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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Le lac de Serre-Ponçon en mode hivernal
Le viaduc de Chanteloube, comme chaque année à la même époque, sort les jambes de l'eau. La chapelle Saint-Michel se retrouve pour un temps reliée à la terre. Elle devient un but de promenade... ... et source de découverte.
La baie Saint-Michel, un paysage toujours aussi étonnant. Aux abords de l'ancien village de Savines, restants de ponts et de routes refont surface. Face au grand pic du Morgon, l'ancien relief refait surface donnant à voir des grottes et des failles. Sur la commune de Crots, avec en fond le pont de Savines.
Sur la commune de Crots, avec en fond le pont de Savines. Côté Ubaye, une partie du tracé d'une future voie ferrée qui ne verra jamais le jour. Côté Ubaye, la sensation d'un paysage lunaire est encore plus forte.
Le viaduc de Chanteloube, vu de la route du Sauze-du-lac Le pont de Savines a encore sept piles dans l'eau. Le viaduc de Chanteloube, comme chaque année à la même époque, sort les jambes de l'eau.
Le viaduc de Chanteloube, comme chaque année à la même époque, sort les jambes de l'eau. La chapelle Saint-Michel se retrouve pour un temps reliée à la terre. Elle devient un but de promenade... ... et source de découverte. La baie Saint-Michel, un paysage toujours aussi étonnant.
Aux abords de l'ancien village de Savines, restants de ponts et de routes refont surface. Face au grand pic du Morgon, l'ancien relief refait surface donnant à voir des grottes et des failles. Sur la commune de Crots, avec en fond le pont de Savines. Sur la commune de Crots, avec en fond le pont de Savines. Côté Ubaye, une partie du tracé d'une future voie ferrée qui ne verra jamais le jour. Côté Ubaye, la sensation d'un paysage lunaire est encore plus forte.
Le viaduc de Chanteloube, vu de la route du Sauze-du-lac Le pont de Savines a encore sept piles dans l'eau. Partager cette info L'an passé, le lac de Serre-Ponçon avait battu tous les records en matière d'étiage. Personne ne l'avait vu aussi bas depuis sa mise en eau en 1961, laissant réapparaître de nombreux vestiges. Nous avons voulu savoir ce qu'il en était cette année, à la même époque.
Si le paysage est moins impressionnant qu'il y a 12 mois, à cette époque de l'année le spectacle est toujours aussi étonnant.
Les bureaux de tabac pourraient vendre les billets de train de la SNCF
La Confédération des buralistes propose de mettre en place une expérimentation pour la vente des billets avant, pourquoi pas, une généralisation.
Acheter vos billets de train au bureau de tabac ?
L’idée fait son chemin, comme l’explique Philippe Coy. Le président de la Confédération des buralistes va rencontrer Guillaume Pepy, le président de la SNCF, à ce sujet.
Tous les deux y sont favorables. Une hausse de 50 centimes du prix du paquet de cigarettes interviendra le vendredi 1er mars : une nouvelle étape vers le paquet à 10 euros en 2020. Le président de la Confédération des buralistes, Philippe Coy, explique comment il veut transformer les buralistes de simples vendeurs de cigarettes en magasins de proximité.
Le PDG de la SNCF, Guillaume Pepy, n’exclut pas de vendre des billets de train dans les bureaux de tabac.
Qu’en pensez-vous ? PHILIPPE COY. J’ai rendez-vous le 6 mars avec Guillaume Pepy. Nous allons en parler, mais cela s’intègre parfaitement dans ma vision de la transformation du métier de base de buralistes. Nous devons passer de la vente de tabac traditionnel à une panoplie d’offres de services qui fera de nous le drugstore du quotidien des Français. Nos 24500 bureaux de tabac, fréquentés chaque jour par 10 millions de clients, doivent être en capacité d’apporter des solutions de proximité qui répondent aux besoins des consommateurs.
Que proposez-vous précisément à la SNCF ?
Avant même le grand débat national, j’ai vu dans mes déplacements partout en France la difficulté à préserver les services publics dans les zones rurales. Une petite gare, comme une poste, ne peut pas rester ouverte pour servir trois clients par jour. Nous avons déjà 1035 relais poste commerçants dans notre réseau. Je suis très heureux d’entamer les mêmes discussions avec la SNCF.
Dans les zones rurales, on pourrait distribuer l’ensemble des billets SNCF et se limiter, ailleurs, aux trains régionaux. Je vais proposer à Guillaume Pepy de faire des territoires d’expérimentation car on ne pourra pas, d’un seul coup, déployer la vente de billets chez les 24 500 buralistes. Mais notre idée c’est de donner plus de proximité et de flexibilité à l’offre SNCF.
- Philippe Coy, président de la Confédération des buralistes.
Quels autres services pourriez-vous proposer ?
Nous avons répondu à l’appel d’offres lancé fin décembre par la Direction générale des finances publiques pour accueillir les Français qui veulent payer leurs impôts en liquide. Nous correspondons parfaitement aux critères d’avoir au moins 1900 points de contacts sur le territoire et d’être ouvert au moins 20 heures par semaine. C’est un immense défi. Le paiement en cash des impôts, ce sont 6 millions de transactions par an pour un montant de 1,4 milliard d’euros. Mais nous avons répondu, et c’est une première, à un appel d’offres public pour le gagner. On avait aussi évoqué la possibilité de retirer sa carte grise dans les bureaux de tabac.
Où en est-on ?
Les préfectures ont fermé les guichets qui traitaient les cartes grises. Nous avons donc sollicité le ministère de l’Intérieur pour obtenir l’agrément qui nous permettrait de rendre ce service à nos concitoyens. Nous ne sommes pas là pour remplacer les professionnels de l’automobile, les gares ou les bureaux de poste, mais nous pouvons offrir une solution alternative et même des solutions techniques grâce aux start-up que nous hébergeons au sein de la confédération des buralistes. Le 1er mars, le prix des cigarettes augmente de 50 centimes.
Quel est l’impact sur votre activité ?
Les prix ont augmenté d’un euro en 2018 et il y aura en 2019 deux hausses de 50 centimes, le 1er mars et le 1er novembre. La même mécanique en 2010 aboutira aux 10 euros le paquet voulus par l’État. L’an dernier, l’augmentation a fait que le marché a reculé de 9,2 % en volume et augmenté de 3,4 % en valeur. Mais la baisse des ventes fait qu’on perd des ventes induites et, en 2019, on va continuer à perdre des volumes et, peut-être, perdre aussi en valeur. Attention à l’effet ciseaux.
Tabac : nouvelle flambée du prix des cigarettes, les détails par marque
L'Etat continue d'augmenter la fiscalité du tabac, selon le calendrier fixé fin 2017.
Ce vendredi, le paquet de cigarette va augmenter de 50 centimes en moyenne. L’objectif des 10 euros s’approche doucement. Le prix de tabac augmente une nouvelle fois ce vendredi 1er mars, et cette fois-ci, les marques ont majoritairement décidé de répercuter cette hausse sur le tarif des paquets à la vente.
C’est en tout cas ce que montre l’arrêté paru ce jeudi au Journal officiel, qui détaille l’augmentation pour l’intégralité des références.
Pour n’en prendre que quelques uns, le paquet de Marlboro va passer à 8,80 euros et le Camel à 8,50 euros quand le paquet de Gitanes va plafonner à 9,90 euros.
Pour rappel, ce sont bien les industriels qui fixent les prix du tabac. La stratégie de l’Etat pour lutter contre le tabagisme est d’augmenter régulièrement les taxes, qui représentent 80% du prix, afin de pousser les industriels à augmenter le prix du paquet.
Trois prochaines hausses interviendront en novembre 2019, mars 2020 et novembre 2020.
Pour l’anecdote, le Figaro assure que le texte portant homologation sur les prix était prêt depuis deux semaines mais retenu à Matignon, où l’on craignait l’impact de l’annonce.
Réforme du lycée : les maths, ce n’est plus obligatoire
Les mathématiques deviendront au lycée, à la rentrée une prochaine, une spécialité facultative parmi onze autres.
La discipline disparaît du tronc commun à la rentrée en première et devient une option très exigeante. De quoi effrayer les élèves aux résultats fragiles. Elio n’a aucun doute.
L’an prochain, il prendra la spécialité maths en première. Mais l’élève, en seconde au lycée Maurice-Ravel de Paris (XXe), fait un peu figure d’exception dans sa classe.
S’il a déjà arrêté son choix, c’est parce que ses notes dans la matière l’y encouragent et qu’il sait déjà parfaitement ce qu’il veut faire après le bac. « J’ai 19 de moyenne », glisse l’ado qui se verrait bien en école d’ingénieur.
Prendre ou ne pas prendre cette spécialité en première ?
Pour d’autres, la question vire au casse-tête. Dans le cadre de la réforme du lycée, qui signe la disparition des filières traditionnelles, la discipline disparaît du tronc commun à la rentrée.
« Il en reste une petite goutte, mais quasiment rien, distillée dans deux heures d’enseignement scientifique », souligne Alice Ernoult, présidente de l’Association des professeurs de mathématiques de l’enseignement public (APMEP).
«Le niveau a dégringolé», assure Cédric Villani Les élèves peuvent en revanche désormais choisir la discipline comme spécialité parmi onze autres, en plus des enseignements du tronc commun (français, histoire-géo, enseignement moral et civique, scientifique…)
Ils suivront alors quatre heures par semaine en première, puis six en terminale s’ils décident de continuer, voire neuf heures s’ils cochent, en plus, la case « mathématiques expertes ». « Mais là, ce sont trois heures d’option réservées à ceux qui ont vraiment envie d’approfondir ou de se faire plaisir », avertit un inspecteur général de l’Éducation nationale. - Francesca, qui redouble sa seconde, en est bien loin. « Mes profs m’ont dit que mes résultats étaient un peu justes, parce que le niveau de la spécialité maths va être élevé, bien plus que dans les filières actuelles », se désole-t-elle. Une légende ? « C’est surtout pendant l’année du bac que le niveau d’exigence va grimper », rectifie un expert du ministère. « En première, les nouveaux programmes sont un peu renforcés, mais ils sont dans la continuité de ce qui se fait dans l’actuelle série scientifique », confirme Alice Ernoult. Un choix définitif à faire en juin « C’est un peu tout ou rien, se désole Francesca.
Comme beaucoup, elle craint que, sans les maths, l’éventail des formations post-bac ne se réduise comme peau de chagrin. Or, pour le moment, elle ne sait pas encore très bien ce qu’elle veut faire plus tard. « Cette matière, c’était déjà un outil pour faire de la sélection, mais, avec la réforme, ça risque d’être encore pire », prédit Elio, sous le regard approbateur d’une poignée de copains. Benjamin, bon élève du lycée Grégor-Mendel, à Vincennes (Val-de-Marne), en a bien conscience mais il hésite encore.
« Je veux faire Staps (NDLR : fac de sport). Pour l’instant, je ne suis pas sûr d’avoir besoin de cette spécialité. Il faut que je me renseigne un peu plus. En tout cas, j’ai la chance d’avoir des parents qui me laissent totalement libre de mes choix. » Les secondes ont encore le temps d’y réfléchir. Le choix définitif n’interviendra qu’en juin. -
« En ce moment, les établissements sont dans la phase de sondage des élèves », explique Ferroudja Kaci, du Centre d’information et de documentation jeunesse (CIDJ). « On cherche à savoir comment va se répartir la demande entre les différentes spécialités pour nous organiser. Il s’agit aussi de conseiller au mieux les élèves, de dialoguer avec les familles avant qu’elles ne prennent leur décision », explique Bruno Bobkiewicz, secrétaire national du SNPDEN, le syndicat des chefs d’établissement, et proviseur du lycée Paul-Éluard, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).
Dans son gros bahut, les maths arrivent largement en tête. Sur les 27 groupes de 30 élèves prévus à la rentrée prochaine, cinq devraient être dédiés à cette matière. « Ce n’est pas illogique. La discipline figure dans bon nombre d’attendus des formations supérieures », souligne le proviseur. Pour le moment, les lycées ne prévoient pas à de grands chambardements des équilibres.
« Spontanément, les jeunes et leurs familles se tournent vers ce qu’elles connaissent, constate Bruno Bobkiewicz. Du coup, la plupart des triplettes des spécialités demandées reprennent le découpage des séries L, ES et S, supprimées dans le cadre de la réforme. Mais désormais, on peut mixer. Et c’est là, tout l’intérêt ce qui est proposé. »
Japon : naissance d'un bébé de 268 grammes Le petit garçon a quitté la maternité sain et sauf.
Un nourrisson né prématurément et pesant alors 268 grammes a rejoint son domicile en bonne santé avec un poids plus que décuplé après 5 mois en unité de soins, a annoncé l'Hôpital universitaire Keio à Tokyo. Jamais au monde , un garçon aussi petit au moment de l'accouchement n'avait quitté la maternité sain et sauf, selon les données connues.
La naissance de ce foetus avait été provoquée à 24 semaines d'aménorrhée (ou 22 semaines de grossesse), en raison d'un arrêt de croissance. Il était alors si petit qu'il tenait dans la paume de la main d'un adulte. Après cinq mois passés en service de néonatologie, il pesait 3,238 kilogrammes à sa sortie de l'hôpital la semaine dernière et boit normalement du lait, selon un communiqué des médecins.
Un taux de survies faible "Je suis heureuse qu'il ait tant pris de poids, car franchement, je n'étais pas sûre qu'il survive", a déclaré sa mère dans un message transmis aux médias. Tout en soulignant que les décisions concernant les très grands prématurés exigent prudence et éthique, le médecin qui a suivi ce nourrisson, Takeshi Arimitsu, dit avoir à coeur de "faire savoir que même quand un bébé naît très petit, il existe une possibilité qu'il puisse quitter la maternité en forme". Le taux de survie des nouveaux-nés de moins de 300 g est cependant encore faible, souligne l'hôpital, "surtout lorsqu'il s'agit d'un garçon".
Ces enfants doivent ensuite bénéficier d'une attention médicale particulière au moins durant leurs premières années.
De précédents cas de sortie de l'hôpital après plusieurs mois sans problème de santé de nourrissons garçons nés avec un poids de moins de 300 g avaient été enregistrés en Allemagne en 2009 (274 g) ainsi qu'au Japon en 2009 (297 g), 2011 (294 g) et 2015 (289 g), selon un registre international tenu par l'Université d'Iowa (Etats-Unis).
La population mondiale pourrait décliner à partir de 2050
Selon deux journalistes canadiens, la transition démographique mondiale arrivera plus tôt que prévu.
Et si l’humanité se dirigeait non pas vers la surpopulation, mais vers un déclin démographique ?
Dans leur ouvrage Empty Planet : The Shock of Global Population Decline (Penguin, Random House), publié le 5 février, John Ibbitson et Darrel Bricker remettent en question les prédictions de l’ONU en la matière.
Selon les deux journalistes canadiens, la transition démographique mondiale arrivera plus tôt que prévu. Partout, l’explosion démographique semble s’être imposée comme une évidence. 9 milliards d’êtres humains en 2050, 11 milliards d’ici 2100 : les chiffres des Nations Unies indiquent une claire augmentation de la population mondiale au cours des prochaines décennies, portée notamment par une explosion démographique jugée interminable en Afrique.
Et avec elle, une hausse des émissions de gaz à effet de serre, de la pollution plastique et de la consommation globale. Ces prédictions n’auraient toutefois rien d’évident, à en croire Empty Planet, publié le 5 février par deux journalistes canadiens. Comme l’indique le titre de ce livre, John Ibbitson et Darrel Bricker tablent plutôt, à terme, sur une réduction du nombre d'êtres humains vivant sur Terre :
« Dans une trentaine d'années, la population mondiale commencera à décliner. Une fois que le déclin aura commencé, il ne s’arrêtera plus », écrivent-ils, précisant qu'un nombre croissant de démographes commence à revoir les prédictions de l'ONU à la baisse. « L’organe reproducteur humain le plus important est l’esprit »
« Nous allons faire face non pas à une explosion de la population, si présente dans l'imaginaire collectif, mais à un déclin implacable de l'humanité, un massacre génération après génération. C'est du jamais vu. D'après ces démographes, la population de la planète plafonnera à neuf milliards entre 2040 et 2060 avant de décliner. D'ici la fin du siècle, on pourrait être de retour aux chiffres actuels avant de poursuivre son déclin », détaillent-ils dans cet extrait du livre publié sur la plateforme Medium
. La clé : l’éducation des femmes
La thèse du déclin démographique n’est pas tout à fait neuve. On avait déjà entendu parler de la tendance à la baisse de fertilité masculine, qui pourrait mener, à terme, à une extinction pure et simple de l'humanité. Mais les auteurs, eux, insistent plutôt sur la transformation du mode de vie des femmes : « Les prédictions de l’ONU reposent sur trois paramètres : les taux de fécondité, de migration et de décès », explique Darrel Bricker au magazine Wired.
« Elles ne prennent pas en compte l’expansion de l’éducation des femmes, ni la vitesse de l’urbanisation croissante (qui sont en partie liées) ». Selon le démographe autrichien Wolfgang Lutz, interrogé par les deux journalistes, si l’on inclut l’éducation des filles dans l’équation, les humains ne devraient être que 8 ou 9 milliards en 2100, et non 11 milliards comme l’estime l’ONU. « Lutz dit souvent que l’organe reproducteur humain le plus important est l’esprit.
Si vous changez la vision qu’ont les gens de la reproduction, vous changez tout », poursuit John Ibbitson dans cette même interview, validant l'équation suivante : niveau d'éducation plus important + carrière professionnelle = plus petit nombre d'enfants. Et les deux co-auteurs d’accuser, toujours dans Wired, l’ONU d’avoir une « vision sinistre » de l’Afrique : l’organisation internationale ne prédirait quasiment aucun changement dans les taux de fécondité des femmes africaines pendant le premier quart de siècle.
Or, rappellent les auteurs, le taux d’urbanisation de nombreuses régions d'Afrique serait deux fois plus rapide que la moyenne observée à l'échelle mondiale. Le déclin a déjà commencé Les journalistes ont donc mené leur propre enquête, interrogeant des femmes dans vingt-six pays – de l’Inde au Brésil en passant par la Belgique et le Kenya – sur leurs intentions de maternité. Partout, la réponse tourne autour de deux enfants par femme, révèlent-ils.
« Les populations sont déjà en train de décliner dans une douzaine de pays. D'ici 2050, ce chiffre sera multiplié par trois », lit-on dans le livre. Parmi les principaux pays touchés par ce déclin aujourd'hui : le Japon, la Corée du Sud, l'Espagne, l'Italie, ainsi qu'une majorité de pays d'Europe de l'Est.
La Chine devrait suivre dans quelques années. Puis le Brésil et l'Indonésie, d'ici le milieu du siècle. Même l'Inde, qui pourrait devenir - voire serait déjà - le pays le plus peuplé de la planète, devrait voir sa population se stabiliser d'ici une génération avant de décliner. Idem en Afrique sub-saharienne et au Moyen-Orient, qui connaissent aujourd'hui des taux de fécondité très élevés, mais dont la fin du baby-boom devrait arriver plus vite que ne l'estime l'ONU.
Une bonne nouvelle pour l’humanité
? Mais l'issue ne sera pas forcément joyeuse, notamment d'un point de vue économique. Le vieillissement de la population qui se profile, précisent les auteurs dans leur ouvrage, devrait peser sur les actifs, qui crouleront sous les frais d'assurance santé et de retraite. Et inciter les couples à avoir plus d'enfants serait vain : « Une fois que la norme d'un ou deux enfants s'impose, on ne peut plus revenir en arrière. »
« Une fois que la norme d'un ou deux enfants s'impose, on ne peut plus revenir en arrière » Si les auteurs disent vrai, et que la transition démographique mondiale arrive plus vite que prévu, cela pourrait bien limiter un peu les dégâts infligés à l’environnement – et faciliter la réalisation des objectifs fixés en vue d’un monde durable. À condition de ne pas oublier la fameuse équation IPAT : baisser la population ne servira à rien si l'on ne diminue pas les autres facteurs de l'équation, notamment celui du niveau de consommation par individu.
Dans les cours de récré, la "gardav" consiste à tabasser un élève
Jouer à la "gardav", c'est le dernier "jeu" à la mode dans les cours de récréation. Il consiste à frapper un jeune pour "le faire parler".
Un adolescent de 12 ans, Amine, élève de 5e à Roubaix (Nord), en a été la victime. Il s'agit d'un "jeu" qui est apparemment très à la mode dans les cours des collèges... La "gardav", pour "garde à vue", consiste à frapper un élève choisi au hasard par les "meneurs" de l'établissement.
Les coups sont censés le "faire parler". S'il s'exécute, les coups redoublent. C'est ce qui est arrivé jeudi dernier à un adolescent de 12 ans, Amine, en 5e à la cité Baudelaire de Roubaix, d'après La Voix du Nord.
Le garçon se changeait avec ses camarades dans les vestiaires après un cours de sport quand il a subi un tabassage en règle, furtif et violent.
Huit jours d'ITT Prévenu par la direction de l'école, le père d'Amine passe récupérer son fils pour l'emmener à l'hôpital.
Souffrant de contusions multiples et d'un traumatisme psychologique, les médecins lui délivrent huit jours d’ITT (incapacité totale de travail ). Il ne remettra les pieds au collège qu’après les vacances scolaires. "Personne n’avait pris la peine d’appeler les secours, Amine aurait pu avoir un traumatisme crânien" dénonce sa soeur.
"Au collège, on est censé être en sécurité" Une plainte a été déposée par la famille et la police est intervenue après que deux "meneurs" ont été identifiés. Ils sont convoqués à un conseil de discipline.
"Deux élèves sont concernés mais Amine a été frappé par au moins sept personnes, qu’en est-il des autres ?" demande sa soeur, qui ajoute : "Au collège, on est censé être en sécurité. Ce qui est arrivé à mon frère montre que ce n’est pas le cas"
En octobre 2017, le jeu de la "gardav" était relaté dans Le Parisien : un adolescent de 14 ans avait été "lacéré à huit ou neuf reprises de coups de cutter" dans une cave d'une cité d'Orvault (Loire-Atlantique) lors de ce "rite initiatique"...
CES JEUX DANGEREUX ET POTENTIELLEMENT MORTELS
Le "jeu du foulard", potentiellement mortel, consiste à s'étrangler et atteindre la limite de l'évanouissement en privant son cerveau d'oxygène. Le "jeu de la tomate", lui aussi potentiellement mortel, c'est s’empêcher ou être empêché de respirer. Quant au "Momo Challenge", il encourage les adolescents à relever des défis jusqu’au plus extrême, le suicide. En France, ces jeux ont déjà fait de nombreuses victimes.
ÉTATS-UNIS
Une jeune fille de 11 ans, victime de harcèlement, s'est donné la mort la semaine dernière au Nouveau-Mexique. Sa meilleure amie dénonce : "La voix de Delia n'a jamais été entendue".
Une enquête a été ouverte. Vendredi dernier, au Nouveau-Mexique, Delia Watson, 11 ans, a mis fin à ses jours. Selon Paris Match relayant une information de la chaîne KOB4 TV, elle avait exprimé sur les réseaux sociaux son mal-être et le harcèlement scolaire dont elle était victime depuis des semaines, sur internet comme au sein de son établissement scolaire.
Selon Malaya Martinez, sa meilleure amie, citée par US News, "Delia et moi avons contacté plusieurs membres du personnel de notre école à de nombreuses reprises au sujet des actes d'intimidation dont elle était victime, mais la voix de Delia n'a jamais été entendue". "Je suis la voix de Delia et je demande de l'aide à la communauté", a-t-elle déclaré. "Grand, petit, gros, sans cheveux, avec des cheveux... Cela n'a pas d'importance... Ces personnes sont toujours des êtres humains. Ce n'est pas juste".
Le service de police de Grants a confirmé qu'une enquête était ouverte, notamment à propos des messages malveillants envoyés sur les réseaux sociaux. L'établissement scolaire de la jeune victime a exprimé sa "tristesse après la mort inattendue de l’une de ses élèves" sans vouloir confirmé son identité et a indiqué que des cellules d'aide psychologique allaient être mises en place.
Une cagnotte ouverte Une page de collecte de dons sur "GoFundme" a été ouverte à la mémoire de Delia Watson, afin d’aider sa famille mais également pour s’engager contre le harcèlement scolaire et la prévention du suicide. Quelques photos de la jeune fille sont accompagnées d'un texte :
"Elle avait 11 ans, elle était harcelée, elle se sentait seule et isolée des autres. Elle a appelé à l’aide mais personne n’a voulu l’écouter. Elle voulait seulement être acceptée par les autres. Elle ne se sentait soutenue que par sa famille mais rejetée par ses camarades. Elle a été harcelée par SMS et sur les réseaux sociaux, on lui a même suggéré de se donner la mort".
La cagnotte a dépassé les 10 000 dollars de dons en quatre jours.
Cigarettes: Les nouveaux tarifs, quasi-stables, entrent en vigueur à partir du 1er janvier
CONSOMMATION
En France, ce sont les industriels du tabac qui fixent les prix, mais l’État peut inciter à des augmentations en faisant varier les taxes, qui représentent plus de 80 % du prix…
Si les nouveaux prix du tabac doivent entrer en vigueur le 1er janvier prochain, les tarifs resteront quasi stables pour la plupart des marques, à quelques exceptions près, selon un arrêté ministériel publié au Journal officiel, ce jeudi. Parmi ces rares relèvements de prix, le paquet de 20 Marlboro Red (groupe Philip Morris), qui coûte 8 euros depuis le 1er mars (contre 7,30 euros auparavant), passe à 8,20 euros, selon ce texte daté du 14 décembre.
La septième hausse des prix du tabac du gouvernement Macron
En revanche le prix du paquet de Gauloises blondes reste à 8 euros, tout comme celui des Lucky Strike Bleu Classic, inchangé à 7,70 euros, ou encore celui des Camel (sans filtre) stable à 7,90 euros.
Enfin, les Winfield rouges de 20 unités se maintiennent également à 7,90 euros, tout comme les Winfield bleues.
En France, ce sont les industriels du tabac qui fixent les prix de vente, mais l’État peut inciter à des augmentations en faisant varier les taxes, qui représentent plus de 80 % du prix.
Il s’agit là de la septième révision des prix du tabac depuis l’arrivée du gouvernement Macron en mai 2017, après quatre années de stabilité. Pour réduire la consommation de tabac, le gouvernement a prévu un train de hausses successives pour atteindre, d’ici novembre 2020, un prix de 10 euros le paquet de 20 cigarettes.
Le tabac, responsable de cancers et de maladies cardiovasculaires, tue quelque 75.000 Français chaque année.
SANTÉ «A partir d'une cigarette par jour, il y a un risque de maladie cardiovasculaire»
Fusillade à Strasbourg: Que sait-on de l'attaque qui a fait trois morts?
ATTAQUE Le bilan est de trois morts et 11 blessés. Le tireur, qui a pris la fuite, a été identifié… Un homme a ouvert le feu, mardi soir, en plein centre-ville de Strasbourg.
Le bilan provisoire fait état de trois morts et de six blessés en urgence absolue. L’auteur, qui a pris la fuite, a été identifié.
Il s’agit d’un individu de 29 ans, fiché S, également connu pour des affaires de droit commun. L’horreur à Strasbourg.
Un homme a ouvert le feu à plusieurs reprises sur la foule, mardi soir, dans l’enceinte du marché de Noël. Le bilan est lourd. Trois personnes ont perdu la vie et 13 autres ont été blessées, dont huit grièvement.
Le suspect, un homme de 29 ans fiché S, a pris la fuite. Il est activement recherché par les forces de l’ordre. 20 Minutes fait le point.
Que s’est-il passé ?
Un peu avant 20 heures, un individu armé est « rentré dans le périmètre du marché de Noël par le pont du Corbeau en se dirigeant vers la rue des Orfèvres », a indiqué la préfecture. Soudain, il a ouvert le feu sur la foule. Plusieurs personnes ont été touchées. Des soldats de l’opération Sentinelle, qui sécurisaient l’événement, ont alors riposté. Selon l’état-major des armées, un militaire a été blessé légèrement à la main durant la fusillade. Malgré leur intervention, le tireur est parvenu à prendre la fuite.
Quel est le bilan ?
Trois personnes sont décédées et onze autres ont été blessées. Parmi ces dernières, cinq sont dans un état grave, selon un bilan de la préfecture à 3h30. Plus tôt, le maire de Strasbourg, Roland Ries, avait évoqué un bilan de « quatre morts et une dizaine de blessés ». Les blessés ont été évacués vers le centre hospitalier de la ville. Un point de regroupement des victimes a été installé place Kléber. En outre, une cellule d’urgence médico-psychologique a été ouverte place Gutenberg.
Qui est l’assaillant ?
Un suspect a très vite été identifié. Selon nos informations, il s’agit d’un Strasbourgeois de 29 ans, né en février 1989, fiché S (pour sûreté de l’Etat). Cherif C. est aussi « très défavorablement connu » pour des affaires de droit commun, a précisé Christophe Castaner, le ministre de l’Intérieur, lors d’une conférence de presse. Il a été condamné en France, mais aussi en Allemagne. A-t-il des attaches de l’autre côté du Rhin ?
Fusillade à Strasbourg: «Le gars armé est tombé sur les militaires», témoigne un habitant Un peu avant 20 heures ce jeudi dans le centre de Strasbourg (Bas-Rhin), plusieurs habitants racontent ce qu'ils ont vécu, dans ce qui ressemble à un des premiers événements de la fusillade... 32 personnes parlent à ce sujet Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité Toujours selon nos informations, les gendarmes de Strasbourg devaient l’interpeller, tôt ce mardi matin, dans le cadre d’une affaire de droit commun : une « tentative d’homicide ».
Mais Chérif C. n’était pas chez lui au moment de cette opération. Lors de la perquisition de son domicile, les enquêteurs ont retrouvé des armes, notamment une grenade et des armes blanches.
Est-ce cette visite des gendarmes qui a précipité son périple meurtrier ?
350 policiers et gendarmes se sont lancés dans cette chasse à l’homme hors norme. Dans le détail, une centaine d’enquêteurs de la Sdat (sous-direction antiterroriste) de la police judiciaire, de la direction interrégionale de la police judiciaire de Strasbourg et de la DGSI, épaulés par les agents du Raid et de la BRI, sont à ses trousses. Dans leur traque, ils peuvent compter sur l’aide de deux hélicoptères de la gendarmerie. La ville est quadrillée, notamment le quartier du Neudorf. Des policiers et des militaires patrouillent à Strasbourg après une fusillade qui a fait au moins 2 morts et 13 blessés le 11 décembre 2018. Des policiers et des militaires patrouillent à Strasbourg après une fusillade qui a fait au moins 2 morts et 13 blessés le 11 décembre 2018
S’agit-il d’un attentat terroriste ?
Au regard du profil du suspect, la piste terroriste est privilégiée. Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour « assassinats, tentatives d’assassinats en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs terroriste criminelle ».
Les contrôles sur les marchés de Noël vont être « renforcés », afin « d’éviter tout risque de mimétisme », a expliqué Christophe Castaner. Le Gouvernement a décidé de placer le plan Vigipirate au niveau « urgence attentat ». Les contrôles aux frontières sont renforcés.#Strasbourg « Nous sommes actuellement en France en posture vigipirate renforcée, le gouvernement vient de décider de passer en urgence attentat, avec la mise en place de contrôles renforcés aux frontières », a ajouté Christophe Castaner, dépêché en urgence par l’Elysée à Strasbourg avec le nouveau procureur de la République de Paris, Rémy Heitz.
Cette décision a été prise lors d’une réunion de crise qui s’est tenue un peu plus tôt au ministère de l’Intérieur, présidée par Emmanuel Macron, en présence du Premier ministre, Edouard Philippe, du secrétaire d’Etat à l’Intérieur, Laurent Nunez, et des ministres de la Santé et de la Défense, Agnès Buzyn et Florence Parly.
Quelles mesures vont être prises à Strasbourg ?
Mercredi sera « une journée de deuil en mémoire de victimes » de l’attentat, les drapeaux étant mis en berne et un registre de condoléances ouvert pour les Strasbourgeois. Le maire de Strasbourg a confié qu’il avait été décidé « de fermer le Marché de Noël » toute la journée, « pour l’instant ». « Les spectacles sont également annulés tout comme les manifestations à caractère festif » ce jour-là, a-t-il poursuivi.