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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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actualités

météorite

Publié à 17:27 par fandeloup Tags : nuit sur
météorite

Australie : une météorite traverse le ciel d'Adelaïde en pleine nuit ! Les habitants des Etats d'Australie-Méridionale et de Victoria ont été les témoins d'un phénomène particulièrement impressionnant, mardi soir.

Des vidéos publiées sur les réseaux sociaux montrent une grosse boule de lumière tomber vers le sol, donnant la brève impression qu'il faisait jour en pleine nuit ! «Il est assez évident qu'il s'agit d'une météorite. (...)

Tous les éléments nous font penser qu'elle a pu survivre jusqu'au sol. Cela dépend juste d'où elle a atterri», explique l'astronome David Finlay, interrogé par ABC. De savants calculs ont été effectués pour savoir ou cette météorite avait pu s'écraser... et il s'avère qu'elle serait tombée à près de 400 km d'Adelaïde, en plein océan Indien.

https://youtu.be/-2UBCnPqreM



perpétuité

Publié à 16:28 par fandeloup Tags : fille sur vie monde homme chez femme société photos mort internet enfant coupable
perpétuité

Le procureur de Thonon-les-Bains a requis la réclusion criminelle à perpétuité à l'encontre du père de la petite Léa ce jeudi 23 mai 2019.

Cédric Mahieu est jugé depuis lundi devant la cour d'assises pour le meurtre de la fillette, un "crime congugal par procuration" pour le parquet.

 Une peine de réclusion à perpétuité, assortie d'une période de sûreté de 22 ans, a été requise ce jeudi 23 mai 2019 devant la cour d'assises de Haute-Savoie contre Cédric Mahieu, accusé d'avoir tué sa fille de trois ans par vengeance contre sa femme.

"Un crime conjugal par procuration", a estimé le procureur de Thonon-les-Bains Philippe Toccanier, pour qui ce meurtre relève du "complexe de Médée", "utiliser son enfant et le réduire à un pur objet de vengeance et de sadisme pour faire souffrir son conjoint toute sa vie"

La mère de la petite Léa, Blandine, dont la dignité a sidéré l'assistance, avait rompu avec l'accusé en juin 2015, après onze ans de vie commune, en raison de sa violence et de son addiction à l'alcool et aux stupéfiants. Elle laissait cependant Léa voir son père.

Mais le samedi 21 mai 2016, celui-ci reçoit une assignation de l'avocat de sa femme visant à suspendre la garde alternée, car elle s'inquiète de son comportement.

Il dit avoir alors noyé dans la baignoire la fillette dont il avait la garde ce jour-là - l'autopsie évoque plutôt un étouffement - avant de s'enfuir le lundi, abandonnant le corps sur son lit. Léa est découverte par son oncle qui partage le logement, lorsque Blandine s'inquiète qu'elle ne soit pas à l'école.

Entre le meurtre et sa fuite, Cédric Mahieu prend le temps d'envoyer une lettre terrible à sa femme.

"Par ta faute tu as perdu ce que tu aimais le plus au monde (...) sois la plus malheureuse possible, je ne regrette rien (...) je suis content de t'avoir fait vivre un enfer". Et surtout "J'ai bien dit à Léa que tu ne l'aimais pas", juste avant sa mort.

Il est arrêté en novembre, sous un nom d'emprunt, alors qu'il est serveur à la Ciotat (Bouches-du-Rhône). C'est une recherche sur internet de photos de sa fille qui l'a confondu.

Un psychiatre a jugé qu'il pouvait y avoir eu une "altération légère" du discernement au moment des faits, ce qui abaisserait le maximum encouru à trente ans, mais le représentant de l'accusation n'a pas semblé y croire, et n'a trouvé aucune circonstance atténuante à l'accusé.

Il a aussi demandé vingt ans de suivi socio-judiciaire après l'exécution de la peine, pour "assurer la tranquillité" de Blandine, qui a désormais un nouveau compagnon et un petit garçon.

 

 

Meurtre de la petite Léa : le père condamné à trente ans de réclusion pour infanticide par vengeance

Le domicile du père, Cédric Mahieu, à Margencel en Haute-Savoie.

 Cédric Mahieu a été reconnu coupable du meurtre de sa fille Léa, 3 ans, par la cour d'assises de Haute-Savoie, jeudi 23 mai. L'homme de 41 ans a été condamné à trente ans de réclusion criminelle.  Le père de la petite Léa, Cédric Mahieu, a été condamné à trente ans de réclusion criminelle par la cour d'assises de Haute-Savoie à Annecy, jeudi 23 mai.

Le quadragénaire a été reconnu coupable du meurtre de sa fille âgée de 3 ans en mai 2016, avant de s'enfuir pendant six mois. La peine a été assortie d'une période de sûreté de vingt ans et d'une obligation de suivi socio-judiciaire de dix ans à la sortie, comprenant l'interdiction de paraître en Haute-Savoie et l'obligation de soins.

L'avocat général, le procureur de la République de Thonon-les-Bains Philippe Toccanier, avait requis la réclusion criminelle à perpétuité assortie de 22 ans de sûreté, tout en demandant le suivi socio-judiciaire au cas où la cour ne prononcerait pas la perpétuité.

Meurtre de la petite Léa : perpétuité requise contre son père devant les assises de Haute-Savoie Meurtre de la petite Léa : perpétuité requise contre son père devant les assises de Haute-Savoie Blandine, la mère de la victime, dont la dignité a sidéré l'assistance durant tout le procès, s'est déclarée "soulagée" par le verdict.

Elle était soutenue par toute sa famille et par son nouveau compagnon avec lequel elle a un petit garçon. Elle avait rompu avec l'accusé en juin 2015, après onze ans de vie commune, en raison de la violence de celui-ci et de son addiction à l'alcool et aux stupéfiants.

Elle lui laissait cependant Léa en garde alternée. Mais le samedi 21 mai 2016, Cédric Mahieu, alcoolique et qui ne cessait de menacer son ex-épouse, avait reçu un avis de passage d'huissier lui signifiant la réduction de cette garde, alors que la petite était chez lui ce week-end-là. "Ce que j'ai fait est impardonnable" Il dit avoir alors noyé dans la baignoire la fillette, bien que l'autopsie évoque plutôt un étouffement.

Le lundi, il s'était enfui, abandonnant le corps rhabillé sur son lit. Léa avait été découverte le même jour par son oncle qui partageait le logement, lorsque Blandine s'était inquiétée qu'elle ne soit pas à l'école. Entre le meurtre et sa fuite, Cédric Mahieu avait pris le temps d'envoyer une lettre épouvantable à sa femme : "Par ta faute tu as perdu ce que tu aimais le plus au monde (...) sois la plus malheureuse possible, je ne regrette rien (...) je suis content de t'avoir fait vivre un enfer". Il ajoutait : "J'ai bien dit à Léa que tu ne l'aimais pas". Il avait été arrêté en novembre, sous un nom d'emprunt, alors qu'il était serveur à la Ciotat.

Qualifiant cette affaire de "crime conjugal par procuration", l'avocat général a apparenté ce meurtre au complexe de Médée, consistant à "utiliser son enfant et le réduire à un pur objet de vengeance et de sadisme pour faire souffrir son conjoint toute sa vie". Avant que la cour ne se retire pour délibérer, Cédric Mahieu, un homme mince aux trais réguliers, en jean et sweat-shirt clair s'était adressé à son ex-femme : "Je ne peux pas te demander pardon car ce que j'ai fait est impardonnable, mais je veux te dire que je ressens la même peine que toi car c'était notre fille, notre joyau".

Ses deux avocats, Me Clémence Julliard et Jean-François Jullien, ont tous deux salué le courage de la mère. Me Julliard a dénoncé "les réquisitions d'une radicalité absolue" de l'avocat général, accusant la société d'être "passée à côté" du mal-être de son client, soumis à diverses addictions, et qui souffre d'un "syndrome abandonnique" qui l'aurait envahi au moment de la rupture.



soupçonnée

Publié à 10:47 par fandeloup Tags : marne centre sur maison
soupçonnée

A 102 ans, elle est soupçonnée du meurtre de sa voisine de chambre

Une enquête a été ouverte après le meurtre samedi d’une nonagénaire dans une maison de retraite de l’Aisne et sa voisine de chambre âgée de 102 ans, soupçonnée de l’avoir tuée, a été hospitalisée en psychiatrie.

La victime, une résidente de 92 ans, a été retrouvée samedi peu après minuit dans son lit, inanimée et le visage tuméfié, par une employée de l’établissement médicalisé, situé à Chézy-sur-Marne (Aisne), comme le rapporte L'Union.

L’autopsie "a conclu à un décès consécutif à une asphyxie par strangulation et à des coups portés à la tête", a indiqué le procureur de Soissons Frédéric Trinh dans un communiqué.

Une expertise psychiatrique à venir "L’occupante de la chambre voisine, (...) âgée de 102 ans, s’était manifestée, en grand état d’agitation auprès de l’assistante médicale à laquelle elle avait déclaré avoir 'tué quelqu’un'", a-t-il poursuivi.

Mais en raison de "son état de confusion et d’agitation" la centenaire "a été transférée au centre hospitalier de Château-Thierry puis, après examen par un expert, admise dans un établissement psychiatrique". Elle n’a donc "pas pu être entendue" par les enquêteurs mais "il n’y a pas d’arrêt des poursuites pour l’instant", a précisé M. Trinh.

Une expertise psychiatrique doit être réalisée "afin de déterminer si cette dame est accessible à une sanction pénale ou irresponsable pénalement", a-t-il dit. Une enquête de flagrance a été ouverte pour "homicide volontaire sur une personne vulnérable en raison de son état physique".



Etats-Unis

Publié à 15:45 par fandeloup Tags : divers news sur bonne vie homme base création
Etats-Unis

Etats-Unis : détenu à tort pendant 45 ans, il va recevoir 1,5 million de dollars

 À sa sortie de prison, Richard Phillips avait fait face à ses dépenses en vendant des tableaux peints pendant sa détention. Cet homme de 73 ans avait été condamné à perpétuité pour un meurtre qu’il n’a jamais commis.

Il compte désormais «se détendre et peindre». « Je vais faire profil bas, voyager et profiter de la vie. » Après 45 ans passés en prison pour meurtre, Richard Phillips, 73 ans, va recevoir des autorités du Michigan la somme de 1, 5 million de dollars (1,35 million d’euros) en guise de dédommagement.

Phillips avait été condamné en octobre 1972 à la détention à perpétuité pour le meurtre d’un certain Gregory Harris, sur la base du témoignage du beau-frère de la victime qui s’est révélé faux. 50 000 dollars par année de prison Il y a sept ans, raconte le Detroit News, son coaccusé, Richard Palombo, a en effet reconnu qu’il avait bien tué Harris mais en compagnie du beau-frère et, qu’à l’époque, il ne connaissait pas Richard Phillips.

Reconnu innocent du meurtre, Richard Phillips a finalement été libéré en 2018. Il avait toujours clamé son innocence, ce qui ne l’a pas empêché de devenir le condamné à tort des Etats-Unis ayant passé le plus de temps derrière les barreaux, selon l’université du Michigan. Il a été libéré après l’intervention d’un programme de l’établissement, l’Innocence Clinic, qui se consacre à corriger des erreurs judiciaires. Il vend ses tableaux peints en prison Phillips a bénéficié de la création, en 2016 dans le Michigan, d’un fonds qui prévoit de compenser chaque victime d’erreur judiciaire à hauteur de 50 000 dollars par année passée dans les prisons de l’Etat.

Seuls 30 ans ont été retenues dans le cas de Phillips qui avait été également été condamné à 15 ans de prison pour braquage, un crime pour lequel il clamait aussi son innocence, qui n’est toujours pas établie. À sa sortie de prison, Richard Phillips avait fait face à ses dépenses en vendant des tableaux peints pendant sa détention. Ses œuvres très colorées, qui ont connu un certain succès, se vendent plusieurs milliers de dollars.

Désormais, l’ancien détenu noir aura de quoi voir venir même si les années perdues ne se remplacent pas. « Je veux juste me détendre, me détendre et peindre », a expliqué Richard Phillips en commentant la bonne nouvelle.



Vincent

Publié à 14:14 par fandeloup Tags : société sur vie moi enfants photo femme coup travail fille livre maison
Vincent

Vincent, l’homme derrière l’affaire Lambert

 Vincent Lambert et son épouse Rachel (photo non datée).

Qui est vraiment celui dont le nom est devenu le symbole de la fin de vie ? Celui dont le corps et l’esprit ne répondent plus et dont la famille se déchire depuis dix ans ? La porte se referme.

En cet après-midi du 29 septembre 2008, Vincent Lambert, 32 ans, infirmier en psychiatrie, vient de faire une petite sieste. Il a embrassé sa fille de 2 mois, a lancé « je t’aime » à sa femme Rachel. C’est l’heure de prendre la route du travail. Le terrible accident, l’hospitalisation, le corps qui ne répond plus… Ici s’achève sa vie d’avant.

Très vite, Vincent devient « l’affaire Lambert »

. Et le débat, qui déchire la famille, s’enlise encore dix ans plus tard : faut-il poursuivre les soins de ce tétraplégique, en état végétatif irréversible ? Alors que les médecins venaient d’arrêter son hydratation et son alimentation, la Cour d’appel de Paris a ordonné leur reprise, tard dans la soirée de lundi. Un nouveau coup de théâtre retentissant suivi, avec émotion, par la population.

Une enfance compliquée

Car derrière le « cas », il y a l’homme. Et ce nom, symbole de la fin de vie, qui n’a pas toujours été le sien. Vincent est né Philippon. Issu d’une liaison, il est d’abord élevé par le premier époux de sa mère Viviane. Il sera reconnu à 6 ans par son père biologique Pierre Lambert, une fois la relation clandestine transformée en mariage. Le clan recomposé de Châteauroux (Indre) compte, en tout, neuf enfants. Une situation atypique pour cette famille catholique, pratiquante, intégriste, pour certains de ses membres. Un environnement « traditionaliste, où la morale étouffe, une enfance qu’il décrit compliquée », confiera-t-il plus tard à sa femme Rachel, comme elle le raconte dans son livre.

« Après les repas de famille tendus, on avait besoin de s’isoler, lui et moi, pour prendre du recul », se souvient François, le neveu de Vincent. Les années s’écoulent. Pensionnat, adolescence timide, études médicales… « Sa délicatesse, sa diligence l’amène en tant qu’élève infirmier à faire son mémoire sur la maltraitance des personnes âgées en maison de retraite », écrivent ses parents sur leur site militant « Je soutiens Vincent.com ».

Lorsque Rachel le rencontre, il est grand, brun, les yeux noisette, féru de rock et des Pink Floyd et beau comme on le devine, malgré tout, sur les quelques clichés pris sur son lit d’hôpital et rendus publics.

Côté pile, la liste des superlatifs s’allonge. Charismatique, consciencieux, convoité, respecté…

Côté face, il est introverti, ténébreux, solitaire. Vincent aspire à une vie tranquille, à la maison, autour de films et de bons dîners.

Plein d’humour noir Deux mois avant l’accident dramatique, des petits cris étaient venus égayer ces moments de quiétude. D’abord bien décidé à ne pas avoir enfant, il cède à l’envie de paternité avec Rachel dont il est fou amoureux. Sa femme est désormais sa tutrice.

Sa fille, 10 ans aujourd’hui, a grandi, protégée par sa maman, loin des tempêtes judiciaires autour de ce père qu’elle a si peu connu. Malgré les années, personne n’a jamais cédé. 

Arc-boutés, les parents s’accrochent à maintenir leur fils en vie malgré la décision des médecins. Rachel, elle, assure vouloir respecter les volontés de son mari comme il lui avait confié : « Pour lui, c’était un non-sens de rester alité pendant des années, il avait une vision assez radicale des choses : il était préférable de partir plutôt que de rester en vie comme un légume », soutient-elle dans son livre. Les mots ne lui font pas peur. « Il était caustique, plein d’humour noir, témoigne François, son neveu. Finalement, il aurait adoré l’affaire Vincent Lambert. » 

«Vincent : Parce que je l’aime, je veux le laisser partir», de Rachel Lambert. Ed. Fayard. 



licenciés

Publié à 09:18 par fandeloup Tags : travail homme saint femme
licenciés

Ille-et-Vilaine : deux salariés licenciés pour refus de travailler le dimanche

 Depuis mars 2018, l’hypermarché ouvre chaque dimanche matin de 9 heures à 12h30. Ce qui représente par an six matinées de travail supplémentaires pour les salariés. 

Arandel Christelle travaillait depuis 18 ans à l’hypermarché Cora de Saint-Malo, elle a été licenciée pour faute grave. En théorie, la loi interdit de défavoriser un employé qui refuse de travailler le dimanche.

L’hypermarché Cora de Saint-Jouan-des-Guérets, près de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), aurait pourtant licencié deux de ses salariés qui refusaient le travail dominical.

Selon Europe 1, une femme employée depuis dix-huit ans, formée pour tenir la station-service, et un homme en poste au rayon crèmerie depuis huit ans, ont été renvoyés pour « faute grave ». Tous deux ont refusé de venir travailler le dimanche, puisque cette possibilité n’est pas inscrite dans leur contrat de travail.

Travail le dimanche : ce que dit la loi Selon Europe 1, aucun des 200 salariés de l’hypermarché n’a reçu d’avenant à son contrat de travail lorsque la direction a décidé d’ouvrir tous les dimanches matin, en mars 2018.

Cette décision, que n’ont pas prise les Leclerc et Carrefour de Saint-Malo, implique pour chaque employé de travailler six matinées dominicales par an. Il n’y a pas eu d’appel à volontaires. Licenciés sans préavis ni indemnité Selon la salariée licenciée, Christelle, le directeur a « dit que c’est la loi Macron et que vu la conjoncture actuelle, c’est son gagne-pain.

C’était ça ou on prenait la porte directement. J’ai dit : 'Non, je ne le ferai pas'. Après, il y a eu une procédure pour faute grave. Faute grave ? Je lui ai dit qu’il valait mieux, carrément, que je vole ! »

Comme son collègue masculin, Christelle a été licenciée sans préavis ni indemnité de licenciement. Elle veut attaquer son ancien employeur devant le conseil de prud’hommes. Sollicitée par la radio, la direction de l’hypermarché n’a pas souhaité répondre.

Dans le même département, un autre hypermarché Cora veut ouvrir le dimanche. Situé près de Rennes, il rencontre l’opposition des syndicats et d’élus locaux. Ceux-ci craignent un effet délétère pour les commerces des centres-villes et des centres-bourgs alentour.



Huawei

Publié à 07:00 par fandeloup Tags : place sur monde coup google
Huawei

Huawei privé d’Android : devez-vous vous inquiéter pour votre smartphone ?

 Sous la pression de l’administration Trump, Google a confirmé son intention de retirer au groupe Huawei la licence de son système d’exploitation (OS) pour téléphones, Android.

Google est en passe d’exclure le fabricant chinois de son écosystème et de priver au passage les utilisateurs des mises à jour. Mais ce n’est pas pour tout de suite. C’est une douche froide dont les utilisateurs des smartphones Huawei et Honor se seraient bien passés. Sous la pression de l’administration Trump, Google a confirmé son intention de retirer au groupe Huawei la licence de son système d’exploitation (OS) pour téléphones, Android.

Un porte-parole du géant de Mountain View a précisé à l’agence Reuters que « Google Play et les protections de sécurité continueront à fonctionner sur les modèles Huawei existants ».

Pas de raison donc, pour le moment, de paniquer si vous venez juste d’acheter un smartphone Huawei, les conséquences ne se feront ressentir que dans quelques mois au plus tôt.

Pour une raison purement mercantile : les contrats de licence qui couvrent les smartphones actuels comme les gammes P30 de Huawei ou les futurs Honor 20 doivent être respectés. Le géant chinois a confirmé lundi après-midi qu’il comptait bien assurer « les mises à jour de sécurité et le Service Après-Vente des smartphones et tablettes Huawei et Honor existants donc tous ceux qui ont été vendus et ceux qui sont en stock dans le monde entier ».

Les prochains smartphones fragilisés En payant une licence à Google , Huawei s’offrait jusqu’à présent le droit d’installer sur ses smartphones et ses tablettes, dès leurs sorties d’usine, la dernière version du système Android qui équipe 85 % des téléphones vendus dans le monde.

Le fabricant et équipementier chinois continuera à avoir accès à la version collaborative et gratuite du logiciel, Android Open Source Project (AOSP). Ses ingénieurs pourraient d’ailleurs s’en inspirer pour créer leur propre système d’exploitation.

Concrètement, la décision exclura à moyen terme les futurs smartphones Honor et Huawei du système des mises à jour automatiques de sécurité et les empêchera aussi de basculer avant l’été sur Android 10 Q, le nouvel OS de Google. Les prochains terminaux de la famille Huawei seraient aussi privés des téléchargements d’applications sur le Play Store officiel.

Même si Huawei planche depuis plusieurs mois sur un plan B, Google va devoir à terme vous restreindre l’accès à ses services Gmail, YouTube ou encore Chrome. Mais vous ne perdrez pas nécessairement la capacité à télécharger les autres applications sur votre Huawei.

Le téléchargement des applis toujours possible « Un éditeur d’applications ne peut pas se priver des téléchargements de dizaines de millions d’utilisateurs et s’il y a bien une entreprise dans le monde capable de créer un magasin d’applications alternatif au Play Store de Google , c’est Huawei », assure Ulrich Rozier, co-fondateur du site spécialisé FrAndroid.

« Un monde sans Android par Google est possible comme en Chine où 80 % des smartphones tournent dessus alors que Google est interdit » rappelle-t-il. Placée sur la liste des entreprises qui doivent recevoir l’approbation du gouvernement pour acheter des technologies américaines, Huawei, deuxième fabricant mondial de smartphones, subit un très sérieux coup d’arrêt alors que fabricant du dernier P30 Pro visait la première place dès 2020.

Le géant Huawei a de quoi trembler et les utilisateurs de ses smartphones s’acheminent vers un inattendu casse-tête. À moins que l’affaire ne se règle lors d’un tête à tête entre dirigeants politiques car si le bras de fer entre les Etats-Unis et la Chine ne fait que commencer, l’empire du Milieu peut répliquer et priver à son tour toutes les entreprises américaines de ses exportations. Et négocier au forceps une autorisation spéciale de se rabibocher avec toutes les entreprises de la Silicon Valley.



horreur

Publié à 15:30 par fandeloup Tags : divers sourire sur bonne vie moi monde homme belle femme mort heureux dieu fille
horreur

Procès d’un père infanticide à Annecy: «Mon acte mérite perpétuité»

Léa, 3 ans, a été tuée en 2016 par son père Cédric Mahieu, 41 ans, jugé à partir de ce lundi par la cour d’assises de Haute-Savoie. 

Jugé en Haute-Savoie pour avoir tué sa fille de 3 ans par vengeance contre son ex-épouse, qui exigeait la garde exclusive de la petite Léa, Cédric Mahieu a exprimé des regrets et tenu des propos mystiques, ce lundi.

Sur le banc des parties civiles, avec une très grande dignité, Blandine Guilloux, 32 ans, fait face à l’homme qui a brisé à jamais son cœur de maman. Elle fixe du regard l’accusé.

Dans le box de la cour d’assises de Haute-Savoie, Cédric Mahieu, 41 ans, visage émacié, baisse les yeux. L’homme est accusé du pire des crimes : avoir tué sa fille de 3 ans, Léa, pour se venger de Blandine, son épouse qui l’avait quitté et qui réclamait la garde exclusive de l’enfant.

Afin de protéger Léa d’un père alcoolique, drogué, dépressif et violent. Le corps de Léa a été retrouvé le 23 mai 2016 au domicile de son père à Margencel (Haute-Savoie).

Cédric Mahieu dit l’avoir noyé dans la baignoire. Une lettre haineuse avec des «smileys»

Dès le début du procès, le président de la cour d’assises tient à lire la lettre pleine de haine qu’a envoyée l’accusé à son ex-femme. Juste après le meurtre de Léa. Une lecture qui va glacer la salle :

« Salut Blandine. Très heureux aujourd’hui. Tu as dû apprendre la bonne nouvelle. Hi, hi. Je t’avais dit de ne jamais toucher à Léa. Mais t’as pas voulu m’écouter. Dommage, tu ne lui as pas dit au revoir. Tu as voulu une nouvelle vie. Maintenant, tu peux la refaire sans Léa. Ça doit être dur de se lever le matin en disant que par ta faute, tu as perdu ce que tu aimes le plus au monde. Je suis très heureux de te voir très malheureuse aujourd’hui. Ça doit être dur d’aller dans la chambre de Léa en te disant que tu ne la verras plus jamais. Je ne te souhaite pas une belle fête des mères puisque tu ne l’es plus. Hi, hi. Comme je suis très heureux aujourd’hui de voir que tu vas pleurer tous les jours la mort de ta fille. Tu m’as forcé à faire ça. Je t’avais dit de ne jamais me séparer de ma fille. Mais vu ce que tu faisais pour pas que je la voie, alors on est parti ensemble. J’espère que cette année, tu vas bien souffrir avec la mort de ta fille. Champagne ! ! ! ! J’ai bien dit à Léa que tu ne l’aimais pas. Allez, sois la plus malheureuse possible. Je ne regrette rien. Content de t’avoir fait vivre un enfer. Cédric. »

Le président précise que ce courrier est agrémenté de plusieurs smileys symbolisant un grand sourire.

«J’avais peur de l’abandon»

Dans le box, le père arrogant qui revendiquait le meurtre de sa fille semble bien loin. « Je n’ai jamais voulu tuer Léa. C’est après Blandine que j’en avais. Ce n’est pas Léa qui aurait dû partir. Mon acte mérite perpétuité. Et même plus », explique d’une petite voix Cédric Mahieu. « Je ne voulais pas que l’on m’enlève ma fille. J’avais peur de l’abandon. Lorsque j’ai reçu le courrier de l’huissier, j’ai explosé. C’est horrible ce qui s’est passé. Je m’en rends compte aujourd’hui. J’ai beaucoup de regrets pour Léa. Je ne me le pardonne pas. Avant, avec l’alcool, la drogue, j’étais dans un autre monde. Maintenant, je vois les choses différemment. Je reconnais mes torts. L’alcool a bousillé ma vie et ceux qui m’entourent. Je m’en veux beaucoup d’avoir fait tant de mal à Blandine. Je souhaite qu’elle se reconstruise. » «Dieu va la ressusciter» Les parents de l’accusé étaient témoins de Jéhovah. Ils ont élevé leur fils selon les préceptes de la secte. Ce qui a laissé des traces. « J’ai l’impression que Léa n’est pas morte, qu’elle est toujours avec moi. Elle est dans la tombe des souvenirs. Pour nous, témoins de Jéhovah, cela veut dire que Dieu va la ressusciter », confie Cédric Mahieu.

Lorsque ce cuisinier de profession a trouvé l’avis de passage de l’huissier, en mai 2016, il a disjoncté : « J’ai compris que Blandine voulait me voler Léa. Cela m’a provoqué un stress énorme. C’est comme si un volcan avait explosé. Je suis parti en vrille ».

Et il a tué Léa. Personnalité «borderline», selon un psychiatre « Selon une psychologue, l’accusé a été victime « d’un court-circuit émotionnel qui a entraîné son passage à l’acte ».

Pour l’expert-psychiatre, la personnalité de l’accusé est « borderline ». « C’est un homme fragile, instable, impulsif, qui ne maîtrise pas ses émotions. Ce qui pour moi a altéré son discernement au moment des faits. » Si cette altération était retenue, Cédric Mahieu échapperait à une possible réclusion criminelle à perpétuité.

Le verdict est attendu jeudi.



TRAFIC

Publié à 08:51 par fandeloup Tags : photo base france sur
TRAFIC

Vos paquets de cigarettes sont désormais traçables

L' identifiant unique du paquet de cigarettes est constitué d’une série de codes, auxquels s’ajoutera une vignette. 

Afin de lutter contre la contrebande, à partir de ce lundi, chaque paquet de cigarettes produit à destination du marché français, comme dans le reste de l’Europe, portera un identifiant unique. Les paquets de cigarettes sont désormais dotés d’un étiquetage unique, destiné à assurer leur traçabilité et à mieux combattre les trafics, en application d’une directive européenne de 2014 qui vise à améliorer la lutte contre la contrebande de tabac.

A partir de ce lundi, chaque paquet de cigarettes produit à destination du marché français, comme dans le reste de l’Europe, portera un identifiant unique. Il est constitué d’une série de codes, auxquels s’ajoutera une vignette, similaire à un timbre fiscal, comportant cinq signes d’identification - un visible, trois semi-visibles et un invisible, uniquement détectable en laboratoire -, similaires à ceux des billets de banque.

Identifiant unique et vignette sécurisée L’identifiant unique doit permettre d’assurer une réelle traçabilité du paquet, depuis son lieu de production ou d’importation, jusqu’à son point de vente au détail, tandis que la vignette sécurisée garantira l’authenticité du produit.

L’État a choisi l’Imprimerie nationale - en raison de son impartialité vis-à-vis de l’industrie du tabac, imposée par le protocole de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) - pour générer les codes permettant d’identifier les produits. "Mais ces paquets n’arriveront sur le marché que dans environ deux mois", l’État ayant "pris beaucoup de retard" dans l’application de la directive européenne de lutte contre la contrebande de tabac, explique un cigarettier.

Ce nouvel étiquetage - à la charge financière des fabricants de tabac - doit permettre de mieux combattre le commerce parallèle, qui représenterait 10% du marché mondial mais demeure difficile à évaluer. Les "estimations de l’industrie du tabac pour mesurer le marché illicite dans leur pays" sont "souvent peu fiables et alarmistes", selon l’OMS.

Ce trafic serait, selon des sources du secteur, composé à 98% ou 99% de cigarettes fabriquées dans les usines des cigarettiers. Selon l’OMS, la Chine, le Paraguay, la Russie, les Émirats arabes unis, l’Ukraine, le Bélarus, la Moldavie, le Kenya et le Zimbabwe sont les principaux pourvoyeurs de cigarettes illicites. Pertes de revenus pour les gouvernements Ce commerce illicite "constitue une grave menace pour la santé publique" en augmentant l’accès à des produits moins chers, "alimentant l’épidémie de tabagisme et sapant les politiques de lutte antitabac", estime l’OMS. Il entraîne des "pertes de revenus conséquentes" pour les gouvernements - parfois estimées à 3 milliards d’euros pour la France- et contribuant à financer des "activités criminelles et le terrorisme".

SUIVI MONDIAL "DANS LES CINQ ANS"

Entré en vigueur en septembre 2018 après avoir été ratifié par 40 pays, le Protocole international de lutte contre la contrebande du tabac de l’OMS a été entériné après "un lobbying majeur des cigarettiers", selon Mme Beguinot. Il comprend des mesures de contrôle de la chaîne logistique, de détection et de répression, et la constitution d’une base juridique pour la coopération judiciaire internationale. Il prévoit aussi des échanges d’informations sur les délits liés à ce commerce illicite entre services des douanes et de la police. Les pays l’ayant ratifié doivent instaurer un régime mondial de suivi et de traçabilité dans les cinq ans.



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Publié à 11:59 par fandeloup Tags : place chez enfants femme
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Deux enfants, 4 et 6 ans, abandonnés dans la rue car aucun des parents ne voulait les garder

Les gendarmes sont intervenus alors que deux enfants étaient abandonnés par leurs parents Les deux garçons de ce couple séparé, qui vient d’être condamné, ont depuis été placés dans une famille d’accueil.

Deux garçons de 4 ans et 6 ans livrés à eux-mêmes, dans la rue, sous la pluie. La scène s’est produite début 2018, dans l’Aisne. Les parents viennent d’être jugés et condamnés, rapporte l’Union.

Les deux adultes âgés de 30 ans et de 25 ans sont séparés. Ils ont mis en place un système de garde des enfants auquel ils ne se sont pas tenus. Le père devait s’occuper des enfants la semaine, la mère le week-end. Mais la rotation semble, dans les faits, avoir pour but de s’en charger le moins possible et de laisser les garçons à l’autre parent dès que possible.

Les parents d’accord pour… ne plus s’occuper des enfants

Un matin, le père les dépose chez la mère. Elle n’en veut pas. Mais le père est déjà reparti. La femme ramène ses fils chez son ex-compagnon. Alors qu’il est absent de son domicile, elle repart sans ses enfants, les laissant seuls, en pyjama, sous la pluie, avec quelques affaires. Une voisine a prévenu les gendarmes.

La mère a expliqué ne plus vouloir s’occuper des enfants. À son retour, le père a dit la même chose. En plus de la soustraction à ses obligations légales, le père a été jugé pour des coups de ceintures portés aux enfants. Il a été condamné à huit mois de prison. La mère a été condamnée à la même peine. Les enfants ont été placés dans une famille ; leurs parents peuvent les voir une heure par mois.



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