Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
23.12.2024
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
La tradition de l'oeuf de Pâques , peint et décoré , a une origine pratique
En période de Carême , il était interdit de consommer des oeufs
Pour les conserver et pour reconnaître les plus vieux des plus frais ,
on les cuisait , on les peignait . Cette habitude est devenue une tradition ,
c'est maintenant pour le plaisir des yeux que l'on continue de teindre
et de peindre les oeufs de Pâques . . .
Une horloge est un système de mesure du temps.
Le cadran solaire (gnomon), qui mesure le temps de la journée en utilisant le soleil, a été largement utilisé dans l'Antiquité. Un cadran solaire bien construit peut mesurer l'heure solaire locale avec une précision raisonnable, et les cadrans solaires continuent d'être utilisés pour surveiller les performances des horloges jusqu'à la période moderne. Cependant, les limitations pratiques - fonctionnement en journée et nécessité que le soleil brille - ont encouragé l'utilisation d'autres techniques de mesure du temps, comme l'astrolabe ou le quadrant dont la fonction de mesure s'ajoutait à leur fonction principale d'établir la position des planètes à un moment précis.
Les horloges à eau, également connues sous le nom de clepsydres, sont peut-être le plus ancien des instruments de mesure du temps indépendants de l'astronomie. On ne sait pas quand elles ont été inventées. Le bol en forme de sortie est la forme la plus simple d'une horloge à eau et est connu pour avoir existé à Babylone et en Égypte vers le XVIe siècle av. J.-C.. D'autres régions du monde, comme l'Inde et la Chine, ont également des preuves de très anciennes horloges à eau, mais les datations sont moins certaines. Certains auteurs, toutefois, indiquent que les clepsydres sont apparues dès 4000 avant J.-C. dans ces régions du monde.
Les Grecs et les Romains ont fait progresser la conception des horloges à eau en y ajoutant de complexes systèmes d'engrenages, ce qui a permis de les relier à des automates originaux mais a abouti à une meilleure précision. Ces progrès ont été amplifiés et transmis à l'Europe par Byzance et la civilisation musulmane. Indépendamment, les Chinois ont développé leurs propres horloges à eau avancés (?) en 725 après J.-C., et ont transmis leurs découvertes à la Corée et au Japon. Par ailleurs, certains modèles de clepsydres ont été développés de façon indépendante et enfin un certain nombre de techniques se sont transmises par les grandes voies du commerce (route de la soie, échanges internationaux...).
En 797 (ou peut-être 801), le calife de Bagdad, Hâroun ar-Rachîd, a offert à Charlemagne un éléphant blanc d'Asie nommé Abul-Abbas et une clepsydre emblématique du savoir-faire technologique de la civilisation arabe.
Au xiiie siècle, Al-Jazari, un ingénieur qui travaillait pour le roi de Diyar-Bakr, Nasir al-Din, a fait de nombreuses horloges de toutes formes et tailles. Son livre décrit cinquante dispositifs mécaniques dans six catégories, y compris les horloges à eau. Les horloges les plus réputées incluent l'éléphant, le Scribe et l'horloge du château, qui ont toutes été reconstruites avec succès. En plus de donner l'heure, ces horloges étaient de grands symboles de la grandeur et de la richesse de l'État Urtuq.
Les clepsydres sont plutôt imprécises pour mesurer le temps en raison de l'écoulement régulier du liquide. Ainsi d'autres instruments plus précis sont utilisés.
L'horloge à feu est utilisée dès le Moyen Âge : les bougies et les baguettes d'encens qui brûlent à des vitesses relativement prévisibles, sont utilisées pour estimer le temps qui passe, puis laissent la place aux lampes à huile en usage aux XVIIIe et XIXe siècles en Occident.
Dans un sablier dont l'usage en Occident est mentionné essentiellement du VIIIe au XIVe siècles (dès le IIe siècle un instrument semblable au sablier, mais contenant de l'huile, est employé) surtout chez les marins ou pour mesurer des temps courts (leçon universitaire, sermon), une quantité de sable fin se déverse à travers un petit trou à une vitesse constante et indique le passage d'une période de temps déterminée. Les sabliers ne contenaient pas un sable ordinaire, mais un mélange de poudre de marbre calciné, de coquilles d'œuf pulvérisées et de plomb ou de zinc.
Au Moyen Âge, le temps et la vie sociale sont surtout rythmés par la sonnerie des cloches (chaque sonnerie pouvant durer 1/4h ou 1/2h) qui apparaissent probablement au Ve ou VIe siècles dans les clochers, marquant les différentes heures canoniales. À partir du XIe siècle, les communes libres font élever des beffrois dont les cloches marquent non plus le temps religieux mais le temps civil.
Aucune des premières horloges mécaniques ne survécut depuis le xiiie siècle en Europe, mais plusieurs mentions dans des documents ecclésiastiques révèlent quelques-uns des premiers temps de l'horloge.
Le mot horologia (du grec ???, l'heure et ??????, dire) a été utilisé pour décrire tous ces dispositifs, mais l'utilisation de ce mot pour tous les outils de mesure du temps nous cache la vraie nature de leurs mécanismes. Par exemple, il existe un document décrivant l'installation en 1176 d'une « horloge » dans la cathédrale de Sens mais le mécanisme utilisé est inconnu. Selon Jocelin de Brakelond, en 1198 lors d'un incendie à l'abbaye de St Edmundsbury, des moines coururent à l'horloge chercher de l'eau, ce qui indique que leur horloge à eau avait un réservoir assez grand pour aider à éteindre un feu occasionnel.
Une horloge au mercure décrite dans les Libros del Saber de Astronomía, une œuvre de l'an 1277 écrite par le roi Alphonse X de Castille dit le Sage consistant en des traductions et des paraphrases d'ouvrages en arabe, est parfois citée comme preuve de la connaissance musulmane d'une horloge mécanique. Le moteur de mercure des premiers automates a été inventé par Ibn al-Khalafa Muradi.
En dehors de l'Europe, le mécanisme d'échappement a été découvert et utilisé en Chine médiévale. L'horloger et ingénieur Su Song (1020-1101) de la dynastie Song l'a incorporé dans son horloge astronomique de Kaifeng en 1088. Cependant, son horloge astronomique et la rotation de la sphère armillaire reposaient toujours sur l'utilisation de techniques hydrauliques.
Entre 1280 et 1320, il y a une augmentation du nombre de références à des horloges et "horologes" dans les registres paroissiaux, ce qui indique probablement qu'un nouveau type de mécanisme d'horloge avait été conçu. Les horlogers européens de l'époque se sont concentrés sur un meilleur contrôle de la puissance fournie par les poids, grâce au mécanisme d'échappement.
Cette libération contrôlée de l'énergie des poids - l'échappement - marque le début de l'horloge mécanique vraie.
Ces horloges mécaniques poursuivaient deux objectifs principaux : la signalisation et la notification (par exemple, le calendrier de services et d'événements publics), et la modélisation du système solaire. Le but premier est administratif, le second se pose naturellement compte tenu de l'intérêt des chercheurs en astronomie, les sciences, l'astrologie, et comment ces sujets intégré à la philosophie de l'époque. L'astrolabe était utilisé à la fois par les astronomes et les astrologues, et il était naturel d'appliquer un moteur d'horlogerie à la plaque tournante pour produire un modèle de travail du système solaire.
Au XVIIe siècle, Galilée invente le pendule oscillant qui conduira, avec les apports de Huygens et Coster, au pendule à balancier. Les grandes horloges, richement ciselées, font alors leur apparition dans les demeures aristocratiques. Huygens invente le ressort à spirale en 1675 qui permet de supprimer le balancier et de réduire la taille des horloges. Les horloges deviennent ainsi plus abordables et se répandent dans les maisons. L'industrialisation de l'horloge au XIXe siècle s'inscrit dans la foulée de la nécessité de contrôler le temps de manière de plus en plus précise. La montre-bracelet fait son apparition au poignet durant les années 1950. Enfin, le quartz et l'atome remplacent graduellement les mécanismes d'horlogerie.
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Le rapport taille-hanche, parfois désigné par l'acronyme RTH, est le rapport entre la circonférence de la taille et celle des hanches. Les valeurs de 0,7 pour les femmes et 0,9 pour les hommes, sont considérés à la fois comme un signe de jeunesse, de bonne santé, et d'attractivité sexuelle.
La silhouette féminine présente un rapport taille-hanche nettement prononcé.
Indicateur de l'état de santé
On considère que le RTH est un indice de l'état de santé, et qu'un écart par rapport à certaines valeurs peut être corrélé à l'apparition de diverses pathologies lourdes.
Attractivité sexuelle
Chez la femme, le RTH serait un caractère sexuel secondaire, mettant en valeur visuellement la largeur du bassin, et par là même la fécondité.
Lien avec l'embryogénèse
Le RTH serait commun à de nombreuses espèces de mammifères, et même à de nombreuses espèces de vertébrés. Selon Vincent Fleury, ceci serait dû à un processus physique lors de l'embryogénèse, pendant lequel une partie du blastocyste se sépare du reste du corps pour former le placenta. Le déficit en matière à cet endroit perdurerait ensuite pendant le développement, et même au delà chez l'individu adulte.
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Le sein désigne aussi chez les mammifères femelles (dont la femme), la mamelle qui contient la glande mammaire sécrétrice du lait pour permettre l'allaitement des jeunes bébés dès la naissance. Chez les ruminants femelles domestiques, on les appelle des « pis ».
Mais les humains de sexe masculin ont aussi des seins qui, bien que généralement moins importants, sont structurellement identiques (homologues) à la femme, car ils se développent embryologiquement à partir des mêmes tissus.
L'aréole des seins est reliée par des nerfs au cerveau, en particulier au système de récompense. La stimulation des seins procure une récompense cérébrale qui incite la femme à renouveler les stimulations. C'est grâce au système de récompense que les mammifères femelles et les femmes allaitent leur nouveau-né (voir Allaitement), et c'est également les récompenses qui sont à l'origine des stimulations sexuelles des seins (voir Comportement érotique).
Cet article traite essentiellement du sein humain féminin et masculin.
Le mot vient du latin sinus, « courbure, sinuosité, pli », qui désignait notamment un pli de la toge recouvrant la poitrine. Son emploi au figuré l'a fait désigner la partie du corps correspondante. Mais on employait plutôt celui de mamma, « sein », et mamilla, « petit sein », d'où le mot en français : « mamelle ». Aussi, mammicula désignait une « petite mamelle ». C'est de là d'où vient le mot « mammifère » dont la caractéristique première est d'être doté de mamelles ou de seins pour l'être humain.
Le thésaurus argotique des mots sur les seins est important, au même titre qu'un caractère sexuel primaire.
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Chez la femme
Un réseau de canaux galactophores est présent à l'état rudimentaire chez les individus des deux sexes, de l'âge embryonnaire à l'âge adulte, mais seules les femmes, sous l'influence hormonale à partir de la puberté, le long des cycles et pendant la grossesse et l'allaitement, développent la partie glandulaire.
Les seins contiennent les glandes lactogènes (ou glandes mammaires) qui deviennent actives en période d'allaitement et produisent le lait maternel dont se nourrit le bébé humain pendant les premiers mois de sa vie. Durant la période de lactation, le lait est sécrété par ces glandes mammaires et est déversé par des canaux séparés au niveau du mamelon.
L'essentiel du corps du sein est constitué de tissu adipeux. Les seins voient leur volume varier en fonction de différents paramètres tels que le cycle d'ovulation, la température ou l'excitation ainsi que durant la grossesse. La limite de l'aréole, sa pigmentation et son réseau glandulaire varient avec la grossesse et l'allaitement. Le mamelon est érectile.
Outre sa fonction biologique initiale de lactation, le sein féminin joue un rôle important dans la séduction, l'érotisme et la sexualité. Il s'agit d'un caractère sexuel secondaire.
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Sur le plan superficiel, le sein est recouvert de peau (fascia superficialis) s'étendant sans limite nette jusqu'à la région mamelonaire, arrondie et pigmentée.
La peau de l'aréole a un aspect grenu car elle est parsemée de glandes cutanées et sébacées (glande de Morgani) qui s'hypertrophient à la grossesse et prennent alors le nom de tubercule de Montgomery. L'aréole est pourvue de fibres musculaires lisses, muscles sphinctériens périalvéolaires, qui contrôlent la fonction excrétrice du sein au moment de la lactation.
Le mamelon est la partie centrale et surélevée de l'aréole. Les canaux galactophores qui assurent l'évacuation des sécrétions lactées y débouchent par des pores séparés.
Sur le plan interne, le sein est essentiellement constitué d'un tissu conjonctif adipeux (les graisses) et de ligaments de Cooper. Le tissu glandulaire responsable de la production exocrine de lait ne représente qu'une faible proportion du volume mammaire.
La glande mammaire est constituée de lobes, séparés par des cloisons conjonctives, qui sont des ensembles de bourgeons glandulaires ou acini développés en période d'allaitement, drainés par des canaux galactophores pourvus vers leurs extrémités d'un sinus galactophore et débouchant séparément au niveau du mamelon.
Le sein est richement vascularisé. Au niveau artériel on décrit notamment 3 origines à sa vascularisation :
l'artère axillaire participe par ses branches thoracique latérale (éventuellement avec en plus une thoracique latérale accessoire) et thoraco-acromiale (qui donnera par la suite une branche thoracique médiale dédiée à la glande mammaire)
l'artère thoracique interne (cheminant à la face postérieure des cartilages costaux jusqu'au sixième espace intercostal) via certaines de ses collatérales
les artères intercostales (originaires de l'aorte thoracique), notamment de la sixième à la neuvième.
Au niveau du système lymphatique, le sein est divisé en 4 cadrans, 2 externes, 2 internes. Les cadrans externes sont drainés vers la veine thoracique latérale, le creux axillaire (ganglion de Sorgius) et le ganglion infra-claviculaire. Les cadrans internes sont drainés sous le sternum par le ganglion intra-thoracique puis le relais infra-claviculaire.
Sur le plan profond, on distingue 3 muscles : le grand pectoral sur lequel glisse la glande mammaire, le petit pectoral et le sous-clavier.
Le sein est soutenu par la peau et un ligament suspenseur : la travée fibro-glandulaire. Au niveau inférieur, le sillon sous-mammaire est formé par un épaississement de ces travées qui tire la peau en profondeur.
La limite supérieure d'implantation du sein se situe à la 2 ou 3e côte, sa limite inférieure entre la 6e ou 7e côte.
La présence éventuelle de plus de deux seins s'appelle la polymastie.
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