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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Les gens réagissent différemment aux moments difficiles. Certains s'éloigne du danger. D'autres vivent dans l'ignorance. Les gens intelligents se battent. Et les combattants s'épanouissent dans des moments difficiles.
Une couleuvre mince, Thamnophis sauritus sauritus, au National Mississippi River Museum and Aquarium in Dubuque, dans l'Iowa.
Car peu de personnes peuvent voir ce que l'on a au fond du ♥.. ils, voient dans mes yeux ce que jamais personnes ne verra..
Au lit, l'autre soir avec ma femme, la température montait rapidement. Au moment de passer aux choses sérieuses, elle m'arrêta et me dit:
- Non, mon amour, je ne me sens pas bien... Puis elle ajouta: - Je n'ai pas spécialement envie, je voudrais juste que tu me tiennes dans tes bras. Tu n'es pas assez en phase avec mes besoins émotionnels de femme pour que j'aie envie de satisfaire tes besoins sexuels d'homme ! A mon regard ébahi, elle enchaina:
- Je voudrais que tu m'aimes pour ce que je suis et non pour ce que je te fais au lit.
Comprenant que rien ne se passerait ce soir-la ,je n'insistai pas et je me rendormis. Quelques temps après, comme j'avais des congés a récupérer, je décidai de passer une belle journée avec elle. Après un déjeuner dans un petit restaurant sympa, je l'emmenai dans un grand magasin de mode ou je l'invitai a essayer divers vêtements sous mon regard intéresse. Pendant un long moment, elle essaya tout ce qui tombait sous ses yeux et parada devant moi comme une star. Finalement, deux robes retinrent spécialement son attention. Comme elle ne savait pas se décider, je lui laissai entendre qu'elle prendrait bien les deux. A l'étage suivant se trouvait le rayon chaussures. Une paire neuve par robe semblait indispensable. Une jolie paire de boucles d'oreilles lui faisait de l'oeil, hop, dans le panier! Croyez-moi, ses yeux brillaient de plus en plus!!! Je la connais, je voyais monter en elle une forme d'excitation indescriptible. Elle voulu me tester, voir jusqu'où j'irais, car elle s'intéressa aux bracelets de style tennis... Je répondis oui. Puis il y eut quelques paires de bas, de la lingerie, un foulard, les rayons parfum et maquillage et quelques bricoles. Finalement, elle me regarda avec des yeux pétillants comme du champagne et dit:
- Ça va être cher tout ça, on passe a la caisse quand ?
Je répondis: - Non, mon amour, on ne passe pas à la caisse, je ne me sens pas bien... Son visage devint béat d'étonnement et sa bouche resta ouverte.
Je dis alors: - Je n'ai pas spécialement envie, je voulais simplement te voir habillée ainsi. Tu n'es pas assez en phase avec mes capacités financières d'homme pour que je puisse satisfaire tes désirs d'achats de femme Et comme elle me regardait avec des yeux assassins, j'ajoutai: - Je voudrais que tu m'aimes pour ce que je suis et non pour ce que je t'achète ! A défaut d'orgasme, putain, que ça fait du bien !.......
Signé: Marce
l PS: Le corps de Marcel sera exposé samedi prochain au Funérarium !!!
L’enfance volée d’un veau
Un veau nouveau-né, dans la ferme dite des «1000 vaches», en 2017.
Récit des six premiers mois de la vie d'un jeune bœuf. Ce sont aussi ses six derniers. L’enfance volée d’un veau Tribune. Je suis né un matin de février, dans un énorme hangar segmenté par des barreaux métalliques en d’innombrables petits box. Il n’y avait pas d’herbe. Je ne voyais ni le ciel, ni la lumière du jour. Immédiatement après ma naissance, j’ai pu goulûment téter le lait chaud et nutritif de ma mère. Nous ne pouvions pas beaucoup bouger, elle et moi. Mais elle me protégeait, me nettoyait, m’offrait la douce caresse de son ventre pour me blottir pendant mes longues siestes.
Cela n’a duré qu’un jour . Le seul jour heureux de ma vie. Car le lendemain de ma naissance, une catastrophe arriva. Un humain me saisit, et m’emporta. Je criais, elle criait (2). Nos regards terrifiés ne se quittaient pas. Elle voulut franchir la barrière pour me suivre, mais elle n’y parvint pas. Au fur et à mesure que l’on m’éloignait d’elle, elle se fondait dans la masse des centaines de vaches parquées dans le hangar. Finalement, je ne la vis plus.
On me mit dans un camion, avec d’autres veaux comme moi, affolés et appelant leur mère. Je tremblais. On nous déchargea sans ménagement, parfois avec des coups de bâton ou de pieds, pour nous placer dans des petites cases en plastique, une case par veau. Ces cases individuelles ressemblaient à des niches. Une grille placée l’entrée m’empêchait d’en sortir. J’étais seul, isolé, dans cette étroite boîte à peine plus grande que moi. Tout mon corps appelait ma mère, sa chaleur, sa présence rassurante. Mais elle ne vint pas… Je ne devais plus jamais la revoir.
Ce jour-là, on me mit des boucles de reconnaissance aux oreilles. Vous savez, ces sortes de petits écriteaux munis d’un numéro que portent les bovins. Un bovin est considéré comme de la viande sur pattes, un numéro. Au début, j’eus droit à une litière. Puis on me l’ôta et je fus alors obligé de dormir sur le sol nu. J’étais nourri avec du lait en poudre auquel des antibiotiques étaient ajoutés. Son goût n’avait rien à voir avec le bon lait de ma mère. Je restai dans cette minuscule case pendant deux mois. Deux mois de souffrance et de solitude.
Ce que je ne savais pas, c’est que ces deux mois constituaient déjà un tiers de ma courte vie. Les deux autres tiers devaient être passés avec d’autres veaux de mon âge, dans un parc intérieur où nous serions entassés. Dans cet enclos collectif, nous avions chacun 1,5 mètre carré pour nous mouvoir, c’est-à-dire un peu plus d’un mètre sur un mètre. Autant dire que nous ne pouvions pratiquement pas bouger. Le contact avec le sol me posait un problème
, surtout la nuit, pendant mon repos. Ce sol rigide râpait mon pelage et engourdissait mes membres. Cela dura quatre mois. Je ne souffrais plus d’isolement. Au contraire, maintenant, je souffrais de la promiscuité avec les autres veaux. Un mal-être terrible aggrava mon calvaire : mon alimentation ne contenait pas suffisamment de fer. Mes repas étaient calculés de façon à ce que ma viande soit la plus blanche possible .
Je me sentais faible. L’herbe doit avoir bon goût ; je ne l’ai jamais goûtée. L’herbe contient du fer, et sa consommation aurait coloré ma viande. Elle serait devenue trop rose, et les consommateurs l’auraient dédaignée. A l’âge de mes six mois, arriva une autre catastrophe. On m’embarqua dans un énorme camion ajouré. Nous étions entassés comme jamais. Mes congénères avaient les yeux exorbités de peur. Certains bavaient, tremblaient, vomissaient. Il faisait 35 degrés dans le camion. Nous roulâmes plusieurs jours. On ne nous abreuva qu’une fois malgré la canicule.
A un moment, notre camion fut stoppé à une frontière. Nous y restâmes plusieurs heures, sous un soleil de plomb. Le camion était devenu un four où la température avoisinait les 50 degrés. Autour de moi, des veaux mouraient. Ils tombaient net et ne bougeaient plus. J’avais mal partout. J’avais faim, j’avais soif et j’avais chaud. Peut-être allais-je moi aussi m’effondrer comme eux ; mes forces déclinaient.
Le trajet prit fin devant un sinistre bâtiment. On nous débarqua, toujours avec autant de brutalité, et on nous fit rentrer dans un hangar. Je reçus au passage un coup de pied sur ma patte arrière, et me mis à boiter. J’avais survécu au trajet mais beaucoup de mes congénères avaient péri. Je passais la nuit dans cet établissement, et dormis sur un sol froid et dur, souffrant et faible. Le lendemain matin, très tôt, on nous fit défiler à coups de triques dans un long couloir, où nous ne pouvions passer que l’un après l’autre. Lorsque ce fut mon tour de marcher dans ce couloir, je finis par arriver à un box où je ne peux plus bouger, une sorte d’impasse.
A l’heure où je vous parle, on va me transpercer le crâne avec un pistolet à tige perforante, qui a pour but de m’insensibiliser avant ma mise à mort. On appelle cela l’étourdissement préalable, auquel les lois disent que j’ai droit (4). Cette tige va pénétrer dans mon cerveau et je vais perdre connaissance. J’ai à peine six mois, l’âge auquel j’aurais dû être sevré du lait de ma mère. Cette histoire est fictive mais les éléments factuels qui y sont relatés sont véridiques et documentés
Ils correspondent à la réalité de ce que vivent les veaux. La France est le premier consommateur mondial de viande de veau (6). Ces derniers proviennent majoritairement de l’industrie du lait. Les vaches laitières sont inséminées artificiellement, en continu. Les petits auxquels elles donnent naissance leur sont immédiatement retirés, afin que leur lait soit réservé à la consommation humaine. L’industrie du lait repose donc sur la séparation précoce des mères et de leurs petits (même dans le bio). Alors que l’espérance de vie des bovins est d’une vingtaine d’années, les vaches laitières ne vivent que cinq ans environ, du fait de l’épuisement causé par la production intensive de lait qui leur est imposée et des vêlages successifs (ici aussi, même dans le bio).
Ce que nous appelons «viande de bœuf» est la plupart du temps de la viande de vache. Certaines vaches sont abattues alors qu’elles attendent un petit. Si les produits laitiers ne sont pas directement fabriqués avec la chair d’un animal et peuvent, de ce fait, paraître moins condamnables que la viande, ce n’est qu’une fausse image. Que le lait soit de vache ou de chèvre, sa fabrication génère une infinie souffrance, tant pour les mères que pour leurs petits.
Vapotage : les poumons de malades américains comme brûlés par des gaz toxiques
Les trois-quarts des cas recensés de malades liés au vapotage avaient consommé des produits contenant du THC, l’agent psychoactif du cannabis. Douze décès liées au vapotage ont été confirmés par les autorités américaines.
Les biopsies des poumons de 17 personnes frappées par les maladies pulmonaires liées au vapotage aux Etats-Unis, dont deux décédées, révèlent des lésions similaires à une exposition à des gaz toxiques, selon une étude médicale publiée mercredi.
« Il semble que ce soit une sorte de lésion chimique directe, similaire à ce qu'on pourrait voir lors d'une exposition à des émanations chimiques toxiques, des gaz ou des agents toxiques », explique le médecin Brandon Larsen, de l'hôpital Mayo Clinic Arizona, auteur de l'étude parue dans la revue médicale New England Journal of Medicine. Les malades étudiés ne représentent qu'un petit échantillon des plus de 800 cas recensés à ce jour aux Etats-Unis. Mais aucun ne correspondait à l'un des diagnostics évoqués initialement, à savoir une « pneumonie lipidique », qui se produit quand des huiles pénètrent les poumons.
L'huile de vitamine E a été citée par les autorités de l'Etat de New York comme une possible cause des maladies. « D'après ce que nous avons vu dans notre étude, nous estimons que la plupart des cas impliquent des contaminants chimiques, des dérivés toxiques ou d'autre agents nocifs contenus dans les liquides de vapotage », poursuit Brandon Larsen.
Des liquides souvent achetés au marché noir Douze décès ont été confirmés par les autorités fédérales. Les autorités sanitaires enquêtent depuis le mois de juillet dernier pour déterminer la cause des maladies, qui frappent en majorité des hommes jeunes utilisateurs de cigarettes électroniques. Les trois quarts vapotaient des e-liquides au THC, l'agent psychoactif du cannabis, souvent achetés sur le marché noir.
Le THC est coupé avec divers additifs comme des solvants et des arômes afin qu'il puisse être chauffé et inhalé par vapotage. Les experts soupçonnent qu'un ou plusieurs additifs provoquent les maladies, qui provoquent des difficultés à respirer.
De plus en plus d'Etats et villes aux Etats-Unis et dans le monde envisagent d'interdire les cigarettes électroniques. Les vapoteuses aromatisées seront interdites dans les prochaines semaines aux Etats-Unis.