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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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Le robot Philae

Publié à 16:52 par fandeloup Tags : background bonne
Le robot Philae

Le robot Philae a fait sur la comète «Tchouri» une découverte majeure

L'atterrissage peu orthodoxe du robot Philae sur la comète Tchourioumov-Guérassimenko en novembre dernier a paradoxalement abouti à une découverte scientifique majeure.

En rebondissant en plusieurs points de la surface de la comète, au lieu de s'y ancrer une bonne fois pour toutes, le magnétomètre INSTALLÉsur l'atterrisseur a en effet pu prendre des mesures en plusieurs endroits, qu'il a eu le temps de transmettre sur Terre.

Et les conclusions des scientifiques sont plutôt inattendues : le noyau de la comète n'a en effet...aucun champ magnétique. Ces résultats, publiés mardi dans la revue américaine Science et présentés simultanément devant l'Union Européenne des Géosciences (EGU), réunie à Vienne (Autriche), pourraient en effet balayer une théorie clef sur le rôle des forces magnétiques dans la formation des comètes et d'autres corps du système solaire.

Pour arriver à ce résultat, les scientifiques ont étudié les mesures faites par le magnétomètre installé sur la sonde Rosetta, mais aussi par le ROMAP, installé sur Philae, qui a eu le temps de transmettre le résultat de ses mesures avant de s'éteindre, dans une zone très peu éclairée, 48 heures après son atterrissage.

67P est un «remarquable objet non magnétique» «Nous sommes la seule équipe probablement à bénéficier de tels sauts. D'habitude, nous pouvons seulement mesurer le champ magnétique en un point. Mais avec tous ces rebonds, nous avons eu l'opportunité (...) de mesurer quatre points», a souligné Hans-Ulrich Auster, co-auteur de l'étude.

Après analyse de ces données, «nous concluons que la comète 67P/Tchouriomov-Guérassimenko est un remarquable objet non magnétique», a-t-il ajouté. «Si la comète 67P/Tchourioumov-Guérasimenko, est représentative de tous les noyaux cométaires, nous pensons qu'il est improbable que les forces magnétiques aient joué un rôle dans l'accumulation de corps rocheux de plus d'un mètre qui ont participé à la formation des planètes», a-t-il ajouté.

Pour le moment, faute d'ensoleillement, le robot muni de panneaux solaires n'est pas parvenu à recharger sa batterie. Mais les scientifiques espèrent que lorsque la comète «Tchouri», qui est accompagnée de Rosetta, s'approchera davantage du Soleil, la batterie de Philae pourra se recharger et qu'il pourra se réveiller. 

suisse

Publié à 17:49 par fandeloup Tags : background artiste
suisse

Le saviez-vous : SUISSE :

L'artiste Romain Crelier crée cette installation sur le sol de l'abbaye de Belleday, deux bassins peu profonds d'huile de moteur usée qui créent les miroirs, reflétant la beauté de l'intérieur du bâtiment.

fille-serpent

Publié à 10:58 par fandeloup Tags : vie background bonne fille pouvoir
fille-serpent

Thaïlande : Une fille-serpent attire des foules de pèlerins et de touristes

 La petite Mai Li Fay qui a 8 ans, de Bangkok, est loin de vivre la vie habituelle d’une petite fille de son âge.

Chaque jour, des milliers de gens viennent se recueillir devant sa maison familiale, afin d’avoir une chance de pouvoir toucher la jeune fillette, un geste que les pèlerins hindous et bouddhistes semblent percevoir comme étant une garantie d’être sous une bonne étoile.

Selon un très haut expert médical du pays, le Dr Ping Lao, la jeune fille souffre d’un syndrome très rare connu sous le nom de Serpentosis Malianorcis, ou, la maladie de Jing Jing, qui fait qu’elle a une forme reptoïde au niveau du bassin sous tous les aspects.

Seule une poignée de ces cas ont été enregistrés tout au long de l’histoire, de sorte que la connaissance scientifique accumulée sur la pathologie est plutôt limitée, et il n’y a pas de remède en vue au moment présent.

La famille de Fay a appréhendé la situation de Mai Li avec un mélange d’anxiété et de nervosité, car les touristes ne cessent de se précipiter pour voir le phénomène et les pèlerins amènent de quoi soutenir la famille en ces temps difficiles, et cela a contribué à leur amélioration en terme de classe sociale mais ça leur a coûté en terme de vie privée et d’intimité.

greffe

Publié à 10:14 par fandeloup Tags : vie background moi homme mort
greffe

Il accepte d'être le premier homme à greffer sa tête sur un autre corps

Un Russe atteint d'une grave maladie dégénérative a autorisé un chirurgien controversé à tenter de transplanter sa tête sur le corps d'un autre individu. Valery Spiridonov est atteint de la maladie de Werdnig-Hoffman, qui atrophie ses muscles et le cloue dans un fauteuil depuis son plus jeune âge.

Ce programmeur informatique de 30 ans, dont les facultés cérébrales sont restées intactes, sait que cette maladie génétique incurable ne lui laisse que peu de temps à vivre. Il vient donc d'accepter de remettre sa vie entre les mains du controversé chirurgien italien Sergio Canavero pour que ce dernier essaie de transplanter sa tête sur un corps sain, annoncent plusieurs médias internationaux dont le site russe Gazeta, le "Daily Mail" et "Courrier International".

A grands renforts de campagnes médiatiques, Sergio Canavero affirme depuis le début de l'année qu'il sera prêt à réaliser une telle opération dès 2016. Valery Spiridonov n'a échangé avec le chirurgien que par l'intermédiaire de "Skype", mais est décidé à se donner une chance "d'avoir un nouveau corps avant de mourir". "Je ne changerai pas d'avis.

Si j'ai peur ? Bien sûr, mais je n'ai pas beaucoup d'autres solutions. Si je laisse passer cette chance, mon sort ne sera pas enviable", déclare-t-il au "Daily Mail".

L’opération, qui doit durer 36 heures, est estimée autour de 10 millions d'euros par Sergio Canavero et nécessitera le corps d'un donneur en état de mort cérébrale. Les deux hommes seraient décapités en même temps par une lame ultra-fine, décrit le "Daily Mail" puis la tête serait placée sur le corps du "donneur" grâce à une glu spéciale à base de polyéthylène glycol, concoctée par Canavero lui-même.

Après la greffe, Spiridonov devra ensuite être maintenu un mois en coma artificiel pour immobiliser les muscles du cou, pendant que des électrodes aident à la régénération des liaisons nerveuses et à la fusion des moelles épinières. S’il survit, et si la greffe est un succès, il pourra bouger, parler avec sa propre voix et sentir son propre visage. Une physiothérapie lui permettrait de se lever au bout d'un an. Des immunosuppresseurs puissants lui seront également administrées pour empêcher le rejet de greffe.

"Mauvaise science-fiction" Si les greffes spectaculaires se sont multipliées ces dernières années (bras, mains, utérus, visage...), les déclarations de Sergio Canavero déclenchent un tollé dans la communauté scientifique, au sein de laquelle beaucoup considèrent une opération d'ici 2016 comme un "pur fantasme".

Le président de l'Association américaine des chirurgiens neurologues, Hunt Batjer, a déclaré à CNN : "Je ne souhaiterais ça à personne, et je ne permettrais à personne de le faire sur moi. Il y a des choses qui sont bien pires que la mort." "Peut-on se permettre de supprimer une partie du corps d’une personne sous le prétexte qu’elle est paralysée ?" déclarait au "Plus" le professeur de médecine Olivier Rémy-Néris en mars.

"Tant d'un point de vue technique qu'éthique, cette opération tient pour l’heure davantage de la mauvaise science-fiction que de la médecine." La première greffe de tête réussie avait été réalisée sur un singe il y a plus de 40 ans. L'essai s'était soldée par la mort de l’animal au bout de quelques jours.

Ma poupée

Ma poupée

«Ma poupée, mon amour»

Frédéric, 36?ans, vit avec deux poupées. Ses «love dolls», il les aime, les caresse, les habille. Portrait d’une relation pas comme les autres et reportage près de Lyon, dans l’usine où naissent ces femmes de plastique. Il les appelle Choupinettes. Un duo de brunes, 1??m?60, 30 kilos, le regard vide.

Aujourd’hui, pourtant, il n’y a que Lilica, attablée devant la salade qu’elle ne mangera pas. Sa copine est à l’usine. En réparation. Frédéric lui a «cassé le dos» en la manipulant. «Un problème de soudure dans les vertèbres», précise-t-il. Frédéric a 36?ans.

Il vit dans un petit village de la campagne lyonnaise, travaille comme logisticien dans une entreprise et fait du sport chaque semaine avec quelques copains. S’il accepte de raconter ici ce qu’il n’a jamais dit à personne, c’est parce qu’il souhaite qu’on respecte son choix de vie et qu’on ne le prenne pas pour un pervers.

Lilica et Yurica aux reins brisés sont deux poupées en silicone, grandeur nature, squelette articulé, orifices pénétrables; quand les petites nièces de Frédéric viennent jouer à la maison, il les planque dans un placard. Cela fait maintenant quatre ans que Frédéric s’est «réfugié dans ce monde des poupées».

Un univers où les FEMMES sont belles pour toujours et ne le «prennent pas pour un con». Le Français a franchi le pas à la suite d’une rupture sentimentale.

«C’était un ras-le-bol général des femmes, confie-t-il. A la place de me consoler dans les bras de la première venue, je l’ai fait dans ceux d’une poupée. Une prostituée, non, ça ne m’a jamais attiré. Je ne voulais pas d’un sex toy mais d’un hobby.»

Sur les forums, il découvre les expériences des autres. L’histoire de ce veuf qui a perdu sa femme d’un cancer et qui, par peur de revivre une telle expérience, a décidé de couler des jours heureux avec une poupée en pleine santé. Celle du divorcé qui jure que sa poupée est vierge mais dont la compagnie lui est si agréable qu’il l’a présentée à sa fille de 25? ans. Frédéric ne gardera sa première amoureuse en silicone qu’une dizaine de mois. «Je ne m’habituais pas vraiment. J’avais l’impression que cela m’empêchait de rencontrer quelqu’un.»

Alors Frédéric met sa poupée en vente et RENCONTRE un acheteur venu du Nord. Pas facile de revendre une poupée de seconde main. «Quand elle est partie, je me suis senti soulagé. Même si, forcément, ça fait un peu mal d’imaginer qu’un autre la tripote.»

Frédéric retrouve la liberté de celui qui n’a plus de secret, mais la solitude s’installe. «J’ai regretté. Je m’ennuyais d’elle. Je n’avais RENCONTRÉ personne.» Il économise et tente à nouveau cette vie de couple non conventionnelle avec Lilica. Une question de respect En mars dernier, il craque cette fois pour le corps de la poupée modèle Yurica, «plus fin, plus réaliste, mais avec des courbes plus sensuelles».

«Lilica n’est pas là pour l’entendre, mais oui, Yurica m’attire plus», avoue-t-il. Avec «ses deux belles femmes qui l’attendent à la maison», il redécouvre la joie des soirées télé en bonne compagnie et partage son lit.

Et le sexe? Oui, aussi.

«Mais je ne suis pas vingt-quatre heures sur vingt-quatre dessus. Je traite mes poupées de la même manière que je le ferais avec une femme.» Pour lui, c’est une question de respect. «Et tant pis si ça fait sourire.» Il prend le temps «de faire des préliminaires».

«Bon, on ne peut pas lui rouler une pelle, c’est l’inconvénient des visages à bouche fermée. Mais ça ne m’empêche pas de les embrasser. Et, pour la fellation, eh bien j’ai déjà eu des copines qui ne voulaient pas forcément faire ça et on n’en faisait pas tout un plat.»

De toute façon, c’est Frédéric qui a sélectionné tous les attributs de ces filles parfaites.

«J’aime les femmes fines, pas trop grandes et hyperféminines.»

Il a ainsi choisi l’option yeux noisette, chevelure brune, peau marron sable, tétons marron clair et french manucure. Customisation totale pour le client, c’est le credo de la marque Doll Story. Les poils: implantés un à un A l’usine où naissent ces femmes de plastique, dans la zone industrielle de Lyon, Miriam est spécialiste en finitions.

Le vernis à ongles, les aréoles des seins ultraréalistes peintes à l’aérographe, le maquillage: c’est son job. La pluie fait du tam-tam sur le toit de l’atelier, mais Miriam n’entend rien, trop concentrée. Aiguille en main, elle prélève un cheveu sur la perruque crépue posée devant elle et implante un à un ces derniers sur le pubis de la poupée qu’elle prépare pour un client.

Une love doll, c’est trois jours de travail, environ 7000?euros, 7350?francs, six corps au choix, dont deux sont fabriqués en France, les autres proviennent du Japon, plus de 20 visages, des options vagin réaliste ou vagin extractible pour un nettoyage simplifié.

Question tendance, Guillaume et Miriam, les deux employés de cette petite entreprise familiale, sont formels: il semble que les clients allemands aient une préférence pour les sexes velus, les Russes pour les pubis imberbes et les poitrines voluptueuses et les Anglais un faible pour les rousses.

Et les Suisses, qui ont acheté plus de 50 poupées, ont-ils un dada? Non, rien, la neutralité, sans doute. Chaque mois, Jean-Philippe Carry, 50?ans, le patron de Doll Story, ancien directeur marketing d’une entreprise parisienne, vend dix poupées qui sortent des moules en fibre de verre.

«Au début, cette activité me gênait un peu, rigole-t-il de sa voix éraillée par trop de Gauloise. Maintenant je m’en fous. Je vends un objet d’art, un produit de luxe. Je ne vais jamais sur les salons érotiques, c’est ringard. Et moche. On ne vend pas une telle poupée à côté d’un gode à 10 balles.»

Jean-Philippe Carry fait dans le luxe mais parle comme un mac. Un argot savoureux qui décrit ses belles avec passion. Il rêve d’avenir. Du jour prochain où les poupées auront l’épiderme chauffé par des capteurs, un regard qui suivra le déplacement de leur maître, une respiration et une voix pour gémir.

«Il existe un marché pour des modèles femmes mûres, s’emballe-t-il. Pour des peaux noires, des femmes fortes.» La seule contrainte sera alors le poids. «Ce sera toujours plus facile de baiser 60 kilos de FEMME qui s’accroche à ton cou plutôt que 30 kilos de poids mort…»

La seule chose qu’il n’envisage pas, ce sont les poupées hommes. «Sauf pour le marché homosexuel, nuance-t-il. Ça existe aux Etats-Unis, mais pas ici. Les femmes ne sont pas intéressées et le marché gay est trop confidentiel.»

Toujours un peu seul Pour Frédéric, Lilica et Yurica sont bien plus que des objets sexuels. Il a des rêves de midinette, des fantasmes de Monsieur Tout-le-Monde. Il aimerait sortir ses belles au cinéma, se faire un restaurant le samedi soir.

Mais il n’ose pas, «pas le culot». Alors il vit caché et craint l’attention des voisins. Il a reçu ses belles dans des cartons géants, format cercueil. Dans son petit salon, il met en scène ses poupées pour en faire des albums de photos et alimenter son site internet.

Pas de pornographie, juste des clichés de charme, un érotisme quasi adolescent, un peu troublant. Frédéric reconnaît une libido fragile avec un petit côté fétichiste. «Lilica et Yurica doivent bien avoir 20 paires de chaussures.» Sa vie avec ses deux compagnes le comble, dit-il. «Bien sûr, avec les poupées il n’y a pas d’échange.

On est toujours un peu tout seul. Je leur parle; évidemment elles ne répondent pas. N’empêche, je me sens entouré. C’est plus facile qu’avec une femme. Je tiens beaucoup à elles. C’est grâce à elles que je suis là où je suis.» Frédéric dit qu’il est heureux.

le ver tueur d'escargots débarque en Europe

le ver tueur d'escargots débarque en Europe

Alerte: le ver tueur d'escargots débarque en Europe P

Une nouvelle espèce de ver, inconnue jusqu'ici en Europe, a été identifiée à Caen, en Normandie. Un ver tueur qui s'attaque aux escargots et aux vers de terre, ce qui en fait à terme une menace pour la biodiversité et la fertilité des sols.

Terrible image d'un ver plat, Platydemus manokwari, terminant sa dégustation d'un escargot français.

Il est plat, mesure 5 cm de long et 5 mm de large, son dos est couleur olive noire, avec une bande centrale claire. Et c'est la nouvelle terreur des jardins.

Son nom ? Platydemus manokwari.

Une nouvelle espèce de ver, inconnue jusqu'ici en Europe, a été identifiée dans les serres du Jardin des plantes de Caen, dans le Calvados. Cette découverte n'est pas une bonne nouvelle, car s'il se répandait dans la nature, cet animal exotique originaire de Nouvelle-Guinée, pourrait s'attaquer à nos escargots nationaux.

"On sait de manière certaine que partout où Platydemus manokwari s'est installé, il a détruit toute la faune d'escargots autour de lui", met en garde Jean-Lou Justine, chercheur au Muséum national d'Histoire naturelle, à Paris.

"Mais c'est pire que ça, parce qu'il va manger d'abord les escargots, puis après tout ce qui se trouve sur le sol et qui est mou, comme les vers de terre", poursuit ce spécialiste des Plathelminthes (vers plats) terrestres. Pour le scientifique et son équipe, qui ont publié leur découverte mardi dans la revue de biologie PeerJ, il y a urgence à prévenir la prolifération de cette espèce en Europe, en raison de la menace qu'elle représente pour la biodiversité, et la fertilité des sols.

Un ver qui monte aux arbres

Les caractéritiques de Platydemus manokwari, "une espèce de montagne qui vit naturellement dans les zones alpines jusqu'à subalpines, les zones tempérées fraîches et chaudes et jusqu'aux climats tropicaux", pourraient lui permettre "d'envahir pratiquement toute la moitié sud de l'Europe sans aucun problème", relève le professeur Justine. L'animal, classé dans la liste des 100 espèces exotiques les plus envahissantes au monde, est tenace. Il serait capable de suivre des "pistes" d'escargots, de monter aux arbres pour dénicher ses proies et même de fomenter des attaques "en bande organisée".

Comment expliquer le voyage de Platydemus manokwari depuis la Nouvelle-Guinée jusqu'en France?

"La vraie cause des invasions biologiques, c'est la mondialisation, c'est-à-dire le transport effréné de marchandises, avec des contrôles insuffisants, d'un bout à l'autre de la planète", indique Jean-Lou Justine. Des vers plats terrestres non-indigènes, principalement des espèces de l'hémisphère sud, ont été signalés dans 13 pays européens.

Le Royaume-Uni, qui a des liens historiques avec l'Australie et la Nouvelle-Zélande, en compte au moins une douzaine.

28 départements français sont déjà touchés par l'une des sept espèces de vers invasifs 28 départements français sont déjà touchés par l'une des sept espèces de vers invasifs INPN Jessica Thévenot En France, le professeur Justine répertorie sur son site internet six espèces invasives, en plus du Platydemus manokwari.

Les départements les plus touchés sont le Finistère et les Pyrénées-Orientales. Le quart nord-est de la France reste pour l'instant épargné par les vers plats, mais l'espèce la plus répandue, Platydemus manokwari, "marron-plate", mange déjà des vers de terre "très activement" dans plus de 20 départements.

Si vous découvrez l'une de ses bestioles dans votre jardin, n'hésitez pas à prendre contact avec le professeur Jean-Lou Justine par l'intermédiaire de son site internet ou de son compe Twitter.

Vous aiderez la recherche, et les lombrics et les escargots vous le rendront.

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/alerte-le-ver-tueur-d-escargots-debarque-en-europe_1497406.html#jVtZhtLGq9HtocIQ.99

on lui retire une sangsue vivante de 7 cm

Publié à 16:16 par fandeloup Tags : fond background histoire enfant
on lui retire une sangsue vivante de 7 cm

Il se plaint d'un mal de gorge, on lui retire une sangsue vivante de 7 cm Ce jour-là, Chen Xiaobo, 11 ans, rentre de l’école dans la province de Sichuan en Chine. Il s’arrête pour boire de l’eau d’un étang avec un sceau, posé le long de la route,relate le Mirror. Quelques semaines plus tard, il ressent des picotements dans le fond de sa gorge. Puis des douleurs, des vertiges et des étourdissements.

«Au début, nous avons pensé qu'il avait la grippe», explique la mère de l'enfant. «Il ne nous avait pas parlé de cette histoire de seau, donc nous ne pensions pas qu’il pouvait avoir attrapé quelque chose». Elle ajoute. «Nous lui avons donné des médicaments et gardé au lit, mais son état s’est aggravé».

L’enfant est transporté à l’hôpital. Les médecins lui font une radio du thorax et découvrent une sangsue vivante de 7 centimètres dans la gorge de l’enfant. «Nous avons constaté que le garçon avait avalé des larves de sangsue et qu’il avait introduit lui-même dans son système respiratoire», a expliqué un porte-parole de l’établissement. «La sangsue avait atteint 7 centimètres.

A chaque fois qu’elle se recroquevillait, elle bloquait ses voies respiratoires et lui faisait perdre connaissance» Il est très probable qu’elle s’était déplacée de son gosier jusqu’à sa gorge pour prendre l’air». Heureusement, l’animal n’avait pas causé d’infection. «Nous avons pu l’extraire sans aucune complication et le garçon se sent beaucoup mieux».

atteint d’hydrocéphalie

Publié à 11:58 par fandeloup
atteint d’hydrocéphalie

Un petit Chinois de 3 ans, atteint d’hydrocéphalie, un problème neurologique qui fait grossir sa tête

La famille de Cao Pengwei, un petit Chinois de 3 ans, est désespérée: sa tête ne cesse de grossir et a déjà atteint le double de sa taille normale à cause de sa maladie.

Alors qu’il avait deux ans, le petit Cao apprenait qu’il était atteint d’hydrocéphalie, un problème neurologique sévère aux conséquences importantes.

En effet, des fluides s’accumulent sous son crâne. Conséquence, sa tête fait plus de 80 cm de circonférence, soit le double de la taille qu’elle devrait normalement atteindre. Le traitement prévu pour lui extraire le liquide n’a pas fonctionné et la seule solution semble être l’opération.

Mais celle-ci coûte cher, et les parents de Cao ont déjà des milliers d’euros de dettes. Le petit Cao a dû quitter l’hôpital de Jiujiang, à l’est de la Chine, car ses parents n’étaient plus en mesure de payer les frais. « Je ne veux pas renoncer », déclare la mèree.

humour

Publié à 11:02 par fandeloup Tags : homme background argent
humour

Deux-Sèvres : il braque une boulangerie, puis envoie une lettre d'excuse et de l'argent

La gendarmerie des Deux-Sèvres avait diffusé sur sa page Facebook un portrait-robot représentant le principal suspect du braquage de la boulangerie du Pin.

Gendarmerie Nationale Un jeune homme de 20 ans, étudiant, doit être jugé ce vendredi par le tribunal correctionnel de Niort (Deux-Sèvres) pour vol à main armée bien qu'il ait fait amende honorable en envoyant une lettre d'excuse et de l'argent à sa victime.

L'auteur du vol a agi avec un complice, le13 février dernier, dans une boulangerie située au Pin, petite commune des Deux-Sèvres. Un portrait-robot avait été diffusé par la gendarmerie, ce qui a permis aux enquêteurs de remonter jusqu'au complice, âgé de 21 ans, puis au principal suspect, selon La Nouvelle République.

Interpellé mercredi dans la région de Metz, ce dernier a reconnu les faits. Il avait menacé la boulangère avec un couteau afin de se faire remettre le peu d'argent qui se trouvait dans la caisse.

Le jeune homme sera jugé en comparution immédiate pour «extorsion et vol aggravé». Mais bien avant son arrestation, il avait adressé une lettre d'excuse à la boulangère.

L'enveloppe de ce courrier inhabituel contenait également une somme d'argent liquide, non précisée, pour dédommager la commerçante du préjudice. Dans la lettre à sa victime, le prévenu avait même tenté de justifier très maladroitement son acte en écrivant : «J'espère que cette mésaventure aura pu créer de la publicité pour VOTRE commerce.»

Cet enfant condamné

Publié à 13:50 par fandeloup Tags : belle vie amour mort histoire fille enfant
Cet enfant condamné

Cet enfant condamné à mort sauve trois personnes dont sa maman ! Quel héros !

Lui et sa mère étaient mourants. À sept ans, le petit Chen prend une décision d'adulte. Cet enfant possède un courage incroyable. Non seulement il va accepter sa propre mort, mais en plus, il veut lui donner un sens en sauvant sa mère.

C'est l'émouvante histoire de Chen Xiaotian, un jeune enfant vivant en Chine. Il est condamné à mort par une tumeur cérébrale. Il n'a plus aucune chance.

La situation empire cependant, quand les reins de Zhou Lu, sa mère, sont détruits. L'enfant ne pouvait pas supporter l'idée que sa mère meure. Il démontre alors son amour et son courage de la manière la plus belle possible. Il offre ses propres organes à sa mère.

C'est l'histoire d'un combat pour la vie Chen Xiaotian vivait paisiblement avec sa mère. Lorsque sa maladie fut annoncée, elle demeura à tout instant à ses côtés. Un enfant sauve sa mère

Puis, ce fut le drame : Zhou Lu se fit diagnostiquer une insuffisance rénale. Elle aussi, semblait condamnée. Pour les médecins, il n'y avait qu'une seule solution pour la sauver.

Il lui fallait une transplantation. Et la seule personne compatible était son fils. Ils approchèrent tout d'abord la mère de Zhou (grande-mère de Chen), pour lui parler de cette option.

Lorsqu'elle en parla à sa fille, celle-ci refusa. Elle ne voulait même pas en entendre parler. Le petit Chen Xiaotian apprit la nouvelle. Il demanda à sa mère de prendre ses reins.

C'est en larmes qu'elle finit par accepter. À la mort du petit garçon, l'opération eut lieu. On préleva au corps de Chen ses reins et son foie. Une chose étonnante se produisit alors : les médecins s'inclinèrent devant le courage de l'enfant. Zhou Lu se réveilla finalement, après le succès du transplant.

Elle possédait un nouveau rein. La jeune mère était inconsolable, mais reconnaissante envers son défunt fils. Les autres organes de Chen furent donnés à deux autres patients en besoin. Ceux-ci survécurent à l'opération.

Ainsi, le jeune garçon avait sauvé 3 personnes. Un véritable héros. Aujourd'hui, Zhou Lu continue à vivre sa vie. Les docteurs n'étaient pas certains qu'elle puisse vivre normalement. Les tests récents révèlent cependant qu'elle est maintenant rétablie. Une guérison complète et miraculeuse, grâce à son fils.