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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
On aimerait tous avoir cette petite baguette magique qui change le destin , mais rien ne serait pareil.... Crois en toi , en ta force et en ta capacité de traverser les ponts....
L'inutile euthanasie des 200 bouquetins du Bargy
Autorisé, puis suspendu… puis de nouveau à l’ordre du jour !
L'abattage de 200 à 250 bouquetins du Bargy a encore été prévu par la préfecture de Haute-Savoie.
Une décision inefficace pour la Fondation 30 Millions d’Amis. Visuel d'illustration. © Myrtille MLB - Fotolia.com
Une euthanasie massive. C’est le sort qui sera réservé aux 200 à 250 bouquetins vivant dans le massif du Bargy, en Haute-Savoie.
Seule une soixantaine de bouquetins devrait être épargnée. La préfecture de ce département a en effet autorisé l’abattage partiel de ce cheptel de bouquetins pour lutter contre la brucellose, une maladie infectieuse (17/09/2015).
Cette décision - qui n'en est pas à son premier essai - va à l’encontre de l’avis du Conseil National de Protection de la Nature émis à la quasi-unanimité le 15 septembre 2015.
La préfecture de Haute-Savoie redoute des « dommages à l'élevage et aux filières agricoles de montagne ». Cette décision s’est concrétisée par un arrêté préfectoral qui a autorisé l’Etat à procéder à la « capture » et « l’euthanasie » de bouquetins séropositifs en « vue de la constitution d'un noyau sain parmi la population des bouquetins du Bargy ».
Mais dans le lot, de nombreux bouquetins en bonne santé seront abattus malgré tout puisque la préfecture prévoit l'abattage d'animaux « non-testés séronégatifs en 2015 et ne faisant pas partie du noyau sain constitué ».
Dans le cheptel, seules 40 % des bêtes seraient contaminées selon la DDPP. UNE MÉTHODE CONTRE-PRODUCTIVE Des animaux qui sont en bonne santé vont donc être sacrifiés injustement, par précaution. La Fondation 30 Millions d’Amis déplore cette décision d’autant que l’euthanasie du cheptel n’est pas une méthode efficace pour enrayer la brucellose.
En effet, « les études conduites par une quinzaine d'experts européens réunis par l'Anses entre octobre 2014 et juillet 2015 ont permis de démontrer que l'abattage massif, rapide, non différencié, loin de réduire la maladie a pour conséquence d'augmenter les risques notamment par l'éparpillement des animaux » dénoncent les associations France Nature Environnement, LPO, Frapna et Aspas.
Elles estiment également que les « bouquetins du Bargy ne représentent pas un danger significatif pour le cheptel domestique (niveau quasi-nul à minime) et que le risque actuel pour l'homme est quasi-nul ».
Des associations de protection animale ont déposé un référé suspensif en justice et travaillent ensemble pour « user de tous les moyens légaux pour empêcher ce mauvais scénario ».
Une audience a été fixée le 19 octobre 2015 devant le tribunal de Grenoble et les associations espèrent « faire suspendre cet arrêté au plus vite d'autant que des tirs d'abattage ont toujours lieu ».
petition
Pourquoi c'est important Le bouquetin, animal paisible et doux, emblématique des Alpes, est interdit de chasse depuis 1962. Dans le massif du Bargy, l’Etat a décidé de tuer tous les bouquetins de 5 ans et plus. Prise dans la précipitation, cette décision visant à supprimer un foyer de brucellose était loin d’être la seule envisageable : les instances scientifiques (CNPN, CSRPN) se sont d'ailleurs opposées à cet abattage. Pour l’Agence de Sécurité Sanitaire, il n’y avait pas d’urgence à agir, car le risque de transmission aux autres espèces est, selon l'expression des experts, extrêmement faible.
Sans même que le groupe d’experts n’ait eu le temps d’étudier la solution de la vaccination, plus de 230 bouquetins ont déjà été abattus depuis octobre 2013.
Par souci d’économie et contre l'avis des instances scientifiques, l’Etat ne prend même pas le temps de différencier les individus sains des individus positifs à la brucellose ; parmi les bouquetins tués, beaucoup ne sont pas malades. Les tirs se poursuivent actuellement visant à éliminer, dans le Bargy, tous les bouquetins de 5 ans et plus.
Sous la pression des éleveurs et des chasseurs, l’Etat pourrait décider d’éradiquer la totalité de la population des bouquetins du Bargy dans un futur proche.
http://www.sauvonslesbouquetins.com Dossier complet :
http://lebruitduvent.overblog.com/
Pétition conforme aux avis des instances scientifiques (CNPN et CSRPN).
avaaz.org
Malgré nos différences nous avons en commun. La vie et l'amour ainsi que tous nos chagrins
«Le traitement des animaux par l’élevage industriel est peut-être le pire crime de tous les temps»
«Les animaux sont les principales victimes de l’histoire, et leur traitement par l’élevage industriel est peut-être le pire crime de tous les temps.»
Tels sont les mots définitifs qui ouvrent un texte publié dans le Guardian par l'historien Yuval Noah Harari. Un texte où il replace les mauvais traitements infligés par l’être humain aux animaux dans le temps long:
«Quand les premiers humains ont atteint l’Australie il y a environ 45.000 ans, ils ont rapidement conduit à l’extinction 90% des grands animaux. Ce fut le premier impact significatif de l’Homo sapiens sur l’écosystème de la planète. Ce ne fut pas le dernier.» Il plante ensuite le décor du sort des animaux aujourd’hui:
«De nos jours, la plupart des grands animaux vivent dans des fermes industrielles. Nous imaginons que notre planète est peuplée de lions, d’éléphants, de baleines et de pingouins. C’est peut-être vrai sur la chaîne National Geographic, dans les films Disney et dans les contes pour enfants, mais cela ne l’est plus dans le monde réel.
Le monde est habité par 40.000 lions mais il compte environ 1 milliard de cochons domestiqués;
500.000 éléphants pour 1,5 milliard de vaches domestiquées;
50 millions de pingouins et 20 milliards de poulets.»
Et conclut:
«Le cœur du problème est que les animaux domestiqués ont hérité de leurs ancêtres sauvages beaucoup de besoins physiques, émotionnels et sociaux qui sont négligés dans les fermes. Les éleveurs les ignorent fréquemment sans en payer le prix économique.»
Ces prises de position ne sont pas nouvelles de la part de Yuval Noah Harari. Dans son livre Sapiens, une brève histoire de l'humanité, il écrit ainsi:
«Oui, l’agriculture industrielle satisfait les besoins matériels des animaux. Mais elle n’a pas d’intérêt intrinsèque pour leurs besoins émotionnels et sociaux. Le résultat est une souffrance à très grande échelle. On peut débattre du fait qu’il s’agisse ou non du pire des crimes jamais commis par l’humanité, mais voici quelque chose qui doit certainement nous préoccuper.»
A l’appui de son analyse, Yuri cite notamment le philosophe Peter Singer, auteur du livre La Libération animale (1974). Comme l’explique Libération, dans cet ouvrage, «les animaux sont élevés au statut d'"individus" .
La condition animale y est abordée comme une question éthique, l'auteur n'hésitant pas à la comparer à l'esclavage des Noirs américains ou à la condition féminine».
Il s’agit de la bible de l’«antispécisme», mouvement qui dénonce les discriminations en fonction de l’appartenance à une esp
Traque d’un loup agonisant : dites non !
La revue « Plaisirs de la chasse » (n° d’octobre 2015) relate avec force détails sanguinolents la mort du loup abattu le 13 juillet dernier en Savoie dans le cadre d’un « tir de prélèvement ».
Aucun détail macabre ne nous est épargné : loup gravement blessé le soir par une balle tirée à 130 m, recherché le lendemain par les chasseurs avec leur chien pisteur, traces de sang sur l’herbe et morceaux de « boyaux » arrachés (!), loup agonisant débusqué dans un fourré, qui se traine pour tenter d’échapper jusqu’au bout aux chasseurs et qui vient mourir dans un ruisseau.
Les auteurs de ce massacre ont manifestement pris beaucoup de plaisir. Ils peuvent remercier Ségolène Royal qui autorise cette pratique ! Dites NON à la chasse aux loups !
Continuez à diffuser la pétition
CAP Loup : http://www.cap-loup.fr/la-petition/
Source de la photo http://www.ledauphine.com
Je me demande ce que les gens trouvent plaisant à aller dans un zoo? Le bruit, le mélange d'odeurs de cuisine et d'excréments, les commentaires débiles et surtout la tristesse dans les yeux des animaux....
Tant que le genre humain ne saura élargir le cercle de sa compassion jusqu'à y inclure tous les êtres vivants, lui-même ne connaîtra jamais la paix.
La vérité, c'est que nous ne sommes pas encore libres ; nous avons seulement atteint la liberté d'être libres ; nous n'avons pas encore fait le dernier pas de notre voyage, nous n'avons fait que le premier sur une route plus longue et difficile. Car être libre, ce n'est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c'est vivre d'une façon qui respecte et renforce la liberté des autre
Comme il serait doux dans ces temps de souffrances pouvoir voir le monde avec l'innocence de l'enfance
Au nom d'un rite, d'une tradition ou d'une simple habitude, l'être humain est capable du pire. Aujourd'hui, des centaines de milliers de moutons vont mourir pour une fête religieuse. Luttons toute l'année pour que ces choses ne soient plus possibles à l'avenir, pour que les animaux cessent d'être utilisés pour des sacrifices ou pour tout autre caprice humain. Et soyons à l'image du monde que nous souhaitons, avançons avec intelligence et bienveillance. Ce sont nos meilleures armes.