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Département : Meuse

Paris : Population

Publié à 07:51 par dessinsagogo55 Tags : jeune paris 2010 center monde

 

Selon l'Insee, la population de la ville de Paris était de 2 234 105 habitants au 1er janvier 2009 (cinquième ville de l'Union européenne) pour une superficie de 10 540 hectares soit une densité de 21 196 habitants/km2, l'une des plus fortes d'Europe. Au 1er janvier 2009, 
l'agglomération définie par l'Insee comprend 412 communes et totalise 10 413 386 habitants. Son aire urbaine, incluant des communes situées dans une zone d'influence forte de la ville, atteint 12 161 542 habitants au 1er janvier 2009 dans la délimitation de 2010, ce qui en fait la 20e aire urbaine du monde environ ou la 3e en Europe.
La population de la ville est relativement jeune : en 2008, selon l'Insee, le pourcentage d'habitants âgés de moins de 35 ans est de 46 %93, soit 4 points de plus que la moyenne nationale, qui est de 41,8 %.


Paris : Population
Croissance de la population parisienne depuis le premier recensement en 1801.



Joseph Émile Colson

Joseph Émile Colson

Joseph Emile Colson (né le 29 janvier 1821 à Saint-Aubin-sur-Aire (Meuse), mort le 6 août 1870 à la bataille de Frœschwiller-Wœrth, était un général français.



Joseph Emile Colson, issu d'une famille médiocrement fortunée, reçut une éducation forte et des principes solides entretenus de génération en génération : l'amour du travail et le sentiment du devoir.
Son grand-père était médecin et maître de poste à Saint-Aubin. Son père, ruiné par l'invasion de 1814, était mort prématurément à 35 ans, laissant 5 enfants, dont 4 garçons. Joseph Emile, le dernier de ces 4 garçons, fit de bonnes études au lycée de Nancy (Meurthe-et-Moselle) et, à peine âgé de 18 ans, se présenta en 1839 à l'école de Saint Cyr. Deux ans après, il en sortait à la tête de sa promotion et fut admis par voie de concours à l'école d'État-major.


Esprit studieux, sensé et droit, il donnait déjà de nombreuses espérances et se conciliait de nombreuses amitiés par son caractère ferme et loyal. Nommé lieutenant d'État-major, le 9 janvier 1844, il fit son stage d'Infanterie en Afrique et prit part aux expéditions de Biskra, de l'Aurès et du Hodna. Chargé du service topographique des colonies, il exécuta des travaux qui attirèrent l'attention du Ministre. Il fut nommé capitaine au 5ème Régiment de hussards (1846) où il fit son stage de cavalerie. Il rentra en France avec ce régiment et fut appelé le 7 septembre 1848 à l'État-major de la 2ème Division de l'armée de Paris.
En 1851, il devint l'aide de camp du général Renault et, dans ses nouvelles fonctions, s'acquit de sérieux titres à la confiance de ses chefs. De graves circonstances allaient ouvrir un champ plus vaste à son ambition. La guerre d'Orient éclata au commencement de 1854 et Colson fut désigné pour l'État-major de la Division de réserve commandée par le général Forey. Il se comporta vaillamment à Inkerman et au siège de Sébastopol, où il fut blessé.
Après la signature de la paix, il revint de Crimée avec le grade de chef d'escadron et la croix d'officier de la Légion d'Honneur. Redevenu l'aide de camp du général Renault, il le rejoignit à Alger et fut chargé de l'organisation générale des cantonnements en Algérie (1859).
La guerre d'Italie le rappela sur le continent. Promu au grade de lieutenant-colonel et maintenu comme chef d'État-major à Toulouse, puis attaché militaire à l'ambassade de Russie, il demanda et obtint d'aller suivre une expédition au Caucase et rentra à Saint-Pétersbourg riche de souvenirs amassés et de souvenirs recueillis.
Le Tsar lui conféra la croix de Sainte Anne, et il devint très populaire parmi la haute société russe. Ses utiles travaux lui valurent le grade de colonel en 1862. Peu de temps après, il revint en France et se maria avec Frederika Kulmann de Lille.
Appelé à la demande du général de Montebello en qualité de chef d'État-major de la Division d'occupation à Rome, il s'y distingua par de précieuses qualités de tact et de prudence et fut nommé, en 1865, chef de cabinet du maréchal Randon, ministre de la Guerre.
En 1868, il fut promu au grade de général de brigade et maintenu néanmoins au service du Maréchal Niel. À la mort de ce dernier, il quitta le ministère et reçut le commandement de la subdivision du nord. Ce fut là que le trouva la déclaration de guerre de 1870.


Le 25 juillet 1870, Colson était nommé chef d'État-major de la 1ère armée du Rhin, et le 6 août suivant, sur le chemin de Froeschviller, il était frappé au cœur par une balle prussienne, la mort fut instantanée ; les hommes qui avaient reçu l'ordre d'enlever le corps du général furent eux-mêmes atteints et la dépouille de ce glorieux soldat resta jusqu'au lendemain sur le terrain labouré par les obus et la mitraille.
Une des maximes favorites de Colson, dit son biographe, le colonel d'État-major Baron Saint Cyr Hugues, une maxime qu'il avait répétée bien des fois pendant sa vie et à laquelle il devait rester fidèle jusqu'à son dernier soupir, était qu'il faut faire honneur à son pays, celui des Droits de l'Homme.
A son tour, le département de la Meuse a voulu honorer sa mémoire. Il a inscrit son nom des premiers sur le monument élevé à Bar-le-Duc aux victimes de la guerre et il a fait placer son portrait dans le musée de cette ville.
De son côté, la ville de Lille, pleine encore de bons souvenirs que Colson avait laissé chez ses habitants, a décidé que son nom serait donné à une des rues nouvelles.
Par ailleurs, son village natal fit placer sa statue sur une stèle, place de l'église.
L'inauguration eu lieu en 1912. Les allemands, en 1940, pendant l'occupation, s'emparèrent de la statue pour en couler le bronze et en faire des boulets de canon ; ils ne laissèrent que la stèle de granit où, par la suite, sa famille fit replacer un buste plus modeste du général.
On trouve sa sépulture au cimetière de Saint-Aubin-sur-Aire.

 

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Rambluzin-et-Benoite-Vaux

Publié à 11:55 par dessinsagogo55 Tags : center coeur centerblog background sur monde saint travail sommaire maison

Rambluzin-et-Benoite-Vaux est une commune française, située dans le département de la Meuse et la région Lorraine.


Rambluzin-et-Benoite-Vaux
Les hommes du Sacré Coeur dans la procession de Saint Sacrement en 1908


Le nom de cette commune laisse penser que son origine remonte aux invasions franques, il s'agit d'une altération du germanique "Rampel Haussen", signifiant "les maisons isolées". Longtemps et jusqu'au XVIIIe siècle, ce village fut une frontière entre le comté-évêché de Verdun et le comté puis duché de Bar.
Le pèlerinage à Notre-Dame-de-Benoite-Vaux attirait dès le XVIIe siècle des foules accourues entre autres de Nancy lors des grandes crises politiques de la Guerre de Trente Ans

Rambluzin-et-Benoite-Vaux
Maison SIMON (auberge)


Au XIXe siècle, ce village connu une expansion liée à l'exploitation forestière et au travail du bois (bois tournés). Une entreprise, tenue par la famille Périn, originaire de la Woevre, comptait entre 1880 et 1914 plus d'une centaine d'ouvriers.Cette même famille Périn était bien celle qui comptait parmi ses membres le maire de Verdun à la veille et au début de la Révolution Française. Les batailles dévastatrices de la Grande Guerre qui se déroulèrent autour de Verdun, furent la véritable cause du déclin de son industrie du bois et l'entreprise Périn cessa toute activité au début des années 1960 alors qu'elle n'était déjà plus que l'ombre de ce qu'elle avait été un demi-siècle plus tôt.
La période révolutionnaire à Rambluzin a servi de canevas historique à l'œuvre d'André Theuriet.



Commercy : Madeleine (cuisine)

Commercy : Madeleine (cuisine)

Une madeleine est un petit gâteau traditionnel lorrain aux œufs, en forme de coquillage, allongée ou ronde, originaire de Commercy.



Les marchandes de madeleines sur le quai de la gare vers 1910

La madeleine de Commercy porterait le prénom d'une jeune soubrette de Commercy, Madeleine Paulmier, servante de la marquise Perrotin de Baumont, qui en 1755, fabriqua ces gâteaux pour le duc viager Stanislas Leszczy?ski. Cette tradition lorraine s'est prolongée jusqu'à nos jours.
Selon d'autres sources incertaines, la madeleine remonterait à l'origine du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, où une jeune fille nommée « Madelaine », aurait offert aux pèlerins un gâteau aux œufs, moulé dans une coquille Saint-Jacques (qui est l'emblème du pèlerinage).

Depuis la fin du XIXe siècle, jusqu'à la veille de la Seconde Guerre mondiale, les voyageurs du chemin de fer qui passaient par Commercy se pressaient aux portières des wagons, afin de contempler le spectacle insolite des vendeuses de madeleines portant de grands paniers d'osier aux marques bien apparentes et qui circulaient au milieu de la foule en gare de Commercy, en criant aussi fort qu'elles pouvaient le nom de la fabrique qu'elles représentaient. Ce spectacle très attendu, coloré et bruyant était unique sur l'ensemble du réseau ferré français. Ce fut un dur métier pour ces femmes, tenues de vendre le maximum de boîtes dans un minimum de temps, mais cela contribua à la popularité de la madeleine.


En France, la madeleine est souvent présente durant le goûter des enfants ou la pause café en entreprise.
Symbole de convivialité (le fait de « tremper sa madeleine » va de pair avec le fait de converser autour d'une boisson chaude), elle a fait la réputation de la ville de Commercy, en Meuse, où elles sont fabriquées depuis le XVIIIe siècle.
Il existe en France plusieurs maisons spécialisées dans la production de madeleines :
la madeleine Bijou, commercialisée à Saint-Yrieix-la-Perche (Haute-Vienne), Limoges (Haute-Vienne) et Brive (Corrèze). La maison Bijou a été créée en 1845.
la madeleine Bébé, commercialisée à Saint-Yrieix-la-Perche, Limoges et Bellac (Haute-Vienne). La madeleine Bébé s'est implantée à Saint-Yrieix dans les années 1870.
la madeleine de Liverdun, commercialisée à Liverdun (Meurthe-et-Moselle), par la famille Chenel depuis le début du XXe siècle.


Culture populaire
Dans le film Le Transporteur (film d'action avec François Berléand), une scénographie présente la madeleine comme produit gastronomique vecteur de finesse d'esprit.

 

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Bar-le-Duc : Ville Haute

Publié à 20:30 par dessinsagogo55 Tags : center histoire centerblog background sur femme sommaire
Bar-le-Duc : Ville Haute



L'histoire de Bar ne commence d'une manière suivie qu'à partir de l'époque où Frédéric Ier, duc de Haute-Lorraine, fait construire un château sur un promontoire dominant la Vallée de l'Ornain peu avant l'an mil donnant ainsi un nouvel élan au développement de la cité

Autour de cette forteresse se forma ce qu'on appelle aujourd'hui la Ville haute, qui est, par conséquent, moins ancienne que la Ville basse. Frédéric d'Ardenne échangea les domaines de sa femme contre des terres qui entouraient le château, et prit le nom de duc de Bar.





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Montmédy

Publié à 20:18 par dessinsagogo55 Tags : société base center

Montmédy

Les tentes de la Fédération Républicaine

Fédération républicaine,

formation politique créée en 1903, dont l'activité a cessé définitivement après 1948.
Elle regroupe, à l'origine, les républicains « progressistes » qui ont refusé d'entrer dans le Bloc des gauches. Formée de vieux parlementaires libéraux (Jules Méline) et de représentants des milieux d'affaires, elle incarne avant 1914 une droite républicaine, modérée en matière religieuse, favorable au libéralisme économique, prompte à la surenchère patriotique. Réorganisé dans l'après-guerre, passé en 1925 sous la présidence de Louis Marin, le parti adopte une orientation nettement conservatrice du fait de l'arrivée de catholiques ralliés, soucieux de renforcer les cellules de base de la société, la famille et le métier. Marin tente par ailleurs de faire du nationalisme intransigeant le ciment de sa formation, en s'opposant à la politique d'apaisement défendue par Briand pendant les années vingt ; cela contribue à le marginaliser dans les majorités d'Union nationale (1926-1928) et à dominante modérée (1928-1932), avant de provoquer des divergences qui aboutissent à l'éclatement de son groupe parlementaire. Pendant la crise des années trente, la Fédération, menacée par la concurrence des Ligues et, surtout, après 1936, par l'apparition de partis incarnant une droite autoritaire et conservatrice, tel le Parti social français, durcit son discours politique et social. Mais la politique extérieure la divise à nouveau : hésitant entre sa germanophobie traditionnelle et son anticommunisme virulent, elle ne parvient pas à définir une ligne claire. Pendant la guerre, certains de ses dirigeants se rallient au régime de Vichy, d'autres inclinent vers la Résistance, ce qui achève de la disloquer.


Montmédy

Montmédy [m??medi] est une commune française située dans le département de la Meuse et la région Lorraine. Montmédy, ancienne capitale du comté de Chiny, fait partie de la Lorraine gaumaise.
Ses habitants sont les Montmédiens.


Montmédy
Vue depuis les remparts de la citadelle


Montmédy est situé sur la N43 à 43 km au sud-est de Sedan et à 25 km au nord-ouest de Longuyon ; Stenay est à 16 km à l'ouest via la D947 et la frontière belge est à 8 km à l'est via la D981. La Chiers traverse le bourg de Montmédy. Avec l'Othain et la Thonne, ses affluents, elle sert parfois de limite au territoire de la commune.

Montmédy
Plan de la citadelle (XVIIe siècle)

Ancienne capitale du comté de Chiny. Le comte de Chiny y élève en 1220 un château fort, le château de Mady, qui donnera son nom à la ville.
En 1285, en contrebas des remparts, dans la plaine de Chauvency-le-Château, Louis de Looz, comte de Chiny, offre des fêtes extraordinaires avec joutes et tournois où participent plus de 500 chevaliers des environs et même de lointaines régions (Grilly au bord du lac Léman, Bergues au bord de la mer du Nord, Trie-Château près de Paris, Sancerre, etc.). Jacques Bretel, dans un reportage, raconte ces journées : Le Tournoi de Chauvency.


Montmédy
Montmédy haut, l'église Saint-Martin (1790)

Après être passée aux ducs de Luxembourg et avoir été ainsi incorporée quelque temps à la monarchie espagnole, elle fut rattachée à la France par le Traité des Pyrénées.
La ville, défendue par Jean V d'Allamont, investie en juin 1657, est prise, en présence du jeune Louis XIV et de Mazarin, en août 1657 par Vauban, qui dirige là son premier siège. En 1791, lors de sa fuite, le roi Louis XVI est attendu à Montmédy. Reconnu, il sera arrêté à Varennes-en-Argonne.
Elle fut chef-lieu d'arrondissement de 1800 à 1926.
Pendant la Première Guerre mondiale Montmédy fut une plaque tournante pour l'approvisionnement du front de Verdun pour l'armée allemande qui se servait dans ce but de la ligne du Meusien reliant Montmédy à Verdun qui venait de s'ouvrir juste avant le début des hostilités.
Montmédy a été le lieu d'implantation de plusieurs ouvrages de la ligne Maginot (177 blockhaus et 36 tourelles, sept casemates, quinze maisons fortes, batteries de 155 L 77 au sud-est de Montmédy, sept PC et quatre observatoires).



Lors de la Seconde Guerre mondiale, pendant la drôle de guerre, le poste de commandement de la 2e division légère de cavalerie du général André Berniquet s'établit à Montmédy

Démographie
Évolution démographique
(Source : Ehess et INSEE)
Montmédy



Montmédy

Depuis quelques années, la population du canton de Montmédy ne cesse d'augmenter. Elle atteint aujourd'hui les 7400 habitants et a retrouvé le niveau qu'elle atteignait il y a plus de 40 ans.



Grâce à ses commerces et ses administrations, Montmédy reste un centre de services pour le nord meusien. L'essentiel des emplois relève de l'administration publique, mais les secteurs du commerce et du transport tiennent une place importante dans la vie économique locale.
L'enseignement est assuré localement de la maternelle au baccalauréat, voire au delà. Les Montmédiens dispose ainsi d'écoles maternelle et primaire, d'un collège (Jean d'Allamont) et, à Stenay, d'un lycée polyvalent et professionnel (Alfred Kastler). Celui-ci offre par ailleurs un brevet de technicien supérieur d'assistant de gestion.
Les médecins, y compris spécialistes, sont présents sur place, ainsi que 2 pharmacies, un opticien, un audioprothésiste et plusieurs autres professionnels de santé. La ville dispose d'un cinéma, d'un Centre Social et Culturel et de nombreuses associations sportives ou culturelles.
L'offre commerciale, alimentaire et non alimentaire, est présente en centre-ville, mais aussi par le biais de plusieurs supermarchés (Super U) ou hard-discounteurs (Lidl, Aldi) implantés en périphérie. Plusieurs banques et assureurs sont présents, ainsi que quelques hôtels et restaurants.
Le centre de détention est un acteur majeur de la vie économique locale depuis 1990. 310 détenus, souvent condamnés à de longues peines, y sont encadrés par 120 membres du personnel.

Transports
Chemin de fer
Montmédy est situé sur la ligne Lille - Thionville.
La ville est ainsi reliée directement à Carignan, Sedan et Charleville-Mézières à l'ouest et Longwy et Metz à l'est.
De 1914 à 1936 Montmédy était relié par une ligne de chemin fer secondaire à Verdun qui faisait partie du réseaux des Chemins de fer départementaux de la Meuse.

Lignes d'autobus
Services assurés par Les Rapides de la Meuse (entreprise du Groupe Veolia Environnement, branche Transport) pour le Réseau Intermodal des Transports de la Meuse (RITM) du Conseil Général de la Meuse :
Transport à la demande : Montmédy - Damvillers (trois fois par jour)
Service régulier :
Montmédy - Stenay - Dun-sur-Meuse - Vacherauville - Verdun
Damvillers - Verdun
Montmédy - Virton (Belgique)

Lieux et monuments

Citadelle (XVIe, XVIIe et XIXe siècles) ;
Fortification de Vauban ;
Musée Jules Bastien-Lepage consacré au peintre Jules Bastien-Lepage
Musée de la Fortification
Château de Fresnois à Fresnois


Montmédy
Citadelle de Montmédy



Montmédy
La citadelle de nuit



Édifices religieux

Église Saint-Martin à Montmédy-Haut.
Église de la Nativité à Iré-les-Prés.
Église Saint-Bernard à Montmédy-Bas .
Église Saint-Martin à Fresnois.
Chapelle de la Croix.
Chapelle de Malandry à Montmédy-Haut
Chapelle Saint-Nicolas à Fresnois.


Arbres remarqués

Quelques-uns des arbres les plus intéressants de Montmédy, tous visibles de la route (mesures prises à épaule d'homme soit à 1,50 mètre, en janvier 2010) :
le chêne de l'Attaque, spectaculaire tronc creux toujours vivant, ayant survécu à plusieurs incendies malveillants et autres actes de vandalisme, d'une circonférence de 5,90 mètres, au bord du ruisseau du Chabot, un peu en amont d'Iré-les-Prés.
trois séquoias remarquables par leur circonférence :
4,90 mètres, arbre situé sous les remparts sud de la citadelle, dans un joli jardin près d'une folie tout en bois de la Belle Époque ;
5,20 mètres, dans un parc privé, Place Tronville ;
9,00 mètres(?), à Iré-les-Prés, dans un jardin privé : cet arbre avait été fracassé au tiers de sa hauteur lors de la tempête de Noël 1999.
un calocèdre, d'une circonférence de 3,65 mètres, situé dans un jardin privé, à Iré-les-Prés, à quelques pas du séquoia foudroyé. C'est le seul arbre de cette taille et de cette beauté dans le Nord-Meusien. Un spécimen comparable est visible dans les ruines de l'Abbaye d'Orval.
un tulipier de Virginie d'une circonférence de (?) mètres, à l'entrée de l'avenue du Lieutenant Bourguignon.
un platane, d'une circonférence de (?) mètres, dans le parc du château de Fresnois.
un très rare frêne pleureur, en compagnie de plusieurs anciens catalpas et de pins dans le Jardin Poulain, route de Villécloye.



Personnalités liées à la commune

Nicolas-Charles Bochsa, un des plus célèbres harpistes du XIXe siècle, né à Montmédy en août 1789 et mort à Sydney en 1856.
Georges Villa, graveur, lithographe, illustrateur, né à Montmédy le 24 janvier 1883, mort en 1965.
Stéphane Errard (°1907 - +1983), spéléologue français, né à Montmédy le 31 octobre 1907, mort à Saint-Benoît-la-Chipotte dans les (Vosges) le 26 décembre 1983.
Marie-Paulette Lagosse, artiste peintre et illustratrice, née à Montmédy le 14 juillet 1921. Elle meurt à Paris en 1996.
Jean Lanher, professeur émérite de l'Université de Nancy II, spécialiste de dialectologie lorraine, né à Montmédy en 1924.
Henri Auger, missionnaire au Japon.

Bande dessinée

La citadelle de Montmédy constitue le cadre de « Les enfants de la citadelle », un album de la série « Tendre Violette » dessinée par Jean-Claude Servais



Meuse : Dragée... Confitures... Madeleines... Mirabelle.

Publié à 17:15 par dessinsagogo55 Tags : photo meuse center saint centerblog sur merci vie france

 


Stenay est la capitale de la dragée.

Meuse : Gastronomie... Dragée... Confitures... Madeleines... Mirabelle.

Bar-le-Duc est spécialisée dans les confitures, notamment la confiture de groseilles épépinées à la plume d'oie.

Stenay possède un important musée de la bière.

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Commercy est connue pour ses madeleines.

Meuse : Gastronomie... Dragée... Confitures... Madeleines... Mirabelle.

À Saint-Mihiel, on trouve les Rochers et les Croquets.


Les côtes de Meuse, où sont cultivées les mirabelles de Lorraine, produisent de l'eau-de-vie de mirabelle et le vin gris côtes-de-meuse.

Meuse : Gastronomie... Dragée... Confitures... Madeleines... Mirabelle.

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A Void-Vacon, la spécialité est la gastronomie de terroir notamment la perléquoi.