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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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LA DROGUE !? NON ! ET ENCORE MOINS EN VOITURE !
La prise de drogue est illégale en France, elle est donc aussi interdite au volant ! Quelle que soit la quantité, nous vous rappelons que les stupéfiants sont interdits pour le conducteur mais aussi pour l’accompagnant d’un élève conducteur (ex : conduite accompagnée).
Diminution des facultés visuelles et auditives, état d’excitation intense, perte de la conscience du danger sont autant de facteurs qui peuvent mettre votre vie et celle des autres en danger. Alors si vous avez bravé l'interdiction et/ou abusé d’alcool, laissez votre véhicule sur place et cherchez un autre moyen de rentrer. Si vous vous sentez intouchables et que vous prenez la route, sachez que vous vous exposez à un retrait de 6 points sur votre permis de conduire, à un amende et à une peine d'emprisonnement.
La solution idéale est l'abstinence totale et permanente
. Vous avez des difficultés ? Vous souhaitez vous renseigner ou échanger sur le sujet ? N'hésitez pas à appeler le 0 800 23 13 13, de 8h à 2h, 7 jours sur 7, où à consulter le site : http://www.drogues-info-service.fr/
Nous comptons sur votre vigilance !
"Pour un chat, vivre dans une famille nombreuse relève presque de la maltraitance"
Alors que l’élevage est régulièrement critiqué par les associations de défense des animaux, l’anthropologue Jean-Pierre Digard retrace l’histoire de la domestication, une relation ancienne et complexe entre hommes et animaux
Mardi 11 juin 2019 : des images choc, tournées dans un élevage de 185 000 poules en Bretagne, sont diffusées par la Fondation 30 millions d’amis et l’association L214.
Objectif : dénoncer des maltraitances. Une nouvelle action qui témoigne de l’importance grandissante donnée à la question du bien-être animal. National Geographic n’est pas en reste. En juin dernier, le magazine consacrait une grande enquête aux dessous du tourisme animalier. Cependant, ces actualités cachent une réalité plus complexe, objet du dernier livre de l’anthropologue Jean-Pierre Digard (L’Animalisme est un anti-humanisme, CNRS éditions, 2018).
Entretien avec ce spécialiste de la domestication, qui bouscule les idées reçues sur nos relations avec les animaux . La domestication a modifié le comportement des animaux , mais, selon vous, elle a aussi eu des répercussions sur celui des hommes.
Jean-Pierre Digard : J’ai commencé à m’intéresser à la domestication dans les années 1980. Ce domaine était jusqu’alors principalement étudié par les archéologues et les zoologues. Or, d’un point de vue anthropologique, il nous apprend beaucoup sur le comportement humain. L’origine de la domestication est un moment crucial dans l’hominisation. Elle a lieu à peu près au même moment que les débuts de la culture des plantes, et marque le passage de la prédation à la production. Plusieurs vagues de domestication ont lieu, à chaque fois en lien avec les nouveaux besoins de l’homme. D’abord, le chien, vers 10 000 av. J.-C., probablement à la suite de collaborations entre humains et loups pour la chasse.
Puis, les porcs et les herbivores (vaches, chèvres, moutons), lors du développement de l’agriculture. Enfin, vers 3500 av. J.-C., les équidés et camélidés sont domestiqués pour aider au portage et à la traction. L’homme change son mode de vie, commence à étudier la nature et à agir sur elle. C’est une démarche qui se poursuit avec l’accumulation des connaissances, le perfectionnement de la production et la sélection des espèces. Ce processus continu sur des milliers d’années mène aux espèces actuelles d’animaux de compagnie et d’élevage. Mais il reste réversible puisqu’un animal peut retourner à la nature, comme les chats harets à La Réunion, qui ne sont plus domestiques mais pas non plus sauvages.
Quelles sont les différentes relations que les hommes entretiennent avec les animaux?
Jean-Pierre Digard : J’en distingue deux grands types. D’un côté, il y a les animaux utilitaires ; de l’autre, les animaux de compagnie. Les premiers peuvent être des animaux d’élevage – pour être exact, j’emploierais plutôt le terme « animaux de rente », car les animaux de compagnie aussi sont élevés – ou des animaux de travail, comme les chiens policiers, chevaux de trait, chiens d’aveugle… Dans ce cadre, le cas du cheval est intéressant.
D’abord parce que sa domestication a eu lieu à une période de réchauffement climatique où la forêt progressait et où les zones de plaines, dont le cheval a besoin, se réduisaient. Son écosystème était donc en train de disparaître et on ne sait pas si l’espèce aurait perduré sans domestication. Comme souvent dans ces processus, les intérêts humains ont rejoint ceux des animaux . Par ailleurs, phénomène récent : le cheval est passé d’une relation de travail à une relation de loisir, ce qui entraîne une série de changements.
Le nombre d’animaux abattus pour la boucherie s’est réduit. Par ailleurs, le nombre de licenciés de la Fédération française d’équitation est en baisse. La tendance est à une sous-utilisation de l’animal et à une réduction aux seules relations affectives. Finalement, si le phénomène se poursuit, il pourrait mener à la fin de l’élevage du cheval et à sa disparition en Europe occidentale.
L’élevage est vu par certains comme une relation violente, mais la vie d’animal de compagnie est-elle plus enviable ?
Jean-Pierre Digard : On pense que le statut rêvé pour un animal est celui d’animal de compagnie. Mais la plupart des gens qui possèdent des animaux n’ont pas la moindre idée de leurs besoins. Or, pour que les animaux soient bien traités, il ne faut pas seulement que leurs besoins nutritionnels soient satisfaits, il faut également prendre en compte leurs besoins comportementaux. Par exemple, pour un chien, qui est un animal de meute, vivre seul avec une vieille dame est très insatisfaisant. Pour un chat, animal plutôt solitaire, atterrir dans une famille nombreuse relève presque de la maltraitance. En outre, l’alimentation la plus adaptée pour lui, c’est une souris par jour, vivante bien sûr, pour le faire bouger. J’encourage donc les propriétaires de chats à se lancer dans un petit élevage de souris…
Plus sérieusement, je propose depuis plusieurs années que l’acquisition d’un animal de compagnie soit soumise à un certificat de capacité, comme pour les éleveurs, afin que tous les propriétaires connaissent leur animal et sachent comment le traiter. Les attitudes inadaptées sont en effet problématiques. Certains animaux de compagnie deviennent fous. Des vétérinaires se sont d’ailleurs spécialisés dans le comportement.
Que recouvre pour vous la notion de « bien-être animal » ?
Jean-Pierre Digard : Cette notion est floue et régulièrement instrumentalisée par l’idéologie animaliste qui place le sort et les intérêts des animaux au-dessus de toute autre considération. Je lie la naissance de ce courant à l’éloignement des urbains de leurs racines paysannes. Ne connaissant plus les réalités de l’élevage, les habitants des villes n’ont de relation qu’avec leurs animaux de compagnie. Ce modèle éclipse donc à leur yeux tous les autres types de relation.
À la place, je préfère parler de “bien-traitance”. Bien traiter un animal, c’est le traiter selon les besoin de son espèce. Cette bien-traitance peut parfois être mise à mal. Mais, dans l’ensemble, les animaux sont bien traités, ne serait-ce que parce qu’on obtient plus de leur part en les traitant correctement. Quand certains critiquent l’enfermement et rêvent de libération animale, ils projettent sur les animaux des envies de liberté. Mais un animal qui a un endroit où bien manger ne rêve généralement pas de courir les champs à la recherche de sa nourriture.
Ce qui est sûr, c’est que nous avons des devoirs envers les espèces animales. Nous nous devons d’agir pour leur conservation : c’est également une responsabilité que nous avons envers nos descendants, afin qu’ils puissent connaître cette biodiversité, domestique aussi bien que sauvage.
Plus elle vit en profondeur, plus cette pieuvre a une peau rugueuse
Les pieuvres lisses et rugueuses des profondeurs du Pacifique sèment depuis longtemps la confusion chez les scientifiques : sont-elles de la même espèce ?
Cette question pourrait bien avoir trouvé une réponse
la version Atlantique de la pieuvre verruqueuse du Pacifique, a ici été photographiée au large de la côte nord-est des États-Unis en 2013. Toutes les espèces Graneledone ont des verrues, mais certaines sont plus lisses que d'autres.
Dans les abysses de l'océan Pacifique, des pieuvres mauve pâle affublées de deux yeux géants dignes de personnages de dessin-animé arpentent le plancher océanique. Certaines sont recouvertes d'excroissances prononcées alors que d'autres semblent avoir une peau presque lisse ; une énigme sur laquelle les scientifiques se creusent la tête depuis fort longtemps.
Ces animaux à l'apparence différente seraient-ils en fait de la même espèce ?
La réponse est oui, selon une nouvelle étude qui va même plus loin en affirmant que plus la pieuvre est verruqueuse, plus elle vit profondément, déclare l'auteur principal de ladite étude Janet Voight, conservatrice adjointe de la zoologie des invertébrés au musée Field de Chicago. L'équipe a également découvert que les pieuvres verruqueuses du Pacifique les plus cabossées (Graneledone pacifica), qui peuvent vivre jusqu'à 2,7 km sous la surface, ne seraient pas plus grandes qu'un clavier d'ordinateur, bien plus petites que celles à la peau plus lisse vivant à 1,1 km de profondeur et dont la taille serait proche du mètre.
C'est surprenant, notamment parce que ça ne colle pas avec un phénomène biologique appelé gigantisme abyssal selon lequel les créatures vivant dans les profondeurs sont généralement plus grandes que leurs homologues de surface. La théorie voudrait que la fraîcheur des températures augmente la taille des cellules et leur durée de vie, ce qui donnerait naissance à des corps plus grands. Les eaux froides ralentissent également le métabolisme de certaines espèces, comme les isopodes géants ou bathynomes, afin qu'un environnement aux réserves minimalistes de nourriture ne soit pas tant problématique. Cependant, pour ces pieuvres, il est possible que la petite taille des profondeurs soit liée au manque de nourriture, suggère Voight.
Nos connaissances de leur régime alimentaire sont minces mais d'après les résidus qu'elle a trouvés sur certains spécimens, Voight pense que ces pieuvres pourraient se nourrir en « passant leurs petites ventouses sous les sédiments pour ramasser de petits escargots, des vers et des palourdes qu'elles portent directement à leur bouche. » La diversité des espèces de pieuvres est incroyable. On en trouve depuis les tropiques jusqu’aux pôles. …
Il est également possible que les pieuvres femelles au régime restreint produisent des œufs plus petits qui engendrent des adultes de taille moins importante. Nous ne savons également pas pourquoi elles sont verruqueuses, déclare Voight, illustrant au passage à quel point nous en savons peu sur les océans qui représentent 71 % de notre planète mais sont encore si peu étudiés.
EMPLACEMENT, EMPLACEMENT, EMPLACEMENT !
Pour cette étude, Voight a capturé huit pieuvres au large de la côte Ouest des États-Unis à l'aide de véhicules contrôlés à distance et ALVIN, un minuscule sous-marin conçu pour embarquer 1 pilote et 2 scientifiques. Les spécimens conservés, notamment ceux du musée Field, ont porté le nombre total d'individus à 50. Voight et ses collègues ont ensuite étudié la structure physique des animaux en analysant les ventouses de leurs tentacules, leurs verrues et leurs tubercules, ces petites excroissances à l'intérieur des verrues qui leur confèrent leur texture.
Une fois les structures corporelles des animaux cataloguées, une analyse informatique sophistiquée en trois dimensions a conclu que la profondeur était le facteur responsable de l'apparence lisse ou verruqueuse des pieuvres. Une analyse plus approfondie de l'ADN a permis de montrer que les deux types de pieuvres étaient de la même espèce, selon l'étude parue le 08 octobre dans la revue Bulletin of Marine Science.
Experte des pieuvres rattachée à l'université de Lethbridge à Alberta, Jennifer Mather a été impressionnée par le nombre de spécimens étudiés. Lorsqu'il s'agit de se cacher, les pieuvres sont bourrées de talent et le simple fait de les débusquer exige d'utiliser un équipement complexe, et ce, plus particulièrement dans les profondeurs des océans. (À lire : Découverte de la plus grande nurserie de pieuvres au monde.) Spécimen particulièrement verruqueux de l'espèce Graneledone verrucosa évoluant dans l'océan Atlantique
La détermination est un autre facteur essentiel. « La patience du Dr Voight a été récompensée, » déclare Mather, qui n'a pas pris part à l'étude. Elle ajoute que certaines pieuvres évoluant dans les eaux peu profondes peuvent également présenter des excroissances temporaires lorsqu’elles cherchent à se camoufler sur une surface cabossée et d'ailleurs, cette explication avait déjà été avancée par certains pour expliquer l'apparence des pieuvres verruqueuses du Pacifique. Toutefois, grâce à son étude portant sur des animaux vivants et morts, Voight a pu confirmer que la « sculpture de leur peau » était définie dès la naissance.
DES ANCÊTRES VERRUQUEUX ?
L'utilité des verrues reste inconnue bien que toutes les espèces du genre Graneledone en possèdent. Il est possible que cet aspect verruqueux soit une structure vestigiale, « elle est donc présente chez tous les membres du groupe qu’elle offre ou non un avantage, » explique Voight. La prochaine mission de Voight sera de déterminer pourquoi ces invertébrés deviennent plus petits et plus verruqueux à mesure que l'on descend en profondeur. Elle souhaite par exemple analyser l'intérieur des verrues à la recherche d'indices : le « quoi » pourrait mener au « pourquoi », indique-t-elle. Plus généralement, son étude s'ajoute aux efforts actuellement fournis pour déterminer comment la vie parvient à s'épanouir à de telles profondeurs océaniques, dans l'obscurité totale et avec aussi peu de nourriture, ajoute-t-elle. « Comment font ces animaux pour vivre dans les abysses ? Je pense que c'est une question que se posent tous les biologistes des fonds marins, » conclut Voight.
Cours, cours dans la cour – Plus jamais peur des autres
livre harcèlement scolaire sophrologie
Collection : Souris à la vie (Sophrologie)
Parution : 06/09/2018
Pages : 40
Prix : 12.50 €
Format : 201 x 294 mm
Pour échapper à la méchanceté des autres élèves, Lucas s’assied seul dans un coin et se fait aussi petit qu’une souris… Une souris ? Mais que fait-elle dans la cour de l’école ? Dans ce titre, qui évoque le harcèlement, une petite souris maligne va aider le petit harcelé à retrouver l’harmonie et la joie de vivre. Cette collection allie en subtilité un récit et une méthodologie pour résoudre les petits stress des enfants dès 5 ans. Des histoires pour aider à prendre confiance en soi et à aller à « la grande école » le cœur léger, pour appréhender les relations sociales et apprendre à gérer ses émotions afin de résoudre les conflits. Des conseils pratiques expliqués et illustrés pas à pas par la sophrologue et pédagogue Catherine Aliotta : « La sophrologie est un ensemble de méthodes psychocorporelles qui visent au mieux-être. Elles associent la respiration, la décontraction musculaire et la visualisation d’images positives ».
Je n’écris plus les lettres perdues de mon cœur. J’écris seulement quelques lettres de bonheur qui s’assemblent simplement au gré du vent, au gré du temps qui berce mes pensées. Je les aime tant ces quelques lettres ; De la douceur susurrée du ‘‘s’’ ou du ‘‘c’’ a l’extase infinie des ébats de ‘‘a’’ et de ‘‘i’’. Comme j’aime ce temps précieux et précis que je passe à assembler consonnes et voyelles ,que j’emmène danser aux heures belles sur les pages tendres de mes cahiers. Des mots sous ma plume ainsi assemblés. J’observe comme ils s’ouvrent à vos yeux. Comme ils aiment être contemplés, joyeux d’être admirés alors que juste sous ma plume ils sont nés.
Pour connaitre le secret d'un apprentissage, il nous faut revenir à la petite enfance. Quand à peine revêtu de son corps, le bébé sonde alors le visage de ses parents et ses expressions. Il prend part au moment en écoutant les bruits et les voix, en regardant les formes qui se dessinent autour de lui.
Le bébé est relié à l'instant et par quel moyen ?
Par la sensation. Tous ses sens bénéficient alors d'une attention particulière, d'une écoute et d'une observation. Cet apprentissage est issu des lois naturelles. Chez la majorité des espèces vous pouvez le constater. On apprend à reproduire les gestes et les sons en se reliant à ce qui se passe et en observant patiemment. On croit ensuite qu'il faudrait apprendre en ne stimulant que la pensée. En oubliant les autres sens comme s'ils étaient là uniquement pour assurer les fonctions de bases. C'est là l'erreur de l'homme. Il a oublié que l'apprentissage ne se situe pas dans son cortex cérébral mais à travers tous ses sens.
Ces sens qui transmettent des informations au moment présent. Pour acquérir de nouvelles capacités, l'homme doit avant toute chose se relier à toutes celles qu'il croit connaitre. Chercher à les approfondir et à les sonder. Écouter ne se fait pas uniquement d'un bruit extérieur vers l'oreille charnelle, percevoir ne se fait pas seulement avec les yeux et ressentir ne doit pas être secondaire. La sensation est l'ensemble des informations qui vous parviennent au présent
. La sensation, c'est elle qui vous apprend. Lorsque vous avez appris votre langue maternelle, vous n'avez pas établi de liste, vous n'avez pas récité bêtement du vocabulaire. Vous avez reproduit les sons liés à une sensation de l'instant. Vous avez reproduit une énergie, une information perçue. Lorsque vous réalisez quelque chose qui fait sens en vous, qui vous procurent des sensations, alors vous êtes en train d'apprendre réellement. Lorsque que vous ne faite que remplir votre tête d'une grande quantité de pensées apprises par devoir, leur durée sera toujours limité. Le secret d'un apprentissage est la voie du ♥ . Car il anime en vous un sens dont l'écho vient illuminer une part de vous-m'aime qui jamais ne s'éteindra.
Les Etats-Unis tentent de contenir "l'épidémie de cerfs-zombies"
Aux États-Unis, certains États pour le moment épargnés par la maladie débilitante chronique qui touche les cervidés, tentent de s'en protéger. Le Nevada va ainsi lancer une campagne d'échantillonnage durant le mois d'octobre.
La maladie du cerf-zombie touche les cervidés de plusieurs pays dont les Etats-Unis
Aux États-Unis, l'épidémie de la maladie débilitante chronique (ou "chronic wasting disease" en anglais) poursuit sa progression conduisant les États encore épargnés à prendre des dispositions. Des symptômes neurologiques rappelant l'attitude des zombies Il s'agit d'une maladie à prion, "une famille de maladies causant des troubles neurodégénératifs rares" comme l'expliquent sur leur site les Centers for Disease Controle and Prevention, des agences fédérales américaines.
Elle serait donc causée par une protéine mutée nommée prion qui s'attache à d'autres protéines présentes dans le cerveau, modifiant ainsi leur conformation et entraînant la détérioration du cerveau. La maladie débilitante chronique touche différents cervidés tels que les cerfs, les rennes, les élans ou encore les wapitis (aucun cas n'a été répertorié chez l'homme pour le moment) à qui elle ne laisse aucune chance. Il n'existe pour le moment ni vaccin ni traitement pour réussir à la contenir. Si certains animaux touchés ne montrent pas de symptômes, la plupart d'entre eux adoptent une attitude qui conduit à les appeler "cerfs zombies".
"Cela peut prendre plus d'un an avant qu'un animal infecté ne développe des symptômes, qui peuvent inclure une perte de poids importante, des trébuchements, une apathie et d'autres symptômes neurologiques", expliquent les CDC. L'animal malade peut également saliver et boire de manière excessive et avoir des difficultés à courir.
Maladie du "cerf-zombie" : après la crise de la vache folle, faut-il craindre celle du cerf-fou ? Des foyers repérés dans 24 États américains Des foyers ont déjà été détectés aux États-Unis, au Canada, en Norvège, en Suède, en Finlande mais aussi en Corée du Sud à cause de l'importation d'animaux malades. Plus précisément, depuis août 2019, les CDC ont rapporté des cas dans au moins 24 États américains.
"Dans plusieurs endroits où la maladie est établie, les taux d'infection peuvent dépasser 10% (1 sur 10) et des taux d'infection localisés de plus de 25% (1 sur 4) ont été rapportés. Le taux d'infection chez certains cerfs en captivité peut être beaucoup plus élevé, avec un taux de 79% (près de 4 sur 5) signalé dans au moins un troupeau captif", note l'agence américaine. La maladie n'est pour le moment pas officiellement déclarée dans le Nevada mais elle se trouve à ses portes. En effet, l'État voisin de l'Utah est touché.
Le Nevada a donc pris des mesures drastiques concernant l'importation de carcasses d'animaux chassés ailleurs aux États-Unis. Il a également décidé de mener une campagne d'échantillonnage. Foyers de la maladie débilitante chronique chez les cervidés sauvages par Etats © CDC Celle-ci débutera le 5 octobre et prendra fin le 27 octobre 2019, explique sur son site le département de la nature de l'État.
Des stations de surveillance biologique seront ainsi créées à différents endroits du Nevada pour que les chasseurs puissent venir faire tester leur carcasse. L'État espère ainsi pouvoir détecter rapidement la maladie et donc limiter sa propagation.