Cinq millions de Français vivent avec moins de 855 euros par mois

 La première édition du Rapport sur la pauvreté, réalisé par l'Observatoire des inégalités, présente deux tendances claires : la pauvreté ne diminue plus en France, et les plus jeunes sont en première ligne. Le constat est alarmant.

«Depuis dix ans, le nombre de personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté en France augmente», analyse Anne Brunner, dans le Rapport sur la pauvreté de l'Observatoire des inégalités. Selon Noam Leandri, son président, «la société française souffre de l'écart entre les discours et les actes».

Il met en cause des «promesses non tenues» et affirme que «l'élitisme social français laisse trop de concitoyens sur le bord de la route».

Le seuil de pauvreté que prend en compte l'Observatoire pour ce rapport est fixé à 855 euros par mois, soit 50% du revenu médian. État des lieux, évolution historique, visage de la pauvreté: voici ce qu'il faut retenir de ce rapport.

Pauvreté: pourquoi ne baisse-t-elle pas malgré la croissance?

Déjà 300 projets réussis, démarrez le vôtre. EN SAVOIR PLUS »

Comment le taux de pauvreté est-il calculé? Après avoir grimpé, la pauvreté stagne... mais ne diminue pas Depuis 1970, la courbe retraçant le taux de pauvreté se sépare en deux périodes: l'avant et l'après 2000.

En 1970, on comptait 5,7 millions de pauvres au seuil à 50%. En 1990, le chiffre est tombé à 3,7 millions après plusieurs baisses régulières. Mais, à partir du début des années 2000, le nombre de pauvres en France ne connaît plus ces diminutions, pourtant habituelles depuis plus de trente ans, constate le rapport. Au contraire, le nombre de personnes pauvres a même eu tendance à augmenter, pour plafonner à cinq millions en 2013

 «La reprise de l'activité économique et la diminution du chômage» a interrompu cette hausse, sans pour autant faire baisser le nombre de pauvres. Ce que le rapport met en avant n'est pas une «explosion de la misère» mais plutôt une hausse du nombre de personnes qui décrochent du niveau de vie des classes moyennes.

Les différents visages de la pauvreté Le rapport présente un autre constat alarmant, celui de la situation de la jeunesse. En 2015, pas moins d'1,7 million d'enfants vivaient dans un ménage dont le niveau de vie était inférieur au seuil de pauvreté. Au total, plus d'un jeune sur dix (jusqu'à 18 ans), vit sous le taux de pauvreté. Plus inquiétant encore, selon l'Insee, 30.000 enfants vivent avec un parent qui est sans domicile fixe. »

Pauvreté en France : les chiffres à connaître

Chez les jeunes adultes, le constat est équivalent et les auteurs du rapport expliquent cela par la «détérioration du marché du travail» (plus de 22% des jeunes de 15 à 24 ans sont au chômage), par la hausse «des charges de logement» ou encore par un manque de diplôme.

Ainsi, 11,8% des 20-29 ans sont pauvres, et ce sont souvent les moins diplômés. En effet, en France, 84% des personnes vivant sous le seuil de pauvreté n'ont pas dépassé le bac. «Le diplôme joue un rôle particulier dans l'insertion professionnelle», constate l'Observatoire. Et cela se confirme par les chiffres de l'Insee qui affirme que le taux de pauvreté d'une personne au niveau supérieur à bac+2 est de 4,4%.

Le rapport pointe du doigt la «faiblesse de la formation professionnelle», affirmant qu'avec un bas niveau d'instruction, peu nombreux sont ceux qui auront une «deuxième chance».

Oise : 330 nids de frelons asiatiques attendent d’être détruits

 Le service départemental d’incendie et de secours (Sdis) de l’Oise a dû mettre en place deux nouvelles équipes, à Beauvais et Compiègne, pour renforcer celle de Creil, qui ne pouvait, seule, intervenir sur l’ensemble des nids à détruire. 

Des habitants s’inquiètent de la prolifération de cette espèce invasive. Les pompiers s’avouent débordés. « Cette semaine, nous avons tué un frelon asiatique dans la cour de récréation… Mi-novembre !

Qu’est-ce que ce sera au printemps, avec le retour des beaux jours ? »Inquiète, cette directrice d’une école de l’Oise a aussi été surprise d’apprendre que, dans sa commune, « il y a plusieurs nids qui sont en attente d’être détruits ».

Malheureusement, les pompiers ne peuvent pas être partout. Selon la préfecture de l’Oise, ces derniers ont effectué « plus de 830 interventions entre janvier et octobre 2018 ».

Une augmentation impressionnante : « En 2016, il n’y en avait eu aucune, et seulement 70 en 2017 », détaille le Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) de l’Oise.

Par ailleurs, « 330 demandes d’intervention sont en attente » dans le département, poursuit le Sdis. 148 pour le secteur de Beauvais, 91 dans le Creillois, 48 dans le Compiégnois, etc. Alors qu’il n’y avait qu’une seule équipe spécialisée, à Creil, les pompiers ont été dans l’obligation d’en créer deux autres, dans la ville-préfecture et la cité impériale.

« Lorsque j’ai appelé, on m’a indiqué qu’il y avait une pénurie de munitions », indique un élu de l’est de l’Oise. C’est-à-dire des projectiles, petites billes contenant de l’insecticide, que tirent les pompiers, à distance, pour éradiquer un foyer.

« Pénurie, non, il y a eu un peu de délai, c’est tout, assure le Sdis. Nous commandons les billes par 4000, sachant qu’il en faut 40 à 50 par nid. » - DR Les pompiers agissent gratuitement « lorsqu’un nid menace la sécurité publique », explique la préfecture.

Ecoles et autres établissements recevant du public. Sinon, la prestation est facturée 124 €. Les particuliers peuvent également se tourner vers des professionnels (70 à 150 €), dont la liste est disponible sur le site internet du Sdis. Avant d’appeler, un seul conseil : se tenir à distance.

Car de multiples piqûres peuvent se révéler mortelles. Lorsqu’une personne entre dans un rayon de 10 à 15 m autour d’un nid, « les frelons considèrent que c’est une agression ».

Avec le froid, ces insectes devraient toutefois disparaître d’ici peu de temps. Avant de revenir au printemps. Selon les experts de la préfecture, « le frelon asiatique est installé, et la propagation est trop rapide, impossible à éradiquer ».

Polynésie : un ado rate son ferry, part à la nage et passe une nuit dans l’océan

 La plage de Papara, sur l’île de Tahiti

Le jeune homme de 16 ans aurait tenté de parcourir une vingtaine de kilomètres. Un adolescent de 16 ans a passé une nuit dans l’océan Pacifique, après avoir manqué son ferry en Polynésie. Il a en fait tenté de rejoindre l’île de Tahiti à la nage, selon son témoignage recueilli mercredi par l’équipage de l’Aremiti, le navire qui lui a porté secours.

Le sauvetage a été confirmé par le JRCC, centre de secours en mer basé à Papeete, la capitale de la Polynésie française. « Le jeune a été récupéré à environ 6 km de Moorea (NDLR : une île proche de Tahiti), il a été pris en charge par un médecin à bord et a été conduit à l’hôpital », a déclaré Antoine Ferry, le directeur du JRCC.

Les secours un peu sceptiques L’adolescent disposait pour tout flotteur d’un morceau de planche de bodyboard. Assez confus selon le capitaine de l’Aremiti, il a dit avoir raté le dernier ferry, mardi soir, et avoir tenté de rejoindre Tahiti à la nage. Assoiffé et épuisé, mais pas blessé, l’adolescent a été rejoint par sa mère à l’hôpital. Pour le JRCC, « cela ne correspond pas trop au sens de la dérive habituelle, mais il dit peut-être la vérité, et le fait est qu’on l’a retrouvé en mer ».

Le centre de secours s’étonne qu’il n’y ait pas eu de signalement de disparition au préalable. Tahiti et Moorea sont distantes d’une vingtaine de kilomètres et des ferries proposent des rotations plusieurs fois par jour.

On prévoit au moins 650 blocages le 17 novembre, les voici tous. Et aucune région n'est épargnée.

 On prévoit au moins 650 blocages le 17 novembre, les voici tous. Comme vous vous en doutez, le samedi 17 novembre approche à un grand pas. Cette fameuse journée de blocage nationale des routes et autoroutes françaises risque de créer une sacrée pagaille aux quatre coins du pays et on vous propose de jeter un coup d'oeil à la carte qui recense tous les blocages du 17 novembre.

C'est la chaîne de télévision BFM TV qui rapporte cette nouvelle qui n'a rien de rassurant pour le gouvernement, mais aussi pour les citoyens qui avaient prévu de se déplacer ce samedi 17 novembre.

En effet, BFM TV propose une carte de France qui recense tous les blocages du 17 novembre et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il va y avoir beaucoup de perturbations comme on pouvez s'y attendre vue les menaces qui pèse sur cette journée depuis quelques semaines.

On vous laisse regarder la carte ci-dessous, mais on préfère vous prévenir, aucune région n'est épargnée : Comme vous pouvez l'imaginer, les manifestants les plus motivés sont les fameux gilets jaunes qui ont décidé de tout donner dans cette bataille contre le gouvernement. Ce groupe apolitique se sent terriblement floué par le gouvernement d'Emmanuel Macron.

En effet, ils refusent de subir de plein fouet l'augmentation du prix du carburant et sont bien décidés à le montrer. Selon eux, si cette activité de blocage national du 17 novembre est une réussite, cela pourrait faire plier le gouvernement. S’il s'agit d'un échec alors là les gilets jaunes sont prêts à prolonger ce blocage national sur plusieurs jours.

La vraie question qu'on se pose est de savoir si cette mobilisation va bien être réelle et aussi ardente que les gilets jaunes le laissent paraître. En effet, le samedi 17 novembre sera un moment de vérité pour ce mouvement qui se déterminé et prêt à tout pour faire faire marche arrière au gouvernement. Difficile donc de faire une estimation de la situation.

On espère simplement qu'il n'y aura pas de drame humain ce jour-là et que la violence ne sera pas au rendez-vous. Le moins que l'on puisse dire c'est que le gouvernement se prépare à toutes les éventualités possibles. Le ministère de l'Intérieur a multiplié les annonces cette semaine pour mettre en garde les partisans d'un blocage national. Ces derniers s'exposent à de très fortes amendes (jusqu'à 7500 euros), mais aussi à une peine de prison pouvant aller jusqu'à deux ans. Vous l'aurez donc compris, le gouvernement jouer la carte de la tolérance zéro et réprimandera tous ceux qui vont entraver la libre-circulation d'autrui et ceux qui mettront la vie des autres en danger.

Le gouvernement semble donc prêt à intervenir en cas de besoin, mais on se demande de quoi aura l'air la journée de samedi qui risque d'être d'une intensité rarement vue. On verra également si les annonces du premier ministre Édouard Philippe et de sa fameuse "super prime" à la conversion de 4000 euros portera ses fruits. Le suspense reste entier et tout le monde attend la journée du samedi 17 novembre de pied ferme. Une chose est certaine, il y aura de l'électricité dans l'air.

«Gilets jaunes» : les blocages des routes seront sanctionnés, promet Édouard Philippe

 Des gilets jaunes ont déjà été disposés aux abords de nombreuses routes pour appeler à la mobilisation, samedi, contre la hausse des prix des carburants. LP/Sébastien Blondé Le gouvernement ne veut «aucun blocage total» des routes samedi.

Manifester, c’est oui ; bloquer, c’est non. Tel est le message qu’a fait passer, ce mercredi, sur RTL, le Premier ministre Edouard Philippe, alors que le mouvement dit des «gilets jaunes» s’apprête à organiser samedi dans toute la France des manifestations contre la hausse des prix du carburant.

Le Premier ministre Edouard Philippe a mis en garde contre une opération de blocages des routes, rappelant que «la loi s'applique» et que «l'entrave à la circulation, c'est sanctionné». «Je le dis aux Français : vous avez le droit de manifester, bien sûr. Mais il faut prendre ses responsabilités et respecter la loi», a averti Edouard Philippe.

 Édouard Philippe annonce une «super prime» et l’abandon du fioul domestique Tout en se disant «attentif aux inquiétudes, à l'angoisse, parfois la colère» des Français, il a rappelé que «la liberté de manifester passe par des déclarations (NDLR : en préfecture) et par la prise de responsabilité de chacun».

«On prend un risque si on ne respecte pas la loi», a insisté le Premier ministre. «On prendra les mesures qui s'imposent»

«Si certains axes venaient à être bloqués et qu'on en a besoin pour faire passer les pompiers, les ambulances, ça mettrait en péril la sécurité des Français, et, bien entendu, on prendra les mesures qui s'imposent», a-t-il affirmé.

Mardi, le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a déjà indiqué que le gouvernement n'accepterait «aucun blocage total» samedi. «Partout où il y aura un blocage, et donc un risque pour les interventions de sécurité et aussi la libre-circulation, nous interviendrons», a-t-il prévenu.

Des collectifs de citoyens, baptisés «gilets jaunes», ont appelé à une journée de blocage des routes et de points stratégiques pour protester notamment contre la hausse du prix des carburants. Plusieurs centaines d'actions sont répertoriées sur les réseaux sociaux qui catalysent le mouvement.

Cette mobilisation, qui se veut apolitique, a reçu le soutien de plusieurs partis d'opposition, du Rassemblement national de Marine Le Pen à la France insoumise de Jean-Luc Mélenchon en passant par Les Républicains de Laurent Wauquiez qui participera lui-même à une manifestation dans son département de Haute-Loire.

Gouvernement : des salaires moyens en hausse dans certains ministères

 René Dosière a du mal à comprendre pourquoi les salaires des collaborateurs au sein du ministère du Travail ou au secrétariat aux personnes handicapées ont par exemple augmenté de 7,1 %.

 Comme chaque année, René Dosière passe au crible pratiques et train de vie du gouvernement. L’ancien parlementaire socialiste s’étonne notamment de l’augmentation de certaines rémunérations.

Après avoir pointé du doit le manque de parité au sein des cabinets ministériels, René Dosière s’est penché sur l’évolution des rémunérations des conseillers des membres du gouvernement.

C’est ce qui ressort des documents sur les salaires en vigueur dans les cabinets ministériels, publiés en annexe au projet de loi de finances 2019. Et l’ancien député socialiste, très soucieux des bonnes pratiques et du bon usage de l’argent public, de pointer des hausses de salaires pour certains membres de cabinets. Si la rémunération moyenne des conseillers de l’ensemble du gouvernement n’est qu’en légère augmentation depuis 2017 (9266 euros bruts par mois, + 0,9 %), douze ministères ont été bien plus généreux pour leurs collaborateurs :

+ 7,1 % au Travail ou au secrétariat aux personnes handicapées, par exemple.

- « Ça pose problème et c’est étonnant compte tenu du contexte financier et des économies demandées à la fonction publique », s’agace Dosière. Mais on est bien loin de la hausse de l’an dernier. Entre 2016 et 2017, le salaire moyen avait explosé de 20,5 %.

Une forte augmentation qui avait été en bonne partie compensée par la baisse des effectifs de conseillers, imposée par Emmanuel Macron.

Bonne idée. Des salariés heureux au boulot à Lyon ... avec leur animal de compagnie

Quatre animaux peuvent accompagner leur maître chaque jour. Où ? Au travail !

L'expérience est menée depuis une petite année dans une sociéte spécialisée dans l'assurance santé animale, basée à Lyon. Un vrai succès. Ce matin-là, au milieu de la plateforme de travail, Ivy fait des acrobaties juste au-dessus de Lola. Ivy est un perroquet. Et Lola, une chienne.

Des animaux autorisés à tenir compagnie à leurs maîtres qui, eux, sont en plein boulot. L'expérience est menée depuis une petite année dans une entreprise basée à Lyon : chaque jour, quatre animaux de compagnie sont acceptés dans les bureaux, aux côtés des 150 salariés. L'idée s'est imposée quasi naturellement dans cette société spécialisée dans l'assurance santé animale.

"Un animal de compagnie l'est à la maison, et pourquoi pas au bureau ?" s'interroge Jérôme Salord.

Bien sûr cela demande un peu d'organisation, précise le PDG de cette société . Les animaux doivent être propres. Et leurs maître signent une charte. Ensuite, c'est tout bonus. L'animal permet même de créer du lien entre les salariés, et fait tomber le stress : "un salarié détendu est un salarié plus heureux de travailler, et donc plus efficace" résume Jérôme Salord.

https://youtu.be/uQ8PjaV7qUg

Audiences TV : le téléfilm de TF1 sur le harcèlement scolaire domine largement

« Le Jour où j’ai brûlé mon coeur » raconte l’histoire vraie de Jonathan Destin qui, harcelé pendant des années, s’était immolé en 2011.

Gilles Gustine

Lundi soir, la fiction « Le Jour où j’ai brûlé mon cœur » proposée par la Une a pris une large tête et coiffé « L’Amour est dans le pré ». Le harcèlement scolaire est bien l’affaire de tous.

Lundi soir, le téléfilm de TF1 « Le Jour où j ai brûlé mon cœur », librement adapté de l’histoire de Jonathan Destin qui avait tenté de se suicider en s’immolant en 2011, a largement mobilisé.

Il a attiré près de 6,3 millions de téléspectateurs (25,7 % de part d’audience) devant la première partie et 6,2 millions en moyenne (27,6 % de PDA) devant les deux volets diffusés jusqu’à 23h10. Cette fiction sociétale a battu le speed rating rural de M6 « L’Amour est dans le pré ».

Les agriculteurs en quête de l âme sœur ont pu compter sur 3,8 millions de fidèles (15,5 % de PDA) pour le premier inédit et 3,5 millions en moyenne pour les deux épisodes (15,8 % de PDA), soit 477 000 de moins en une semaine. Troisième, France 2 a résisté avec sa série historique « Victor Hugo, ennemi d’État » qui a enthousiasmé 3 millions de curieux (12,2 % de PDA) en première partie et 2,8 millions en moyenne (11,9 % de PDA) pour les deux volets diffusés jusqu’à 22h50.

France 3 a fini dernière avec son magazine « Faut pas rêver » dont la promenade dans les Alpes a intéressé 1,5 million d’adeptes (6,7 % de PDA). Sur la TNT, aucune chaîne n’a franchi le million de téléspectateurs. «Demain nous appartient» frôle son record Plus tôt, le feuilleton de TF 1 « Demain nous appartient » a signé son record historique en nombre avec 3,78 millions de fans (18,3 % de PDA), devant le jeu de Nagui sur France 2 « N’oubliez pas les paroles » (3,5 millions, 17,4 % de PDA). En deuxième partie de soirée, à noter que le documentaire « Harcèlement scolaire, le calvaire de Jonathan » qui suivait le téléfilm de TF1 a largement mobilisé également : 3,1 millions de personnes (30 % de PDA) l’ont regardé jusqu’à plus de minuit dans le cadre de cette soirée spéciale.

Tuée alors qu’elle tentait de sauver son chien, cette fillette de 12 ans sera enterrée à ses côtés

 Alors qu’elle essayait de rattraper son chien qui courait sur une route très fréquentée, Jennarae Goodbar a été renversée par une voiture. Certains maîtres sont prêts à tout pour leur animal de compagnie.

C’est le cas de cette fillette de 12 ans qui a sacrifié sa vie pour tenter de sauver celle de son chien adoré.

Un double drame Jennarae Goodbar, de Lexington, entraînait son chien Cash- à l'extérieur de sa maison samedi dernier lorsque le chien s’est soudainement mis à courir vers une route très fréquentée du comté de Rockbridge.

Sans hésiter une seconde, la jeune fille s’est lancée à la poursuite de son chien et tous deux se sont retrouvés au milieu de la circulation.

Malheureusement, une voiture conduite par un proche de la famille – n’a pas pu les éviter et Cash et Jennarae sont décédés sur le coup.

Selon la mère de Jennarae, sa fille entretenait une relation très particulière avec son chien qu’elle avait acheté avec son propre argent et qu’elle considérait comme son « bébé ».

La maman de Jennarae a aussi indiqué aux médias que sa fille serait enterrée avec son chien afin que le duo ne soit plus jamais séparé. D’après tous ses proches, Jennarae était une adolescente souriante, bien dans ses baskets et pleine de vie. 

Le Maire confirme la hausse des taxes sur les carburants en 2019

Bruno Le Maire, le ministre de l'Economie.

 Le gouvernement persiste et signe. Les taxes sur les carburants vont encore augmenter au 1er janvier et ce malgré la grogne de nombreux Français, qui prévoient des blocages dans toute la France le 17 novembre.

Invité de BFMTV ce lundi matin, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire l'a assuré : «Non, [la hausse des taxes] ne sera pas suspendue. On ne suspend pas la transition écologique, la conversion du parc automobile français, qui est nécessaire».

"On doit changer maintenant."

Bruno Le Maire confirme que la hausse des taxes sur les carburants ne sera pas suspendue le 1er janvier #BourdinDirect Selon le ministre, «la bonne solution, ce n'est pas de revenir en arrière, c'est d'accompagner cette transition», affirmant qu'il souhaite que la prime à la conversion augmente.

Le prix du diesel devrait prendre 6 centimes en 2019 et celui de l'essence 3 centimes. Cette hausse devrait être continue jusqu'en 2022 afin de rendre le diesel, jugé plus polluant, plus cher que l'essence.

En un an, le sans-plomb 95 a augmenté de 15 % et le diesel de 23 %. Une hausse essentiellement due à la hausse du prix du pétrole.