Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.02.2025
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allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Volvo a arrêté la production de tracteur agricoles en 1986, quand la division de construction tracteurs agricoles a été vendue à la société finlandaise Valmet qui deviendra Valtra par la suite.
Tracteur Agricole New Holland
AGCO Corporation ( États-Unis)
AGCO Tractors
Challenger
Fendt ( Allemagne)
Massey-Ferguson ( États-Unis- France)
Valtra ( Finlande)
Agrale ( Brésil)
Agrico ( Afrique du Sud)
Argo SpA
Landini ( Italie)
McCormick ( Italie- France)
Valpadana ( Italie)
New Holland-Fiat-Ford ( Italie)-( États-Unis)
Case IH ( États-Unis)
Steyr-traktoren ( Autriche)
Steiger ( États-Unis)
Belarus ( Biélorussie), anciennement vendus sous la marque commerciale Avto en France.
Caterpillar ( États-Unis)
Claas-Renault Agriculture ( Allemagne- France)
Carraro ( Italie)
Daedong/Kioti ( Corée du Sud)
Dong Feng ( Chine)
Dutra ( Hongrie) marque disparue en 1976
Farmtrac ( Pologne)
Foton ( Chine)
Hinomoto ( Japon)
Holder ( Allemagne)
HTZ ( Ukraine) (= kHTZ ? = Kharkov ?)
Iseki ( Japon)
JCB ( Royaume-Uni)
John Deere ( États-Unis - Allemagne)
Kharkov ( Russie)
Kirovets ( Russie)
CTZ ( Russie)
UVZ ( Russie)
Komatsu ( Japon)
Kubota ( Japon)
Lindner ( Autriche)
Mahindra & Mahindra ( Inde)
Martin diesel
Merlo ( Italie)
Pasquali ( Italie)
Pronar ( Pologne)
Rigitrac ( Suisse)
SAME Deutz-Fahr Group
Deutz-Fahr ( Allemagne)
Hürliman ( Suisse)
Lamborghini-Tractors (issus de Lamborghini) ( Italie)
SAME ( Italie)
Universal UTB ( Roumanie) Marque disparue
Ursus ( Pologne) Marque disparue
Uzel makina ( Turquie)
Vandel ( France)
Versatile ( Russie- Canada)
Zetor ( République tchèque - Slovaquie)
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Le rugby à XV féminin suit exactement les mêmes règles que le rugby à XV pratiqué par les hommes. En revanche, le rugby à XV féminin possède une histoire propre en raison des tentatives masculines pour exclure les femmes du jeu. Aujourd'hui, le rugby à XV féminin est loin, très loin, de posséder le même statut que son homologue masculin.
Suite au renouveau du rugby à XV féminin qui débute dans les années 1980, cette discipline peut organiser des compétitions calquées sur le modèle masculin avec des championnats nationaux, des épreuves internationales régionales et mondiales d'équipes nationales. En Europe, ce mouvement est encadré par les fédérations nationales tandis qu'aux États-Unis, c'est le sport scolaire et universitaire qui rend possible cette évolution. Disposant d'une base de joueuses considérable de plusieurs milliers de pratiquantes, il est logique de voir émerger une équipe nationale américaine de premier plan qui remporte la première Coupe du monde en 1991.
L'Europe et l'Australasie ne restent pas inactives, mais décident d'appliquer les mêmes schémas que ceux suivis par les pratiquants masculins. Les fédérations mettent ainsi en place des compétitions nationales dont le niveau s'élève progressivement, puis intègrent à leurs sélections nationales une composante féminine. L'Angleterre, vainqueur de la Coupe du monde 1994 et trois fois championne d'Europe avec le grand chelem en 2006, 2007 et 2008, et plus encore la Nouvelle-Zélande, quatre fois championne du monde lors des quatre éditions officielles, dominent le rugby à XV féminin cette dernière décennie. Le Canada en Amérique du Nord, ou la France en Europe, font bonne figure.
Au niveau des clubs, les championnats nationaux manquent de moyens et il n'existe pas de compétition supra-nationale comme le Super 14 ou la Coupe d'Europe.
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En Europe et en Amérique du Nord, les fruits de l'espèce Fragaria vesca, le fraisier des bois, sont de petite taille. Connus depuis l'Antiquité, les Romains les consommaient et les utilisaient dans leurs produits cosmétiques en raison de leur odeur agréable. Elle est cultivée dans les jardins européens vers le XIVe siècle.
Des fraises des bois.
Le fraisier musqué est connu pour ses fruits petits d'une saveur musquée unique que les connaisseurs donnent comme supérieur à la fraise des jardins. Il est cultivé depuis le XVIè siècle. Le premier cultivar connu du genre Fragaria appartient à cette espèce avec 'Le chapiron' nommé en 1576.
Le fraisier vert a été très peu cultivé car ses fruits sont moins intéressants par leur acidité plus forte que les espèces ci-dessus. Cependant il a fait l'objet de cueillettes pour la consommation personnelle.
Chili, terre des fraises à gros fruits.
Vers la fin du XVIe siècle l'explorateur Jacques Cartier rapporte du Canada en France des plants de (Fragaria virginiana Mill. subsp. virginiana). L'espèce intéresse assez par ses fruits parfumés pour être cultivés pour le commerce surtout en Grande-bretagne et aux USA. Encore de nos jours, il existe une production industrielle faible mais suivie en Grande-bretagne. C'est la première fraise à murir.
En 1714, l'officier du Génie maritime Amédée-François Frézier rapporte en fraude du Chili cinq plants de Blanches du Chili, des fraisiers à gros fruits blancs cultivés la-bas depuis longtemps par les amérindiens, le (Fragaria chiloensis subsp. chiloensis forma chiloensis Staudt). Ces fraisiers se révélèrent malheureusement être uniquement des plants mâles et ne donnèrent jamais de fruits. Quelques décennies plus tard, après importation de plants fertiles, la culture de blanches du Chili a été tentée en Grande-Bretagne (en 1824 trois variétés sont décrites) mais elle est peu résistante au froid et sous le climat anglais il est rarement possible de l'amener à fructifier et même alors, il est difficile de la faire murir correctement.
Vers 1740, le botaniste Antoine Nicolas Duchesne observe que de beaux fruits sont obtenus lorsqu'un fraisier du Chili est cultivé près d'un fraisier de Virginie. Ce croisement spontané, qui se produit notamment en Bretagne, en Angleterre et aux Pays-Bas, est à l'origine d'un nouvel hybride qui associe la saveur de Fragaria virginiana et la grosseur du fruit de Fragaria chiloensis et qui possède un parfum d'ananas à l'origine de son nom botanique : Fragaria ×ananassa Duch.
C'est de cet hybride que provient l'essentiel des variétés de fraises à gros « fruits » que l'on cultive désormais.
C'est en Angleterre que seront en premier créées plusieurs variétés issues de cette hybridation et qu'en sera développée la culture industrielle. L'Angleterre dominera longtemps le marché européen de la fraise, en concurrence avec Plougastel.
En 1740, la ville de Plougastel (limitrophe de Brest), déjà productrice de fraisier des bois, devient le premier lieu de production de cette nouvelle espèce dite « fraise de Plougastel». La culture de la fraise devient la spécialité de la commune, qui produira près du quart de la production française de fraises au début du XXe siècle. Plougastel héberge depuis 1997, le « Musée de la Fraise et du Patrimoine ».
Une variété légèrement plus petite sera développée dans le Sud de la France à partir de croisement avec des fraisiers nains méditerranéens, moins exigeants en eau, la « gariguette », variété de fraise la plus vendue en France et issue de travaux de l'Inra. Cette dernière, dont le fruit est de forme plus allongée (et davantage coloré à maturité), a cependant le défaut d'une moins bonne conservation. Mais sa saveur, plus proche de la fraise des bois, et connue des Provençaux, est souvent considérée comme plus "authentique" que celle de la fraise commune. Hors du Sud de la France, cette variété de fraise pose problème, car du fait du transport elle arrive aux étalages soit très chère, soit abîmée, soit enfin elle est récoltée avant sa pleine maturité pour en faciliter le transport, ce qui ne laisse pas le temps au fruit de développer ses saveurs spécifiques.
Vers 1940, la Californie devient premier producteur mondial de fraises.
En Belgique, la région de Wépion connaît un essor semblable dès la moitié du xxe siècle. L'activité se développa surtout dans l'entre-deux-guerres et atteindra son apogée dans les années 1950-1960. Leur réputation est telle que les fraises de Wépion sont commercialisées aux Halles de Paris et ensuite sur le marché de Rungis qui leur succédera. Au début des années 1970, l'activité décline et ce n'est qu'à la fin des années 1990 qu'elle gagne en regain.
Le secteur se professionnalise et la Criée de Wépion devient la plate-forme de commercialisation d'un fruit cueilli à maturité, vendu via des circuits courts. Wépion héberge également un musée de la Fraise de Wépion.
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Les akènes, les véritables fruits du fraisier.
La fraise pousse sur un fraisier. Elle est formée par l'ensemble du réceptacle charnu de la fleur. Elle a une couleur rouge ou jaune blanchâtre selon les variétés, et une forme ovoïde oblongue plus ou moins arrondie.
Au sens botanique du terme, les « vrais » fruits sont en fait les akènes, ces petits grains secs (communément appelés à tort pépins alors que ce dernier terme ne devrait désigner que leur minuscule graine centrale) disposés régulièrement dans des alvéoles plus ou moins profondes sur la fraise, de couleur verte à brune, et renfermant chacun soit un ovule (non fécondé) soit une graine (qui porte alors un germe lorsque la fraise arrive à maturité).
Le corps charnu de la fraise étant formé par le réceptacle floral (induvie hypertrophié sous l'effet des auxines) est ce que l'on consomme avec ou sans les akènes (l'épépinage des fraises consiste à ôter ces fruits secs du reste de la chair pulpeuse pour la préparation de gelées). Ce sont les akènes qui produisent une hormone permettant au faux-fruit de grossir.
Autres espèces botaniquement différentes :
Fraise de Chine : Fruit de Myrica rubra souvent confondu avec ceux de l'arbousier
Fraise d'Inde : Fruit de Duchesnea totalement sans intérêt alimentaire
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