Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
22.11.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
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Par Anonyme, le 23.09.2024
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Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Sherry Lansing, de son vrai nom Sherry Lee Duhl, née le 31 juillet 1944 à Chicago, est une actrice et productrice américaine, également CEO et présidente de Paramount Pictures de 1992 à 2005 puis présidente de 20th Century Fox, elle devint alors la première femme à diriger un studio Hollywoodien.
En 1996, elle devient la première femme pionnière de l'année d'après la fondation des pionniers du cinéma, ainsi que la première femme chef de studio à avoir une étoile sur Walk of Fame.
En 2001, elle est nommée l'une des femmes les plus puissantes d'Amérique par le journal Ladies Home Journal. De même le journal The Hollywood Reporter la nomme 4e de sa liste des 100 puissances en 2003.
En 2005, elle est la première femme chef de studio à déposer ses empreintes pieds et mains au Grauman's Chinese Theatre sur Hollywood Boulevard.
Sherry Lansing est issue d'une mère ayant fui l'Allemagne nazie et d'un père investisseur en immobilier. Son père meurt quand elle n'a que neuf ans. Elle fait ses études à University of Chicago Laboratory Schoolsjusqu'en 1962. En 1966, elle obtient un Baccalauréat en sciences à l'Université Northwestern où elle appartenait à la section féminine Sigma Delta Tau.
Lansing épouse William Friedkin, réalisateur ayant reçu un oscar en 1991.
Elle suit une carrière d'actrice, elle paraît dans deux films avec John Wayne en 1970, Loving de Irvin Kershner et Rio Lobo de Howard Hawks. Mais déçue elle-même par son jeu d'acteur, elle décide d'agrandir ses connaissances de l'industrie du cinéma en partant du bas. Elle obtient un emploi chez MGM comme chef scénariste et travaille sur deux succès comme Le Syndrome chinois et Kramer contre Kramer. Ce travail la mène finalement, après un passage chez Columbia Pictures, à devenir la première femme présidente de 20th Century Fox. Elle est également partenaire de Jaffe/Lansing Productions avec Stanley R. Jaffe. La société a distribué un certain nombre de petits succès à travers Paramount, dont Liaison fatale en 1987 qui fut nommé aux Oscars pour le meilleur film l'année suivante. En 1992, On lui propose la présidence du groupe Paramount Pictures. Sous sa présidence, Paramount enregistre sa plus longue et meilleure série depuis les années 30 de sorties cinématographiques, comme Forrest Gump, Braveheart ou encore le film qui reçut les plus importantes recettes du cinéma jusqu'à cette époque, Titanic. Six des dix plus grosses recettes de Paramount ont été enregistrées sous sa présidence dont trois films récompensés aux oscars pour le meilleur film. Au total, 80 % des films sortis sous la direction de Lansing furent rentables, score jamais égalé par un directeur de studio jusqu'au début du XXIe siècle.
En tant que chef de studio, elle visait le coût minimal plutôt que la part de marché, préférant prendre le moins de risques possible et faire des films à plus petits budgets que les autres studios. Viacom décide de diviser la société en deux en 2004 et Lansing démissionne à la fin de cette même année après douze ans de direction, ce qui est une longévité rare au sommet de la légende hollywoodienne Best Show in Town.
Elle est une régente de l'université de Californie (en) Elle fait partie de diverses associations non-caritatives dont la Croix-Rouge américaine, la Fondation Carter, DonorsChoose (en), Qualcomm, enseignement pour l'Amérique (en), la la recherche américaine contre le cancer (en), la fondation du Prix Albert-Lasker et les amis de la recherche contre le cancer (en).
En 2005, elle crée la fondation Sherry Lansing dédiée à la sensibilisation pour la recherche contre le cancer.
En 2007, elle reçoit le prix Jean Hersholt Humanitarian pour son travail dans la recherche contre le cancer lors de la 79e cérémonie des Oscars. Ce prix lui fut remis par Tom Cruise, son ami et partenaire de travail de longue date.
Filmographie
1970 : Rio Lobo : Shasta Delaney
1984 : Firstborn de Michael Apted
1987 : When the Time Comes de John Erman
1987 : Liaison fatale (Fatal Attraction) de Adrian Lyne
1988 : Les Accusés (The Accused) de Jonathan Kaplan
1989 : Black Rain de Ridley Scott
1992 : Collège d'Élite (School Ties) de Robert Mandel
1993 : Proposition indécente (Indecent Proposal) de Adrian Lyne
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Jennifer O'Neill est une actrice américaine née le 20 février 1948 à Rio de Janeiro (Brésil).
Après des débuts en fanfare dans Rio Lobo et surtout Un été 42, et malgré Otto Preminger, Blake Edwards, Tom Gries, Luigi Zampa, Luchino Visconti (un second rôle féminin dans L'Innocent) et David Cronenberg par la suite, la carrière de Jennifer O'Neill, qui fut un mannequin renommé dès 1962, a évolué à la fin des années soixante-dix vers la série B (ou Z) d'horreur ou d'action.
À la télévision, dans les années quatre-vingt, l'actrice tient encore la vedette dans la série Espion modèle, tient le rôle de Messaline dans la série A.D., puis disparaît quasiment des écrans, se contentant d'apparitions de plus en plus discrètes. En revanche, elle a publié plusieurs livres depuis 1999. Son autobiographie Surviving Myself fut le premier.
Jennifer O'Neill a été mariée neuf fois, elle a eu trois enfants.
Le 23 octobre 1982, elle a subi une blessure par balle dans sa maison à McClain Street à Bedford (New York). Elle s'était accidentellement tiré dans l'abdomen avec un revolver de calibre 38. Son quatrième mari à l'époque, John Lederer n'était pas dans la maison. Elle a écrit deux autobiographies.
Filmographie
1968 : For Love of Ivy de Daniel Mann : Sandy
1969 : Futz ! (non créditée)
1970 : Rio Lobo : Shasta Delaney
1971 : Un été 42 (Summer of '42) : Dorothy
1971 : Des amis comme les miens (Such Good Friends) d'Otto Preminger avec Dyan Cannon, James Coco, Ken Howard, Nina Foch, Burgess Meredith : Miranda Graham
1972 : Glass Houses
1972 : Opération clandestine (The Carey Treatment) : Georgia Hightower
1973 : Lady Ice de Tom Gries avec Donald Sutherland, Robert Duvall, Eric Braeden : Paula Booth
1975 : Gente di rispetto de Luigi Zampa avec Franco Nero, James Mason : Elena Bardi
1975 : La Mort en rêve (The Reincarnation of Peter Proud) de Jack Lee Thompson avec Michael Sarrazin : Ann Curtis
1975 : L'Infirmière de la compagne casse-cou (Whiffs) de Ted Post : Scottie Hallam
1976 : L'Innocent (L'Innocente) : Teresa Raffo
1976 : Call Girl: La vida privada de una señorita bien
1977 : L'Emmurée vivante (Sette note in nero) : Virginia Ducci
1978 : Caravans de James Fargo d'après James Michener avec Anthony Quinn, Michael Sarrazin, Christopher Lee, Joseph Cotten, Barry Sullivan, Jeremy Kemp : Ellen Jasper
1979 : Love's Savage Fury (TV) : Laurel Taggart
1979 : A Force of One avec Chuck Norris : Mandy Rust
1979 : Des nerfs d'acier (en) (Steel) avec Lee Majors, Harris Yulin, George Kennedy : Cass Cassidy
1980 : Cloud Dancer avec David Carradine, Joseph Bottoms : Helen St. Clair
1981 : Scanners : Kim Obrist
1981 : The Other Victim avec William Devane (TV) : Nancy Langford
1983 : Bare Essence (série TV) : Lady Bobbi Rowan (1983)
1984 : Espion modèle (TV) : Dani Reynolds
1985 : A.D. (feuilleton TV) : Messalina
1985 : Chase (TV) : Sandy Albright
1986 : Perry Mason : Meurtre en direct (TV) : Alison Carr
1987 : I Love N.Y. (en) de Gianni Bozzacchi (de) avec Scott Baio, Christopher Plummer, Jerry Orbach, Virna Lisi : Irene
1988 : Committed : Susan Manning
1988 : The Red Spider avec James Farentino (TV) : Stephanie Hartford
1988 : Glory Days avec Robert Conrad (TV) : Scotty
1989 : Full Exposure: The Sex Tapes Scandal avec Lisa Hartman, Anthony John Denison, Vanessa Williams (TV) : Debralee Taft
1990 : Personals (TV) : Heather Moore
1992 : Invasion of Privacy (TV) : Hillary Wayne
1992 : Perfect Family avec Bruce Boxleitner (TV) : Maggie
1993 : Discretion Assured avec Michael York : Paige
1993 : Love Is Like That : Ms. Alman
1993 : The Cover Girl Murders avec Lee Majors, Adrian Paul (TV) : Kate
1994 : Un coupable idéal (Jonathan Stone: Threat of Innocence) avec Richard Crenna, Beverly D'Angelo (TV) : Nan Stone
1994 : The Visual Bible : Acts avec James Brolin, Dean Jones (vidéo) : Lydia
1995 : Permission d'aimer (Silver Strand) avec Nicollette Sheridan, Gil Bellows (TV) : Louellen Peterson
1997 : Charmante Promotion (The Corporate Ladder) (TV) : Irene Grace
1997 : The Ride : Ellen Stillwell
1999 : The Prince and the Surfer avec Robert Englund, C. Thomas Howell : Queen Albertina
2000 : On Music Row (TV) : Linda Rodgers
2002 : Time Changer : Michelle Bain
2008 : Billy: The Early Years
2012 : Last Ounce of Courage
2012 : Doonby
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Daniel Gélin est un comédien français, né le 19 mai 1921 à Angers et mort le 29 novembre 2002 à Paris. Il devient, à la fin des années 1940, une vedette du cinéma français, et tient alors des rôles de jeune premier, romantique, dramatique ou fantaisiste. Sa carrière au cinéma est plus discrète avec la Nouvelle Vague, mais il connaît à partir de 1965 un regain de popularité grâce à la série télévisée « Les Saintes Chéries », puis à partir des années 1970 un regain de succès au cinéma avec de mémorables seconds rôles.
Daniel Gélin est le fils d'Alfred Gélin, employé aux écritures dans l'usine Berthelot, fabrique de cordage et toile de chanvre d'Angers, et d'Yvonne Le Méner, ouvrière dans la même usine, d'origine bretonne. Il a une sœur, Monique (1923-1975). Son père est nommé sous-directeur d'une usine à Saint-Malo en 1931. Ancien élève du lycée Institution Saint-Malo, Daniel Gélin est condisciple de Jean Le Bot, professeur des universités et amateur de marine. Mais Daniel est un élève indiscipliné. Son père lui trouve une place d'ouvrier dans une conserverie de morues de Saint-Malo puis d'aide-magasinier dans un atelier de cordages
Encore mineur, rêvant de théâtre et de comédie, Daniel Gélin part à Paris où il suit les cours d'art dramatique de René Simon avec un penchant pour la comédie. René Simon lui suggère de se tourner vers des rôles dramatiques, conseil qu'il suivra avec succès. Il entre ensuite au Conservatoire national d'art dramatique et y rencontre Louis Jouvet. Il suit les cours de Béatrix Dussane. Il côtoie Maria Casarès, Françoise Christophe, Sophie Desmarets, Christine Gouze, Gilbert Trigano (alors apprenti acteur) et Jacques Charon. Il commence une carrière au théâtre et fait sa première apparition à l'écran en 1940. Il permet à Louis de Funès, ancien camarade du cours Simon, d'obtenir ses premiers rôles au cinéma (avec La Tentation de Barbizon de Jean Stelli en 1945). Le considérant comme celui qui avait lancé sa carrière, Louis de Funès le surnomme par la suite « Ma chance ».
Rendez-vous de juillet, puis Édouard et Caroline, réalisés par Jacques Becker, permettent à Daniel Gélin d'accéder au vedettariat. Dans les années 1950, il est l'un des jeunes premiers les plus en vogue du cinéma français, grâce à son jeu moderne et à son physique ténébreux. Il tourne énormément mais tombe dans l'héroïne et l'alcool. La Nouvelle Vague lui vaut une période de « traversée du désert ». Il se consacre alors un temps au théâtre, ainsi qu’à la télévision avec le très populaire feuilleton « Les Saintes Chéries », participe à quelques films (Paris brule-t-il, La Ligne de Démarcation) avant de renouer vraiment avec le cinéma dans les années 1970-80. Loin de son emploi de l'immédiat après-guerre, il devient un acteur de second rôle très familier du public, jouant avec grande intelligence des personnages fins et blasés (Le père et mari dans « Le Souffle au cœur »), voire cyniques, comme le médecin dans La vie est un long fleuve tranquille, ou simplement bougons.
En comédien passionné de poésie, Daniel Gélin rédige plusieurs recueils de poèmes : Fatras (1950), Dérives (1965), L'Orage Enseveli (1981), Le sang de mes songes (1996, prix de Poésie 1996 de la Sacem), Passeports délayés(parution posthume en 2005) ainsi que deux anthologies de choix poétiques, Poèmes à dire (éditions Seghers 1968, préface chaleureuse de Jean Vilar), Cent poètes côté jardin (Éditions du Cherche-Midi 1990). Il est également membre du comité d'honneur de la Maison internationale des poètes et des écrivains de Saint-Malo.
Le 29 novembre 2002, il succombe à une insuffisance rénale. Il repose au cimetière de Rocabey à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine).
Pendant la Seconde Guerre mondiale, il a une liaison de plusieurs mois avec Simone Signoret avant que cette dernière se lie avec un compagnon de plus de vingt ans son aîné, Marcel Duhamel.
Le 25 mai 1946, il épouse Danièle Delorme dont il a un fils, Xavier Gélin (1946-1999)
En 1952, il a avec le mannequin Marie-Christine Schneider une relation dont naît la future actrice Maria Schneider (1952-2011). Il ne reconnaîtra jamais cette enfant adultérine, dont il ne fera la connaissance que seize ans plus tard.
Divorcé de Danièle Delorme début 1954, après une brève liaison avec Ursula Andress, il épouse le 25 novembre 1954 Sylvie Hirsch, mannequin chez Christian Dior dont il aura trois enfants : Pascal (1956-1957), Manuel Gélin (né en 1958) et Fiona Gélin (née en 1962). Ils divorcent en 1971.
En 1973, il se marie avec Lydie Zaks, rencontrée en Israël. Elle restera à ses côtés pendant plus de 30 ans. De cette union naît Laura en 1975.
Il a six petits-enfants : Sarah Gélin et Hugo Gélin (né en 1980) enfants de Xavier ; Milan (né en 1989), fils de Fiona ; Lana (née en 1998), fille de Manuel ; Max (né en 2003) et Lou (née en 2008), enfants de Laura.
Hommage
La municipalité de Saint-Malo a donné son nom à une école de la ville.
Théâtre
Comédien
1941 : Les Fourberies de Scapin de Molière, mise en scène André Barsacq, Théâtre de l'Atelier
1942 : Dieu est innocent de Lucien Fabre, mise en scène Marcel Herrand, Théâtre des Mathurins
1942 : D'après nature ou presque de Michel Arnaud, mise en scène Marcel Herrand, Théâtre des Mathurins
1944 : Deirdre des douleurs, de Synge, mise en scène Marcel Herrand, Théâtre des Mathurins
1945 : Zibeline, de Madame de Saint-Gimiez, mise en scène Gantillon, Théâtre Michel
1945 : Huis Clos, de Jean-Paul Sartre, mise en scène Raymond Rouleaun Théâtre du Vieux Colombier
1946 : Winterset de Maxwell Anderson, mise en scène André Certes, Théâtre des Carrefours
1947 : Virage dangereux de John Boynton Priestley, mise en scène Raymond Rouleau, Théâtre de Paris
1948 : Les parents terribles de Jean Cocteau, mise en scène de l'auteur, rôle de Mick, Théâtre du Gymnase
1950 : Notre peau de José-André Lacour, mise en scène Michel Vitold, Théâtre de l'Œuvre
1950 : La neige était sale de Frédéric Dard d'après Georges Simenon, mise en scène Raymond Rouleau, Théâtre de l'Œuvre
1955 : L'Homme qui se donnait la comédie de Emlyn Williams, mise en scène Daniel Gélin, Théâtre des Célestins
1956 : Bérénice de Jean Racine, mise en scène de Jean Serge, tournée de 4 représentations en Algérie
1957 : Le Grand Couteau de Clifford Odets, mise en scène Jean Renoir, Théâtre des Bouffes-Parisiens
1960 : Erik XIV d'August Strindberg, mise en scène Jean Vilar, TNP Théâtre de Chaillot, Festival d'Avignon
1961 : Andromaque de Racine, mise en scène Marguerite Jamois, Théâtre des Célestins
1961 : Tchin-Tchin de François Billetdoux, mise en scène de François Darbon, Théâtre de Paris
1963 : Le Paria de Graham Greene, mise en scène Jean Mercure, Théâtre Saint-Georges
1964 : Bonheur, impair et passe de Françoise Sagan, mise en scène Claude Régy, Françoise Sagan, théâtre Édouard VII
1966 : Huis clos de Jean-Paul Sartre, mise en scène Michel Vitold, Théâtre des Mathurins
1967 : Huis clos de Jean-Paul Sartre, mise en scène Michel Vitold, Théâtre des Célestins
1967 : La Putain respectueuse de Jean-Paul Sartre, mise en scène Michel Vitold, Théâtre des Célestins
1969 : Le monde est ce qu'il est d'Alberto Moravia, mise en scène Pierre Franck, Théâtre des Célestins, Théâtre de l'Œuvre
1969 : S.O.S. Homme seul de Jacques Vilfrid, mise en scène Michel Vocoret, Théâtre des Nouveautés
1970 : S.O.S. Homme seul de Jacques Vilfrid, mise en scène Michel Vocoret, Théâtre des Célestins
1970 : La Fuite de Mikhaïl Boulgakov, mise en scène Pierre Debauche, Théâtre des Amandiers
1972 : Ne m'oubliez pas de Peter Nichols, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre de la Renaissance
1972-1973 : Rendez-vous au plaza de Neil Simon, mise en scène Emilio Bruzzo, Théâtre des Célestins, tournée Karsenty
1974 : Recréation, montage de poèmes de Paul Éluard, musique Barbara, chorégraphie Jacques Garnier, Fête de l'Humanité
1974 : Docteur Hero de Israël Horovitz, mise en scène Jean-Claude Amyl, Théâtre La Bruyère
1975 : Monsieur Masure de Claude Magnier, mise en scène Michel Roux, Théâtre Daunou
1976 : Le Scénario de Jean Anouilh, mise en scène Jean Anouilh & Roland Piétri, Théâtre de l'Œuvre
1977 : Le Scénario de Jean Anouilh, mise en scène Jean Anouilh & Roland Piétri, Théâtre des Célestins, tournée Karsenty
1979 : C'est à c't'heure ci que tu rentres ? de Michel Fermaud, mise en scène Jean-Luc Moreau, Théâtre des Nouveautés
1981 : Huis clos de Jean-Paul Sartre, mise en scène Georges Wilson, Théâtre des Mathurins
1981 : Pétition de Václav Havel, mise scène Stephan Meldegg, Théâtre des Mathurins
1981 : Conversations dans le Loir et Cher d'après Paul Claudel, mise en scène Christian Benedetti, Théâtre Silvia Monfort
1983 : L'arbre de mai, de Marcel Maréchal, mise en scène François Bourgeat, Théâtre de la Criée puis Théâtre de l'Atelier
1985 : Question de géographie, de N. Bielski et J. Berger, mise en scène Marcel Maréchal, Théâtre de la Criée puis Odéon
1987 : George Dandin de Molière, mise en scène Roger Planchon, TNP Villeurbanne
1988 : George Dandin de Molière, mise en scène Roger Planchon, TNP, tournée
1992 : Les Parents terribles de Jean Cocteau, rôle du père, mise en scène Raymond Acquaviva
1997 : Le Bonheur à Romorantin de Jean-Claude Brisville, mise en scène Jean-Luc Tardieu, Espace 44 Nantes
1998 : Délicate Balance d'Edward Albee, adaptation Pierre Laville, mise en scène Bernard Murat, Théâtre Antoine - Malade, il doit déclarer forfait le soir de la première et ne remontera plus jamais sur scène.
Metteur en scène
1955 : L'Homme qui se donnait la comédie de Emlyn Williams, Théâtre des Célestins
1977 : Les Mains sales de Jean-Paul Sartre, Théâtre des Célestins, tournée Karsenty
1977 : Le Cours Peyol d'Étienne Rebaudengo, Théâtre de l'Œuvre
1993 : Les Petites Femmes de Maupassant de Roger Defossez, Théâtre du Tourtour
1995 : Noix de coco de Marcel Achard
Filmographie
Réalisateur
1952 : Les Dents longues (également scénariste et acteur)
Acteur
1940 : Miquette de Jean Boyer
1940 : Soyez les bienvenus de Jacques de Baroncelli
1940 : Les Surprises de la radio de Marcel Paul (à confirmer)
1941 : Premier Rendez-vous d'Henri Decoin – M. Chauveau-Laplace
1942 : Les Cadets de l'océan de Jean Dréville – Philippe Dermantes
1942 : L'assassin habite au 21 d'Henri-Georges Clouzot - Un inspecteur lors de l'arrestation finale
1942 : Les Inconnus dans la maison d'Henri Decoin
1943 : Lucrèce de Léo Joannon – Un collégien
1943 : Les Petites du quai aux fleurs de Marc Allégret – Le poinçonneur du métro
1946 : La Tentation de Barbizon de Jean Stelli – Michel
1945 : Un ami viendra ce soir de Raymond Bernard – Pierre Ribault, le poète exalté
1946 : La Fille du diable d'Henri Decoin (à confirmer)
1946 : La Nuit de Sybille de Jean-Paul Paulin – Stany
1946 : Martin Roumagnac de Georges Lacombe – Le surveillant
1946 : La Femme en rouge de Louis Cuny – Saladin
1946 : Ouvert pour cause d'inventaire - film inédit d'Alain Resnais
1947 : Miroir de Raymond Lamy – Charles
1947 : Le Mannequin assassiné de Pierre de Hérain – Léopold
1948 : Le Paradis des pilotes perdus de Georges Lampin – Le lieutenant Villeneuve
1949 : Rendez-vous de juillet de Jacques Becker – Lucien Bonnard
1950 : Dieu a besoin des hommes de Jean Delannoy – Joseph Le Berre
1950 : La Ronde de Max Ophüls – Alfred
1950 : Édouard et Caroline de Jacques Becker – Édouard Mortier
1950 : Traité de bave et d'éternité - film expérimental à partir d'archives d'Isidore Isou
1951 : Les Mains sales de Fernand Rivers – Hugo Barine
1951 : Une histoire d'amour de Guy Lefranc – Jean Bompart
1952 : Adorables Créatures de Christian-Jaque – André Noblet
1952 : Le Plaisir de Max Ophüls, sketch : « Le Modèle » – Jean, le jeune peintre
1952 : Les Dents longues de Daniel Gélin – Louis Commandeur - (également réalisateur et scénariste)
1952 : Rue de l'Estrapade de Jacques Becker – Robert
1952 : La Minute de vérité de Jean Delannoy – Daniel Prévost
1953 : La Maison du silence (La voce del silenzio) de Georg-Wilhelm Pabst – Francesco Ferro
1953 : L'Esclave d'Yves Ciampi – Michel Landa
1953 : La neige était sale de Luis Saslavsky – Franck Friedmayer
1953 : Sang et Lumières (Sangre y luces) de Georges Rouquier et Munoz Suay– Ricardo Garcia
1953 : Si Versailles m'était conté de Sacha Guitry – Jean Collinet
1954 : Les Amants du Tage d'Henri Verneuil – Pierre Roubier
1954 : L'Affaire Maurizius de Julien Duvivier – Léonard Maurizius
1954 : Rumeur publique (Opinione publica) de Maurizio Cognati
1954 : La Belle Romaine (La Romana), de Luigi Zampa
1954 : Les Gaietés de l'escadron (Allegro squadrone) de Paolo Moffa – Frédéric d'Héricourt
1955 : Napoléon de Sacha Guitry – Bonaparte
1955 : Paris Canaille (ou Paris coquin) de Pierre Gaspard-Huit – Antoine du Merlet
1956 : Bonsoir Paris, bonjour l'amour de Ralph Baum – Georges Bernier
1956 : Je reviendrai à Kandara de Victor Vicas – Bernard Cormière
1956 : En effeuillant la marguerite ou Mademoiselle Strip-tease de Marc Allégret– Daniel Roy
1956 : L'Homme qui en savait trop (The Man Who Knew Too Much) d'Alfred Hitchcock – Louis Bernard
1957 : Charmants Garçons d'Henri Decoin – Alain Cartier
1957 : Retour de manivelle de Denys de La Patellière – Robert Montillon
1957 : Trois Jours à vivre de Gilles Grangier – Simon Belin
1957 : Mort en fraude de Marcel Camus – Paul Horcier
1958 : Suivez-moi jeune homme de Guy Lefranc – Michel Corbier
1958 : La Fille de Hambourg d'Yves Allégret – Pierre
1958 : Ce corps tant désiré de Luis Saslavsky – Guillaume Féraud
1959 : Carthage en flammes (Cartagine en flamme) de Carmine Gallone – Phégor
1959 : Julie la rousse de Claude Boissol – Édouard Lavigne et Jean Lavigne
1959 : Le Testament d'Orphée de Jean Cocteau – L'interne
1959 : Les Trois etc. du colonel (Le tre eccetera del colonello) de Claude Boissol – Le lieutenant Villard
1960 : La Morte-Saison des amours de Pierre Kast – Jacques Saint-Ford
1960 : La Proie pour l'ombre d'Alexandre Astruc – Éric
1960 : Réveille-toi chérie de Claude Magnier – Claude Masure
1960 : Le jour le plus long (The longest day) de Ken Annakin – scènes coupées au montage
1961 : Dans la gueule du loup de Jean-Charles Dudrumet : Un drogué
1961 : Les Petits Matins ou Mademoiselle stop de Jacqueline Audry – Le comédien
1962 : Règlements de comptes ou Peur panique de Pierre Chevalier – Nicky
1963 : Trois de perdues (Tre piger i Paris) de Gabriel Axel – Raymond
1963 : Vacances portugaises de Pierre Kast – Daniel
1963 : Cherchez l'idole de Michel Boisrond – Lui-même
1964 : La Bonne Soupe de Robert Thomas – Raymond
1964 : L'Heure de la vérité d'Henri Calef – David
1964 : El nino y el muro d'Ismaël Rodriguez
1965 : Compartiment tueurs de Constantin Costa-Gavras – Le vétérinaire
1965 : Duel à la vodka (Zwei girls von roten stern) de Sammy Drechsel
1965 : Herbe amère (Die zeugin aus der holle) de Zica Mitrovic – Bora Pétrovic
1966 : Paris brûle-t-il ? de René Clément – Yves Bayet
1966 : Les Sultans de Jean Delannoy – Léo
1966 : La Ligne de démarcation de Claude Chabrol – Le docteur Lafage
1966 : À belles dents de Pierre Gaspard-Huit – Bernard
1966 : Soleil noir de Denys de La Patellière – Guy Rodier
1967 : Le Mois le plus beau de Guy Blanc – Le capitaine du génie
1968 : La Trêve - Film inédit - de Claude Guillemot – Arno
1968 : Hallucinations sadiques de Jean-Pierre Bastid – Charles
1969 : Slogan de Pierre Grimblat – Le père d'Évelyne
1969 : Détruire, dit-elle de Marguerite Duras – Bernard
1969 : La Servante de Jacques-Paul Bertrand – Le docteur Robert Marbois
1971 : Le Souffle au cœur de Louis Malle – Le docteur Charles Chevalier
1971 : Far from Dallas de Philippe Toledano – Jean, le journaliste
1972 : Aimez-vous les uns les autres... mais pas trop de Daniel Moosmann – Paul Rocca
1972 : L'Hôtesse de Copenhague ou Christa de Jack O'Connell – André
1973 : La Police au service du citoyen (La polizia e' al servizio del cittadino) de R. Guerreri – Brera
1973 : La Gueule de l'emploi de Jacques Rouland - le couturier
1974 : Dialogue d'exilés (Dialogo de exilados) de Raoul Ruiz
1974 : Un linceul n'a pas de poches de Jean-Pierre Mocky – Laurence
1974 : Trop c'est trop de Didier Kaminka
1977 : La Discorde de Georges Franju
1977 : Nous irons tous au paradis d'Yves Robert – Bastien
1977 : La Vocation suspendue de Raoul Ruiz – Malagrida
1977 : L'Honorable Société d'Anielle Weinberger – Max de Marcilly
1977 : Espace zéro ou La Part du rêve de Monique Demaine
1979 : Arrête de ramer, t'attaques la falaise ! de Michel Caputo – Le colonel Don Gomez
1979 : L'Œil du maître de Stéphane Kurc – Samuel
1980 : Signé Furax de Marc Simenon – M. Broutechoux
1981 : Une saison de paix à Paris (Sezona mira u Parizu) - film inédit de Predag Golubovic
1982 : Guy de Maupassant de Michel Drach – Gustave de Maupassant
1982 : La Nuit de Varennes d'Ettore Scola – M. de Wendel
1984 : Les Enfants de Marguerite Duras – Enrico
1984 : Killing cars (Der Erlkönig) de Michael Verhoeven – Kellerman
1985 : Un delitto de Salvatore Nocita
1986 : Via Monte Napoleone de Carlo Vanzina
1987 : Dandin de Roger Planchon – M. de Sotenville
1987 : La vie est un long fleuve tranquille d'Étienne Chatiliez – Le docteur Mavial
1988 : Sécurité publique de Gabriel Benatar – Martino Morando
1988 : Itinéraire d'un enfant gâté de Claude Lelouch – Pierrot Duvivier
1990 : Mister Frost de Philippe Setbon – Simon Scolari
1990 : Un type bien de Laurent Bénégui – Le docteur Avril
1990 : Promotion canapé de Didier Kaminka – Le responsable des inspecteurs de justice
1991 : Les Secrets professionnels du Dr Apfelglück d'Alessandro Capone (co-réalisation), sketch : « La Chandelle » – Roland
1991 : Mauvaise fille de Régis Franc – Fernand
1992 : Les Eaux dormantes de Jacques Tréfouël – Le docteur Nedelec
1992 : Coup de jeune de Xavier Gélin – Gaudéamus à 75 ans
1993 : De force avec d'autres de Simon Reggiani – L'autre lui-même
1993 : Roulez jeunesse ! de Jacques Fansten – Jean Moulinier
1993 : Les Marmottes d'Élie Chouraqui – Léo
1993 : Pushing the Limits de Thierry Donard – Daniel Damon
1994 : La Cité de la peur de Alain Berbérian – Le second projectionniste
1994 : Des feux mal éteints de Serge Moati – Le monsieur sur la plage
1994 : Les Ténors de Francis de Gueltzl
1995 : Fugueuses ou Une fille galante de Nadine Trintignant – Bruno
1995 : Fantôme avec chauffeur de Gérard Oury – Le passeur
1995 : Les Bidochon de Serge Korber – Le père Bidochon
1996 : Hommes, femmes, mode d'emploi de Claude Lelouch – Le veuf
1997 : Berlin Niagara ou Obsession de Peter Sehr – Xavier Fabre
Courts-métrages
1942 : Étoiles de demain de René Guy-Grand
1944 : Enquête du 58 de Jean Tedesco
1949 : Ulysse ou les Mauvaises Rencontres d'Alexandre Astruc
1951 : Vedettes sans maquillage de Jacques Guillon – Lui-même
1951 : Chicago-digest de Paul Paviot – Coffino
1952 : Torticola contre Frankensberg de Paul Paviot
1952 : Saint-Tropez, devoir de vacances de Paul Paviot – Narrateur
1953 : Échos de plateaux de Hubert Knapp et Igor Barrère
1957 : Un tigre sur la ville de Jean Renoir
1962 : Bolivar 63-29 de Serge d'Artec
1966 : Les Eaux vives, eaux mortes - court métrage documentaire de Gérard Renateau – Narrateur
1966 : Avec Claude Monet -court métrage documentaire de Dominique Delouche – Narrateur
1969 : Bruegel - court métrage documentaire de Paul Haesaerts – Narrateur
1969 : La Nature retrouvée - court-métrage documentaire de Gérard Renateau – Narrateur
1969 : Israël, aujourd'hui - court-métrage documentaire de Denys de La Patellière – Narrateur
1979 : La Jeune Veuve de Bernard Roussan
1993 : Bartleby ou les hommes au rebut de Véronique Tacquin
1993 : Du soleil plein la tête de Patty Villiers
1994 : 3000 scénarios contre un virus, court métrage : « La Sirène », de Philippe Lioret
2002 : À l'abri des regards indiscrets de Ruben Alves et Hugo Gélin – Abdel-Robert
Télévision
1956 : K.M.X Labrador de Alexandre Tarta
1964 : La confrontation de Yves-André Hubert – Le médecin inculpé
1964 : Les Murs de Jean Kerchbron
1965 : Rien ne sert d'aimer de Guy Labourasse
1965 : Les Saintes chéries10 de Jean Becker et Maurice Delbez (première série de 13 épisodes) – Pierre Lagarde
1966 : La Morale de l'histoire de Claude Dagues
1967 : Un regard en arrière de Philippe Laïk
1968 : L'Aurore de plomb de André Michel
1968 : Les Bas-fonds de Jean-Paul Carrère – L'acteur
1968 : Les Saintes chéries de Jean Becker (seconde série de 13 épisodes) – Pierre Lagarde
1969 : Agathe ou les Mains vides de Pierre Cardinal
1970 : Les Saintes chéries de Jean Becker (troisième série de 13 épisodes) – Pierre Lagarde
1971 : La Fuite de Philippe Joulia
1971 : Un enfant dans la ville de Pierre Sisser – Gustave, le barman
1971 : Arsène Lupin série de Marcello Baldi et Jean-Louis Colmant, épisode « Le bouchon de cristal » de Jean-Pierre Decourt – Daubecq
1972 : Une femme qui a le cœur trop petit d'Alain Dhenault – Olivier
1972 : Vassa Geleznova de Pierre Badel – Prokior
1973 : Le Double Assassinat de la rue Morgue de Jacques Nahum – Dupin
1974 : Quai de l'étrangleur d'Yves-André Hubert – Garcia
1974 : Tovaritch de François Villiers
1976 : La Jalousie de Raymond Rouleau – Albert Blondel
1976 : Bonjour Paris série de Joseph Drimal 30 épisodes – M. Cottrey
1977 : C'est arrivé à Paris de François Villiers – L'amant
1978 : Schwüle Tage, téléfim allemand de Hajo Gies – Le père
1978 : Louis XI ou La naissance d'un roi d'Alexandre Astruc – Charles VII
1978 : La Discorde de Georges Franju – Bernard
1978 : Ciné-roman de Serge Moati – Maréchaux
1978 : Le Scénario de François Chatel – D'Anthac
1978 : La Vocation suspendue de Raoul Ruiz
1979 : Monsieur Masure de Jean Cohen – Claude Masure
1979 : C'est à c't'heure là que tu rentres de Bernard Deflandres
1980 : Les Filles d'Adam d'Éric Le Hung – M. Adam
1980 : Tarendol - feuilleton de Louis Grospierre – Bazalo
1980 : Les Dames de cœur de Paul Siegrist, épisode « Sacré Monstre » – René Valio, dit Valério
1980 : L'École du mensonge de Yves-André Hubert
1981 : Martine Verdier, série de Bernard Toublanc-Michel
1981 : Conversations dans le Loir-et-Cher d'Yvon Gérault – Civilis
1982 : Les Enquêtes du commissaire Maigret de Louis Grospierre (série télévisée), épisode : Maigret et le Clochard – le Dr François Keller (le clochard)
1984 : Progetto Atlantide, téléfilm italien de Gianni Serra
1984 : Un delitto, téléfilm italien de Salvatore Nocita
1985 : Olga e i suoi figli, téléfilm italien de Salvatore Nocita
1985 : La Robe mauve de Valentine de Patrick Bureau
1986 : Le Tiroir secret - feuilleton en 6 épisodes d'Édouard Molinaro, Roger Gillioz, Michel Boisrond et Nadine Trintignant : Jean-Pierre Jolivet
1987 : Question de géographie de Alexandre Tarta
1987 : Pétition de Jean-Louis Comolli – Stanek
1987 : Marc et Sophie série de Didier Albert et Christophe Andrei (1987-1991) : Edmond, le père de Sophie
1987 : Das Erbe der Guldenburgs de Géro Erhardt, Jurgen Goslar – Grégor Baschkurin
1989 : L'Été de tous les chagrins de Serge Moati – Papy
1989 : Condorcet de Michel Soutter – D'Alembert
1989 : Olympe de nos amours de Serge Moati – Le supérieur
1989 : Si Guitry m'était conté : L'École des mensonges de Yves-André Hubert
1987 : Si Guitry m'était conté : Les Desseins de la providence de Yves-André Hubert
1990 : Formule 1 - série de Nardo Castillo et Paul Planchon – Joseph Sainclair
1991 : L'Amérique en otage, téléfilm américain de Kevin Connor – Le Shah d'Iran
1991 : Archibald, série en 13 épisodes de Jean-François Claire et Mariana Evstutieva – Archibald
1991 : Crimes et Jardins de Jean-Paul Salomé
1992 : Une famille formidable - Série - de Joël Santoni – Edouard Beaumont
1994 : L'Évanouie de Jacqueline Veuve – Daniel
1994 : Warrior spirit – John Ball
1994- 1996 : Madame le Proviseur de José Pinheiro – Charles (5 épisodes)
1995 : Charlotte et Léa de Jean-Claude Sussfeld – Charles Vaudreuil'
1995 : Maigret et la Vente à la bougie de Pierre Granier-Deferre – Le père Nicolas
: Adventures of smoke bellow / Chercheurs d'or de Marc Simenon – Wildwater Bill
1996 : Chasseurs de loups, chasseurs d'or de René Manzor
1996 : Les Faux Médicaments : Pilules mortelles d'Alain-Michel Blanc – Le professeur Delaroche
1997 : Une femme d'action de Didier Albert – Charles
1997 : Entre terre et mer de Hervé Baslé – Narrateur
1998 : Les Marmottes de Jean-Denis Robert et Daniel Vigne – Léo
2000 : Balla Ganget - Ève et Adam, téléfilm suédois de Catti Edfeldt – Badvakten
Documentaires
1967 : Cinéma de notre temps : Jacques Becker - documentaire de Claude de Givray – Témoignage
1977 : À perte de vie : Jacques Prévert - Documentaire - de Georges Ferraro – Témoignage
1997 : Cannes : Les 400 coups -Documentaire- de Gilles Nadeau – Lui-même
1999 : Simone, documentaire de Serge Kahn, témoignage
2002 : Louis Jouvet ou l'Amour du théâtre - Documentaire - de Jean-Claude Lallias et Jean-Noël Roy – Témoignage
2002 : Louis de Funès, la comédie humaine - Documentaire - de Philippe Azoulay – Témoignage
Voix off
1959 : En route vers les étoiles (Дорога к звездам / Doroga k zvezdam) de Pavel Klouchantsev – Narrateur (version française)
Publications
Fatras, poésies, Editions Damas (épuisé), 1950
Dérives, poésies, Editions Séghers (épuisé), 1965
Poèmes à dire, anthologie poétique, Editions Séghers, 1968
Deux ou trois vies qui sont les miennes, autobiographie, Editions Julliard, 1977
L'Orage enseveli, poèmes, Editions du Pont de l'Épée, 1981
Mon jardin et moi, chroniques de jardinage, Editions Julliard, 1985
Cent poètes côté jardin, anthologie poétique, Editions du Cherche-Midi, 1990
Saint-Malo, guide de tourisme, Editions Ouest France, 1990
Comme on s'aimait à Saint germain des Prés, essai, Editions Pierre Bordas, 1993
Le Guide facile du jardinage, Editions Pierre Bordas, 1993
Le Guide facile du jardinage en ville, Editions Solar, 1994
Amazonie, mon journal de voyage, Editions Pierre Bordas, 1994
Mon père, Editions Calmann-Lévy, 1995
Le Sang de mes songes, poésies, Éditions du Cherche-Midi, 1996, Prix de Poésie de la Sacem
A bâtons rompus, autobiographie, Éditions du Rocher, 2000
Passeports délayés, poèmes, Éditions Mélis, parution posthume en 2005
Noël-Noël, nom de scène de Lucien Édouard Noël, est un acteur français, né à Paris le 9 août 1897 et mort à Nice le 4 octobre 1989.
Né au 55 rue du Temple, Paris 4e, fils de Charles Célestin Noël (1857-1934), marchand de vins (puis employé à la Banque de France), et de Marie Eugénie Mathieu (1860-?), il fait ses études au lycée Turgot. Il apprend le piano. Il est employé stagiaire à la Banque de France du 23 novembre 1914 au 27 août 1917, avant de partir au service militaire et d'être mobilisé. De retour à la vie civile, il devient dessinateur humoristique pour le Canard enchaîné et pour l'Humanité, tout en essayant de se produire comme chansonnier dès 1920. Marié en premières noces le 27 mars 1920 à Berthe Marie Geneviève Cornet (1899-?), employée de banque (Mairie du XVe arrondissement, Paris), puis avec Isabelle Jeanne Julie Rosa Lavallée (1900-1990) le 3 décembre 1930 (Mairie du XVIe, Paris).
Il débute aux Noctambules en s'accompagnant lui-même au piano ; il passe ensuite à La Pie qui chante. À partir de 1927, il participe aux revues du Théâtre de Dix-Heures : Ah ! La bonne heure (1927), C'est l'heure exquise (1928).
Noël-Noël ne cesse à cette époque d'écrire et de composer : Le Chapeau neuf, L'Enterrement, Souvenir d'enfance, La Soupe à Toto, Les Étrennes. Il enregistre ces chansons qui illustrent les petits faits de la vie quotidienne, en 1931 pour la firme Odéon.
Avec La Prison en folie (Henry Wulschleger, 1930), il commence une carrière d'acteur au cinéma. On le retrouve, entre autres, dans Mistigri (Harry Lachman, 1931), Monsieur Albert (Karl Anton, 1932), L'Innocent (Maurice Cammage, 1937), dont il est le co-scénariste, Sur le plancher des vaches (Pierre-Jean Ducis, 1940) dont il est scénariste.
Paul Colline, chansonnier et scénariste, lui confie le rôle d'Adémaï Joseph, petit paysan naïf et rusé, victime d'innombrables mésaventures qu'il incarne dans trois films :
Adémaï aviateur (1934)
Adémaï au Moyen Âge (1935)
Adémaï bandit d'honneur (1943).
Toutefois, dans le dernier volet Adémaï au poteau-frontière (1949), le personnage est incarné par Paul Colline lui-même.
Il devient une vedette et se produit plus rarement sur scène. Toutefois avec l'appui de son Imprésario Emile Audiffred, il passe à l'A.B.C., chaque fin d'année à partir de 1934. D'octobre 1938 à la guerre, il anime une émission sur Radio-Cité aux côtés de Saint-Granier. Il continue de se produire sur scène pendant l'occupation, à l'A.B.C. (octobre 1940), à l'Européen (décembre 1940), au Théâtre de Dix-Heures (mai 1941), à l'Etoile (mai 1943). Il est ensuite interdit par les nazis après avoir chanté Vaches de boches.
En 1945, il tient le rôle de Clément Matthieu dans La Cage aux rossignols, en plus de participer au scénario et aux dialogues. Le réalisateur Christophe Barratier s'en inspirera pour réaliser en 2004 un remake intitulé Les Choristes.
Son plus grand rôle est sans doute celui qu'il tint dans le Père tranquille (1946), où il joue le rôle d'un Français moyen, apparemment homme égoïste surtout préoccupé par ses orchidées, en fait chef d'un réseau de la Résistance. Ce film permet à Noël-Noël d'abandonner pour quelque temps les rôles comiques, mais il y revient très vite, notamment avec les Casse-pieds, en 1948, qui lui vaut le Prix Louis-Delluc.
En 1950, il réalise La Vie chantée, film dans lequel il interprète ses succès : Les Polonais, Le Maladroit, Les Départs, Mariage mondain, Le Rasoir du coiffeur…
Parmi les grands succès d'audience, il faut noter À pied, à cheval et en voiture (1957), film qui sera suivi un an plus tard par À pied, à cheval et en spoutnik, dont Noël-Noël sera le scénariste (il avait déjà participé à la réalisation du Père tranquille).
Il joue encore dans Messieurs les ronds-de-cuir (1959), puis dans Les Vieux de la vieille, film dans lequel il partage l'affiche avec Jean Gabin et Pierre Fresnay, et où il campe un formidable personnage, plein de malice et de tendresse. Il abandonne ensuite peu à peu l'écran. Il tente sa chance comme réalisateur en 1971 avec Le Voyageur des siècles, film dont l'intrigue est basée sur une machine à remonter le temps.
Par la suite, Noël-Noël s'éloigne du cinéma, vivant une vieillesse tranquille à Nice, où il s'éteint le 4 octobre 1989.
Sa sépulture se trouve dans le cimetière de la commune d'Ambernac proche de Confolens (Charente). Il avait en effet acheté le château de Praisnaud à Ambernac, commune d’origine de son épouse.
Hommage
Noël-Noël contribua à la création du Festival de Confolens, festival d'arts et traditions populaires du monde. En son souvenir, la ville de Confolens attribua son nom à l'un de ses collèges (de son vivant).
Filmographie
1930 : La Prison en folie, d'Henry Wulschleger – Rôle : Yves Larsac
1931 : Quand te tues-tu ?, de Roger Capellani – Rôle : Léon Mirot
1931 : Octave, court métrage de Louis Mercanton – Rôle : Octave
1931 : La Brigade du bruit, court métrage de Louis Mercanton
1931 : Mistigri, d'Harry Lachman – Rôle : Zamore
1931 : La Disparue, court métrage de Louis Mercanton – Également scénariste
1931 : Ménages ultra-modernes, court métrage de Serge de Poligny
1932 : Adémaï et la Nation armée, de Jean de Marguenat – Rôle : Joseph Ademaï
1932 : Une brune piquante, court métrage de Serge de Poligny
1932 : Pour vivre heureux, de Claudio de la Torre – Rôle : Jean Maudair
1932 : Les jeux sont faits, court métrage de Jean de Marguenat
1932 : Papa sans le savoir, de Robert Wyler – Rôle : Léon Jacquet
1932 : Monsieur Albert, de Karl Anton – Rôle : Monsieur Albert
1932 : Mon cœur balance, de René Guissart – Rôle : le comte Noël
1932 : Sens interdit, court métrage de Jean de Marguenat
1932 : Adémaï Joseph à l'ONM, court métrage de Jean de Marguenat – Rôle : Joseph Adémaï
1932 : Une étoile disparaît, de René Villers
1933 : Vive la compagnie, de Claude Moulins et Éric Schmidtt – Rôle : Jean-Jacques Bonneval
1933 : Une fois dans la vie, de Max de Vaucorbeil – Rôle : Léon Saval
1933 : Mannequins, de René Hervil – Rôle : Alfred
1933 : Suivez le guide, court métrage de Jean de Marguenat
1933 : Mon chapeau, court métrage de Jaquelux – Rôle : Grégoire, le vendeur de statuettes
1933 : Fantômas hôtel, court métrage de Jean de Marguenat
1933 : Le Dernier Preux, court métrage de Pierre-Jean Ducis – Rôle : Léon, le figurant
1934 : Adémaï aviateur, de Jean Tarride – Rôle : Joseph Adémaï – Également scénariste
1934 : Mam'zelle Spahi, de Max de Vaucorbeil – Rôle : Bréchu
1935 : Adémaï au Moyen Âge, de Jean de Marguenat – Rôle : Joseph Adémaï
1935 : Le Centenaire, court métrage de Pierre-Jean Ducis – Rôle : le centenaire – Également coscénariste
1936 : Pierrot mon ami, court métrage de Jaquelux – Rôle : Pierre
1936 : Moutonnet, de René Sti – Rôle : Moutonnet et Mérac – Également coscénariste et parolier
1936 : Tout va très bien madame la marquise, d'Henry Wulschleger – Rôle : Yonnic Le Ploumanech
1938 : L'Innocent, de Maurice Cammage – Rôle : Nicolas – Également coscénariste et dialoguiste
1940 : Sur le plancher des vaches, de Pierre-Jean Ducis – Rôle : Jean Durand – Également scénariste et dialoguiste
1940 : La Famille Duraton, de Christian Stengel – Rôle : Adrien Martin – Également coscénariste et dialoguiste
1942 : La Femme que j'ai le plus aimée, de Robert Vernay – Rôle : le médecin
1943 : Adémaï bandit d'honneur, de Gilles Grangier – Rôle : Joseph Adémaï
1945 : La Cage aux rossignols, de Jean Dréville – Rôle : Clément Mathieu – Également coscénariste et dialoguiste
1946 : Le Père tranquille, de René Clément – Rôle : Édouard Martin – Également scénariste et dialoguiste
1948 : Les Casse-pieds ou La Parade du temps perdu, de Jean Dréville – Dans son propre rôle – Également scénariste et dialoguiste
1949 : Retour à la vie – Rôle : René, dans le sketch Le Retour de René, de Georges Lampin et André Cayatte. Pour le sketch de Jean Dréville, Le Retour de Louis, Noël-Noël est également scénariste et dialoguiste, sans y interpréter de rôle.
1951 : La Vie chantée, de Noël-Noël (également scénariste, dialoguiste et auteur de la musique) – Rôle : l'auteur
1952 : Les Sept péchés capitaux – Rôle : le directeur, Saint-Pierre, dans le sketch : La Paresse, de Jean Dréville'(]
1952 : La Fugue de monsieur Perle, de Roger Richebé – Rôle : Bernard Perle
1955 : Le Fil à la patte, de Guy Lefranc – Rôle : le comte Fernand du Bois d'Enghien – Également adaptateur et dialoguiste
1955 : Les Carnets du Major Thompson, de Preston Sturges – Rôle : M. Taupin
1956 : Les Truands, de Carlo Rim – Rôle : Cahuzac
1956 : La Terreur des dames ou Ce cochon de Morin, de Jean Boyer – Rôle : Aimé Morin
1957 : Bonjour Toubib, de Louis Cuny – Rôle : le docteur Forget – Également adaptateur
1957 : À pied, à cheval et en voiture, de Maurice Delbez – Rôle : Léon Martin
1958 : Le Septième ciel, de Raymond Bernard – Rôle : Guillaume Lestrange
1958 : À pied, à cheval et en spoutnik, de Jean Dréville – Rôle : Léon Martin – Également codialoguiste
1959 : Messieurs les ronds-de-cuir, d'Henri Diamant-Berger – Rôle : M. de la Hourmerie
1960 : Les Vieux de la vieille, de Gilles Grangier – Rôle : Blaise Poulossière
1962 : Les Petits Matins, de Jacqueline Audry – Rôle : le baron
1962 : Jessica, de Jean Negulesco et Oreste Palella – Rôle : le vieux Crupi
1966 : La Sentinelle endormie, de Jean Dréville – Rôle : le docteur Mathieu – Également scénariste et dialoguiste
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Acteur - Actrice
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Direct sur la rubrique Cinéma : N
Alice Cocéa, nom de scène de Sophie Alice Cocéa, est une actrice et chanteuse française d'origine roumaine, née le 28 juillet 1899 à Sinaia (Roumanie) et morte le 2 juillet1970 (à 70 ans) à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Elle fut également directrice de théâtre et metteur en scène.
Elle commence sa carrière en 1918 dans un film de Jacques de Baroncelli, puis se tourne vers le théâtre et l'opérette et crée successivement deux opérettes légères d'Henri Christiné et Albert Willemetz, Phi-Phi en 1918 puis Dédé (avec Maurice Chevalier) en 1921. En 1926 elle épouse le comte Stanislas de La Rochefoucauld-Doudeauville, l'écrivain Colette étant son témoin. Elle joue dans plusieurs films quand le cinéma devient parlant.
Pendant l'Occupation, elle dirige le théâtre des Ambassadeurs, mais son attitude à l'égard des Allemands, pendant cette période, lui est reprochée à la Libération. Elle se retire alors de la scène, puis elle réapparaît au théâtre et dans quelques films jusqu'au début des années 1960.
Alice Cocéa est morte à 70 ans, d'une brève maladie. Elle a été enterrée au cimetière de Saint-Brisson-sur-Loire, dans le Loiret. Sa sépulture a récemment été réhabilitée par son neveu par alliance, Armand de La Rochefoucauld.
Filmographie
Cinéma
1918 : Le Délai de Jacques de Baroncelli
1930 : Mon gosse de père de Jean de Limur : Yvonne
1931 : Marions-nous de Louis Mercanton : Gisèle Landry
1931 : Nicole et sa vertu de René Hervil : Nicole Versin
1931 : Delphine de Roger Capellani
1931 : Atout cœur de Henry Roussel : Arlette Millois
1934 : Le Greluchon délicat de Jean Choux : Simone
1963 : Strip-tease de Jacques Poitrenaud : une dame
1964 : La Ronde de Roger Vadim : la concierge
Télévision
1962 : Le Joueur de François Gir : Tante Sophie
Théâtre
Actrice
1924 : Le Singe qui parle de René Fauchois, mise en scène René Rocher, Comédie Caumartin
1924 : Gosse de riche opérette en 3 actes de Jacques Bousquet, Henri Falk, musique Maurice Yvain, Théâtre Daunou
1929 : Je t'attendais de Jacques Natanson, Théâtre Michel
1930 : La Petite Catherine d'Alfred Savoir, mise en scène René Rocher, Théâtre Antoine
1933 : La Voie lactée d'Alfred Savoir, mise en scène Harry Baur, Théâtre des Mathurins
1934 : Une femme libre d'Armand Salacrou, mise en scène Paulette Pax, Théâtre de l'Œuvre
1937 : Pacifique, scènes de la vie polynésienne de Henri-René Lenormand, mise en scène Alice Cocéa, Théâtre des Ambassadeurs
1937 : Rêves sans provision de Ronald Gow d'après Walter Greenwood, mise en scène Alice Cocea, Comédie des Champs-Élysées
1938 : Le Misanthrope de Molière, mise en scène Sylvain Itkine, Théâtre des Ambassadeurs
1938 : Les Parents terribles de Jean Cocteau, mise en scène Alice Cocéa, Théâtre des Ambassadeurs
1939 : Histoire de rire d'Armand Salacrou, mise en scène Alice Cocéa, Théâtre des Ambassadeurs
1941 : Maison de poupée de Henrik Ibsen, Théâtre des Ambassadeurs
1941 : Échec à Don Juan de Claude-André Puget, mise en scène Alice Cocéa, Théâtre des Ambassadeurs
1943 : Clotilde du Mesnil de Henry Becque, mise en scène Alice Cocéa, Théâtre des Ambassadeurs
1943 : Mais n'te promène donc pas toute nue ! de Georges Feydeau, mise en scène Alice Cocéa, Théâtre des Ambassadeurs
1947 : Le Voyage en calèche de Jean Giono, mise en scène Alice Cocéa, Théâtre du Vieux-Colombier
1948 : La Parisienne d'Henry Becque, Théâtre des Célestins
1948 : Mais n'te promène donc pas toute nue ! de Georges Feydeau, Théâtre des Célestins
1949 : Pauline ou L'Écume de la mer de Gabriel Arout, Théâtre des Célestins
1949 : Sincèrement de Michel Duran, mise en scène Alice Cocéa, Théâtre des Capucines
1954 : Gigi de Colette, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Arts
1955 : Les Amants novices de Jean Bernard-Luc, mise en scène Jean Mercure, Théâtre Montparnasse
1955 : Quatuor de Noël Coward, adaptation Paul Géraldy, mise en scène Pierre Dux, Théâtre des Capucines
1955 : TTX de Cécil Saint-Laurent et Pierre de Meuse, mise en scène Alice Cocéa, Théâtre des Arts
1957 : La Reine de Césarée de Robert Brasillach, mise en scène Raymond Hermantier, Théâtre des Arts
1960 : Douce Annabelle d'Audrey Roos et William Roos, mise en scène François Maistre, Enghien-les-Bains
1961 : Douce Annabelle d'Audrey Roos et William Roos, mise en scène François Maistre, Théâtre de l'Ambigu-Comique
1961 : Monsieur chasse ! de Georges Feydeau, mise en scène Georges Vitaly, Théâtre La Bruyère
1963 : La Séparation de Claude Simon, mise en scène Nicole Kessel, Théâtre de Lutèce
1964 : Bonheur, impair et passe de Françoise Sagan, mise en scène Claude Régy, Théâtre Édouard VII
Metteur en scène
1937 : Rêves sans provision de Ronald Gow, Comédie des Champs-Élysées
1937 : Pacifique, scènes de la vie polynésienne de Henri-René Lenormand, Théâtre des Ambassadeurs
1938 : La Dame de bronze et le Monsieur de cristal de Henri Duvernois, Théâtre des Ambassadeurs
1938 : Les Parents terribles de Jean Cocteau, Théâtre des Ambassadeurs
1939 : Histoire de rire d'Armand Salacrou, Théâtre des Ambassadeurs
1941 : Échec à Don Juan de Claude-André Puget, Théâtre des Ambassadeurs
1943 : Clotilde du Mesnil de Henry Becque, Théâtre des Ambassadeurs
1944 : La Femme du Boulanger de Jean Giono, Théâtre des Ambassadeurs
1947 : Le Voyage en calèche de Jean Giono, Théâtre du Vieux-Colombier
1949 : Sincèrement de Michel Duran, Théâtre des Capucines
1952 : Pauvre Monsieur Dupont de Raymond Vincy, Théâtre de l'Ambigu
1955 : TTX de Cécil Saint-Laurent et Pierre de Meuse, Théâtre des Arts
1957 : Mon cœur balance de Michel Duran, Théâtre des Arts
Opérettes
1918 : Phi-Phi d'Albert Willemetz et Henri Christiné : Aspasie
1921 : Dédé d'Albert Willemetz et Henri Christiné, Théâtre des Bouffes-Parisiens : Denise
1924 : En chemyse d'Albert Willemetz, Cami et Raoul Moretti : Isoline
1924 : Gosse de riche de Jacques Bousquet, Henri Falk et Maurice Yvain : Colette Patarin
1926 : À Paris tous les deux de Jacques Bousquet, Henri Falk et Georges Menier, Comédie des Champs-Élysées : Rosine
1935 : Trente et quarante de Jean de Létraz, Albert Willemetz et Werner R. Heymann : Jacline
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Jet Li, de son vrai nom Li Lian Jie , né le 26 avril 1963 à Pékin en Chine, est un pratiquant d'arts martiaux, acteur, producteur et champion de wushu sino-singapourien.
Il commence sa carrière à l'étranger en 1998 avec L'Arme fatale 4, Roméo doit mourir en 2000 ou encore Le Baiser mortel du dragon (2001). Il continue également à tourner dans des films chinois. En 2010, il est à l'affiche de Expendables : Unité spéciale (The Expendables).
Il pratique les arts martiaux chinois dès son plus jeune âge.
En 1971, il entre à l'école d'athlétisme Shichahai, où il intègre l'équipe sportive d'arts martiaux.
En 1975, lors des troisièmes Jeux nationaux de Chine, dans la catégorie des arts martiaux, désignant alors la lance et la boxe, il finit deuxième, puis gagne cinq fois d'affilée le titre de champion national chinois de Wushu, dans les disciplines du Chang quan, du sabre, de la lance, boxe de son choix, combat, etc.
Il accompagne alors certaines visites officielles chinoises à l'étranger. Après avoir participé à une démonstration sur la pelouse de la Maison-Blanche, devant le président Richard Nixon, aux États-Unis, ce dernier lui demande s'il veut devenir son garde du corps plus tard. Li Liangjie dit qu'il ne veut devenir le garde du corps de personne en particulier, qu'il préfère défendre son milliard de compatriotes
À 16 ans, en 1979 il fait ses débuts au cinéma dans la série des Temple Shaolin qui est immédiatement un succès national en Chine. Artiste martial surdoué, doté d'une maîtrise technique impressionnante, perfectionniste et travailleur, il est souvent comparé, à tort ou à raison, à Bruce Lee. En effet, Jet Li apparaît comme n'étant « que » pratiquant tandis que Bruce Lee a créé son propre style, le jeet kune do, par de constantes recherches théoriques et pratiques.
Il va devenir célèbre à l'étranger en travaillant avec Tsui Hark sur la série des Il était une fois en Chine en 1991, où il fait la démonstration de son art du combat. Il tournera d'ailleurs une nouvelle version du film de Bruce Lee : La Fureur de vaincre.
Repéré par Hollywood, il va se faire connaître aux États-Unis et en Europe dans un rôle de méchant dans L'Arme fatale 4, en 1998. Il va ensuite tourner d'autres films occidentaux, notamment avec Luc Besson comme producteur et cinéaste, mais continue parallèlement à tourner en Chine, avec le réalisateur Zhang Yimou, et dans la province de Hong Kong.
Dans les années 2000, il joue dans Romeo doit mourir, Danny the Dog, The One, Rogue : L'Ultime Affrontement, En sursis et Le Maître d'armes.
En 2010, il tient le rôle de Yin Yang dans Expendables : Unité spéciale (The Expendables) aux côtés de Sylvester Stallone et Jason Statham. Il est de nouveau au casting d'Expendables 2 : Unité spéciale (The Expendables 2) et Expendables 3.
Depuis 1999, il est marié à Nina Li Chi qu'il a rencontrée sur le tournage de The Defector avec laquelle il a deux filles : Jane (née en 2000) et Jada (née en 2003).
En 2004, lors du tsunami en Indonésie, en vacances, surpris par la vague, il est sauvé in-extremis par des pêcheurs. En 2013, il est révélé que l'acteur souffre d'une hyperthyroïdie. Il explique fin 2013 à la télévision chinoise qu'il se bat depuis 2010 contre cette maladie
Filmographie
1982 : Le Temple de Shaolin de Yen Chang-hsin et Zhang Xinyan
1984 : Les Héritiers de Shaolin de Zhang Xinyan
1986 : Born to defense de Jet Li
1986 : Les Arts martiaux de Shaolin de Liu Chia-liang
1989 : Dragon Fight de Billy Tang
1989 : The Master de Tsui Hark
1991 : Il était une fois en Chine de Tsui Hark
1992 : Il était une fois en Chine 2 : la secte du lotus blanc de Tsui Hark
1992 : Swordsman 2 de Ching Siu-tung et Stanley Tong
1993 : Il était une fois en Chine 3 : le tournoi du Lion de Tsui Hark
1993 : Evil Cult de Wong Jing
1993 : Claws of Steel de Wong Jing et Yuen Woo-ping
1993 : La Légende de Fong Sai-Yuk de Corey Yuen
1993 : La Légende de Fong Sai-Yuk 2 de Corey Yuen
1993 : Tai-Chi Master de Yuen Woo-ping
1994 : The Defender de Kazuya Konaka et Corey Yuen
1994 : Fist of Legend de Gordon Chan
1994 : La Légende du dragon rouge de Wong Jing et Corey Yuen
1995 : Meltdown, terreur à Hong Kong de Wong Jing et Corey Yuen
1995 : Agent spécial de Corey Yuen
1996 : Dr. Wai de Ching Siu-tung
1996 : Black Mask de Daniel Lee
1997 : Il était une fois en Chine 6 : Dr Wong en Amérique de Sammo Hung
1998 : Hitman de Stephen Tung Wei
1998 : L'Arme fatale 4 de Richard Donner
2000 : Roméo doit mourir de Andrzej Bartkowiak
2001 : Le Baiser mortel du dragon de Chris Nahon
2001 : The One de James Wong
2002 : Hero de Zhang Yimou
2003 : En sursis de Andrzej Bartkowiak
2005 : Danny the Dog de Louis Leterrier
2006 : Le Maître d'armes de Ronny Yu
2007 : Rogue : L'Ultime Affrontement de Phillip G. Atwell
2007 : Les Seigneurs de la guerre de Peter Chan
2008 : Le Royaume interdit de Rob Minkoff
2008 : La Momie : La Tombe de l'empereur Dragon de Rob Cohen
2009 : The Founding of a Republic de Han Sanping et Huang Jianxin (cameo)
2010 : Expendables : Unité spéciale de Sylvester Stallone
2010 : Ocean Heaven de Xiao Lu Xue
2011 : Le Sorcier et le Serpent blanc de Ching Siu-tung
2011 : Dragon Gate, la légende des Sabres volants de Tsui Hark
2012 : Expendables 2 : Unité spéciale de Simon West
2013 : Badge of Fury de Tsz Ming Wong
2014 : Expendables 3 de Patrick Hughes
2016 : League of Gods de Koan Hui
2017 : Guardians of Martial Arts de Wen Zhang
2020 : Mulan de Niki Caro
Jeux vidéo
Rise to Honour (2003) : Kit Yun
Nommé au prix du meilleur méchant lors des MTV Movie Award 1999 pour L'arme fatale 4 (1998)
Nommé au prix du meilleur combat lors des MTV Movie Award 2001 pour Roméo doit mourir (2000)
Nommé au prix du meilleur combat lors des MTV Movie Award 2002 pour The One (2001)
Nommé au prix du meilleur combat lors des MTV Movie Award 2003 pour En sursis (2003)
Nommé au prix du meilleur acteur de film d'action lors des People's Choice Awards 2007
Nommé au prix du meilleur acteur lors des Hong Kong Film Awards 2007 pour Le maître d'armes (2006)
Nommé au prix du meilleur film lors des Hong Kong Film Awards 2007 pour Le maître d'armes (2006)
Nommé au prix du meilleur acteur lors des Hundred Flowers Awards 2007 pour Le maître d'armes (2006)
Nommé au prix du meilleur acteur lors des Hundred Flowers Awards 2008 pour Les seigneurs de la guerre(2007)
Nommé au prix du meilleur acteur lors des Asian Film Awards 2008 pour Les seigneurs de la guerre (2007)
Nommé au prix du meilleur acteur lors des Golden Horse Film Festival 2008 pour Les seigneurs de la guerre (2007)
1995 : Golden Horse Film Festival
Lauréat du prix du meilleur acteur lors des Shanghai Film Critics Awards 2008 pour Les seigneurs de la guerre (2007)
Lauréat du prix du meilleur acteur lors des Hong Kong Film Awards 2008 pour Les seigneurs de la guerre(2007)
Lauréat du prix du meilleur acteur lors des Hong Kong Film Critics Society Awards 2007 pour Le maître d'armes (2006)
Voix françaises
En France, Pierre-François Pistorio est la voix françaiserégulière de Jet Li. Il y a eu également Frank Capillery qui l'a doublé à quatre reprises.
Philanthropie
Li est un ambassadeur philanthrope de la Croix-Rouge chinoise depuis janvier 2006. Il a versé 500 000 yuan (62 500 USD) provenant des revenus gagnés avec son film Le Maître d'armes à la section psychologique de la Croix Rouge.
Touché par son expérience aux Maldives durant le tsunami en 2004 où il faillit perdre une de ses filles, il crée The One Foundation, sa propre fondation à but non lucratif en avril 2007 .
The One Foundation, en collaboration avec la Croix rouge, soutient l'aide internationale aux victimes de grandes catastrophes, ainsi que des actions d'information ou de prévention au sujet de la santé mentale ou du suicide. Fin 2008, Li et sa fondation étaient intervenus dans sept catastrophes, incluant le tremblement de terre du Sichuan
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Fernandel est atteint d'un cancer généralisé, mais les médecins et sa famille lui cachent la gravité de son état, on lui fait croire qu'il est atteint d'une pleurésie qu'il aurait attrapée lors du tournage de Don Camillo et ses Contestataires. Le 26 février 1971, épuisé par la maladie, il meurt dans son somptueux appartement tout en marbre au 44 de l'avenue Foch à Paris. Il est inhumé au cimetière de Passy (1re division)
Il était aussi propriétaire d'une villa à Carry-le-Rouet et d'une vaste demeure à Marseille, « Les Mille Roses » sur l'avenue des Trois-Lucs, avec un parc de cinq hectares
Fernandel avait deux frères, Auguste-Marcel, son aîné de 6 ans (avec lequel il se produira un temps sous les noms de Marcel et Fernand Sined), et Francis dit Fransined plus jeune que lui de 11 ans, ainsi qu'une sœur.
Le 4 avril 1925, à 22 ans, il épouse Henriette-Félicie Manse (1902-1984), la sœur de son ami, le parolier Jean Manse. Ils auront trois enfants : Josette en 1926, Janine en 1930 et Franck en 1935.
C'est à la mère d'Henriette qu'est attribuée l'origine de son pseudonyme « Fernandel », voyant le jeune Fernand si empressé auprès de sa fille, le voyant arriver dans la rue depuis sa fenêtre, elle dit fort, tient voilà : « le Fernand d'elle... », la phrase fait mouche, elle est adoptée par le comédien pour en faire son nom de scène2. Il est aussi probable que Fernandel vienne du provençal, qui signifie « petit Fernand ».
Il effectue son service militaire un mois après son mariage. Affecté au 93e régiment d'artillerie de montagne de Grenoble, il est libéré le 29 avril 1926.
Les journaux à sensation, friands de scandales autour des célébrités, n'en ont jamais débusqué dans la vie privée de Fernandel. À tel point que l'un d'entre eux titre un jour, dans un geste d'autodérision, « La femme cachée de Fernandel », ladite femme étant la sienne que jamais il ne mettait en avant. Dans une de ses dernières interviews, Jean Gabin témoigne de la moralité et de la fidélité de Fernandel dans tous les domaines, tant en amitié qu'en affaires
Devant gérer les revenus de plus en plus importants liés à leur succès, Gabin et Fernandel cherchent à mettre leurs économies à l'abri de l'inflation. Fernandel choisit l'immobilier. Gabin achètera des terrains en lui disant : « Les immeubles, ça s'écroule. La terre, ça reste. »
Liés par l'amitié et une grande estime, dont ils témoigneront tout au cours de leurs vie, ils avaient entretemps, créé leur société de production cinématographique commune, la Gafer, au nom formé par les premières syllabes de leurs noms de scène. « Nous avons bien fait de ne pas prendre celles de nos patronymes », expliquera Fernandel : Gabin se nomme en effet Moncorgé et Fernandel Contandin. (cela aurait fait Moncon)
Avec Louis de Funès, Bourvil et Jean Gabin, Fernandel fait partie des acteurs français ayant attiré le plus grand nombre de spectateurs dans les salles : environ 202 millions entre 1945 et 1970.
Ses films ayant eu la plus grosse audience sont :
1952 : Le Petit Monde de don Camillo de Julien Duvivier : 12,79 millions d'entrées
1959 : La Vache et le Prisonnier d'Henri Verneuil : 8,84 millions d'entrées
1953 : Le Retour de don Camillo de Julien Duvivier : 7,42 millions d'entrées
1963 : La Cuisine au beurre de Gilles Grangier avec Bourvil : 6,39 millions d'entrées
Distinctions
1914 : Second au concours Comœdia de la chanson organisé au théâtre du Châtelet de Marseille (devenu Capitole) derrière un certain Larquet, mais lui permettant néanmoins de débuter au cabaret du Palais de cristal
1949 : Grand prix du rire pour On demande un assassin
1952 : Ruban d'argent du meilleur acteur étranger dans un film italien décerné par le syndicat des critiques cinématographiques italiens
1952 : Victoire du meilleur acteur pour Le Petit Monde de don Camillo
1953 : chevalier dans l'ordre de la Légion d'honneur (introduit par Marcel Pagnol)
1953 : Grand prix de l'Académie du disque pour Lettres de mon moulin
1954 : médaille de l'acteur le plus populaire en Belgique (puis 9 Oscars de la popularité en Belgique wallonne)
1954 : Léopard d'or au Festival de Locarno 1954 grâce à ses six rôles dans Le Mouton à cinq pattes
1957 : citoyen d'honneur de la ville de Cassino (Italie)
1960 : chevalier dans l'ordre des Arts et des Lettres
1960 : Oscar européen de la popularité
1964 : prix Georges-Courteline de l'humour remis par son colauréat Bourvil
1964 : prix Orange de l'acteur le plus coopératif de l'année par la presse
1964 : Orphée d'or du disque lyrique pour Mam'zelle Nitouche
1967 (7 décembre) : Invité du général de Gaulle au palais de l'Élysée pour une réception officielle en compagnie d'autres artistes français.
1968 : Intronisation au Grand Conseil des vins de Bordeaux
1968 : Grand prix de l'Académie du disque pour Lettres de mon moulin
1970 : prix remis lors de la Nuit du cinéma par Claude Dauphin
Citations
Fernandel : « Le pastis, c'est comme les seins. Un c'est pas assez et trois c'est trop. »
Fernandel à propos de son personnage de don Camillo : « Si je l'ai aimé ? Pensez donc ! J'avais Dieu comme partenaire. »
Marcel Pagnol à propos de Fernandel : « Il possède le don de faire rire des êtres qui ont tant de raisons de pleurer. »
Sacha Guitry : « Moi on m'admire, vous on vous aime. »
Biographie
Fernandel |
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Fernandel |
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Discographie de Fernandel |
Dessin
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Citations
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Jackie Sardou (née Jacqueline Labbé, et dite Jackie Rollin) est une actrice française née le 7 avril 1919 à Paris et morte le 2 avril 1998 dans la même ville.
Épouse de l'acteur et chanteur Fernand Sardou, mère du chanteur Michel Sardou, grand-mère du romancier Romain Sardou et du comédien Davy Sardou, fille d'Andrée Labbé, dite Bagatelle, une danseuse du Concert Mayol et du quadrille du french-cancan au Moulin rouge (père inconnu).
Comédienne truculente, Jackie Sardou était un des piliers du théâtre de boulevard : en fin de carrière, elle triomphe au théâtre dans Le Clan des veuves (1990-1993) de Ginette Garcin, avec cette dernière et Mony Dalmès.
Jacqueline Labbé naît dans une mansarde du « Concert Mayol » où sa mère Andrée Labbé, dite Bagatelle, est danseuse. À 16 ans, elle remplace au pied levé une danseuse dans un spectacle auquel participent sa mère et Fernand Sardou qu’elle épouse (7 juillet 1945). Elle donne naissance à Michel Sardou (26 janvier 1947). Elle occupe la scène du « Liberty’s » pendant dix ans. Sous le nom de Jackie Rollin, elle enchaîne les cabarets, les opérettes et les tournages… la course aux cachets : elle tourne son premier film en 1948 avec Fernand Sardou intitulé Si ça peut vous faire plaisir de Jacques Daniel-Norman avec Fernandel en vedette.
Jusqu'en 1976, date de la mort de son mari Fernand Sardou, Jackie Sardou mène sa carrière théâtrale et cinématographique sous le nom de Jackie Rollin dans une succession de rôles de bonne femme gouailleuse avec une coupure dans les années 1960 pendant laquelle les époux Sardou dirigent un cabaret « Chez Fernand Sardou » (1960-1965).
En dépit de sa verve et de sa gouaille, Jackie Sardou n'obtiendra pas de grands rôles au cinéma. Néanmoins, citons : Retenez-moi... ou je fais un malheur ! (1983) de Michel Gérard, Par où t'es rentré, on t'a pas vu sortir (1983) de Philippe Clair avec Jerry Lewis, La Vengeance du serpent à plumes (1984) de Gérard Oury avec Coluche ou Les Mamies (1992) d'Annick Lanoë avec Danielle Darrieux, Sophie Desmarets, Odette Laure et Paulette Dubost.
Jackie Sardou s'est réellement révélée au cours des vingt dernières années de sa vie, en décidant d'abandonner son nom de scène Jackie Rollin pour son nom marital Sardou, beaucoup plus vendeur, depuis la notoriété de son fils. On la voit souvent à la télévision (dans des jeux comme L'Académie des neuf avec Jean-Pierre Foucault) et à la radio (Les Grosses Têtes de Philippe Bouvard sur RTL et Allô Jackie sur RMC), ainsi que dans des pièces de théâtre populaires et comiques telles que Chéri de Colette avec Michèle Morgan en 1982, N'écoutez pas Mesdames de Sacha Guitry avec Pierre Dux et Micheline Boudet en 1985 ou Le Clan des veuves en 1992.
Avec Michel Sardou elle enregistre, en 1982, un sketch (écrit par Jean-Loup Dabadie), intitulé Maman et plus tard, en 1993, un album de chansons populaires sous le titre Jackie Sardou chante…. Dans les années 1970 et 1980, elle tourne dans des publicités TV pour une marque de nettoyant de prothèses dentaires, qui contribuent à lui assurer une notoriété nationale. En 1987, elle publie chez Plon un livre de souvenirs, Hé, la petite grosse !.
Sa dépouille a été initialement inhumée dans le cimetière de Neuilly-sur-Seine, dans les Hauts-de-Seine, aux côtés de son mari. Les deux époux ont été ensuite transférés à Cannes au cimetière du Grand Jas en 2006.
Filmographie
1948 : Si ça peut vous faire plaisir de Jacques Daniel-Norman : la fleuriste
1949 : Hôtel des Artistes de Jean Perdrix - cm -
1951 : Cœur-sur-Mer de Jacques Daniel-Norman : l'amie de l'Anglais
1950 : Meurtres ? de Richard Pottier : une amie
1950 : La Rue sans loi de Marcel Gibaud : la nourrice
1951 : Nous irons à Monte-Carlo de Jean Boyer : Mme Bindinelli
1952 : Le Fruit défendu d'Henri Verneuil : la mère du garçon radiographié
1953 : L'Appel du destin de Georges Lacombe
1953 : Leur dernière nuit de Georges Lacombe : la concierge
1955 : Le Printemps, l'automne et l'amour de Gilles Grangier
1955 : Les deux font la paire d'André Berthomieu : la théâtreuse
1955 : M'sieur la Caille d'André Pergament : Mme Riri
1955 : Je suis un sentimental de John Berry : la concierge
1955 : Quatre jours à Paris d'André Berthomieu : Zénaïde
1956 : Le Septième Commandement de Raymond Bernard : Hélène, la domestique de Gilbert
1956 : Les carottes sont cuites de Robert Vernay
1957 : Fric-frac en dentelles de Guillaume Radot : Mme Espinasse
1957 : Le Coin tranquille de Robert Vernay : une passagère du premier car
1957 : Le Chômeur de Clochemerle de Jean Boyer : Mme Donjazu
1958 : Le Désert de Pigalle de Léo Joannon : Mme Cazeneuve
1958 : Prisons de femmes de Maurice Cloche : Lulu
1958 : Suivez-moi jeune homme de Guy Lefranc
1959 : Drôles de phénomènes de Robert Vernay
1960 : La Vérité d'Henri-Georges Clouzot : Mme Gaubert, la concierge
1960 : Les Jeux de l'amour de Philippe de Broca : Myriam Hanesco
1963 : La Bande à Bobo de Tony Saytor
1966 : Sale temps pour les mouches de Guy Lefranc
1968 : Béru et ces dames de Guy Lefranc : Berthe Bérurier
1968 : Ho ! de Robert Enrico : Mado
1968 : La Prisonnière d'Henri-Georges Clouzot : la caissière
1970 : Le Mur de l'Atlantique de Marcel Camus : Mme Charlus
1975 : On a retrouvé la septième compagnie de Robert Lamoureux : Mme Crouzy dite « la mère Crouzy »
1975 : Opération Lady Marlène de Robert Lamoureux : la femme d'Amédée
1975 : Les Grands Moyens d'Hubert Cornfield : Josette Conségude
1976 : Le Chasseur de chez Maxim's de Claude Vital : Marguerite
1977 : Freddy de Robert Thomas : la femme à barbe
1979 : New génération de Jean-Pierre Lowf Legoff: la matrone
1982 : T'es folle ou quoi ? de Michel Gérard : la gardienne
1982 : On s'en fout, nous on s'aime de Michel Gérard : la prof chahutée
1982 : On n'est pas sorti de l'auberge de Max Pécas : Mme Sulpice
1983 : Adam et Ève de Jean Luret : Esther Ben Hoït
1984 : Retenez-moi... ou je fais un malheur ! de Michel Gérard : l'ouvreuse
1984 : Par où t'es rentré ? On t'a pas vu sortir de Philippe Clair : Pauline, la mère de clovis
1984 : La Vengeance du serpent à plumes de Gérard Oury : la concierge
1985 : Gros dégueulasse de Bruno Zincone : la marchande de fraises
1986 : La Vie dissolue de Gérard Floque de Georges Lautner : la quémandeuse d'autographes
1988 : Les Gauloises blondes de Jean Jabely : la sorcière
1992 : Les Mamies d'Annick Lanoë : Zézette
1958 : Les Cinq Dernières Minutes, épisode Les Cheveux en quatre de Claude Loursais : Mme Riotord
1962 : L'inspecteur Leclerc enquête, épisode Ma femme est folle de Claude Barma : la concierge
1965 : Les Saintes chéries de Jacques Becker (série) : Mme Martin, l'amie casse-pieds
1974 : Les Faucheurs de marguerites de Marcel Camus (série) : Mme Perrier
1974 : Malaventure de Joseph Drimal (série) : Marguerite
1977 : Les Folies Offenbach de Michel Boisrond (série) : Mme Mirador
1979 : Histoires de voyous: Le concierge revient tout de suite (téléfilm) : la matronne
1980 : L’Inconnu d’Arras (téléfilm) : la mère Venot
1980 : Les Amours du mal-aimé (téléfilm) : la concierge
1981 : Histoire contemporaine (série) : Joséphine
1981 : Tovaritch (téléfilm) : Louise
1982 : Les Amours des années grises (série) : Mme Panaro
1983 : L'Intoxe (téléfilm) : la marchande de journaux
1984 : Emmenez-moi au théâtre: Chéri (Téléfilm) : Mme Aldonza
1985 : Maguy (série) : Mme Bignole
1995 : Le Clan des veuves (téléfilm) : Jacky
1973 : La Reine blanche de Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy, mise en scène Jacques Sereys, réalisation Georges Folgoas, Théâtre Marigny
1974 : Il y a longtemps que je t'aime de Jacques Deval, mise en scène Raymond Gérôme, réalisation Georges Folgoas, Théâtre Marigny
1979 : Mon crime de Louis Verneuil et Georges Berr, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
1979 : Piège pour un homme seul de Robert Thomas, mise en scène de l'auteur, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
1979 : La Route des Indes de Jacques Deval, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
1980 : La Maîtresse de bridge de Louis Verneuil, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
Théâtre
1947 : Baratin de Marc Cab et Jean Valmy avec Roger Nicolas, Théâtre de l'Européen
1948 : Hier contre aujourd'hui de Robert Beauvais et Michel Vaucaire, mise en scène Lucien Rimels, Théâtre des Célestins
1960 : Impasse de la fidélité d'Alexandre Breffort, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre des Ambassadeurs
1968 : Désiré de Sacha Guitry, mise en scène Pierre Dux, Théâtre du Gymnase, Théâtre du Palais-Royal
1976 : Knock de Jules Romains, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Célestins
1977 : Féfé de Broadway de Jean Poiret, mise en scène Pierre Mondy, Théâtre des Variétés avec : Jacqueline Maillan, Michel Roux, Roger Carel, Annick Alane Théâtre des Variétés
1979 : Tovaritch de Jacques Deval, mise en scène Jean Meyer, Théâtre de la Madeleine
1980 : L'Intoxe de Françoise Dorin, mise en scène Jean-Laurent Cochet, avec Jeanne Moreau, Jacques Dufilhoet Anne Parillaud Théâtre du Palais-Royal
1981 : Chéri de Colette, mise en scène Jean-Laurent Cochet, avec Odette Laure, Théâtre des Variétés
1983 : Chéri de Colette, mise en scène Jean-Laurent Cochet, Théâtre des Célestins
1984 : Brocéliande de Henry de Montherlant, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Célestins
1985 : Les Femmes savantes de Molière, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Célestins
1985 : N'écoutez pas Mesdames de Sacha Guitry, mise en scène Pierre Mondy, Théâtre des Variétés, Théâtre du Palais-Royal en 1986
1990 : Le Clan des veuves de Ginette Garcin, mise en scène François Guérin, avec Ginette Garcin et Mony Dalmès, Théâtre Fontaine
1995 : Laisse faire Nini de Laurence Jyl, mise en scène François Guérin, avec Philippe Castelli, Christian Marinet Marie-Christine Demarest, Théâtre Eldorado
Chanson
1993 : Jackie Sardou chante J'en ai marre Ah c'qu'on s'aimait En douce Le grand frisé Comme un moineau Pas de raison Où est-il donc ? Le dénicheur Il n'y en a qu'un à Marseille Comme une fleur Maintenant je sais |
Bibliographie
Yvan Foucart: Dictionnaire des comédiens français disparus, Mormoiron : Éditions cinéma, 2008, 1185 p.
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Christine Fabréga, née Christiane Louise Jeanne Boutevilain, est une actrice et animatrice de radio et de télévision française, née le 8 avril 1931 dans le 14e arrondissement de Paris et morte le 11 juin 1988 dans le 18e arrondissement de Paris
Fille d'un négociant en cuirs, Christiane Boutevilain suit les cours de théâtre de Julien Bertheau et de René Simon.
Dès 1952, elle apparaît au cinéma, comme simple figurante, sous le pseudonyme — qu'elle ne quittera plus — de Christine Fabréga.
Elle interprétera une dizaine de films, dont Le Deuxième Souffle de Jean-Pierre Melville (1966) — probablement son plus beau rôle ; Les Risques du métier d'André Cayatte(1967) ; Nous ne vieillirons pas ensemble de Maurice Pialat(1972) ; Deux hommes dans la ville de José Giovanni (1973).
En 1965, elle présente l'émission télévisée Le Mot le plus long. Elle devient vite connue et appréciée des téléspectateurs. Durant onze ans, jusqu'en 1987, c'est aussi l'une des figures récurrentes de l'émission Les Jeux de 20 heures.
Au début des années 1980, elle compte parmi les invités réguliers de l'émission radiophonique de Philippe Bouvard Les Grosses Têtes, diffusée sur RTL.
Elle s'éteint le 11 juin 1988, à l'hôpital Bichat, des suites d'un cancer. Elle est âgée de 57 ans. Elle repose au cimetière du Père-Lachaise (division 36).
Filmographie
Au cinéma
1952 : Le Gang des pianos à bretelles de Gilles de Turenne : un mannequin (apparition furtive) ;
1966 : Le Deuxième Souffle de Jean-Pierre Melville, avec Lino Ventura: Simone Melletier, dite Minouche ;
1967 : Les Risques du métier d'André Cayatte, avec Jacques Brel : Madame Roussel ;
1969 : La Peau de Torpedo de Jean Delannoy, avec Michel Constantin : Sylvianne Collet ;
1972 : Nous ne vieillirons pas ensemble de Maurice Pialat, avec Jean Yanne ; la mère de Catherine ;
1973 : Deux hommes dans la ville de José Giovanni, avec Jean Gabin : Geneviève Cazeneuve ;
1974 : Acte de probité d'Henry Polage (TV) : Evita de Kerfaouet ;
1974 : Les murs ont des oreilles de Jean Girault, avec Louis Velle : Gilda, la cuisinière ;
1974 : Tamara ou Comment j'ai enterré ma vie de jeune fille de Michel Berkowitch : elle-même ;
1975 : C'est jeune et ça sait tout de Claude Mulot ;
1976 : L'Exercice du pouvoir de Philippe Galland, avec Michel Aumont ;
1977 : Pourquoi ? d'Anouk Bernard : La psychologue.
À la télévision
1985 : Châteauvallon de Serge Friedman, Paul Planchon et Emmanuel Fonlladosa : Zoé Kovalic.
Théâtre
1971 : Dumas le magnifique d'Alain Decaux, mise en scène Julien Bertheau, Théâtre du Palais Royal.
Bibliographie
Yvan Foucart, Dictionnaire des comédiens disparus, Yvan Foucart éditeur, 2000 ; réédition 2007
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