Le chasse-neige de l’aéroport de Dijon aurait été payé plus d’un million d’euros A

Dijon – C’est un scandale qui vient d’être révélé par un journaliste de Dijon l’Hebdo et qui va certainement faire vaciller les bases du Conseil Général de la Côte-d’Or alors que la Cour des Comptes, dans un addenda discret à son dernier rapport, vient de laisser échapper le montant de l’achat d’un chasse-neige pour l’aéroport de Dijon, d’une valeur de plus d’un million d’euros.

Cet aéroport régional, réaménagé sur l’ancienne base de l’armée de l’air BA102 de Dijon-Longvic, et qui devait accueillir des centaines de milliers de voyageurs d’après les édiles régionaux qui ont contribué à son financement, n’a finalement jamais reçu qu’une vingtaine de milliers de passagers par an.

Et le départ de l’unique opérateur Eastern Airways qui réalisait quelques liaisons vers d’autres villes de province françaises, va certainement mettre un terme à son existence en tant qu’aéroport commercial.

La Cour des Comptes s’est penchée sur les budgets qui avaient été attribués pour son développement et a immédiatement tiqué sur la ligne ‘Déneigeuse’ au bout de laquelle se trouvait le chiffre incroyable de 1.000.456,75€ HT, payé à ‘Dédé Snow Digger Inc.’, une société dijonnaise qui a disparu depuis et avait appartenu au beau-frère d’un des membres éminent du Conseil Général que le rapport ne nomme pas.

L’accès à l’aéroport et à ses installations ayant été interdit par décret, soit-disant pour des raisons de sécurité, le journaliste de Dijon l’Hebdo a dû utiliser la ruse pour parvenir à prendre en photo l’engin de déneigement à des fins de publication dans son quotidien.

Il n’a pas été possible de trouver le constructeur du véhicule qui semble avoir été fabriqué à partir de différentes pièces de plusieurs autres objets roulant difficiles à identifier. Contactés par téléphone, les membres du Conseil Général n’ont pas souhaité répondre à quelques questions d’ordre pratique sur l’acquisition du chasse-neige et aucun ne se souvient d’un appel d’offres qui aurait été passé pour l’aéroport à ce sujet.

En cherchant sur internet , il apparaît que le véhicule aurait été fabriqué en Pologne avec des restes d’une Zastava , d’une Zigouli et de deux Trabans et aurait été peut-être acheté sur ‘Le Bon Coin’ mais aucune information n’a été donnée concernant la lame de chasse-neige qui a été fixée à l’avant.

La CCI de la Côte d’Or ne se souvient pas d’une société nommée ‘Dédé Snow Digger Inc.’ mais a promis de faire des recherches dans ses archives qui ont été stockées dans un hangar de l’aéroport, tout à côté de fûts d’essence, en attendant d’être exploitées par les archivistes départementaux. deuros/#sthash.O2vdzf56.dpuf

Une nouvelle acquisition à Dijon pour le groupe Bernard-Loiseau..

Selon le site internet www.bernard-loiseau.com/, le groupe Bernard-Loiseau, qui possède le restaurant Loiseau des Ducs, situé 3, rue Vauban à Dijon, a acquis le bar à vins et café La part des Anges, situé juste à côté.

Dijon : le futur hôtel Vertigo propose le plus beau CDD du monde

 Les lits n’auront pas de pieds et sembleront flotter. D.R. Les lits n’auront pas de pieds et sembleront flotter.

 En décembre, ouvrira à Dijon un nouvel hôtel 4 étoiles. L’établissement va créer une quinzaine d’emplois et propose un CDD de rêve.

Son nom a été dévoilé hier par Clémence Carminati, la directrice : le futur hôtel de haut de gamme dont les travaux sont en cours, rue Devosges, à Dijon, se nommera Vertigo, et a rejoint la marque de luxe berlinoise Design Hôtels, qui regroupe 285 établissements dans le monde , ayant tous la particularité d’avoir été pensés et aménagés de façon originale par des architectes et des designers.

« L’hôtel se nommera Vertigo parce que tout y sera lié au vertige », explique la directrice : « les lits, par exemple, n’auront pas de pieds et sembleront flotter en l’air, il y aura une surprise dans l’ascenseur, on pourra admirer d’énormes suspensions… »

Mais la jeune femme refuse d’en dire plus, pour « réserver l’effet de la surprise aux clients. Tout ce qu’il y a à en dire pour l’heure est que nous allons bousculer les critères de l’hôtellerie classique, en conservant les critères et les normes de l’hôtellerie de luxe. »

Le Vertigo, qui ouvrira en décembre, créera une quinzaine d’emplois directs (et les promoteurs du projet se sont adressés à des entreprises locales pour sa réalisation).

Et parmi les emplois créés, l’un sera un « job de rêve » en CDD de 42 jours. Quarante-deux jours comme les 42 chambres que comptera l’établissement. Le job (rémunéré, bien entendu) consistera, pour la personne qui aura été retenue, à dormir chaque nuit dans une chambre différente de l’établissement, et à rédiger chaque soir un petit texte, destiné à être publié sur Face book, évoquant ses impressions sur sa journée dijonnaise et sur sa nuit passée au Vertigo.

La sélection est déjà ouverte (voir adresse ci-dessous) :

la personne sera choisie sur plusieurs critères, dont les trois plus importants seront sans aucun doute de disposer d’un grand nombre d’amis sur les réseaux sociaux, d’avoir une belle plume et l’esprit curieux. Le but de Clémence Carminati est bien sûr de « faire un peu de buzz, de façon originale, autour d’un établissement au concept inédit ». Un joli pied de nez à la frilosité économique et à la morosité ambiante…

De ce côté, le Vertigo a déjà gagné une partie de son pari.

Adressez vos candidatures à c.carminati@dijonhotels.fr.

Dijon : Un siècle de cinéma pour les cent ans du Darcy..

1914 – 2014.Du 24 septembre au 3 octobre, le cinéma Darcy fête ses cent ans d’existence. En faisant de fait le plus ancien cinéma en activité de l’agglomération dijonnaise.

Pour célébrer cet événement, le cinéma qui compte désormais 957 places, propose un voyage dans le temps en redécouvrant les dix films qui ont marqué chaque décennie des années 1920 aux années 2010. Il faut remonter au 6 mars 1914 pour assister à la première projection sur les écrans du Darcy-Palace. Il s’agit de Cléopâtre de Enrico Guazzoni.

À cette époque, c’est le deuxième cinéma permanent installé dans la capitale des Ducs de Bourgogne. L’architecte prévoit une “magnifique façade écran dont la composition rectiligne est agrémentée de colonnes néoclassiques et surmontée d’un monumental oeil de boeuf”, détaille Icovil, l’institut pour une meilleure connaissance de l’histoire urbaine et des villes.

De Blanche Neige et les Sept Nains à Intouchables, en passant par Emmanuelle ou encore Titanic et ET, le cinéma offre, chaque jour, une rétrospective d’un siècle de septième art :

Mercredi 24 septembre : The Artist (1h40) À 13h50, 15h55, 18h, 20h05 et 22h10

Jeudi 25 septembre : Blanche Neige et les Sept Nains (1h23) À 14h, 16h, 18h, 20h et 22h

Vendredi 26 septembre : Le Dictateur (2h06) À 14h, 16h30, 19h20 et 21h45

Samedi 27 septembre : Autant en emporte le vent en VOST (3h58) À 14h et 20h

Dimanche 28 septembre : La grande Vadrouille (2h12) À 14h ,16h30, 19h15 et 21h50

Lundi 29 septembre : Emmanuelle (1h30) À 14h10, 16h10, 18h10, 20h10 et 22h10

Mardi 30 septembre : E.T. l’extra-terrestre (2h) À 14h, 16h30, 19h15 et 21h45

Mercredi 1er octobre : Titanic (3h14) À 13h45, 17h20 et 20h50

Jeudi 2 octobre : Bienvenue chez les Ch’tis (1h46) À 13h50, 15h55, 18h, 20h05 et 22h10

Vendredi 3 octobre : Intouchables (1h52) À 13h45, 15h55, 18h05 et 20h15

DERNIÈRE PROPOSITION DE LANAUD DU GRAY : UN PARC AQUATIQUE AU LAC KIR

David Lanaud du Gray, municipales dijonnons_lac04 A deux jours du premier tour des municipales, David Lanaud du Gray abat ses dernières cartes et tente une ultime proposition, dans la veine des précédentes (rapatrier la Tour Eiffel à Dijon ou installer des aquariums géants rue de la Liberté).

Cette fois, le candidat du « Dijonnons ensemble » souhaite repenser le lac Kir à l’occasion de ces cinquante ans, en y bâtissant un parc aquatique, des boutiques, des salles de jeux et un casino. Il détaille cette fantasque intention de campagne dans un communiqué, à lire ci-dessous.

« En 2015, à Dijon, le lac Kir aura cinquante ans. Cinquante ans à voir promeneurs, coureurs et badauds lui tourner autour. Pourtant, Dieu sait que son géniteur, le Chanoine Kir, fut mal accueilli lorsqu’en 1965, il soumit son projet au vote du conseil municipal. Une seule main se leva : la sienne !

Aujourd’hui, que serait Dijon sans son lac ?

Agréable, essentiel, le tour du lac Kir l’est pour tous les Dijonnais. Pourtant, hors des horaires de promenade, le lac s’endort alors qu’il renferme un potentiel de développement considérable. Avec David Lanaud du Gray, nous voulons faire souffler un vent nouveau sur ses rives : celui des loisirs à toutes heures.

La Cité Chanoine Kir se propose de déployer un grand ponton le long du plan d’eau sur lequel s’ouvrirait un parc aquatique semi-couvert, des restaurants, quelques boutiques, des salles de jeux et un casino ; le tout complété d’une tour d’observation dont la charpente métallique créerait un signal à l’entrée de la ville natale de Gustave Eiffel.

Les parcours des promeneurs et des sportifs n’en seraient pas pour autant sacrifiés grâce à la grande prairie couvrant le toit de l’édifice qui permettrait de développer l’attractivité du site sans le dénaturer. Dijon Plage pourra continuer de cohabiter pour la période estivale. Des animations populaires seront organisées à plus grande envergure avec la participation de toute la population afin de recréer du lien social avec Dijon et ses habitants, mais aussi avec ses touristes nombreux à Dijon en été.

A Dijon, aucun lieu n’est fermé au progrès : la Cité du Chanoine Kir est là pour montrer qu’il est possible de construire sur un lieu naturel sans sacrifier son paysage. faire vivre ce paysage à toute heure, c’est rentabiliser l’entretien des espaces verts, des rives du lac et de ses chemins. y développer des activités de loisirs , c’est offrir de nouvelles opportunités de développement économique, de nouvelles ressources à la ville.

C’est toute l’attractivité de Dijon qui s’en trouve renouvelée. Enfin, créer cet ensemble au moyen d’une architecture résolument contemporaine le long d’un lac cinquantenaire, c’est donner au visiteur l’image d’une ville tournée vers l’avenir mais fière de son passé. Nous espérons vivement que notre sénateur-maire acceptera le poste de ministre de l’Intérieur, car une fois en charge de ce ministère prestigieux nul doute qu’il offrira le droit d’ouvrir un établissement de jeux à la ville à laquelle il doit tant.

Il s’agit d’un projet réalisable, fruit d’un équilibre idéal entre ressources et investissements publics comme privés au bénéfice d’une cité à même de se projeter de manière sereine dans les cinquante prochaines années. Le financement de ce complexe de 5000 m2 sera réalisé à 70 % par des investisseurs privés dont la construction sera coordonnée par la municipalité propriétaire du site. Le coût sera donc extrêmement limité pour le contribuable. »

C'est où ? C'est quoi ? C'est le réservoir qui est SOUS le square Darcy ! Un magnifique lieu qui en étant asséché et avec quelques travaux ferait un magnifique et ultra original bar, restaurant, boîte de nuit, galerie d'art !! C'est aussi en créant des lieux de vie "actuels" et ultra originaux sur des sites anciens de notre patrimoine historique que nous développerons une image de ville moderne et dynamique qui se bouge, tout en respectant la richesse de son histoire auprès de ceux qui ne connaissent pas Dijon ! J'ai dit !

Dijon : une équipe de CRS déployée devant Pôle Emploi pour s’assurer que les chômeurs cherchent réellement un travail

Mesure phare de la gauche forte et décomplexée, le ministre du Travail a mis en place une équipe de contrôle à l’entrée de l’agence de recherche d’emploi.

Ce dispositif vise à s’assurer que les sans-dents sont bel et bien à l’affût d’un travail et non encore en train de pomper le sein vide et ridé de l’État Providence.

C’est d’une voix grave et chevrotante qui n’est pas sans rappeler celle de Johnny Halliday un lendemain de cuite que François Rebsamen a enfin percé le furoncle de la démagogie la semaine dernière chez nos confrères i-Télé : ces putains de fainéants précaires une ont une fâcheuse tendance à plomber les chiffres du chômage.

Écartant pour le moment l’option d’un génocide, le ministre a proposé de les dissuader d’une quelconque forme de laxisme en les menaçant de coups de matraque dans les rotules.

Tabasser plus pour chômer moins

Devant l’agence ce matin, les chômeurs filent droit : agglutinés de manière pathétique devant les tableaux d’affichage, ils semblent soudain très motivés pour rentrer enfin dans le monde du travail. Il faut dire que la matraque qu’arbore Jean-David, CRS réputé dans le petit monde de la sécurité dijonnaise, a quelque chose de très dissuasif :

« J’en ai déjà rossé quatre depuis ce matin », s’amuse le nouvel employé, « enfin même quinze si on compte les Arabes ». De son côté, Daniel l’intermittent du spectacle s’indigne comme sa posture de social-vive-la-gauchiste lui impose :

« C’est tout simplement fasciste d’agir comme ils le font : non seulement j’ai du me lever à 10h du matin pour venir, mais en plus on me propose des offres d’emploi qui menacent de m’exploiter 15h par semaine ! ».

Fort heureusement, un coup de batte bien placé vient achever les propos insupportables de Daniel dont le nom va bientôt être transféré de la liste des demandeurs d’emplois à celle des demandeurs d’organes.

« Quand on cherche vraiment, on trouve » Interrogé sur ces méthodes avant-gardistes, Rebsamen explique qu’il fait avant tout la chasse à la mauvaise foi :

« Je ne peux pas supporter l’idée qu’une personne vivant sur notre territoire ne travaille pas. Quand on cherche vraiment, on trouve : moi par exemple, j’ai cinq boulots et une dizaines de titres alors ne me dites pas qu’un type ne peut pas trouver AU MOINS un travail».

Il va de soi qu’un tel zèle découle d’une volonté compréhensible de se faire apprécier de Manuel Valls et des autres membres de l’UMP. Si toutefois François Rebsamen échouait dans son ambition de calmer l’érection de la courbe turgescente du chômage, il sait qu’un siège de maire est bien gardé au chaud pour lui dans la cité de Ducs.

Cette nouvelle poussera malheureusement Alain Millot à se rendre à son tour à Pôle Emploi où, espérons-le, Jean-David fera preuve d’un peu plus de bienveillance.

Dijon : le parking du CHU payant le 6 octobre

 Le parking du CHU de Dijon réservé aux usagers sera payant à compter du 6 octobre.

Découvez les détails du projet et des tarifs grâce aux documents qui viennent d'être envoyés aux salariés de l'hôpital, et qui nous ont été transmis.

Deux « arbres » mystérieux ont fait leur apparition, un place du Théâtre (en médaillon) et un dans la cour d’honneur de la mairie.

Explication.

Depuis ce jeudi matin, les Dijonnais n’ont pas manqué de s’interroger sur l’apparition de deux « arbres » mystérieux, en structure métallique, dans le centre-ville de Dijon.

L’un est situé dans la cour d’honneur de la mairie et le second place du Théâtre. S’agit il de la troisième fameuse œuvre d’art qui doit compléter les deux premières, installées rue de la Liberté ?

Non, d’après le cabinet du maire Alain Millot, interrogé par infos-dijon.com. Les deux arbres, lumineux, ne sont là que de manière temporaire. « Cette année, nous avons décidé d’innover, puisque le concert de rentrée sera réparti sur deux scènes, place de la Libération et, pour la première fois, place du Théâtre ».

D’autant que des économies ont été réalisées cette année sur l’opération phare de la rentrée à Dijon : « c’était donc un moyen intéressant de jalonner le parcours du public avec ces structures lumineuses », précise le cabinet du maire.

Elles ont été réalisées par la société Tilt, et ont été utilisées auparavant sur deux gros festivals français, le Cabaret Vert à Charleville-Mézières et les Vieilles Charrues à Carhaix. « C’est un peu comme un phare pour permettre au public de se repérer vendredi soir ».

Les deux arbres seront « testés » ce jeudi, à 21h. Quant à la fameuse troisième œuvre d’art qui doit prendre place devant le Théâtre, elle n’est pas encore arrêtée. « L’idée est de rester dans le végétal », souligne le cabinet. Un « vrai » arbre cette fois ? « Non, ce n’es pas ce qui est prévu ».

On devrait en savoir plus dans quelques semaines…

Dijon l'attractive ??? Seulement 18 % des français s'imagineraient bien travailler à Dijon. Nous n'arrivons qu' à la 19ème place. Il est vraiment URGENT de travailler tous ensemble sur l'organisation de grands événements populaires et originaux qui contribueraient à améliorer et à moderniser l'image de DIJON pour améliorer son attractivité et son identité auprès de ceux qui ne connaissent pas la ville ! J'ai dit !! (Etude Great Place to Work) http://www.challenges.fr/emploi/20140820.CHA6823/bordeaux-est-la-ville-ou-les-francais-revent-le-plus-de-travailler.html