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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Manifestation à Dijon : le préfet assume ses ordres
De nombreux tags ornaient les murs de la ville de Dijon, après la manifestation.
Ce samedi, dès la rue Victor-Dumay, les manifestants se sont montrés vindicatifs. La police aurait-elle dû intervenir plus tôt ? Le préfet répond.
Angle des rues Berbisey et Chaignot, à Dijon, samedi 18 h 15. Alors que le cortège de manifestants déambule depuis 17 heures, la police intervient. Une minorité de participants vient de s’en prendre aux vitrines des commerces. Éclatées. Puis aux façades de la ville. Taguées. Un feu se déclare en pleine rue, les chariots des manifestants brûlent. À la vue des policiers, tous se dispersent. Trop tard ?
Intervenir « n’empêche pas les dégâts »
Ce dimanche, le préfet de Côte-d’Or et de Bourgogne s’explique. Et rappelle le contexte « particulier ».
En effet, mercredi, une première manifestation en hommage à Rémi Fraisse était partie de la préfecture.
« Elle a montré une extrême agressivité à l’égard de la police », note Eric Delzant.
De plus, le rassemblement d’hier n’était « pas déclaré ». Ainsi, à l’exception du point de départ, rue de la Liberté, le trajet n’était pas connu.
« Nous pensions même qu’ils iraient en direction de l’Hôtel de Police, place Suquet, c’est pour cette raison que les CRS s’y étaient installés », avoue le représentant de l’État.
De plus, le circuit de vidéosurveillance avait été coupé par les manifestants. « Une véritable stratégie de guérilla urbaine », résume Eric Delzant.
Pour y faire face : une compagnie républicaine de sécurité (CRS) composée de 75 policiers et une trentaine de membres de la direction départementale de la sécurité publique (DDSP).
C’est pour « assurer en priorité la sécurité des passants » que les forces de l’ordre ont laissé faire. « Toute intervention des forces de police pose des risques forts de collision avec les passants. Je n’ose imaginer les réactions et les dégâts humains si j’avais donné l’ordre d’intervenir. Et on l’a vu à Nantes et Toulouse, les interventions n’empêchent pas les dégâts », justifie Eric Delzant.
À ses côtés, Nathalie Morel, la responsable de la sécurité publique complète : « Des jeunes manifestants sillonnaient la ville pour indiquer aux meneurs du cortège notre positionnement, nous sommes restés à l’arrière pour éviter les affrontements. »
Pourtant, rue Berbisey, au croisement de la rue Chaignot, une équipe de la place Suquet fait son apparition. « À ce moment, des feux de poubelles présentaient un risque pour les riverains et les passants. Lorsque l’on est allé au contact des manifestants, ils se sont dispersés », relate Nathalie Morel, tout en excluant une intervention plus précoce : « Les fumigènes rendaient la visibilité très mauvaise. Il aurait été impossible de voir contre qui on intervenait. »
Eric Delzant, le préfet, complète : « L’intervention devait être proportionnelle aux risques. Et ceux qui pensent que j’ai reçu l’ordre de ne pas intervenir, c’est du fantasme ! »
Un homme interpellé
Dans notre édition de dimanche, nous relations l’état d’un manifestant blessé. Selon nos informations, ce dernier, touché à la cuisse, a été conduit au CHU de Dijon. Les policiers ont ensuite procédé à son interpellation et l’homme a été placé en garde à vue dans la nuit de samedi à dimanche. Hier, Nathalie Morel ne confirmait pourtant pas cette version et se refusait à tout commentaire :
« Cela relève de la procédure judiciaire. Ce que je peux vous dire c’est qu’un individu majeur a été interpellé à l’issue de la manifestation. Il est archiconnu des services de police. »
L'office de Tourisme de Dijon a présenté ce matin sur son stand à la foire gastronomique la version définitive du film "Dijon comme vous ne l'avez jamais vue !" Le film, qui avait dépassé les 200 000 vues dans sa première version et qui met en valeur notre belle ville, filmée par des drones !!!
Miss Cookies, une success-story dijonnaise
L’entreprise familiale Miss Cookies, créée en 2010 par Hélène Grandgérard, s’apprête à se lancer dans la franchise.
Hier assistante au conseil régional, Hélène Grandgérard a tout plaqué pour pâtisser. Aujourd’hui, à 33 ans, à la tête de trois points de vente, la Dijonnaise croque le succès à pleines dents.
Un profil atypique et de l’idée, une bonne pincée d’ambition, saupoudrée de beaucoup de travail. Voilà la recette qui a fait passer, en quatre ans, Miss Cookies d’une petite entreprise familiale à une société gérant trois magasins, sur le point de se franchiser. Une croissance fulgurante.
C’est en octobre 2010 qu’Hélène Grandgérard enfourne sa première plaque de cookies dans son local de la rue de La Poste, au cœur du centre-ville de Dijon.
À l’époque, elle n’a pas trente ans et fait le pari du coffee-shop et de la pâtisserie pour changer de vie. « Avant d’ouvrir ce point de vente, j’étais assistante au cabinet de François Patriat, au conseil régional, depuis cinq ans », raconte la jeune femme, titulaire d’un BTS assistante de direction, obtenu quelques années plus tôt à l’université de Dijon.
En 2009, un grave accident d’escalade la fait réfléchir. « J’adorais ma vie, mon travail, mes collègues, mais j’avais besoin de créer quelque chose. À cette époque, mon grand frère était déjà chef d’entreprise, dans l’informatique. Je me suis dit que, moi aussi, j’avais envie de laisser ma trace. »
Elle ne met pas longtemps à trouver le concept qui lui convient. « J’avais vécu un peu à New York, où je travaillais dans un magasin qui vendait des cookies, et à Milan, dans un salon de thé. » C’est donc assez naturellement qu’elle imagine ce que sera sa « boîte ».
Le temps d’effectuer un stage de créateur d’entreprise, de trouver un local et de démissionner, Miss Cookies était née. Derrière le comptoir et aux fourneaux, Hélène Grandgérard est secondée par sa maman Dominique. L’affaire familiale rencontre tout de suite le succès. « Je me suis versé un salaire dès le premier mois d’ouverture, c’est assez rare », souligne la gérante. Au bout d’un an, elle embauche sa première employée.
Les facs et République après le centre-ville En décembre 2012, Miss Cookies se décline dans un des tout nouveaux kiosques implantés le long du tracé du tramway, aux abords de l’université. « Là-bas, c’est vraiment le carton », note la gérante. De novembre 2013 à février 2014, nouveau challenge : Hélène Grandgérard s’attaque à la Toison d’Or, où elle ouvre un kiosque éphémère.
« On nous a proposé de combler un espace vide, en attendant que de nouveaux commerces s’installent après l’extension du centre commercial », explique-t-elle. Une expérience, là aussi concluante, qui lui donne des idées.
« C’est aujourd’hui notre souhait de nous installer là-bas. Nous avons eu plusieurs opportunités, mais, pour l’instant, pas d’emplacement qui nous intéressait ». À peine ce point de vente fermé qu’un autre prenait le relais, cette fois place de la République.
C’était en avril dernier. Un kiosque pour lequel Hélène Grandgérard avait déjà postulé deux ans plus tôt, en même temps qu’elle demandait celui des facs. Un kiosque qui porte à trois le nombre de points de vente à Dijon.
Pour faire face à ce développement express, la société a dû se renforcer. Cependant, l’affaire reste familiale. Aujourd’hui, outre sa maman, associée de la première heure qui gère notamment la comptabilité, Hélène Grandgérard est entourée de son grand frère Fabien (qui s’occupe de l’informatique) et de son petit frère Pierre (qui gère plus particulièrement les relations avec les fournisseurs).
« Tout le monde met la main à la pâte. Nous avons aussi trois employés, ça, c’est une vraie fierté, et nous allons devoir recruter. » D’autant que les projets de Miss Cookies ne s’arrêtent pas là. « Si tout va bien, d’ici quelques mois, nous devrions avoir un laboratoire de fabrication et nous voudrions lancer la franchise en septembre 2015, sur tout le territoire français. »
Cependant, après quatre ans passés à faire grandir son « bébé », Hélène Grandgérard aspire aujourd’hui à lever un peu le pied. Car une autre pépite, prénommée Zoé, est venue bouleverser sa vie, en février dernier.
« Il y a énormément de travail derrière tout cela et aujourd’hui, mes priorités ont changé », confie la jeune maman. Mais pas question pour autant de laisser tomber le tablier de chef d’entreprise à succès !
Un mélange de vendanges, de vengeance, de revanche, voire revenge... et ça donne VEANGENGE !!! une coupe de cheveux ratée et c'est l'engrenage...
ALERTE : Une manifestation est en train de dégénérer à Dijon, vitrines de magasins cassées, tags sur les façades des immeubles, début d'incendie... Intervention des CRS. Des manifestants qui se disent pacifistes et qui sont venus cagoulés et même pour certains portant des casques se servent de façon indigne de la mort d'un homme avec pour seule volonté de tout vouloir détruire. Ces comportements sauvages et primaires ne font qu'alimenter un peu plus chaque jour la montée du Front National. STOP ! OUI, on peut manifester.. et NON, on ne peut pas tout casser !! Je ne suis pas certain que Rémi Fraisse aurait cautionné tout ça... Paix à son âme
Cité de la gastronomie de Dijon : premier projet
1 La future entrée, face au pont de l’Arquebuse.
2 Le coin dédié aux commerces.
3 Le site de la Cité de la Gastronomie.
4 L’hôtel et la résidence services se situeraient ici.
5 L’ancien cours de l’Ouche serait rendu à la rivière.
6 Près de 700 logements seront construits.
7 Une tour de 13 étages ici ?
Il ne sera pas le seul mais Hubert Rouy, le patron de l’entreprise Seger, a fini par répondre à l’appel à projets pour la Cité internationale de la Gastronomie.
En voici les grandes lignes. L’hypothèse était évoquée à demi-mot. Elle est désormais confirmée. Hier vendredi, au jour de la date limite des dépôts de candidatures, le promoteur immobilier Hubert Rouy, patron de l’entreprise dijonnaise Seger, a répondu à l’appel lancé par la mairie de Dijon pour la future Cité internationale de la Gastronomie.
Cité qui se situera sur le site de l’ancien hôpital général au cœur de la ville. Un pool d’entreprises locales Sollicité par Le Bien public , Hubert Rouy a accepté de dévoiler les grandes lignes de son projet.
« Si je suis celui qui a déposé le dossier, je tiens d’abord à préciser que je ne suis pas seul. Plusieurs autres entreprises ont pris l’engagement ferme de s’investir dans le projet, naturellement à la condition qu’il se concrétise », explique l’entrepreneur.
Et de citer la Caisse d’Épargne, Nexity, Icade, Villéo, sans compter naturellement la Seger et Villa Medicis. À ceux-là, il faut ajouter la CCI, le groupe hôtelier Jacquier ou encore le restaurateur étoilé Jean-Pierre Billoux, puisqu’il s’agit d’abord d’un projet de Cité internationale de la Gastronomie.
Enfin, l’ensemble sera, si Hubert Rouy l’emporte, dessiné par l’architecte Xavier Bohl. « Un homme d’une grande humilité, d’une immense compétence et qui porte une vraie vision pour mettre en valeur le site de l’ancien hôpital général », selon le promoteur dijonnais.
La discussion a permis d’en savoir plus sur le projet porté par, pour reprendre les mots de celui qui en est à l’origine, « un ensemble d’entreprises enracinées à Dijon et en Bourgogne, puisqu’elles sont soit originaires d’ici, soit y ont une direction régionale ». « C’est un projet local, d’intérêt national, et qui aura des répercussions mondiales. Si je suis retenu, il sera piloté par des interlocuteurs locaux », affirme encore le chef d’entreprise.
Autour de l’eau Concrètement, son projet comporte la rénovation du bâti existant. Dans les murs de l’ancien hôpital général seront abrités une résidence services, un hôtel, un musée de la gastronomie, une vinothèque dédiée aux vins du monde entier, « puisqu’il ne s’agit pas de concurrencer Beaune », et pourquoi pas une antenne de l’école hôtelière de Lausanne, et un master en vin et gastronomie.
La façade d’entrée de l’hôpital, qui fait face au pont de l’Arquebuse, pourrait être ouverte, pour donner de la profondeur et créer une belle entrée. Devant, autour, de l’eau.
« L’idée, c’est de remettre l’Ouche dans son lit », détaille, enthousiaste, Hubert Rouy qui installerait la cité de la Gastronomie au cœur de l’ensemble, et consacrerait l’espace derrière les bâtiments existants à la construction de 700 logements.
« Ce projet fera le lien entre la vieille ville et la ville moderne. Les logements n’écraseront pas l’hôpital général, mais remonteront vers l’arrière, jusqu’à une tour de treize étages qui symbolisera cette jonction entre l’ancien et le moderne », détaille encore Hubert Rouy.
L’espace sera pensé pour les piétons, avec de nombreux espaces verts en plus des points d’eau, et une zone dédiée au commerce, avec une moyenne surface, du commerce de détail et des brasseries.
A Dijon aussi, on a pratiqué (et assez violemment) la corrida
Encore pratiquées lors des annuelles ferias, on les croyait traditionnellement réservées aux villes du Sud de la France. Pourtant, pendant quelques années, la ville de Dijon a elle aussi eu droit aux corridas et combats de taureaux.
Les Dijonnais en étaient même dingues… avant leur interdiction pure et simple, au tournant du 20e siècle. 5 000 spectateurs au Vélodrome du Parc Tout le monde connait les corridas, notamment en raison des vives polémiques que leur pratique suscite au sein des militants de la cause animale.
Dans l’imaginaire collectif, draps rouges, costumes à paillettes et vachettes évoquent avant tout l’Espagne, Nîmes, Arles ou encore Dax.
Mais qui aurait pu penser qu’à Dijon, ville “nordiste” au demeurant, ce genre d’événement ait pu avoir lieu et rassembler plus des milliers de personnes ?
Ce fut en effet le cas entre 1896 et 1902, lorsqu’une cuadrilla de toreros eu l’idée de proposer ce genre de spectacle à l’occasion des Fêtes du 14 juillet.
A l’instar des cirques ambulants, toute la troupe débarquait chaque année avec décors et animaux aux Vélodrome de Dijon. Pas celui que nous connaissons, mais l’ancien et gigantesque Vélodrome des Allées du Parc, détruit à la fin des années 1920.
Installé à la fin du 19e siècle au moment de l’essor des courses cyclistes, le Vélodrome du Parc était implanté entre les actuelles rues de Longvic, Augustin Chancenotte et Clément Janin.
Dédié aux événements populaires, il pouvait accueillir plusieurs milliers de personnes et bénéficiait de son propre arrêt de tramway. L'entrée du Vélodrome depuis les allées du Parc
L’endroit était donc idéal pour attirer la curiosité et la soif d’exotisme de la population locale. Dès 1897, la presse de l’époque relate que plus de 5 000 billets de tribune à 1 franc seulement ont été vendus pour assister aux courses de taureaux, soit 15% de la population ! Dans le Progrès de Côte-d’Or, le 13 juillet 1897, le journaliste se fait même promoteur de l’événement :
“Les courses de taureaux, sont une fête pour les yeux, et nul ami de l’esthétique aspect des choses ne saurait se soustraire au charme intense de la corrida”.
Plus encore, une parade était organisée à travers toutes les rues du centre-ville, et les costumes du matadore exposés dans les vitrines du Bazar de la Ménagère, rue de la Liberté. Puis, à 15h30 précises, les passes entre toreros et taureaux commençaient, sous la chaleur de l’été. Une fois échaudés par les premières représentations, les Dijonnais amateurs pouvaient, s’ils s’en sentaient le courage, descendre dans l’arène et tenter de décrocher une cocarde rouge fixée sur la tête d’une vachette.
Récompense promise : 30 francs. En 1897, c’est le garçon-boulanger de la rue Monge André Vaillant, 22 ans, qui eu droit aux honneurs. L’année suivante, son excès de témérité lui coûta la rubrique faits-divers et un aller simple vers l’hôpital, “le visage ensanglanté”, “sérieusement blessé à la tête”.
Du pain, des jeux et…du sang Mais soyons honnêtes ; au delà du simple exotisme, c’est bien le spectacle sanguinaire qui fascinait la foule. Lorsque le combat était dangereux ou que le taureau était mis à mort, les Dijonnais hurlaient leur joie. Quand l’animal n’était pas assez vaillant, ils huaient les organisateurs. Voici d’ailleurs comme la presse locale relatait dès le lendemain le spectacle, dans un long article-résumé :
“Après une dizaine de passes de muleta, Felix Robert (célèbre torero, ndlr), d’un coup bien dirigé, plante l’épée presque jusqu’à la garde; l’animal arrête son élan, balance son corps, chancelle à peine une minute et s’abat sur le flanc droit. On applaudit à tout rompre ; le matador parcourt l’arène en saluant. Pendant que les deux chevaux entrainent le cadavre, la foule escalade les barrières et se précipite à gauche de l’arène, où l’animal est tombé”.
Sauf que le taureau n’était pas abattu à chaque combat, ce qui avait le don de provoquer la colère de la foule dijonnaise, qui passée la découverte exotique, exigeait chaque année au en juillet un spectacle plus violent que la fois précédente.
En 1898 et 1899, les résumés de spectacle suivent d’ailleurs l’avis du public, qualifiant de peu intéressant un combat où l’issue n’a pas été fatale pour l’animal… “Emeutes au Vélodrome – Courses interdites” Si bien qu’au bout de quelques années seulement, l’événement qui se voulait populaire a dégénéré. D’année en année, le public exigeait au Vélodrome du Parc un spectacle plus impressionnant, plus sanglant. Jusqu’à ce fameux 6 juillet 1902, où le Progrès titre : “Emeutes au Vélodrome – Courses interdites”.
Avant d’ajouter, non sans une pointe d’ironie : “Deux matadors ont été blessés – l’un assez grièvement – non par le taureau, mais par les spectateurs qui trouvaient qu’ils n’en avaient pas eu pour leur argent”.
La cuadrilla du célèbre matadore Félix Robert, venue plusieurs années à Dijon La cuadrilla du célèbre matadore Félix Robert, venue plusieurs années à Dijon Ayant eu écho de l’événement, la presse parisienne s’en mêle, dénonce – déjà à l’époque – la barbarie de la tradition tauromachique et insulte largement le caractère primaire de la population dijonnaise.
Dès le lendemain, des mesures sont prises : l’administration du Vélodrome annonce l’annulation des spectacles du 14 juillet 1902, remplacés au pied levé par des “courses vélocipédiques et une réunion de course à ânes”.
Dans le même temps, le maire Auguste Fournier fait interdire définitivement les courses de taureaux sur le territoire de Dijon dès le 8 juillet 1902 au motif que “ce genre de spectacles à Dijon est de nature à troubler l’ordre public et peut causer des accidents”. Et la presse locale de conclure, en dessous de l’arrêté municipal : “C’en est fait de notre naissante réputation de sanguinaire sauvagerie.
Nous n’aurons plus l’occasion de nous faire qualifier de cannibales par les journaux parisiens “.
DIJON CAPITALE !
Enfin un vrai guide annuel gratuit qui va mettre en avant toutes les richesses et les forces de notre belle ville qui font de Dijon une vraie capitale régionale. Félicitations au "couple" Thomas Barbier Editeur du groupe La Gazette Côte d'Or / Gazette info et à Dominique Bruillot, Editeur du groupe Bourgogne Mag/Dijon Beaune Mag pour leur association dans ce nouveau projet ambitieux.
Plus d'infos sur leur page Facebook.
Bonne chance à eux dans cette belle aventure d'amoureux de notre belle ville !!! Vivement la fin de l'année, pour se procurer la 1ère édition
Pour celles et ceux qui ne savent pas encore pourquoi la Côte d'Or porte son nom. En voici un bel exemple en photo
VIGNOBLE ACHAT D’UNE PIÈCE À LA VENTE DES HOSPICES DE BEAUNE
Par Jean-François Vandroux Participation aux enchères de la 154ème vente des vins des Hospices de Beaune pour remporter une pièce, équivalente à 288 bouteilles.
LIEU: Beaune
Bonjour, Je m’appelle Jean-Francois Vandroux et je dirige depuis 15 ans Anima Vinum, une société de Négoce, entièrement dédiée à la sélection de vins de terroirs et d’artisans vignerons. Nous sommes sur une vigne du domaine des Hospices de Beaune à la limite de Meursault et de Volnay sur le climat Volnay Santenots du dessous 1er cru.
Je vous propose aujourd’hui d’acquérir une Pièce lors de la prochaine vente des Hospices de Beaune, qui aura lieu le 3ème dimanche de novembre, soit le 16 Novembre. Le mode de financement participatif me paraît en totale cohérence avec l’œuvre des Hospices de Beaune : Faire un don qui permet d’acquérir du vin, mais également de donner à une œuvre caritative qui viendra alimenter les caisses et investissements de l’hôpital de Beaune.
Je vous propose donc de participer à cette vente aux enchères d’une Pièce de grand vin, qui donnera après élevage 288 bouteilles de la cuvée Fundovino.
Il est difficile de décider si tôt quelle cuvée nous allons acheter : Nous déciderons après avoir effectué de nombreuses dégustations, entre le 25 Octobre et le 14 Novembre. Je ne manquerai pas de publier alors une nouvelle vidéo pour vous livrer mes premières impressions et préciser vers quelles cuvées se dirige notre choix. Je sélectionnerai alors pour vous, comme nous le faisons depuis 10 ans, la cuvée qui nous paraît la plus intéressante.
A quoi servira la collecte?
Le budget que nous nous sommes fixés pour cette enchère est de 6.000€ (prix marteau, hors frais). Dans cette gamme de prix, nous avons pu acquérir par exemples les années précédentes, des pièces
Savigny Lès Beaune 1er Cru (2009),
Beaune 1er Cru (2010 - 2011 - 2012- 2013),
Pommard (2011 - 2012 - 2013) ou encore
Volnay 1er Cru (2013).
Il faut rajouter au prix du vin différents frais comme les taxes, les frais du commissaire priseur, l’achat du fût, l’élevage, l’embouteillage, le conditionnement en coffrets de bois, le prix des matières sèches ou encore les frais de port. Ainsi, vous trouverez ci-dessous une estimation des prix de revient des bouteilles, une fois le vin prêt à être expédié.
Ces estimations, très proches de la réalité, sont là encore basées sur nos années d’expérience et de participation aux enchères de la vente des vins des Hospices de Beaune.
Les quantités de chacun de ces lots seront les suivantes :
30 bouteilles,
27 magnums,
27 caisses de 3 magnums,
6 caisses de 6 bouteilles,
4 caisses de 6 magnums,
4 caisses de 12 bouteilles.
Par conséquent, l’objectif de collecte est fixé à 14.422€
En cas d’une collecte dépassant cet objectif, ou d’enchère pour un montant inférieur à 6.000€, l’excédent fera l’objet d’un don par chèque directement à l’œuvre défendue par les parrains de la vente des Hospices de Beaune. En cas d’enchère pour un montant supérieur à 6.000€, je m’engage à apporter personnellement le montant nécessaire pour remporter l’enchère, et ainsi honorer vos dons.
A propos du porteur de projet Jean-François VANDROUX et Pierre GRIMALDI Associés, Gérants de Anima Vinum et amis depuis 1983. ANIMA VINUM sélectionne exclusivement des vins de vignerons récoltants très attachés à leurs terroirs.
Créée en 1999, nous collaborons avec plus de 120 domaines autours de 300 vins.
ANIMA VINUM (l’esprit dans le vin) a gardé son indépendance de choix en n’appartenant à aucun groupe, coopérative, domaine ou grande maison de négoce. Nous sillonnons le terroir à la rencontre des vignerons récoltants et sélectionnons ce que nous trouvons de meilleur en terme de goût, terroir, qualité-prix, démarche artisanale, respect de la nature, viticulture et vinification de qualité, petites cuvées,...
Nous signons les sélections par un escargot portant un tonneau et apportons sur la contre étiquette spécifique à chaque vin des indications telles que l'apogée, l'association met&vin, le nombre de bouteilles produites, les choix culturaux, les principes de vinification et d'élevage, le jour de mise en bouteille...
Nous avons constaté depuis bien longtemps que le bon vin se fait dans la vigne et pas dans la cuverie : boire un bon vin l’emporte sur l’étiquette ou les commentaires imposés. Elevés en Bourgogne, nous défendons le bon vin, le goût, le terroir, l'artisanat et le bon manger avec parfois, il faut bien le reconnaitre, un peu de militantisme.
Par Jean-François Vandroux