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20.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Iggy Pop, de son vrai nom James Newel Österberg Jr., né le 21 avril 1947 à Muskegon, dans le Michigan (États-Unis) est un chanteur, compositeur et acteur américain. Même s'il n'a connu que relativement peu de succès populaires, il est considéré comme un des artistes rock les plus influents. The Stooges (son groupe de 1967 à 1974, et de 2003 à nos jours) est historiquement un des premiers groupes précurseurs du mouvement punk.
Iggy Pop est aussi connu pour son jeu de scène impressionnant et excessif, une rumeur persistante (mais fausse ou presque...) voulant qu'il termine la plupart de ses concerts nu. Surnommé, « L'Iguane », il est l'un des rares artistes des années 1960 qui ont été épargnés par les punks des années 1970, étant reconnu comme The Godfather of Punk (« Le Parrain du Punk »). Dans une moindre mesure, la scène grunge se l'appropriera également dans les années 1990.
Ses morceaux les plus connus avec les Stooges sont I Wanna Be Your Dog et Search and Destroy. Il a aussi décroché quelques tubes en solo, la plupart ayant été faits grâce à la collaboration de David Bowie, parmi lesquels Nightclubbing, Lust for Life, The Passenger, I'm Bored, Real Wild Child, ou encore Candy, un duo avec Kate Pierson.
Iggy Pop est né à Muskegon, de James Newell Österberg, Sr., un ancien professeur d'anglais et entraîneur de base-ball à Fordson High School à Dearborn, et de Louella Christensen. Il est d'ascendance anglaise et irlandaise du côté de son père, et a des ancêtres danois et norvégiens du côté de sa mère. Son père a été adopté par une famille américaine d'ascendance suédoise, d'où le nom de famille Österberg.
Avant de devenir le leader et le chanteur de son propre groupe, The Stooges, James Österberg a été batteur de 1963 à 1965 pour The Iguanas (où il héritera de son surnom d'"Iguane", rapidement raccourci en "Iggy"), puis pour le groupe de blues, "The Prime Movers".
C'est avec les frères Ron et Scott Asheton que le jeune Iggy réalise un Big Bang musical, dès 1967. Fan des Rolling Stones (Keith Richards, son "héros de toujours" à qui il dédicacera son autobiographie "I need more"), de Frank Sinatra et des Doors, il ressort pourtant déçu d'un concert des hommes de Jim Morrison : « Si les Doors sont capables de remplir des salles, on peut aussi le faire. » Il vient alors de fonder "The Psychedelic Stooges", et prend temporairement le pseudonyme Iggy Stooge.
Les concerts, effectués dans un premier temps dans des salles minuscules, produisent une forte impression sur le public qui n'a jamais entendu une musique aussi brutale. Le son est dur et rappelle celui des garages de Détroit (la Motor City). Quand le groupe signe chez Elektra (le label des Doors et de Love), en 1968, il s'appelle désormais simplement "The Stooges". Quant à l'Iguane, il adopte définitivement son nouveau nom de scène : "Iggy Pop".
Sur scène Iggy, directement inspiré de Morrison, s'exhibe nu, se lacère, s'enduit de beurre de cacahuète, vomit sur son public. Il popularise un style à lui tout seul : le "stage-diving", ou "slam", qui consiste à se jeter dans le public et à le laisser porter par lui. Les plus belles prestations se terminent à l'hôpital.
Drogues et conflits d'intérêt auront une première fois raison du groupe. Ils ne le savent pas encore, mais « les compères » (puisqu'ils se nomment ainsi), viennent de réaliser 2 albums parmi les plus influents de l'histoire du rock (The Stooges, 1969, produit par John Cale, et Fun House, 1970, produit par Don Galluci).
David Bowie, lui, l'a compris, et remet en 1972 Iggy (qui souffre alors d'une solide dépendance à l'héroïne) et le groupe sur pied. Iggy refuse que Bowie produise leur nouvel album, mais celui-ci en mixera pourtant les bandes. Le disque s'intitule Raw Power (1973). James Williamson rejoint la formation, à la guitare, reléguant Ron Asheton à la basse. Celui-ci fulmine, et restera toujours persuadé que James Williamson a eu une influence néfaste sur Iggy et sur le groupe. C'est à cette époque que David lui compose China Girl, afin qu'il touche des droits, tant Iggy était près de la banqueroute.
L'album reçoit un accueil contrasté, certains le considérant comme le meilleur album des Stooges, tandis que d'autres se font un devoir de le détester, jugeant l'influence de Bowie sur le mixage trop envahissante. L'album sera d'ailleurs réédité en 1997, totalement remixé par Iggy.
Le groupe se déchire à nouveau de l'intérieur, les frères Asheton en particulier supportant mal qu'Iggy, consciemment ou pas, les délaisse pour James Williamson et tire la couverture à lui, au point de changer le nom du groupe ("Iggy And The Stooges") et de figurer seul sur la pochette de l'album. Avant d'avoir eu le temps de terminer un quatrième album (dont les démos sortiront plus tard sous le nom de Open Up and Bleed), le groupe se sépare à nouveau. Le dernier concert des Stooges sera fixé sur le disque, Metallic K.O., complètement inaudible et pourtant parfois considéré comme un mètre-étalon en la matière. Iggy Pop y apparaît lessivé, voire dépassé, tandis que des canettes de bières lancées par des bikers en colère s'explosent sur la scène et les instruments.
The Passenger
Les concerts, effectués dans un premier temps dans des salles minuscules, produisent une forte impression sur le public qui n'a jamais entendu une musique aussi brutale. Le son est dur et rappelle celui des garages de Détroit (la Motor City). Quand le groupe signe chez Elektra (le label des Doors et de Love), en 1968, il s'appelle désormais simplement "The Stooges". Quant à l'Iguane, il adopte définitivement son nouveau nom de scène : "Iggy Pop".
Sur scène Iggy, directement inspiré de Morrison, s'exhibe nu, se lacère, s'enduit de beurre de cacahuète, vomit sur son public. Il popularise un style à lui tout seul : le "stage-diving", ou "slam", qui consiste à se jeter dans le public et à le laisser porter par lui. Les plus belles prestations se terminent à l'hôpital.
Drogues et conflits d'intérêt auront une première fois raison du groupe. Ils ne le savent pas encore, mais « les compères » (puisqu'ils se nomment ainsi), viennent de réaliser 2 albums parmi les plus influents de l'histoire du rock (The Stooges, 1969, produit par John Cale, et Fun House, 1970, produit par Don Galluci).
David Bowie, lui, l'a compris, et remet en 1972 Iggy (qui souffre alors d'une solide dépendance à l'héroïne) et le groupe sur pied. Iggy refuse que Bowie produise leur nouvel album, mais celui-ci en mixera pourtant les bandes. Le disque s'intitule Raw Power (1973). James Williamson rejoint la formation, à la guitare, reléguant Ron Asheton à la basse. Celui-ci fulmine, et restera toujours persuadé que James Williamson a eu une influence néfaste sur Iggy et sur le groupe. C'est à cette époque que David lui compose China Girl, afin qu'il touche des droits, tant Iggy était près de la banqueroute.
L'album reçoit un accueil contrasté, certains le considérant comme le meilleur album des Stooges, tandis que d'autres se font un devoir de le détester, jugeant l'influence de Bowie sur le mixage trop envahissante. L'album sera d'ailleurs réédité en 1997, totalement remixé par Iggy.
Le groupe se déchire à nouveau de l'intérieur, les frères Asheton en particulier supportant mal qu'Iggy, consciemment ou pas, les délaisse pour James Williamson et tire la couverture à lui, au point de changer le nom du groupe ("Iggy And The Stooges") et de figurer seul sur la pochette de l'album. Avant d'avoir eu le temps de terminer un quatrième album (dont les démos sortiront plus tard sous le nom de Open Up and Bleed), le groupe se sépare à nouveau. Le dernier concert des Stooges sera fixé sur le disque, Metallic K.O., complètement inaudible et pourtant parfois considéré comme un mètre-étalon en la matière. Iggy Pop y apparaît lessivé, voire dépassé, tandis que des canettes de bières lancées par des bikers en colère s'explosent sur la scène et les instruments.
La suite est moins glorieuse. Iggy continue seul sa route, s'enfonce davantage dans la drogue, tente de s'improviser chanteur pour l'ex-Doors Ray Manzarek, vit dans la rue, se réveille dans son vomi, se mutile sur scène lors de performances artistiques extrêmes, perd ses dents dans une lutte avec des surfeurs, et enregistre, avec l'ex-Stooges James Williamson, un album (Kill City, 1976) qui sera refusé par toutes les maisons de disques. La déchéance est proche,Iggy tente alors de se libérer de son addiction à l'héroïne et passe 1 an dans un hopital psychiatrique. Après 1 an d'isolement forcé,Bowie l'emmène avec lui à Berlin pour la tournée de "Station to Station".
La complicité artistique entre ces deux garçons aux styles radicalement différents s'y développe. Entre Paris et Berlin, l'iguane et le caméléon composent, dans une transe accentuée par une nutrition à l'héroïne et aux saucisses. De leur travail naissent les deux premiers véritables albums solo d'Iggy Pop, The Idiot, puis Lust for Life, tous deux sortis en 1977 grâce au crédit de David Bowie qui lui demande de faire la voix sur son album Low. Avec ces deux albums et Kill City qui sort enfin (à mettre en parallèle avec la "trilogie berlinoise" de Bowie), Iggy Pop renoue enfin avec le succès.
En 1979 Abandonné un moment par David Bowie, Iggy voit ensuite son nouveau succès décroître rapidement. Il se rapproche à nouveau de James Williamson, rangé des guitares et de la défonce, et devenu producteur. Avec un son new wave, il compose trois albums où il revient à un style de musique beaucoup plus violent : New Values (1979), Soldier (1980) et Party (1981). Devant l'échec commercial de ces albums qui, malgré le contrôle artistique de la société de production, sont bien éloignés des goûts musicaux des consommateurs de l'époque, Iggy décide que son album suivant se fichera complètement des desiderata des maisons de disques : s'ensuit Zombie Birdhouse (1982), relative réussite artistique mais, une fois de plus, cuisant échec commercial.
La renaissance sera pour la troisième fois rendue possible par son vieil ami David Bowie. Au sommet de sa gloire au début des années 1980, celui-ci reprend sur ses albums quelques morceaux coécrits avec Iggy en 1977. Iggy touche du coup des tonnes de royalties, et, pour la première fois de sa vie, peut rembourser ses dettes. Enfin serein, Iggy décide de se poser, d'arrêter définitivement les excès, et de tenter de réaliser des albums plus ambitieux. Bowie le soutient et lui donne quelques coups de main pour la conception de son nouvel album, Blah Blah Blah (1986), qui se frotte avec succès au rock FM avec notamment la reprise de Real Wild Child. Le morceau deviendra d'ailleurs le premier tube de sa carrière.
Le succès se confirme à la fin des années 1980 avec Instinct (1988), album de hard rock mélancolique sans concessions, et dans les années 1990 avec le très commercial Brick by Brick (1990). Alors que celui-ci est enfin unanimement reconnu par les rock-critics, les musiciens grunge ne tardent pas à se revendiquer de l'héritage d'Iggy. Cette nouvelle vague musicale, Sonic Youth, Mudhoney et Nirvana en tête, lui donnent d'ailleurs l'envie de s'offrir une petite cure de jouvence, dont il ne semble pas encore revenu aujourd'hui. L'Iguane réunit autour de lui un nouveau groupe de jeunots, The Trolls, musiciens moyens mais fans enthousiastes du Maître, qui connaissent le répertoire des Stooges sur le bout des doigts.
On notera ensuite dans cette décennie le très ambitieux (et long) American Caesar (1993), le punk californien Naughty Little Doggie (1995), l'intimiste Avenue B. (1999) sur lequel Iggy exerce ses talents de crooner, et Beat Em Up (2001), un album résolument nu metal, probablement le plus radical (le plus opportuniste diront certains) de l'artiste.
En 2002, il renoue les liens avec les frères Asheton et le saxophoniste Steven Mackay, à l'occasion de quelques concerts et de l'enregistrement de quatre chansons sur son dernier album en date avec les Trolls, Skull Ring (2003). Près de 30 ans après, les Stooges sont donc à nouveau réuni avec leur line-up originel (le bassiste Dave Alexander, décédé en 1975, est néanmoins remplacé par Mike Watt), et se lancent à l'assaut des scènes du monde entier, sous le nom de "Iggy And The Stooges".
En 2005 sortent d'ailleurs simultanément Telluric Chaos, un concert capté le 22 mars 2004 au Shibuya Axe, à Tokyo, et A Million In Prizes, un double best-of compilant tous les plus grands succès de l'Iguane en solo et avec les Stooges. Un DVD d'une performance live des Stooges, Live in Detroit, voit également le jour. Iggy Pop apparait même dans un spot de pub pour l'opérateur téléphonique SFR, chantant la chanson des Stooges "I Wanna Be Your Dog".
Début octobre 2006, les Stooges réunis sous le nom d'Iggy And The Stooges entrent en studio en Floride avec le producteur Steve Albini pour une suite à leur précédente collaboration, Raw Power. L'album, The Weirdness, sort en mars 2007, et permet au groupe d'entamer une véritable tournée mondiale.
Le 15 septembre 2007, Iggy Pop et les Stooges se produisent en France à la Fête de l'Humanité.
Ron Asheton a été retrouvé mort le 6 janvier 2009 ; Iggy Pop a sorti un album intitulé Preliminaires. Sorti le 18 mai 2009, l'album s'inspire de La Possibilité d'une île de Michel Houellebecq. Marjane Satrapi dessine la couverture de l'album.
Iggy a également annoncé que les Stooges sont toujours vivants, évoquant la possibilité que Steve Jones ex-Sex Pistols intègre le groupe pour remplacer Ron Asheton. Dans une interview récente, Iggy Pop évoque également le fait que James Williamson, guitariste à l'époque de l'album Raw Power ait été contacté pour remplacer Ron Asheton.
Iggy Pop chante un morceau sur Slash & Friends, l'album solo du guitariste Slash à paraître en février 2010
Iggy Pop a fait de nombreuses apparitions au cinéma, notamment chez Jim Jarmusch (Dead Man, 1995, et Coffee and Cigarettes, 2004). On le voit aussi partager l'affiche aux côtés de Johnny Depp dans Cry-Baby (1990), de John Waters, ou encore The Crow : City of Angels (1996) de Tim Pope.
Il participe également à des B.O., et notamment celle d' Arizona Dream en (1993), de Emir Kusturica. Il interprète le single In the death car, qui recueillit un succès commercial à l'échelle internationale. Depuis, il a également composé et chanté le générique du dessin animé français Les Zinzins de l'espace, crée par Jean-Yves Raimbaud et Philippe Traversat.
Il réalise avec Lemmy Kilmister de Motorhead la B.O. de "M.A.R.K 13" appelé aussi Hardware et sorti en 1990, film de Richard Stanley. Il y joue un petit mais très marquant rôle.
Il fait une apparition dans Bam's unholy union, le parcours du mariage de Bam Margera
Un film sur Iggy Pop est actuellement en préparation. Il devrait s'appeler The Passenger. Elijah Wood devrait y incarner l'Iguane, tandis que la réalisation a été confiée à Nick Gomez, venu du monde de la télé.
Il a aussi tenu un petit rôle dans les séries télévisées "Pete et Pete" et Fastlane
Discographie
Iggy Pop en 1987 Avec The Stooges
The Stooges (1969)
Fun House (1970)
Raw Power (1973)
Metallic KO (1976) (en concert)
Skull Ring (2003) (quatre morceaux avec The Stooges)
Telluric Chaos (2005) (en concert)
The Weirdness (2007)
En solo
The Idiot (1977)
Lust for Life (1977)
Kill City (1977) (avec James Williamson)
TV Eye Live 1977 (1978) (en concert)
New Values (1979)
Soldier (1980)
Party (1981)
Zombie Birdhouse (1982)
Blah Blah Blah (1986)
Instinct (1988)
Brick by Brick (1990)
American Caesar (1993)
Naughty Little Doggie (1996)
Avenue B (1999)
Beat 'Em Up (2001)
Skull Ring (2003)
Préliminaires (2009)
Compilations
Nude & Rude : The best of Iggy Pop (1996) (compilation)
A Million In Prizes - The Anthology (2005) (compilation)
Where The Faces Shine - Volume 1 : The Official Live Experience 1977-1981 (2006) (compilation live)
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Audrey Landers (née : Audrey Hambourg, le 18 Juillet 1956 à Philadelphie , Pennsylvanie , Etats-Unis ) est une actrice, chanteuse , compositrice et parolière américaine
Elle fut connu à travers la série "Dallas", mais en réalité la vie d'Audrey Landers a commencé une carrière de chanteuse. Son plus grand succès a été le 1983 "Manuel Goodbye", qui a même atteint le top 10 en Allemagne et n ° 3 en France. "Lune de miel à Trinité", "Little River" et "Playa Blanca" salué le succès continu du parallèle États-américaine de leur temps d'activité à Dallas.
Manuel Goodbye
Discographie
1983: Little River
1984: Où le vent souffle au sud
1985: la génération Paradise
1986: The Big Country
1988: Secrets
1990: Mes rêves pour vous
1991: Rendez-Vous
1992: The Christmas Album Audrey Landers
2005: Traces d'un été
2006: Dolce Vita
2010: des traces de ta tendresse
Singles
1983: Manuel Goodbye (D n ° 10, FRA n ° 3, n ° 4 CH, NL # 4)
1983: Little River (D # 28, # 6, # 15 CH, NL # 38)
1984: Playa Blanca (D n ° 38, NL # 3)
1984: Lune de miel à Trinité-
1984: Mi Amor (avec Camilo Sesto) (D # 52, NL # 26)
1985: Nuit d'été à Rome
1985: la génération Paradise
1985: Jim, Jeff & Johnny
1986: Yellow Rose of Texas
1986: Nuits Tennessee
1987: Ces ailes argentées
1987: Bella Italia
1987: Apprends-moi à la roche (avec Judy Landers comme "Rock Candy")
: 1987 Hurricane une (avec Judy Landers comme "Rock Candy") (produit par Drafi allemand )
1988: Silver Bird (écrit par Renate Vaplus alias allemand Drafi )
1988: Ne jamais envie de danser
1989: Autant en emporte le vent
1989: Soleil de la Jamaïque
1990: Shine a light
1990: Shadows of Love
1991: Au revoir Santa Maria
1991: Monte Carlo
1997: Aujourd'hui, j'ai pensé à toi (avec Bernard Butler) (D # 100)
2004: Parce que nous voyons tous le même soleil (avec le fils de Daniel)
2005: Nuit d'été sur le lac Majeur
2006: In Your Eyes était Dolce Vita
2007: Summer Dream
2009: l'été, la mer et le soleil
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Ann Dvorak est une actrice américaine, née Anna McKim le 2 août 1912 à New York (État de New York), morte le 10 décembre 1979 à Honolulu (Hawaii).
Fille de l'actrice de muet Anna Lehr (en), Ann Dvorak apparaît pour la première fois au cinéma à quatre ans, dans le film américain Ramona (1916). Elle commença à travailler pour la MGM à la fin des années 1920 comme professeur de danse puis tourna dans des films comme choriste. Son amie Joan Crawford la présenta à Howard Hughes, qui en fit une actrice dramatique. Elle se révéla au grand public dans Scarface (1932), dans le rôle de la sœur de Paul Muni ; puis elle connut le succès avec Une allumette pour trois (1932) dans le rôle tragique de Vivian, aux côtés de Joan Blondell et de Bette Davis ; dans Love Is a Racket (1932) ; et dans Sky Devils (1932) où elle donne la répartie à Spencer Tracy.
Réputée pour son style et son élégance, elle était l'une des stars de la Warner Brothers dans les années 1930, et tint les premiers rôles dans plusieurs films sentimentaux et mélodrames. Elle mit un terme à son contrat lorsqu'elle apprit que l'enfant qui jouait son fils dans Une allumette pour trois recevait le même cachet qu'elle. Elle se produisit désormais elle-même, mais si elle trouva toujours des rôles à jouer, la qualité des scripts déclina rapidement. On la retrouve ainsi comme la secrétaire Della Street dans un épisode de Perry Mason par Donald Woods (The Case of the Stuttering Bishop, 1937). Elle se produisait également sur les planches à Broadway. Plus tard, mariée un temps à l'acteur et réalisateur britannique Leslie Fenton, elle tournera ainsi une poign ée de films au Royaume-Uni, tout en participant à l'effort de guerre comme ambulancière, Son interprétation d'entraîneuse de saloon dans Règlement de comptes à Abilene Town (1946) est inoubliable.
Après un dernier film en 1951 et quelques séries pour la télévision de 1950 à 1952, elle met un terme définitif à sa carrière, à la suite de son mariage avec son troisième et ultime époux, Nicholas Wade († 1975). Elle passa ses années de retraite dans l'anonymat et mourut d'un cancer de l'estomac à Honolulu.
Outre "Ann Dvorak", elle est quelquefois créditée (à ses débuts) "Anna Lehr" ou "Baby Anna Lehr" ou encore "Ann McKim".
Une étoile lui est dédiée sur le Walk of Fame d'Hollywood Boulevard.
Filmographie partielle
1916 : Ramona de Donald Crisp
1917 : The Man Hater d'Albert Parker
1920 : The Five Dollar Plate de J. Gordon Cooper et Carl Harbaugh (Court métrage)
1931 : This Modern Age de Nick Grinde (non créditée)
1932 : Sky Devils de A. Edward Sutherland
1932 : Scarface de Howard Hawks
1932 : The Crowd Roars de Howard Hawks
1932 : The Strange Love of Molly Louvain de Michael Curtiz
1932 : Love is a Racket de William A. Wellman
1932 : Crooner de Lloyd Bacon
1932 : Une allumette pour trois (Three on a Match) de Mervyn LeRoy
1933 : The Way to Love de Norman Taurog
1933 : College Coach de William A. Wellman
1934 : Massacre d'Alan Crosland
1934 : Heat Lightning de Mervyn LeRoy
1934 : Midnight Alibi d'Alan Crosland
1934 : Femme d'intérieur (Housewife) d'Alfred E. Green
1934 : Side Streets d'Alfred E. Green
1934 : I sell anything de Robert Florey
1935 : Sweet Music d'Alfred E. Green
1935 : Les Hors-la-loi ('G' Men) de William Keighley
1935 : Dans le décor (Bright Lights) de Busby Berkeley
1935 : Dr. Socrates de William Dieterle
1937 : We who are about to die de Christy Cabanne
1937 : She's no Lady de Charles Vidor
1938 : Madame et son clochard (Merrily we live) de Norman Z. McLeod
1939 : L'Étrange rêve (Blind Alley) de Charles Vidor
1939 : Stronger than Desire de Leslie Fenton
1940 : Cafe Hostess de Sidney Salkow
1942 : This was Paris de John Harlow
1943 : Squadron Leader X de Lance Comfort
1945 : La Belle de San Francisco (Flame of Barbary Coast) de Joseph Kane
1945 : Masquerade à Mexico (Masquerade in Mexico) de Mitchell Leisen
1946 : Règlement de comptes à Abilene Town (Abilene Town) d'Edwin L. Marin
1947 : Out of the Blue de Leigh Jason
1947 : The Private Affairs of Bel Ami d'Albert Lewin
1947 : The Long Night d'Anatole Litvak
1948 : The Walls of Jericho de John M. Stahl
1950 : Celle de nulle part (Our very Own) de David Miller
1950 : Ma vie à moi (A Life of her Own) de George Cukor
1950 : The Return of Jesse James d'Arthur Hilton
1950 : Mrs. O'Malley and Mr. Mallone de Norman Taurog
1951 : J'étais une espionne américaine (I was an American Spy) de Lesley Selander
1951 : L'Énigme du lac noir (The Secret of Convict Lake) de Michael Gordon
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ann_Dvorak | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
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2 août : Naissances | |||||||||||||||||||||||||||
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Le signe Hollywood abord dit "Hollywoodland" quand il a été installé en 1923. Les quatre dernières lettres ont été supprimées lorsque le signe a été rénové en 1949.