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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
L'orang-outan est le primate qui allaite le plus longtemps
Selon une étude récente, ces singes anthropoïdes de l'Asie du sud-est sont les primates qui allaitent le plus longtemps. De Austa Somvichian-Clausen Les orangs-outans (ci-dessus, une mère et son petit) peuvent vivre jusqu'à 50 ans à l'état sauvage.
Plus grands grimpeurs d'arbres du monde, les orangs-outans ont désormais un nouveau superlatif associé à leur nom : selon une nouvelle étude, ce sont les primates qui allaitent le plus longtemps leurs petits. Une nouvelle recherche étonnante a révélé que ces grands singes colorés peuvent allaiter jusqu'à huit ans, voire plus dans certains cas. Difficiles à étudier (ils passent la plupart de leur temps perchés en haut des arbres, à l'abri des regards), nous en savons peu sur la période à laquelle ces grands singes au poil hirsute sont sevrés. Or, savoir quand les petits volent de leurs propres ailes est essentiel pour les protecteurs de l'environnement qui œuvrent à leur sauvegarde. Dans le cadre de cette nouvelle étude, Tanya Smith et ses collègues ont développé une méthode innovante afin de connaître la durée de la période d'allaitement des orangs-outans : l'analyse des taux de baryum, un oligoélément, présent dans les dents des jeunes orangs-outans. Le baryum, issu du lait de la mère, est absorbé dans le squelette des petits et peut ainsi révéler la durée de la période d'allaitement d'un orang-outan. « Il s'agit d'une nouvelle méthode formidable pour déterminer l'âge de sevrage à partir des dents des primates », s'enthousiasme l'anthropologue en biologie Cheryl Knott, directrice du Gunung Palang Orangutan Project du parc national de Gunung Palung en Indonésie.
QUAND LES DENTS EN DISENT LONG
Les deux espèces d'orangs-outangs (dont le nom vient du terme malais et désigne une « personne de la forêt ») se balancent d'arbre en arbre sur les îles de Sumatra et de Bornéo : l'orang-outang de Sumatra, Pongo abelii, et l'orang-outang de Bornéo, Pongo pygmaeus. Smith, un anthropologue-biologiste à l'Université Griffith, et son équipe ont analysé les dents de quatre jeunes orangs-outangs, deux de Bornéo et deux de Sumatra. Les animaux avaient été abattus au cours d'expéditions de collecte il y a de nombreuses années et leurs os ont été conservés dans des musées. Selon l'étude publiée cette semaine dans la revue Science Advances, l'examen de la croissance et des taux de baryum présent dans les molaires des spécimens a indiqué une diminution du baryum après l'âge d'un an, mais la présence persistante de l'oligoélément près d'une décennie plus tard. À titre d'exemple, un orang-outang de Bornéo a été sevré à l'âge de 8,1 ans, tandis qu'un orang-outang de Sumatra tétait encore au moment de sa mort, à l'âge incroyable de 8,8 ans.Les orangs-outangs ont leur premier enfant aux alentours de l'âge de 15 ans et vivraient jusqu'à 50 ans à l'état sauvage.
DES TEMPS DIFFICILES
Les dents ont également indiqué des périodes cycliques, aux concentrations de baryum faibles ou élevées correspondant à l'abondance de fruits : lorsque l'on constate une consommation excessive de fruits, les taux de baryum sont plus bas. D'après Smith, cela laisse à penser qu'en période de pénurie, les jeunes orangs-outangs se reposent à nouveau sur le lait de leur mère pour pouvoir s'en sortir. « Il est difficile d'estimer la quantité de lait qu'ingèrent les petits à l'état sauvage. Cette nouvelle étude révèle qu'ils en reçoivent encore des quantités conséquentes à cette période », ajoute Knott.
Si les orangs-outans ont une croissance lente, leur environnement instable y est probablement pour quelque chose ; les excédents de nourriture susceptibles d'accélérer leur croissance sont rares. Selon elle, s'ils pouvaient compter sur de plus grandes réserves de nourriture, il est probable que les orangs-outangs n'allaiteraient pas si longtemps. Smith ajoute que les primates en captivité tendent à s'émanciper plus rapidement que leurs homologues à l'état sauvage, vraisemblablement grâce à leur alimentation stable et nutritive.
UN DECLIN CONTINU Dû
à leur très lente reproduction, les orangs-outangs sont particulièrement vulnérables. La déforestation au profit des plantations de palmiers à huile a réduit leur nombre et ils sont désormais au bord de la disparition. L'île de Bornéo a perdu plus de 50 % de sa population d'orangs-outangs au cours des 60 dernières années, tandis que l'habitat de l'espèce a diminué d'au moins 55 % ces 20 dernières années. Selon WWF, l'île de Sumatra en dénombre un peu moins de 15 000, alors qu'ils étaient 230 000 primates il y a un siècle, soit une chute considérable. Knott ajoute que l'étude de Smith et de ses collègues rappelle que davantage de recherches doivent être menées sur les mamans orangs-outangs et leurs bébés. « Afin d'améliorer leur sauvegarde, il nous faut comprendre le lien qui existe entre leur environnement et leur faible taux de croissance et de reproduction », affirme-t-elle.
On aimerait tous avoir cette petite baguette magique qui change le destin , mais rien ne serait parei
Une araignée loup en Alaska.
Les araignées-loups changent de menu quand les températures montent. C’est la nouvelle surprenante publiée par une équipe menée par Amanda Koltz, chercheuse en écologie de l’université Washington à Saint-Louis, Missouri. La question n’est pas ici de délaisser le pot-au-feu pour se tourner vers les barbecues au cours de l’été. Les araignées étudiées dans la toundra d’Alaska semblent opter durablement pour des proies différentes quand elles sont exposées à un environnement plus chaud. Les araignées-loups (Lycosidae) forment l’une des grandes familles d’araignées. Elles sont répandues sur la quasi-totalité du globe.
Et, pour la plupart, elles n’attendent pas que leurs proies s’offrent à elles, bien cachées à l’abri d’une toile, mais sont plutôt adeptes de la chasse à l’affût. C’est notamment le cas de l’espèce endémique des régions arctiques, Pardosa glacialis, qui fait l’objet de cette étude. UNE ARAIGNÉE GÉANTE DÉVORE UN CRIQUET Particulièrement abondantes, ces arachnides font donc partie des plus importants prédateurs de la toundra, ce qui leur confère un poids majeur dans la chaîne alimentaire de l’Arctique. C’est pour cette raison que les auteurs de cette recherche, parue en août 2018 dans Proceedings of the National Academy of Sciences, ont étudié ces chasseuses de quelques centimètres afin de comprendre les conséquences du changement climatique sur les interactions entre espèces.
Bénéficiant désormais d’une fonte des neiges plus tôt dans la saison, les araignées-loups de l’Arctique ont déjà vu leur taille augmenter et leur progéniture devenir plus nombreuse. À l’aide d’enclos de 1,5 m de diamètre, les écologues ont créé des zones d’études comportant un nombre d’araignées variable et, pour la moitié de ces espaces, un système de simulation du réchauffement climatique. Ils avaient prévu de mesurer l’augmentation de la prédation des araignées sur leurs proies et particulièrement sur les collemboles, de petits arthropodes de quelques millimètres, dont elles raffolent. Mais les résultats ont été inattendus.
Dans la plupart des espaces plus chauds, la population de collemboles, au lieu de diminuer, avait augmenté significativement.
La cause ?
Les chercheurs ont constaté que les araignées-loups s’étaient détournées de leurs proies favorites pour chasser d’autres types d’arachnides, ainsi que des mille-pattes. Une révolution à l’échelle de ce monde minuscule, dont les collemboles sont les grands gagnants : ceux-ci bénéficient doublement du changement d’alimentation de Pardosa glacialis : d’une part, par son désintérêt ; de l’autre part, du fait de la diminution des prédateurs intermédiaires devenus menus privilégiés de l’arachnide. Résultat, la population de collemboles s’envole et ceux-ci peuvent se consacrer pleinement à leurs propres repas en dévorant les champignons de la toundra.
Les raisons qui poussent les araignées à modifier leur alimentation restent mystérieuses. En revanche, les conséquences sur l’environnement sont détaillées par les biologistes : la diminution du nombre de champignons entraîne à son tour un ralentissement de la décomposition des déchets organiques et une réduction des émissions de gaz carbonés. Le changement de menu des araignées-loups, provoqué par l’élévation de la température, pourrait donc paradoxalement ralentir légèrement le réchauffement de la toundra. Pas suffisamment cependant pour éviter un bouleversement de l’Arctique, où le climat change plus vite qu’ailleurs, et peut-être d’autres effets surprenants sur les animaux de la région.
Hérault : une enseignante frappée et menacée de mort par des parents d’élève
Une enseignante de l’école élémentaire Jules Verne d’Agde (Hérault) a été menacée de mort, insultée et frappée par les parents d’un élève au sein de l’établissement, a indiqué vendredi le rectorat de Montpellier.
"La victime est accompagnée par un psychologue" et a déposé plainte, selon la même source. Une cellule d’écoute et une équipe mobile académique de sécurité est mise en place, a précisé le rectorat. La rectrice, Béatrice Gille, qui doit se rendre dans l’école vendredi-après-midi pour rencontrer l’équipe éducative, "condamne fermement cet acte" et exprime "son soutien inconditionnel à l’enseignante, au directeur d’école et à tous les personnels".
15 jours d'arrêt maladie Selon le Syndicat national des écoles (SNE), à la suite de ces violences survenues lundi dans le bureau du directeur de l’école après une bagarre entre élèves, l’enseignante s’est vu notifier trois jours ITT et 15 jours d’arrêt maladie.
La famille d’un des élèves impliqué dans la bagarre à laquelle l’enseignante avait mis un terme était venue se plaindre au directeur et avait exigé de voir l’enseignante mais l’entretien aurait très vite tourné à l’agression, que l’institutrice aurait filmée. Mathieu Verdier, représentant du SNE, s’est ému vendredi matin d’un manque de soutien de la hiérarchie à l’égard de l’enseignante, après ces violences survenues au début de la semaine.
"L’institution a trop longtemps laissé faire. Trop longtemps les parents ont évolué dans une parfaite impunité. Cela ne doit plus arriver. Ce qui est arrivé hier peut arriver partout, à n’importe quel enseignant. J’ai fait parvenir la vidéo au ministère. C’est très violent. Cela ne doit plus se produire. L’Education nationale doit nous protéger", estime le syndicaliste.
Ce message déchirant sur l’euthanasie qu’une vétérinaire doit effectuer est devenu viral
Chaque fois que nous devons abandonner nos chers animaux de compagnie, la douleur est insupportable. En fait, les émotions nous accablent tellement que nous oublions le reste du monde. Et ce n’est que naturel.
Mais souvent, il y a quelqu’un qui partage cette douleur. Dans les cas de l’euthanasie, par exemple, c’est le porteur de la mort. Récemment, Brenda Gough, de Burford, en Ontario, a rédigé un message rempli d’émotions sur Facebook, expliquant comment les vétérinaires se sentent lorsqu’ils piquent l’aiguille dans nos petits amis poilus et les accompagnent de l’autre côté.
L’honnêteté de Brenda est vive dans chaque mot de son texte, qui a déjà reçu plus de 112 000 réactions et 123 000 partages. Et bien que cela ne puisse pas ramener nos animaux de compagnie, le fait de savoir que quelqu’un traverse l’expérience éprouvante avec vous risque de la rendre un peu moins difficile. Brenda est une vétérinaire pour petits animaux, s’occupant principalement de chiens et de chats, et possède un centre équestre.
« Je suis vétérinaire depuis 24 ans et j’ai grandi dans une clinique vétérinaire, mon père étant également vétérinaire », a-t-elle déclaré à Bored Panda. Habituellement, elle pratique une ou deux euthanasies chaque semaine. « Les pensées que j’ai partagées dans mon message Facebook me trottaient dans la tête, mais cette nuit-là, elles sont sorties. Alors, je me suis assise et les ai écrites en moins de cinq minutes. Les mots sont crus et réels. »
« Honnêtement, je ne voulais pas que tant de gens pleurent », a ajouté Brenda. « Ce n’était pas mon intention de devenir virale. Cela a clairement touché une corde sensible chez les gens du monde entier. J’ai reçu des messages aimables de la Nouvelle-Zélande, du Texas, de la Colombie-Britannique, pour ne citer que quelques endroits très éloignés qu’il a atteints. » Elle a également souligné que le taux de suicide est extrêmement élevé chez les vétérinaires et les soignants vétérinaires.
« J’espère sincèrement que les vétérinaires du monde entier liront les commentaires incroyablement positifs (plus de 25 000 !) et sauront qu’ils sont aimés, nécessaires et très respectés. Si ces commentaires peuvent sauver une seule vie, alors ils en auront valu la peine. »
Un chauffeur de car a été mis à pied après qu'il a refusé d'ouvrir les portes de son car, bloqué sur un passage à niveau à l'approche d'un train. Personne n'a heureusement été blessé.
Un TER est parvenu à freiner in extremis alors qu'un car, avec à son bord une dizaine de lycéens, était bloqué à un passage à niveau. On a frôlé la catastrophe. Un TER est parvenu à freiner in extremis alors qu'un car, avec à son bord une dizaine de lycéens, était bloqué à un passage à niveau de Sainte-Eulalie, près de Bordeaux (Gironde), relate ce vendredi RTL.
Les faits remontent à mardi. En retard de vingt minutes sur son trajet, le chauffeur s'engage un peu imprudemment sur la voie : devant, les voitures n'avancent pas et voilà le véhicule bloqué sur le passage à niveau pendant qu'un train arrive au loin.
Le chauffeur mis à pied "J'avais mes écouteurs, j'ai vu plein de gens courir à l'avant du bus et quand j'ai tourné ma tête, j'ai vu le train arriver, raconte une lycéenne. On s'est tous levé." Mais le chauffeur, confiant, refuse d'ouvrir les portes.
Le TER s'arrête heureusement à quelques centimètres du car. Contactée, la compagnie a confirmé que le chauffeur n'avait pas respecté les procédures d'urgence habituelles. Elle a annoncé la mise à pied conservatoire du chauffeur et le lancement d'une enquête interne.
D'abord, quand ils ont frappé, j'ai pleuré. Les coups, je les ai encaissés, sans broncher. Et puis je me suis relevée. Seulement ils ont recommencé, encore, et encore... Et ils se sont acharnés sur mon pauvre corps mutilé comme une meute de chiens affamés. Toujours, je me suis relevé.. Il ne sert à rien d'insister, Vous ne me ferez pas plier. Je ne ressens plus la douleur, Je n'ai plus de larmes à verser... Je cache tout au fond de mon ♥ Cette rage qui me fait avancer... Je sais... Vous voulez me voir à genoux? Oui mais... Je resterai toujours debout.