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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Stains : cinq policiers de la BAC suspectés de corruption et arrêtés (
Des policiers de la BAC de Stains (Seine-Saint-Denis) auraient même tenté d'intimider leur commissaire.
Cinq policiers de la brigade anticriminalité (BAC) de Stains (Seine-Saint-Denis) ont été interpellés ce lundi, selon M6 et le site internet de BFMTV.
Ces fonctionnaires — dont deux gradés — sont soupçonnés de corruption mais aussi de menaces envers leur supérieur hiérarchique. C'est la Direction territoriale de la sécurité de proximité de Seine-Saint-Denis qui a saisi le procureur il y a plusieurs mois lorsque des comportements suspects ont été signalés au sein de la BAC de Stains. Selon BFMTV, l'information judiciaire a été ouverte le 22 mai 2014.
Les cinq suspects ont été interpellés, certains sur leur lieu de travail, par l'Inspection générale de la police nationale (IGPN). La «police des polices» enquêtait sur les agissements des suspects et de toute la BAC de cette localité, qui comprend un peu plus d'une dizaine de fonctionnaires.
L'IGPN a agi dans le cadre d'une information judiciaire ouverte à Bobigny pour des faits de «corruption active» qui reposent «sur des indices graves et concordants» en l'état de l'enquête.
Les policiers de la BAC sont soupçonnés de vols en réunion et d'extorsion de fonds dans le cadre d'affaires de stupéfiants notamment, ou lors de la saisie de scellés.
Racket, menaces et violences D'après BFMTV, les soupçons portent sur des qualifications de «vol aggravé, associations de malfaiteurs, faux en écriture, et modification de scène de crime». Très concrètement, «il s'agissait d'un racket organisé suivi de menaces, voire de violences physiques s'il n'était pas respecté», précise une journaliste de la chaîne d'information continue.
Une enquête est aussi ouverte pour des «menaces à l’encontre d’une personne dépositaire de l’autorité» selon M6. L'ancienne commissaire qui supervisait la BAC de Stains aurait constaté «des dysfonctionnements majeurs» au sein de son service.
A ce moment, elle aurait fait l'objet de menaces anonymes, les pneus de sa voiture auraient été crevés et un fonctionnaire du commissariat serait allé jusqu'à consulter un fichier de police pour trouver son adresse personnelle…
Depuis, la commissaire a été mutée dans un autre hôtel de police dans le sud-ouest de la France. On ne peut assurer pour l'instant que les deux dossiers — corruption et menaces — sont liés. Les policiers soupçonnés avaient été détachés de la BAC et affectés dans d'autres services placés sous une surveillance hiérarchique plus étroite que ces unités de terrain.
Un quartier entier a appris le langage des signes pour surprendre un voisin sourd Un quartier entier a appris le langage des signes pour surprendre un voisin sourd
Des gens d’une petite ville en Turquie ont organisé toute une surprise à un homme sourd. À l’aide du géant Samsung et de la soeur de l’homme, ils ont mis des semaines de préparations dans cette journée qui deviendrait spéciale pour l’homme malentendant. Ils ont tous appris une phrase avec le langage des signes. Après quelques rencontres, l’homme s’est rapidement demandé ce qui se passait.
Voici ce que les caméras cachés ont capté:
Cigarettes: 13 euros, le «juste» prix du paquet que les fumeurs devraient payer
Le coût du paquet de cigarettes devrait être de 13,07 pour ne rien coûter à la collectivité.
Arrêts maladies, absences au travail...
Le coût du paquet de cigarettes devrait être de 13,07 pour ne rien coûter à la collectivité.
Fumeuse pour certains, l’étude du cabinet Microeconomix publiée, ce lundi, n’en reste pas moins prometteuse pour rééquilibrer les finances publiques. Deux économistes de ce cabinet de conseil se sont attelés à calculer le coût réel de la consommation de tabac en France pour l’ensemble de la collectivité.
Il en ressort que le paquet de cigarettes devrait coûter 13,07 euros pour que l’addiction des uns ne coûte rien aux autres, d’après Le Parisien qui révèle cette information. Le prix des cigarettes n'augmentera pas en 2015 Le principe est simple.
Arrêt maladie, absences au travail, soins importants: la consommation de tabac peut engendrer des coûts qui ne rentrent pas aujourd’hui dans le prix affiché chez les buralistes. D’après le calcul, le coût du paquet de blondes devrait atteindre 13,07 (soit une augmentation de six euros) pour représenter une opération blanche pour la communauté. Les fumeurs décédés ne payent pas d’impôts
Mais l’Etat ne serait pas forcément le grand gagnant de cette opération. Car, malgré tous les défauts qu’il occasionne, le tabac représente aujourd’hui une source de revenus pour l’Etat. De près d’un milliard d’euros environ, même.
Interview: «Bercy et les cigarettiers travaillent main dans la main» Dans la balance négative, l’Etat doit s’acquitter de 16,3 milliards d’euros en dépenses de santé pour les fumeurs.
Auxquels il faut ajouter 3,3 milliards d’euros d’impôts non perçus pour cause de décès prématurés, indique Le Parisien. Mais dans la balance positive, l’Etat engrange 14 milliards de taxes sur le tabac et, comble du cynisme de cette étude, économise 6,6 milliards d’euros en pensions de retraites non versées aux fumeurs décédés plus tôt. Les entreprises trinquent à cause de la clope Ce sont surtout les bénéfices des entreprises qui partent en fumée à cause des accrocs à la nicotine, selon l’étude de Microeconomix.
Entre absences répétées et pertes de rendements, les entreprises doivent aussi dépenser plus pour recruter et former de nouveaux salariés à la place des fumeurs malades ou décédés. La loi Evin ne fait pas un tabac en entreprise Rien que pour 2013, ce surcoût pour les entreprises est estimé à 16 milliards d’euros, d’après les deux économistes.
D’où cette idée de «pousser» le prix du paquet à 13,07 pour rétablir l’équilibre. Sauf qu’à ce tarif, de nombreux fumeurs seraient tentés de définitivement écraser leur cigarette. Et qu’il faudrait alors… refaire l’étude.
Essonne : elle s'enfuit en culotte avec une hache
A la vue des policiers, la femme s'est enfuie avec une hache. Un peu plus tôt, elle avait porté trois coups de couteaux à son conjoint.
Nuit agitée ce dimanche matin à Palaiseau. Vers 4 h 45, les policiers sont appelés pour des violences sur conjoint. A leur arrivée, ils interpellent un homme, la femme est absente. Ils partent la chercher chez une amie.
A leur vue, la jeune femme s’enfuit dans la rue en culotte avec une hache. Elle est arrêtée alors qu’elle frappe avec son arme à la porte d’une autre de ses amies.
Finalement, après audition du couple, il s’avère que c’est elle qui aurait porté trois coups de couteau à son conjoint. L’homme, blessé sans gravité, a été relâché. La femme a été placée en soin.
Verdun : une jeune femme violée et torturée durant des semaines
A Verdun (Meuse), âgés de 19 à 27 ans, six personnes étaient en garde à vue samedi soir. Elles sont soupçonnées d'avoir participé au calvaire infligé à une jeune femme de 20 ans, séquestrée, violée et torturée pendant plusieurs semaines dans cette ville.
( «Actes de barbarie», «tentative d'homicide par noyade» : tels pourraient être quelques uns des chefs d'inculpation des six personnes en garde à vue samedi soir au commissariat de Verdun (Meuse).
Agés de 19 à 27 ans, les suspects sont soupçonnés d'avoir participé au calvaire infligé à une jeune femme de 20 ans, séquestrée, violée et torturée pendant plusieurs semaines dans cette ville.
Une information judiciaire sur doit être ouverte dimanche. Selon «l'Est républicain», la jeune victime, une apprentie résidant dans un foyer de jeunes travailleurs et quelque peu esseulée, est présentée par le biais d'une personne de sa connaissance à un couple de femmes à la mi-février. Giflée d’abord, elle se fait subtiliser une carte bancaire.
Elle est contrainte de dormir par terre et de manger de la nourriture pour chat. Et c'est l'escalade. Obligée de fumer des joints et de boire de l’alcool, elle est violée successivement par des amis du couple de femmes et «endure également l’introduction d’objets divers. Ces relations sexuelles imposées sont parfois filmées. Elle subit aussi des tortures : brûlures de cigarettes, couteau chauffé et posé sur les parties intimes et les seins…», relate le quotidien lorrain.
Parmi les suspects, âgés de 19 à 27 ans, sont le couple de femmes, ainsi que trois hommes amis de ce couple et la compagne de l'un d'entre eux. Quatre d’entre eux ont un casier judiciaire vierge. L'un des hommes est connu de la police pour des violences. L'une des femmes aurait commis des atteintes aux biens, rapporte le quotidien régional.
Selon France 3 Lorraine, ils seront présentés ce dimanche matin au pôle d'instruction du Parquet de Nancy (Meurthe-et-Moselle), qui va prendre la suite du travail effectué par le parquet de Verdun. L'alerte a été donnée par une éducatrice qui suivait la jeune victime. Elle l'a dirigée vers les urgences de l'hôpital de Verdun.
Une procédure judiciaire à l'encontre du fermier qui a laissé 14 vaches mourir de faim
Les carcasses en décomposition de quatorze cadavres de vaches et de veaux ont été évacuées vendredi d’une ferme située à Heusy, où leur propriétaire les aurait laissés mourir de faim.
L’unité de répression des pollutions et le service du bien-être animal sont intervenus sur les lieux. La commune a mis à disposition du matériel permettant l’extraction des cadavres des étables.
Le cabinet du ministre wallon du Bien-Etre animal, Carlo Di Antonio, précise qu’une procédure judiciaire va être ouverte à l’encontre de l’agriculteur, Alain Delporte.
Regardez ce que ses parents ont trouvé derrière un miroir après qu’elle soit décédée d’un cancer
Noel Voici ce qu’ils ont trouvé.
La jeune fille n’a pas laissé tomber les bras et menait de façon positive le reste de sa petite vie. Lisez ces quelques lignes des mots laissés par Anthena: « Le bonheur, ça ne dépend que de nous. Tout le monde ne peut pas avoir une fin heureuse, mais c’est le voyage qui compte, pas la destination. Le sens de la vie, c’est d’avoir une vie pleine de sens. La différence entre l’ordinaire et l’extraordinaire, c’est simplement un petit extra. Le bonheur est une direction, pas une destination. Merci d’exister. Soyez heureux, libre, ayez foi, restez toujours jeune. Vous connaissez mon nom, mais pas mon histoire. Vous avez entendu parler de mes actions, mais pas de ce que j’ai traversé. L’amour c’est comme le verre, c’est superbe, mais ça se brise très facilement. L’amour est rare, la vie est étrange, rien ne dure et tout le monde change. Chaque journée est unique, aussi il faut en profiter au maximum. Car peut-être que demain, vous serez atteint d’une maladie incurable. La vie n’est décevante que si vous la traitez ainsi. Si quelqu’un vous aime, alors cette personne ne vous laissera jamais tomber, quelle que soit la situation. La vie est pleine de hauts et de bas, et sans les bas, les hauts ne veulent rien dire. J’attends de tomber amoureuse de quelqu’un à qui je pourrai déballer mon cœur. L’amour, ce n’est pas trouver quelqu’un avec qui on pourrait vivre sa vie future, mais plutôt trouver quelqu’un dont on ne pourrait pas se passer dans le futur. La vie est un jeu, et l’amour en est la seule récompense.»
Les adieux au miel
Quand le miel vient à manquer, c’est la tartine qui flippe.
Les Chinois seraient bien en peine d’inventer un proverbe pareil, puisque c’est surtout sur nous, pays du Nord de l’Europe, que plane l’épée de Damoclès de la pénurie mellifère.
Cela fait déjà un moment qu’il faut se lever tôt pour dégoter un miel made in France.
La production n’a jamais été aussi basse que l’an dernier : 15?000 tonnes, soit moitié moins que les niveaux observés jusqu’en 1995.
A cette date-là, Miss Bouffe trouvait que l’intérêt de l’abeille domestique se limitait à constituer le passe-temps de son grand-père. Si elle avait su, elle aurait peut-être tenté de thésauriser.
Car, un jour, qui sait si les pots de l’aïeul chéri n’eussent pas valu autant qu’un châteauneuf-du-pape ?
La production de miel agonise. Une étude vient d’annoncer que la France affichait les plus grosses pertes du continent : 13,6?% de taux de mortalité des colonies d’abeilles en saison apicole, et plus de 27?% sur l’ensemble de l’année.
A ce rythme, les ouvrières survivantes peuvent toujours usiner : leur butinage ne suffira pas. Ni à enduire nos tartines, ni à polliniser le tiers des cultures qui en ont besoin pour se reproduire.
C’est la disette. — Dans un yaourt ou sur une pomme au four, dégustons !
Etats-Unis: elle assomme une femme enceinte, l'éventre et s'enfuit avec son bébé bébé
Se faire voler son enfant avant même qu'il ne naisse. Telle est l'horrible agression dont une jeune femme de Longmont, au Colorado a été victime, alors qu'elle s'apprêtait à acheter des vêtements pour bébés repérés en ligne.
Une femme n'a pas hésité à en assommer une autre, enceinte, pour extraire le bébé de son utérus, rapporte à CNN la police du Colorado. La victime s'apprêtait à acheter des vêtements pour bébés repérés sur le célèbre site d'annonces commerciales Craigslist.
L'agression est survenue mercredi après-midi, à Longmont, dans le Colorado. Enceinte de sept mois, elle avait répondu à une annonce Appelés pour une agression, les policiers ont d'abord entendu les cris d'appel au secours d'une femme, a expliqué le commandant Jeff Satur.
Une fois entrés dans la maison, ils ont découvert une femme de 26 ans avec des marques de blessures au niveau de l'estomac. Elle leur explique alors qu'elle était enceinte, mais que son bébé a été extrait de son ventre. "C'est un jour difficile pour beaucoup de monde", a commenté l'officier auprès de KTLA.
Enceinte de sept mois, la jeune femme avait répondu à une annonce pour acheter des vêtements pour bébés. "Quand elle est arrivée sur place, elle a été agressée et assommée, et son bébé lui a été retiré", explique Jeff Satur.
La victime a été transportée à l'hôpital de Longmont et a été opérée de sorte que ses jours ne sont plus en danger. La suspecte a prétendu avoir fait une fausse couche Dans le même temps, un singulier rebondissement s'est produit quand la suspecte de 34 ans s'est présentée à l'hôpital en prétendant avoir fait une fausse couche. Le bébé n'a pas survécu.
Les policiers investiguent le domicile de la suspecte et si les noms des deux femmes n'ont pas été révélés, l'enquêteur affirme qu'elles ne se connaissaient pas. La trentenaire pourrait être poursuivie pour tentative de meurtre, agression et abus d'enfant.
Certains postes de police de la région ont commencé à mettre à la disposition du public des "zones sécurisées" pour les acheteurs et vendeurs d'articles en ligne, après plusieurs affaires d'agressions dans le cadre de transactions comparables.
Déclarée "morte cérébralement", elle entend que les médecins veulent la débrancher
COMA - Une femme en apparences morte cérébralement, se souvient parfaitement avoir entendu les médecins demander l’accord de son mari pour la débrancher.
Inerte, elle entendait pourtant tout. Après examen, les résultats tombent : elle est atteinte d’une rare maladie nerveuse, le syndrome de Guillain-Barré
.Après examen, les résultats tombent : elle est atteinte d’une rare maladie nerveuse, le syndrome de Guillain-Barré.Metronews a fait le tour de la presse internationale et vous livre le fait divers du jour... Les faits remontent à mars 2014.
Jenny Bone, 39 ans, se retrouve subitement au sol après avoir chuté sans raison. Cette Britannique ne comprend pas pourquoi elle sent des picotements violents dans ses jambes.
Difficilement, elle se rend chez son médecin généraliste qui lui ordonne de se rendre d‘urgence à l’hôpital, relate le Mirror. Après examen, les résultats tombent : elle est atteinte d’une rare maladie nerveuse, le syndrome de Guillain-Barré. Hospitalisée, les effets s'aggravent. Elle est totalement paralysée et inconsciente.
Les médecins la plongent alors dans un coma artificiel. Afin de pouvoir respirer, elle subit une trachéotomie (ouverture chirurgicale de la trachée). Tout pousse à croire que Jenny Bone est dans un état végétatif irréversible. C’est pourquoi le personnel médical convoque son époux de 58 ans afin de prendre une décision.
Son mari refuse de l’écouter
La débrancher ? John Bone refuse, alors que sa femme lui avait auparavant demandé de le faire si jamais elle se retrouvait dans un tel état. La conversation se passe dans la chambre de la malade censée être dans le coma, qui, en réalité, est tout à fait consciente de ce qu’il se passe autour d’elle.
"J’entendais tout, heureusement que John ne m’a pas écouté, je l’en remercie. Comme la plupart des couples, nous en avions déjà parlé mais je suis très heureuse qu’il ne m’ait pas débranchée", confie-t-elle au Mirror. Finalement, Jenny Bone se réveillera dix jours après.
Depuis, son mari regrette d’avoir eu cette conversation avec les médecins à ses côtés : "elle se souvient mot pour mot de ce que nous nous sommes dit." En soins pendant deux mois, elle est rentrée chez elle en juin dernier.
Et aujourd'hui, la quadragénaire se porte bien : elle confie au quotidien avoir repris son travail et avoir récemment participé à un marathon caritatif de 5 kilomètres.