Statistiques

Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour : 27.01.2025
18574 articles


Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1009)
· A à Z : Sommaire (339)
· Mannequin de charme (914)
· Musique (392)
· Monde : France (3095)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (213)
· Cinéma : Films à classer (151)
· Calendrier : Naissances (246)
· Monde : Etats Unis (1123)

Rechercher
Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "dessinsagogo55" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Thèmes

air amour annonce art article background base belle blogs bonjour cadre center

Articles les plus lus

· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)

· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara

Voir plus 

Derniers commentaires

Cinéma

Georges Lautner

Georges Lautner

Georges Lautner est un réalisateur et scénaristefrançais, né le 24 janvier 1926 à Nice et mort le 22 novembre 2013 à Neuilly-sur-Seine.

Attiré dès ses débuts vers la comédie, Lautner est surtout connu pour avoir mis en image les plus fameuses répliques de Michel Audiard (leur collaboration la plus célèbre restant Les Tontons flingueurs). Ses incursions dans les autres genres (dont Le Professionnel en 1981 ou La Maison assassinée en 1988) connurent également un succès auprès du public. Il demeure une grande figure de la comédie française de l'après-guerre.

Son père est Léopold Lautner (1893-1938), joaillier d'origine viennoise installé à Vichy. Aviateur — il sera mitrailleur aérien engagé le 10 avril 1913 au 2e chasseur d'Afrique (croix de guerre coloniale), combattant pendant la Première Guerre mondiale et participera à des meetings aériens —, il se tue à 45 ans (son fils Georges a alors 13 ans) dans un accident d'un Farman 402 de l'aéroclub de Vichy alors qu'il réalisait un vol de loisir au-dessus de la station thermale avec une jeune cantatrice.

Sa mère est la comédienne Marie-Louise Vittore dite Renée Saint-Cyr (qui apparaît notamment dans onze des films de son fils). En 1933, après avoir passé une partie de son enfance dans le Midi, il monte à Parisavec sa mère qui va commencer sa carrière cinématographique cette même année et connaître un succès avec Les Deux orphelines. C'est à cette occasion qu'il découvre le cinéma et fréquente les salles obscures, mais cette période joyeuse sera ternie par la mort de son père, le 17 juillet 1938, dans un accident d'avion

Durant la Seconde Guerre mondiale, il est scolarisé au lycée Janson-de-Sailly, à Paris. Malgré cette période difficile, il essaie de préserver une jeunesse fêtarde, puis se sentant concerné par ce qui se passe en France, il n'hésite pas à venir observer de plus près les événements dans la capitale, ce qui ne manque pas de développer son sens critique.

Après la Libération de Paris, Lautner, après avoir obtenu un bac philo-sciences, se tourne vers le cinéma, notamment en faisant de petits boulots. Ses débuts au cinéma se font en 1945 comme décorateur dans La Route du bagne, de Léon Mathot. En 1947, il est contraint de cesser ses petits boulots pour aller faire son service militaire en Autriche et va faire un stage de projectionniste 16 mm. Puis il est envoyé au Service cinématographique des armées (SCA) de Paris, côtoyant Claude Lecomte et Marcel Bluwal.

Sorti de l'armée, son expérience en matière de pellicule lui vaut de devenir en 1949 le second assistant-réalisateur de Sacha Guitry pour Le Trésor de Cantenac. Durant les années 1950, il continue d'être assistant réalisateur(Les Chiffonniers d'Emmaüs, rencontrant sur le tournage le cascadeur Henri Cogan, devenu son fidèle collaborateur et ami, Courte tête), puis fait des apparitions dans des films comme Capitaine Ardant. Alors qu'il avait pour ambition de devenir comédien, qu'il dut abandonner car il était trop timide pour jouer sur scène et n'avait pas les dons nécessaires, il préfère rester derrière la caméra. À travers les différents plateaux qu'il fréquente, il apprend très vite à user du système D qui lui confère une efficacité à toute épreuve dès qu'il s'agit de pallier les imprévus. Grâce à un bon relationnel, il a pour habitude d'aller discuter avec les seconds rôles et les figurants durant les tournages, ce qui lui donne le goût de devenir réalisateur, sachant mettre à l'aise les comédiens.

En 1958, le directeur de production Maurice Juven le remarque et lui confie la réalisation de La Môme aux boutons, tourné en un mois avec des acteurs de boulevard. Malheureusement, le premier long-métrage de Lautner est un échec commercial. Après ce premier essai, le cinéaste se voit confier par Juven la réalisation de Marche ou crève. Cette adaptation d'un roman de Jack Murray, que le réalisateur signe avec Pierre Laroche (qui collabora sur cinq films du réalisateur), Lautner la considère comme sa première vraie réalisation. Le film amortit l'échec du précédent, lui permettant de réaliser avec son équipe Arrêtez les tambours. Ce film marque le début de sa collaboration avec le chef-opérateur Maurice Fellous.

Mais c'est en 1961 qu'il va se faire connaître du grand public avec Le Monocle noir. Adapté d'un roman du Colonel Rémy, cette comédie policière, avec Paul Meurisse dans le rôle du « Monocle », agent secret français, est un succès commercial et aura deux suites. En 1962, il tourne Le Septième Juré, drame psychologique avec Bernard Blier.

Sa façon de tourner — usage du champ/contre-champ qui permet de jouer avec la profondeur et d'orchestrer ainsi une composition visuelle particulière devient une de ses marques de fabrique, avec les gros plans, de manière à mettre en valeur les comédiens et le dialogue — lui vaut d'être recommandé par Bernard Blier et Michel Audiard (qui va collaborer avec Lautner pour une dizaine de films) à Alain Poiré, patron de Gaumont International, une filiale de la Gaumont chargée des productions de films, une société qui a un palmarès très important de grands succès populaires, en particulier dans le domaine de la comédie. Poiré a la réputation de savoir dénicher les talents.

En 1963, Poiré lui offre la réalisation des Tontons flingueurs. Avec Lino Ventura (qui remplace Jean Gabinaprès un désaccord avec Lautner), Bernard Blier, Jean Lefebvre, et Francis Blanche dans la distribution et Michel Audiard aux dialogues. Le film, sommet de la parodie de film policier, est un succès et devient un classique du cinéma français. Il rencontre à la même époque Mireille Darc et la fait tourner dans une dizaine de films (Des pissenlits par la racine, Les Barbouzes, nouvel opus du groupe Audiard-Lautner-Blier-Ventura-Blanche, Galia, film sur la libération sexuelle, Ne nous fâchons pas et La Grande Sauterelle entre autres).

En 1968, il réalise le film policier Le Pacha, dialogué par Audiard, avec Jean Gabin, qui devait tourner dans Les Tontons flingueurs. Au début du tournage, l'atmosphère est lourde. Gabin se retrouve désarçonné par le style Lautner : des gros plans à répétition, de nombreuses coupes… de plus, le réalisateur, timide par nature, est très impressionné par le comédien. Mais quand les premières rushes sont montés, mis en musique et projetés, Gabin comprend alors le style et le ton du film. Cela le décide à faire confiance à son réalisateur pour le reste du tournage, et la suite s'est bien passée. Après quelques problèmes avec la censure, le film sort et connaît un succès public et critique. Après l'échec de son long-métrage américain La Route de Salina, il tourne la comédie Laisse aller, c'est une valse, avec Jean Yanne. Ce film marque les débuts de Coluche au cinéma.

Les années 1970 seront prolifiques pour Lautner, qui connaît succès sur succès avec Il était une fois un flic, Quelques messieurs trop tranquilles, La Valise, Les Seins de glace, On aura tout vu et Mort d'un pourri, et tournant avec des acteurs confirmés comme Jean-Pierre Marielle, Alain Delon et Pierre Richard et des acteurs débutants comme Gérard Lanvin et Miou-Miou.

Après une collaboration — difficile — avec Delon (Les Seins de glace et Mort d'un pourri), Georges Lautner fait tourner Jean-Paul Belmondo à partir de 1979 dans Flic ou Voyou. Devenus amis, Belmondo et Lautner vont signer trois films ensemble : Le Guignolo, Le Professionnel, énorme succès en 1981, et Joyeuses Pâques.

La seconde moitié des années 1980 marque la fin de sa collaboration avec Michel Audiard (qui décède en juillet 1985) et oscille entre succès (La Maison assassinée, avec Patrick Bruel) et échecs commerciaux. En 1992, il tourne son dernier film pour le cinéma, L'Inconnu dans la maison (avec Belmondo), qui ne connaît pas le succès escompté.

En 2007, il est président du jury au Festival du cinéma russe à Honfleur.

Il meurt le 22 novembre 2013 à Neuilly-sur-Seine, des suites d'un cancer, à l'âge de 87 ans. Il est inhumé au cimetière du château à Nice, après une cérémonie religieuse à la cathédrale Sainte-Réparate

 

Georges Lautner fait partie des cinéastes populaires, peu appréciés par la critique de l'époque. En 1963, lorsque sort Les Tontons flingueurs, le film est éreinté par la critique, le trouvant trop caricatural et à peine divertissant, mais rencontre un réel succès auprès du public, puisqu'il totalise 3 342 393 entrées en France. Aujourd'hui, Les Tontons flingueurs est considéré comme un film culte et rencontre un succès d'audience à chaque diffusion à la télévision.

Il obtient, en 1981, son plus grand succès commercial avec Le Professionnel, qui totalise 5 243 511 entrées.

Au cours de sa carrière, les films qu'il a réalisés ont totalisé, en France, 60,5 millions d'entrées

  Georges Lautner
  Georges Lautner

 

 

 

 

Bourvil

Publié à 13:08 par dessinsagogo55
Bourvil

Bourvil

Bourvil

Publié à 13:05 par dessinsagogo55
Bourvil

Bourvil

Bourvil

Publié à 13:04 par dessinsagogo55
Bourvil

Bourvil

Bourvil

Publié à 13:01 par dessinsagogo55
Bourvil

Bourvil

Bourvil

Publié à 12:59 par dessinsagogo55
Bourvil

Bourvil

Bourvil

Publié à 12:57 par dessinsagogo55 Tags : prix sur bonne france homme mort film center
Bourvil

André Robert Raimbourg, dit Bourvil, est un acteur, chanteur et humoriste français, né le 27 juillet 1917 à Prétot-Vicquemare (Seine-Inférieure) et mort le 23 septembre 1970 à Paris 16e.

 

Fils d'agriculteurs normands, il admire Fernandel et tente de devenir artiste lui aussi. Au départ musicien et chanteur de music-hall et d'opérette, il connaît le succès à la Libération avec la chanson Les Crayons et en se créant un rôle caricatural de paysan normand naïf et benêt, puis avec d'autres chansons sur deux décennies, comme À bicycletteSalade de fruitsUn clair de lune à Maubeuge et La Tendresse. Il est également tête d'affiche de spectacles populaires, dont La Route fleuriePacificoLa Bonne Planque et Ouah ! Ouah !.

 

En parallèle, il se tourne rapidement vers le cinéma, où il transpose son « comique-paysan », dans des comédies comme Pas si bête (1946), Le Roi PandoreLe Rosier de madame Husson et Miquette et sa mère (1950), Le Trou normand (1952), Les Trois Mousquetaires (1953) ou encore Les Hussards (1955). Son personnage évolue peu à peu, puis sa carrière prend un tournant grâce à son rôle dramatique d'un chômeur faisant du marché noir sous l'Occupation dans La Traversée de Paris (1956), qui lui vaut le prix d'interprétation de la Mostra de Venise.

 

Dès lors, il accède à un statut de vedette populaire au répertoire large, alternant les drames et les comédies jusqu'à sa mort en 1970, un grand nombre de ses films s'établissant comme les succès de l'époque ou devenant des classiques du cinéma français, tels que Les Misérables et Le Miroir à deux faces (1958), Le Bossu (1959), Le Capitan et Fortunat (1960), Un drôle de paroissienLe Magot de Josefa et La Cuisine au beurre (1963), La Cité de l'indicible peur (1964), Le CorniaudLa Grosse Caisse et Les Grandes Gueules (1965), La Grande Vadrouille (1966), La Grande Lessive (!) (1968), Le Cerveau et L'Arbre de Noël (1969), et enfin Le Mur de l'Atlantique et Le Cercle rouge (1970).

 

Il est le père de l'homme politique Dominique Raimbourg et de l'économiste Philippe Raimbourg.

 

 

 

Odile Versois

Odile Versois est une comédienne française, née le 15 juin 1930 à Paris 15et morte à Neuilly-sur-Seine le 23 juin 1980 (à 50 ans)

 

De son vrai nom, Étiennette de Poliakoff, Odile Versois naît le 15 juin 1930. Ses parents émigrés de Russieaprès la Révolution de 1917, se réfugient en France. Son père Vladimir de Poliakoff est chanteur d'opéra, et sa mère Militza Envald, danseuse étoile.

Odile Versois, est très tôt intéressée par le théâtre et le cinéma. Elle tourne son premier film à 18 ans avec le réalisateur Roger Leenhardt, immédiatement subjugué par sa beauté. Elle entraîne sa jeune sœur Catherinedans le monde du spectacle, et tourne avec elle le film Orage d'été réalisé par Jean Gehret.

Après avoir divorcé de l'acteur Jacques Dacqmine, Odile Versois épouse en 1953 le comte François Pozzo di Borgo avec qui elle a quatre enfants. Elle meurt à cinquante ans d'un cancer. Elle est inhumée au cimetière russe de Sainte-Geneviève-des-Bois (Essonne).

Elle a eu trois sœurs, ayant aussi embrassé la carrière artistique :

Olga (1928-2009), réalisatrice de télévision sous le nom de Olga Varen ;

Militza (1932-1988), actrice sous le nom de Hélène Vallier ;

Catherine Marina (née en 1938), actrice sous le nom de Marina Vlady

Selon Paris Match du 11 juin 1955, l'initiale « V » commune aux quatre pseudonymes serait le V de la victoire popularisé durant la Seconde guerre mondiale

 

Théâtre

1950 : Ami-Ami de Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy, mise en scène Jean Wall, théâtre Daunou puis théâtre des Célestins en 1951

1959 : Hamlet de William Shakespeare, mise en scène Jean Darnel, Arènes de Saintes

1963 : Pour Lucrèce de Jean Giraudoux, mise en scène Raymond Gérôme, Festival de Bellac

1966 : Les Trois Sœurs d'Anton Tchekov, mise en scène André Barsacq, théâtre Hébertot

1968-1969 : Jean de la Lune de Marcel Achard, tournées Barret

1970 : Ciel, où sont passées les dattes de tes oasis ? de Roger Hanin, mise en scène Jacques Ardouin, théâtre de la Potinière

1979 : Ciel, où sont passées les dates de tes oasis ?

Filmographie

Cinéma

1948 : Les Dernières Vacances de Roger Leenhardt : Juliette

1949 : Orage d'été de Jean Gehret : Mari-Lou

1949 : Fantômas contre Fantômas de Robert Vernay : la jeune fille

1949 : Paolo e Francesca de Raffaello Matarazzo : Francesca da Rimini

1949 : La mariée ne peut attendre (La sposa non può attendere) de Gianni Franciolini : Maria

1949 : Désordre, court métrage documentaire de Jacques Baratier : elle-même

1950 : Into the Blue ( Man in the Dinghy) de Herbert Wilcox : Jackie

1950 : Les Anciens de Saint-Loup de Georges Lampin : Catherine Jacquelin

1951 : Bel Amour de François Campaux : Gilda Jorgegsen

1951 : Mademoiselle Josette, ma femme d'André Berthomieu : Josette Dupré

1952 : Domenica de Maurice Cloche : Domenica Léandri

1952 : La Répétition manquée de Pierre Neurisse (court métrage)

1953 : Grand Gala de François Campaux : Anna

1953 : Les Crimes de l'amour, sketch Mina de Vanghel de Maurice Clavel et Maurice Barry : Mina

1953 : A Day to Remember de Ralph Thomas : Martine Berthier

1954 : Évasion (The Young Lovers) de Anthony Asquith : Anna Szobek

1955 : Sophie et le Crime de Pierre Gaspard-Huit

1955 : Deux Anglais à Paris (To Paris with Love) de Robert Hamer : Lizette Marconne

1956 : Les Insoumises de René Gaveau : Hélène

1956 : À tombeau ouvert (Checkpoint) de Ralph Thomas : Francesca

1957 : Pour l'amour d'une reine (Herrscher ohne Krone) de Harald Braun : Reine Mathilde

1958 : Passeport pour la honte (Passport to Shame) d'Alvin Rakoff : Marie Louise dite Malou

1959 : Toi, le venin de Robert Hossein : Hélène Lecain

1960 : La Dragée haute de Jean Kerchner : Evelyne Barsac

1960 : Estoril y sus fiestas, documentaire de Juan Manuel de La Chica et Vicente Minaya : apparition

1961 : Le Rendez-vous de Jean Delannoy : Édith

1961 : Le Trésor des hommes bleus de Edmond Agabra : Suzanne

1962 : Cartouche de Philippe de Broca : Isabelle de Ferrussac

1962 : Transit à Saïgon de Jean Leduc

1963 : À cause, à cause d'une femme de Michel Deville : Nathalie

1964 : Dernier Tiercé de Richard Pottier : Jacqueline

1965 : La Pharmacienne de Jany Holt et Serge Hanin (court métrage)

1965 : Le Désordre à vingt ans, documentaire de Jacques Baratier : apparition

1968 : Benjamin ou les Mémoires d'un puceau de Michel Deville : la femme mariée

1972 : Églantine de Jean-Claude Brialy : Marguerite

1975 : Stationschef Fallmerayer de Walter Davy : Walewska

1977 : Le Crabe-tambour de Pierre Schoendoerffer

Télévision

1962 : L'inspecteur Leclerc enquête, épisode Obsession de Yannick Andreï

1964 : Le Pain de ménage de Paul Renty : Marthe

1966 : Le train bleu s'arrête 13 fois de Maurice de Canonge : Nathalie

1973 : L'Hiver d'un gentilhomme de Yannick Andreï : Christine de Sagne

1973 : Un monsieur bien rangé - épisode 1 et 2 (série de 4 ép.) : Viviane

1974 : La Juive du Château-Trompette de Yannick Andréi (série en 6 ép.) : la marquise de Beauséjour

1975 : Pas de frontières pour l'inspecteur de Marcel Cravenne : Mlle Lindberg

1976 : Le Milliardaire de Robert Guez : Françoise Fabre-Simmons

1977 : Richelieu de Jean-Pierre Decourt

1977 : Le Confessionnal des pénitents noirs de Alain Boudet : la marquise Vivaldi

1980 : Julien Fontanes, magistrat de Guy-André Lefranc : Inge Wolfrum

1980 : Les Enquêtes du commissaire Maigret, épisode : Maigret et les Vieillards de Stéphane Bertin : Hélène Mazeron

 

   
   
Liens externes                                                  
   
Notes et références                                                    
RUBRIQUE   
DESCRIPTION  
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
                                                   
CREATION (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DESSIN (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
                                                   
   
    
    
   
   
   
   
   
   
ADRESSE(S)EXTERNE(S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DATE   
NAISSANCE   
DECES   
MISE A JOUR :   2025
                                                       
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

Monkeyshines, No. 1

Publié à 14:03 par dessinsagogo55 Tags : center film centerblog image sur homme sommaire papier
Monkeyshines, No. 1

Monkeyshines, No. 1 (suivi de Monkeyshines, No. 2 et Monkeyshines, No. 3) est un essai de film américain, réalisé par William K.L. Dickson et William Heise pour les laboratoires de Thomas Edison, en 1889 ou 1890.

Ces essais sont enregistrés à partir du Kinétographe à cylindre horizontal, version archaïque de la première caméra de cinéma. C'est une adaptation du phonographe à cylindre qu'a inventé Thomas Edison. Sur un cylindre en verre, tournant sur son axe, un enregistreur de type chronophotographie : objectif et obturateur à disque mobile prend des photogrammes les uns à la suite des autres, à la manière du sillon du phonographe, en spirale sur une émulsion photosensible couchée sur le cylindre. Après la prise de vues, le négatif sur son support en verre est immergé dans les produits de développement (révélateur et fixateur). Un tirage de type tirage contact est fait, qui donne une feuille photographique positive. Celle-ci est découpée et assemblée en un long ruban où apparaissent les diverses positions du personnage visé. Ce ruban peut être examiné image par image mais ne peut être vu en mouvement ni projeté (papier opaque et fragile, et absence de la machine adéquate). Les résultats sont décevants pour l'équipe d'Edison. L'invention du film souple, transparent et résistant va permettre d'orienter les recherches vers un autre procédé, et de réussir à enregistrer le premier film du cinéma : Dickson Greeting, où l'on peut contempler le personnage et ses gestes précis.

 

Monkeyshines, No. 1 : L’image est floue, fantomatique. Un personnage (sans doute un homme) se meut devant la caméra, agitant les bras.

Monkeyshines, No. 2 : L’image est plus nette, mais encore fantomatique. Un homme agite les bras et penche son corps dans toutes les directions.

Monkeyshines, No. 3 :

 

Fiche technique

Titre : Monkeyshines, No. 1

Date de sortie : 1889 ou 1890

Réalisation : William K.L. Dickson et William Heise

Genre : Essai

Format : tirage noir et blanc sur support papier (les vignettes ont été plus tard filmées une par une au banc-titreet l'on peut ainsi les voir en mouvement, ce qui date bien cet essai de la période du précinéma).

Distribution

G. Sacco Albanese ou John Ott

 

 

Retour à : Cinéma (Sommaire)

Film

Retour à : Cinéma : Postes (Sommaire)

Retour à :SOMMAIRE

Direct sur la rubrique :  Cinéma : M

Comment ça marche ??? Aide

Terence Hill

Publié à 16:16 par dessinsagogo55 Tags : base amour homme france moi centerblog center article merci dieu pari maison sur film sommaire bonjour
Terence Hill

Filmographie

Cinéma

Acteur et réalisateur

1984 : Don Camillo, et joue le rôle de don Camillo

1991 : Lucky Luke, et joue le rôle de Lucky Luke

1994 : Petit papa baston, et joue le rôle de Trévis

2009 : Doc West, et joue le rôle de Doc West

2009 : Doc West 2 - L'Homme à la gâchette (Triggerman), et joue le rôle de Doc West

2018 : My name is Thomas, et joue le rôle de Thomas

Acteur

Sous le nom de Mario Girotti 

1951 : Vacanze col gangster de Dino Risi : Gianni

1952 : La Maison du silence (La voce del silenzio) de Georg Wilhelm Pabst

1953 : Les amants de Villa Borghese de Vittorio De Sica

1953 : Le Chemin de l'espérance (Il viale della speranza) de Dino Risi

1953 : L'âge de l'amour de Lionello De Felice

1955 : Divisione folgore de Duilio Coletti

1955 : La Veine d'or (La Vena d'oro) de Mauro Bolognini

1955 : Les Égarés (Gli sbandati) de Francesco Maselli

1956 : Mamma sconosciuta de Carlo Campogalliani

1956 : I vagabondi delle stelle de Nino Stresa

1956 : Bambino (Guaglione) de Giorgio Simonelli : Franco Danieli

1957 : Lazzarella de Carlo Ludovico Bragaglia : Luciano Pico

1957 : Un dénommé Squarcio de Gillo Pontecorvo

1958 : Il novelliere: The picture of Dorian Gray de Daniele D'Anza

1958 : El Alamein de Guido Malatesta

1958 : L'Épée et la Croix (La Spada e la croce) de Carlo Ludovico Bragaglia

1958 : Anna de Brooklyn (Anna di Brooklyn) de Vittorio De Sica et Carlo Lastricati

1959 : Le Maître de forges (Il padrone della ferriere)

1959 : Cerasella de Raffaello Matarazzo : Bruno

1959 : Spavaldi e innamorati de Giuseppe Vari

1959 : Carthage en flammes de Carmine Gallone : Tsour

1959 : Pousse pas grand-père dans les orties de Mauro Morassi

1959 : Annibal de Carlo Ludovico Bragaglia

1960 : L'Esclave du pharaon (Giuseppe venduto dai fratelli) d'Irving Rapper et Luciano Ricci

1960 : Un de la réserve de Steno

1961 : Les Mille et Une Nuits de Mario Bava

1961 : Pecado de amor de Luis César Amadori

1962 : Giuseppe venduto dai fratelli de Luciano Ricci

1962 : Le Corsaire de la reine (Il dominatore dei sette mari) de Primo Zeglio

1963 : Le Jour le plus court (Il giorno più corto) de Sergio Corbucci

1963 : Le Guépard (Il gattopardo) de Luchino Visconti : le Comte Cavriaghi

1964 : Le Trésor des montagnes bleues de Harald Reinl : Lt. Robert Merril

1964 : Parmi les vautours de Alfred Vohrer : Baker Jr.

1965 : Du suif dans l'Orient-Express de Alfred Weidenmann : Enrico

1965 : L'Appât de l'or noir (Der Ölprinz) de Harald Philipp : Richard Forsythe

1965 : Old Surehand de Alfred Vohrer

1966 : La Vengeance de Siegfried (Die Niebelungen) de Harald Reinl : Giselher

1967 : Io non protesto, io amo de Ferdinando Baldi : Gabriele

1967 : La Grosse Pagaille (La Feldmarescialla) de Steno : Professeur Giuliano Fineschi

Sous le nom de Terence Hill 

1967 : T'as le bonjour de Trinita (Little Rita nel west) de Ferdinando Baldi : Black Star (Trinita en VF)

1968 : Django, prépare ton cercueil ! (Preparati la bara!) de Ferdinando Baldi : Django

1970 : Trinita voit rouge (La collera del vento) de Mario Camus : Marco

1971 : Le Corsaire noir (Il corsaro nero) de Lorenzo Gicca Palli : Blackie

1972 : Et maintenant, on l'appelle El Magnifico (...e poi lo chiamarono il Magnifico) de Enzo Barboni : Sir Thomas Moore

1972 : Manœuvres criminelles d'un procureur de la république (Il vero è il falso) de Eriprando Visconti : Marco Manin

1973 : Mon nom est Personne (Il mio nome è Nessuno) de Tonino Valerii : Personne

1975 : Un génie, deux associés, une cloche (Un genio, due compari, un pollo) de Damiano Damiani : Joe Thanks (Joe Merci en VF)

1977 : Il était une fois la Légion (March or Die) de Dick Richards : Marco Segrain

1977 : On m'appelle Dollars (Mister Miliardo) de Jonathan Kaplan : Guido Falcone

1977 : Deux super-flics (I due superpiedi quasi piatti) de E.B. Clucher (Enzo Barboni) : Matt Kirby

1978 : Pair et Impair (Pari e dispari) de Sergio Corbucci : Johnny Firpo

1979 : Cul et Chemise (Io sto con gli ippopotami) de Italo Zingarelli : Slim

1980 : Un drôle de flic (Poliziotto superpiù) de Sergio Corbucci : Dave Speed

1981 : Salut l'ami, adieu le trésor (Chi trova un amico trova un tesoro) de Sergio Corbucci : Alan Lloyd

1983 : Quand faut y aller, faut y aller (Nati con la camicia) de E.B. Clucher(Enzo Barboni) : Rosco Frazer alias Steinberg

1984 : Don Camillo de Terence Hill : Don Camillo

1984 : Attention les dégâts (Non c'è due senza quattro) de E.B. Clucher(Enzo Barboni) : Elliott Vance

1985 : Les Super-flics de Miami (Miami Supercops (I poliziotti dell'8ª strada)) de Bruno Corbucci : Doug Bennett

1987 : Renegade (Renegade - Un osso troppo duro) de Enzo Barboni : Luke Mantie

1991 : Lucky Luke de Terence Hill : Lucky Luke

1994 : Petit papa baston (Botte di Natale) de Terence Hill : Travis

1997 : Cyberflic (Potenza virtuale) de Antonio Margheriti : Skims

2009 : Doc West de Terence Hill et Giulio Base : Doc West

2009 : Doc West 2 - L'Homme à la gachette (Triggerman) de Terence Hill et Giulio Base : Doc West

2018 : My name is Thomas de Terence Hill : Thomas

Avec Bud Spencer

17 films ensemble (en video 16 sortis en France en DVD - il manque "Les Deux Missionnaires" toujours inédit en DVD, sortie en VHS)

1967 : Dieu pardonne… moi pas !, (Dio perdona… Io no!) de Giuseppe Colizzi : Cat Stevens

1968 : Les Quatre de l'Ave Maria (I Quattro dell'Ave Maria) de Giuseppe Colizzi : Cat Stevens

1969 : La Colline des bottes (La Collina degli stivali) de Giuseppe Colizzi : Cat Stevens

1970 : On l'appelle Trinita (Lo chiamavano Trinità) de Enzo Barboni : Trinita

1971 : On continue à l'appeler Trinita (…continuavano a chiamarlo Trinità) de Enzo Barboni : Trinita

1971 : Le Corsaire noir (Il corsaro nero) de Lorenzo Gicca Palli : Blackie

1972 : Maintenant, on l'appelle Plata (Più forte, ragazzi!) de Giuseppe Colizzi : Plata

1974 : Les Deux Missionnaires (Porgi l'altra guancia) de Franco Rossi : Père J.

1974 : Attention, on va s'fâcher ! (Altrimenti ci arrabbiamo) de Marcello Fondato : Kid

1977 : Deux super-flics (I due superpiedi quasi piatti) de Enzo Barboni : Matt Kirby

1978 : Pair et Impair (Pari e dispari) de Sergio Corbucci : Johnny Firpo

1979 : Cul et Chemise (Io sto con gli ippopotami) de Italo Zingarelli : Slim

1981 : Salut l'ami, adieu le trésor (Chi trova un amico, trova un tesoro) de Sergio Corbucci: Alan

1983 : Quand faut y aller, faut y aller (Nati con la camicia) de Enzo Barboni : Rosco Frazer alias Steinberg

1984 : Attention les dégâts (Non c'è due senza quattro) de Enzo Barboni : Eliot Vance / Bastiano Coimbra de la Coronilla y Azevedo

1985 : Les Super-flics de Miami (Miami Supercops-I poliziotti dell'ottava strada) de Bruno Corbucci : Doug Bennett

1994 : Petit papa baston (Botte di Natale) de Terence Hill : Travis

Télévision

1992 : Lucky Luke, la série télévisée : Lucky Luke (en 8 épisodes)

2006 : L'uomo che sognava con le aquile (téléfilm) de Vittorio Sindoni : Rocco

2008 : L'uomo che cavalcava nel buio (téléfilm) de Salvatore Basile : Rocco

2011 - 2015 : Un passo dal cielo (série télévisée, 44 épisodes), tournage de nouveaux épisodes pour la saison III en 2015 : Pietro

Cette série est sortie en Espagne en 2014, en Allemagne et dans plusieurs pays anglo-saxons.

  • 2000 - 2018 : Un sacré détective (Don Matteo) (série télévisée, 245 épisodes) : Don Matteo

Version italienne

Bien qu'il soit italien, Terence Hill ne postsynchronisait pas sa propre voix dans la version italienne des films en duo avec Bud Spencer. En effet les deux acteurs ne pouvaient pas imposer leur accent romain à des personnages outre-atlantiques. De ce fait, la voix de Hill fut doublée par le comédien Pino Locchi (it).

Voix françaises

En France, Dominique Paturel est la voix française la plus régulière de Terence Hill depuis 1973.

Box-office

Box-office français de Terence Hill, en millions de spectateurs:

1- Mon nom est personne (1973) : 4 732 369

2- Deux super-flics (1977) : 3 433 101

3- On continue à l'appeler Trinita (1972) : 3 038 838

4- On l'appelle Trinita (1971) : 2 624 948

5- Cul et Chemise (1979) : 2 251 095

6- Attention, on va s'fâcher ! (1974) : 2 194 849

7- Pair et Impair (1978) : 1 964 902

8- Un génie, deux associés, une cloche (1976) : 1 939 079

9- Salut l'ami, adieu le trésor (1981) : 1 894 375

10- Dieu pardonne... moi pas ! (1972) : 1 812 092

11- Quand faut y aller, faut y aller (1983) : 1 702 062

12- Les Quatre de l'Ave Maria (1969) : 1 676 235

13- Un drôle de flic (1980) : 1 368 580

14- Les Deux Missionnaires (1975) : 1 326 174

15- Attention les dégâts (1984) : 1 274 468

16- La Colline des bottes (1970) : 1 185 022

17- Lucky Luke (1991) : 1 103 626

18- Don Camillo (1984) : 1 080 069

19- Maintenant, on l'appelle Plata (1973) : 0, 893 649

20- Et maintenant, on l'appelle El Magnifico (1973) : 0, 733 441

 

  Terence Hill
  Terence Hill

 

 

Retour à : Cinéma (Sommaire)

Acteur - Actrice

Retour à :SOMMAIRE

Retour à : Cinéma : Postes (Sommaire)

Direct sur la rubrique :  Cinéma : T

Comment ça marche ??? Aide