Thèmes

aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

horreur

Publié à 15:54 par fandeloup Tags : pouvoir sur bonne vie moi chez enfants photo belle animaux nuit nature carte
horreur

Auteur : Un Français Destinataire(s) : Soulèvement du peuple (car le gouvernement ne fait rien et ne fera rien) !

"Nous sommes au XXIème siècle, mais j'ai grand peine a le croire. Dans l’état actuel des connaissances scientifiques, il y a toujours des gens qui entretiennent des idées fausses et elles sont nombreuses, croyez-moi. Pour n’en citer qu’une, il parait qu’il y existerait de la «mauvaise herbe» ce qui nous vaut des tonnes de produits chimiques déversés.

Comment peut-on accorder autant de droits à une poignée d'irréductibles sans cervelle ?

Pour vous dépeindre un peu le tableau, voici ce que l'on peut constater chaque jour dans la petite commune où je réside et ces alentours. Ces messieurs se disent défenseurs de la nature, et bien ce ne sont que balivernes. Pour cela, il est simple de constater que partout où il passent, la nature est un véritable dépotoir. Ils jettent leur détritus sans vergogne n'importe où. Emballages, papiers gras, mégots de cigarette, canettes de bière et autres alcools, sans oublier les cartouches, mélange de plastique et de métal, ainsi que le plomb, qui souillent notre belle nature que, ne l'oublions pas, ils disent protéger.

Vous ne les verrez jamais participer aux initiatives prisent par certaines communes pour ramasser les ordures jetées sauvagement ça et là. Bien sur que non... pourtant ce sont eux qui les balancent pour ne pas s'encombrer durant leur "grand moment de plaisir".

Comment peut-on prendre plaisir à tuer inutilement des animaux ?!

De plus, nous sommes dans une région agricole et ces messieurs n’ont pas de scrupule a mettre du gasoil agricole dans leurs véhicules de chasse, ce qui est rigoureusement interdit. Nous les retrouvons sur le bord des routes fusils à la main et même certains d'entre eux possèdent des fusils à lunette...

Le visage rubicond, preuve d'une consommation excessive d'alcool qui les mènent a confondre un cycliste avec un sanglier ! Il suffirait d'un contrôle d'alcoolémie en règle pour que le droit de posséder une arme leur soit définitivement retiré, ainsi que celui de conduire un véhicule motorisé. Malheureusement, ils ne sont jamais contrôlés.

Ils n'hésitent pas a venir tirer des coups de feu proche des habitations, les samedis et dimanches au petit matin alors que la plupart des gens se reposent d'une semaine déjà bien assez stressante et fatiguante. Nous ne pouvons même plus nous promener dans la nature les weekend par beau temps. Oui par beau temps car dès qu'il pleut... les chasseurs restent chez eux. Ils ne chassent pas pour se nourrir mais bel et bien pour s'amuser.

Ne devraient-ils pas s'acheter une console de jeu pour satisfaire leurs besoins d'amusement ?

Ils possèdent tous plusieurs congélateurs déjà bien plein de viande qu'ils peinent a consommer, raison pour laquelle ils vous proposent volontiers de vous en donner afin de pouvoir encore et sans cesse les remplir de nouveaux cadavres. Un véritable chasseur ne tue pas par plaisir mais par nécessité. Mais celui pour qui c'est nécessaire, n'a pas les moyens de se payer une carte de chasse et s'expose donc à des poursuite judiciaires.

Où se trouve la justice dans tout cela ?

Ils prétendent réguler les espèces alors qu'ils ont eux même croisé les sangliers avec des cochons pour que les portées soient plus importantes. Pour vous parler encore de leur grandeur d’âme et de l’amour qu’ils portent à la nature et aux animaux, il me faut vous parler de leurs chiens qui pour la plupart passent leur journée en cage sans jamais sortir si ce n’est les jours de chasse, et encore, transportés dans d’autres cages. Vous ne les verrez jamais les promener ni même les caresser. Ces chiens enfermés à vie deviennent bien sur irascibles et peuvent se mettre a aboyer sans raison à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, ce qui pour leurs voisins direct et un véritable calvaire !

Sans parler de nos animaux de compagnie, souvent criblés de balles par ces barbares. A qui justice ne sera jamais rendue, de notre tristesse immense, et de cette colère qui monte. Et cette nouvelle loi qui vient d’être pondue, (et je dis bien pondu, en espérant que vous avez bien l’image de la poule qui se retournant s’étonne de ce qui vient de sortir d’elle) est un pousse au crime !

Si je comprends bien, il ne faut pas entraver la chasse car cela coûterait cher aux contrevenants, par contre on peut leur tomber dessus sans raison dans la rue, cela coûterait moins cher. Pourquoi dans ce cas, ne pas inscrire les chasseurs au patrimoine de l’humanité !!! Alors oui, je prétends qu'ils sont des nuisibles et même des inutiles. Ils anéantissent les espoirs d'un environnement plus sain pour nos enfants et cela n'est plus acceptable

." Je lis, écoute, rencontre de plus en plus de gens qui souhaitent que la chasse soit interdite. Que les chasseurs n'existent plus. Tout simplement ! Cette colère contre les chasseurs monte et grandit chaque jours d'avantage. Il va falloir bannir très vite cette pratique. Vous avez lu, plus haut, de nombreux exemples de leur actes inhumains et sans pitié. J'espère que vous aurez conscience, en nous lisant, que vous n'êtes pas seul dans ce combat contre la chasse ! Je vous demande de partager cette pétition en masse, de manifester, de dialoguer, de faire avancer ce combat en vue d'interdire la chasse une bonne fois pour toute ! Cette pétition sera quand même envoyée au Gouvernement (sait-on jamais...).

Ps : la photo est une laie déguisée en chasseur, qui a ensuite été jetée aux ordures par ces monstres. (oui, j'ai envie de vomir).Mesopinions.com : Site de petitions et de sondages en ligne - Créer, gérer gratuitement vos pétitions et vos sondages en ligne

humour

Publié à 14:56 par fandeloup

projet

Publié à 14:38 par fandeloup Tags : chien sur france monde chez paris rose nuit air femmes automne centre
projet

Octobre rose : « Ce dépistage grâce à l’odorat canin pourrait devenir un pré-test du cancer du sein »

 A l’occasion d’Octobre rose, « 20 Minutes » fait le point sur l’expérimentation Kdog, un dépistage grâce à l’odorat de chiens, qui lance cet automne une étude clinique

l Des chiens sont entraînés dans le projet Kdog à détecter des cancers du sein. Des chiens sont entraînés dans le projet Kdog à détecter des cancers du sein. — Alice Housou A l’occasion d’Octobre rose, « 20 Minutes » se penche sur le dépistage du cancer du sein. Un projet innovant, lancé en 2016, se penche sur les capacités de chiens entraînés à dépister, grâce à leur odorat, des cancers du sein. Kdog passe une nouvelle étape cet automne en lançant une étude clinique et en organisant ce mardi un congrès international pour échanger avec d’autres équipes qui travaillent sur le sujet.

Comment les chiens (entraînés) pourraient-ils changer la donne ?

L’Institut Curie semble avoir eu du nez en confiant à deux bergers malinois le soin de repérer, grâce à leur odorat, des cancers du sein. A l’occasion du lancement d’ Octobre rose, les équipes qui travaillent sur ce projet, nommé Kdog , organisent mardi et mercredi un premier grand rendez-vous international à Paris. D’abord pour présenter les premiers résultats prometteurs de cette expérimentation. Mais aussi pour échanger sur les méthodes des diverses équipes qui avancent sur ce moyen original. Pierre Bauër, chef de projet Kdog à l’ Institut Curie, détaille à 20 Minutes ces avancées et la nouvelle étape qui s’ouvre à l’automne.

Quels sont les résultats des trois ans de recherches de Kdog sur le cancer du sein ?

On a validé une preuve de concept : dans plus de 90 % des cas, les chiens entraînés arrivent à repérer une patiente qui a un cancer du sein. L’idée, maintenant, c’est de passer à une étude clinique qui, on l’espère, viendra valider scientifiquement cette méthode. Pour qu’elle soit applicable en l’état dans le monde entier. Au début de nos recherches, beaucoup se montraient sceptiques. Aujourd’hui, ce n’est pas une idée ubuesque. D’ailleurs, nous avons obtenu un financement du ministère de la Santé pour lancer l’étude clinique

. Comment cela va se dérouler concrètement ?

A l’automne, nous allons commencer à recruter 450 patientes (dont environ la moitié sera atteinte d’un cancer du sein), qui seront suivies dans cinq hôpitaux et deux cabinets de radiologie pendant deux ans. C’est important de rappeler qu’il n’y a pas de contact entre le chien et la patiente. Ces femmes passeront une nuit avec une compresse sous l’aisselle. Quand on recevra ces échantillons, on ne saura pas s’ils viennent de patientes malades ou pas. Les chiens vont renifler une par une ces compresses et s’asseoir devant celles qu’ils estiment suspectes. A la toute fin, on va comparer les détections de nos chiens avec les mammographies et biopsies de ces femmes. Mais pour cela, nous avons besoin d’entraîner nos chiens. Ce n’est pas inné chez eux. On fait donc appel à des volontaires au sein de la population saine, qui accepteraient de passer une nuit avec une compresse*. Plus il y a d’échantillons, plus nos chiens sont performants.

Qu’est-ce que cela pourrait changer pour le dépistage du cancer ?

Si on prouve que ce dépistage grâce à l’odorat canin fonctionne, on pourra à l’avenir le proposer comme un pré-test. Cela ne va pas remplacer la mammographie et le chien ne va pas remuer l’oreille droite pour dire « vous avez un problème au sein droit ». L’idée, c’est plutôt qu’on ait suffisamment confiance dans le chien pour suivre son avis : s’il dit qu’il n’y a rien, vous ne faites aucun examen médical. Ce qui n’est pas anodin. En France, beaucoup de femmes ne font pas de mammographie parce qu’elles ont peur, parce que ça fait mal, parce qu’elles vivent dans des déserts médicaux, parce qu’elles sont handicapées… Proposer une alternative à la fois non invasive, peu coûteuse et fiable permettrait sans doute d’améliorer considérablement le dépistage du cancer du sein. Cette possibilité pourrait être encore plus importante dans les pays du Sud, où il n’y a pas assez de médecins et d’appareils. Nous ouvrons d’ailleurs un centre d’entraînement de chiens Kdog à Petropolis, au Brésil. Aujourd’hui, dans ce pays, il faut des mois d’attente pour avoir accès à la mammographie. Il y a énormément de cancers du sein qui sont diagnostiqués trop tard.

Vous évoquez aussi la possibilité que ces chiens puissent détecter des tumeurs trop petites pour être vues à la mammographie… Cela reste à prouver, et va faire partie de nos recherches. Toutes les femmes qui vont rentrer dans l’étude clinique vont passer une mammographie et une biopsie avant le dépistage par l’odorat du chien, mais aussi six mois à un an après. S’il n’y a rien sur les premiers clichés, mais que le chien montre qu’il y a quelque chose et que son intuition est confirmée par la deuxième salve d’imagerie, alors on pourra supposer que le chien avait détecté une tumeur avant la machine. Vous organisez un congrès international à Paris ce mardi et mercredi

Dans quel but ?

Nous réunissons lors de ce congrès des équipes scientifiques de treize pays qui travaillent sur des projets similaires au nôtre. L’objectif est double. On espère faire connaître Kdog au niveau international et créer une communauté. Pour l’instant, chacun travaille dans son coin. Ce congrès pourrait être l’occasion d’échanger sur les bonnes pratiques pour aller plus vite, coopérer plutôt qu’être en compétition. D’autres équipes travaillent en Nouvelle-Zélande, au Mexique, au Chili, aux Etats-Unis sur d’autres types de cancers (poumon, prostate, ovaires…), mais aussi différents types d’échantillon (urine, air, selles…), et diverses méthodes d’entraînement des chiens.

Vous avez noué un partenariat avec l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). Pourquoi ?

On demande aux chiens de détecter les composés organiques volatiles du cancer. L’IRCGN est spécialiste de l’analyse de scènes de crime, notamment en prélevant les odeurs. On va leur donner des échantillons de sueur qui vont passer dans des appareils de chimie analytique, pour voir si certaines molécules sont caractéristiques du cancer du sein. Avec pour ambition, un jour, de créer un nez électronique, qui serait encore une autre manière de dépister. Comme un alcootest, mais pour le cancer. Mais attention, cela va prendre énormément de temps. D’autres équipes y travaillent.

L'infini

Publié à 11:36 par fandeloup
L'infini

L'infini face à l'infini Un flash de lumière illuminant Une multitude de joies. Le désir de nous faire soulever en vol... Entre nuages immenses... C'est oublier de vivre. Oublier d'exister. Nous ne sommes pas embrassées. Je me suis demandé d'où elle venait... Nous nous accordons à dire.

loups

Publié à 10:54 par fandeloup
loups

Celui qui a l’amour dans son cœur ressemble à un fruit, le plus beau et le plus savoureux qui soit, au pain chaud et à l’eau pure

a savoir

Publié à 10:18 par fandeloup Tags : enfants sur center soi centre peinture mort
a savoir

Intoxication par les hydrocarbures

La pratique consistant à inhaler des vapeurs de colle ou à avaler de l’essence, des produits volatils ou des produits de nettoyage, ou du kérosène, peut causer une intoxication par les hydrocarbures. Le fait d’avaler ou d’inhaler des hydrocarbures peut irriter les poumons et causer une toux, une suffocation, un essoufflement et des problèmes neurologiques. Inhaler ou respirer les vapeurs de ces produits peut entraîner des battements de cœur irréguliers, une accélération du rythme cardiaque ou une mort subite, en particulier après un effort physique ou en cas de stress.

Le diagnostic est basé sur la description des événements, l’odeur caractéristique de pétrole dans l’haleine des personnes ou sur leurs vêtements et parfois par une radiographie du thorax. Le traitement consiste à d’abord enlever les vêtements contaminés, à laver la peau et à administrer de l’oxygène et parfois des antibiotiques lorsqu’il y a présence de difficultés respiratoires ou de pneumonie. Les dérivés du pétrole, les produits de nettoyage et les colles contiennent des hydrocarbures (substances composées en grande partie d’hydrogène et de carbone).

De nombreux enfants de moins de 5 ans s’empoisonnent en ingérant des dérivés du pétrole, tels que l’essence, le kérosène et les diluants pour peintures, mais la plupart d’entre eux se rétablissent. Un risque accru est représenté par les adolescents qui aspirent intentionnellement les fumées de colles, peintures, solvants, produits de nettoyage vaporisés, essence ou fluorocarbures utilisés comme réfrigérants ou propulseurs dans les aérosols pour se droguer ; un type de toxicodépendance dont la pratique est appelée renifler, sniffer, sniffer de la colle ou utiliser des substances volatiles illicites.

L’inhalation de cette manière peut être à l’origine d’un rythme cardiaque irrégulier pouvant entraîner la mort ou un arrêt cardiaque, notamment après un effort physique ou en cas de stress. L’inhalation répétée de toluène (composant de certains de ces produits) peut entraîner des lésions du cerveau. Certains hydrocarbures contiennent également des additifs toxiques tels que le méthanol et le plomb.

Les hydrocarbures avalés entraînent une toux et un étouffement, ce qui permet à l’hydrocarbure liquide de pénétrer dans les voies respiratoires et d’irriter les poumons, état grave en soi (pneumonie chimique), et peut conduire à pneumonie sévère.

L’atteinte pulmonaire pose un problème particulier en cas d’inhalation d’hydrocarbures légers et volatils tels que les huiles minérales, notamment utilisées dans les cires pour meubles, et d’autres, notamment l’essence. Les intoxications graves entraînent des lésions du cerveau, du cœur, de la moelle osseuse et des reins. Les hydrocarbures épais, moins fluides, tels que le pétrole lampant ou les huiles pour moteur pénètrent plus difficilement dans les poumons mais ils peuvent causer une irritation grave et persistante quand ils arrivent à y pénétrer

 Le saviez-vous ?

Les personnes qui atteignent l’état d’euphorie en respirant des vapeurs d’hydrocarbure peuvent décéder subitement en raison de pulsations cardiaques irrégulières ou d’un arrêt cardiaque. Symptômes Habituellement, après avoir ingéré ou inhalé des hydrocarbures, les personnes toussent et développent une sensation d’étouffement. Puis apparaissent une sensation de brûlure à l’estomac et éventuellement des vomissements.

En cas d’atteinte pulmonaire, les personnes continuent à tousser intensément. La respiration s’accélère et la peau peut devenir bleutée (cyanose) en raison de faible taux d’oxygène dans le sang. Les jeunes enfants peuvent devenir cyanosés, retenant leur respiration et toussant avec persistance. Les difficultés respiratoires ne se développent pas toujours avant plusieurs heures après que les hydrocarbures ont pénétré les poumons.

En outre, l’ingestion d’hydrocarbures peut provoquer des symptômes neurologiques, comme des vertiges, une mauvaise coordination, de la stupeur ou le coma, et des crises d’épilepsie. Diagnostic Antécédents de contact avec des hydrocarbures et odeur d’essence sur la personne Parfois, radiographie thoracique et analyse des gaz du sang

L’intoxication par hydrocarbures est diagnostiquée à partir de la description des événements et de l’odeur caractéristique de pétrole dans l’haleine ou les vêtements des personnes, ou si un récipient se trouve à proximité. Des résidus de peinture sur les mains ou autour de la bouche peuvent suggérer l’inhalation (« sniffing ») de peinture.

La pneumonie et la pneumonie chimique sont diagnostiquées grâce à une radiographie thoracique et en mesurant le taux d’oxygène dans le sang ( Gazométrie artérielle). Si les médecins suspectent une lésion cérébrale, un examen d’imagerie par résonance magnétique (IRM) est effectué. Traitement Retirer les vêtements contaminés et laver la peau Éviter le lavage d’estomac Parfois, hospitalisation pour un supplément d’oxygène ou ventilation artificielle

Pour traiter l’intoxication, il faut enlever les vêtements contaminés et laver la peau. Si les personnes ne présentent plus de toux ni de sensation d’étouffement, en particulier si l’ingestion est limitée et accidentelle, on peut pratiquer un traitement à domicile. Mais de telles décisions doivent être discutées avec un médecin d’un centre antipoison. Les médecins évitent de vider l’estomac car cela pourrait faire pénétrer les hydrocarbures liquides dans les poumons. Les personnes qui ont des troubles respiratoires doivent être hospitalisées.

En présence d’une pneumopathie ou d’une pneumonie chimique, le traitement hospitalier consiste en l’administration d’oxygène et, dans les cas graves, en une ventilation mécanique. Les antibiotiques peuvent être utiles en cas de pneumonie. Le rétablissement consécutif à une pneumonie peut prendre normalement environ une semaine ou plus longtemps si des hydrocarbures visqueux tels que le pétrole lampant ou l’huile pour moteur ont pénétré dans les poumons.

loups

Publié à 09:15 par fandeloup
loups

Je ne juges pas ceux qui vivent leurs modes chamaniques en festoyants.... chacun à le droit d'être ce qu'il est... Mais pour ma part , je préfère le silence et le receuillement

horreur

horreur

Tué pour une cigarette : «Thomas, c’était le grand frère, toujours prêt à nous défendre»

Les proches de Thomas Michelin sont effondrés. Le jeune homme, père de famille, est mort poignardé en plein centre de Bordeaux, pour une banale affaire de cigarette.

Thomas Michelin, 24 ans, est mort samedi soir d’un coup de couteau planté au cœur. Le 3 octobre  Salomé, 24 ans, cherche douloureusement ses mots depuis quelques jours. Cette mère de famille a rédigé un texte, soutenue par ses proches, un pédopsychiatre et son médecin de famille.

Comment annoncer à ses deux enfants de 5 et 3 ans le décès brutal et incompréhensible de leur père ?

Thomas Michelin, 24 ans, est mort samedi soir dernier d'un coup de couteau planté au cœur, place Saint-Projet, dans le centre historique de Bordeaux (Gironde). Cet ouvrier ferroviaire était simplement venu passer la soirée dans la capitale girondine, entouré de sa compagne, de son frère Romain et de leur ami Nicolas, tous deux âgés de 18 ans. « C'était une sortie exceptionnelle, la première fois que nous allions un soir à Bordeaux. Il fallait trouver à garder les petits pour faire quelque chose ensemble », explique Salomé, installée à La Génétouze, village où elle a emménagé avec Thomas Michelin voilà 4 ans, à l'extrême sud de la Charente-Maritime.

Le programme de cette virée improvisée n'est pas arrêté quand le petit groupe débarque à Bordeaux. Thomas Michelin a juste prévu d'y retrouver sa meilleure amie plus tard dans la soirée. Après avoir avalé un kebab, les quatre jeunes s'assoient dans un recoin de la place Saint-Projet, sympathisent avec des SDF et partagent quelques bières.

Thomas s'interpose pour protéger les siens

Le drame se profile une demi-heure plus tard, peu avant 22 heures, lorsque déboulent deux hommes alcoolisés de 22 et 25 ans. Une femme de 27 ans les accompagne. Ils sont décrits comme des marginaux, portent casquettes et survêtements. L'un d'entre eux réclame une cigarette et, sans permission ni raison apparente, touche les cheveux d'une SDF. La tension monte. Son compagnon s'interpose.

« Thomas aussi, souffle son frère Romain. Les gars s'éloignent puis reviennent. Là, ils attrapent la bière que je tiens dans mes mains. » Lui joue l'apaisement, propose de partager sa canette. Peine perdue. En une fraction de seconde, le face-à-face tourne à la rixe, au déchaînement de violence. Les deux marginaux sortent chacun leur couteau. « Arrêtez de faire les fous ! » hurlent-ils dans une ultime provocation, face au groupe médusé. Les coups pleuvent. « Là, il n'y a plus de parole, que des actes », décrit Nicolas, la mine détruite. Une lame le blesse à l'abdomen. Une autre atteint Romain dans le dos. Thomas Michelin, lui, s'interpose encore « pour protéger les siens ». Il parvient à renverser un agresseur avant d'être touché, mortellement. « Il est mort dans mes bras » Salomé, sa compagne, n'a rien vu. « Je me suis absentée quelques minutes. Quand je suis revenue, c'était fini. Thomas est mort dans mes bras. On est impuissant face à ça, on ne peut rien faire. Ces coups, c'était pour tuer. Ils ont visé les parties vitales. Pas les jambes, ni les bras ! »

 Les trois marginaux prennent alors la fuite. Ils seront appréhendés par une patrouille de la BAC quelques minutes plus tard. L'un porte encore son couteau sur lui. La seconde lame est retrouvée sur la jeune femme. Déférés puis présentés au juge d'instruction, les deux hommes ont choisi d'exercer leur droit au silence sans rien expliquer de leur geste, après avoir nié un temps être à l'origine du coup mortel. Déjà connus des services de police pour des faits de violence, ils ont été mis en examen des chefs de meurtre et de tentative de meurtre avant d'être placés en détention provisoire. Pour avoir conservé le couteau sur elle, leur amie a été mise en examen pour modification de l'état de lieux d'un crime pour faire obstacle à la manifestation de la vérité.

Elle a été placée sous contrôle judiciaire.

Blessés légèrement, Romain et Nicolas ont, eux, été transportés au CHU de Bordeaux avant d'en sortir le lendemain. « Ils sont choqués, ils ne disent pratiquement pas un mot depuis samedi », explique Sophie Bonnet, la mère de Romain et de Thomas Michelin. « J'étais préparée à un accident de la route. Pas à ça » Elle non plus ne parvient pas à comprendre cette rixe futile, insensée. « J'ai la haine. Je m'étais préparée à un accident de la route. Pas à ça… Personne ne peut se préparer à ça. »

Son fils aîné aimait particulièrement la vitesse et les voitures qu'il bricolait à l'occasion avant quelques virées sur les chemins de terre du coin. « Il avait un tempérament casse-cou, confirme Salomé. C'était le grand frère, l'invincible toujours prêt à nous défendre. » Romain, son plus jeune frère, acquiesce en silence. Son copain Nicolas aussi : « J'ai grandi avec lui. Je le considérais comme mon frère. »

Employé par la société STMF, sous-traitante de la SNCF pour la maintenance et l'entretien des voies ferrées, Thomas Michelin appréciait particulièrement être entouré des siens, de sa fille et de son fils. « Il n'aimait pas être seul », sourit sa compagne en montrant des photos sur son smartphone. À l'écran défilent les images de son compagnon hilare ou entourant tendrement ses enfants. Sophie Bonnet, elle, aimerait voir son fils une dernière fois. « Impossible », lui a-t-on répondu. Son corps a été placé dans un cercueil scellé dans le cadre de l'enquête.

La mère de famille n'y aura pas accès. « Je l'ai croisé en voiture samedi après-midi, en sortant du travail, souffle-t-elle. Il venait de m'appeler pour me prévenir qu'ils allaient à Bordeaux. C'était la dernière fois… »

Une cagnotte a été lancée sur internet pour financer les funérailles. « À 24 ans, on a rarement préparé ça », confie un proche de la famille. Les obsèques de Thomas Michelin auront lieu samedi à Saint-Aigulin, village où réside sa mère.

Rappelle

Publié à 16:43 par fandeloup Tags : belle vie
Rappelle

Rappelles -toi chaque jour que tu es la plus belle chose dans cette vie ,tu es le miracle ,tu es la légende

tristesse

Publié à 16:03 par fandeloup Tags : femme histoire
tristesse

Elle pleure devant son miroir,en se souvenant de son histoire. Ses larmes ne cessent pas de couler . Quel pâle visage . Au secours ! il y'a une flamme qui brûle son âme.