.
Reno, Nevada Museum of Art.
Tokyo, Hakone Museum of Art.
Toulouse, Artothèque.
Troyes, Musée d'Art Moderne.
Washington, Hirshhorn Museum and Sculpture Garden.
Le rallye Dakar (ou « Le Dakar », anciennement rallye Paris-Dakar) est un rallye-raid professionnel, qui se dispute chaque année au mois de janvier, en Afrique ou en Amérique du Sud. Ce rallye est actuellement organisé par Amaury Sport Organisation.
Logo Paris Dakar
La course eut d'abord lieu en 1979, deux ans après que Thierry Sabine se fut perdu dans le désert (lors de la course Abidjan-Nice, où il courait en moto) et décida que c'était un bon endroit pour organiser un rallye. « Et pourquoi pas à Dakar ? » dit Thierry Sabine, organisateur. Il partit de Paris pour se terminer à Dakar avec un transfert par la Méditerranée.
En 1986, le rallye est endeuillé par la mort de Thierry Sabine (voir aussi: Rallye Dakar 1986) lors d'un accident d'hélicoptère. Daniel Balavoine qui l'accompagnait est également mort ce jour là.
De nombreux accidents ont émaillé les parcours de la caravane : concurrents, accompagnateurs ou spectateurs locaux.
L'itinéraire varie d'une année à l'autre, et certaines années même l'arrivée n'a pas lieu à Dakar, comme lors de l'édition 1992 qui relia Paris au Cap, celle de 2000 qui démarra de Dakar pour aller au Caire ou encore celle de 2002 qui prit le départ à Arras et passa par Madrid.
Trophée Paris-Dakar
Les conditions de navigation dans le désert sont parfois difficiles; lorsque l'harmattan, vent d'est du Sahara se lève, les traces sont effacées sur la piste et les repères disparaissent.
Plusieurs éditions du Dakar furent perturbées par des menaces terroristes, et certaines étapes ont dû être annulées, avec un changement d'itinéraire. Ce fut le cas en 2000, lorsqu'un pont aérien formé de trois avions Antonov 124 fut mis en place entre Niamey et Sebha, en Libye, pour éviter la traversée du Niger, interrompant ainsi l'épreuve pendant quatre jours. L'opération aurait coûté quelque 30 millions de FF, soit un peu plus de 4,5 millions d'euro.
Pour des raisons de sécurité en Mauritanie qui devait accueillir 8 étapes, l'édition 2008 du Dakar a été annulée. À la suite de l'assassinat de quatre Français près d'Aleg en Mauritanie le 24 décembre 2007, Laurent Wauquiez, porte-parole du gouvernement français, avait fortement déconseillé aux ressortissants français de se rendre dans ce pays. La veille du départ de Lisbonne, le 4 janvier 2008, l'organisation annonce l'annulation du Dakar malgré les 2 500 personnes déjà présentes au Portugal pour participer au rallye. La Mauritanie prévoyait pourtant de mobiliser 4 000 policiers pour assurer la sécurité, mais les risques liés à la branche Al-Qaida au Maghreb islamique ont conduit les organisateurs à suivre les recommandations du gouvernement français.
Amaury Sport Organisation annonce le 11 février 2008 que le Rallye Dakar 2009 se déroulera du 3 au 18 janvier, au Chili et en Argentine avec un départ et une arrivée à Buenos Aires
Pour son édition 2012, le Dakar devenu sud-américain traverse le Pérou pour la première fois.
Les trois catégories principales sont les motos, les autos et les camions.
La catégorie moto comporte diverses sous-catégories, comme les moins de 450 cm3, la catégorie marathon (motos de série), ou encore la catégorie quad. La catégorie auto comportait à ses débuts trois sous-catégories : les T1 (véhicules de série), T2 (véhicules de série modifiés), et T3 (véhicules prototypes). Les camions étaient au début incorporés dans la catégorie auto, mais ils disposent depuis 2000 de leur propre catégorie. Les camions prototypes ont été interdits dans la fin des années 1980, en raison des grandes vitesses atteintes, qui provoquèrent plusieurs accidents graves.
Plusieurs constructeurs utilisent le Dakar à la fois comme laboratoire et comme vitrine pour démontrer la robustesse de leurs véhicules, bien que ceux engagés soient profondément modifiés par rapport aux véhicules de série.
À l'origine, quelques constructeurs automobiles s'engagèrent avec des moyens limités — le plus souvent via des pilotes privés — comme Land Rover, Renault, Volkswagen, Mercedes, Lada, etc. Puis vinrent des constructeurs via des équipes usines avec de gros moyens, tels que Porsche, Mitsubishi, Peugeot puis Citroën. Ce qui engendra une hausse des coûts et des performances, et conduisit à l'interdiction des prototypes T3 pour les équipes usines en 1997 ; les T3 pouvant cependant toujours être alignés par les équipes privées. La fusion des catégories T2 et T3 en 2002, marqua le retour des prototypes usines. Enfin, en 2006, il y eut une inversion entre les catégories T1 (désormais prototypes) et T2 (désormais véhicules de série).
Dans les années 1980, devant la débauche de moyens mis en œuvre par les équipes officielles et les risques que cela faisait courir aux amateurs, qui ne pouvaient plus suivre le rythme, les organisateurs décidèrent d'interdire l'assistance aérienne (Porsche avait ainsi à sa disposition une importante flotte d'hélicoptères), le routage radio et de limiter le recours au GPS.
Les équipes privées, plus ou moins fortunées, peuvent également disputer les premières places. Jean-Louis Schlesser, depuis la fin de sa carrière en championnat du monde des voitures de sport, construit ses propres buggys avec le soutien de constructeurs comme Seat, Renault, puis Ford. Il a remporté les Dakar 1999 et 2000 en catégorie auto.
En 2007 une Citroën 2CV saharienne (bi-bip 2) est engagée, pilotée par Georges Marques.
En moto actuellement, seuls KTM, et dans une moindre mesure Yamaha sont engagés officiellement. Ces deux constructeurs font d'ailleurs partie des plus titrés, au même titre qu'Honda, ou encore BMW. En auto, Mitsubishi (qui détient le record de 12 victoires) est présent officiellement depuis 1983. Il doit faire face à Volkswagen, revenu officiellement au Dakar en 2003. Ce sont les deux seuls constructeurs officiellement engagés au Dakar 2006, à la suite du retrait de Nissan en 2005. Citons aussi la présence de Toyota en catégorie véhicules de série, ainsi que du team Nissan France Dessoude, présent aussi bien en T1, qu'en T2.
Parmi les camions, on note la présence de constructeurs comme Tatra, KAMAZ et Daf, qui rassemblent à eux trois l'essentiel des victoires de la catégorie camions depuis 1979.
Ce rallye est très contesté, tout d'abord en raison des cinquante-trois décès qui ont eu lieu pendant son déroulement depuis 1979 :
Neuf enfants ont été heurtés par des concurrents, malgré les diverses mesures de sécurité prises par les organisateurs depuis quelques années (limitation de la vitesse pour les concurrents dans les villages avec sanction en cas de non-respect, prévention contre les dangers pour les habitants avec affiches en langue locale).
Thierry Sabine le fondateur du rallye, le chanteur Daniel Balavoine, le pilote François-Xavier Bagnoud, l'opérateur radio Jean-Paul Le Fur (né en 1949) et une journaliste du Journal du dimanche, Nathaly Odent sont décédés lors du crash de leur hélicoptère le 14 janvier 1986.
Trente trois concurrents (toutes catégories) et sept journalistes y sont également morts. En 2006, le motard australien Andy Caldecott y a trouvé la mort, un an après les décès de Fabrizio Meoni et Juan-Manuel Perez, et ce malgré la décision prise en 2006 de limiter la vitesse des motos à 160 km/h.
La contestation est devenue internationale sous l'action du CAVAD (Collectif pour les Victimes Anonymes du Dakar) qui réunit des associations françaises, portugaises, espagnoles, marocaines, maliennes, guinéennes et sénégalaises. Ce collectif a été créé après la mort de deux enfants en 2006. Il demande la suppression pure et simple de ce rallye.
Ses détracteurs estiment également qu'il représente une agression écologique et un mépris humanitaire envers les pays africains ; cette contestation est notamment manifestée par la chanson 500 connards sur la ligne de départ Renaud.
Les organisateurs répondent que les pays d'Afrique sont toujours enthousiastes d'accueillir le rallye, et même très déçus quand les organisateurs les excluent du tracé. Ils soulignent également le fait qu'ils sont soumis au respect de la propreté des territoires visités. Ils déplorent les divers accidents survenus, tout en rappelant la dangerosité des routes africaines (la plupart des accidents impliquant des locaux ayant eu lieu lors des liaisons routières), et les efforts considérables faits par l'organisateur pour empêcher ces accidents (limitations et contrôles stricts de la vitesse dans les villages).
Selon les chiffres fournis dans le Journal du Dimanche, le 1er janvier 2011, le rallye Dakar a émis 42 000 tonnes de CO2. À titre de comparaison, l'étude menée par le cabinet Espere (agréé par l'Ademe), le Grand Prix de F1 de Spa Francorchamps en Belgique en émet 24 000, la Coupe du monde de football est à 2 700 000 tonnes, et le tournoi de Roland-Garros à 156 000 tonnes de CO2.