2008: Obscénité et Vertu (Filth and Wisdom)

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Madonna

Notes et références

RUBRIQUE

Monde : Etats Unis

BIOGRAPHIE

Madonna

Madonna : En septembre 1978

Madonna : C'est avec son deuxième album

Madonna : En 1990, elle décroche un second rôle

Madonna : La campagne publicitaire pour Versace

Madonna : En 2003

Madonna : Début 2007

Madonna : Religion

Madonna : Au marathon caritatif Hope for Haiti Now

Madonna : Pendant le MDNA Tour

Madonna : Oeuvres d'art

Madonna : Le cinéma

Madonna : Plagiat

Madonna : En tant que réalisatrice

Madonna : En tant que productrice exécutive

Madonna : En tant qu'actrice

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1991: In Bed with Madonna (Madonna: Truth or Dare)
1992: Sex (le film)
2001: Madonna Live: Drowned World Tour 2001
2002: Cody Banks : agent secret
2003: Cody Banks : agent secret 2 destination Londres
2004: 30 Days Until I'm Famous (téléfilm)
2005: I'm Going to Tell You a Secret
2006: Confessions Tour: Live From London
2007: Spot publicitaire pour H&M
2008: I Am Because We Are
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Le HuffPost | Publication: 16/08/2012 19:46 Mis à jour: 16/08/2012 20:39

La Madonne souffle aujourd'hui ses 54 bougies, fête ses 30 ans sur la scène et maintient une carrière faite de succès historiques, de scandales médiatisés et de provocations maîtrisées la propulsant au firmament de la gloire et de la pop. Mais voilà, la semble bel et bien finie: ventes en berne, flop de son dernier album, spectateurs mécontents de ses derniers concerts... la reine a t-elle un pied à terre?



Madonna, has-been et bientôt rangée au banc d'une époque révolue? La question hérisse déjà le poil des fans qui suivent sans relâche leur icône depuis les années 90, époque durant laquelle aucun nuage n'osait lui faire de l'ombre. Mais aujourd'hui les choses semblent avoir quelque peu changé. Les recettes, qui ont jusqu'alors fait la renommée de la Madonne semblent s'épuiser (et épuiser) et de nouvelles têtes comme Lady Gaga, Lana del Rey ou encore Katy Perry viennent titiller celle qui a dorénavant du mal à se réinventer.

Un succès sans ombrage

Et pour cause, depuis ses début et son second album Like a virgin (1984), qui la propulse au rang de star incontournable, la Madonne, si elle s'est essayée à différents genres musicaux (disco, éléctro, R'N'B), n'a que très peu changé les recettes de son succès.



Madonna, c'est avant tout des tubes et des albums incontournables, de Like a Virgin, Papa don't preach, live to tell, Like a prayer, Oh Father, Vogue, en passant par Music, Frozen ou encore don't tell me. Mais bien plus, Madonna comprend très vite que si la musique s'entend, elle doit se voir et se vivre. Inventive, imprévisible et avant-gardiste, Louise Veronica Ciccone de son vrai nom, ne fait pas que chanter: elle ponctue ses succès de shows et de clips la montrant portant des coiffures uniques, attifée de tenues sexy, échancrées et effilées, de sous-vêtements visibles, se trémoussant savamment et offrant régulièrement son lot de provocation et de scandale.



Outre un look identifiable parmi tous, Madonna voit plusieurs de ses clips censurés tels que Justify my love, Erotica ou American Life qui lui vaudra les foudres des Américains et des pro-Bush. Single d'un album éponyme sorti en 2003, la chanteuse se met en scène en Sergent major jetant une grenade sur un sosie de l'ex président des États-Unis.



Le tout mixé, Madonna a établi des records de ventes qui lui valent en 2011 d'être (une nouvelle fois) dans le Guiness des records qui salue ses 200 millions ventes écoulées à travers le monde.



Une formule épuisée

L'époque des 90's est révolue et, lentement, l'icône Madonna a décliné la preuve étant son dernier opus MDNA qualifié de flop. La pilule est difficile à avaler pour les fans qui jurent à l'infamie mais pourtant, les chiffres étaient déjà éloquents dès le mois d'avril, soit à peine un mois après la sortie de l'album. Si la première semaine, MDNA s'est vendu à 359 milles exemplaires la baisse est de 80% dès la seconde.



Ainsi, Madonna n'a pas d'autre choix que de tout miser sur sa tournée mondiale débutée en fanfare à Tel-Aviv le 31 mai. Et là encore, patatras, Madge se prend à son propre piège. Alors que ses provocations à répétitions finiront de marquer ses différentes escales, la Madonne provoque également l'ire de ses fans. Ainsi de Tel Aviv, à Istanbul, en passant par Paris, Edimbourg ou Rome, on ne retient que ses écarts calculés et sa mauvaise conduite. Un sein à l'air, Marine Le Pen représentée avec une croix gammée sur le front, un pistolet braqué sur le public après la tuerie d'Aurora ou encore un passage éclair à l'Olympia....

Madonna peut-elle encore rebondir?

Pour Elton John, la réponse est claire: non, Madonna est finie.

"C'est un cauchemar. Je suis désolé. Je peux te dire que sa carrière est terminée. Sa tournée est un désastre. Elle ressemble à une strip-teaseuse de foire", assénait-il il y a quelques jours à l'encontre de la chanteuse.
Si le constat est sans appel, Elton John pointe du doigt un fait important: Madonna a épuisé son filon. Ce qui a fait son succès jusqu'alors a fini par ne plus fonctionner. Accrochée à son piédestal, Madonna ne veut pas voir que la formule ne fonctionne plus. La provocation, les tenues délirantes et avant-gardistes, les concerts conçus en véritable spectacles: Madonna n'a plus de longueur d'avance... Au contraire. Lady Gaga avec ses robes en steak et ses concerts de haute voltige le prouve bien.



Alors que faire pour que Madonna revienne sur le ring? Forte de sa carrière dont les nouvelles recrues des hit-parades ne peuvent se targuer, Madge pourrait se reposer par exemple sur les tubes sur lesquels elle a bâti sa carrière comme les Rolling Stones. Apprendre à se faire plus discrète, à se faire désirer comme Prince? Rester dans son terrain de jeu malgré les bouleversements musicaux comme Johnny Halliday? Le conseil le plus sûr reste pour la Reine de faire peau neuve.

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L'origine de la boisson Coca Cola n'est pas due au hasard, contrairement à ce que l'entreprise Coca Cola inc souhaite faire croire au grand public. C'est plutôt l'aboutissement logique d'une suite d'événements favorables à ce type de boisson.


À la fin de la Guerre de Sécession à laquelle il participe, John Pemberton est pharmacien à Columbus (Géorgie) et possède un petit laboratoire a Bay City (Michigan). En 1870, il s'installe à Atlanta, le marché étant plus important que celui de Columbus et de Bay City. Ses débuts dans la capitale de la Géorgie sont flamboyants au point qu'il crée la J.-S. Pemberton & Company en 1879.


La première recette ancêtre du Coca-Cola, le French Wine Coca, est inventée par John Pemberton en 1885. C'est une boisson alcoolisée à base de coca, de noix de kola et de damiana, Pemberton se serait inspiré de la recette du vin Mariani, un mélange de vin de Bordeaux et de feuille de coca créé par le chimiste corse Angelo Mariani en 1863. La vente du French Wine Coca se poursuivra jusqu'à la mort de Pemberton en 1888. Cette version du Coca cola contient suffisamment d'alcool pour être considéré par la législation française actuelle comme une boisson alcoolisée avec plus d'un degré d'alcool.



Le 25 novembre 1885, le maire d'Atlanta organise un référendum sur la question de l'interdiction de l'alcool dans la ville. Atlanta devient une ville « sèche » pour une période d'essai de deux ans durant lesquels la vente d'alcool est interdite. Ainsi, l'enjeu pour la jeune compagnie sera d'offrir une boisson sans alcool, tranchant avec les orangeades et procurant les effets du bourbon. Pemberton va développer une version sans alcool de sa boisson, mais toujours avec la coca, son principal ingrédient actif, qui subsistera dans la recette jusqu'à la fin du xixe siècle.

Pemberton s'associe à Frank Robinson, un comptable de formation et surtout, un homme ambitieux. Il le rencontre en présence de son associé Ed Holland en 1885. De cette association, naît officiellement la marque Coca-Cola, et la Pemberton Chemical Company. Frank Robinson est, pour certains, l'initiateur de la création du nom de la nouvelle boisson, de la calligraphie spencerienne de son logo et l'initiateur d'un recours massif à la publicité.



Le 6 juin 1887, Pemberton fait inscrire au registre du commerce la marque Coca-Cola, ce qui fait de lui l'unique propriétaire, et cela aux dépens de ses anciens associés. La même année, l'homme d'affaire Asa Griggs Candler achète Coca-Cola à Pemberton pour 2 300 dollars, profitant, avec Frank Robinson, de la maladie de Pemberton pour racheter de force. Il va, à l'aide d'une campagne marketing intense, donner son essor à la boisson.



Officiellement Coca-Cola ne contient plus de cocaïne depuis 1903, mais après un contrôle surprise de la US Food, Drug and Insecticide sur le produit il s'avère qu'on en détecte encore des traces après 1929. Des recherches scientifiques montrent qu'un verre de Coca-Cola en 1886 contenait environ neuf milligrammes de cocaïne. En 1911, le directeur du Bureau de chimie du département de l'agriculture américain Harvey Washington Wiley (en) affronte la firme et son important services de chercheurs, l'accusant d'user à tort du nom de Coca-Cola alors qu'elle ne contient plus de cocaïne et également d'utiliser illégalement de la caféine comme additif. L'affaire se termine en 1916 devant la Cour suprême qui exige que Coca-Cola paye les frais de justice et réduise le taux de caféine de son soda. Cette affaire juridique marque un jalon important dans l'élaboration de normes sur l'étiquetage.

Composition du Coca-Cola



La formule du Coca-Cola actuel n'est pas communiquée par la firme (celle de Pemberton, ayant fait l'objet d'un brevet, est en revanche maintenant dans le domaine public... mais interdite de fabrication compte tenu de ses ingrédients).




La firme, depuis sa création, entretient soigneusement le mystère sur sa recette, celle-ci devenant un document sacré. Sa composition fait l'objet d'un secret industriel, quasi militaire.



Selon le mythe forgé par l'entreprise, « elle reposerait dans un coffre situé dans les sous-sols inviolables de la SunTrust Bank, établissement financier d'Atlanta, actionnaire historique de la Compagnie.



Seuls deux ou trois employés, élus parmi les élus, en connaitraient la formulation exacte, entretenant ainsi à merveille la magie du breuvage. »



La boîte en fer contenant le secret commercial de la formule du Coca-Cola a quitté, en décembre 2011, 



le coffre-fort de la banque d'Atlanta qui l'abritait depuis 1919, pour rejoindre le musée personnel de l'entreprise, dans la même ville. 



Elle trône désormais au World of Coca-Cola, 121 Baker Street.

Le Fire department City of New York (FDNY) est le corps des sapeurs-pompiers professionnels de la ville de New York. Il est chargé des cinq arrondissements de New York (borough).




Le FDNY se divise en plusieurs compagnies. Il comporte les compagnies Engine (camion pompe), Ladder (échelle), et l'EMS (Emergency Medical Service) qui est le service d'aide médicale, ainsi que les unités spéciales (Rescue et Squad).


Le travail principal des Engines (camions pompes) est d'amener l'eau au feu (cela peut être de courtes ou de longues distances). Pour ceci, dès que le camion arrive sur le site de l'incendie, le machiniste (celui qui est chargé de la pompe) doit contrôler l'hydrante pour brancher le tuyau d'alimentation sur le camion et donner l'eau aux pompiers qui combattent le feu. Sur les grands buildings de New York le machiniste branche le tuyau sur une colonne sèche pour que les pompiers prennent l'eau directement à l'étage du sinistre. Les Engines interviennent aussi sur des accidents médicaux, s'ils sont plus proches que l'ambulance. Ils font les premiers gestes en attendant que les ambulanciers prennent le relais.
Le camion: tous les camions de type Engine du FDNY sont de la marque Seagrave, ils sont équipés d'une pompe de grande puissance. À l'avant, se trouve la place du chauffeur et des radios. Dans la cabine arrière se trouve le matériel des pompiers, l'appareil respiratoire, des haches, des "halligans" (outils de force), et les fameux casque appelés "morning pride". Derrière la cabine se trouve la pompe, les tuyaux dits "attack lines" au nombre de trois, 2 pour les petits feux (maisons, voitures) et 1 grand pour les feux importants (centres commerciaux, grands buildings). Le numéro sur les camions correspond à leur compagnie (n°55= Engine 55).Il y'a 198 ENGINE a New York City.


Ladder 21

La compagnie Ladder (en français échelle) a pour mission principale de rechercher les victimes dans le feu. Si aucune victime se trouve dans le feu, sa seconde mission est de localiser le feu et le combattre. Les pompiers de l'unité sont équipés d'appareils respiratoires et d'une caméra thermique pour voir des sources de chaleur (humains, foyers ...) à travers la fumée et pour retrouver la sortie en cas de danger.
Le travail de chaque pompier de la compagnie Ladder:
Le conducteur: il doit placer la grande échelle et grimper à la fenêtre pour tester la résistance du sol et du plafond, il regarde aussi si des victimes sont dans le sinistre.
Les pompiers: ils doivent rentrer dans le bâtiment (soit en enfonçant la porte, soit par l'échelle) et trouver les victimes. Pour se repérer, ils longent les murs en étant couchés et balaient le sol avec leurs mains. S'il n'y a pas de victime, ils combattent le feu.
L'homme du toit (Roof man) doit utiliser l'échelle pour grimper sur le toit et y faire un trou pour évacuer les fumées.

Police

La ville de New York a le plus grand nombre de services de police des États-Unis, cela est dû à l'imbrication des services municipaux, de l'État de New York, de l'État fédéral et d'associations chargé du maintien de l'ordre dans cette mégapole. Le plus connu et de loin le plus important étant le New York City Police Department (NYPD), la police de la ville de New York. La municipalité pratique aussi une importante présence policière (dans les années 1990, le nombre de policiers est passé de 30 000 à 40 000). La plus importante prison de la ville est Rikers Island.


Policiers du NYPD à Manhattan en 2007

Comme dans le reste des États-Unis, la criminalité et la délinquance ont diminué depuis le début des années 1990 à New York. Cette réussite est due en partie à l'action du maire de la ville, Rudolph Giuliani, entre 1993 et 1998. Durant cette période, le nombre de meurtres par an a été divisé par plus de trois, passant de 2 245 à 633, pour une population de 7,5 millions d'habitants. L'indice de criminalité a baissé de 22,1 % entre 2001 et 2006. Parmi les 25 plus grandes villes des États-Unis, New York est la plus sûre au niveau de l'indice de criminalité total pour 100 000 habitants. Parallèlement on assiste à une augmentation du nombre de bavures dont la plus célèbre est sûrement l'assassinat d'Amadou Diallo en 1999. Ces résultats sont la conséquence de plusieurs facteurs, dont les plus importants sont la politique de « tolérance zéro », la baisse du chômage, la réhabilitation des quartiers du nord de Manhattan (par exemple de Harlem), de l'intégration des minorités ethniques dans les forces de l'ordre, ou encore d'un travail concerté des diverses institutions municipales, en particulier des écoles. Le sentiment d'insécurité a baissé et il est tout à fait possible de se promener sans crainte dans tous les secteurs de Manhattan et Staten Island, la plupart des secteurs de Queens et de Brooklyn. Il est seulement conseillé aux touristes d'être plus vigilants la nuit et d'éviter certains lieux tels que Central Park, le Bronx et certains secteurs de Brooklyn.
La mafia new-yorkaise, même si elle est moins puissante aujourd'hui, est dominée par les Cinq Familles : les Genovese, les Gambino, les Lucchese, les Colombo et les Bonanno. Elles vivent, entre autres, du trafic de drogue, du racket de l'industrie du bâtiment et des ports.
Selon les statistiques du NYPD pour 2007, le taux d'homicides pour 1 million d'habitants était de 81,1 pour les afro-américains et de 6,3 pour les blancs. Sur les 244 meurtres enregistrés entre le 1er janvier et 30 juin 2008, 64,8 % des victimes étaient des noirs, les Latino-Américains représentaient 23,4 % des victimes, les Blancs 7,4 % et les Asio-Américains 4,5 %.
En 2007, les Noirs représentaient 64,9 % des arrestations pour assassinat, les Latino-Américains 27,2 %, les Blancs 7,3 %, et les Asio-Américains moins de 1 %.


Crimes répertoriés par le Uniform Crime Report

Selon Greenpeace en 2007, l'iPhone serait un téléphone « toxique ». L'association écologiste a soumis l'iPhone à un laboratoire d'analyses indépendant. Il en ressort que le produit de la firme américaine intégrait un certain nombre de produits toxiques, notamment du PVC, contenu dans les câbles de l'appareil pour les modèles Edge et 3G, ainsi que de l'arsenic, contenu dans les vitres d'écran. Le téléphone d'Apple recelait des substances et des matériaux nocifs pour l'environnement. Un résultat décevant étant donné que Steve Jobs avait annoncé vouloir faire de son entreprise « une pomme plus verte ». Depuis lors, la société a longuement étudié le phénomène, et propose désormais depuis l'iPhone 4 : combiné sans PVC, écouteurs sans PVC, câble USB sans PVC, plaquettes de circuits imprimés sans brome, écran LCD sansmercure, verre sans arsenic.

Depuis la sortie de l'iPhone, divers dysfonctionnements se sont produits suivant le modèle de l'iPhone : les iPhone 3G et 3GS sont la cible de prétendues explosions « inexpliquées » lors d'une utilisation normale de l'appareil (problème fortement sujet à caution). La cause principale était une chute préalable, couplée à un iPhone que l'on utilisait posé sur une couverture, empêchant une bonne répartition de la chaleur. Les microfissures causées par la chute préalable ont fait gonfler certains écrans, pour les faire éclater.