La belle histoire du jour : ils tombent amoureux après qu'il l'a empêchée de se suicider

EMOTION - Lens, un habitant u nord du Royaume-Uni, a bien fait de venir vérifier si Pamela, sa voisine, allait bien. Non seulement il l'a sauvée d'une mort certaine mais en prime, il est tombé amoureux... Les deux tourtereaux ont prévu de se marier en juin prochain.

Les deux tourtereaux ont prévu de se marier en juin prochain.

La fin de cette histoire aurait pu être tragique, elle fut magique. Lens Elsmore, un habitant de la banlieue de Derby, dans le Nord du Royaume-Uni, a toujours aimé rendre service.

Alors, quand le frère de Pamela Norton, sa voisine, lui passe un coup de fil, inquiet de voir que sa sœur ne répond pas, Lens n'hésite pas : il part frapper à la porte de cette dernière.

Mais Pamela n'ouvre pas. Et pour cause, elle vient de faire une tentative de suicide en avalant des médicaments. Arrivé le premier sur les lieux, Lens déclenche l'alarme et prévient les secours.

Pamela sera finalement tirée d'affaire. Mais l'histoire ne se termine pas là... La voisine apprend progressivement à connaître celui qui lui a sauvé la vie et, malgré leur différence d'âge (Lens a 87 ans, Pamela 57), ils tombent amoureux.

Un mariage en juin "J'ai l'habitude de faire des petits travaux pour les voisins, explique humblement Lens au Derby Telegraph, qui raconte leur love-story. J'aide ceux qui en ont besoin.

C'est dans ma nature. Ma mère aimait aider ses semblables, c'est un truc de famille". Famille qui s'est depuis agrandie avec l'arrivée de Pamela dans sa vie.

Après la demande officielle de Lens dans un bar de la ville, les deux tourtereaux ont prévu de se marier en juin prochain à la mairie. "L’âge n'a aucune importance quand on est amoureux", déclare Pamela. L'histoire des deux amants a tellement ému les lecteurs du journal, qu'ils sont désormais nominés pour le prix de "meilleur voisin", décerné chaque année par le quotidien.

Et quelque chose nous dit que cette année, certains snoberont peut-être moins la fête des Voisins…

Isère: 148.000 euros dans un sac jeté en bordure d’autoroute

Le sac avait été jeté par la fenêtre le 14 novembre dernier en pleine course poursuite avec les douaniers lyonnais sur l’autoroute A7...

Le sac avait été jeté par la fenêtre le 14 novembre dernier en pleine course-poursuite avec les douaniers lyonnais sur l’autoroute A7.

Les malfaiteurs avaient réussi à prendre la fuite, mais les gendarmes n’ont pas manqué de retrouver le sac en bordure d’autoroute à hauteur de la commune de Roussillon (Isère).

A l’intérieur? 148.000 euros en petite coupure. Jolie somme, jamais réclamée bien sûr. Après des mois d’investigations, les gendarmes de la SR de Grenoble ont fini par identifier l’auteur, confondu grâce à un ADN retrouvé sur le sac, rapportait lundi soir Le Dauphiné Libéré.

Les analyses menées sur les billets ont également permis de découvrir de nombreuses traces de cocaïne et de produit de coupe. Un homme, habitant à Vallauris (Alpes-Maritimes), s’est présenté ce vendredi aux enquêteurs. Il a été écroué pour «blanchiment de trafic de stupéfiants».

Elle était réjouie d’avoir un enfant. Mais elle hurla de douleur et de chagrin.

Il n’y a pas d’épreuve plus éprouvante pour une femme que celle que cette dame a vécue. Elle a dû se battre avec plus que les aspects physiques et mentaux de cet experience.

Parfois, une famille reste marquée éternellement par quelque chose de pareil.

Le petit Joshua Walter Fretz est venu au monde quelques semaines trop tôt. Il était clairement sous-développé et n’avait aucune chance de survivre. Mais cet instant demeure important pour tout le monde. Alexis Fretz, appelée Lexi par ses amis, a eu une grossesse parfaitement normale et tout se déroulait comme prévu.

Mais un Vendredi d’été en 2013, elle commença à éprouver des douleurs et saigner lourdement. Elle appela immédiatement son gynécologue et se précipita à l’hôpital. Ses contractions ont commencé en chemin.

À 19 semaines, le petit Joshua Walter Fretz est né trop tôt. Ses chances de survie étaient non-existantes. Mais un petit miracle a tout de même eu lieu : Pour un court instant, il y avait un brin de vie dans Joshua. Lexi pouvait le voir respirer. Elle le prit contre sa poitrine et sentit son pouls. Un instant inoubliable !

Malheureusement, Joshua n’avait pas assez de force pour plus. Un peu après, sa flamme s’éteignit et il était temps de dire adieu. Son père le prit dans ses bras pour un instant, mais à jamais dans son coeur. Même sa grande soeur insista pour rencontrer son petit frère et le saluer une première et dernière fois. Malgré les larmes, la gratitude et la joie l’emportent sur la tristesse. Pour un instant, ils ont vu vivre Joshua et ne l’oublieront jamais. Merci Joshua !

Le courage de cette femme est impressionnant et inspirant. Elle n’a pu sentir son coeur battre que pour un instant, mais il sera gravé à jamais dans son coeur. 

Débordante de larmes, cette mère essaye de rattacher la tête décapitée de son enfant.

Une conséquence importante.

 Les lignes qui vont suivre sont excessivement dures à digérer, mais le message est important car il met le doigt sur l’un de nos plus grands défauts. La boule dans ma gorge n’est pas encore partie depuis des heures.

Cette histoire a été écrite par un ambulancier quelques heures après qu’il ait vu une famille se faire détruire.

“Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis un ambulancier dans le sud de San Diego. Généralement je ne partage pas ce genre de truc sur un forum public mais j’espère au moins que l’un de ces connards pensera à plusieurs reprise avant de boire et conduire. Il y a quelques heures, je suis arrivé sur un accident routier où l’une des voitures était sur son toit et l’autre dans un mur. Il y avait une femme couverte de sang assise sur le trottoir, tenant un enfant coupé en deux. Elle essayait de remettre sa tête sur son corps et le rendre complet à nouveau. De l’autre coté du croisement, un homme se précipitait sur moi avec une petite fille flasque entre les bras. En sortant de l’ambulance il me l’a carrément jeté dans les bras. Il resta immobile pendant qu’on essayait de la réanimer en pompant ses veines de médocs et son corps d’électricité. La voiture a été heurtée sur un carrefour par un chauffeur bourré qui avait brûlé un feu rouge à 100 km/h. La fille a été éjectée à 20 mètres à travers le pare-brise et le garçon a été décapité par le pare-choc de la voiture du conducteur ivre. Les parents et le chauffeur sont tous partis ce soir tandis que les deux enfants y sont restés. J’ai vu une famille se faire oblitérée aujourd’hui. Ne faites pas les cons.”

C’est toujours les plus innocents qui deviennent les victimes de l’alcoolémie au volant. Partagez cette histoire tragique pour qu’on s’assure que les gens comprennent qu’il ne faut mélanger conduite et alcool.

Isère : soupçonné de viols sur des élèves, un directeur d'école en garde à vue

Le directeur d'une école primaire de Villefontane (Isère) soupçonné de viols sur mineurs a été placé en garde à vue lundi.

Le directeur d'une école primaire de Villefontane (Isère) soupçonné de viols sur mineurs a été placé en garde à vue lundi, a-t-on appris auprès du parquet de Vienne confirmant une information du Dauphiné Libéré.

«Il a été interpellé ce matin pour des faits de viols sur mineurs. Sa garde à vue a été prolongée», a déclaré le procureur de la République à Vienne (Isère), Matthieu Bourrette.

Le suspect, qui nie les faits, aurait imposé «par surprise» des fellations à au moins deux de ses élèves dans le cadre de ce qu'il appelait «un atelier du goût» durant lequel les enfants les yeux bandés, devaient identifier des «choses» que l'enseignant leur faisait goûter.

Les faits incriminés se seraient déroulés au fond d'une salle de classe, derrière un paravent. Alertés par les descriptions et plaintes de leurs enfants, les familles de deux élèves âgés de 6 ans et demi, ont saisi la justice en fin de semaine dernière.

Les faits de viols auraient été commis entre décembre et mars, selon les premiers éléments de l'enquête confiée à la brigade de recherches (BR) de la gendarmerie de Bourgoin-Jallieu.

Les perquisitions au domicile du suspect où celui-ci a été interpellé, ont débouché sur la découverte d'images pédopornographiques. Le suspect avait déjà fait l'objet d'une condamnation pénale en 2008 pour recel d'images à caractère pédopornographiques, à six mois de prison avec sursis, avec obligation de soins et mise à l'épreuve.

Aucune interdiction d'exercer un travail avec les enfants n'avait cependant été prononcée au moment de cette condamnation. 

La mort d’un éducateur spécialisé, assassiné dans l’exercice de son travail…

Ce drame est survenu hier vers 14h00 à Nantes dans les locaux du Service Social Protection de l’Enfance (SSPE) lors d’une visite médiatisée. Alors qu’il était venu rencontrer son enfant, un homme a donné un coup de couteau mortel à la gorge de l’éducateur ne laissant aucune possibilité à la victime de survivre. Malgré les soins prodigués sur place par le Samu, il est décédé. Ses collègues, effondrés, ont été pris en charge par une cellule psychologique.

Cet homme n’en n’est pas resté là. Il a poursuivi son ancienne compagne dans la rue en bas de l’immeuble et l’a poignardé à de multiple reprises devant les passants et les clients d’une sandwicherie médusés. La jeune femme, mère d’une petite fille qui se trouvait elle aussi non loin de là, a été très gravement blessée. Elle a été admise à l’hôpital dans un état préoccupant. L’homme a été arrêté par des clients du restaurant devant lesquels les faits se sont déroulés. C’est aussi un nouveau drame liés aux violences conjugales et il y a beaucoup à dire et à écrire sur ce sujet.

Cette mort ne peut que nous laisser dans un grand désarroi. Elle nous met à la figure les risques permanents auxquels nous sommes confrontés quand nous recevons des personnes qui n’ont trouvé que la violence pour exprimer leurs colères ou leur haine de la société et de ses représentants. Bien sûr, il ne faut pas généraliser, mais nous voyons bien que les tensions sont de plus en plus vives. Les visites médiatisées se multiplient, elles sont diligentés par des magistrats qui ne mesurent pas toujours la dimension des risques face à des personnes qui sont imperméables à la parole et au respect de l’autre.

Certes les travailleurs sociaux, les éducateurs et les assistantes sociales notamment, savent gérer la violence. Il est même surprenant qu’il n’y ait pas plus de drames alors que ces professionnels rencontrent parfois dans des conditions fort discutables des personnes prêtes à tout pour se faire entendre. Les travailleurs sociaux comme pour l’ensemble des professions d’aides et du soin sont des gens de paix. Ils n’ont comme moyens de se défendre que la parole et l’écoute. Il semble que cela ne suffise plus et c’est assez inquiétant.

Est ce qu’à l’occasion de ce drame qui nous renvoie à ces tensions que nous connaissons tous à un moment ou à un autre, les autorités vont saluer le travail des éducateurs de la protection de l’enfance qui cette fois-ci paient du prix le plus lourd qui soit leur engagement professionnel ? Lorsqu’un policier est tué, les ministres se déplacent attirant sur l’événement le médias qui, en parlant de ce qui s’est passé attirent l’attention sur une profession utile et nécessaire pour la société . Déjà hier soir aucune radio périphérique ne relatait ce drame qui affecte nos professions. (le service public est en grève). C’est Radio France Bleue qui a parlé la première de cet événement tragique avec Ouest France qui a réalisé un reportage vidéo que vous pouvez visionner ici . Le président du Conseil Général est venu aussitôt sur place hier après midi et l’on ne peut que saluer sa réaction.

Cette mort qui entre dans la rubrique « faits divers » des journaux ne peut ni ne doit passer aux pertes et profits d’une profession peu entendue et peu reconnue. A l’heure où il nous est dit par le cabinet de la secrétaire d’Etat, Mme Neuville que les Etats Généraux du travail social doivent contribuer à valoriser les travailleurs sociaux, nos professions ont bien besoin de reconnaissance et de soutien. Ce n’est pas pour rien non plus que les centres de formation rencontrent de plus en plus de difficulté pour recruter… Mais j’en resterais là sur ce sujet car je risque de « déraper »…

Il ne faut pas que cette mort la plus brutale qui soit nous empêche de continuer de travailler dans la confiance avec les personnes que nous recevons et tentons d’accompagner malgré toutes les difficultés. La peur est la plus mauvaise conseillère qui soit. Ces risques réels ne doivent pas nous empécher de continuer à aider et à accompagner celles et ceux qui sont dans les plus grandes difficultés. Nous pensons tous aujourd’hui à notre collègue qui ne faisait que son travail et qui est mort à cause de cela.

Landes: Le jeune homme porté disparu retrouvé mort

Un avis de recherche suite à la disparition du jeune Sullivan Franchi, 18 ans, avait été lancé jeudi par la gendarmerie de la Gironde.

Les gendarmes ont indiqué ce lundi avoir retrouvé le corps de l'adolescent, près du lac de Parentis-en-Born, commune des Landes où il était scolarisé en terminale, indique le site Sud-Ouest.fr.

L'hypothèse du suicide est celle privilégiée à ce stade de l'enquête. Sullivan avait quitté le domicile familial, près de Parentis-en-Born, à VTT, le 19 mars vers 19h30, et restait depuis introuvable.

La macabre découverte a été effectuée par l'une des très nombreuses personnes venues spontanément participer aux recherches, ce lundi, vers 9h45.

Ce bébé est décédé d’un simple bisou, ce qui a provoqué sa mort est vraiment effrayant!

La petite Eloise est décédée dans les bras de sa maman après seulement 24 jours passés sur Terre. Tout a commencé lorsque la maman, Sarah Pugh, a remarqué que sa fille ne mangeait plus et perdait subitement du poids.

Elle est donc allée à la clinique du coin où elle a été immédiatement envoyée à l’hôpital. Malheureusement, ils n’avaient pas les machines adéquates pour soigner le bébé et elle a été transférée dans un plus gros hôpital.

À cet hôpital, la petite Eloise a été branchée sur des machines l’aidant à respirer et à faire circuler le sang dans ses veines. Les docteurs croyaient au départ qu’il s’agissait simplement d’un malnutrition, mais ils se sont rapidement rendus compte que le problème était plus grave. Ils ont découvert que la petite avait un trouble au cerveau provoqué par le virus de l’herpès.

Ils en ont conclu que la petite a été embrassée par quelqu’un qui avait un feu sauvage alors qu’elle n’avait que quelques jours. Il s’agirait donc d’un visiteur venu la voir elle et sa maman après la naissance. Les médecins affirment lorsqu’un bébé naissant contracte le virus de l’herpès, il peut se propager au cerveau et affecter les organes vitaux, c’est exactement ce qui est arrivé dans le cas d’Eloise.

Un simple bisou par quelqu’un qui avait un feu sauvage lui a été fatal. La maman était dévastée d’apprendre qu’un simple feu sauvage a pu faire ça. Aujourd’hui, la maman veut que le plus de gens soient au courant de son histoire afin d’éviter que cela se reproduise. Voici quelques photos de la petite avec sa maman et son papa avant qu’elle quitte précocement ce monde:

Une femme qui est enceinte de six mois est accusé d'avoir quelque chose d'autre à l'intérieur de son corps: 89 paquets d'héroïne.

Marina McCarthy, 22 ans, a été arrêté vendredi après une caméra de surveillance de voiture de police l'aurait pris pour atteindre dans son pantalon pour cacher ce que les fonctionnaires disent devait plus tard être découvert 89 paquets d'héroïne dans une cavité du corps, du Nord Jersey.com rapports.

L'arrestation est intervenue après que des agents ont tiré sur la voiture McCarthy montait en plus d'une violation de la circulation mineure. Les deux McCarthy et son chauffeur, Dakota Dunning, 27, avaient des bons de souscription en circulation. Dunning, qui avait un permis suspendu, était au volant, un véhicule non assuré non enregistrée.

Quand une unité K-9 détecté la présence de drogues, le couple a été placé en détention, selon NJ.com . En raison de la grossesse de McCarthy, les agents l'ont menottée devant son corps. Qui, apparemment, lui a permis de cacher les paquets d'héroïne qui ont été cachés sur son corps, le New York Daily Nouvelles.

Sa technique de l'héroïne de la clandestinité est passé inaperçu jusqu'à ce que la surveillance vidéo de la voiture a été revu à la gare. À ce moment, une femme officier a pris McCarthy dans une salle de bains et la regarda retirer les médicaments de la cavité du corps.

Les paquets d'héroïne étaient si serrées les unes que, selon le Daily Mail, ils étaient pas plus gros qu'une pièce de Laffy Taffy bonbons. McCarthy a été accusé de possession d'une substance contrôlée et a été libéré après avoir payé un mandat de 1000 $, selon le New York Daily Nouvelles.

Elle est due en cour mardi. Dunning a été donnée billets de conduite et sera au tribunal le même jour. CORRECTION: Une version antérieure de cet article a déclaré que McCarthy aurait caché les paquets d'héroïne à l'intérieur de son vagin. Faits état ??seulement qu'elle a caché les paquets à l'intérieur d'une "cavité du corps."

Les hôpitaux alertent le Premier ministre sur l'épuisement des personnels

Le président de la Fédération hospitalière de France, Frédéric Valletoux, a écrit au Premier ministre Manuel Valls pour lui parler de l'épuisement des personnels de l'hôpital public aggravé par l’épidémie de grippe.

Il lui demande aussi de mettre un frein à la fermeture de Pourquoi faut-il craindre des mouvements de protestions dans les hôpitaux ?

Dans un courrier daté du 11 mars 2015 adressé à Manuel Valls, le président de la Fédération hospitalière de France (FHF) fait référence à une note confidentielle du service central du renseignement territorial du ministère de l'Intérieur, datée du 5 mars.

Selon cette note, "quelques mouvements de protestions pourraient prendre corps" à l'hôpital en raison de tensions rencontrées dans les services d'urgences, saturés à cause de l'épidémie de grippe.

Frédéric Valletoux confirme "le constat dressé par les services de renseignements". Le président de la Fédération hospitalière dénonce l'épuisement et l'exaspération des personnels. Hôpital de Chalon Faut-il annuler les consignes de fermeture de lits ?

Il s'étonne que la fermeture de lits soit présentée comme "une priorité" par "certaines agences régionales de santé" (ARS) et comme "une solution miracle à l'amélioration de l'efficience" des hôpitaux.

Face à l'ampleur de l'épidémie de grippe, la ministre de la Santé Marisol Touraine avait déclenché le mois dernier un plan d'urgence et réclamé la réouverture de lits dans les établissements de santé.

Les hôpitaux publics ont "plus que jamais" besoin du soutien et de "l'autorité" du Premier ministre, estime Frédéric Valletoux. Il demande à Manuel Valls "d'annuler les consignes adressées par (ses) services aux directeurs généraux des ARS pour accélérer la fermeture des lits". Médecin En quoi consistent les "comportements parfois irresponsables des autres acteurs de santé" ?

Il dénonce également les "comportements parfois irresponsables des autres acteurs de santé", notamment les "menaces de grève des cliniques privées, mais surtout le désengagement quasi total des médecins libéraux de la permanence des soins". "Les hôpitaux publics se retrouvent seuls pour répondre aux besoins de prise en charge de nos concitoyens", assure-t-il.

Le gouvernement prévoit un plan d'économies à hauteur de trois milliards d'euros pour les hôpitaux d'ici 2017. Ce plan porte notamment sur le développement de la chirurgie ambulatoire (qui permet de sortir de l'hôpital juste après l'intervention) et la maîtrise de la masse salariale.