Comme un début d'odeur de Noël à Dijon

Il faut gratter ce matin en Côte-d'Or... avant de déneiger ce soir ? ,

- 5°C et même parfois -6°C. Un froid polaire s'est abattu sur la Côte-d'Or ce mardi matin avec, par endroit, des brouillards givrants. Si actuellement les conditions de circulation sont normales sur les axes du département, très localement les chaussées peuvent être glissantes.

Alors qu'en journée, le mercure franchira péniblement les 0°C sous un ciel plutôt dégagé, on pourrait voir de la neige tomber en début de soirée un peu partout dans le département avant le retour de la pluie dans la deuxième partie de nuit.

Infarctus du myocarde : le CHU de Dijon à la pointe

Communiqué de presse du CHU de Dijon :

" 605 établissements publics et privés ont à nouveau été passés au crible par le magazine L’Express, qui publie cette semaine son classement 2015-2016 des hôpitaux et cliniques.

Le CHU Dijon Bourgogne, présent dans 27 spécialités sur 37, brille notamment à la première place pour la prise en charge de l’infarctus du myocarde et angioplastie coronaire, avec une note de 19.6/20.

Particularité pour 2015, un article dédié aux « As de la recherche » avec un focus sur l’Accident Vasculaire Cérébral : pas moins de 88 publications et un score SIGAPS de 1318 placent le CHU Dijon Bourgogne en 7e position des établissements les plus investis en matière de recherche autour de l’AVC.

Tout le Classement du CHU :

Infarctus du myocarde et angioplastie coronaire : 1er AVC : 4e

Investissement dans la recherche AVC : 7e

Chirurgie de la rétine : 13e

Chirurgie du glaucome : 16e

Chirurgie de la thyroïde et des parathyroïdes : 16e

Chirurgie de l’insuffisance cardiaque : 16e

Chirurgie des artères carotides : 17e

Rectocolite hémorragique et maladie de crohn : 17e C

hirurgie du cancer du rein : 17e

Reconstruction de l’oreille moyenne : 21e

Chirurgie des valves cardiaques : 21e

Pontage aortocoronarien : 24e

Chirurgie du cancer du col de l’utérus : 24e

Chirurgie des cancers bronchopulmonaires : 28e

Chirurgie du cancer du foie et du pancréas : 29e

Chirurgie aorto-iliaque : 31e

Troubles du rythme cardiaque : 34e

Polyarthrite rhumatoïde et spondylarthrite ankylosante : 40e

Chirurgie du rachis : 45e

Chirurgie endométriose : 45e

Cancer de la prostate : 47e

Chirurgie Maxillo-Faciale : 49e

Chirurgie de la cataracte : 58e

Chirurgie du cancer du colon et du rectum : 61e

Chirurgie des cancers des voies aérodigestives supérieures : 62e

Prothèse de hanche : 80e. "

La prison de Dijon bloquée à partir de lundi

Les personnels de la maison d'arrêt de Dijon bloqueront l'accès à l'établissement à partir de ce lundi 6 heures. Cette grève, reconductible et qui se veut nationale, a pour but "de dénoncer l'état actuel des prisons, tant en terme d'effectif de personnels que des décisions prisent par la Direction de l'administration pénitentiaire, que par la politique globale.

" Dans un communiqué de presse, Thomas Jacquot, Secrétaire local Ufap développe :

" Pour info, 2015 c'est 4 500 agressions, 18 prises d'otages et 14 suicides de collègues... De plus, des budgets sont débloqués afin de développer les activités culturelles des détenus ( sortie cheval, boxe, VTT, canoë, opéra....) alors que 1 300 emplois de surveillants manquent afin de retrouver un effectif quasi normal.

De plus, l'AP nous propose 8 euros d'augmentation afin de nous faire taire ! Afin de combler les manques d'effectif, l'administration pénitentiaire met en place des modes de fonctionnement dits "dégradés", qui consiste à ne pas couvrir des postes en détention fragilisant grandement notre sécurité et de ce fait celle du citoyen lambda. "

Fin de journée sur la Canal de Bourgogne à Fleurey sur Ouche par

Dijon... il y a bien longtemps ! Juste avant le 1er mandat de Robert Poujade je crois...

 La diligence avec les chevaux sur la photo se situerait à l'emplacement actuel de l'avenue Foch selon Philippe Valot qui a déniché cette gravure ancienne !

Très belle vue de Dijon 

La très ambitieuse Cité internationale de la gastronomie ouvrira à Dijon en 2018

Capitale de la Bourgogne, Dijon accueillera en 2018 la Cité internationale de la gastronomie et du vin.

Cette Cité internationale de la gastronomie et du vin, créée sur le site de l’ancien hôpital général, s’étend sur une superficie de 6,5 hectares.

Le cœur du projet Le «pôle culture et formation», sur plus de 20.000 m2, incluant des espaces muséographiques, des salles de conférences, des ateliers, des boutiques, des restaurants et un pavillon des vins, rappelant que Dijon est, au sein du réseau français des cités de la gastronomie, un «pôle moteur» en matière de valorisation de la vigne et du vin.

Un équipement hôtelier complète l’ensemble. «La Cité permettra aux touristes français et étrangers mais aussi aux Bourguignons de comprendre et d’appréhender le “repas gastronomique des Français”entré au patrimoine de l’Unesco.

Elle sera également un équipement structurant pour le Grand Dijon, communauté urbaine de plus de 250.000 habitants, capitale régionale rayonnante qui allie dynamisme et haute qualité de vie. Un emplacement de rêve

Au cœur d’un quartier à l’urbanisme renouvelé, desservi par le tramway, aux portes du secteur sauvegardé, l’un des plus vastes de France, à deux pas de la gare TGV, au kilomètre zéro de la route des grands crus de Bourgogne, jalonnée de ces 1.247 climats dont nous portons, avec les professionnels de la filière et nos amis beaunois, la candidature au patrimoine de l’humanité... on ne pouvait rêver meilleur emplacement pour ce site qui a vocation à attirer chaque année 1 million de visiteurs !», indique Alain Millot, maire de Dijon et président du Grand Dijon.

Retenu suite à l’appel à manifestation d’intérêt lancé en 2012, le groupe Eiffage (14,3 Mds€ de CA), qui va réaliser et exploiter la Cité de la gastronomie, investit avec ses partenaires 150 M€ dans le projet.

La Bourgogne ou le pays des 1001 statues Vincenot, François Brochet, Claus Sluter et les autres: tous ont laissé leur empreinte dans le paysage bourguignon, avec ces statues qui, le plus souvent, rendent hommage aux grands hommes.

Voyage parmi ces têtes familières de notre environnement. En partenariat avec Bourgogne Magazine De tous les beaux-arts, la statuaire est certainement le plus présent dans l’espace public et le plus proche des gens au quotidien.

Alors que la Bourgogne s’est distinguée dès le XIIIème siècle par son école de sculpture religieuse, la vocation de la région pour la statuaire monumentale a su traverser les époques pour se perpétuer de nos jours à travers nos places, nos parcs, nos églises… mise au tombeau médiévale à l’Ours de Pompon en passant par les grandes figures allégoriques que sont le Vercingétorix d’Alésia ou l’étincelante Notre-Dame d’étang à Velars-sur-Ouche, petit survol en images de ce patrimoine si familier, ancré dans la mémoire collective.

La statue d’Eugène Ier (1805-1875) au Creusot, la plus ancienne et la plus imposante des quatre statues Schneider de la ville. Edifié en 1878 par souscription populaire, ce bronze montre le chef de famille debout en redingote, avec à ses pieds une femme (la Reconnaissance) expliquant à son jeune forgeron de fils ce qu’il doit au « patron ».

Les portes du Paradis en Côte d'Or