Un don de 100 000 euros pour le CHU de Dijon et le centre Leclerc

 De gauche à droite : Alain Lalié, directeur général adjoint du CGFL, Thibault Moreau, chef du service de neurologie au CHU, Gérard Lizard, responsable du laboratoire de biochimie du peroxysme, inflammation et métabolisme lipidique de l’université de Bourgogne, Robert Belvisi, président de l’Assad, Véronique Reymondon, vice-présidente, Florent Cavelier, secrétaire général du CHU et Daniel Favre, trésorier de l’Assad.

 Une association de Louhans a fait un don de 100 000 euros au CHU de Dijon et au centre Leclerc pour financer la recherche sur le cancer et sur les maladies neuro-dégénératives.

C’est Noël après l’heure. Jeudi, le CHU et le centre régional de lutte contre le cancer (le CGFL) ont reçu un chèque de 100 000 euros, qui leur a été remis par l’Association d’aide et services à domicile (Assad) de Louhans.

Cette somme sera dédiée en premier lieu à la recherche sur les maladies neuro-dégénératives : la sclérose en plaques, la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson (plus d’un million de personnes touchées en France).

Le service de neurologie du professeur Thibault Moreau et le laboratoire universitaire de biochimie du docteur Gérard Lizard bénéficieront précisément d’une enveloppe de 70 000 euros. La Bourgogne fortement touchée par la sclérose La CHU dispose aujourd’hui d’une importante banque de données épidémiologiques qui, pour la sclérose en plaques, est reversée sur une plateforme nationale.

C’est ce qu’ont pu découvrir Robert Belvisi, président de l’Assad, Véronique Reymondon, vice-présidente, et Daniel Favre, trésorier, invités à visiter les services bénéficiaires de leur don. « Chaque patient est répertorié dans notre base de données avec l’historique de sa maladie, décrit Thibault Moreau.

Cela nous permet de trouver des pistes de travail pour la recherche. Nous avons ainsi observé qu’il y avait deux fois plus de scléroses dans le nord et l’est de la France que dans le sud et le sud-ouest.

Nous avons également observé que, depuis quelques années, le nombre de femmes atteintes augmentait fortement : il est passé de 2 femmes pour un homme dans les années 70 à 3 femmes pour un homme aujourd’hui.

Quelles sont les explications ?

Nous comptons beaucoup sur la recherche pour comprendre ces phénomènes. » En Bourgogne, la recherche sur les maladies neuro-dégénératives est axée sur les biomarqueurs lipidiques. Objectif : mieux comprendre leur rôle dans ces pathologies.

Le froid du pôle nord s'invite à Dijon! La plus grande vigilance est recommandée sur les routes du département en cette fin de soirée et cette nuit. Météo France annonce une nouvelle chute du thermomètre dans les prochaines heures. Actuellement, en raison des chutes de neige de ce matin et de la formation de verglas par regel des chaussées humides, les conditions de circulation peuvent encore être délicates sur le réseau routier départemental de la Côte d'Or, principalement à l'ouest de l'axe Beaune/Langres. Pour cette nuit, Météo France prévoit des nuages toujours aussi nombreux, malgré sans doute quelques éclaircies temporaires. Les gelées nocturnes s'annoncent localement sévères, entre -2 et -5 degrés, les plus froides pour le relief. Le risque de voir tomber un flocon est peu probable. Au volant, restez vigilants et prudents, anticipez les risques et adaptez votre conduite aux conditions météorologiques. ...............................................

Dijon : les policiers municipaux veulent être armés

 Les policiers demandent à pouvoir disposer d'une arme de poing.

Près de 50 policiers municipaux de Dijon sont signataires d’un courrier demandant au maire de pouvoir être équipés d’une arme de poing... Un courrier, signé par 47 policiers municipaux de Dijon, demande au MAIRE Alain Millot de pouvoir disposer d’une arme de poing "de catégorie B chambrée pour le calibre 38 spécial".

Le texte a été transmis ce lundi au premier édile de la commune. Cette requête fait suite aux attentats meurtriers des 7, 8 et 9 janvier derniers en région parisienne, au cours desquels 17 personnes ont été tuées, dont deux policiers et une policière municipale ; mais aussi suite à l’agression au couteau place Darcy du 2 janvier et au rodéo d’un automobiliste qui avait fait 13 blessés, le 21 décembre, dans les rues de la capitale bourguignonne.

Selon vous, les policiers municipaux de Dijon doivent-il être armés ?

Répondez à cette question et commentez votre choix ici.

Particules fines : seul Dijon respecte les seuils de l'OMS

On le savait, la pollution aux particules fines a des effets nocifs à long terme... Mais pas seulement. En effet, l'Institut de veille sanitaire a publié ce mardi une étude qui démontre que la pollution liée aux gaz d'échappements PM10 (voitures, usines, systèmes de chauffage) a un impact immédiat sur la mortalité. Celle-ci aggraverait brutalement les symptômes existants.

Cette étude a été réalisée sur 17 villes françaises dont Dijon. Mais si vous habitez la capitale des ducs, vous pouvez être un peu rassuré. Selon cette étude, Dijon est l'unique commune étudiée qui respecte le seuil de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui est de 20 microgrammes/m3.

Selon Le Monde, si toutes les villes respectaient les seuils comme Dijon, cela éviterait chaque année 250 morts et 1 000 hospitalisations. A l'inverse, Marseille apparaît comme la ville dont l’air est le plus pollué aux particules fines, suivi de Lille, Lyon, Nice, Grenoble et Lens-Douai. Paris n'arrive qu'en 7e position.

Un homme âgé de 58 ans a été victime d'un coup de couteau à la gorge ce vendredi vers 17 h 15 place Darcy, à Dijon. Il a été transporté au CHU et l'auteur présumé des faits a été interpellé.

On sait encore très peu de choses sur les circonstances de cette agression, mais selon les premières informations que nous avons pu recueillir, un homme de 58 ans a été victime d'une agression au couteau ce vendredi vers 17 h 15 aux abords de l'agence du Crédit Mutuel, place Darcy à Dijon.

Grièvement blessé à la gorge et victime d'une importante hémorragie, ce dernier - dont l'identité n'a pas été dévoilée - a été transporté dans un état jugé sérieux au CHU.

Mais son pronostic vital ne serait pas engagé. Le parquet de Dijon a chargé l'enquête à la sûreté départementale de la sécurité publique. L’auteur présumé des faits a quant à lui rapidement été interpellé.

Selon l'AFP, il s'agirait d'un jeune homme âgé de 27 ans et d’origine afghane, qui bénéficiait d’un titre de séjour provisoire et était hébergé dans un foyer de Dijon. Il aurait choisi sa victime au hasard.

Piétons fauchés à Dijon : Nesser-Edin B. mis en examen pour "tentative d'assassinat"

Avant d'être interpellé, le conducteur avait renversé treize personnes en quatre endroits différents.

Dans un communiqué, le procureur de la république adjoint de Dijon annonce que le conducteur qui a renversé "volontairement" plusieurs piétons dans les rues du centre-ville de Dijon dans la soirée de dimanche a été présenté ce mardi à un juge d'instruction du Tribunal de grande instance de Dijon.

Celui-ci a mis Nesser-Edin B. en examen ce mardi après-midi pour "tentative d'assassinat" (réclusion criminelle à perpétuité encourue).

Avant d'être immédiatement écroué par le juge des libertés et de la détention et conduit vers une unité spécialisée en psychiatrie de la maison d'arrêt de Lyon.

Par ailleurs, les investigations se poursuivent sur commission rogatoire. Quant aux victimes, quatre des huit personnes soignées au CHU de Dijon sont toujours hospitalisées ce mardi soir.

Un nombre de victimes revu à la hausse par les enquêteurs puisque quatre personnes, choquées mais non blessées après que le véhicule leur a foncé dessus, se sont présentées ces dernières heures aux policiers pour porter plainte, certificat médical à l'appui. Portant à 17 le nombre de victimes.

Dijon : La justice laisse les internautes décider du sort du chauffard

 Au lendemain de l’agression qui a fait onze victimes dans les rues du centre-ville de Dijon, c’est toute une population qui est sous le choc. Alors que les pouvoirs publics et les médias tentent de faire passer cet acte inqualifiable pour un accès de folie de la part d’un déséquilibré, nos concitoyens n’en peuvent plus de devoir ravaler une colère poussée à son paroxysme.

C’est pourquoi forte d’une confiance aveugle en la sagesse de la vox populi, la magistrature de Dijon a décidé de confier le sort du criminel aux mains des internautes. En offrant pour la toute première fois la possibilité aux membres de Facebook de décider du destin d’un homme, la Justice reconnait enfin notre conscience collective comme le plus sûr moyen de faire régner la paix sociale.

Les cyniques parleront d’effet de mode, mais force est de constater que la démocratie participative revêt de nombreuses vertus dont celle d’alléger les formalités administratives des tribunaux. Un vivier d’experts On a souvent tendance à penser que Facebook n’est qu’un repaire de post-adolescents qui partagent à l’envi des trailers de Star Wars et des vidéos mignonnes de chatons.

Faux.

Souvenez-vous des révolutions arabes, souvenez-vous du soutien au bijoutier de Nice et de la condamnation des violences faites par Nabila : Facebook est un formidable levier de démocratie où l’avis de chacun est enfin traité avec autant d’intérêt que celui de ces grands qui nous gouvernent. En ce sens, ce que l’on peut retenir de cette journée du 22 décembre sur les réseaux sociaux dijonnais, c’est que la philosophie et la connaissance des conflits géopolitiques ne sont pas réservées aux érudits.

En affichant leur avis éclairés, bon nombre de compatriotes y sont allés de leurs synthèses aussi courageuses qu’engagées :

Jugnot épouse Deschamps Coiffeuse et maman à plein temps « Ou va t’on????? c’est du grand n’importe quoi et sa ne fait que commencer!!!!!! Pffffffff…. c’est ta se demander si je vais encore pouvoire promener Océane et Louka dans DIJON…. »

l Arthur Blanc Barman au Chat Noir« il faudrait les pendre sur la place public ses gens-la mais non, notre cher président va préférer leur offrir un stage de poney pour les réinsérer…….. sans commentaire…… »

Que les politiciens se le tiennent pour dit, ils n’ont plus le monopole de la raison. Facebook est devenu à lui tout seul le premier parti de France dans lequel se côtoient toutes les professions et toutes les sensibilités.

Aussi sommes-nous en droit de nous attendre à ce que cet échantillon à la fois vaste et éclairé de notre France suffise à guider les décisions de justice les plus importantes pour ces prochaines années. Débat sur la méthode Les prospections vont déjà bon train sur la méthode à appliquer pour châtier le criminel à la Clio.

A midi, les avis sont encore très partagés entre le lynchage sur la place Émile Zola et l’exécution sous la porte Guillaume. « Qu’importe le lieu, pourvu qu’on ait sa tête ! » s’amuse un jeune homme facétieux qui se targue d’être dans le top 10 des personnalités les plus influentes du quartier de la Maladière avec ses 265 followers.

Smartphone au poing, il commente et partage frénétiquement toutes les actualités liées au drame de la veille : « moi je pense qu’une balle dans la tête serait plus adaptée, mais ça fera certainement moins de vues sur YouTube qu’une pendaison en bonne et due forme » .

Et comme sur Facebook plus qu’ailleurs nous ne sommes jamais à l’abri d’un élan de générosité, certains commentateurs proposent d’infliger eux-même la correction à l’intégriste palestino-complotiste-soralo-nikeairmaxiste.

Antoine Martin Champion régional de kick-boxing sur PS4 « Si j’avais été là j’aurais DÉFONCÉ la voiture et je leur aurais pété la gueule. Laissez-moi leur mettre une boule de feu dans la gueule, c’est tout ce qu’ils meritent ».

Édouard Catin Conseiyé munissipale « Mohamed dans sa clio il a avouer être pro palestinien. Il faut bombarder GAZA!! Si vous m’élisez je ferai en sorte que plus aucun bardu a le droit de conduire » .

Mais comme l’heure n’est pas à la précipitation, il a été décidé que les internautes auraient encore jusqu’à 16h pour faire part de leur choix sur la manière de rétablir la peine de mort. Bannie par la France en 1981, la peine capitale a en effet effectué un retour pour le moins inattendu sur les réseaux du XXIème siècle.

Il faut dire que d’après les sondages, la France est de plus en plus attachée au retour de ses vieilles traditions. Aussi la rédaction souhaite-t-elle à nos lecteurs de traditionnels vœux de bonheur et de fraternité en cette fin d’année.

Agressions au lac Kir : un appel à témoins lancé

L'homme suspecté d'avoir agressé six femmes depuis mars aux abords du lac Kir a été interpellé le 23 novembre

 La police recherche d'autres victimes potentielles. Ainsi, toute personne susceptible d’apporter un témoignage pouvant faire avancer le dossier est invitée à prendre contact avec la brigade des mœurs de la police de Dijon, en charge de l’enquête, au 03.80.44.55.00.

Dijon : huit personnes blessées dans un incendie à la Fontaine-d'Ouche

Un incendie, dont l'origine est indéterminée, s'est déclaré ce lundi vers 16h30, dans un immeuble de sept étages, allée de Ribeauville, dans le quartier de la Fontaine-d'Ouche, à Dijon.

Une trentaine de pompiers étaient encore sur place à 17h30, ainsi que des forces de police et le Samu. Selon les premiers éléments le feu se serait déclaré dans la chambre d'un appartement du premier étage de cet immeuble.

De nombreux habitants étaient déjà rentrés chez eux et de nombreux enfants en bas âge étaient sur place. Les pompiers ont procédé rapidement à l'extinction du feu, mais ont dû évacuer une bonne partie de l'immeuble en raison de la fumée qui a envahi tout l'immeuble. Huit personnes ont été intoxiquées et transportés au CHU, mais leurs jours ne sont pas en danger.

Une vingtaine d'autres habitants de cet immeuble, plus légèrement touchés par les fumées, ont été pris en charge par les pompiers et les équipes du Samu à la piscine de la Fontaine-d'Ouche, qui sert de centre de premier secours.

3 chiffres à retenir sur la pauvreté en Bourgogne

Le Secours catholique a rendu son rapport sur la pauvreté en France et il est alarmant. L'association a apporté son aide à près de 1,5 million de personnes l'an dernier. Une situation qui s'aggrave depuis 10 ans, le point en Bourgogne

En 2013, 13 800 ménages ont été accueillis par le Secours Catholique en Bourgogne dont plus d’un tiers (37 %) était déjà connu des équipes.

C’est le signe d’un renforcement de l’accompagnement par les équipes du Secours Catholique, mais aussi de l’enracinement des difficultés pour un certain nombre de ménages.

La part de couples avec enfants a augmenté, elle représente plus du quart des ménages accueillis. Celle des ménages étrangers continue d’augmenter elle aussi, passant de 32 % à 34 %, avec une part importante venant d’Europe de l’Est et d’Afrique subsaharienne.

Les personnes étrangères en attente de statut sont plus nombreuses qu’en 2012 et la proportion de personnes sans papiers augmente fortement.

Il faut noter une augmentation de 9 points entre 2010 et 2013 des personnes habitant dans des squats ou des logements de fortune. En 2013, 22 % des ménages rencontrés étaient sans ressources, contre 15 % en 2010.

Cela s’explique en partie par l’augmentation de la part des ménages étrangers. 1000 euros La plupart des ménages accueillis vivent en effet avec moins de 1 000 euros par mois, et certaines familles font face à une diminution de leurs revenus, comme dans la Nièvre, où l’on observe un recul de 4 % des ressources des familles.

La préexistence d’autres dettes, la difficulté de gestion du budget familial et la mauvaise isolation des logements sont autant de facteurs aggravants. On peut aussi invoquer un hiver long et la hausse du coût de l’énergie.

Lorsque les revenus diminuent, les ménages recentrent leurs dépenses et demandes sur l’alimentation quotidienne, ce qui explique que les secours alimentaires ne faiblissent pas, jusqu’à ce que la situation énergétique devienne intenable (coupure imminente).

CHU de Dijon : parking payant, premier bilan

Le parking du CHU de Dijon est payant depuis un mois.

 Un mois jour pour jour après la mise en place de la monétisation du parking du CHU, des discussions sont toujours en cours entre les syndicats, la direction de l’hôpital et le Grand Dijon.

Cela faisait bien longtemps qu’on n’avait pas vu le parking du Bocage central aussi peu rempli. Dès la mise en place du stationnement payant, le 6 octobre  une partie des automobilistes qui avaient l’habitude de se garer sur le site a renoncé devant la mise en service des barrières automatiques (après les quarante-cinq premières minutes gratuites, le stationnement est à présent facturé 1 € l’heure, plafonné à 6 € pour vingt-quatre heures).

Une table ronde à venir « Vu la faible occupation, nous avons renégocié cent places supplémentaires pour le personnel (cent soixante-dix places étaient déjà réservées), qui a aussi désormais accès gratuitement au parking payant, par badge, l’après-midi en plus de la nuit», indique Christine Pelletier, de la CFDT du CHU (syndicat majoritaire).

Elle confie par ailleurs que « le travail continue » et que le sujet est « en évolution constante avec la direction ». « Il y avait une absence de gestion des flux depuis des années. Il n’y avait même pas de vigie, comme autrefois. Le parking était envahi par des véhicules qui n’avaient rien à faire là.

Aujourd’hui, nous avons très peu de plaintes des usagers, qui sont en général contents de trouver une place. » De son côté, le syndicat CGT nuance : « Au niveau du personnel, ça s’est un peu amélioré puisqu’il y a effectivement eu des dispositions de prises. Dans l’ensemble, les salariés sont satisfaits. Il reste quelques services où ça coince, du fait d’horaires particuliers… On travaille toujours.

Concernant les patients, en revanche, il y a ceux qui ont les moyens de payer et ne se plaignent pas et les autres, pour qui ça fait cher. Sans parler des personnes à mobilité réduite. Là, c’est la double peine. En effet, ceux qui viennent par leurs propres moyens bénéficient de quarante-cinq minutes gratuites sur le parvis au-dessus, mais au-delà, c’est 3 €. Or, avec un fauteuil, cela prend parfois du temps… ».

Depuis que le parking est payant, des automobilistes se sont reportés sur les rues alentours (lire ci-contre). « Les gens font autrement. Ils se garent ailleurs, sur les trottoirs notamment ! », note la CGT. La police municipale passe de temps en temps et aligne les contrevenants.

« Le problème, c’est que les environs sont saturés. Le quartier s’est densifié, c’est aussi ça le souci ! », souligne la représentante de la CFDT. Qui ajoute : « Nous avons rencontré Nathalie Koenders pour évoquer les solutions qui pourraient être envisagées autour du CHU. Il y a aussi des entreprises, et le secteur est également envahi par des étudiants qui restent à la semaine. Nous la rencontrerons à nouveau pour évaluer la saturation et voir ce qui peut être mis en place, en fonction de l’avenir de la patinoire notamment ».

Une table ronde, dont la date n’a pas encore été fixée, réunira les syndicats, la direction et le Grand Dijon autour de cette question.