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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Images pieuses( Tous les Saints)

Bienheureuse Benoîte Rencurel

Publié à 23:43 par lusile17 Tags : bonne chez homme mort douceur enfant
Bienheureuse Benoîte Rencurel

Bienheureuse Benoîte Rencurel

En mai 1664, Benoîte conduisait ses chèvres le long d'un bois, sur la montagne de Saint-Maurice quand un vieillards s'approcha d'elle : il se révéla comme étant Saint Maurice lui-même et annonça à la bergère qu'elle verrait la Mère de Dieu dans un vallon voisin.
Confiante et simple, comme elle devait l'être toute sa vie, l'enfant guida dès lors son troupeau dans une autre vallée, s'arrêtant dans la grotte dite "des fours" pour y réciter son chapelet. C'en en ce lieu que la Vierge Marie lui apparut, un jour, son Fils dans les bras. Quatre mois durant, la merveilleuse apparition se renouvela, laissant chaque fois Benoîte dans l'extase. En septembre, la Mère de Dieu ordonna à la bergère bergère de chercher au Laus une petite chapelle, où flottaient de suaves odeurs, et de venir l'y prier.

Benoîte, quelques semaines plus tard, découvrait sur la colline du Laus, située de l'autre côté de la Vance, un oratoire couvert de chaume, dédié à Notre-Dame de Bonne-Rencontre, et dont il ne restait guère que des ruines. De merveilleux parfums s'y faisaient sentir. Et voici que la Vierge apparut sur l'autel délabré que couvrait une couche de poussière. Le geste qu'eut la bergère, à cette vue, est exquis de naïveté : "Permettez que je mette mon tablier sous vos pieds" dit-elle à celle qu'elle appelait sa Bonne mère ; "il est tout blanc de lessive". La Vierge, en refusant, lui sourit, puis lui annonça qu'une grande église serait bâtie, en ce lieu destiné à la conversion des pécheurs.

Dès lors les apparitions se succédèrent pour Benoîte, durant cinquante-trois années, et sur la foi de ses dires, les pèlerins affluèrent au Laus, vite encouragés par des grâces extraordinaires.



Bienheureuse Benoîte Rencurel

Publié à 23:40 par lusile17 Tags : ange anges fille pensée
 Bienheureuse Benoîte Rencurel

Bienheureuse Benoîte Rencurel

 

Les fait miraculeux qui impressionnèrent si fort les contemporains de Benoîte Rencurel se produisaient en sa faveur comme en faveur des pèlerins. Mais si la visionnaire obtenait des guérisons et des bienfaits de toutes sortes pour les autres, elle ne demandait pour elle-même que des épreuves.

En juillet 1673, elle avait eu la vision de Notre-Seigneur fixé à la Croix et elle s'était sentie inondée de son sang. Depuis lors, Benoîte se trouvait brusquement raidie, chaque semaine dans la pose de crucifiée et y demeurait du jeudi au samedi, sans pouvoir faire un geste. Elle s'effara, dans son humilité, de l'attention générale qu'attirait sur elle ce prodige et demanda que d'autres souffrances, moins visibles, lui fussent accordées.
Torturée alors par le démon, elle vécut des années terribles, consolée seulement par ses apparitions. Le 15 Août 1698, la Vierge lui apparut entourée par des Anges qui emportèrent jusqu'au ciel l'humble fille et la rapportèrent ensuite dans son hameau.

Favorisée des dons du ciel, Benoîte était consultée en toute circonstance. Elle savait d'avance si telle ou telle guérison pouvait être obtenue. Un ange l'avertit de l'arrivée dans le pays des armées du duc de Savoie en lui ordonnant de sauver le mobilier de la chapelle et de partir pour Marseille, ce qu'elle fit. Le moment du retour lui fut de même indiqué par une voie merveilleuse.

Lisant dans les âmes, elle ramenait au bien les pêcheurs en leur disant le nombre et la gravité de fautes qu'ils croyaient ignorées de tous. A Marseille, elle montra à M. de Coulonge, alors vicaire-général, qu'elle connaissait sa pensée et le doute qu'il gardait en l'écoutant. En Provence comme au Laus, elle a laissé la réputation d'une sainte dont la vie entourée de faits merveilleux. Elle mourut le 28 décembre 1718, ayant vécu jusqu'à 71 ans malgré de cruelles souffrances et les plus grandes austérités.



Bienheureuse Benoîte Rencurel

Publié à 23:12 par lusile17 Tags : hiver bonne nuit mort argent concours
 Bienheureuse Benoîte Rencurel

 Bienheureuse Benoîte Rencurel

 

Dès 1865, on signale que 13 processions, venues de régions différentes, se trouvèrent à la fois dans la vallée du Laus. La chapelle fut, dans cette même année, visité par 135.000 fidèles.
La rapide célébrité du pèlerinage ne devait d'ailleurs pas s'affaiblir dans la suite. Depuis deux siècles, 100.000 pèlerins y viennent prier chaque année et le couronnement de la statue par Mgr Depèry, s'est fait, le 23 mai 1855 en présence de 40.000 personnes.

Celle qui servit si bien la gloire de Notre-Dame, méritait de connaître quelque gloire à son tour. Les premières démarches en vue de l'introduction de sa cause furent faites par Mgr Bernadou, mort cardinal-archevêque de Sens, alors évêque de Gap. Le procès s'ouvrit le 11 septembre 1864. Benoîte Rencurel, en 1872, est proclamée “Vénérable servante de Dieu”. La cause de béatification est toujours en cours. Cette cause de Benoîte est soutenue par le diocèse de Gap.

La pauvre chapelle du Laus est devenue, selon la volonté de Notre-Dame, une vaste basilique, construite selon les proportions indiquées par la Vierge elle-même. La première pierre de l'église fut posée en 1666 ; quatre ans plus tard, l'édifice était terminé. Commencé presque sans argent, il s'était élevé rapidement, grâce au concours des humbles qui, dans un pays sans ressources et sans routes tracées, avaient apporté les premiers matériaux. La chapelle du Précieux sang a été édifiée par les frères Tulasnes, pour conserver la Croix d'Avançon sur laquelle Notre-Seigneur apparut plusieurs fois à soeur Benoîte.
Le petit oratoire de Notre-Dame de Bonne-Rencontre n'a pas été sacrifié : il forme actuellement le sanctuaire de l'église érigée en basilique mineure le 18 mars 1892.

Un jour de l'hiver 1665, Benoîte reçut de la Vierge Marie le conseil d'inviter les personnes ayant une maladie à se faire une onction d'huile sur la partie malade. Elle lui dit "que l'huile de la lampe de la chapelle, si on en prend et qu'on s'en applique, et si on recourt à son intercession et qu'on ait la foi, qu'on guérira ; que Dieu lui a donné ce lieu pour la conversion des pécheurs."

"Une petite flamme brûle jour et nuit devant le tabernacle et la statue de Notre-Dame. Les pèlerins qui entrent dans la Chapelle de Bon Rencontre trempent souvent leur doigt dans l'huile de la lampe pour faire le signe de la croix sur leur front."

On trouve les flacons au Sanctuaire. Cette huile est distribuée sur place et expédiée dans le monde entier.



Bienheureuse Joséphine Bakhita

Publié à 22:26 par lusile17 Tags : douceur homme travail soi
Bienheureuse Joséphine Bakhita

Bienheureuse Joséphine Bakhita

La petite Mère Noire

Jean-Paul II dans l’homélie de béatification de Joséphine Bakhita a dit : « la nouvelle bienheureuse vécut 51 ans de vie religieuse canossienne, se laissant conduire par l’obéissance dans son travail quotidien, humble et caché, mais riche d’authentique charité et de prière. Les habitants de Schio découvrirent très vite une humanité riche marquée par le don de soi-même, par une force intérieure hors du commun et qui entraînait les autres ».

Michée : « on t’a fait savoir homme ce qui plaît à Dieu, ce que Yahvé réclame de toi : rien d’autre que d’accomplir la justice, d’aimer la bonté et de marcher humblement avec ton Dieu ». Michée 6,8.


Rien d’extraordinaire dans la vie de cette jeune soudanaise, si ce n’est : humilité, simplicité, sourire constant, douceur, bonté et profond désir de faire connaître le Seigneur. C’est peut-être cette facilité qui nous déroute, nous attendons tellement de pouvoir faire de « grandes choses » pour le Seigneur ! Mais être témoin de l’amour de Dieu dans mon quotidien se découvre dans les gestes les plus ordinaires, les plus simples. Seul Dieu transforme ces « petits » gestes. Dieu nous parle au travers de ce quotidien, se donne à découvrir. Chacun est invité à relire son quotidien pour l’accueillir tel qu’il est et le vivre avec humilité, simplicité en demandant l’aide de Dieu par la prière

Joséphine Bakhita, cette jeune soudanaise fut en son temps « sel de la terre et lumière du monde ». Il vous est proposé de découvrir cette jeune sainte , de voir comment sa vie simple et humble peut rejoindre chacun de nous dans notre vie en ce début de nouveau millénaire et nous sentir nous aussi « appelé à la sainteté ».



Bienheureuse Joséphine Bakhita

Publié à 21:55 par lusile17 Tags : bonne fille amis tendresse
  Bienheureuse Joséphine Bakhita

 Bienheureuse Joséphine Bakhita

Bakhita, on ne sut jamais son nom, est née vers 1869 au Soudan. Elle décéda en 1947. Elle fut béatifiée en mai 1992.

Bakhita est le nom que ses ravisseurs lui ont donné, qui signifie en arabe « fortunée (au sens de bonne fortune), heureuse ».

Vendue et revendue plusieurs fois sur les marchés, elle connut les humiliations, les souffrances physiques et morales de l’esclavage. A Khartoum, capitale du Soudan, Bakhita fut achetée par le consul italien Monsieur Legnani. Pour la première fois, depuis son enlèvement à l’âge de 9 ans, on la traitait d’une manière aimable et cordiale( pas de fouet pour lui donner les ordres…)Bakhita éprouva de la sérénité et de la tendresse.

Pour des raisons politiques, le consul dût rentrer en Italie. Bakhita obtint de partir avec lui et un de ses amis, Monsieur Auguste Michieli. A Gênes, Bakhita suivit sa nouvelle « famille », Monsieur et madame Michieli. A la naissance de leur fille, Mimmina, Bakhita devint sa bonne et son amie.

Devant quitter l’Italie, les Michieli confièrent Bakhita et Mimmina aux Sœurs Canossiennes de l’institut des Catéchumènes à Venise. C’est ici que Bakhita demanda et obtint de connaître ce Dieu que depuis son enfance « elle sentait dans son cœur sans savoir qui il était » .

Après quelques mois au catéchuménat, Bakhita reçut les sacrements d’initiation chrétienne (baptême, première communion et confirmation). Elle reçut le nouveau nom de Joséphine. Elle disait : « c’est ici que je suis devenue fille de Dieu ».

Chaque jour, elle se rendait de plus en plus compte comment ce Dieu que maintenant elle connaissait et aimait, l’avait emmenée par des voies mystérieuses.



Bienheureuse Joséphine Bakhita

Publié à 21:01 par lusile17 Tags : chez
Bienheureuse Joséphine Bakhita

Joséphine Bakhita

Près de 4 ans plus tard, elle entra chez les Sœurs Canossiennes à Venise. Son appel à devenir religieuse s’éclaircit. En décembre 1896, elle se consacrait pour toujours à son Dieu qu’elle appelait : « Mon Maître ».

Dans les différents couvents où elle vécut, elle n’occupa que des emplois modestes : cuisinière, chargée de porterie, lingère, brodeuse, sacristie. Son humilité, sa simplicité et son sourire constant lui gagnèrent le cœur de tous les habitants de Schio. Ils l’appellent « notre Sainte Mère Brunette ».

Bakhita avait un désir de faire connaître le Seigneur « en voyant le soleil, la lune et les étoiles, je me disais qui est donc le Maître de ces belles choses ? Et j’éprouvais une grande envie de le voir, de le connaître et de lui rendre hommage ».

La vieillesse, la maladie arrivèrent, mais Bakhita continua à offrir un témoignage de foi, de bonté et d’espoir chrétien. A ceux qui la visitaient et lui demandaient comment elle se portait, en souriant elle répondait : « Comme le Maître veut ».

Le procès ordinaire en vue de la Béatification se déroule à Vicence entre 1955 et 1957. Le procès apostolique se tient en 1968-1969. Au mois de septembre 1969 ; le corps de Bakhita est exhumé et transporté au cimetière de Schio, à l’Institut des Filles de Charité où elle avait vécu.Elle décéda en 1947 dans la maison de Schio.



Jean Paul II signe de Décret sur l’héroïcité des vertus de Joséphine Bakhita le 1er décembre 1978, et, le 6 juillet 1991, le Décret de Béatification. Le 17 mai 1992, Joséphine Bakhita est proclamée Bienheureuse, et le dimanche octobre 2000, Jean Paul II la canonise au cours d’une Messe solennelle célébrée sur la Place Saint-Pierre : elle est la première Sainte soudanaise.



Images pieuses (Sainte Jacinthe)

Publié à 20:52 par lusile17 Tags : fille
 Images pieuses (Sainte Jacinthe)

Sainte Jacinthe Religieuse à Viterbe ou Hyacinthe.

Clarisse est la fille de Marc-Antoine de Mariscotti et de son épouse Octavie, un couple de nobles italiens, elle voit le jour à Vignarello. Éduquée au couvent franciscain Saint-Bernardin de Viterbe, elle y demeure par la suite, mais sans réelle conviction. Après être rentrée brièvement au foyer familial, elle fait une nouvelle tentative et rejoint les religieuses de Saint-Bernardin sous le nom de Hyacinthe. Mais le cœur n’y est toujours pas, et elle se languit de la vie luxueuse et facile des personnes de son rang, allant même jusqu’à profiter de la fortune familiale pour bénéficier d’un confort dont sont privées ses compagnes. Dix ans plus tard, elle tombe gravement malade et son confesseur en profite pour l’exhorter à changer de vie. Convaincue, elle s’abîme dès lors dans de sévères austérités, bien déterminée à expier ses erreurs passées. Elle devient plus tard maîtresse des novices et acquiert bientôt une grande renommée dans toute la ville de Viterbe. De nombreux miracles lui sont attribués.



Bienheureuse Alexandrina Maria Da Costa

Publié à 20:47 par lusile17 Tags : belle roman musique jardin couture
Bienheureuse Alexandrina Maria Da Costa

Bienheureuse Alexandrina Maria Da Costa

Alexandrina de Balasar

1904-1955

Alexandrina (Alexandrine) Maria da Costa naît le Mercredi Saint de l'année 1904 au lieu-dit Gresufes du village de Balasar dans le district de Porto et l'archidiocèse de Braga. Elle est baptisée le Samedi Saint suivant. Quelques années plus tard, la famille se déplace au lieu-dit Calvário (nom prédestiné! ) du même village de Balasar.

 Dès l'âge de 9 ans, Alexandrina travaille aux champs puis, comme journalière. A 12 ans, elle fait une première chute d'un chêne et on doit lui donner l'extrême-onction. Elle se rétablit. Alexandrina est nommée catéchiste et membre de la chorale. Elle a une belle voix et aime beaucoup la musique.

 A 14 ans, en 1918, survient le drame qui bouleverse sa vie : le Samedi Saint, trois hommes entrent dans la chambre où elle fait de la couture avec sa sœur Olinda et une amie et ils tentent de la violenter. Elle n'a d'autre ressource que de sauter par la fenêtre ; elle tombe dans le jardin, quatre mètres plus bas.

 Il s'ensuit une compression de la moelle épinière et un handicap permanent. Ni cure ni médecins ne réussissent à améliorer son état. Parfois, elle peut marcher en se traînant jusqu'à l'église mais on se moque de sa démarche ; elle réussit au prix de grands efforts à assister au congrès eucharistique de Braga en 1924.

Peu après, elle s'alite définitivement, pour les trente dernières années de sa vie. Dès lors, sa sœur plus âgée, Olinda, devient son infirmière, son assistante en tout et, plus tard, sa secrétaire. Au début, Alexandrina demande à Dieu la guérison et lui promet de devenir missionnaire si elle l'obtient. Finalement, elle comprend qu'il faut se résigner. Elle accepte et s'offre.



Bienheureuse Alexandrina Maria Da Costa

Publié à 20:36 par lusile17 Tags : chez roman nuit mort message anniversaire revenu
Bienheureuse Alexandrina Maria Da Costa

Bienheureuse Alexandrina Maria Da Costa

Jésus se révèle à elle et lui parle familièrement jour et nuit. Souvent, elle lui demande ce qu'il faut faire et invariablement, il lui répond : "souffrir, aimer, racheter". Il lui propose de s'assimiler complètement à sa passion. Chaque Vendredi, et cela jusqu'en 1942, elle revit la Passion d'une façon si concrète que son directeur spirituel, le Père Pinto, peut en voir le déroulement, et, à cette occasion-là, Alexandrina retrouve la liberté de ses mouvement.

A ces souffrances s'en ajoute une autre : Sa mère s'est portée garante pour une parente, mais celle-ci n'ayant pu rembourser, les poursuites se retournent contre la famille d'Alexandrina qui, pendant six ans, connaît le cauchemar de la pauvreté et même le risque d'être chassée de leur maison.

En 1938, le Seigneur demande à Alexandrina de faire connaître sa volonté que le monde soit consacré au Cœur Immaculé de Marie par le pape (et chaque diocèse par son évêque). Sinon, on connaîtra le terrible châtiment de la guerre à cause des péchés, notamment celui de l'impureté et des communions sacrilèges. Pendant un an, son directeur, chargé de faire parvenir ce message à Rome, fait la sourde oreille.

 Au début de 1939, il écrit enfin au cardinal Pacelli, lequel, devenu Pape sous le nom de Pie XII, réalisera cette consécration en 1942. A partir de cette année-là, Alexandrina obtient la grâce que sa passion et ses stigmates ne soient plus visibles à l'extérieur. C'est alors aussi qu'elle cesse totalement de se nourrir, et cela jusqu'à sa mort, c'est-à-dire pendant 13 ans.

Ces événements mystiques étant de plus en plus connus (à son grand regret, mais Jésus lui explique qu'elle revit sa vie publique), des foules, de plus en plus nombreuses, commencent à affluer chez elle : 15000 personnes le 29 juin 1953. (L'archevêché avait interdit toute visite en 1944 et 1952, mais finalement était revenu sur sa décision). Alexandrina voit la mort approcher avec lucidité ; alors, par deux fois, elle dicte un testament spirituel adressé aux pécheurs. Elle meurt le Jeudi 13 octobre (jour anniversaire de la dernière apparition à Fatima). Elle a été béatifiée ) Rome,  par le serviteur de Dieu Jean Paul II le 25 avril 2004.



Le Bienheureux Artémide Zatti

Publié à 20:32 par lusile17 Tags : chez
Le Bienheureux Artémide Zatti

Bienheureux Artémide Zatti

Laïc Salésien

1880-1951

Artemide Zatti naît le 12 octobre 1880 à Boretto au nord de l'Italie, dans le diocèse de Reggio Emilia (Emilie-Romagne). En 1897, avec sa famille, il émigre en Argentine à la recherche d'une vie meilleure. Il a 17 ans. Là-bas il trouve un directeur spirituel, le salésien Don Carlo Cavalli qui l'oriente vers sa Congrégation. Il entre à 20 ans au séminaire salésien de Bernal, mais en soignant un jeune confrère prêtre atteint de tuberculose, il tombe lui-même malade. On l'envoie dans la Maison salésienne de Viedma qui comporte un hôpital missionnaire. L'infirmier salésien, le Père Garrone lui conseille de prier Marie Auxiliatrice (très vénérée sous ce vocable chez les salésiens), et lui suggère de joindre à cette demande une promesse: "Si elle te guérit ? lui dit-il ? tu consacreras toute ta vie à ces malades". Et lui, de croire, de promettre… et de guérir! Sa voie est désormais tracée, mais il doit renoncer au sacerdoce et c'est un vrai sacrifice pour lui, néanmoins il offre cela de bon cœur.