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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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civilisations

chine

Publié à 19:19 par fandeloup
chine

La Chine, grande puissance économique, pays le plus peuplé sur Terre mais aussi un pays avec des faits assez insolites inscrits dans la culture chinoise. Une chose est sûre, vous ne verrez plus les Chinois de la même façon ! L'expression "Ils sont fous ces Chinois va prendre tous son sens".

histoire des dernières Chinoises aux pieds bandés !

Publié à 07:09 par fandeloup Tags : photo photos femme histoire divers fille femmes animal enfant hiver vie
 histoire des dernières Chinoises aux pieds bandés !

Voici la douloureuse histoire des dernières Chinoises aux pieds bandés !

Cette tradition va mourir avec elles... Une photographe a retrouvé les dernières femmes chinoises à avoir eu les pieds liés !

Cette tradition qui date de la Chine ancienne a pour but d'empêcher les pieds des jeunes filles de grandir ! La procédure est douloureuse, et provoque des handicaps à vie. Cette tradition n'est plus pratiquée aujourd'hui. Elle est destinée à mourir en même temps que ces femmes...

La photographe Jo Farrel a cherché et retrouvé les dernières femmes aux pieds bandés. Au début, la photographe n'est pas sûre que de telles femmes soient encore vivantes. C'est dans un petit village de la province du Shandong qu'il en retrouve une du nom de Zhan Yun Ying !

Au début, certaines femmes refusent de se laisser photographier. Ce n'est qu'après avoir vu le premier catalogue que Jo Farrel fait sur elles, qu'elles acceptent toutes de se faire prendre en photo, et décrivent un processus vieux de 900 ans. Il faut commencer tôt, environ de 4 à 9 ans, avant que le pied n'ait le temps de se développer.

Les premières étapes se font généralement en hiver : le froid engourdi les pieds, diminuant la douleur ! Tout d'abord, les pieds sont trempés dans un mélange d'herbes et de sang d'animal, afin de l'amollir. Puis, les ongles sont coupés aussi courts que possible, afin d'éviter qu'ils s'incarnent et ne provoquent des infections.

Les quatre petits orteils sont ensuite brisés, et recourbés avec force sous le pied avec des bandages de coton. Le gros orteil lui, est laissé en grande partie intact.

Le reste du pied est ensuite enveloppé dans un bandage très serré, de sorte à ce que le talon se rapproche des orteils. La voûte plantaire se plie alors, et se brise. À chaque couche de tissu enroulé, la femme en charge de l'opération resserre l'étau. Les bandages sont cousus à des endroits divers afin de s'assurer qu'ils tiennent bon ! Une fois le douloureux processus terminé, des chaussures spéciales "en lotus" sont données à la jeune fille.

Elle est ensuite forcée de marcher avec sur ses pieds encore endoloris. La douleur causée par les premiers pas serait assez insupportable ! Tous les deux ou trois jours, les pieds de l'enfant sont déliés. Un grand soin est apporté alors au pied ! Il est lavé, les ongles sont coupés et les chairs nécrosées sont retirées. Le pire, est que souvent, les pieds doivent être pétris et même battus, pour rendre les articulations plus flexibles !

À chaque fois que le bandage est remis toutefois, il est un peu plus resserré ! L'opération comporte bien sûr beaucoup de risques ! Pendant les années de croissance de la jeune fille, ses ongles peuvent ouvrir une plaie dans son pied s'ils ne sont pas bien coupés. C'est alors l'infection assurée ! Si les pieds s'avèrent trop serrés, la gangrène peut même s'installer.

Même lorsque tout est fait à la perfection, les pieds peuvent toujours se gonfler de pus. La peau risque alors de s'ouvrir d'elle-même, causant d'autant plus de souffrances en plus d'une odeur nauséabonde ! En page 2, découvrez d'autres photos des habitantes du village. Apprenez aussi la raison derrière un tel supplice. Comment tout ceci apparaît par simple érotisme, ainsi que la manière dont cette tradition a fini par disparaître...

Fleuve Jaune en Mongolie

Publié à 10:29 par fandeloup
Fleuve Jaune en Mongolie

Parfois, les mots peuvent paraître superflus. Ces images parlent d’elles-mêmes.

Un simple fermier ne peut plus supporter l’odeur putride du Fleuve Jaune en Mongolie-intérieure.

fatwas

Publié à 17:08 par fandeloup Tags : monde homme mer femme femmes
 fatwas

Fatwa: la femme qui se baigne dans la mer commet l’adultère et doit être punie

 Des fatwas sexistes sont également promues au Québec. «Quand une femme se baigne dans la mer (un mot masculin en arabe), l’eau (masculine) touche ses parties intimes, ce qui fait d’elle une adultère, et elle doit être punie ».

– Résumé du rapport intitulé «Les fatwas erronées des Frères musulmans et des salafistes » publié dans Al Masry Al Youm. fatwa-interdiction-femme-de-ce-baigner

Un rapport d’un comité mis en place par Al Azhar, une des plus anciennes et prestigieuses universités islamiques du Caire, afin d’étudier les fatwas émises par les Frères musulmans et les salafistes révèle comment les islamistes considèrent les femmes.

Les conclusions du rapport ont été publiées dans le journal égyptien Al Masry Al Youm.

Le comité a étudié 51 fatwas émises par les Frères musulmans et les salafistes durant la présidence de Mohamed Morsi. Selon le rapport, «les fatwas émises par les deux groupes (Frères musulmans et salafistes) voient les femmes comme des créatures étranges créées uniquement pour le sexe.

Ils considèrent la voix des femmes, leurs regards et leur présence à l’extérieur des murs de la maison comme une ‘offense’. Certains sont allés jusqu’à considérer la femme au complet comme offensante».

Une autre fatwa interdit aux femmes de «manger certains légumes ou même de toucher des concombres ou des bananes» car leur forme phallique pourrait les entraîner sur la mauvaise voie.

Une fatwa ordonne aux femmes de « fermer les climatiseurs à la maison quand leurs maris sont absents pour éviter de signaler aux voisins qu’elles sont seules à la maison, ce qui pourrait les conduire à commettre l’adultère avec elles. ».

Une fatwa décrète que les filles doivent être mariées dès l’âge de 10 ans «pour les empêcher de s’écarter du droit chemin». Une autre interdit aux filles de fréquenter une école située à plus de 25 km de leur domicile. Et une étrange fatwa stipule que le mariage d’un couple sera annulé s’il se dénude pendant les rapports sexuels.

Fait intéressant, une fatwa qui a fait les manchettes partout dans le monde a été publiée par l’université Al Azhar et appelle les femmes à «allaiter les hommes de leur entourage pour en faire des membres de leur famille, ce qui permet la mixité».

La fatwa a toutefois été rétractée. Dans le même temps, des fatwas ont autorisé l’utilisation des femmes comme boucliers humains pendant les manifestations violentes.

Dans un précédent rapport, le Gatestone Institue indiquait que pendant la présidence de Morsi, les Frères musulmans et les salafistes ont émis des fatwas appelant à la destruction des pyramides et du sphinx; à l’annulation des accords de Camp David; à l’exécution de toute personne manifestant contre le président déchu Morsi; interdisant aux musulmans de saluer les chrétiens; interdisant aux chauffeurs de taxi musulmans de transporter des prêtres chrétiens; interdisant les émissions de télévision se moquant des islamistes; et interdisant aux femmes d’épouser tout homme impliqué dans le gouvernement de Moubarak.

dinka

Publié à 18:57 par fandeloup Tags : vie photos
dinka

Les Dinka, un groupe ethnique nilotique merveilleux du Soudan Les Dinka sont un groupe ethnique nilotique du Soudan du Sud. Ils vivent depuis le Xème siècle sur les deux bords du fleuve Nil et parlent une langue qui appartient au groupe nilo-saharien.

Ils comptent trois millions environ et sont divisés en près de 21 groupes avec ses propres chefs légitimes. Bien que l’élevage soit toujours leur ressource économique majeure, les Dinka n’ont jamais oublié les activités comme l’agriculture et la pêche qui leur permettaient d’être autosuffisants en matière de l’alimentation.

Leur commerce et l’industrie légère gagnent considérablement de l’importance. Les photographes Carol Beckwith et Angela Fisher ont une expérience de plus de 30 années de l’immortalisation de cérémonies, de rituels et de la vie quotidienne de peuples tribaux africains.

Leurs photos montrent le respect pour les traditions et les peuples de ces tribus, en particulier les traditions des Dinka:

elles veulent donner une autre image de la femme voilée

Publié à 10:19 par fandeloup Tags : femme femmes image travail
elles veulent donner une autre image de la femme voilée

Meaux : elles veulent donner une autre image de la femme voilée

L'association Saba a organisé, à Meaux (77), uan salon dédié à l'entrepreneuriat des femmes musulmanes.

Le salon a attiré plus de 500 visiteuses.La présidente de Saba, Sarah Harmouz a créé ce salon pour donner une autre image de la femme musulmane, qui n'est pas soumise et inactive. Le salon comptait une quarantaine d'exposantes.

Une partie des femmes ont créé leur entreprise parce qu'elles ne trouvent pas de travail en voile. Nous avons rencontré Amel Saïdi, cette divorcée de 35 ans qui porte le voile explique qu'elle n'a pas trouvé de boulot et a créé sa librairie musulmane ambulante

. Anissa Salah, 26 ans qui a créé son auto-entreprise de vente en ligne de tatouages et Soumaya Ben Arfa qui veut créer son entreprise de petits gâteaux ont également répondu à nos questions.

Matriarcat berbère Maure Beydane face à l’islam :

Matriarcat berbère Maure Beydane face à l’islam :

Matriarcat berbère Maure Beydane face à l’islam : plus tu as de maris, plus tu es respectable

« Je vous assure que nous respectons bien les hommes. D’ailleurs, c’est l’islam qui nous guide en ce sens ».

Les Maures (ou Mauri) est le nom donné aux populations arabo-berbères métissés vivant au Sahara et dans les territoires sud, côtoyant les populations noires.

Ils n’ont pas grand chose à voir avec les Maures d’Espagne, étant donné que ni leur dialecte ni leur culture ne sont apparentés. Le terme « Maure » leur a été attribué car ils étaient la seule population d’origine nord-africaine trouvée dans le sud du Sahara.

Le constat qui suit concerne principalement les femmes appartenant au sous groupe “maure blanc“ (Beydane) de la communauté arabo-berbère. Il est probable que, dans le processus d’assimilation de la culture arabo-berbère, le sous-groupe “maure noir » (Haratine) a subi l’influence des éléments matriarcaux, mais les manifestations de cette imprégnation semblent moins visibles.

 

 

 Matriarcat Sahraoui (Maroc) : jusqu’au 17ème siècle avant l’arrivée de l’islam Matriarcat berbère & Islam arabe en Mauritanie Par Natacha David.

Enjeux internationaux, Bruxelles. Reproduit dans Courrier international, supplément au n° 926-7-8 du 1 août 2008. Jouissant de plus de liberté et de pouvoir que dans le reste du monde arabe et musulman, les femmes de Mauritanie en imposent à leurs époux.caractères patriarcaux de la société islamique sont tempérés par des survivances, encore vivaces, de règles matriarcales qui offrent à la femme maure une marge d’autonomie et d’autorité dans la sphère domestique dont ne jouissent pas les femmes des autres communautés.

Sans égaler la position sociale de la femme touareg, autour de laquelle la société est structurée (système matrimonial et matrilinéaire ; dévolution du pouvoir par la lignée maternelle ; propriété exclusive de la tente dont elle peut chasser le mari en cas de mésentente), la femme arabo-berbère jouit d’une déférence certaine de la part des hommes, ainsi que d’une tolérance et d’une d’autonomie dans son ménage nettement plus étendue que celles dont bénéficient les femmes des autres communautés.

 

 

 Matriarcat Touareg (Sahara) : culte de Tin Hinan reine-mère fondatrice des hommes bleus Les femmes portent la culotte Biha El-azza Heidoud, première femme cameraman mauritanienne, a inversé ma question : je lui demandais si les femmes mauritaniennes se sentaient respectées par les hommes.

Un malentendu qui semble conforter l’idée répandue que les femmes maures porteraient la culotte sous leurs melahfas, ces voiles légers multicolores, aux antipodes des voiles noirs opaques, chargés de soumission, qui assombrissent d’autres républiques islamiques. Une liberté qui déplaît au régime islamique avec son chant lancinant et dépouillé, sa musique mariant instruments traditionnels et guitares électriques, Malouma, la blueswoman mauritanienne issue d’une lignée de griots, incarne une liberté de ton rebelle, qui lui a valu dix ans de mise à l’index sous le régime autoritaire précédent.

« Notre Islam, ce n’est pas l’islam dont on parle à la télévision. Nous dirigeons, malgré le voile », explique cette mère de quatre enfants, devenue sénatrice après avoir fait campagne avec l’opposition aux dernières élections.

 

Liberté sexuelle et empire des femmes

Déjà au XVIe siècle, le géographe maghrébin Ibn Battuta, observant que « les hommes ne sont nullement jaloux de leurs épouses », est interloqué de ce qu’il voit dans la région orientale de l’actuelle Mauritanie. Cinq siècles plus tard, l’explorateur René Caillié s’étonne de ce que les femmes maures « servent rarement » leurs époux, sur lesquels à ses yeux « elles conservent plus d’empire » que les Françaises. Position dominante et divorce aisé « Les femmes maures sont très difficiles.

Si elles ne sont pas assez gâtées à leur goût, elles divorcent pour un rien, en tout cas dans les milieux matériellement aisés, où les filles sont éduquées. Auparavant, le mariage, c’était l’alliance entre deux tribus ; et, si la femme s’en allait, toute la tribu de l’homme était déshonorée. Alors, tu faisais tout pour gâter ta femme, afin d’éviter qu’elle ne te quitte.

Les anciennes transmettent à leurs filles que la femme doit avoir une position dominante », m’explique Niang Mamadou. En charge des relations extérieures et de la coopération du syndicat indépendant CGTM, il souligne la différence avec les ethnies négro-africaines du sud du pays. « Dans mon ethnie, la femme doit être soumise, seule la mort peut la séparer de son mari et elle doit accepter la polygamie. »

Pas de couple fusionnel, les visites nocturnes A l’opposé de l’image du couple fusionnel à l’occidentale, dans la vie quotidienne traditionnelle maure, les époux ne se retrouvaient que pour la nuit. Ce qui n’empêchait nullement la femme d’être libre de sortir du foyer à sa guise et même d’y recevoir des invités masculins.

Apportée en dot par la femme, la tente, la khayma, était l’unité sociale première, placée sous sa seule responsabilité et son entière propriété. Un code de conduite contre les violences conjugales Les femmes des communautés maures, sauf cas exceptionnels, jouissent d’un statut qui les protège de la violence directe des hommes. Le code de conduite matriarcal régissant les relations entre les hommes et les femmes (idéalisation, déférence, tolérance, interdits relatifs aux coups et aux insultes) reste encore vivace.

Á telle enseigne que c’est, au contraire, l’homme qui subit et accepte les insultes et, parfois les coups de sa compagne. Les violences physiques à l’encontre des femmes ne sont pas pour autant inexistantes. Maîtresse absolue du foyer « Chez les Maures, en l’absence de l’épouse, qui visitait régulièrement ses parents, la tente était abattue ou inoccupée, le mari se réfugiait dans une tente voisine ou sous un arbre.

Il eût été honteux, ridicule, à vrai dire impensable qu’il occupe l’espace féminin hors de cette présence tutélaire », explique l’ethnologue Pierre Bonte. Le prestige du divorce Touchant près de 40% des femmes (deux fois plus de Maures que de Négro-Africaines) le divorce est un sujet très sensible. « La tradition, c’est que plus tu as eu de maris, plus tu es respectable.

Pas comme au Maroc, où c’est perçu comme une tare sociale, ou au Mali, où il est difficile pour une divorcée de trouver un emploi », explique Mahjouba Mint salek, syndicaliste et vétérane du combat pour l’égalité. Contrairement à certaines idées reçues, la fréquence des divorces n’est ni la conséquence prévisible d’une inversion des rôles sociaux “naturels“ ni un indice de permissivité d’une société. Les divorces sont également nombreux dans la société targuie.

En fait, il s’agit là d’une des constantes des sociétés matriarcales. “La stabilité du mariage et la fréquence des divorces qui lui est corrélative sont assujetties aux conditions d’affiliation des individus aux groupes et aux modes de constitution de ces derniers : les divorces sont ainsi plus nombreux dans les sociétés matrilinéaires que dans les autres sociétés“. Quatre enfants de trois pères différents « J’ai été mariée trois fois. Les nouvelles épouses de mes ex-maris sont gentilles avec moi et mes enfants ; c’est comme un grand clan où tout le monde me respecte.

Auparavant, la jalousie était terrible, car le foyer était le seul faire-valoir des femmes. Maintenant, elles commencent à avoir d’autres sources d’épanouissement. J’ai quatre enfants de trois pères différents – trop peu, au goût de mes parents. »

Les charmes de la femme, danger pour l’ordre social patriarcal. Cette tradition tient à un mélange de réminiscences de l’ancien matriarcat berbère et d’héritage de la dynastie berbère des Almoravides, où la femme était la maîtresse du foyer.

Comme dans le reste du monde arabe, la femme, par ses charmes, est toutefois source de danger pour l’ordre social patriarcal, mais plutôt que de la voiler et de la cloîtrer, la société maure conjure ce danger « en assignant à la femme le statut d’objet inaccessible et parfait », socle d’une culture du désir masculin inassouvi plutôt que de domination.

Survivances et vestiges de l’ancien matriarcat berbère Les différences dans les statuts des femmes mauritaniennes ont leur origine dans l’importance des survivances du matriarcat dans les différents environnements humains.

Fruit d’un double héritage socioculturel, la société maure s’est bâtie, au long des siècles, en une synthèse civilisationnelle intégrant les apports berbères et arabes autour de la dynamique islamique. Si la société maure est patriarcale, elle se caractérise par des survivances relativement fortes du matriarcat, un des traits distinctifs des sociétés berbères.

 

Matriarcat Berbère (Maghreb) : des résistantes à l’islam aux amazones de Kadhafi Matriarcat privé, islam publique La société arabo-berbère, plus que toutes les autres sociétés mauritaniennes, est caractérisée par la dualité qui préside à son organisation sociale et à son fonctionnement.

La coexistence entre un système matriarcal (même à l’état de vestiges) et un système patriarcal à prétention hégémonique est une source potentielle de conflits infinis et multiformes qui traversent les relations entre les hommes et les femmes, et investissent leur quotidien. « Il y a une superposition de deux systèmes.

Traditionnellement, dans l’espace nomade, les femmes sont très présentes sur le plan individuel et familial. Mais, au niveau de l’espace public, cela reste une société patriarcale liée à l’islam ; ainsi, les assemblées communautaires dans les mosquées ne comprennent pas de femmes.

Elles sont présentes dans tous les secteurs de la production, comme le commerce, la pêche ou l’industrie, mais pas dans les cercles de décision. Les nouveaux quotas vont sans doute leur donner le goût de se battre pour plus d’espace public », espère Hindou Bint Ainina, rédactrice en chef du Calame, un journal indépendant.

Quotas, scolarisation, et excision La Constitution de 2005 réserve aux femmes un quota minimal de 20% dans les différentes assemblées et, depuis février 2007, elles bénéficient aussi d’un quota minimal de 20% dans l’administration.

Lors des élections de 2006 et 2007, pour la première fois libres et démocratiques, elles ont remporté 30% des sièges locaux et 21% des sièges législatifs.

La Mauritanie se distingue aussi par un taux record de scolarisation des filles : autour de 70% à l’école primaire. Le taux des filles dans l’enseignement secondaire est aussi en augmentation, mais reste freiné par les mariages précoces et le manque d’accessibilité des collèges en zone rurale.

A l’inverse de l’éducation, les indicateurs de santé sont alarmants. La mortalité maternelle reste très élevée. Interdite, l’excision subsiste clandestinement, touchant quelque 70 % des Mauritaniennes. L’autre Mauritanie : arabe, islamique et patriarcale Supériorité “naturelle“ de l’homme et infériorité de la femme L’ordre social est avant tout celui de la hiérarchie qui établit la supériorité “naturelle“ de l’homme sur la femme.

Ce principe premier est la pièce centrale du socle idéologique du système patriarcal. La légitimation que lui apportent les normes juridiques (fondées sur la religion et les coutumes) et les pratiques sociales ont assuré sa pérennité.

Au fil des siècles, une interprétation de plus en plus conservatrice de la loi islamique a accru la “minorisation“ et la marginalisation de la femme, et même l’a pratiquement exclue de la sphère publique. Inférieure à l’homme, la femme a un devoir (obligation) de soumission à son égard. Si ce principe est tempéré par les vestiges d’un matriarcat ancien, en milieu arabo-berbère, sa rigueur ne s’en applique pas moins, juridiquement, à l’ensemble de la société.

Le gavage des fiancées arabes

A la tombée du jour, quand le sable du stade de Nouachkott tiédit, les baskets de courageuses dodues dépassent des melhfas. « J’ai des problèmes de diabète et d’hypertension, je veux maigrir, même si mon mari n’est pas ravi », m’explique, le souffle encore court de son exercice, Yahfada, employée de banque.

Au sein de l’élite urbanisée, les régimes ont fait leur apparition, au rebours de l’idée qu’il faut être bien potelée pour porter noblement son melahfa. La lutte pour survivre à la rudesse du désert avait en effet conduit à l’adulation de l’obésité et au gavage des fillettes.

Toutou, 10 ans, 80 kilos vaut plus de 50 chameaux Odette du Puigaudeau, aventurière du désert venue se perdre en 1933 sur ces terres alors interdites, raconte, horrifiée, comment, alors qu’elle était l’hôte de la tribu de l’émir Ould-Deïd, elle fut « éveillée en pleine nuit par l’ordre répété : Charbi ! (tu bois !), entrecoupé de pleurs et supplications d’une enfant, un homme agenouillé à ses pieds lui serrant les orteils entre deux bâtons à chameaux ».

Avec son « torse bourrelé de graisse », la peau distendue « fendillée de minces gerçures roses », Toutou, de la taille d’une enfant de 10 ans, pesait bien 80 kilos.

Grâce à ce supplice par lequel « les fillettes paient la gloire d’être des animaux de luxe, Toutou valait plus de 50 chameaux », qu’offrirait pour l’épouser « quelque vieux chef riche ». Pour domestiquer l’épouse par les vieux maris

Cette accumulation de kilos réduisait la femme à l’inactivité, de quoi faire la fierté des maris capables d’y suppléer par une domesticité nombreuse. Sur le plan sexuel, cette passivité s’inscrivait aussi dans le code culturel voulant que la femme n’affiche que dédain et désinvolture par rapport à son mari.

A l’origine signe extérieur de richesse des familles aisées, le gavage est peu à peu aussi devenu un calcul économique, mieux valant marier les filles inactives au plus vite. Pour contrer les chants d’amour traditionnels magnifiant les rondeurs, le ministère de la Santé a même commandité des chansons romantiques célébrant la minceur et ostracisant l’obésité.

Heureusement en régression, le gavage touche aujourd’hui moins d’une Mauritanienne de moins de 19 ans sur dix, contre un tiers de celle de 40 ans et plus. Selon la journaliste Hindou Bint Ainina, « même dans les campagnes, le gavage n’est plus imposé. Si c’est toujours pratiqué, c’est un choix. »

La polygamie, symbole de virilité et de richesse chez les Négro-Mauritaniens en revanche, la polygamie, symbole de virilité et de richesse, reste très répandue. A défaut de l’interdire, le nouveau Code de la famille la décourage, la conditionnant à l’acceptation de la première épouse.

Chez les Maures, la monogamie règne de fait, comme une exigence des femmes en dépit de la tolérance de l’islam à son égard.

Sources : Le Mouvement Matricien

la steppe de Mongolie

Publié à 17:44 par fandeloup Tags : animaux mode travail chez homme monde vie pouvoir
la steppe de Mongolie

Perdu dans la steppe de Mongolie, cette tribu a développé un mode de vie juste extraordinaire

Depuis le début de son existence, l'Homme a avancé à pas de géant. Il est sortit des caves et des terres sauvages, a construit des villes et des maisons que les générations précédentes n'imaginaient même pas...

Et pourtant, certaines tribus résistent à la mondialisation oppressante et ne changeraient leur mode de vie pour rien au monde.

Partez en immersion dans l'une d'entre elles, chez les Dukhas de Mongolie !

Cette tribu nomade vit dans la steppe depuis plusieurs siècles déjà, si bien que ses membres (dont il reste seulement 44 familles, soit environ 400 personnes) connaissent leur environnement sur le bout des doigts.

A tel point qu'ils ont développé une relation très particulière avec les animaux (loups, aigles, ours, élans, etc...) qui les entourent. Leurs capacités sont folles, aucun autre humain ne pourrait en faire autant ! Grâce au travail du photographe Hamid Sardar-Afkhami, qui a récemment rendu visite à la tribu au cours d'un de ses reportages, on a la chance de pouvoir découvrir cette population tout simplement extraordinaire !

C'est juste fou non ? Un peuple impressionnant et qui mérite le plus grand respect !

Mahomet

Mahomet

Que sait-on de la jeunesse de Mahomet ?

Ce qu’il faut savoir sur le Prophète Dans sa jeunesse, Mahomet traversait les déserts de la péninsule arabique en caravanes . Pas grand-chose. Le Coran ne laisse quasiment pas de place aux éléments biographiques. La plupart des récits de la vie de Mahomet ont été écrits par des hagiographes, parfois quatre siècles après la mort du Prophète. Ces textes cherchaient à mettre en valeur l’exemple, plutôt qu’à établir la vérité. Selon la tradition, Mahomet est né vers 570 à La Mecque, sur le territoire de l’actuelle Arabie Saoudite. Orphelin à six ans, il fait partie de la tribu des Hachémites : autrefois puissance, cette branche est en déclin. Le jeune Mahomet connaît la pauvreté. Il est alors commerçant et accompagne des caravanes jusqu’en Syrie. Là, un moine chrétien lui aurait prédit un avenir de Prophète.

 

Quelle place pour les femmes dans la vie de Mahomet ?

 Ce qu’il faut savoir sur le Prophète Les femmes ont une grande influence sur la vie de Mahomet . A 25 ans, Mahomet entre au service d’une riche commerçante. Veuve, Khadija avait, selon les récits, une quinzaine d’années de plus que le jeune homme. Ils se marient. Elle a six enfants dont deux garçons qui meurent prématurément. Selon les biographes, il lui est fidèle et dévoué. C’est elle qui le convainc d’accomplir sa mission divine. Après sa mort, il épouse huit autres femmes, dont une chrétienne copte ou encore une épouse juive : la plupart de ces mariages permettent d’habiles alliances diplomatiques. Parmi elles, la jeune Aïcha : l’âge de la jeune fille au moment de l’union oscille entre 6 et 19 ans selon les récits. Mahomet limite la polygamie, pratique très courante dans la péninsule arabe à l’époque, à quatre épouses.

 

Quelle est sa révélation ?

 Ce qu’il faut savoir sur le Prophète L'ange Gabriel rend visite à Mahomet (oeuvre de Rashid al-Din) .Après la mort de ses fils et de son oncle, Mahomet se retire parfois dans une grotte près de La Mecque pour méditer. En 610, il entend une voix au cœur de la nuit. L’historien al-Zuhri raconte dans une sira (biographie) : "La Vérité arriva inopinément et dit : "O, Mahomet, tu es le messager de Dieu"". L’homme craint d’avoir perdu la raison, mais, selon les récits tardifs, l’ange Gabriel (qui avait déjà annoncé à la Vierge Marie la naissance de Jésus) lui apparaît. "Récite", ordonne-t-il. Encouragé par Khadija, son épouse, il commence à prononcer un immense récit que les musulmans considèrent comme étant dicté par Dieu. Ce texte deviendra le Coran dont le prophète n’est que le porte-voix.

 

Quel genre d’homme était-il ?

Ce qu’il faut savoir sur le Prophète Les sources manquent pour établir avec certitude le parcours de Mahomet .Difficile de le savoir, d’autant que la plupart des récits cherchent à le glorifier. L’historien Maxime Rodinson le décrit comme sage, mais angoissé, notamment par son incapacité à produire des héritiers mâles. De manière plus prosaïque, Mahomet était probablement un homme de son temps, tentant d’établir son pouvoir dans une société divisée par les rivalités tribales. Dans les années 610, il fait part de ses révélations à ses proches, qui forment un groupe grandissant de fidèles. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est contraint de quitter La Mecque pour une cité située à 300 kilomètres. La cité de Yathrib deviendra Médine. Cette émigration, l’hégire, est le début du calendrier musulman (année 622 du calendrier grégorien).

 

Un homme de pouvoir et chef de guerre ?

Ce qu’il faut savoir sur le Prophète La Mecque fait encore aujourd'hui partie des villes saintes de l'Islam .A Médine, Mahomet regroupe ses fidèles : il est à la fois chef militaire, religieux et politique. Les musulmans qui le suivent fuient, comme lui, les persécutions à La Mecque. Sur place, il organise une société qui peine à survivre dans le désert. Certains habitants de la ville se convertissent pendant que d’autres conservent leurs croyances proches du judaïsme. Les sourates (courts textes révélés par Dieu) deviennent de plus en plus longues et juridiques. Les batailles avec les Mecquois se multiplient. En 630, Mahomet se présente aux portes de sa ville d’origine avec une armée de 10 000 hommes. La Mecque se rend sans combattre. En neuf ans seulement, l’ensemble de la péninsule arabique est unie par l’Islam.

 

Est-il un Dieu pour les musulmans ?

Ce qu’il faut savoir sur le Prophète Mahomet n'a aucune nature divine pour les musulmans .Non. Pour les musulmans orthodoxes, Mahomet n’est que le messager d’Allah, qui dictait ses enseignements par son intermédiaire. D’ailleurs, l’Islam a pour fondement le monothéisme absolu, c’est-à-dire entièrement tourné vers le Dieu unique. Ceci n’empêche pas Mahomet ("digne de louange" en arabe) d’être le personnage central de grandes épopées. Dans le Coran, il effectue notamment un grand voyage nocturne en direction de Jérusalem. Là, l’ange Gabriel l’aurait présenté aux autres prophètes du livre – dont Jésus-Christ. Dans le récit, Mahomet rencontre Allah au ciel, qui lui demande de prier cinq fois chaque jour. Selon des sourates du Coran, Mahomet aurait également accompli des miracles, comme fendre la Lune.

 

A-t-on le droit de représenter Mahomet ?

Ce qu’il faut savoir sur le Prophète La caligraphie du nom Mahomet est souvent utilisée dans le monde musulman pour le représenter.  Aucun texte du Coran n’évoque la représentation du prophète. En revanche, la majorité des écoles juridiques musulmanes considèrent qu’il est interdit de dessiner, peindre ou d’incarner le Prophète dans un film. Motif invoqué par les théologiens : le manque de respect à Dieu . A leurs yeux, l’homme est coupable de blasphème en tentant d’imiter l’œuvre d’Allah. Il n’en est ni digne, ni capable. Mais cette interdiction est moins présente dans certains courants, comme l’Islam chiite : des représentations du Prophète sont dessinées au moins jusqu’au XVIe siècle, notamment en Perse. En France, aujourd'hui, ce sont les lois sur la liberté d’expression qui s’appliquent. Il n’est pas expressément interdit de représenter Mahomet.

 

Comment est-il mort ?

Ce qu’il faut savoir sur le Prophète La question de la succession de Mahomet demeure épineuse aujourd'hui  Mahomet est malade. Il meurt alors qu’il faisait la sieste. Il ne laisse que quelques vêtements, mais surtout ses sourates. Il ne laisse aucun testament écrit. Sa succession devient une question épineuse, qui divise encore les musulmans aujourd'hui. Médine se déchire... Pour les (futurs) chiites, Mahomet avait désigné son gendre Ali comme successeur. D'autres compagnons du prophète Mahomet désignent Abou Bakr, l'un de ses amis, pour lui succéder (ils sont les futurs sunnites). Il devient calife, c'est à dire "successeur". Cette fonction ne sera abolie qu'en 1924 avec la fin de l'Empire Ottoman. Aujourd'hui, l'Etat islamique revendique ce titre de chef spirituel des musulmans pour son chef Abou Bakr al-Baghdadi. Un point de vue contesté par la plupart des croyants.

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Publié à 10:49 par fandeloup Tags : image monde jeux
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