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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Ne perds jamais espoir, mais tiens-bon jusqu'à ce que tu sois complètement vidé et purgé de tout.
Vitry : Oumar, 15 ans, battu à mort pour un retard de 10 minutes en cours de français
Le texto à l’origine de la « correction » mortelle donnée en janvier 2017 par le beau-père de cet adolescent était en fait erroné.
Vitry-sur-Seine, le 27 janvier 2017.
Assane A., 41 ans, est jugé jusqu’à mercredi devant la cour d’assises du Val-de-Marne après avoir mortellement « corrigé » son beau-fils Oumar. Sur ce cliché, sa mère qui était présente dans l’appartement, le soir des faits. Vitry-sur-Seine, le 27 janvier 2017.
Le 7 octobre 2019 à 19h31, modifié le 8 octobre 2019 à 06h24 Il a eu beau dire à son beau-père qu'il se trompait, rien n'a arrêté la pluie de coups ce vendredi-là.
Oumar est mort le 27 janvier 2017 parce qu'il était arrivé dix minutes en retard à son cours de français. Et non pas parce qu'il avait été absent, comme l'avait indiqué un message automatique transmis par son lycée. C'est ce qui a été relaté lundi au premier jour du procès d'Assane A., qui encourt 15 ans de prison pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ».
« La seule chose qui posait problème, c'est Oumar qui n'allait pas à l'école », a expliqué dans le box cet homme de 41 ans devenu fin 2014 le beau-père d'Oumar et de ses deux petites sœurs après s'être installé au domicile familial à Vitry. Il pleure à plusieurs reprises en évoquant cette fratrie avec laquelle il s'est « comporté » comme avec ses « propres enfants ».
« Ce jour-là, ça faisait des mois que je lui donnais des conseils. Oumar n'arrivait pas à m'écouter », relate l'accusé d'un ton particulièrement calme. Et de préciser que ce qui l'a « poussé à taper Oumar », c'était « qu'il se comporte bien en société ». Lui-même raconte avoir été frappé par son père lorsqu'il était enfant au Sénégal avec des « branches d'arbre », des « chaînes de scooter ». Des « lanières », comme celles qu'il explique avoir « utilisées » le 27 janvier.
Plus de 80 coups portés
Des sévices évoqués auprès de sa compagne mais qu'elle ne l'avait, assure-t-elle, jamais vu reproduire sur ses enfants. « Le jour où j'ai reçu le message du lycée j'étais abasourdie, relate la mère d'Oumar à la barre d'une voix haletante. On était assis côte à côte avec Assane. Il m'a dit Ne t'inquiète pas, je vais parler avec lui. S'il faut lui faire peur je le ferai ». Quelques heures plus tard alors qu'Assane A. se trouve dans la chambre d'Oumar pour « discuter », elle entend des « bruits de cravache et de fouet ». « Pour moi il lui faisait peur, explique-t-elle au tribunal. Je pensais que ça claquait par terre, pas sur mon fils. Pour moi il ne frappait pas Oumar, puisqu'il ne l'avait jamais fait ».
Le jeune homme succombe à ses blessures quelques heures plus tard. Lanières et ceinture en cuir, câbles électriques, « plus d'une trentaine » de coups lui sont donnés, d'après un policier venu témoigner à la barre. En fait plus de 80, d'après le médecin légiste qui l'a examiné. Le verdict est attendu mercredi.
PROPRIETAIRES DE CHIENS ?
Une grosse #épidémie de Parvovirose est en cours... diarrhée hémorragique pouvant être mortelle (50% de chance de survie seulement).
Le virus peut résister des mois voir des années dans l’environnement... Symptômes : abattement, diarrhées hémorragiques, perte appétit, vomissements, fièvre...
Si votre chien présente un de ces symptômes, prenez rapidement rendez-vous chez votre vétérinaire ! (merci à ceux qui feront tourner l'information)
C’est la tendresse qui vous rend vulnérable, qui vous rend ouvert, qui vous rend sensible au mystère qui vous entoure. Les gens qui ne sont pas tendres, qui sont durs comme le roc, passent à côté de la vie. La vie passe ; elle ne peut les pénétrer, ils sont impénétrables. La vie est une telle joie pour ceux qui sont tendres, doux, aimants, compatissants, sensibles. Soyez un cœur ! Même si vous devez perdre la tête, perdez là, cela en vaut la peine. C’est beau d’être sans tête mais c’est laid d’être sans cœur
Une amende de 500 euros pour les SDF ?
Les associations furieuses, le gouvernement démine
En 2018, 566 sans-abri sont morts dans la rue en France, contre 511 en 2017.En 2018, 566 sans-abri sont morts dans la rue en France , contre 511 en 2017.
Un projet de loi prévoit la possibilité pour les maires d'infliger des "amendes administratives" pour occupation du domaine public "au moyen d'un bien mobilier". Les associations de lutte contre la pauvreté sont furieuses. Elles se sont insurgées lundi contre une "possible" amende de 500 euros pour les SDF, prévue selon elles dans le projet de loi "Engagement et proximité", renforçant les pouvoirs des maires et présentée mardi au Sénat.
En cause, l'article 15 du projet de loi "relatif à l'engagement dans la vie locale et la proximité de la vie publique". Le texte prévoit la possibilité pour les maires d'infliger des "amendes administratives" d'un montant maximal de 500 euros, pour occupation illégale du domaine public "au moyen d'un bien mobilier". Or "les personnes les plus touchées par la crise du logement, et parmi elles les sans-abri, s'installant dans le domaine public avec un 'mobilier' minime" (tentes, abri de fortune, matelas), pourraient entrer dans le champ de la sanction, estiment le Collectif des Associations Unies (36 associations) et l'association Droit au logement (Dal).
Le gouvernement veut "lever toute ambiguïté" "On a vu par le passé, avec la multiplication des arrêtés anti-mendicité et des dispositifs anti-SDF, un usage extensif par certains maires de textes qui ne visaient pas initialement les sans-abri", met en garde Christophe Robert, délégué général de la Fondation Abbé Pierre, qui fait partie du collectif. LIRE AUSSI >> Incivilités, injures, menaces, agressions physiques... les maires témoignent "L'article ne vise pas les sans-abri", a assuré lundi le cabinet du ministre chargé des Collectivités territoriales Sébastien Lecornu. "Pour lever toute ambiguïté, nous soutiendrons un amendement pour que seule l'occupation de la voie publique à des fins commerciales soit sanctionnée", a-t-il précisé.
Le mal-logement en France
Un numéro d'appel mis en place contre les logements insalubres Plan "Logement d'abord" : le gouvernement annonce plus de moyens pour aider les sans-abri Plus aucune place d'hébergement d'urgence n'est disponible à Paris, alerte le Samu social Les associations demandent en effet "une stricte limitation de cette disposition", sinon "la suppression pure et simple par amendement de cette mesure liberticide".
Des chasseurs poursuivent un sanglier…jusque dans une habitation
"Le sanglier hurlait", raconte le témoin SUIRE THIERRY
Un habitant de Montfaucon dans le Doubs s’est retrouvé dans une situation confuse en rentrant chez lui samedi matin. Très mauvaise surprise samedi matin pour un habitant du Doubs. En rentrant chez lui, il s’est retrouvé nez à nez avec un sanglier dans le hall d’entrée de sa copropriété à Montfaucon, près de Besançon, raconte l’Est Républicain. Mais ça ne s’arrête pas là. L’animal était poursuivi par trois chasseurs et une meute de chiens. "Le sanglier hurlait, raconte Cédric Toussaint au quotidien régional, (…) les chasseurs voulaient le tuer, ils étaient avec leurs fusils".
Un taser pour faire fuir le sanglier La poursuite a fait quelques dégâts dans le hall et les couloirs : pots de fleurs cassés, arbustes abîmés, traces de sang sur le carrelage…).
Cédric Toussaint leur a alors interdit d’abattre l’animal, avant d’appeler les gendarmes. Les trois chasseurs ont rapidement quitté les lieux avant l’arrivée des forces de l’ordre, qui ont utilisé le bruit d’un taser pour faire fuir le sanglier de la propriété.
Pour rappel, il est interdit de chasser à moins de 150 mètres d’une habitation.