Monde : France
Marie-José Pérec, née le 9 mai 1968 à Basse-Terre, Guadeloupe, est une athlète française.
Elle est la seule athlète française à être triple championne olympique : en 1992 aux Jeux de Barcelone sur 400 mètres et deux fois aux Jeux d'Atlanta en 1996 sur 400 mètres et 200 mètres. Elle est également la deuxième à avoir réalisé le doublé aux Jeux olympiques sur 200 et 400 m (la première étant l'Américaine Valerie Brisco-Hooks), et le premier athlète, hommes et femmes confondus, à avoir remporté, lors de deux Jeux olympiques consécutifs, le titre sur 400 mètres.
Par son palmarès, elle est la plus brillante athlète française d'après-guerre.
Jeux d'été
Jeux olympiques d'été de 1900 : I Paris France
Jeux olympiques d'été de 1924 : VIII Paris France
Jeux olympiques d'été de 2024 : Paris France
Jeux d'hiver
Jeux olympiques d'hiver de 1924 : 1 Chamonix France
Jeux olympiques d'hiver de 1968 : 10 Grenoble France
Le viaduc de Millau est un pont à haubans franchissant la vallée du Tarn, dans le département de l'Aveyron, en France. Portant l'autoroute A75, il fait la jonction entre le Causse Rouge et le Causse du Larzac en franchissant une brèche de 2 460 mètres de longueur et de 270 mètres de profondeur au point le plus haut, dans un panorama de grande qualité et avec des vents susceptibles de souffler à plus de 200 km/h.
Maillon important de l'autoroute A75 permettant de relier Clermont-Ferrand à Béziers, ce projet a nécessité treize ans d'études techniques et financières. Les études ont commencé en 1987 et l'ouvrage a été inauguré le 17 décembre 2004, trois ans seulement après la pose de la première pierre. Conçu par Michel Virlogeux et ses équipes pour ce qui concerne le tracé et les principes de franchissement, l'ouvrage a été dessiné par l'architecte Norman Foster. D'un coût de 320 millions d'euros, il a été financé et réalisé par le groupe Eiffage dans le cadre d'une concession, la première de ce type, par sa durée de 75 ans.
Le pont des records
L'ouvrage cumule les records :
c'est le pont routier avec l'ensemble pile-pylône le plus haut au monde (P2 : 343 m) et les deux piles les plus hautes au monde (P2 = 245 m et P3 = 221 m) ;
son tablier, qui culmine à 270 mètres au-dessus du Tarn, était le plus long pour un pont haubané (2 460 mètres) jusqu'à la mise en service en 2013 du pont Jia-Shao (Jiaxing-Shaoxing) au-dessus de la Rivière Qiantang en Chine. Ce nouvel ouvrage possède une longueur de 2 680 mètres, soit 220 mètres de plus que le Viaduc de Millau ;
il est composé de piles minces et dédoublées sur leur partie supérieure et d’un tablier métallique très fin avec seulement sept points d’appui au sol.
Le viaduc a permis de développer les activités commerciales et industrielles de la région aveyronnaise, mais aussi de supprimer le « point noir » de Millau. Le pont a généré un certain essor touristique, et sa construction a suscité l’intérêt de nombreuses personnalités politiques.
On peut tout comprendre, tout entendre, mais 6000 morts par jour devient une boucherie
Ossuaire de Douaumont (Meuse)
Le bilan humain de la Première Guerre mondiale s'élève à environ 9 millions de morts et environ 8 millions d'invalides, soit environ 6 000 morts par jour. Proportionnellement, en nombre de combattants tués, la France est le pays le plus touché avec 1,4 million de morts et de disparus96, soit 10 % de la population active masculine. En comptant les pertes civiles, la Serbie et la Roumanie, qui ont subi occupations militaires et famines, ont été encore plus durement touchées, perdant 6 à 10 % de leur population totale. Les pertes anglaises (colonies comprises) s'élèvent à 1,2 million de tués. Cette saignée s'accompagne d'un déficit des naissances considérable. Le déficit allemand s'élève à 5 436 000, le déficit français à 3 074 000, le déficit russe est le plus élevé et atteint 26 millions. La stagnation démographique française se prolonge, avec un vieillissement de la population qui ne cesse de croître qu'avec le recours à l'immigration. Cette dernière participe à la reconstruction d'un pays dont le Nord est en ruines. Apparaît également le phénomène nouveau des gueules cassées, nom donné aux mutilés de guerre qui survivent grâce aux progrès de la médecine tout en gardant des séquelles physiques graves. L'intégration de ces victimes de guerre en nombre à la société doit alors se faire au moyen de nouvelles lois et d'organismes comme l'Union des blessés de la face. On compte alors en France de 10 000 à 15 000 grands blessés de la face. Au Royaume-Uni, des sculpteurs, comme Francis Derwent Wood, fabriquent des masques pour rendre un aspect humain aux soldats blessés. Les sociétés d'après-guerre vont garder les marques vivantes de la guerre de nombreuses années encore.
Marie-Thérèse Jégat (épouse Bardet), née le 2 juin 1898 à Lorient (Morbihan) et morte le 8 juin 2012 à Pontchâteau (Loire-Atlantique), à l'âge de 114 ans et 6 jours, fut la doyenne des Bretons, des Français et des Européens du 1er janvier au 8 juin 2012.
Elle est née en 1898 à Lorient. Veuve depuis 1951, elle vit d'abord chez son fils avant de devenir, en 1982, pensionnaire de la maison de retraite du Traict à Saint-Nazaire. À partir de 1990 et jusqu'à son décès, elle réside à la maison de retraite de la Châtaigneraie à Pontchâteau (Loire-Atlantique). Elle décède le 8 juin 2012.
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René Barthélemy (10 mars 1889 à Nangis - 12 février 1954 à Antibes, inhumé dans le cimetière de Fontenay-aux-Roses) est un ingénieur français qui s'est illustré comme pionnier dans la mise au point de la télévision.
L'invention de la télévision ne peut être attribuée à un seul homme ; ce fut un lent travail d'amélioration collective entre chercheurs et bricoleurs de différents pays dont les premiers concepts remontent aux années 1880. Ce furent les découvertes successives en électricité et électronique qui permirent de réaliser les projets théoriques des premiers chercheurs.
Fils d'un tailleur de Nangis, ses professeurs l'encouragent à prolonger ses études : brillant ingénieur diplômé de l'École supérieure d'électricité, élève de la promotion 1909-1910, René Barthélemy devient à 22 ans radiotélégraphiste à la tour Eiffel puis en 1929 chef du nouveau laboratoire de recherche sur la télévision, créé par Jean Le Duc à la demande d'Ernest Chamon, PDG de la Compagnie des Compteurs à Montrouge
Caméra de Barthélémy de 1935 conservée au CNAM.
C'est avec un récepteur utilisant le disque de Nipkow à lentilles avec écran de 40 cm x 30 cm et une caméra mécanique à miroir de Weiler à 30 lignes de définition, mis au point dans les locaux du laboratoire de la Compagnie des Compteurs, que sera réalisée le 14 avril 1931 la première démonstration publique de télévision en France, dans l'amphithéâtre de l'École supérieure d'électricité de Malakoff devant 800 invités. Cette expérience de « radiovision » est la première transmise par émetteur (situé à 2 kilomètres, dans les bâtiments de la Compagnie des Compteurs), d'autres ayant été réalisées précédemment mais par fil : les spectateurs y voient la diffusion du court métrage L'Espagnole à l'éventail présenté par Suzanne Bridoux, collaboratrice de René Barthélémy et première speakerine de l'histoire de la télévision française.
Poursuivant ses travaux encouragés par les PTT, il met au point à partir de décembre 1932 un nouveau matériel en 60 lignes de définition pour réaliser un programme expérimental en noir et blanc d'une heure par semaine, « Paris Télévision ». La première émission officielle française de télévision a lieu le 26 avril 1935, sous l'égide de Georges Mandel, ministre des PTT, depuis le studio de la rue de Grenelle et consiste en une séquence de vingt minutes durant laquelle la comédienne Béatrice Bretty déclame un texte relatant sa récente tournée en Italie : Radio-PTT Vision, première chaîne de télévision française, est née.
À partir de novembre 1935, la tour Eiffel sert d'antenne émettrice avec une puissance de 10 kW. Le 2 décembre 1935, poursuivant le perfectionnement de ses appareils, il met au point et réalise une émission en 180 lignes de définition, mais le temps de la télévision « mécanique » à disque est révolu et désormais les progrès en électronique ouvrent la voie à la télévision moderne. Au début de 1937, les programmes se multiplient et ont lieu tous les soirs de 20 h à 20 h 30, émettant dans un rayon de 100 kilomètres.
La télévision prend son essor, mais le nombre de postes reste encore très faible (une centaine en 1935, 3 000 en 1949, un demi-million en 1956). Le récepteur « EMYVISOR » à tube cathodique de René Barthélemy est commercialisé par EMYRADIO, vers décembre 1935.
René Barthélemy, désormais membre de l'Académie des sciences, continue, malgré une santé précaire, d'œuvrer efficacement dans le domaine de la télévision, en y apportant son génie inventif et sa rigueur, et entreprend des recherches systématiques pour détecter le rayonnement qu'évoque l'inventeur Marcel Violet et déterminer que ce rayonnement appartient aux phénomènes oscillatoires d'une gamme de fréquence au-delà de 1024
Malgré sa préconisation de développer un réseau de télédiffusion à 1 045 lignes, c'est le standard à 819 lignes d'Henri de France qui est adopté par le ministre de l'Information François Mitterrand. Déçu, il décide alors de se mettre en retrait.
Distinctions
Membre de l'Académie des sciences, le 18 mars 1946.
Commandeur de la Légion d'honneur, le 12 février 1954.
Don Salluste (Louis de Funès) est ministre du roi d'Espagne. C'est un être fourbe, hypocrite et cupide qui collecte lui-même les impôts, qu'il détourne en partie à son profit. Il est détesté par la population qu'il opprime.
Accusé par la reine, une belle princesse bavaroise, d'avoir fait un enfant illégitime à une de ses dames d'honneur, il est déchu de ses fonctions et condamné à se retirer dans un monastère. Décidé à se venger, il entre en contact avec son séduisant neveu, César, devenu brigand, mais ce dernier refusant d'entrer dans sa machination, il le fait capturer par ses sbires et l'envoie comme esclave aux Barbaresques. Il décide alors d'utiliser pour sa vengeance Blaze, son valet récemment congédié (Yves Montand) et dont il a découvert les sentiments pour la reine : il le fera passer pour César et l'aidera à séduire la reine.
Le jour même de sa présentation à la cour, Blaze déjoue un attentat ourdi contre le roi par les Grands d'Espagne. Il s'attire ainsi les faveurs du couple royal et devient rapidement ministre. Suivant de loin l'évolution de la situation, Salluste découvre que les Grands ont décidé de se venger de Blaze, ce qui risque de faire capoter sa machination. De son côté, Blaze, à la suite d'une méprise, déclare sa flamme non pas à la reine mais à son acariâtre duègne (Alice Sapritch) dont l'appétence sexuelle est ainsi attisée. La situation se complique encore avec le retour du vrai César, échappé des Barbaresques...
Fiche technique
Réalisation : Gérard Oury
Réalisation de la seconde équipe : Jacques Besnard
Scénario : Libre inspiration et parodie de Ruy Blas drame romantique de Victor Hugo
Adaptation et dialogue : Gérard Oury, Danièle Thompson, Marcel Jullian
Assistants réalisateurs : Roberto Bodegas, Jacques Bourdon, Jean-Claude Sussfeld, Miguel-Angel Rivas
Producteur délégué: Alain Poiré
Production : Gaumont (Paris), Coral Films (Madrid), Mars Films (Rome) & Orion Filmproduktion (Munich)
Chef de production : Ricardo Bonilla, Jean Pieuchot
Directeur de production : Robert Sussfeld, Henri Baum
Administrateur de production : Robert Demollière, Guy Azzi
Distribution : Gaumont International
Musique : Michel Polnareff (Éditions musicales Hortensia Méridian)
Arrangements musicaux : Hervé Roy
Images : Henri Decae et Wladimir Ivanov, pour la seconde équipe
Opérateurs : Alain Douarinou, Franck Delahaye
Son : Antoine Bonfanti, assisté de André Louis
Mixage : Jacques Maumont à Paris-Studio-Cinéma de Billancourt
Script-girl : Colette Crochot
Décors : Georges Wakhevitch, assisté de Pierre-Louis Thévenet, José-Maria Alarcon, Jean Taillandier, Jean Forestier
Costumes : Jacques Fonteray, Humberto Cornejo, Pierre Nourry, Jeanne Renucci, provenant des maisons Monty Berman (Londres) et Cornejo (Madrid)
Robes : Marie Gromtseff
Montage : Albert Jurgenson, assisté de Jean-Pierre Besnard, Martine Fleury, Catherine Kelber, Dominique Landmann
Effets spéciaux : Pierre Durin, Jacques Martin, Gérard Guenier, Claude Carliez (combats), Daniel Braunschweig
Conseiller équestre : François Nadal
Régisseur général : Jean Pieuchot
Régisseur extérieur : Jean Nassereau
Générique : Jean Fouchet (Eurocitel)
Carrosses : Manfred de Diepold
Chapeaux : Jean Barthet - Perruques : Bertrand
Chaussures : Galvin - Mobilier : Pierre Charron
Caméra : Samuelson-Alga - 105 minutes
Genre : Comédie, Historique, Aventure
Format : Couleur, procédé Eastmancolor
Tirage : Laboratoire G.T.C
Date de sortie : 8 décembre 1971 (France)
Distribution
Louis de Funès : Don Salluste de Bazan
Yves Montand : Blaze
Alice Sapritch : Doña Juana, la duègne (dite "la Vieille")
Karin Schubert: Marie-Anne de Neubourg, reine d'Espagne (non nommée)
Alberto de Mendoza : le Roi d'Espagne, Charles II (non nommé et sans rapport avec le personnage historique)
Gabriele Tinti : Don Cesar (voix doublée par Dominique Paturel)
Venantino Venantini : Del Basto (voix doublée par Jean-Pierre Duclos)
Don Jaime de Mora y Aragón : Priego, un Grand d'Espagne
Antonio Pica : De los Montès, un Grand d'Espagne (voix doublée par Jean Martinelli)
Eduardo Fajardo : Cortega, un Grand d'Espagne
Joaquín Solís : Sandoval, un Grand d'Espagne
Paul Préboist: le muet
Frédéric Norbert : le page
Salvatore Borgese : le borgne
Léopoldo Triestre : Giuseppe
Robert Le Béal : le chambellan
Astrid Franck : une dame d'honneur de la reine
La Polaca : la danseuse
Fernando Bilbao : le colosse (non crédité)
Clément Michu : le valet bègue de Salluste
Angel Alvarez : un notable
Claude Carliez : cascadeur
Sophia Palladium : doublure d'Alice Sapritch dans la scène de strip-tease (non crédité)
La bande originale du film La Folie des grandeurs a été composée par Michel Polnareff.
1. La folie des grandeurs 02:38
2. Flamenco Blaze (interprété par Yves Montand) 04:39
3. Thème d'amour 02:09
4. Strip-tease de la duègne 01:21
5. Les barbaresques 01:10
6. La noria 02:37
7. L'arrivée du roi à l'escurial 01:23
8. La capture de César 01:25
9. Doña Salluste 03:08
10. Strip-tease de la duègne 01:23
11. Tango de l'arène 00:46
12. Thème myosotis et valse des courtisans 01:52
13. La fuite de Blaze / L'arrivée du taureau 02:19
L'édition remasterisée parue en CD en 2000 contient trois titres bonus et une interview du réalisateur Gérard Oury
Autour du film
La Folie des grandeurs a été tournée en Espagne (Barcelone, Grenade, Madrid, Ségovie, Séville, Tolède) et au studio Franstudio, à Saint-Maurice dans le Val-de-Marne (France). Les scènes dans le désert ont été tournées dans le Désert de Tabernas, dans la province d'Alméria.
Gérard Oury a confié la bande originale du film à Michel Polnareff. Le style musical est donc en décalage total avec l'époque à laquelle se situe l'intrigue.
Bourvil était initialement prévu pour le personnage de Blaze, mais son décès a contraint la production à lui trouver un remplaçant. Gérard Oury et Danièle Thompson rapportent, dans le film documentaire La Folle Heure des grandis, que l'idée de faire jouer le rôle de Blaze par Yves Montand fut soufflée à Gérard Oury lors d'une soirée mondaine par Simone Signoret, épouse de l'acteur, et que les adaptateurs (Oury, Thompson et Jullian), d'abord circonspects, entreprirent alors de réécrire complètement l'adaptation en fonction de la différence de personnalités des deux acteurs successivement prévus pour incarner le personnage de Blaze.
Pour la célèbre scène d'effeuillage d'Alice Sapritch, celle-ci est doublée dans certains plans par la strip-teaseuse professionnelle Sophia Palladium, Gérard Oury signale d'ailleurs, dans le film documentaire La Folle Heure des grandis, le moment précis où l'on peut remarquer l'amincissement subit de la taille de la strip-teaseuse, dont on n'aperçoit plus le visage, mais seulement la « croupe » (selon les termes du réalisateur lui-même).
Les auteurs du film paient avec humour leur tribut à Victor Hugo en précisant dans le générique que même si « Toute ressemblance avec les personnages d'un célèbre drame ne serait que l'effet d'une fâcheuse coïncidence », ils le remercient pour sa « précieuse collaboration ». Gérard Oury et Danièle Thompson reviennent, dans le film documentaire La Folle Heure des grandis, sur l'inspiration puisée chez Hugo, et l'on aperçoit des images tirées du Ruy Blas adapté au Théâtre-Français par Raymond Rouleau (de 1960 à 1962), adaptation dans laquelle Gérard Oury, pensionnaire de la Comédie-Française, incarnait le personnage de Don Salluste.
Deux acteurs jouant les Grands d'Espagne en sont véritablement : Don Jaime de Mora y Aragón, qui incarne Priego, et est l'authentique marquis de Casa Riera, le frère de Fabiola, reine des Belges, et Louis de Funès lui-même (de son vrai nom Luis de Funes de Galarza) qui descend des marquis de Galarza, de noblesse sévillane.
À l'origine, le film devait s'intituler Les Sombres Héros.
Le chien du Roi, qui fait de nombreuses apparitions tout au long du film est un chien de Saint Hubert.
Sur les 38 ministres du gouvernement français actuel (décembre 2012) ,
seulement 10 ont déjà travaillé dans une entreprise ,
et souvent pour une courte durée ! ! !
Réalisé par Eric Picard / dessinsagogo55
Le 50 francs Quentin de La Tour est un billet de banque français créé le 15 juin 1976 par la Banque de France et émis le 4 avril 1977. Il succède au 50 francs Racine et fut remplacé par le 50 francs Saint-Exupéry.
Histoire
Ce billet polychrome gravé en taille douce appartient à la deuxième grande série des « créateurs et scientifiques célèbres » commandée par la Banque et dans laquelle l'on compte Berlioz, Debussy, Delacroix, Montesquieu et Pascal.
Il fut imprimé de 1976 à 1992.
Il est définitivement privé de cours légal le 30 novembre 2005, et, depuis cette date, il n'est plus échangeable contre des euros. Tirage total 1 850 000 000 exemplaires.
Description La vignette a été dessinée par Bernard Taurelle, d'après une œuvre de Lucien Fontanarosa (décédé en 1975) lequel s'est inspiré d'un autoportrait de Maurice Quentin de La Tour, un pastel exposé au Musée Antoine-Lécuyer ; elle fut gravée par Henri Renaud et Jacques Combet.
Les tons dominants sont bleu-gris et bistre.
Au recto : à droite le portrait de Quentin de La Tour avec en fond la façade principale du château de Versailles.
Au verso : à gauche, le même portrait du peintre avec en fond, la façade de l'hôtel-de-ville de Saint-Quentin, sa ville natale.
En filigrane apparaît la tête du peintre d'après un autre autoportrait.
Les dimensions sont de 150 × 80 mm
Le sandwich est un aliment généralement composé de deux ou plusieurs tranches de pain avec un ou plusieurs ingrédients entre elles. Le terme « sandwich » tire son origine de John Montagu, 4e comte de Sandwich.
Émile Littré indique dans son dictionnaire que sandwich est un substantif féminin ; cependant le Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle de Pierre Larousse (paru à la même époque que le Littré) et le Dictionnaire de l'Académie française le citent comme étant du genre masculin. L'usage en a fait un substantif masculin en Europe, mais on retrouve l'utilisation des deux genres au Canada
Le pluriel adopté dans les pays francophones fut le pluriel anglais : sandwiches ; cependant la réforme orthographique de 1990 préconise d'écrire « des sandwichs »
Le sandwich, en tant qu'aliment, tient son nom de John Montagu, 4e comte de Sandwich. Le sandwich contenait à l'origine du bœuf salé, dont John Montagu était friand, et des tranches de concombre. Cependant, les circonstances de l'invention du sandwich ne sont pas claires.
D'après le récit de voyage contemporain de Pierre Jean Grosley John Montagu intitulé Tour to London, John Montagu était un grand joueur. Un jour de 1765, lancé dans une de ses parties de cartes interminables, un serveur lui apporta deux tranches de pain garnies de viande froide, de tranches de concombre et de fromage. Il trouva que ce plat revêtait deux qualités essentielles à ses yeux : premièrement il n'avait pas besoin de quitter la table de jeu pour s'alimenter et, deuxièmement, la conception du plat lui permettait de conserver les mains propres. Cependant, cette théorie est vraisemblablement une invention romanesque. Il est plus probable que le comte de Sandwich consommait ses sandwichs à son bureau, où il passait le plus clair de son temps, en particulier en 1765 où il occupait des fonctions gouvernementales qui ne lui laissaient guère de temps pour jouer. Il aurait pu mettre au point ces repas pour lui permettre de manger sans interrompre son travail.
Le sandwich est apparu en France dans les années 1830. Suite aux sondages récents des habitudes alimentaires des français, le sandwich arrive 3e dans le top des aliments favoris, derrière le couscous et la pizza.
Le sandwich est très populaire auprès des travailleurs qui le consomment pendant leurs pauses. Il ne nécessite pas d'être réfrigéré s'il est consommé assez rapidement et il n'a pas besoin non plus d'être réchauffé, ce qui se révèle être bien pratique dans certaines circonstances, comme sur les chantiers ou dans la nature.
Un sandwich est en général composé de pain et d'un assortiment simple tel que le jambon, le fromage ou le thon, accompagné ou non de beurre, de sauce, d'œuf ou de crudités. Il se mange sans utiliser de couverts. C'est le principal produit de la restauration rapide. On appelle « sandwicheries » les restaurants qui se sont spécialisés dans la vente de sandwichs.
Exemples de sandwichs
Thé et sandwichs au concombre, à l'Orangerie du Kensington Palace, Londres.
Sandwich BLT
Burrito
Canapés
Cheeseburger
Croque-monsieur
Croque-madame
Club sandwich
Dagobert (Belgique)
Fouée
Hamburger
Hot-dog
Kebab
Mitraillette
Pain suédois
Pan bagnat
Panini
Pita
Sandwich de crème à la glace
Sandwich à la viande fumée (Québec)
Sandwich au beurre de cacahuète et à la confiture
Sandwich jambon-beurre
Sandwich sous-marin
Tramezzino
Tuna ftira
Wrap
Ce sont des sujets de préoccupation, notamment pour les préparations contenant des viandes ou crudités.
Des normes et recommandations (guides de bonnes pratiques) existent pour les sandwichs commercialisés, avec des dates limites à ne pas dépasser, en veillant à la bonne conservation de la chaîne du froid.