Thèmes

aimer air amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

actualités

hommage

Publié à 18:48 par fandeloup Tags : exposition chez france mort nuit femmes
hommage

Eloge aux gars et aux femmes du BTP qui meurent sans éloge A tous ceux qui ne meurent pas au lit

 La semaine dernière, deux accidents graves du BTP ont entrainé la mort d’un ouvrier sur le chantier de l’écoquartier de Palaiseau et le l’évacuation après réanimation d’un autre ouvrier à Chambéry. Tous les deux ont été victimes de ces chutes qui sont une des principales causes de mortalité dans le BTP.

De ces ouvriers, vous ne saurez rien au travers des dépêches vite emballées des feuilles de choux locales. Mais nous, nous les connaissions sans même les avoir rencontrés car nous sommes travailleurs et travailleuses comme eux face aux dangers du chantier.

Parmi nos camarades, nous avons notre part de mutilations et de vies brisées. Alors, nous rendons hommages à tous les travailleurs et toutes les travailleuses du BTP qui chaque matin se lèvent pour gagner leur croûte avec la peur au ventre, à toutes celles et à tous ceux qui grimpent l’échafaudage avec cette peur, à défaut de le faire en sécurité, à toutes celles et à tous ceux qui creusent la tranchée avec cette peur, à défaut de le faire en sécurité, à toutes celles et à tous ceux qui épandent du produit dangereux avec cette peur, à défaut de le faire en sécurité, à toutes celles et à tous ceux qui travaillent dans des conditions météos pourries avec cette peur, à défaut de le faire en sécurité.

Travailleuses ou travailleurs comme nous, nous leur rendons hommage quand ils sont fauchés par la mort de la façon la plus brutale. Nous nous associons à la douleur des familles et nous sonnons le glas pour nos collègues, nous le sonnons une fois tout les deux jours en France. Mais nous ne pourrons jamais nous contenter d’un recueillement à chacune de ces tragédies ouvrières, chaque mort du BTP a une cause et ce n’est pas la fatalité qui nous fauche. Non, c’est le patronat.

Par sa cadence de production infernale, par ses manquements en matière de sécurité, c’est le patronat qui nous tue. Au syndicat, nous n’avons pas eu d’accident mortel ou grave depuis plus de dix ans car entre camarades, nous apprenons à dire non à ce patronat assassin. Notre action quotidienne de syndicalistes combat cette "fatalité" patronale servant à masquer leur brutalité. Et chez nous, il n’y a plus de victimes.

Nous refusons d’un seul bloc les ordres à risques. Prendre des risques pour le patron est un suicide. Si le patron veut travailler sur un toit gelé, qu’il y monte lui même, ce lâche. Et nous n’oublions pas la cadence qui rend le métier dangereux. On se fait virer, mais on ne se fera pas tuer.

Le couteau du Hara-kiri, on leur laisse, on leur aiguise s’ils veulent. Les camarades du syndicat ne mourront pas pour eux, et même si nous ne sommes pas à l’abri d’être entrainés dans la mort sur les chantiers, nous n’irons pas de nous-mêmes.

l est trop tard pour ceux qui sont fauchés et nous les pleurons, comme nous pleurerons ceux qui se feront abattre par le patronat de cette semaine. Mais aux survivants quotidiens, nous leurs disons qu’il est temps d’apprendre à dire non, et de le faire avec le syndicat. Un patron ou un chantier, ça se remplace, pour vos familles, vous êtes des pères, des mères, n’en finit plus de ses éloges à la une de Pierre Berger, patron d’Eiffage, décédé à 47 ans d’une crise cardiaque dans la nuit, ce ne sont pas nos morts qui auront droit à une telle exposition médiatique.

Écrasés, brulés, explosés, décapités, démembrés, enterrés, empalés, broyés, nos morts sont moins glamours que celle d’un boy-band patronal. On les attend tous, ces médias de la brosse à reluire, sur les chantiers Eiffage venir faire l’éloge de l’ouvrier crevant par la faute du productivisme imposé par ces PDG du BTP qui meurent au lit en pétant dans la soie.

Ouvrières et ouvriers du BTP, vous n’êtes pas pour le syndicat que quelques lignes d’une dépêche, vous n’êtes pas seuls, venez nous rejoindre et construisons notre survie au patronat délinquant et à ses chantiers, ensemble !

fraude

Publié à 17:54 par fandeloup Tags : chez
fraude

Fraude à l'assurance maladie : près de 200 millions d'euros en 2014, un record

Les assurés sont responsables de moins de 20 % des fraudes constatées. Les assurés sont responsables de moins de 20 % des fraudes constatées. (AFP/Fred Tanneau)

Le montant des fraudes détectées à l'assurance maladie s'est monté à près de 200 millions d'euros en 2014, en hausse de 17% en un an, et les professionnels de santé sont les premiers fraudeurs, affirme ce lundi le journal Les Echos.

Le quotidien économique souligne que ces chiffres «ne concernent que la caisse nationale d'assurance-maladie des travailleurs salariés» où «se concentrent 96 % des fraudes».

En 2014, le montant des fraudes et activités fautives détectées «s'est élevé précisément à 196,2 millions, contre 167,1 millions en 2013», précisent Les Echos qui évoquent un «nouveau record historique».

Un montant qui reste toutefois modeste en comparaison des 178 milliards d'euros de dépenses de santé en 2014, d'autant que les pénalités financières prononcées «n'ont pas dépassé 12,3 millions d'euros». Interrogée, l'assurance maladie n'a pas démenti ces chiffres.

Les professionnels, premiers fraudeurs Au cours des dix dernières années, la répression a permis de récupérer «1,4 milliard d'euros», selon le journal, et «près de 2.900 interdictions de donner des soins ont été prononcées par les ordres contre les professionnels de santé qui ont triché», tandis que «2.600 fraudeurs ont été condamnés à faire de la prison».

Les fraudes sont «principalement repérées chez les professionnels de santé», souligne le quotidien. «Avec 73,1 millions d'euros, ils ont détourné 37 % de ces 196 millions d'euros». «Le cas classique, c'est le médecin qui facture des visites à domicile fictives, en tiers payant, et qui remplit et signe les feuilles de soins à la place de l'assuré», explique-t-il. Viennent ensuite les établissements de santé, poursuit le journal, avec «52,6 millions d'euros (27 % du total)».

Les assurés sont pour leur part «les auteurs de moins de 20 % des fraudes, à 38,8 millions d'euros».

des «pratiques inacceptables»

Publié à 12:27 par fandeloup Tags : annonce
des «pratiques inacceptables»

Examens médicaux : des «pratiques inacceptables» d'étudiants en médecine dénoncées par le ministère

Le ministère chiffre à un sur trois le nombre de touchers vaginaux et rectaux pratiqués sous anesthésie générale à l'hôpital par des étudiants sans consentement préalable des patients. L'affaire avait fait grand bruit, on peut désormais chiffrer cette pratique.

Les examens vaginaux et rectaux pratiqués sur des patients sous anesthésie générale à l'hôpital par des étudiants n'ont le consentement des personnes que dans 67% des cas annonce le ministère de la Santé. Un pourcentage sorti du rapport de la Conférence des doyens de facultés remis à la ministre Marisol Touraine et qui montre l'ampleur du phénomène.

Cette pratique, réalisée à des fins pédagogiques, avait été révélée en février dans une tribune d'une cinquantaine de médecins, journalistes et féministes. Le chiffre de 67% concerne les étudiants dans les trois premières années de la formation générale. Pour ceux qui sont plus avancés dans leur cursus, le consentement est recueilli dans 80% des cas.

Des chiffres sous-évalués Le rapport indique qu'«il n'existe pas sur ce point de schéma général» d'après Slate, qui a pu le consulter. En clair, les pratiques varient selon les sites et parfois au sein même d'un établissement. Mais ces données pourraient être sous-évaluées puisqu'elles reposent sur les déclarations des doyens de facultés de médecine.

Ces derniers ne savent pas forcément ce qu'il se passe dans leur établissement. «L’Etat sera d’une extrême fermeté face à ces pratiques inacceptables, qui portent atteinte à l’intégrité du corps humain et aux droits fondamentaux des patients» prévient le ministère de la Santé qui veut approfondir les résultats de l'enquête.

Pour y parvenir, une mission d'inspection va être lancée au sein des établissements de santé. Elle va être confiée à l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et à l’Inspection générale de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche (IGAENR).

Née avec des organes à l’extérieur de son corps

Publié à 10:48 par fandeloup Tags : vie bébé enfant sourire fille heureux
Née avec des organes à l’extérieur de son corps

La Layla, Née avec des organes à l’extérieur de son corps, lutte pour sa vie mais a retrouvé le sourire

Durant les 5 premiers mois après la naissance de Layla une petite fille écossaise à peine 5 mois, Zoé, sa mère, et James, son père, ont fait le tour des hôpitaux anglais afin d’essayer de lui sauver la vie. Car l’adorable petit bout n’a pas été épargné.

En effet, durant ses 6 premiers jours, elle a été traitée dans 4 hôpitaux différents car elle est née avec son intestin en dehors de son corps. Durant cette courte semaine, elle a subi d’innombrables, tests, analyses et opérations.

Mais ce n’est pas tout. Une fois son apparence « normale » retrouvée, les docteurs lui ont diagnostiquéune pneumonie et une infection cardiaque rare, qui lui donne des risques sérieux d’avoir un AVC. Deux fois par jour, ses parents doivent donc lui injecter du sang.

Mais, de retour à la maison avec leur enfant, 5 mois après ce terrible calvaire, la maman est consciente qu’elle revient de loin : « Oui, j’ai pensé que nous aurions pu la perdre. C’est une battante. Aujourd’hui, c’est un bébé très heureux. Elle sourit tellement facilement, malgré tout ce qu’elle a traversé ».

il risque sa vie pour sauver son chien

Publié à 17:56 par fandeloup Tags : vie homme mer mort animal chien
il risque sa vie pour sauver son chien

Pays basque : il risque sa vie pour sauver son chien tombé de la Corniche

Un vacancier bordelais a voulu, ce lundi après-midi, aller chercher son chien tombé d'une trentaine de mètres au pied de la Corniche, à Urrugne.

Il a lui même chuté Pays basque : il risque sa vie pour sauver son chien tombé de la Corniche Le vacancier bordelais a voulu porter secours à son chien qui est tombé dans l'eau du haut de la corniche. Soit une chute d'une trentaine de mètres

 Un quinquagénaire bordelais a risqué sa vie pour sauver son chien ce lundi après-midi, sur la corniche d'Urrugne, à Socoa. Le lévrier a, semble-t-il glissé, et chuté dans l'eau du haut de la falaise, une trentaine de mètres plus bas.

Paroi abrupte

Le vacancier a alors tenté de descendre à son tour la pente presque verticale pour aller récupérer l'animal et a dévalé l'abrupte paroi jusqu'en bas.

L'ami qui se trouvait avec lui a alerté les secours. Les sapeurs-pompiers luziens et hendayais, assistés de l'hélicoptère de la gendarmerie, ont aussitôt mis en place d'importants moyens sur terre comme sur mer.

Ambulance, bateau pneumatique, jet-ski, spécialistes du Groupement de recherche et d'intervention en milieux périlleux (Grimp) se sont portés au secours de l'homme et du chien . Le propriétaire presque indemne

L'homme et l'animal ont pu être récupérés rapidement par le bateau au pied de la corniche, hérissé de rochers. Miraculeusement, au vu de la physionomie des lieux, et de la hauteur de la chute, le quinquagénaire s'en sort très choqué, mais presque indemne. Il ne souffre que de contusions et d'égratignures. Il n'a pas souhaité être hospitalisé.

Le chien lui, est mort noyé.

Le Wi-Fi:

Publié à 16:17 par fandeloup
Le Wi-Fi:

Le Wi-Fi: un tueur silencieux qui nous tue lentement

Le Wi-Fi: un réseau sans fil avec lequel vous pouvez connecter de nombreux périphériques sans utiliser de câbles. Aujourd’hui le Wi-Fi est partout.

Les téléphones mobiles en bénéficient le plus, et les entreprises qui les fabriquent ont des instructions spécifiques pour l’utilisation des services de sorte qu’ils ne nuisent pas à notre santé.

Le Wi-Fi: un tueur silencieux qui nous tue lentement Nos appareils sans fil comme les téléphones et les tablettes utilisent des routeurs pour se connecter en ligne. Le routeur émet des signaux WLAN – des ondes électromagnétiques qui peuvent causer beaucoup de dommages.

Nous ignorons ce fait parce que nous n’avons pratiquement aucune connaissance de celui-ci. Avec le temps, ces signaux nuisent à l’organisme. Une étude menée par la British Health Agency a prouvé que les routeurs entravent la croissance des personnes et des plantes.

Conséquences de l’exposition Wi-Fi: fatigue chronique douleurs dans les oreilles manque de concentration forts maux de tête fréquents problèmes de sommeil Nous ne pouvons pas vivre sans la technologie – c’est un fait.

Mais nous devons apprendre à nous protéger de ses effets néfastes. Nous avons ici quelques conseils sur la façon d’utiliser le routeur en toute sécurité ou du moins réduire les dommages potentiels.

Cette ville a célébré Noël le 24 Octobre.

Publié à 13:07 par fandeloup Tags : chez histoire cadre enfant news cadeaux tendresse
Cette ville a célébré Noël le 24 Octobre.

Cette ville a célébré Noël le 24 Octobre... pour offrir un dernier Noël a un petit garçon atteint d'un cancer en phase terminale.

Magnifique, tout simplement !

Au Canada, une ville entière a fêté Noël en décorant les rues de guirlandes lumineuses, en érigeant des sapins décorés et en défilant dans les rues. Jusque-là, rien de très particulier.

Sauf que l’événement s’est produit il y a quelques jours, le samedi 24… octobre. Noël avant l’heure donc, et pas qu’un peu ! Si chez nous, certains s’agacent peut-être déjà de voir les fêtes de fin d’année débarquer dans les magasins et envahir l’espace urbain avant même l’arrivée de l’hiver, les habitants de la petite ville de St. George, en Ontario, étaient motivés par une raison bien particulière — et extrêmement émouvante…Si à St.

George, le Père Noël a décidé d’avancer sa tournée de quelques mois, c’est pour un petit garçon atteint d’un cancer du cerveau en phase terminale.

Evan Leversage se bat contre la maladie depuis qu’il est à peine âgé de 2 ans. Désormais, il a 7 ans et malheureusement les docteurs ont récemment annoncé la terrible nouvelle à ses parents : leur fils ne vivrait pas assez longtemps pour connaître son septième Noël

Alors, pour offrir à Evan un dernier Noël avec toute sa famille, ses parents ont décidé d’avancer la date pour lui. Au départ, cela ne devait pas dépasser le cadre de leur foyer… mais quand Nicola, sa maman, a distribué des flyers pour demander auxvoisins de mettre eux aussi des petites guirlandes sur leurs maisons pour montrer leur soutien, l’histoire est très vite devenue virale sur les réseaux sociaux.

Au final, la ville entière s’est retrouvée couverte de guirlandes et de lumières aux couleurs de Noël, une grande parade a été organisée et près de 7 000 personnes se sont rendues pour faire la fête juste devant la maison d’Evan, couvrant le petit garçon de cadeaux au passage !

La police d’Ontario a dépêché une flotte d’une vingtaine de voitures pour la parade, et a pris Evan à bord pour une petite virée. Le jeune enfant rêve depuis toujours d’être policier, et son souhait a finalement été exaucé : un uniforme à sa taille lui a été spécialement confectionné, et il a même été promu membre d’honneur des forces de police !

Depuis plusieurs semaines, la famille croule littéralement sous les petites attentions des commerces et des habitants de la ville. Chacun a pu contribuer à sa manière : un café distribuait du chocolat chaud, tandis que d’autres petits commerçants se joignaient à la fête en fournissant pour l’un des bonbons, pour l’autre des jouets, un autre encore des véhicules pour les parades…

Evan et tous ses proches ont bien sûr été submergés d’émotion devant toutes ces démonstrations de tendresse , d’affection et de soutien. Malgré l’ombre terrible qui plane, ce Noël-là sera sans doute le plus beau de tous pour cette famille.

Et quoi qu’en disent les docteurs, Nicola garde espoir que son fils continue à vivre : « Bien sûr, notre plus beau miracle de Noël, ce serait qu’Evan puisse avoir deux Noëls cette année, » confie la maman à CBC News. Sur la plate-forme GoFundMe, une page a été créée pour aider la famille à payer les soins médicaux.

Si vous voulez vous aussi leur faire un don pour les aider à payer l’hôpital, vous le pouvez en cliquant ici. Dans tous les cas, n’hésitez pas à partager cette magnifique histoire à vos proches !

Le soutien de tous les habitants de cette ville est vraiment très touchant, et mérite d’être applaudi !

une pièce métallique a «transpercé» un réservoir du camion

Publié à 10:13 par fandeloup Tags : nature
une pièce métallique a «transpercé» un réservoir du camion

Drame de Puisseguin : une pièce métallique a «transpercé» un réservoir du camion

Les épaves du camion et de l'autobus sont en cours d'évacuation près de Puisseguin ce lundi. Le camion impliqué dans l'accident avec un autocar qui a fait 43 morts, vendredi à Puisseguin (Gironde), s'est «déporté sur la voie de gauche» avant qu'une pièce métallique ne vienne sous le choc «transpercer» un de ses réservoirs, contribuant à un embrasement rapide, a annoncé ce lundi le procureur de Libourne.

 Les raisons de cet écart sur la voie de gauche et la nature de la pièce métallique restent à déterminer par l'enquête, a ajouté Christophe Auger lors d'un point de presse.

Le procureur a précisé que les huit rescapés, dont quatre étaient toujours hospitalisés lundi mais aucun dans un état critique, avaient tous pu être entendus.

Une «barre métallique», du type de celles utilisées pour les écrous, située à l'intérieur de l'habitacle du camion, est venue sous le choc percer un «réservoir additionnel de gasoil sous pression» placé à l'arrière de la cabine.

Elle a alors provoqué un «nébulisat», c'est-à-dire une projection de fines gouttelettes de gasoil qui, au contact d'une surface chaude, a contribué à l'incendie, a ajouté Patrick Touron, le directeur de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale.

L'identification des victimes finalisée d'ici dix jours Le procureur a par ailleurs indiqué que les «analyses toxicologiques et d'imprégnation alcooliques» pratiquées sur le chauffeur de l'autocar, qui figure parmi les rescapés et qui a pu être entendu, «se sont avérées négatives».

Le procureur s'exprimait à Libourne à l'issue d'une réunion à huis clos avec les familles et proches des victimes, au cours de laquelle une scène virtuelle de l'accident modélisée en 3D a été montrée. L'identification des victimes pourrait être finalisée d'ici «une dizaine de jours», vers «la fin de semaine prochaine», a aussi indiqué Christophe Auger.

Une information judiciaire pour «homicide involontaire par conducteur de véhicule terrestre» devrait être ouverte en fin de semaine prochaine, a-t-il ajouté.

Cyril Aleixandre, le chauffeur du camion, et son fils de 3 ans qui se trouvait avec lui sont tous les deux décédés dans l'accident.

un homme poignarde sa mère

Publié à 07:46 par fandeloup Tags : homme mort éléments vie
un homme poignarde sa mère

Hautes-Alpes : un homme poignarde sa mère pendant son sommeil

Un Marseillais de 39 ans a été interpellé à Vallouise (Hautes-Alpes) et placé en garde à vue après avoir tenté de tuer sa mère dans son sommeil.

Selon le Dauphiné Libéré, cet homme a appelé dans la soirée de vendredi les pompiers pour les avertir qu'il avait porté deux coups de couteau à sa mère de 59 ans alors qu'elle dormait, l'un au cou l'autre au thorax.

D'après les premiers éléments de l'enquête, tous les deux étaient en week-end dans leur résidence secondaire. Le fils projetait de se suicider et d'emporter sa mère avec lui. Mais son plan macabre ne s'est pas déroulé comme prévu.

«Le fils affirme dans ses déclarations avoir eu l'intention de mettre fin à ses jours par asphyxie après avoir tué sa mère. N'y étant pas parvenu, il a finalement décidé d'appeler les secours pour tenter de la sauver», a déclaré le procureur de la République de Gap, Raphaël Balland.

La victime a rapidement été évacuée vers le centre hospitalier de Briançon où elle a subi une intervention chirurgicale en urgence. Entre la vie et la mort, son pronostic vital est engagé. Aucun antécédent psychiatrique

«Le fils, dont les propos sont cohérents, affirme ne pas avoir pris de médicaments. Des analyses ont été ordonnées afin de vérifier si l'homme a consommé de l'alcool et des stupéfiants», a indiqué le magistrat.

Inconnu de la justice, l'auteur présumé des coups de couteau est célibataire et a un emploi stable depuis de nombreuses années. Son père qui était à Marseille au moment des faits a indiqué qu'il ne lui connaissait aucun antécédent psychiatrique et n'a apporté aucun élément pouvant permettre de comprendre son geste.

Le parquet de Gap a décidé de se dessaisir au profit du pôle criminel de Grenoble où le mis en cause sera présenté par les gendarmes ce dimanche après midi en vue d'une mise en examen pour «tentative d'homicide sur ascendant».

Une information judiciaire a été ouverte.

Drame de Puisseguin

Publié à 19:29 par fandeloup Tags : animal air
Drame de Puisseguin

Drame de Puisseguin : la chaussée était légèrement humide

L'enquête sur la tragique collision, survenue vendredi matin à Puisseguin (Gironde) et qui a fait 43 morts (41 passagers du car, le chauffeur du camion et son fils), se poursuit ce lundi avec l'arrivée des experts en accidentologie.

Sur le site de l'accident, les enquêteurs de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) ont poursuivi la collecte des indices dans les carcasses calcinées du car et du camion.

Jérôme Groisard

Rescapé du drame, le conducteur du car Mercedes, qui a eu un comportement héroïque, doit être à nouveau entendu par les gendarmes ce lundi pour apporter d'éventuelles précisions. «Une simple audition comme témoin», souligne un enquêteur.

Les gendarmes ont également prévu d'auditionner prochainement, toujours en qualité de témoin, le concessionnaire Véhicules Lourds Mercedes de Bordeaux.

Les enquêteurs ont par ailleurs récupéré les principales données météorologiques de vendredi matin. Il en ressort que la chaussée de la sinueuse départementale 17 était légèrement humide, à l'endroit de la collision entre l'autocar et le camion.

«Mais rien d'extraordinaire», précise un enquêteur. Cette légère humidité a pu être favorisée par la zone boisée du vallon, et la frondaison des arbres. Par ailleurs, il n'y avait pas de pluie, et la visibilité était parfaitement normale. Les investigations se poursuivent aussi pour tenter d'expliquer comment le camion et sa remorque vide s'est retrouvé «en portefeuille» avant de croiser la route du car.

La remorque grumière longue et allège a pu pousser le tracteur à sortir de la route. «Une telle remorque est plus dangeureuse vide que chargée, un simple tressautement peut entraîner une perte d'adhérence», observe un spécialiste.

Aucune trace qu'un animal ait traversé la chaussée

La possibilité qu'un animal, comme un sanglier ou un chevreuil, ait soudainement traversé la chaussée et surpris le routier, reste hypothétique.

Selon nos informations, aucune trace d'un tel animal n'a pour l'instant été retrouvée dans les multiples débris. Autre point, les premières vérifications sur le camion ont montré que le véhicule était en régle.

Idem pour les carnets d'entretien et de contrôle technique. Par ailleurs, il n'y avait pas de grue hydraulique sur le tracteur ou sur la remorque. Donc le facteur huile qui aurait pu constituer un accélérant de combustion s'efface.

Enfin, l'embrasement (et son origine) soudain et très intense des deux véhicules de transport demeure un mystère. Un échauffement des pneus qui ripent apparaît peu probable. Même chose pour un feu d'essieu, qui surviendrait en théorie quand un véhicule est lourdement chargé.

Les batteries du camion qui crèvent sous le choc et déclenchent un arc électrique reste une explication possible. Ces batteries de 24 volts sont puissantes.

Le voltage est plus important en raison des nombreux fluides ou compresseurs que ce réseau doit alimenter (frein à air comprimé, suspension à compensation pneumatique, remorque frigo...)