aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Il faut vraiment montrer ce genre d'image pour comprendre ce que deviennent grand nombre de greyhounds de course ? C'est ça qu'il faut pour être convaincu qu'ils ont besoin de notre aide ?
Les blessés de l’âme ne veulent ni haïr, ni se soumettre : ils veulent s’en sortir
Méthode plus radicale pour se débarrasser des petits mâles car ils ne sont pas rentables dans l'industrie laitière: la noyade dans des fosses creusées spécialement
Les animaux, ces oubliés de la crise agricole
Il n'est pas besoin d'être spécialiste des questions économiques pour comprendre que la crise que connaît actuellement le monde agricole est profonde et durable.
La loi du marché fait tendre vers le bas les prix à la consommation et, en conséquence, les prix auxquels les producteurs sont contraints de vendre.
Si on ne sort pas de cette logique, on ne peut éviter une fuite en avant vers un élevage toujours plus industrialisé afin de vendre davantage, tout en réduisant les coûts de production.
Cette logique d'une agriculture mondialisée, dominée par le seul critère de la rentabilité, aura pour effet de diminuer le nombre des exploitations, tout en rendant encore plus difficile la tâche des producteurs accordant la priorité à la qualité et soucieux de préserver les équilibres naturels.
Mais, dans les discours sur la crise agricole, on oublie le plus souvent une réalité pourtant essentielle. Ce dont on parle en termes de marchandises, de produits, ce ne sont pas des choses, des ordinateurs ou des automobiles, mais des êtres vivants, des animaux.
Or, l'industrialisation croissante de l'élevage rendra plus douloureuse la vie de ces animaux qui est déjà, dans l'immense majorité des élevages, une vie de souffrance. Confinés dans des espaces les contraignant à l'immobilité, ne voyant jamais la lumière du jour, les porcs, poulets et autres animaux ne sont plus que des machines que l'on engraisse avant de les mener, au plus vite, à l'abattoir.
Habitués à cela, nous ne voyons pas la contradiction d'une situation où les animaux sont empêchés d'avoir une vie conforme à leur nature. On ne peut douter que ces animaux souffrent et les précautions d'hygiène, voire les soins de certains éleveurs, ne peuvent l'empêcher.
Depuis le 15 avril 2014, le Code civil reconnaît l'animal comme « un être vivant doué de sensibilité » et non plus comme « un bien meuble ».
Cette reconnaissance marque une rupture fondamentale avec la conception, héritée de Descartes, d'un animal réduit à un assemblage de mécanismes et dénué de sensation.
« Reconnaître la sensibilité animale » Être doué de sensibilité, l'animal ressent le plaisir et la douleur, l'expérience le montre depuis toujours, alors pourquoi n'en tirons-nous pas les conséquences ?
Certes, la considération du bien-être animal paraît bien légère face aux enjeux économiques et sociaux. Pourtant, la reconnaissance de la sensibilité animale nous oblige moralement à mettre en place, en tous domaines, des pratiques en accord avec cette reconnaissance. Le Code pénal punit les « actes de cruauté envers un animal domestique, apprivoisé, ou tenu en captivité ».
Nous trouvons légitime que soit punie la maltraitance d'un animal domestique, mais n'est-il pas temps d'agir contre la maltraitance ordinaire due aux conditions d'élevage ?
L'erreur serait, de ce point de vue, de culpabiliser les éleveurs soumis à des contraintes qui les oppriment eux-mêmes. Le problème nous concerne tous car, en tant que consommateurs, nous avons tous un rapport avec l'élevage animal, mais aussi parce que notre rapport au monde animal, et au monde naturel dans son ensemble, engage notre avenir d'êtres humains.
Opération Oblitération : dîtes non aux delphinariums !
La Fondation 30 Millions d’Amis s’engage pour interdire les delphinariums et mettre fin au calvaire des cétacés captifs.
Avec l’opération Oblitération, agissez à nos côtés ! Ils tournent et tournent et retournent en rond dans leur bassin… Puis, sous les yeux admiratifs des spectateurs, ils effectuent des cabrioles pour quelques poissons : c’est la triste existence que mène une trentaine de dauphins dans les delphinariums français.
Sensible à leur sort, la Fondation 30 Millions d’Amis a décidé de relayer l’opération « Oblitération » lancée par le collectif « C’est Assez ».
L’idée ?
Envoyer une lettre au ministère de l’Écologie pour exiger de protéger au mieux les cétacés captifs. Ce courrier demande notamment que « la captivité spectacle cesse, que l’ouverture de nouveaux delphinariums en France soit interdite, qu’il soit mis un terme à la reproduction et à l’importation de nouveaux cétacés sur le territoire français ».
A moyen terme, les associations espèrent la fermeture de tous les delphinariums et la réhabilitation des cétacés dans des baies marines adaptées.
Pour participer à cette action, laissez-vous guider sur le site operation-obliteration.org.
Plus les courriers seront nombreux, plus l’impact sera fort !
En France, 4 delphinariums subsistent encore : MARINELAND (qui est le plus important),
Planète Sauvage,
celui du Parc Astérix et enfin
le Moorea Dolphin Center, en Polynésie française.
Ces parcs sont loin d’être des endroits idéaux pour les cétacés mais restent légaux. Un amendement avait été déposé en mars 2015 par la députée Laurence Abeille (EELV) pour interdire les delphinariums mais il avait été refusé par la représentation nationale.
Toutefois, la ministre de l’écologie Ségolène Royal s’est engagée à diligenter un groupe de Travail pour réfléchir aux conditions de vie des cétacés captif.
DES CONDITIONS DE VIE INTOLÉRABLES
Révélées en partie par le documentaire « Blackfish »*, les conditions de vie des orques et des dauphins dans les parcs sont particulièrement incompatibles avec leurs besoins.
Capturés brutalement dans la mer et donc privés de leur famille, ces mammifères doivent s’habituer à une captivité forcée. Alors que la plupart de ces animaux nomades parcourent jusqu’à 160 km par jour à l’état sauvage, ils sont confinés dans des bassins trop petits.
A titre d’exemple, le bassin le plus grand à Marineland fait 61 mètres de long. Ces cétacés sont aussi victimes de troubles du comportement.
Ces troubles ont d’ailleurs coûté la vie à plusieurs bébés dauphins à l’été 2015, victimes de disputes entre dauphins. Quant à leur état de santé global, il n’est guère réjouissant :
« ils sont maintenus à une sous-alimentation pour des fins de divertissement, malades à cause de l’eau chlorée qui attaque leurs poumons et le soleil qui brûle leur peau… » détaille Christine Grandjean, du collectif « C’est Assez ».
Que dire du bruit assourdissant de la musique des spectacles, des pompes qui filtrent l’eau ou des acclamations des spectateurs ?
Tout cela est un calvaire pour leur ouïe, qui est leur sens le plus développé.
Conséquence DIRECTE :
les cétacés en dépression sont traités des années avec des hautes doses d’anxiolytiques et d’antidépresseurs (les ordonnances de ces cétacés ont été révélées dans des parcs mondiaux). A terme, leur espérance de vie est réduite drastiquement.
Trop nombreux, des koalas ont été abattus en Australie
Des koalas ont été abattus dans des forêts surpeuplées du sud-est de Melbourne, afin de protéger la population sauvage.
Six marsupiaux parmi les 48 koalas capturés au premier jour de l’opération ont dû être abattus parce qu’ils étaient trop faibles pour survivre, a indiqué le coordinateur du projet à DPA.
« C’est tragique et nous nous sentons mal, mais nous devons aider les autres koalas à survivre. »
L’opération, qui dure deux semaines, s’est imposée face à la surpopulation des koalas dans la région de Cape Otway qui entraîne un manque de nourriture, laissant les marsupiaux affamés. Les koalas faibles ou malades seront euthanasiés, tandis que les femelles se verront équipées d’un dispositif de contrôle de la fertilité. Quarante autres animaux seront déplacés pour débuter une nouvelle colonie. Trop de koalas Il y a deux ans, le gouvernement avait abattu 700 koalas à Cape Otway.
« Nous avons observé jusqu’à 40 koalas dans un même arbre, dépouillant les eucalyptus de toutes leurs feuilles. Ils étaient affamés et on voyait des morts partout. Nous avons capturé 1.000 koalas et 70% avaient dû être tués parce qu’ils étaient trop faibles pour grimper aux arbres. »
« Nous sommes revenus l’an dernier et nous avons encore dû tuer 29 des 100 koalas contrôlés. Cette semaine, six sur 48 ont été abattus. C’est mieux, mais c’est encore terrible », ajoute le coordinateur.
La colonie de koalas à Cape Otway a démarré dans les années ’70 avec 75 animaux . La population s’est rapidement multipliée, pour atteindre près de 4.000 en 2012, soit 20 koalas par hectare contre un par hectare en situation normale.
« Si nous n’agissons pas, tous les eucalyptus de Cape Otway disparaîtront. »
Il y a des mots qui blessent.. Il y a ceux qui restent.. Les promesses d'amour.. Les prières chaque jour
Chaque grande erreur a un moment, à mi-chemin d'une fraction de seconde quand il peut être rappelé et peut-être corrigée.
Voilà comment finissent les greyhounds de Macau.
Nous sommes vraiment déçus, depuis plusieurs semaines nous demandons des photos pour soutenir les Greyhound de MACAU, je me demande ce qu'il faut faire pour avoir du soutien, faut-il vous montrer des images horribles, vous qui aimez les animaux, pourquoi vous détournez vous du sort des greyhounds, ils souffrent autant que les lévriers d'Espagne.
Aimer les animaux c'est se préoccuper de toute la souffrance dans le monde et ne pas cibler qu'un seul pays.
Les lévriers de course (Greyhounds) et les lévriers de chasse (Galgos) sont parmi les chiens les plus maltraités et sont utilisés pour les courses de chiens.
Ils sont élevés par milliers en Irlande et au Royaume-Uni. Ils y sont exploités dans des conditions révoltantes par l’industrie du pari.
Certains ont peu de contact avec l’homme, car dès le début des compétitions (18 mois), ils sont considérés comme des machines à courir et on ne les nomme pas.
Ils vivent dans les chenils dont ils ne sortent que pour s’entraîner et courir sur les pistes.
Une enquête menée par la Société de Greyhound Vétérinaires conclut
“Une moyenne de 30 lévriers par an ont été euthanasiés à chaque piste”. A ce jour, il y a 68 pistes en activité
À l'intérieur de chacun de nous il y'a un silence... Un silence aussi vaste que l'univers..